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Terence11

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Tout ce qui a été posté par Terence11

  1. 7 Metres...ça en fais des sacs à main mais c'est quois aussi l'histoire avec cousteau qui aurais chopé un snake de plusieurs dizaine de metre ou j'sais plus quois.....???
  2. salut la compagnie, ça viens de tomber : Theraphosa sp " Burgundy" a été décrite et se nomme désormais : Theraphosa stirmi, Rudloff & Vienmann, 2010
  3. Terence11

    Place aux tisseuses

    lividum qui apparament ne vas pas tarder a mué je pense...photos a venir et sarthe belgique, t'en a bien pour une bonne journée ^^
  4. Terence11

    Place aux tisseuses

    merci, oui les mygales expulse generalement les dechets plus loin que leur espace de vie, souvent dans un coin du bac, dans l'abreuvoir.... bon allez encore un peu d'albopilosum, cette fois sans flash ce qui permet d'apprecier les reflet doré sur le cephalothorax :
  5. jolis scorpions, et belle grammostola, le tout en santé a ce que je vois
  6. tres jolie, a mon sens aucune faute de gout, bravo
  7. Terence11

    Place aux tisseuses

    bon, alors en revoilà une petite de la lividum pres de son terrier ^^ encore un peu de P. cambridgei, une autre femelle plus jeune Mygalon de Psalmopoeus irminia :
  8. Crocota a une aire de répartition plus répandu de toute manière.
  9. Terence11

    Place aux tisseuses

    Le male est adulte, donc on va dire que la croissance d'un mâle est d'environ 4 ans pour cette espece... concernant schioedtei oui c'est magnifique (Comme toute les especes du genre d'ailleurs) et ça pousse assez vite (ça prend surtout beaucoup entre chaque mue !)
  10. Terence11

    Place aux tisseuses

    Le mâle albopilosum avec lequel sera accouplée la femelle : je met maintenant une photo d'un de mes mygalons Cyriopagopus schioedtei une grande espece de malaisie, arboricole, les mygalons sont d'ailleur deja tres grand une fois independants Désolé pour la qualité de la photo
  11. salut ! En Egypte, a mon avis pas mal de Buthidae, en Thailande, de grands scorpions du genre Hétérometrus sont présent
  12. Terence11

    Place aux tisseuses

    j'en prendrais, j'ai deja accouplé cette espece plusieurs fois par le passé, c'est assez simple et cela se passe bien en général
  13. Terence11

    Place aux tisseuses

    elle est, si tout vas bien, accouplée au printemps
  14. Terence11

    Place aux tisseuses

    voila donc d'autre photos la femelle B. albopilosum qui est depuis devenue une belle femelle adulte qui sera normalement accouple au printemps ensuite, voici l'une de mes Psalmopoeus cambridgei, ici une femelle sub adulte. une espece que bon nombre d'entre vous doivent connaitre tant l'espece est repandu, elle est arboricole, assez agressive parfois et tres rapide. Originaire de Trinidad
  15. salut il s'agit bien de D. crocota, une araignée par endroit assez commune et qui n'hesite pas a faire face si besoin avec ces impressionnant crochets
  16. salut, c'est vraiment de la grosse Nephile, mais comme le souligne crowley, les Sparassidae, nottamment Hétéropoda maxima, sont plus grande, avec une trentaine de cm d'envergure....chez les mygales, medaille d'or de la grosse bebete avec le genre Théraphosa, il semblerais d'ailleur que certais speciment de T. sp. burgundy, une espece recente soit plus gros et grand que T blondi...
  17. Terence11

