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Chiens - Une fillette blessée par un molosse (77) Une fillette de deux ans et demi a été blessée à l'oeil par le molosse de la famille hier soir, au domicile familial à Provins (Seine-et-Marne), a-t-on appris de source policière. Lors du repas, cette petite fille a été "mordue au visage", au "niveau de la paupière" par un molosse de race American Staffordshire qui appartient à la famille, mais son pronostic vital n'est pas engagé, a-t-on expliqué de source policière. La mairie a pris "un arrêté municipal de mise en fourrière" et "le père de famille sera convoqué ultérieurement au commissariat", a-t-on ajouté de même source. L'American Staffordshire, appartient à la première catégorie (chiens d'attaque) et est considéré comme un chien dangereux. Une nouvelle circulaire du ministère de l’Intérieur, datée du 15 janvier, élargit à l'ensemble des membres d'une famille hébergeant un chien dangereux l'obligation de disposer d'un permis de détention. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/02/12/01011-20100212FILWWW00706-une-fillette-blessee-par-un-molosse.php

QUI « s'amuserait » à voler un rottweiler de 56 kilos à un rugbyman ? La question se pose après la mystérieuse disparition de Valdès, un rottweiler de 6 ans, très costaud pour sa race. Photo : « Il était devenu gourmand avec l'âge, ils l'ont sans doute eu avec de la nourriture », envisage Fabienne, qui reconnaît que l'hypothèse est « abracadabrante ». Retour sur les faits : samedi, alors que ses maîtres sont absents, Valdès monte paisiblement la garde devant la maison de bois nichée dans une petite rue de Savigny-sur-Aisne. Vers 17 heures, les gendarmes qui font une ronde empruntent cette rue. Ils sont formels : le chien était bien là. « Nous sommes rentrés à 20 h 30, plus de chien », se désolent Frantz et Fabienne Lépinois. La première hypothèse est forcément la fugue. Problème : un grillage d'1 m 60 entoure la maison et il ne montre aucune trace du passage d'un molosse, qui en raison de problèmes d'articulation, ne peut pas faire de sauts immenses. De plus, après une première fugue à l'époque où la famille vivait à Blaise, Valdès porte souvent un collier qui lui inflige une décharge électrique dès qu'il s'approche du grillage. « Il ne le portait pas ce jour-là, mais c'est psychologique, ça faisait son effet et il ne s'approchait plus ». Lors de cette fugue à Blaise, le chien n'était pas allé bien loin. « Dès qu'il entend nos voitures, il revient. Il a peur d'être dehors la nuit » expliquent ses maîtres. Surtout, le couple ne veut pas croire que le chien puisse être dans la nature sans être signalé. « Un rottweiler qui divague, ça se sait vite ! Les gens ont déjà eu assez peur quand on est arrivé, on leur a montré les précautions prises pour les rassurer… mais s'il avait été vu dans Savigny on le saurait. Toutes les gendarmeries du secteur sont prévenues ». Même sentiment pour l'hypothèse d'un accident routier : la chose se serait sans doute sue. Combat ou reproduction ? Au regard de ces éléments, pour Frantz, le vol n'est vraiment pas écarté. « Mon hypothèse, c'est qu'il y a pu avoir un rapt. Pour en faire un chien de reproduction ou pire, un chien de combat ? La Lisa nous a confirmé qu'il y avait des vols de chiens dans les Ardennes. » Mais dans ce cas-là, comment expliquer l'audace et la connaissance des lieux des voleurs, qui auraient frappé dans l'intervalle de trois heures, malgré une des voitures du couple stationnée devant la maison ? Valdès est-il allé se balader en forêt jusqu'à s'y perdre ? Mais comment expliquer qu'il n'ait laissé aucune trace de son évasion ? Le flou demeure dans cette histoire. Une seule certitude, Fabienne, Frantz et le petit Clément, 3 ans, inconsolables, recherchent le moindre indice. « Si quelqu'un l'a, on veut juste le récupérer et on ne dira rien », promettent-ils. Jacques BERTHION Pour tout renseignement, tél. 06.71.62.43.04. http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/valdes-56-kg-et-72-cm-au-garrot-sest-volatilise-lombre-dun-%C2%AB-rott-voleur-%C2%BB

