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Admin-eleveurcanin

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Tout ce qui a été posté par Admin-eleveurcanin

  1. Que faire en cas de brûlures ? Si vous voyez votre chat traverser la cuisine comme une flèche après un gros miaulement, c'est qu'il s'est peut-être brûlé sur les plaques électriques. Rincez immédiatement la brûlure à l’eau fraîche, puis désinfecterz à la bétadine avant d'appliquer un corps gras type vaseline. Mieux vaut prévenir que guérir ! Surveillez votre chat dans la cuisine, en particulier près des plaques de cuisson. Soignez vigilante aussi avec les bougies.
  2. Que faire en cas de morsures ? Désinfectez les blessures superficielles avec de la bétadine. En cas de plaies profondes, protégez-les par un pansement serré... et prenez le chemin de votre vétérinaire. Mieux vaut prévenir que guérir ! Bien socialiser votre chien reste la meilleure des préventions.
  3. Que faire en cas de piqûres d’insectes, de tiques ? Il faut immédiatement enlever le dard et désinfecter à la bétadine. Pour une tique, retirez-la en la dévissant, à la main ou grâce à un crochet spécial, elle se décrochera facilement. Mieux vaut prévenir que guérir ! Protégez votre animal contre les tiques (attention à la piroplasmose) et les moustiques, surtout dans le Sud (Leishmaniose) avec des produits spéciaux.
  4. Que faire en cas d’ingestion d’os, de cailloux, de médicaments... ? Si votre animal a avalé des médicaments dangereux, il faut le faire vomir en urgence, par votre vétérinaire si possible. Pour des cailloux ou des os, si votre chien ne crache pas de sang, il suffit de bien surveiller les selles pour s’assurer de l’évacuation du corps étranger. Mieux vaut prévenir que guérir ! Ne laissez jamais un chien jouer avec des cailloux. Ne donnez jamais d’os aux animaux. Tous les objets dangereux susceptibles d’être ingérés doivent être rangés.
  5. Urgences : les bons gestes à connaître Votre chien vient de se faire bousculer par une voiture ou piquer par une guêpe ? Votre chat s’est brûlé sur la plaque électrique ? Pas de panique, découvrez et retenez bien les conseils des Dr vétérinaires Agnès C. et Isabelle L., anciennes chargés de consultation au service des urgences de l’Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort. [b]Que faire en cas d’accident de la voie publique ? Les accidents les plus fréquents sont les chocs avec des voitures, les défenestrations (surtout avec les chats en ville), les pièges à collet et les pattes coincées dans un escalator. Les blessures peuvent aller de la simple entorse jusqu’à l’hémorragie interne. Malheureusement, les plus graves ne sont pas forcément les plus visibles. Alors une fois l’urgence gérée, appelez rapidement votre vétérinaire pour voir, ensemble, si une consultation en urgence est nécessaire. Lors d’un choc, évitez au maximum de manipuler ou de déplacer votre animal. Portez-le en le mettant sur un drap qui fera office de civière. En cas de saignement, il est important de désinfecter (avec de la bétadine, par exemple) et, si ce n’est pas douloureux pour votre animal, d’appuyer sur la plaie afin d’arrêter le saignement. Sachez par ailleurs qu’en cas de fracture, il faut attendre quelques heures, voire quelques jours, avant toute intervention. Cela permet à l’animal de récupérer de son état de choc et de stabiliser ses fonctions vitales. [/b]
  6. Un gardien exemplaire Arrivé en France dans les années 80, le charplanina était autrefois un chien de berger. Il est aujourd’hui reconverti en chien de garde. Protecteur contre les prédateurs Ses origines ne sont pas nettement connues. Comme beaucoup de grands chiens, il descend sans doute du dogue du Tibet, adopté par les Mongols qui l’emmenèrent dans leurs conquêtes vers l’Ouest. Après de multiples croisements, il se fixa en particulier dans la montagne de Sharplanina. Il est d’ailleurs officiellement reconnu sous le nom de « chien de berger yougoslave de Sharplanina ». Là les bergers sélectionnèrent sévèrement leurs chiens pour qu’ils défendent leurs troupeaux