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Filoue11

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Tout ce qui a été posté par Filoue11

  1. Un boa s'échappe dans le TGV Paris-Marseille L'histoire ne dit pas encore combien de temps la panique a duré. Et même si les passagers du train Paris-Marseille étaient conscients de voyager avec un boa au dessus de leurs têtes. Samedi soir, vers 19 h, les marins pompiers ont dû intervenir dans l'une des rames du train, arrivé en gare Saint-Charles, afin de se saisir de l'animal, qui avait échappé à la vigilance de son maître lors du trajet. Après avoir alerté le contrôleur, expliqué comment le reptile s'était enfui et une fois que les autres voyageurs ont quitté le train, le propriétaire a pu détailler aux secours comment le boa, un serpent de près de deux mètres avait quitté le sac dans lequel il le transportait. Une équipe spécialisée du bataillon des marins pompiers et formée à ce type d'intervention est donc partie à la recherche du reptile, qui s'était réfugié dans une gaine d'aération. Après avoir démonté une partie des cloisons du wagon, les pompier ont trouvé le boa. Il a enfin pu rejoindre l'autre spécimen que l'homme transportait également et qui était resté sagement dans le sac. Entendu quelques minutes par la police, le voyageur imprudent a été laissé libre. R.L. laprovence.
  2. Le réchauffement climatique rendrait les lézards plus malins Une température d’incubation plus élevée que la normale favorise la naissance de lézards de grandes tailles. Mais qu’en est-il de leur intelligence ? Elle s'améliore aussi, affirme une étude australienne. Pour une fois, le réchauffement climatique pourrait avantager une espèce. La température d’incubation est un facteur déterminant pour le développement de nombreux organismes. Chez les reptiles, elle influence le sexe, la taille et la forme des individus. Par exemple, une température élevée favorise le développement de lézards de grandes tailles. Le sex-ratio peut également être affecté. Les œufs incubés à de basses températures donnent majoritairement naissance à des mâles. Par conséquent, le réchauffement climatique pourrait avoir des conséquences sur des populations de reptiles. En Australie, la température moyenne des nids de lézards rayés Bassiana duperreyi a augmenté de 1,5 °C entre 1997 et 2006. Les femelles ont essayé de s’adapter en creusant des abris plus profonds et en anticipant la période de ponte. Mais ont-elles raison d’agir de la sorte ? Rick Shine et Joshua Amiel, de l’université de Sydney, ont décidé de répondre à cette question en analysant l’influence de la température d’incubation sur l’intelligence de ces lézards. Leurs résultats sont publiés dans Biology letters. Durant les expériences, 23 spécimens femelles ont été capturés dans le milieu naturel. Leurs œufs, produits en laboratoire, ont été séparés en deux lots incubés à des températures moyennes différentes : 16 °C et 22 °C. Un mois après leur éclosion, les jeunes lézards ont subi plusieurs tests d’évasion. Lors de l'incubation, tous les œufs de lézards rayés Bassiana duperreyi ont été séparés les uns des autres afin de diminuer d'éventuels biais. © Joshua Amiel, University of Sidney Le réchauffement, positif pour l’apprentissage des lézards ? Des individus des deux lots ont été placés individuellement dans une arène (à 24 °C) abritant deux abris parfaitement identiques en apparence. Mais l’entrée de l’un d’eux est obstruée par une plaque de plexiglas transparente. Les lézards ont été stimulés à l’aide d’un pinceau et leurs réactions de fuite ont été enregistrées. Les tests étaient positifs lorsque les reptiles parvenaient à se réfugier dans l’abri accessible. Cette expérience a été reproduite 16 fois en 4 jours pour chaque spécimen. Le premier jour, les deux groupes ont commis le même nombre d’erreurs. Mais ensuite les reptiles s’étant développés à la plus haute température se sont de moins en moins trompés. À la fin du seizième essai, seul 1 lézard incubé à 22 °C sur 12 a choisi le mauvais abri, contre 4 sur 9 pour les individus du second lot. Ces observations ont été confirmées par les résultats du calcul du « taux d’apprentissage ». Le nombre de fuites réussies durant les 8 premiers essais a été soustrait au score obtenu lors des 8 tests suivants. Un résultat positif caractérise un lézard ayant tiré des conclusions de ses erreurs. Les reptiles élevés à 22 °C ont obtenu un score de 1,58 contre -1,11 pour les autres. Dans un contexte moins expérimental, le réchauffement climatique pourrait donc provoquer une augmentation des capacités d’apprentissage des lézards et donc accroître leurs chances de survie face à des prédateurs. Ces reptiles devraient donc devenir plus intelligents... Certains scientifiques précisent néanmoins que chaque espèce a une température optimale d’incubation au-delà de laquelle des dégâts physiologiques pourraient survenir. Les effets du réchauffement climatique ne seraient bénéfiques que temporairement et à une échelle locale. Source : futura-sciences
  3. Ah oui ça doit être ça, Alexis.......
  4. Je l'ignorais également, c'est surprenant ! Ca me fait penser à quelque chose, quand pratique la chasse sous-marine (mon autre passion) j'entends ce genre de bruits sous l'eau, comme de petites cliquetis, serai-ce les poissons qui communiquent ?
  5. Filoue11