Épernay - Le Salon du chiot et du chaton sous haute surveillance Origine française garantie DES chiots achetés 20 euros et revendus 600… Le trafic est plus que lucratif. Il met surtout à mal la profession qui ne sait plus comment se défendre face à l'importation frauduleuse de chiots en provenance des pays de l'Est. C'est la raison pour laquelle les éleveurs, une vingtaine au total, devront montrer patte blanche ce week-end au Millesium et garantir… l'origine française de leurs animaux. « Ici, il n'y a pas de revendeurs de chiens. Nous garantissons l'origine française de tous les éleveurs présents… C'est un peu pour ça que l'ANPEF, l'association nationale de promotion des élevages français, a été créée en juin 2009 », assure Frédéric Cornet, président de l'association et organisateur de ce premier salon à Epernay. « On essaie de travailler avec des gens de qualité. L'ANPEF regroupe des éleveurs qui sont eux-mêmes producteurs, ce qui veut dire que les animaux vendus sont garantis. Il n'y a pas d'intermédiaire. Les acheteurs ont directement affaire au producteur ». Photo : Il n'y aura que des éleveurs français sur le salon. Un gage de qualité L'ANPEF, qui organise en moyenne deux salons par mois dans toute la région Nord, a fait de cette « surveillance » sa marque de fabrique. « C'est un gage de qualité pour les futurs propriétaires. » Des procédures sévères pour le contrôle de la santé et de l'origine des animaux exposés seront ainsi mises en place, en amont et pendant le salon. Tous les animaux seront contrôlés par un vétérinaire avant d'entrer dans le salon et, à chaque achat, avant de sortir du salon. Des mesures qui ont un coût : 95 euros de l'heure pour la certification du vétérinaire. Pour autant, il n'aura pas été possible de trouver un vétérinaire marnais pour cette première édition. Tous ont décliné l'invitation de l'ANPEF. C'est donc un vétérinaire de Dreux (Eure-et-Loir) qui fera le déplacement ce week-end. C.G. Le salon du chiot et du chaton se tiendra au Millesium (hall Balthazar) ce week-end de 10 à 19 heures. Entrée adulte 5 euros. Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans.

Chiens, Brest (29). Un homme grièvement blessé par un pitbull Un chien de race pitbull a sauvagement mordu un homme, dans la nuit de vendredi à hier. Celui-ci promenait son chien en compagnie d'un ami à lui, rue de Vannes, dans le quartier de Bellevue. Le tandem a alors croisé un groupe de quatre individus accompagné d'un pitbull. Les deux chiens se sont alors mis à s'aboyer dessus. Pour une raison indéterminée, le ton est aussi monté entre les propriétaires des deux animaux. Selon le parquet brestois, il semble que le propriétaire du pitbull ait porté un coup à celui de l'autre chien, avant que le pitbull n'attaque le second, le mordant gravement à la gorge, à un bras et s'acharnant particulièrement sur une main du Brestois qui s'est retrouvé à terre. Deux gardés à vue Les quatre individus se seraient alors enfuis. Fort heureusement, le compagnon de la victime a pu alerter les secours. Toujours hospitalisé hier soir, l'homme blessé, dont le pronostic vital n'est pas engagé, n'a pas pu être entendu, hier, par les enquêteurs. En revanche, deux membres du quatuor, dont le propriétaire du pittbull, ont été interpellés dans la journée et placés en garde à vue. Ils pourraient être poursuivis pour blessures et omission de porter secours à personne en danger. Le commissariat brestois est chargé de l'enquête. http://brest.letelegramme.com/local/finistere-nord/brest/ville/brest-29-un-homme-grievement-blesse-par-un-pitbull-14-02-2010-783784.php

NOUVEAU SITE INTERNET SOCIETE CANINE DE BOURGOGNE Bonjour à tous, Merci de noter l'adresse du nouveau site Internet de la SOCIETE CANINE DE BOURGOGNE , vous trouverez toutes les informations concernant les Manifestations Canines en Bourgogne. http://scb.asso.fr Source : NOURY Monique

La législation française interdit le dépôt ou l'abandon du corps d'un animal décédé sur la voie ou les lieux publics, dans les décharges ou dépôts d'ordures ménagères et à la campagne. http://www.chien.com/general/legislation/choisissez-pays/france/autres-lois-decrets/deces-votre-chien.html L'ensevelir dans votre jardin C'est possible à condition de suivre la législation en vigueur : Enterrement des animaux domestiques: article L 226-1 du code rural. Il est prudent de se renseigner auprès de la mairie du lieu concerné, pour le cas de spécificités locales. Le chien ne doit pas peser plus de 40 kg (sinon, voir l'une des autres solutions). Le terrain doit vous appartenir. Le corps doit être enseveli à au moins 35 mètres de toute habitation et de tout point d'eau. profondeur = 1,20 mètres (sauf si on utilise de la chaux vive) la suite sur le lien