    Place aux tisseuses

    evidemment, la coloration l'emporte, mais en matiere d'observation, vive les Americaine ^^
  18. Brachypelma vagans (Ausserer, 1875) Sous Famille : Théraphosinae, dont font également partis certains genres bien connus comme Acanthoscurria, Aphonopelma, Grammostola, Lasiodora, Pamphobeteus, Théraphosa, Xenesthis… Origine : Mexique Taille : 6 à 7 cm de corps pour les femelles pour 15 a 16 cm d’envergure, Les mâles ont un corps plus petit, environ 5 cm. .Description : Mâles : Aspect identique a la femelle chez les sujets immatures, les couleurs reste les même une fois adulte mais plus éclatante. Ils sont cependant plus frêles et sont nettement moins massifs que les femelles. Femelles : Mygales sombre avec les céphalothorax foncé. Abdomen noir avec de longs poils orange vif. Pattes noires avec des poils clairs .Juvéniles : Grisâtre et semblable à tout autres mygalons du genre, ils prennent leur coloration au fil des mues pour finir après quelques mois, par ressembler à l’adulte en miniature. Comportement : Comme toutes les Brachypelma, B. vagans se montre beaucoup en terrarium, ce qui permet de l’observé à loisir. Elle tisse peu, si ce n’est que pour préparé une mue ou faire un cocon, et se contentera généralement de se faire une petite cuvette sous l’abri proposé. Réputé pour être une mygale calme, conseillé aux débutants, il convient cependant de se méfié de cette espèce plutôt imprévisible, pouvant être agressive si besoin est, des cas de morsures ont même été répertorié. Elle est également susceptible d’utilisée ces soies urticantes, mais n’en abuse pas autant que d’autres espèces du genre (Brachypelma boehmei !) Maintenance : Terrarium : 25X25X25 cm suffit pour une femelle adulte. Substrat : Environ 10 cm de tourbe blonde légèrement humide à sèche. Agencements du terrarium : On placera un abri à terre pour que l’animal puisse y faire son nid en dessous, type écorce ou demi pot en terre cuite. Un abreuvoir remplis d’eau en permanence sera présent. Température : 24 à 25°C le jour, 20 à 22°C la nuit suffisent, bien qu’elle puisse être maintenue à des valeurs plus haute, notamment pour la reproduction, mais ce n’est à mon avis pas indispensable. Hygrométrie : 70 % environ. Ce taux sera maintenu avec une zone plus humide, autour de l’abreuvoir, ainsi qu’une légère pulvérisation par semaine. C’est une mygale très tolérante et résistante sur ce point. Eclairage : Le cycle jour/nuit local convient parfaitement. Nourriture : Grillons, blattes, criquets, vers de farine, lombrics, occasionnellement souriceaux. Micro grillons, drosophiles aptère, fifises pour les mygalons. Reproduction : Cette espèce est très fréquemment reproduite en terrarium. Parade et accouplement : La rencontre se passe généralement bien, mais les femelles parfois peu disposée à s’accouplée, n’hésite pas a attaquée les mâles. Ces derniers sont par ailleurs assez craintifs. La parade est faite de « tambourinement de la part du mâle, ceux a quoi la femelle répond favorablement si elle fais de même. L’accouplement en lui-même est souvent rapide. Après, le mâle fuis rapidement. Gestation et ponte : La femelle confectionne son cocon environ 4 mois, voir d’avantage après l’accouplement. Il est conseillé de lui retiré après 1 mois et demi environ, et de placé les larves en incubateur. Ils sont très nombreux (aux alentours de 500 parfois bien plus et à ce stade ils ne se nourrissent pas et on devra attendre la prochaine mue pour qu’ils deviennent des petites mygales indépendante. C’est à ce moment qu’il faudra commencer à les séparé, puisqu’ils commenceront a s’entre dévoré. Ils sont très petits et creuse des terriers une fois individualisés. Il est préférable de les maintenir un peu plus humide que les adultes. Croissance : Assez longue comme bon nombre de terrestres Américaines, puisqu’il faut compter environ 5 années pour obtenir une femelle adulte a partir du stade 1, un peu moins pour obtenir un mâle adulte. Longévité : Dans de bonnes conditions, ont peu espéré maintenir une femelle 15 à 20 ans. Les mâles quand à eux, vieillissent très rapidement une fois adulte, et n’ont que peut de temps pour se reproduire. En effet, il est assez rare de voir un mâle vivre plus d’un an après son dernier stade. Observation : Une espèce commune élevée depuis plusieurs décennies en terrarium. Ce peut être un bon choix pour commencer mais d’autre Brachypelma peuvent tout de même être un meilleur choix, comme Brachypelma emilia ou albopilosum, à mon avis moins sujette a être agressive. Les Brachypelma spp bénéficient d’une protection en annexe II de la convention de Washington, et leur détention est réglementée. Térence Bresson 2010
