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Admin-eleveurcanin

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Tout ce qui a été posté par Admin-eleveurcanin

  1. Moi, je suis obligée de les sortir pour leur changer les idées puisqu'ils n'ont pas de maman ... D'ailleurs, j'en reviens !
  2. En Argentine, un chien a joué les héros en protégeant un nouveau-né qui avait été abandonné par sa mère, une adolescente de 14 ans. C’est un résident du coin qui a appelé les policiers après avoir entendu un bébé crier dans un champ derrière chez lui. Selon le chef de la police de Buenos Aires, Daniel Salcedo, l’homme a trouvé le poupon étendu à côté du chien et de ses six chiots. Le chien aurait apparemment transporté le bébé sur 50 mètres à partir de l’endroit où il avait été abandonné jusqu’au lieu où ses chiots se trouvaient. Le chien a littéralement sauvé le bébé, puisque selon les médecins, s’il n’avait pas agi ainsi, l’enfant serait mort. Selon les médecins de l’hôpital, le bébé de huit livres et 13 onces n’avait que quelques heures lorsqu’il a été trouvé. Malgré des ecchymoses et du sang dans la bouche, le poupon était en bonne santé. Le lendemain, la mère de l’enfant a été conduite à l’hôpital par un voisin où elle a reçu des traitements psychologiques. Le nouveau-né a quant à lui été transféré dans un hôpital pour enfants à La Plata, à 37 kilomètres de Buenos Aires. Source : http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/(...)
  3. «Quand elle court, crinière au vent, elle a l'allure d'un petit cheval!» Florence de La Celle a craqué, elle a adopté China Doll, une jeune chienne chinoise à crête. On compte encore très peu de chiens nus en Suisse mais l'intérêt qu'ils suscitent va grandissant. Quant à Florence, elle est une fervente du nu animal: elle possède un très bel élevage de sphynx, des chats sans poils. Des origines très anciennes. Non, les chiens nus ne sont pas une création génétique récente. Ces animaux, au contraire, ont une origine très ancienne. On retrouve des traces de chiens chinois en Chine au XIIe siècle déjà. Les marins les utilisaient comme chasseurs de rats. On trouve aussi des chiens nus en Amérique du Sud: le xoloïtzcuintle, dit xolo, un chien mexicain, et le chien du Pérou. En Afrique, on les nommait «chiens de Gizeh» ou «chiens des pyramides»... Mais c'est seulement au XIXe siècle que le chien chinois à crête apparaît en Europe, et en 1991 que la race est reconnue aux Etats-Unis. Tout nus et à poils. Le chien chinois à crête se décline en deux variétés: la houppette à poudre et le nu. Chez celui-ci, avec la sélection et l'évolution de la race, des sujets plus velus sont apparus. Aujourd'hui, on distingue trois stades de pilosité: le hairy, qui, comme China Doll, possède une belle crinière et des poils sur le bas des pattes et le bout de la queue, le semi-coat, nettement moins poilu, et le vrai nu, tout nu. La houppette a des poils très longs, aussi vaporeux qu'un voile; elle rappelle l'afghan, en miniature. Ces chiens sont en effet petits: 28 à 33 cm au garrot pour les mâles, 23 à 30 cm pour les femelles. Ils ne pèsent pas plus de 5,5 kg. De toutes les couleurs. Le standard de la race autorise toutes les couleurs. Le chien chinois nu ou houppette peut naître léopard et devenir uni en grandissant, tout comme il peut rester léopard. China Doll, elle, avait des taches rousses qui s'effacent petit à petit, au profit du gris et du blanc. Difficile, on le voit, de faire des prédictions... Il faut savoir aussi qu'un chien gris ardoise en hiver devient noir en été et qu'un animal couleur foie devient chocolat au soleil. Eh oui, le chien chinois bronze! Gène létal. Parce