BARRINGTON, Rhode Island - Un homme qui avait opéré son chien lui-même, arguant qu'il n'avait pas les moyens de payer le vétérinaire, a été condamné pour exercice illégal de la chirurgie sur un animal domestique. Alan MacQuattie avait retiré un kyste de la patte de son labrador mélangé, âgé de 14 ans. Le chien a du être opéré à nouveau par des professionnels, la première tentative ayant entraîné une infection. L'apprenti chirurgien de 63 ans, qui se présente comme handicapé et vivant des allocations de retraite de la sécurité sociale, a expliqué vendredi avoir anesthésié l'animal sur la partie touchée, faute d'argent. «Vu l'état de l'économie, surtout ici à Rhode Island, qui va nous donner un coup de main?» a souligné le retraité. E.J. Fonnochio, le vétérinaire qui préside la société de l'Etat contre les mauvais traitements aux animaux, a qualifié l'opération de «crime haineux». D'après son diagnostic, l'opération n'était pas nécessaire pour un kyste bénin, qui ne semblait pas faire souffrir l'animal. L'opération n'aurait pas coûté plus de 200 dollars, et l'association aurait pu en financer une partie, soutient Finnochio. «Je n'ai fait que tenter d'aider un animal» soutient le maître, qui affirme ne pas «croire que cela soit de la cruauté envers les animaux». http://lejournaldequebec.canoe.ca/journaldequebec/actualites/international/archives/2010/02/20100205-214507.html

Corée du Sud. Un chiot fluo contre l’alzheimer (Agence Science-Presse) - Même s'il en a toutes les apparences, Ruppy n'est pas un petit beagle comme les autres. Éteignez la lumière, pointez sur lui une lampe à ultraviolets, et il luira d'un rouge assez curieux! Fantaisie de scientifique? Loin de là, répond Byeong-Chun Lee. Le chiot transgénique pourrait avoir des applications pour traiter la maladie d'Alzheimer ou d'autres maladies humaines, explique le professeur au collège vétérinaire de médecine, à l'Université nationale de Séoul, en Corée du Sud. « Nous avons introduit le gène d'une anémone de mer dans le code génétique du chien pour le faire luire dans le noir. » Le but était de démontrer la faisabilité de créer ces chiots transgéniques. Il s'agit de la première étape avant d'introduire d'autres gènes étrangers chez ces chiens. À terme, les scientifiques veulent implanter des gènes humains aux chiens, en raison de leur similitude avec l'être humain. « Dans le futur, nous pourrons introduire des gènes défectueux, comme celui responsable de la maladie d'Alzheimer, et trouver plus rapidement des traitements », espère le docteur Lee. David Savoie Photo : Ruppy, le chiot transgénique à 10 jours, sous lumière ultraviolette http://www.sciencepresse.qc.ca/node/25747

