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papouille11

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À propos de papouille11

  • Date de naissance 16/04/1962
  1. Ian Dunbar: Comment apprendre de vieux tours à un nouveau chien. Ne pas se fier au titre qui n'a rien à voir avec le sujet du livre. C'est une bible pour l'éducation des chiots...
  2. C'est exactement ce que je disais plus haut concernant ces éducateurs testotéronisés: un pb = chien dominant = solution par la force (physique bien sur ) Cartonner son chien c'est encourir à ce que le chien réponde à une agression par son mode de communication : la morsure. L'étape suivante est bien connue: mon chien est devenu fou, j'ai du le faire piquer. C'est consternant.....
  3. Voici un texte édifiant cernant la notion de dominance chez le chien et dont devraient s'inspirer nombres d'éducateurs canins: Caractériser un chien comme étant un dominant en tant que tel rend ce statut : 1- Définitif (ce serait alors une caractéristique même du chien : une sorte d'hérédité génétique qui fait du chien un " dominant " par nature…) 2- Systématique (le chien ne domine pas au sein d'une communauté donnée, il est Un dominant, et non Le dominant du groupe. Son statut n'est plus lié au groupe, et à sa situation, mais fait partie de lui, est indissociable de lui) Et c'est alors que nous mettons le doigt sur le véritable malentendu lié à cette idée du " dominant " : en effet, si l'adjectif s'attache à démontrer que de part ses qualités propres, physiques, mais également psychiques, l'animal ainsi qualifié est supérieur aux autres, la conversion de cet adjectif en nom revient à dire que ce chien le sera " naturellement ", " définitivement ", et " systématiquement ". Il n'y aura rien à faire contre cet état de fait si l'on se fie à cette définition. Or, même si cela se trouve être le cas au moment T, rien ne prouve qu'au moment T+1, à la suite d'un accident, de l'arrivée d'un animal qui se trouverait supérieur physiquement ou mentalement, ou même par suite de la vieillesse, le chien qualifié de " dominant " perde les qualités qui font de lui un " dominant " et par voie de conséquence, le statut de " dominant " au sein du groupe référencé. Et donc, si cette qualification est éphémère et peut évoluer dans le temps, est-il possible, et raisonnable d' affirmer que " la dominance " est une constante, et que le chien, quelle que soit la situation dans laquelle il est placé, sera, par essence, et donc se comportera en " dominant " ? Bien évidemment, non… Mais alors, d'où vient l'erreur ? Il faut bien comprendre que la " Dominance " est en réalité la résultante d'une interaction hiérarchique inhérente au groupe, quel que soit ce groupe : ainsi, le Leader, celui qui dirige le groupe de canidés, est le plus souvent et par erreur appelé le " dominant ". Mais cette définition du leader comme étant " le dominant " (ou par extension le " couple dominant " dans le cas d'une meute) est de fait erronée car la dominance n'est pas l'apanage du Leader, du chef de groupe. En effet, la dominance n'est pas une donnée fixe et immuable intrinsèque à un chien, mais s'inscrit dans une multitude d'interactions vécues au sein d'une entité regroupant plusieurs individus ; la dominance ne peut être vécue par un individu seul : elle sous-entend, pour s'exercer, la présence (impérative) d'un groupe et de ses interactions complexes, groupe au sein duquel et grâce auquel elle trouvera sa raison d'être : on domine quelqu'un ou quelque chose, on ne peut dominer " tout court " et " tout seul "… on ne peut dominer un vide social ! Ainsi, l'individu A pourra dominer l'individu B, et être lui-même dominé par l'individu C, qui de fait alors dominera lui aussi B. Dans ce groupe de trois, nous avons deux " dominants ", et deux " dominés ". Mais alors, dans ce groupe, me direz-vous, C est " le dominant " et son caractère ou ses aptitudes font de lui " un dominant "… et c'est là que se situe l'erreur, dans cette