que le chien chinois est porteur d'un gène létal, ses mariages ne doivent pas être célébrés au hasard. Le chien né de deux parents tout nus ne devrait jamais être marié à un autre tout nu: à cause du gène létal, aucun petit n'y survivrait; avec une houppette, en revanche... De toute façon, une seule portée peut compter les trois types de nus comme des houppettes. Surprise garantie! Une pie de charme. Le chinois à crête est enjoué, vif, très doux, il ferait n'importe quoi pour plaire à son maître. Il apprend très vite. Mais, comme il est hypersensible, il convient de le sociabiliser dès son plus jeune âge, sinon, constate Florence, il devient facilement craintif. C'est aussi un chien qui aboie très très peu, idéal donc en appartement. Par ailleurs, le chien chinois est très gourmand, toujours disposé à plonger le museau dans son écuelle. C'est aussi un voleur: un peu comme une pie ou un écureuil, il chaparde de petits objets qu'il aime dissimuler dans une cachette... Photo : Olivier Vogelsang | «China Doll», crinière au vent. Le chien chinois est affectueux et aboie peu. Source : http://www.tdg.ch/pages/home/t(...)(contenu)/255786
  4. En 2007, 779.860 animaux ont été utilisés pour des recherches d'ordre biomédical, soit 23.145 (+3%) de plus qu'en 2006, annonce lundi le service du Bien-être animal du SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement, dans un communiqué. La majorité des expériences ont été menées sur les rongeurs et les lapins (91,97%), loin devant les poissons, reptiles et amphibiens (5,72%) et les oiseaux (1,66%). Les chiens, les chats et les singes représentent respectivement 0,096%, 0,006%et 0,005% des animaux de laboratoire utilisés, révèle le service Bien-être animal sur base des statistiques des laboratoires agréés en 2007. "On observe une diminution très importante du nombre de primates (-80,6 pc). Aucun grand primate n'est plus utilisé depuis des années, et un arrêté royal qui en interdira l'utilisation est prévu. Le nombre d'oiseaux utilisés en 2007 est également en baisse (-19,8)", précise le communiqué. Selon le service Bien-être animal, la légère augmentation du nombre d'expériences sur des animaux "est à mettre en perspective avec le niveau élevé de la recherche en Belgique et s'explique par l'accroissement de la recherche sur les mécanismes des maladies humaines". "Les expériences sur animaux restent nécessaires pour le progrès de la recherche médicale et pharmaceutique. Elles contribuent au développement de nouveaux médicaments et vaccins, ainsi qu'à l'établissement des diagnostics d'innombrables maladies chez l'homme et les animaux", ajoute-t-il, rappelant qu'en Belgique, les tests de toxicité pour les produits cosmétiques sont interdits. D'après les chiffres de l'expérimentation animale en 2007, 468.705 animaux (60%) ont été utilisés pour la recherche, le développement et le contrôle de qualité des produits et appareils utilisés en médecine humaine et vétérinaire, 225.372 animaux (29%) pour la recherche fondamentale, 52.716 animaux (6,7%) pour des tests de toxicologie ou de sécurité et 4,3% des animaux ont été nécessaires au diagnostic, à l'enseignement et à la formation. En 2007, 382 laboratoires étaient agréés, en Belgique, pour pratiquer des expériences sur animaux. Ces laboratoires appartiennent principalement aux universités (87%) et le secteur privé, qui utilise le plus d'animaux, représente 7% des laboratoires. "Les 6% restants sont des laboratoires de l'autorité publique. Un quart des laboratoires agréés n'a toutefois utilisé aucun animal dans des expériences en 2007", poursuit le communiqué. (afp/7sur7) Source : http://www.7sur7.be/7s7/fr/150(...)