    Les andouillettes de la 8

    t'façons tu fais tout comme moi .....tout le monde le sait ....... Quel manque d'originalité !
  6. Soigner par des charmeurs de serpents Combien de vies seraient sauvées si ceux qui ont été mordus par un serpent allaient se faire soigner... ailleurs que chez le charmeur de serpents? Une étude menée au Bangladesh a révélé que seulement 3% des gens mordus vont directement chez le médecin. Le premier choix était plutôt le charmeur, dont la méthode de guérison consiste à réciter des mantras. Bien que toutes les morsures ne soient pas mortelles, il en résulterait tout de même 46,000 décès par an en Inde, selon David Warrell, de l’Université Oxford —un chiffre qu’il a obtenu par des entrevues village par village, plutôt qu’en se fiant aux rapports d’hôpitaux, lesquels sous-estiment inévitablement le phénomène. Source : Agence Science-Presse, le 12 janvier 2012
  7. Filoue11

    Paedophryne amauensis

    Et bien, elle est vraiment minuscule celle-là fallait la trouver.
  8. Filoue11

    Est pris.....

    Qui croyait prendre. http://www.wat.tv/video/chat-lezard-4rypl_2ey61_.html
  9. Hello restingue Désolé, je n'avais pas vu ton message. Je ne pense pas que tes geckos mangerons à s'en rendre malade, ils mangerons jusqu'à plus faim, LOL ! D'autant plus que pour de juvéniles, tu peux leur en donner à volonté. Pour tes grillons, pense à leurs donner de temps en temps du calcium et des vitamines, plutôt que de les saupoudrer avant de les donner à tes geckos, tu leurs donneras comme ça la quantité idéal, ils seront bien mieux assimilés. Tu es impressionné pas les blattes ?! LOL, tu t'y habitueras bien vite, ne t’inquiète pas. ;D C'est normal que tu ne les vois pas manger, elles aiment être dans le noir pour ça, tu verras les réserves diminuer.
  10. Filoue11

    Les andouillettes de la 8

    Bon mise à part, le mélange des espèces dans un même terra et le croco que je trouve un peu à l'étroit, il a de belles bêtes qui semblent en bonne santé.
  11. Excellent, je ne l'avais pas vu tout de suite, LOL !
  12. La queue du lézard sauteur, un balancier hérité des dinosaures ? Certains lézards modernes utilisent leur queue comme le balancier d'un funambule pour se stabiliser dans les airs lorsqu'ils sautent et des petits dinosaures carnivores avaient probablement recours à la même technique pour sauter sur leurs proies, selon une étude publiée mercredi. Mieux encore, des robots peuvent être équipés d'une queue similaire à celle de ces lézards pour leur permettre d'atterrir correctement sans s'écraser ou se retourner, ont démontré des experts en biologie et mécanique de l'Université de Californie à Berkeley (USA). Pour les besoins de leur étude, ces scientifiques ont tout d'abord filmé des margouillats (Agama agama), d'agiles lézards répandus dans toute l'Afrique sub-saharienne et réputés pour leur agilité, en train de sauter d'une plateforme horizontale sur une paroi verticale. Ces observations montraient clairement que les reptiles se stabilisaient durant leur saut avec leur queue. Pour atterrir en douceur sur la paroi verticale, les margouillats devaient en effet relever l'avant de leur corps vers le haut et compensaient ce mouvement dans les airs en orientant leur queue également vers le haut. Cela revient au mouvement du balancier du funambule, qui annule le déséquilibre de son corps par rapport à la corde avec un mouvement équivalent de sa perche dans le sens opposé, de façon à maintenir la position de son centre de gravité. Autrement dit, un mouvement du corps dans le sens des aiguilles d'une montre sera compensé par un mouvement de même ampleur dans le sens inverse, par la queue du lézard ou le balancier de l'acrobate. Queue robotique Même les margouillats qui s'élançaient depuis une surface rendue glissante parvenaient à corriger l'angle de leur corps une fois dans les airs en orientant leur queue de façon appropriée, souligne, vidéo à l'appui, l'étude publiée dans la revue britannique Nature. Après avoir confirmé leurs observations via une modélisation mathématique, l'équipe dirigée par le biologiste Robert Full a dans un second temps réalisé un petit robot pour voir si la technique du margouillat s'appliquait également à lui. Ce robot, voiture radio-commandée sommaire flanquée d'une queue contrôlée par un gyroscope, s'élançait dans le vide depuis une rampe semblable au tremplin utilisé dans le saut à ski. A chaque saut, les roues avant commençaient à chuter alors que les roues arrière étaient encore en contact avec la rampe, ce qui faisait piquer du nez le robot. Mais la queue robotique a systématiquement réussi à compenser cette mauvaise posture, réalisant des performances encore meilleures que celle du margouillat en lui permettant d'atterrir en douceur plutôt que de s'écraser la tête la première. Pour finir, forts de leurs expériences et de la modélisation mathématique en découlant, les chercheurs ont tenté de voir si les théropodes, des dinosaures bipèdes considérés comme de redoutables prédateurs, avaient pu à leur lointaine époque eux aussi utiliser leur queue comme un balancier. Si les plus gros d'entre eux, comme les fameux tyrannosaures, étaient bien trop lourds pour sauter comme un margouillat, les plus petits, eux, auraient bien pu réaliser des exploits acrobatiques, conclut l'étude. Avec seulement 20 kg pour 1,5 mètre de haut, le Velociraptor mongoliensis - rendu célèbre par le film Jurassic Park - "pourrait avoir battu les records du plus agile des margouillats". "Les petits théropodes dotés de queues +actives+, comme le Velociraptor, auraient pu réaliser des acrobaties aériennes bien supérieures à celles des lézards arboricoles actuels", estime l'étude. Source: http://www.sciencesetavenir.fr
  13. Et bien en voilà de bonnes idées, dommage qu'on ne me les ai pas donné à l'époque de mon élevage, LOL ! Avec ça, tu as de quoi faire un très bon élevage, restingue. ;D
  14. Filoue11