de bovins contre les loups. De nos jours, ils s’illustrent encore par leur courage contre les bêtes sauvages qui peuplent cette région.C’est de là qu’en 1976, un éleveur français ramena quelques spécimens. Depuis, les naissances augmentent petit à petit. Une silhouette qui en impose Ses beaux yeux mélancoliques ne doivent pas faire oublier ses puissantes mâchoires, sa force et sa robustesse. C’est un grand chien (65 cm au garrot et 35 à 45 kg pour le mâle), solidement planté sur de solides pattes. Sa fourrure est doublée d’un sous-poil particulièrement fourni en hiver. Ses poils sont courts sur la tête, les oreilles et l’avant des membres, mais longs (10 à 12 centimètres) sur le reste du corps et la queue. Quelle que soit sa teinte, elle s’éclaircit toujours vers la partie inférieure du corps et devient crème en bas des pattes et sur la queue. Il a besoin d’une éducation ferme Son caractère est typiquement celui du chien de berger. Très fidèle et peu habitué à vivre seul, il ne s’épanouit qu’en compagnie de ses maîtres. Il se montre doux et tendre, tant que rien ne menace son territoire ou ceux qui sont sous sa protection. Sinon…gare ! Son courage et son dévouement forcent l’admiration mais ce n’est pas vraiment « une bonne pâte ». Son instinct le porte à respecter encore les règles de la meute. Son maître doit donc jouer le rôle du chef de meute... Pour lui, il s’agit en fait de se montrer cohérent, et assez ferme pour mériterl’affection de sonchien. Le club déconseille formellement d’entraîner le chien à l’attaque car cela développe dangereusement son agressivité. Bien qu’il se montre adorable avec les enfants de la famille, qu’il voudra protéger, il faut se montrer extrêmement prudent avec lui. http://images.google.fr/images?gbv=2&hl=fr&q=Le+Charplanina&btnG=Recherche+d%27images
  7. Amateur de grands espaces Ancien chasseur d’élans, l’elkhound est encore peu répandu en France. Il est vrai qu’il a des exigences difficiles à satisfaire : il lui faut un vaste territoire et un climat assez rude Compagnon des Vikings Il vient du grand froid, plus exactement de Scandinavie, où il serait né il y a très longtemps... Sans doute à l’âge de pierre ! On a en effet trouvé dans ce pays des squelettes de chiens, presque identiques à celui de l’elkhound que nous connaissons aujourd’hui, datant de la préhistoire. Certes, cette découverte ne peut être considérée comme une preuve irréfutable car, à cette époque, tous les chiens nordiques avaient à peu près le même type. Mais une chose est sûre : dès le 9e siècle, ses ancêtres accompagnaient les Vikings dans leurs conquêtes. Bien qu’il soit, à l’origine, chien de traîneau, il fut vite sélectionné pour chasser l’élan. Il le pistait grâce à l’extrême finesse de son odorat, capable de repérer sa proie à plusieurs kilomètres. Après l’avoir localisé, il aboyait pour prévenir le chasseur et maintenait sa victime en place en le mordant aux jarrets, sans craindre les coups de bois qu’il esquivait avec la plus grande adresse. Une abondante fourrure Son corps ramassé, son crâne large, son museau effilé, ses oreilles bien droites et sa queue enroulée sur le dos le rapprochent, entre autres, des spitz. Ce très beau chien, mesurant au maximum 52 cm au garrot, a un pelage court sur la tête et le devant desmembres. Plus long sur le reste du corps, il forme une sorte de collerette retombant sur le poitrail. On compare souvent l’elkhound au loup, à cause de sa fourrure grise dont l’extrémité des poils est teintée de noir. Toutes les nuances de gris sont admises, mais il existe aussi des spécimens noirs rarissimes. Bien que tout à fait semblables aux précédents, ceux-ci sont plus petits (50 cm au maximum au garrot) et parsemés de marques blanches sur le poitrail, les membres antérieurs et les pieds. Un sous-poil abondant et laineux le protège des intempéries. Il suffit, pour l’entretenir, de le brosser régulièrement pour enlever les poils morts. Les bains sont, en revanche, tout à fait déconseillés. Un vocabulaire très varié Faute d’élans en France, il s’est reconverti en chien de garde. Il