  5. Ile Maurice - Des ouvriers chinois soupçonnés d’avoir mangé des chiens Autre pays, autres mœurs. Les goûts culinaires des Mauriciens sont peut-être variés, mais certaines choses ne se mangent définitivement pas. Et certainement pas les chiens. Une plainte a été déposée contre des ouvriers chinois au début de la semaine dernière par deux associations de protection des animaux. En effet, la Protection of Animal Welfare Society et la Mauritius Society for the Prevention of Cruelty to Animals suspectent une douzaine d’ouvriers chinois d’avoir volé et tué des chiens, de différentes races, pour la consommation. Ces ouvriers, employés par la compagnie chinoise de construction Beijing Zhuzong, travaillent sur un chantier de construction à Pailles. Ceux qui habitent à proximité du site de construction se disent choqués par la «cruauté» de ces travailleurs chinois. Un habitant de la région, qui travaille non loin du site de construction, témoigne. Il aurait vu des ouvriers chinois «torturer des chiens» avec un gourdin. «L’animal a beaucoup souffert avant de mourir», relate l’habitant de Pailles. Les hurlements des animaux ont profondément marqué notre interlocuteur. Ce dernier dit n’en connaître pas plus sur les rouages de ce commerce. Il a cependant appris, par l’entremise d’ouvriers mauriciens, que plusieurs chiens auraient été victimes des travailleurs chinois. Nous avons visité le site de construction hier, mais ces ouvriers mauriciens ne travaillaient pas. D’autre part, nous n’avons pu joindre personne de la compagnie pour avoir une réaction. Croyances La chair du chien serait appréciée pour son goût et pour sa teneur en protéines. Elle est aussi censée être bonne pour la santé. Selon la croyance populaire, la chair canine «réchaufferait le sang» durant l’hiver. Elle serait aussi appréciée pour ses effets aphrodisiaques. Plus l’animal souffre durant l’abattage, plus sa viande est censée donner de la virilité au consommateur. Cela en raison de la forte dose d’adrénaline qui s’accumulerait dans la chair de l’animal effrayé. La viande de chien aurait également des vertus excitantes proches de celles du café. One Voice, une organisation qui combat pour les droits des humains, les droits des animaux et le droit de l’environnement, a mené une enquête. Il en ressort que dans toutes les grandes villes chinoises, des restaurants servent des plats préparés avec toutes les parties possibles du corps du chien, y compris les entrailles et les testicules. La chair canine est consommée partout en Chine, sauf à Hong-Kong, où elle est interdite depuis 1950. L’enquête de One Voice démontre que la consommation de viande de chien en 2 000 en Chine a été d’environ 100 000 tonnes, soit l’équivalent de quelques millions d’animaux. L’élevage de chiens est subventionné par le gouvernement chinois et cela fait environ 7 000 ans que les Chinois en consomment. A Maurice, la consommation des chiens ne fait pas partie de nos mœurs. Mais dans les années 70, certains commerçants était soupçonnés d’utiliser de la chair canine à la place d’autres chairs consommées à Maurice. Jonathan RAJARAM Photo : En Chine, des chiens attachés en attendant d’être abattus. Ils sont aussi traditionnellement maltraités avant d’être tués. Source : http://www.lexpress.mu/display(...)
  6. Cet été, grâce à la Fondation 30 Millions d’Amis et au dévouement d’une vétérinaire, un jeune chien beauceron de 5 mois, nommé Crevard, a pu être sauvé suite à un grave accident. Heurté par une voiture, le chiot a été amené de toute urgence par son propriétaire, un SDF, dans la clinique vétérinaire de l’Ouest, à Angers (49). Dans un état très critique, le beauceron hurlait dès qu’on le touchait. Bien que le propriétaire ne pouvait pas payer, la vétérinaire a fait tous les examens nécessaires. Elle a diagnostiqué une double fracture du fémur et une fracture du bassin (fracture de l'acétabulum). Les fractures étant très sérieuses et le budget associé étant également conséquent, la seule solution à envisager était l'euthanasie, mais la vétérinaire ne voulait pas en entendre parler. C’est pourquoi, elle a appelé la Fondation 30 Millions d’Amis qui a immédiatement accepté de prendre tous les frais à sa charge. Le chiot n’était pas tiré d’affaire pour autant. Après l’opération et de nombreux soins, le beauceron avait énormément de fièvre et sa fracture était toujours douloureuse. Les vétérinaires étaient très préoccupés par son état. Mais, Crevard a été très courageux et de jour en jour, il s’est doucement rétablit. Après une longue semaine, son propriétaire ravi, a enfin pu le récupérer. Avant de partir, le SDF heureux a souhaité faire un geste en participant aux frais. Aujourd’hui Crevard est complètement rétabli. La Fondation 30 Millions d’Amis souhaite beaucoup de bonheur à Crevard et à son maître et attend avec impatience de nouvelles photos pour vous les montrer… Source : http://www.30millionsdamis.fr/(...)