  19. Psalmopoeus cambridgei (Pocock, 1895) Nom Vernaculaire : Les Anglophones l’appellent « Trinidad Chevron Tarantula », Littéralement donc « Mygale à Chevrons de Trinidad ». Sous Famille : Aviculariinae. Sous famille dont font également partis les genres Avicularia, Ephebopus, Iridopelma, Pachystopelma et Tapinauchenius Origine : Trinidad et Tobago. Taille : L’une des plus grandes espèces de Psalmopoeus en captivité, avec, pour les femelles, environ 7 cm de corps pour 16 cm d’envergure voire d’avantage. Les mâles sont de taille variable, tantôt très grand par leur envergure parfois impressionnante, tantôt bien plus petit que les femelles, mais le corps mesure généralement 4 à 5 cm. Description : Mâles : Immature, ils sont identiques aux femelles, et change radicalement d’aspect au stade adulte, où ils deviennent uniformément grisâtre, d’aspect très plumeux, et très frêle. A ce stade, la ligne et les chevrons sur l’abdomen sont bien moins visible voir inexistant. Femelles : L’aspect général est plumeux. Couleur de fond gris verdâtre, tirant légèrement sur l’orangé longtemps après une mue. Des taches orange en forme de virgule sont bien visibles sur les métatarses, ainsi que d’autres, au centre des tarses, de même couleur. On distingue nettement une ligne foncé traversant l’abdomen sur sa longueur, ainsi que des chevrons sur les flancs. Juvéniles : Semblable en tout point aux jeunes Psalmopoeus irminia, avec lesquelles il est impossible de les différencier à l’ œil nu. Le céphalothorax est orangé, l’abdomen est bleu très foncé avec 8 chevrons beige clair partant du milieu et terminant sur le haut des flancs en diagonales. Les pattes sont également bleu très foncé avec les métatarses clair. Ils perdront progressivement cette magnifique livrée au bout de quelques mois pour finir par ressembler aux adultes. Comportement : Une espèce agréable à observé, peu craintive et qui se montre à loisir. Elle tisse beaucoup et se tiens souvent aux abords de son nid, lorsqu’elle n’est pas en train d’arpenté son territoire, et ceux, de jour comme de nuit. Car (pour la petite anecdote) contrairement au genre Poecilotheria, auquel certains spécialistes apparentent étroitement les Psalmopoeus, ces dernières ne craignent pas la lumière. Méfiance toutefois car c’est une espèce agressive lorsqu’elle est dérangée, n’hésitant pas à faire face et a mordre si elle se sent acculée. Elle est de plus très rapide, notamment les stades intermédiaires, qui peuvent également effectués des bonds assez spectaculaires si besoin est. Attention donc lors des transferts de bacs par exemple. Maintenance : Terrarium : Assez haut pour satisfaire les mœurs arboricoles de l’espèce. Une femelle adulte peut être maintenue dans un terrarium de 25X25X40 cm. Evidemment, plus c’est haut et mieux c’est. Substrat : 5cm Tourbe blonde maintenue humide. Agencements du terrarium On veillera à placé une écorce (de chêne liège, c’est encore le mieux) verticalement, en diagonale au fond du terrarium pour que la mygale fasse son nid derrière celle-ci. Un abreuvoir sera également présent. La décoration type plante n’est pas indispensable, mais si vous y tenez, tablez sur de l’artificiel, une vrais plante aurais vite fais d’être étouffée par la toile de l’araignée. Température : Résistantes et tolérante, c’est une araignée qui s’épanouira convenablement à des valeurs moyenne de 24°C en journée et 20°C a 22°C la nuit, ont peu cependant l’exposé à une température légèrement supérieur, pour la reproduction par exemple, mais je ne considère pas cela indispensable. Hygrométrie : Aux alentours de 80 %. Ce taux sera maintenu par le substrat humide et une pulvérisation 2 fois par semaine environ. Si l’hygrométrie est trop basse, la mygale creuse pour rechercher l’humidité. Elle est également tolérante sur ce point. Eclairage : Le cycle jour/nuit local convient parfaitement. Nourriture : Grillons, blattes, criquets, vers de farine, souriceaux…pas du tout difficile et très vorace ! Reproduction : Relativement facile, c’est une espèce très fréquemment reproduite en captivité. Parade et accouplement : La rencontre des deux partenaires se passe généralement sans encombre, pour peu que la femelle soit bien nourris (mais pas gavé !). Le mâle est parfois craintif et s’approchera la plupart du temps très prudemment, d’abord avec des mouvements saccadé, prévenant la femelle de ses intention, puis« vibre » tout en tapotant avec ces pédipalpes, ceux à quoi la femelle répond en faisant de même si elle est disposée à s’accouplée. Ensuite, le mâle se met à effectué une parade typique du genre : il « secoue » sa deuxième paire de pattes, un peu à la manière d’un battement d’aile. L’accouplement à généralement lieu peu après. Ce dernier est assez rapide et il faut être près à intervenir car la réaction à venir de la femelle est plutôt imprévisible puisque soit elle laisse le mâle s’enfuir en restant sur place comme abasourdie, soit elle ne lui laisse aucun répits et le poursuit pour en faire son prochain repas…mais généralement, le mâle s’en sort bien et une réaction négative après l’accouplement de la part de la femelle arrive souvent lorsque celle-ci fût accouplé plusieurs fois de suite ou lorsqu’elle à faim (d’où l’importance de la nourrir convenablement au préalable). Gestation et ponte : Durant la gestation, la femelle redouble d’appétit (déjà impressionnant en temps normal !). Le cocon est fais environ 2 mois plus tard, parfois plus et on peut s’attendre a ce que la femelle le conçoive lorsqu’elle commence à s’enfermer, un peu comme si elle préparée une mue. Une fois le cocon près, la mère s’en occupe avec attention. Il peu arrivé qu’elle le dévore mais c’est chose rare. Les jeunes apparaissent à peu près 1 mois et demi après et ils sont déjà très voraces et résistants. Ils sont une centaine en moyenne, voire d’avantage. Etant une espèce itéropare, il est possible qu’un deuxième cocon, moins prolifique soit conçu quelques semaines après. Croissance : Rapide, on peut obtenir une femelle adulte en à peu près 2 ans, bien que ces dernières peuvent être reproductible avant d’avoir atteins leur taille adulte (sub). Les mâles sont mâture plus rapidement, vers 1 ans et demi environ. Longévité : Dans de bonne conditions, on peu espéré maintenir une femelle une dizaine d’années, voir d’avantage. Les mâles, une fois mature, ne vivent que quelques mois. Conclusion: Tres courante en élevage, c’est une espèce facile, pouvant être une bonne alternative à certaines espèces arboricole considérée comme « plus docile » mais également plus fragile comme les Avicularia. Les débutants peuvent à mon avis envisager sa maintenance, à condition de commencé avec des spécimens de taille intermédiaire, permettant, malgré leurs nervosité, de se familiarisé avec l’animal et s’habitué à son caractère qui pourrais les surprendre…en bref une mygale « indémodable », remarquable par son comportement des plus intéressant. Les espèces Psalmopoeus irminia et Psalmopoeus pulcher s’élève de la même manière. Térence Bresson 2010
  20. Salut a tous voici quelques araignées (Mygales) que je possede actuellement par avance, excusé la médiocrité des cliché mais je n'est pas mieu pour le moment. c'est partis, env'la deja deux Haplopelma lividum, Thaïlande, "agressive", en réalité très timide ne sortant que rarement de son terrier assez profond, et n'en sort que dans l'obscurité. Acculée, c'est une espece recalcitrante, mais pource faire il faut la cherchée. Venin apparement actif ici, mon unique specimen sexé femelle, d'environ trois cm de corps, elle n'arbore donc pas la couleur definitive mais on peut admiré la coloration bleu sur les pattes qui apparais, typique de l'espece. mygale commune en captivité. Brachypelma albopilosum, une mygale calme et paisible qui n'est plus a présentée. possede des poils urticant comme bon nombre de mygale americaine (Mexique et Guatemala pour celle ci) Comme toute les Brachypelma elle est en annexe 2 de la convention de Washington. ici ma femelle sub adulte (soit environ 5cm de corps peut etre un peu plus) elle ne devrais d'ailleur pas tarder à acceder a la maturité
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