interprétation trop rapide de chaque membre du groupe. Pour la comprendre, poursuivons la construction de ce groupe dans le temps… On imagine l'arrivée d'un quatrième larron, appelé Z : celui-ci peut se définir, après une période d'adaptation et d'interactions, comme dominant C, ou au contraire comme étant dominé par lui. Dans le premier cas, il dominera tout le groupe à son tour, et pour une durée qui sera déterminée par les événements à venir, dans le deuxième, il lui faudra ensuite définir s'il domine A et B, ou s'il domine seulement B … Au sein de ce groupe, il pourra donc à la fois être dominant et dominé, ou simplement dominant, ou encore uniquement dominé. On se rend ici compte que la dominance est bien une notion changeante, évolutive, et qu'il n'existe pas d'individu que l'on pourrait qualifier de " dominant universel " : la vie, les situations, peuvent à tout moment mettre le dominant de l'instant dans une situation ou il sera dominé par un ou plusieurs autres individus. Le concept de Leadership Une autre erreur commune est de penser qu'un chien dominant sera un chien difficile, agressif, supportant mal ses congénères, en particulier du même sexe, à la gueule desquels il sautera à la première occasion afin de les " soumettre ", voir même d'éliminer des concurrents potentiels purement et simplement. Soyons clairs : cette description s'applique idéalement à un chien mal socialisé, mal éduqué, ou mis dans une situation " fermée ", c'est-à-dire dans un lieu clos en présence d'une situation qui ne lui offre aucune autre alternative que l'autodéfense. Ainsi qualifions nous nos erreurs passées ou présente afin de nous rassurer : ce n'est pas notre faute si ce " dominant " a mordu ! C'est " la faute à la dominance "… Mais les chiens d'aujourd'hui, achetés trop petits, à des éleveurs peu sérieux dans leur travail, vivant dans un milieu, avec des règles, qui leur sont étrangers, et mal gérés par des propriétaires anthropomorphiques ou indifférents, n'ont rien à voir avec un Leader de groupe : ce sont tout au plus des délinquants, plus ou moins jeunes, et plus ou moins asociaux, à recadrer d'urgence, ou encore des animaux déboussolés, sans repères, et qui répondent au stress comme ils le peuvent… Observez le comportement de l'individu Alpha d'une meute de loup : tolérant avec les petits, cohérent dans ses réactions, il n'arrive qu'exceptionnellement au stade d'infliger une " morsure ", qui ne s'applique qu'aux situations ou il n'y a plus d'autres solutions, et qui de toutes façons sera toujours contrôlée, adaptée à la situation et à sa gravité. Le leader est l'individu le plus qualifié pour faire survivre un groupe : pas nécessairement le plus fort physiquement, mais le plus adapté, le plus équilibré, le plus à l'aise dans son milieu et dans ses poils, expérimenté et réfléchis. Pas un guerrier incontrôlable, qui lui sera éjecté du groupe ou mourra sous les crocs des autres espèces sur lesquels il se sera inconsidérément jeté ou aura jeté son groupe par manque de maturité. On est bien loin de l'image d'Épinal du " Dominant " guerrier et irritable qui écrase son groupe pour mieux se propulser et se maintenir à la première place… Alors ? Alors puisque le dominant Universel que vous étiez persuadé de posséder n'existe pas, je vous invite à vous poser ces quelques questions : - Est-il correctement socialisé ? - Ai-je suivis des cours d'éducation ? - A-t'il eu l'occasion d'apprendre les codes sociaux propres à son espèce ? - A-t'il eu l'occasion de rencontrer de nombreuses autres espèces ? - Vit-il dans un cocon bien protégé de tout ? - Quelle est son histoire ? Vous découvrirez bien vite que celui que vous preniez pour un leader, un " Dominant ", a en réalité bien besoin de votre aide, pour devenir, enfin, un chien équilibré et bien dans ses poils… et qui sait, peut être, un jour, un véritable Leader… pour un temps. L.Piloz Copyright by AFICS - Association Francophone pour l'Intégration du Chien dans la Société Tous Droits Reservés.