  7. Je les promène dans le jardin pour leur changer les idées
  8. Pauvre bébé. C'est effarant. Ce doit être des naissances chez des particuliers... (du moins j'espère)
  9. Bienvenue avec le Bull Terrier groupe 3
  10. NOVARTIS http://www.ah.novartis.lu/products/fr/cab/milbemax_01.shtml
  11. Info du 21/08/2008 Canada - Kidnappeur de chats arrêté Notre-Dame-de-Grâce Kidnappeur de chats arrêté Josée-Ann Moisan Le Journal de Montréal Une trentaine de chats et de pigeons ont été récupérés par la SPCA dans un logement de Notre-Dame-de-Grâce, où ont aussi été découvertes une quarantaine de carcasses d'animaux congelées. Cette saisie pourrait expliquer une série de disparitions de félins qui touche le quartier depuis deux ans. «Je suis facteur depuis dix ans dans le quartier et je n'ai jamais remarqué autant d'affiches de disparition que depuis l'arrivée du locataire, en juillet 2006», lance un postier qui préfère garder l'anonymat par crainte de représailles. «C'est horrible, ce qu'il a fait ! s'exclame Marc-André DeSève, voisin du locataire au logement insalubre. Ça puait tellement, on aurait dit que quelqu'un était mort. Il n'est plus le bienvenu ici.» L'histoire a débuté lundi matin, lorsque des inspecteurs de la Ville de Montréal se sont présentés au duplex de l'avenue Melrose à la suite de nombreuses plaintes d'insalubrité portées contre le locataire. Barricadé dans son logement, ce dernier a rendu nécessaire la venue de policiers et d'un serrurier, mais n'a pas résisté à leur entrée après coup. Écureuil Escorté vers l'ambulance par des policiers, il a même consenti à recevoir une évaluation médicale. Approché par le Journal hier matin, l'homme, qui semblait troublé, a nié son identité et s'est enfui en voyant notre photographe. «L'odeur du logement était nauséabonde et les murs étaient couverts d'excréments, dit l'inspecteur Daniel Davenport, au service de la SPCA depuis 1991. C'est l'un des pires cas que j'aie traités.» En plus des animaux vivants, soit 20 chats et 9 pigeons, les inspecteurs ont découvert une quarantaine d'animaux morts. Deux congélateurs contenaient chats, pigeons et même un écureuil.» Les animaux étaient congelés en bloc, donc c'était difficile de les compter», a expliqué M. Davenport. Sauvetage Par ailleurs, la commis d'une animalerie du coin a confirmé que l'homme achetait au moins une poche de nourriture pour chat de qualité par mois. Les animaux rescapés ont été accueillis à la succursale de la rue Jean-Talon de la SPCA, où ils ont été examinés par des vétérinaires. «Ils sont très maigres et plusieurs semblent malades», dit la directrice exécutive de l'organisme, Alanna Devine. Pour cette raison, les animaux ne seront pas nécessairement offerts en adoption au cours des prochaines semaines. Accusations «Ils reçoivent des soins et nous espérons remettre des pigeons en liberté, poursuit-elle. Plusieurs bêtes auront besoin de soins particuliers. Elles seront peut-être placées chez des gens qui ont du temps pour donner ce genre de soins.» L'inspecteur Daniel Davenport a indiqué que le dossier sera transmis à un procureur de la Couronne, qui décidera si des accusations criminelles doivent être portées. L'arrondissement Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce limite à deux le nombre de chiens par domicile, mais n'a pas encore statué sur le nombre de chats. Source : http://www2.canoe.com/infos/so(...)