mérite cette qualification car il a un grand sens du territoire qu’il sait naturellement protéger. C’est un chien intelligent qui n’hésite pas à prendre des initiatives. Il va même parfois au devant des désirs de son maître. Cette parfaite entente n’est possible que s’il le reconnaît comme son « chef de meute ». Il faut donc savoir le dominer dès son plus jeune âge. Mais, attention, son dressage se fait toujours sans violence et, surtout, sans injustice car il peut se montrer très rancunier. Fort affectueux envers son maître, il sait s’en faire comprendre quand il le faut. Des grognements aux aboiements les plus divers, il dispose d’un vocabulaire assez étendu qu’il faut savoir déchiffrer, en particulier à la chasse. Bâti pour les grands froids, il aime vivre à la montagne dont il apprécie le climat http://images.google.fr/images?gbv=2&hl=fr&q=L%E2%80%99Elkhound&btnG=Recherche+d%27images
  8. L’increvable Si vous rêvez d’un chien sportif, élégant et robuste, qui soit également très câlin, fidèle et tendre avec les enfants, ne cherchez plus : c’est lui qu’il vous faut. Une race née en Hongrie Ce lévrier (10e groupe) est arrivé en Europe au 9e siècle avec les premiers Magyars, ancêtres des Hongrois. Constitué, d’une part, de tribus originaires de la vallée de l’Obi, et, d’autre part, de certaines tribus turques, ce peuple de nomades vivait de l’élevage. Arrivé sur les rives orientales de la mer Caspienne, il y introduisit ses compagnons de chasse : des lévriers appelés « agars ». En Hongrie, ce terme désigne aujourd’hui encore le lévrier. Au cours de la lente migration des Magyars, d’autres lévriers, comme les tazis et les sloughis, ont probablement été croisés aux agars, sans toutefois en modifier vraiment la race. En revanche, la mode du « coursing », qui prit naissance au 19e siècle, dura jusqu’à la dernière guerre mondiale, occasionnant de très nombreux croisements avec des greyhounds, ce qui eut pour effet de changer la couleur de la robe des magyars agars. Quant au standard, il fut établi au cours de l’année 1971. Un physique aérodynamique Une haute taille (65 à 70 cm au garrot), une ligne fuselée et une allure aérodynamique caractérisent le magyar agar. Cela n’a rien d’étonnant : c’est un lévrier et son corps est par conséquent parfaitement adapté à la course de vitesse. En revanche, ce qui est plus surprenant, c’est la force et la robustesse qui se cachent sous tant de finesse. Porté par de longues jambes sèches et bien plantées, le corps du magyar agar s’inscrit dans une sorte de rectangle. Sa tête, elle, est en forme de triangle allongé (de profil comme du dessus), avec un museau modérément pointu et des mâchoires en ciseaux. Ses yeux sont bruns, son regard, attentif et intelligent. Ses oreilles, plantées haut et portées mi-tombant, sont en forme de « V » ou « à la greyhound ». Quant au fouet, tombant jusqu’aux jarrets, il remonte légèrement à son extrémité mais ne doit pas être porté au-dessus de l’horizontale. La robe, enfin, est rase, avec un poil pas trop fin et bien dense en hiver. Toutes les couleurs sont admises : unie, tachetée ou bringée. Calme et dévoué Dans son pays d’origine, le magyar agar est essentiellement destiné à la chasse au petit et moyen gibier. Comme cette pratique lui est interdite en France, on se contente, chez nous, de le voir galoper sur les cynodromes où d’ailleurs il excelle. Sa préférence va à la Poursuite à Vue sur Leurre (PVL), simulacre de chasse réalisé avec un leurre mécanique imitant le parcours imprévisible du gibier. Quoi qu’il en soit, c’est vraiment en plein air que ce chien montre le meilleur de lui-même. Les joggers trouveront en lui un précieux compagnon, à condition toutefois d’avoir une bonne foulée ! A la maison, il se montre heureusement beaucoup plus calme et discret. Il aboie peu et, avec les enfants, il est bienveillant et joueur. Si, à l’instar de ses cousins, il est parfois un tantinet cabochard, ce sera toujours sans excès et sans aucune agressivité. Le magyar agar est somme toute un chien facile à vivre, doté d’une robuste santé, et qui supporte sans sourciller les températures les plus rigoureuses. Un coup de brosse hebdomadaire suffira à entretenir sa robe. http://images.google.fr/images?gbv=2&hl=fr&q=Le+Magyar+Agar&btnG=Recherche+d%27images