Canada - L'Odyssée appalachienne prend de l'ampleur L'Odyssée appalachienne prend de l'envergure dans la région du Sud de L'Islet. Du 12 au 14 février, on attend 80 muschers et quelque 800 chiens prêts à se mesurer dans l'une des plus difficiles et des plus longues courses de traîneau à chiens de l'est de l'Amérique du Nord. Huit courses sont au programme dont celle de 200 kilomètres à 12 chiens. À cela s'ajoutent les courses de 21, 40 et 72 kilomètres, sans oublier les épreuves de sprint et la course amateur à 1 chien pour les enfants. Les gagnants se partageront des bourses de 20 000 $. Plus de municipalités participent à l'événement cette année, se réjouit Jean-François Labonté, président de l'Odyssée appalachienne. Il y aura des départs à Saint-Pamphile, Saint-Adalbert, Saint-Omer et Tourville. Pour sa part, Saint-Marcel accueillera l'arrêt obligatoire à mi-distance pour tous les coureurs du 200 kilomètres. Courses de chien pure race Pour ajouter au spectacle, l'organisation a inséré au programme des courses de chien pur race en présentant des attelages de races nordiques reconnues, dont le husky sibérien, l'alaskan malamute et le samoyède. Moins rapides que les chiens chasseurs sur de courtes distances, ces races nordiques se révèlent plus endurantes sur les longs parcours, a précisé Jean-François Labonté. Plusieurs nouveautés En plus des courses, l'équipe responsable a concocté toute une programmation sertie de plusieurs nouveautés. Exposition sur Roméo Morneau, champion local de courses à chiens dans les années 30, tournoi de poker, démonstration et initiation au cerf-volant de traction, déjeuner des «jappeux», tournoi de hockey de rue, chasse au trésor pour les enfants, démonstration d'un maître-chien de la Sûreté du Québec font partie des nouvelles activités présentées cette année. Pour les intrépides, on propose le coucher sous une tente de prospecteur. En fait, deux tentes munies d'un chauffage au bois seront installées sur le terrain de l'école La Rencontre pour accueillir ces courageux. Des activités seront prévues durant la nuit qui sera agrémentée d'une collation et d'un chocolat chaud. Projet avec Pohénégamook Pour conclure, Jean-François Labonté a glissé quelques mots d'un projet, encore à l'état d'ébauche, visant à rallier Pohénégamook dans une course longue distance de 350 kilomètres (aller-retour Saint-Pamphile-Pohénégamook) sur trois ou quatre jours. Cette épreuve deviendrait l'une des étapes préparatoires pour se qualifier à la plus longue course, celle du Yukon Quest. Diane Gendron http://lepeuplecotesud.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=128666&id=841&classif=Nouvelles

Suisse - LAUSANNE : Un enquêteur pour débusquer les chiens mal élevés La Municipalité met au concours un poste d'enquêteur pour son Bureau d'intégration canine. Il aura pour mission d'établir les faits en cas de morsure et de détecter les chiens potentiellement dangereux non déclarés. Julian Pidoux Les pitbulls font partie des chiens que l’inspecteur canin aura à l’œil La Ville de Lausanne sert la vis à l'égard des propriétaires de chiens peu respectueux de la loi. Elle va engager un enquêteur pour son Bureau d'intégration canine (BICan). Il gardera un oeil particulièrement attentif sur les molosses. Ce fonctionnaire aura notamment pour mission d'établir les faits et les responsabilités en cas de morsure, de détecter sur le territoire lausannois les chiens potentiellement dangereux non déclarés - pitbull, rottweiler et amstaff - ou encore de prendre part aux évaluations comportementales de certains chiens. «Nous remarquons que de plus en plus de gens, lors d'un litige sérieux impliquant leur chien ou d'une morsure, quittent les lieux de l'incident sans donner leur nom», explique François Bezençon, chef du BICan. L'enquêteur, qui aura des pouvoirs administratifs de police, devra alors chercher à déterminer les circonstances exactes d'un incident. Mais l'objectif des autorités lausannoises n'est pas que répressif. L'enquêteur devra également désamorcer les problèmes potentiels en amont. «Il s'efforcera par exemple de voir si les particuliers qui vendent des chiots par petites annonces ont déclaré la portée - dite familiale - au vétérinaire cantonal comme la loi l'exige, note François Bezençon. Un jeune chien mal encadré peut ensuite présenter des troubles du comportement.» François Bezençon précise toutefois que les efforts se concentreront plutôt sur les portées de chiots, dont les morsures, une fois l'animal adulte, peuvent être graves. Il est en outre probable que le service vétérinaire cantonal ouvre un poste similaire si l'expérience lausannoise est concluante. Un tel enquêteur aurait sans doute été fort utile dans le très médiatisé incident de Préverenges, qui oppose toujours la propriétaire du pitbull «Baxter» aux parents du petit Bleon, blessé par ce chien. Du côté de Genève, Pierre-François Unger, conseiller d'Etat, explique que «du personnel supplémentaire a déjà été engagé au sein du service vétérinaire pour réaliser ces tâches d'enquête. Si on aime les animaux, il faut parfois savoir être stricte avec les propriétaires.» http://www.lematin.ch/actu/suisse/enqueteur-debusquer-chiens-mal-eleves-236806