  12. 18e CHAMPIONNAT DU MONDE pour Chiens d'utilité 11 - 12 - 13 - 14 septembre 2008 http://www.fci2008.be/accueil.html
  13. Championnat Mondial pour chien d'utilité de la FCI Date : 11 à 14-09-2008 Discipline : R.C.I. (chiens) Organisme : FCI Contact : Thibaut Daniel Adresse : Stade de Football de Wavre Avenue du Centre Sportif, 20 B-1300 Wavre (Belgique) Brabant Wallon (BWL) Téléphone : +3281414701 Fax : +3281414701 E-mail : d.thibaut@skynet.be Site web : http://www.fci2008.be/ Source : http://www.chien.com
  14. Survivre avec les loups Alpes du Sud. Le retour du prédateur fait peser sur les bergers des contraintes qu'ils supportent mal. Réinstallé dans les Alpes, “Canis lupus” sera demain dans les Cévennes ou les Pyrénées. Un défi douloureux pour les éleveurs attachés à leurs traditions. C’était à l’heure où tout se tait dans la grande nuit noire de la montagne.Soudain,un bêlement étranglé, des grognements rageurs, le bruit de la terre battue par des corps lourds. L’aideberger, le doigt sur la gâchette du fusil, est sorti de sa cabane. Et s’est trouvé nez à nez avec trois grands loups plantés devant deux brebis déjà égorgées. Les trois ont fixé le berger. Six yeux étincelants, impérieux, attentifs. Le grand gaillard, en sueur, a alors senti monter en lui la terrible peur du loup, irrésistible,ancestrale. Vite,vite, il a fui dans sa cabane pendant que les trois loups dépeçaient tranquillement les brebis. L’éleveur venu prendre la relève quelques heures plus tard l’a trouvé là, toujours gémissant, « pâle comme un mort, inconsolable comme un enfant ». L’aide-berger a juré qu’on ne l’y reprendrait plus.L’éleveur, lui,n’a pas le choix: souvent enfant du pays,né deparents et de grands-parents euxmêmes éleveurs, et responsable de centaines de brebis, il lui faut vivre et travailler avec le grand prédateur, revenu en France au début des années 1990,en passant tranquillement d’Italie en France, dans le parc du Mercantour, dans les Alpes-Maritimes… Bernard Bruno, éleveur à Saint- Vallier-de-Thiey et président du syndicat ovin des Alpes-Maritimes, prend garde de ne pas l’oublier. Stature massive, oeil clair et perçant, il fouille inlassablement l’horizon du regard.Autour de lui, les portes de Longon,au-dessus de Roubion,dans la vallée de la Tinée, un vaste cirque ouvert entre ciel et mélèzes, où résonnent les sifflements des marmottes et les aboiements des chiens. Le troupeau est-il à l’abri, regroupé entre les chiens qui patrouillent? N’y a-t-il aucune bête isolée, attardée derrière quelque broussaille ? Durant le seul été 2007, l’éleveur a reçu dix fois la visite du loup. Dix attaques qui se sont déroulées très vite, n’ont laissé que peu de traces et aucune chance à la vingtaine de brebis emportées. Tous les éleveurs des Alpes vivent peu ou prou sous la menace. En cause, le mode d’élevage extensif, traditionnel dans tout le sud de la France.Bio avant l’heure et avant la mode,le mouton du Mercantour vit dehors et se nourrit des fleurs et de l’herbe sauvage des alpages durant huit à dix mois dans l’année, changeant de site et d’altitude en fonction des saisons.Une itinérance constante qui rend les moutons aussi savoureux que vulnérables.Le loup ne s’y est pas trompé. Lui qui se nourrit ailleurs à 80 ou 90 % d’ongulés sauvages, c’est-à-dire de mouflons et de chamois, préfère les ongulés domestiques dans le Mercantour.Moutons et agneaux, agrémentés parfois de quelques chèvres,peuvent y représenter jusqu’à 45 % du menu. «Mettezvous à sa place, explique malicieusement Jean-Jacques Suppo, un montagnard de Saint-Étienne-de- Tinée. Le loup est rationnel : il préfère prendre des moutons, dodus, paisibles et pas très malins, plutôt que des chamois, sauvages et agiles, qui lui filent sous le museau… » Bien sûr, les éleveurs ne laissent pas le prédateur se servir sans se défendre : des chiens patous,originaires des Pyrénées, patrouillent en permanence autour des troupeaux. Les brebis,autrefois libres,sont maintenant parquées la nuit, au plus près des cabanes pour être plus aisément surveillées. Des aides-bergers, dont le nombre varie en fonction de la taille du troupeau, ont été recrutés. Des méthodes efficaces, mais pas infaillibles.