  9. Le voyageur helvète Sous le nom de münsterländer se cachent deux variétés d’épagneul allemand, un grand et un petit. A l’exception de leur couleur et de leur taille, ces deux chiens diffèrent bien peu l’un de l’autre. En France, le petit est néanmoins le plus connu et le plus apprécié des deux, sans doute en raison de sa véritable ressemblance avec nos épagneuls Originaire de Münster en Westphalie Leur ancêtre, le wachtelhund (chien de caille), était très apprécié au 16e siècle dans le nord de l’Allemagne. Il n’avait absolument pas son pareil pour dénicher le gibier à poil ou à plume, dans les landes, les bois ou les marais. Avec le temps, la chasse devenant de moins en moins une nécessité, l’épagneul vit sa cote baisser, au point de tomber dans l’oubli. C’est grâce à la passion que lui portaient certains cynophiles, dont le plus connu est Edmond Lons, et à l’acharnement dont ils firent preuve, que la race réapparut au 19e siècle. On situe cette “résurrection” aux alentours de la ville de Münster, en Westphalie. Les deux types de chiens que nous connaissons aujourd’hui ont très certainement été reconstitués avec des épagneuls français, des braques et des langhaars, mais le secret de la « fabrication » reste bien gardé. Introduite tardivement en France, la race ne fut reconnue qu’en 1964 pour le petit (Kleiner Münsterländer) et en 1968 pour le grand (Grosser Münsterländer). Existe en deux tailles Malgré sa petite taille, 48 à 54 cm pour les femelles et 50 à 56 cm pour les mâles, le petit münsterländer est un chien tout à fait élégant. Ce qui est caractéristique chez lui, c’est sa tête. Qualifiée de sèche, elle possède un stop peu marqué, un museau long et droit, terminé par une truffe uniformément brune. Ses oreilles sont dites très « épagneul ». Attachées haut, larges et bien appliquées sur la tête, elles se terminent en pointe et sont couvertes d’un poil assez long. On retrouve ces franges sur les pattes antérieures, et sur le fouet, où elles forment un beau panache. Quant à la couleur de la robe, elle est brun et blanc ou blanc moucheté et truité. Des marques couleur de tanin sur le museau et à l’oeil sont autorisées. Des oreilles à surveiller de près Le plus petit est un excellent broussailleur qui arrête et rapporte le gibier. Quant au grand, c’est un spécialiste de la quête du gibier blessé, sur terre ou dans l’eau. Calmes, doux et obéissants, ces chiens sont aussi d’excellents compagnons, bons gardiens et dépourvus d’agressivité naturelle. Intelligents, fidèles à leur maître, ils ne manquent ni d’intérêt ni de gaieté. Ils s’acclimatent facilement à la vie en appartement, à la seule condition qu’ils n’y soient pas confinés. N’oublions pas que ce sont des chiens d’extérieur. Ils ont besoin d’un exercice quotidien pour entretenir leur forme. Côté santé, ils n’ont pas de problème particulier. Soyez néanmoins attentifs à détecter les petites affections auriculaires, fréquentes chez les chiens à longues oreilles. Examinez-les et nettoyez-les après chaque promenade. Pour que leur robe conserve tout son éclat, brossez-la deux à trois fois par semaine. http://images.google.fr/images?gbv=2&hl=fr&q=Le+munsterl%C3%A4nder&btnG=Recherche+d%27images
  10. Made in Italie « Cane di pelo duro ». Chien à poil dur, c’est ainsi que les Italiens qualifient leur chien d’arrêt favori, en raison de sa toison dure et ébouriffée. L’un des plus anciens griffons d’arrêt Le spinone est considéré comme le plus ancien griffon d’arrêt. On retrouve sa trace 500 ans avant Jésus-Christ. Au premier siècle de notre ère, un amateur décrit déjà un chien qu’il appelle « petrone » (de pierre) à cause sans doute de son aspect brut, comme taillé dans la pierre. Plus tard, au 15e et 16e siècles, il apparaît sur des tableaux de peintres célèbres comme ceux du Titien. Bref, les Italiens l’adorent et, en 1687, un cynologue dit de lui : « il est le meilleur griffon venant d’Italie ». A l’origine, ce chien fut baptisé « braque d’Italie à poil dur » puis « braque griffon » et finalement « spinone » qu’il faut, bien sûr, prononcer à l’italienne « spinoné ». Vigoureux et élancé Le spinone est un chien vigoureux, doté d’une forte ossature, mais relativement élancé. Il est grand, de 58 à 70 cm au garrot, et pèse de 28 à 37 kg. Sa tête, au chanfrein droit et au stop léger se caractérise par une grosse truffe. Les yeux sont grands, bien ouverts, ni enfoncés ni saillants. Important : les paupières doivent bien adhérer à l’œil et ne pas laisser apparaître la conjonctive. Chez les sujets blancs, l’iris est jaune et chez les rouans (plusieurs couleurs mélangées), ocre ou marron. Le regard du spinone ne manquera pas de vous attendrir parce qu’il correspond exactement à ce que l’on entend par « un bon regard de chien de chasse ». En outre, cette expression est accentuée par des oreilles attachées à la hauteur de l’œil, vaguement triangulaires et tombant de chaque côté de la tête. Elles sont couvertes d’un poil épais et court. Le cou du spinone porte un discret fanon. Fort et musclé, il précède un corps solide au rein fort, à la poitrine profonde et à la croupe large des sportifs. Il adore l’eau Le spinone est un sportif infatigable, un chasseur courageux extrêmement robuste qui affectionne tout particulièrement les petits gibiers à plume : il excellait à la chasse au filet lorsqu’elle était autorisée. Sa peau huileuse et résistante lui permettant de patauger des heures durant et sans aucun dommage dans les marais, il s’avère être un excellent chien d’eau. Pour ce qui est de la santé, c’est un chien vraiment solide avec un point faible toutefois : ses yeux. Surveillez attentivement ses conjonctives qui sont souvent sujettes aux ectropions (injection de l’œil). Son poil, quant à lui, ne nécessite aucun entretien particulier. http://images.google.fr/images?gbv=2&hl=fr&q=Le+Spinone&btnG=Recherche+d%27images
  11. MADE IN JAPAN Ce chien chasseur d’oiseaux et de petit gibier s’est reconverti en chien de compagnie délicat et plein de charme. Très populaire dans son pays d’origine, il reste rare en France. physique qui rappelle le renard Chien de petite taille, bien proportionné, il mesure de 38 à 41 cm pour le mâle et de 35 à 38 cm pour la femelle. Il pèse de 6 à 12 kg. Son corps modérément court arbore une queue attachée haut, épaisse, portée bien roulée ou recourbée en faucille. Sa tête évoque celle du renard. Ses petites oreilles triangulaires, dressées, sont légèrement inclinées vers l'avant. Ses yeux relativement petits, de couleur brun foncé, ont une forme triangulaire. Son poil court et dur est plus long sur la queue et possède un sous-poil doux et dense. Sa robe peut être de différents coloris : rouge, sésame (soupçon de poil noir sur un rouge foncé intense), sésame noir, sésame rouge, noir et feu, bringé, blanc, rouge clair, gris clair. Pour être parfaitement conforme au standard, le shiba doit présenter de l' « urajiro », du poil blanchâtre sur les faces latérales du museau, sur les joues, sous la mâchoire, sur la gorge, le poitrail, le ventre, sur la face inférieure de la queue et la face interne des membres. Chasseur et compagnon des geishas Le shiba inu (« petit chien ») est une race asiatique découverte sur l'île de Honshu. Ses ancêtres sont probablement arrivés au Japon il y a des milliers d'années. Son habitat naturel était la région montagneuse face à la mer du Japon. Créé pour lever les oiseaux et chasser le petit gibier, le shiba aurait du sang de chow-chow et de kishu. De 1898 à 1912, il est croisé avec des setters anglais et des pointers importés au Japon. Peu à peu, le shiba de pure race devient très rare. Vers 1928, un plan de sauvegarde est mis en place. Un standard de la race est établi en 1934. Trois ans après, le shiba est reconnu « monument naturel ». Si la Seconde Guerre Mondiale n’est pas une période faste pour le shiba, des programmes d'élevage sont instaurés pour améliorer et pérenniser la race. Ancien compagnon des geishas, le