  4. Ton chien ne peut pas être dominant seul, c'est un non sens complet... La dominance est mise à toute les sauces par de pseudo éducateurs qui trouvent par là un moyen bien facile d'expliquer les problèmes. Et naturellement après cette superbe théorie vient la suite: il faut être ferme ! Si il mange quand et où il veut, pourquoi ne pas le faire manger à une heure et un endroit fixe ?? Il faut que toute la famille adopte avec lui la même attitude, il faut être constant et patient. Ne pas répondre à ses sollcitations de caresses ou de jeux mais les débuter et les faire cesser sur ton iniative. Pour le rappel, il faut reprendre depuis le début dans un endroit sans sollicitations extérieures et lui donner une super récompense quand il revient. Petit à petit augmenter la difficulté. (le sujet a déjà été évoqué) Le retour vers le maître doit être à chaque fois source de satisfaction.
  5. Collier étrangleur à pics???? pourquoi pas une barbelé autour du cou?
  6. Essaie avec la même personne mais en lui faisant porter des habits de couleurs claires. Appel du chien ou lancer de petits morceaux de viandes puis la même personne avec une partie de son habillement sombre, récompense... et ainsi de suite. Celà peut néanmoins prendre du temps. Ne jamais forcer la chienne. Ne pas la tenir en laisse.
  7. Papouille a 9 ans mais quand elle boit, on la suit toujours à la trace....
  8. Le fait de la rassurer ne fait que la conforter dans sa peur. Trouve un "complice" habillé en sombre qui lui distribuera de petits morceaux de friandises très appétents. Il faut qu'elle associe cette situation à quelque chose d'hyper positif.
  9. La vengeance n'est pas un sentiment canin. Cette chienne est perturbée et anxieuse.
  10. papouille11

    Son SURNOM

    Eh bien Pour Papouille........ c'est Poupouille
  11. Le tout est de se documenter par des ouvrages sérieux et de faire ensuite le tri de ce que l'on trouve sur internet (le pire comme le meilleur...) Et plus généralement la question à se poser est: Quelles sont les relations que je souhaite avoir avec mon animal? - Je souhaite obtenir son obéissance par la contrainte. - Je souhaite obtenir son obéissance par la coopération. ...En sachant évidemment que le chien considère comme leader hiérarchique celui à qui il offre sa soumission et comme rival celui qui le contraint à la soumission...
  12. [quote="PILOUKIKI"]je pense que si on le prend sur le fait, tout comme pour le pipi, on peut le réprimander en disant un NON ferme et en le secouant au cou comme le fait sa mère lorsqu'il était chiot /quote] Jamais une chienne équilibrée ne secoue ses chiots par la peau du cou , c'est un signe de mise à mort chez les canidés. De plus dans le cas présent, il s'agit de manifestations d'angoisse en l'absence des maîtres.
  13. il faut de la perceverance, et puis le reprimander Oui il faut de la persévérance mais il ne faut certainement pas le réprimander. A moins que ton objectif soit d'avoir un chien malheureux et complètement déboussolé. Les punitions (qu'ils ne comprendra pas d'ailleurs) n'auront pour effet que d'augmenter son stress et multiplier les destructions. Ton chien ne détruit pas par vengeance, la vengeance n'existe pas chez lui. Il détruit simplement pour essayer d'évacuer son mal être. L'apprentissage au détachament fait partie de l'éducation du chien et son apprentissage a déjà était évoqué sur ce forum.
  14. Les conseils ont été donnés par Djina dans son message. Je rajouterais qu'il ne faut pas hésiter à en faire "des tonnes" dans la félicitation et à ne pas oublier la récompense. Il ne faut pas bruler les étapes, ton chien n'est peut être tout simplement pas encore prêt à être totalement propre. Par contre ce qui est sur c'est qu'il ne fait pas pipi pour t'embêter...
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