«Dans l’ensemble des Alpes, plus de 700 attaques et 3000 victimes ont été recensées en 2007 », constate Christophe Duchamp, ingénieur à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Des dégâts « tout naturellement » en croissance, du fait de l’extension géographique et numérique constante du prédateur. Car la convention de Berne, ratifiée en 1990 par la France, est formelle : le loup doit être « strictement protégé », son expansion étudiée et sa bonne santé assurée.Résultat: il prospère.Les scientifiques de l’ONCFS scrutent les traces et analysent les déjections. Loup, y es-tu? Il est déjà dans les Préalpes,on l’a vu dans les Cévennes, on le soupçonne dans le Jura et dans les Pyrénées- Orientales… Cette « espèce très plastique », selon les termes des scientifiques, peut s’acclimater à tous les environnements. Ne l’a-t-on pas vu se nourrir dans des… champs de maïs en Espagne? «Dans quelques années, vous verrez, il mangera les croquettes dans les jardins des banlieues de Nice ! » ricane un berger. Les éleveurs, ultime présence humaine permanente dans les hautes vallées, sont en première ligne.D’où l’aide des pouvoirs publics qui s’est mise peu à peu en place,de l’indemnisation directe lorsque des animaux sont tués – entre 130 et 450 euros par animal, selon les cas – au paiement des chiens patous en passant par la prise en charge des salaires des aides-bergers.La seule indemnisation directe représente quelque 800 000 euros par an dans les Alpes. Une somme déjà rondelette, qui dépasse les 4 millions en 2007 si l’on y ajoute les salaires des aides-bergers, pris en charge à hauteur du Smic jusqu’à huit mois par an, ou encore les aides à l’équipement en patous et en parcs. Sans parler des multiples emplois scientifiques et administratifs qui gravitent autour du dossier. Beaucoup d’argent en somme. D’autant que si l’on s’en tient à la stricte sécheresse des chiffres, les dégâts semblent limités : « Chaque année, 550 000 moutons montent en zone de présence du loup sur l’ensemble des Alpes.Les 3000 victimes de 2007 représentent quelque 0,5 % de ce total », explique Christophe Duchamp. Les éleveurs en conviennent : le problème n’est plus vraiment quantitatif. Pas facile de se faire bien comprendre ! Bernard Bruno réfléchit,explique, insiste: «Le loup, au bout du compte,on peut encore s’en accommoder. Ce n’est qu’une bête, peut-être a-t-il des droits sur la montagne, après tout… Mais tout le reste! Tout ce que cette affaire a impliqué! La paperasse, le temps perdu, la liberté rognée, nos métiers et nos vies brisés… » Plus que leur revenu écorné, plus même que leurs brebis égorgées, les éleveurs pleurent en fait leur métier perdu. Ils étaient des hommes libres : il leur faut rendre des comptes à tout le monde. Centres de gestion, dossiers administratifs liés aux aides et subventions, contrats, salaires : une perte de temps qui éloigne sans cesse les éleveurs de leurs alpages alors même que la surveillance est devenue cruciale. Ils étaient seuls, le plus souvent: il leur faut vivre avec des aides-bergers, au savoir-faire fragile, ou des “écovolontaires” envoyés par les associations de protection de la nature et souvent soupçonnés de préférer le loup aux moutons. Le