shiba est la race de chien la plus populaire au Japon. Un faux calme Robuste, endurant, très éveillé, ce chien calme et réservé est d'une indépendance farouche. Certains propriétaires disent de lui qu’il possède un caractère de chat. Discret tout en étant proche de ses maîtres, le shiba est un compagnon agréable et affectueux. Vigilant, courageux, aboyant à bon escient, il se révèle bon gardien. Doté d’un fort tempérament, c’est un chien qui cherche à s’imposer. C’est pourquoi il lui faut une éducation ferme. Pantouflard à ses heures, il s'adapte bien à la vie en appartement, mais pour satisfaire son côté sportif, de longues promenades lui sont nécessaires. Il s’entend bien avec les enfants. Côté entretien, sous une apparence de poil court, se cache une bonne épaisseur de poil et de sous-poil. Même s’il est rustique, il a besoin d’un brossage quotidien. http://images.google.fr/images?hl=fr&q=LE+SHIBA&gbv=2
  12. Ils sont adorables! J'adore leur bouille .
  13. Qu'ils sont beaux comme tout!!! C'est vrai qu'ils sont foncés. Vont-ils tous éclaircirent ? 80 gr, c'est une petite crevette !
  14. à tout à l'heure pour des nouvelles ! Courage ...
  15. Merci, je vais assayer ! (Il manquera le Flash pour qu'elle bouge)
  16. Deuxième Conférence mondiale de l’OIE sur le bien-être animal « Pour une application effective des normes de l’OIE » Le Caire, Égypte, 22 octobre 2008 – La Deuxième Conférence mondiale de l’OIE sur le bien-être animal, tenue au Caire, Égypte, du 20 au 22 octobre, a rallié tous les Membres de l’OIE et ses principaux partenaires autour de la mise en œuvre des normes sur le bien-être animal partout dans le monde ainsi que l’aide aux pays en développement dans ce domaine. « L’Égypte soutient pleinement les activités de l’OIE en faveur du bien-être animal et est particulièrement honoré d’accueillir cette importante manifestation, qui marque une avancée mondiale en la matière», a déclaré M. Amin Abaza, ministre de l’Agriculture de l’Égypte, lors de la Conférence. « Cette Conférence a permis de faire le point sur les pratiques et les réglementations en matière de bien-être animal dans le monde. Elle a mis en lumière les défis particuliers qui se posent à cet égard dans plusieurs régions et pays. Si le principe des normes OIE sur le bien-être animal est largement acquis, il reste encore beaucoup à accomplir pour améliorer la mise en œuvre effective de ces normes dans le monde », a déclaré le Docteur Bernard Vallat, Directeur général de l’OIE. Ce diagnostic est étayé par une étude que la Banque mondiale a consacrée au bétail et à la gestion des effluents des abattoirs, qui révèle que les légalisations nationales de nombreux pays ne couvrent pas les pratiques en matière de bien-être animal dans les marchés, lors des transports et à l’abattoir. Cette étude signale également l’absence de contrôles exercés dans ce domaine, en partie due à une méconnaissance de ces questions et au manque de ressources publiques disponibles. Après avoir passé en revue la mise en œuvre des normes existantes de l’OIE sur le transport des animaux d’élevage par voie terrestre, maritime et aérienne, leur abattage à des fins de consommation humaine et leur destruction à des fins prophylactiques, la Conférence a préparé le terrain pour l’élaboration de nouvelles normes et les priorités en matière de recherche scientifique. Plus de 400 participants, dont les Délégués des Membres de l’OIE et les points focaux nationaux pour le bien-être animal, les doyens de facultés de médecine vétérinaire, les directeurs d’instituts nationaux de recherche sur le bien-être animal et les représentants d’organisations internationales partenaires, de fédérations internationales du secteur privé, d’organisations non gouvernementales et d’organisations d’éleveurs ont reconnu la nécessité de développer d’autres normes de l’OIE et de poursuivre la recherche scientifique dans le domaine du bien-être animal. Les travaux de l’OIE actuellement à l’étude concernent le bien-être des animaux de laboratoire et le contrôle des populations de chiens errants. Bien-être