    La Serre Amazonienne de Montpellier

    Voila chef! Ah, merci ! C'est toi le chef, comme ça on fait une vraie visite virtuelle de la serre.
  15. Filoue11

    La Serre Amazonienne de Montpellier

    Très belle visite ! Tu ne connais pas les noms des espèces à tout hasard ?
  16. Laisse, Rudy ça ne me dérange pas et puis comme ça toutes les infos sur l’élevage de Blaptica dubia seront concentré ici, ce n'est pas plus mal. Ça ne ma pas l'aire mal, Restingue, mais pourquoi as-tu mis un abreuvoir à oiseau ?
  17. Oui, tu peux mettre des feuilles, mais le sopalin est plus pratique et plus hygiénique, le sable je n'aime pas trop personnellement.
  18. Ils ont vraiment une bonne tête, félicitation !
  19. Filoue11

    Frequence de Mue

    Bonsoir seb Comme pour toutes les espéces, la frequance des mues est trés variable selon l'âge de la bête, plus elle est jeune plus les mues sont rapprochées. On passe de plusieurs mues par mois pour un juv à une ou deux par an à l'age adulte.
  20. Filoue11

    Varanus acanthurus

    J'adore la premiére !
  21. Oui, ça va aller, tu veras c'est trés simple ! ;D
  22. Une nouvelle espèce de vipère à cornes découverte en Tanzanie Un spécimen de vipère à cornes Matilda auprès d'une rivière en Tanzanie (Crédits : Michele Menegon, Science Museum of Trento/WCS) Une espèce de vipère à cornes d'une couleur unique a été découverte en Tanzanie par une équipe de scientifiques. Hélas, cette nouvelle espèce baptisée Matilda (Atheris matildae), vit dans un petit habitat dégradé et pourrait être en danger critique d'extinction. Dans un lieu gardé secret de Tanzanie, des scientifiques ont découvert une espèce de vipère à cornes d'une couleur unique longue d'une soixantaine de centimètres. Mais cette nouvelle espèce venimeuse comme ses congénères et baptisée Matilda, vit dans un habitat très restreint qui ne dépasserait pas 100 kilomètres carrés, et qui serait sérieusement dégradé, rapporte The Citizen. Inquiets pour ce serpent qui pourrait être classé en danger critique d'extinction sur la liste rouge de l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), les chercheurs refusent pour le moment de révéler l'endroit exact où les spécimens ont été découverts, afin d'éviter de les soumettre à une nouvelle menace, celle du braconnage. Nombre d'espèces de reptiles et d'amphibiens ont été décimées après l'annonce de leur découverte. "Le commerce mondial des espèces sauvages est très important, et est en grande partie alimenté par la vente illégale d'amphibiens et de reptiles. Les serpents sont particulièrement populaires, et la découverte d'une nouvelle serpent suscite un intérêt considérable" explique Tim Davenport, de la Wildlife Conservation Society (WCS). Le nom donné au serpent est celui de sa fille, qui fut fascinée par le premier spécimen de la nouvelle espèce rapporté par son père. Les chercheurs ont en outre d'ores et déjà mis en place un plan d'urgence de conservation de la vipère à cornes Matilda remarquable par ses rayures en zigzag jaune et noire et ses yeux olives. Onze serpents, quatre mâles, cinq femelles, et deux jeunes serpents, font ainsi partie d'un programme de reproduction en captivité. Leur progéniture devrait sauver l'espèce de l'extinction. Voir les photos : Matilda, la nouvelle espèce de vipères à cornes Source : maxisciences
  23. Tu les laisses glisser d'une boite à l'autre en les poussant un peu, lol !
  24. Oui, il faut enlever toutes les blattes, en faisant attention de ne pas perdre les plus petites qui se glissent entre les feuilles du sopalin, c'est ce qui est le plus contraignant.
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