troupeau, lui aussi, était libre: le voici protégé mais parqué, exclu de certains pâturages.Toute une tradition mise en cause: «Veut-on que l’on passe à l’intensif, à l’industriel,aux animaux gavés d’aliments préfabriqués? » se récrie un berger. La vie quotidienne ne vaut pas mieux. Les patous, des chiens blancs très impressionnants, sont ingérables en zone touristique. « Sur le plateau de Chéron, dans l’arrière-pays vençois, nous ne pouvons pas les garder. Trop dangereux », explique Jean-Pierre Isnard, éleveur à Vence et président de l’association départementale des Jeunes Agriculteurs.Nombre de communes, inquiètes de la présence des molosses, leur interdisent la traversée de leur territoire. Sans parler de ceux qui, apeurés, les empoisonnent aux abords des villes.Comment, dans ces conditions, mener à bien la transhumance, grand moment de la vie du troupeau ? Les aides ? « C’est beaucoup d’argent, c’est sûr, souligne Monique Bassoleil, chef du service élevage à la chambre d’agriculture des Alpes-Maritimes. Mais un argent qui au fond ne satisfait personne et ne fait que compenser le manque à gagner.Les éleveurs auraient préféré qu’on les aide à se doter de cabanes décentes, ou bien à financer des équipements d’alpage, parcs en dur… » Surtout,cet argent a fait naître la suspicion, humiliante : « Aujourd’hui, on nous traite de chasseurs de primes », laisse tomber, amer, Jean-Pierre Isnard. Pour ne pas dire pire : « On nous a amené un prédateur qui nous tue. On n’a pas ou peu le droit de se défendre. Et en plus, on passe pour des voleurs ! », s’emporte Bernard Bruno. Blessure insupportable pour des hommes fiers de leur histoire et de leurs valeurs. Car, bien que de faible rapport,le métier de berger était depuis toujours considéré comme noble.On y vivait au sein des grands espaces, au contact du monde sauvage, sur les traces des parents et grands-parents. Les touristes le savaient bien, eux qui au hasard des chemins, naguère, ne saluaient le berger, un ancien le plus souvent, qu’avec grand respect, en prenant soin de ne pas déranger. Bernard Bruno se tourne vers ses enfants, présents pour les vacances sur l’alpage : prendront-ils la relève ? L’éleveur n’y croit guère. D’autant que l’histoire n’est pas finie : « Vous verrez, conclut-il, goguenard, demain, nous aurons l’ours. Lui aussi arrivera tranquillement, par la montagne. Et on lui déroulera le tapis rouge. » Source : http://www.valeursactuelles.co(...)
  15. Info du 21/08/2008 Chien blessé par un sanglier Les sangliers sont de plus en plus nombreux sur les hauteurs de Biot et d'Antibes et même au-delà, Valbonne et Vallauris. D'où l'inquiétude des riverains des parcs naturels de la Valmasque et de Vaugrenier. Ces derniers déplorent de nombreux dégâts dans leurs propriétés. Un chien a même été blessé. Ils ont demandé aux chasseurs de leur venir en aide. Les nemrods de la société de chasse d'Antibes - Biot ont commencé les repérages et les battues. Pour l'heure, aucun sanglier n'a été abattu. Mais les opérations vont se multiplier pour essayer d'enrayer ce phénomène. Quelques trous de plus sur le parcours de golf Le sanglier laboure tout, surtout lorsque la terre est meuble et humide, à la recherche de vers. Les plus exposés en cette saison sont les golfs. Certains ont dépensé des fortunes pour clôturer ces grands espaces verts. D'autres jouent au coup par coup. C'est le cas du golf de Biot. « Pour l'instant nous n'avons pas été inquiétés, rappelle Gabriel Camerini, l'un des responsables de l'établissement. Mais comme nous sommes bordés de forêts et de propriétés très boisées lorsque les battues commencent, les sangliers viennent se réfugier dans la plaine. Résultat, la nuit, ils labourent les