animal : un facteur de compétitivité pour tous La santé animale est désormais reconnue comme une composante essentielle du bien-être animal, qui accroît la compétitivité de la production alimentaire et des élevages. S’exprimant au nom de la Fédération internationale des producteurs agricoles (FIPA), J.J. Grigera Naón a rappelé les résultats d’une étude réalisée en Argentine en 2007 à partir d’un échantillon de 17 370 animaux abattus : « L’application de bonnes pratiques de manipulation dans les abattoirs s’est traduite par une diminution de 39 % des blessures, ce qui représente, au niveau national, un accroissement de la production de viande bovine destinée à la consommation humaine de 14 200 tonnes supplémentaires et, sur le marché international, une valeur estimée à 28 millions de dollars US. » Les participants se sont déclarés favorables à une harmonisation fondée sur des bases tranparentes, démocratiques et scientifiques des normes relatives au bien-être animal, en particulier pour celles proposées par le secteur privé, qui sont de plus en plus répandues. Les représentants de l’industrie présents à la Conférence ont souligné les contraintes liées aux différents contextes économiques et culturels et ont déclaré : « Les lignes directrices de l’OIE [sur le bien-être animal] sont fondamentales pour veiller à ce que les pratiques et les systèmes de production animale modernes soient compatibles avec le bien-être animal. [...] Les acteurs économiques s’accordent à reconnaître que les exigences relatives au bien-être animal doivent être fixées à partir d’une base mondiale commune et valable pour tous. » Un succès qui repose sur des Services vétérinaires responsables de la mise en œuvre des normes et de leur contrôle Cet objectif passe par la responsabilisation des Services vétérinaires nationaux, qui doivent être soutenus par une législation et une réglementation appropriées, être formés dans ce domaine et disposer des ressources financières et humaines permettant de mettre en œuvre les normes relatives au bien-être animal et de vérifier qu’elles sont bien appliquées. Les conclusions de l’étude de la Banque mondiale confirment la position de l’OIE à cet égard, en recommandant que tous les vétérinaires reçoivent une formation appropriée dans le domaine du bien-être animal. « Cette Conférence a certainement contribué à améliorer l’image du bien-être animal, mais il reste encore beaucoup à faire. Aussi, les vétérinaires et les Services vétérinaires, avec le soutien de leurs partenaires, doivent-ils consolider leurs compétences en matière de bien-être animal », a souligné le Docteur Vallat. Les stratégies régionales de l’OIE sont le cadre de l’action concertée des Membres de l’OIE en faveur de la mise en œuvre effective des normes sur le bien-être animal et de ce fait devraient contribuer à combler les lacunes. Ces stratégies prennent en compte notamment les differéntes cultures et pratiques existantes au niveau regional Une première initiative, basée sur une approche intégrée du bien-être animal au niveau national, se révèle fructueuse en Asie. L’OIE s’est engagée à soutenir ses Membres et à leur offrir une assistance technique à travers la participation active de ses Représentations régionales. D’autres initiatives en matière de bien-être animal ont été lancées par l’OIE, dont la création d’une base de données didactique visant à compléter les programmes d’enseignement de la médecine vétérinaire et de formation agricole dans tous les pays. Informations générales La 2 e Conférence mond iale de l’OIE sur le bien-être animal a bénéficié du soutien du gouvernement égyptien, de la Commission européenne et d’autres donateurs nationaux. La 1 e Conférence mondiale de l’OIE sur le bien-être animal, tenue à Paris en 2004, avait ouvert la voie à l’adoption unanime d’une première série de normes sur le bien-être animal par les Membres de l’OIE. Source : http://www.oie.int/fr/press/fr(...)
  17. Vous n'avez plus de raison de ne pas les souhaiter !! à copier et coller
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