parcours. » Même constat de cette prolifération à Sophia-Antipolis aux abords de la caserne des pompiers. « La nuit venue, les sangliers se déplacent en troupeau, explique Bernard Lions, responsable de la caserne. Ils viennent même le long du grillage à la recherche de nourriture. « Nous intervenons au moins une fois tous les deux mois pour un sanglier blessé ou tué sur la route, shooté par une voiture. » Un chien blessé « Nous avons de nombreuses plaintes en mairie de particuliers qui dénoncent le ravage des sangliers dans leurs propriétés, souligne Guy Anastile, qui est aussi adjoint à la sécurité de Biot. La dernière en date, il y a quelques jours, émane de résidants du chemin de la Chèvre d'Or. « Nous avons été réveillés en pleine nuit par les hurlements de notre chien de huit ans. Il venait d'être attaqué par un sanglier qui a défoncé le grillage de clôture. Notre chien a été sérieusement blessé. » L'année dernière cinquante-quatre cochons sauvages ont été tués. Il y en a toujours plus. Du travail sur la planche pour les chasseurs et leurs chiens. Serge Jausas Source : http://www.nicematin.com/ra/an(...)
  16. Admin-eleveurcanin

    ara

    Pour les membres: Dans le dossier à remplir pour valider le certificat de capacité et faire contrôler et valider sa structure d'élevage la DSV demande le No de SIRET et de TVA. Il faut donc par avance, commencer par la chambre d'agriculture et avoir passé son certificat de capacité. Le certificat de capacité peut-être passé et conservé pour un usage ulterieur. Effectivement, le certificat de capacité est liè avec l'installation car sans le certificat de capacité la DSV ne prendra pas en compte le dossier qu'il faut remplir. Il ne doit rien manqué dans le dossier à completer pour la DSV. - Plan de la structure (dessin complet) + Nombre de chiens - Lettre de motivation - CV - Certificat de capacité - No SIRET et TVA - Diplôme signé et joint par la SCC (certificat de capacité) - Casier judiciaire vierge datant de moins de 3 mois ... Pour le plan de la structure d'élevage: Il faut dessiner les ouvertures portes et fenêtres, évacuations, cuisine, salle de maternité, infirmerie ...
  17. Admin-eleveurcanin

    ara

    Tout les éleveurs qui font plus d'une portée par an doivent avoir un No SIRET - APE et TVA (chambre de l'agriculture + Service Fiscaux) Avoir passé son certificat de capacité (SCC régionale) validé par la DSV (DSV du Département) en remplissant le dossier. 1 à 9 chiens sans compter les chiots de moins de 3 mois 10 à 49 chiens idem pour les chiots. 50 chiens et plus idem pour les chiots. Il faut commencer par le début et proceder par ordre ou plutôt par étape.
  18. Bienvenue aux bébés et bravo à la maman. Très belle portée ! Une petite pensée à celui ou celle qui n'a pas survécu.
  19. Bienvenue aux 4 bébés. Bravo à la maman, ils sont très beaux. Combien pèsent-ils ?
  20. (33em jour de gestation) Il y a des bébés dans le ventre ! Date prévue de mise bas vers le 15/09 à suivre ...
  21. EN FRANCE: • Il est INTERDIT d'acheter, de donner, de vendre ou de faire reproduire un chien inscrit en 1ère catégorie: Chiens non inscrits à un Livre des Origines officiellement reconnu par le Ministère de l'Agriculture (sans pedigree) morphologiquement assimilables à l'american staffordshire terrier, boer-boel (boer-bull), tosa ou mastiff. • L'identification (tatouage ou puce) est OBLIGATOIRE. • Seuls les chiots âgés de plus de 8 semaines peuvent faire l'objet d'une cession à titre onéreux. • Dans le cas où l'annonce concerne un chien ou des chiots non inscrits à un livre des origines reconnu, la mention "de type" ou "genre" précède le nom de la race.
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