Madame, Monsieur, Le Club Canin d’Avalanche a le plaisir de vous inviter à participer au tout premier concours de chiens de sauvetage spécialité avalanche organisé en France qui se déroulera le dimanche 14 mars 2010. et sera patronné par la SCC. Monsieur Claude Mitropolitis jugera l’épreuve suivante : - Echelon A spécialité avalanche L’organisation des épreuves sera la suivante : • 9h00 sur le stade des Chappellannes commune de Villarlurin : obéissance et dextérité • 13h30 aux Ménuires : travail de recherche en avalanche. Un repas vous sera proposé dimanche midi et, afin de permettre une bonne organisation, nous vous demandons de nous faire parvenir avant le 1er Mars 2010 vos réservations et engagements au siège social du Club Canin d’Avalanche St Marcel 73440 St Martin de Belleville. En espérant avoir le plaisir de vous compter parmi nous à l’occasion de ce concours, je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, mes sincères salutations. Le Président Camille Vachet. + d'infos : yannick.douaud@free.fr Source : http://www.chien.com

Pas-de-Calais : Inquiétudes pour les chiens et les chats Depuis plusieurs semaines, les disparitions de chiens et de chats se multiplient dans les cantons d'Avesnes-le-Comte et d'Aubigny-en-Artois, ... mais aussi sur le secteur de Beaumetz-lès-Loges. C'est l'assistante vétérinaire d'un cabinet du secteur qui a tiré le signal d'alarme en fin de semaine dernière. De nombreux animaux étant tatoués, « pucés », ou portant simplement un collier, leurs propriétaires ont signalé ces disparitions auprès du cabinet, cherchant à savoir si leur ami à quatre pattes n'avait pas été retrouvé ou signalé par quelqu'un. Une démarche vaine, malheureusement. Des animaux de toutes tailles et de toutes races Dans le secteur d'Avesnes-le-Comte, on parle déjà d'une vingtaine de chiens et de chats disparus depuis un mois. Au moment des fêtes de fin d'année, pareilles disparitions avaient été déplorées dans le secteur de Saulty et de Sombrin, mais aussi à Izel-lès-Hameau, Penin ou encore Berlencourt-le-Cauroy... Ces disparitions sont d'autant plus inquiétantes que les animaux ne sont pas retrouvés, pas même empoisonnés. Les propriétaires sont dans la plupart des cas circonspects, puisqu'il s'agit d'animaux qui sortaient peu et n'avaient pas pour habitude de se sauver. Ils ont disparu dans le terrain ou dans la cour de la propriété familiale, sans que des mouvements suspects aient été repérés d'une manière ou d'une autre. Ils se sont « volatilisés ». Les chiens et chats en question ont-ils pu être volés pour être revendus ? L'assistante vétérinaire en doute, dans la mesure où ce phénomène concerne à la fois des chiens et des chats, des animaux de toutes tailles, et des croisés autant que des chiens de race. « De pire en pire » Devant l'ampleur prise par cette situation, la brigade de gendarmerie d'Avesnes-le-Comte a été alertée. Il en est désormais de même pour les unités d'Aubigny et de Beaumetz. « Plus les jours passent, plus la situation empire », déplore l'assistante vétérinaire. Le meilleur conseil à donner aux propriétaires, aujourd'hui, est de garder ses animaux à la maison ou de les surveiller lorsqu'ils sont à l'extérieur. Le temps que l'enquête avance ou que ces disparitions cessent enfin. • D. D. PH. ARCHIVES « LA VOIX » http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Saint_Pol_sur_Ternoise/actualite/Saint_Pol_sur_Ternoise/2010/02/08/article_inquietudes-pour-les-chiens-et-les-chats.shtml

Angélique Buquet, déléguée pour la région Haute- Normandie du club Jack Russell terrier vient de se voir confier par sa Fédération l'organisation du championnat de France qui se tiendra le samedi 18 septembre. Photo : Françoise Guillot, Christian Legrand et Angélique Buquet mettent sur pied cette organisation La petite station balnéaire veulettaise s'avère l'endroit idéal pour organiser un tel événement. Une des premières réunions de préparation vient d'avoir lieu avec les élus de la commune, Christian Legrand, le maire, et Françoise Guillot, la première adjointe, afin de mettre en place toutes les dispositions matérielles, de sécurité, voire d'hébergement, de restauration… Nicolas Couturier a d'ores et déjà été retenu pour assurer l'animation. Le jury national aura à juger 150 à 200 participants, des magnifiques chiens de chasse qui viendront de toute la France, mais aussi de Belgique et de Grande-Bretagne. Les organisateurs font déjà savoir que l'entrée sera gra- tuite pour le public, qui pourra donc admirer ces magnifiques chiens. http://www.paris-normandie.fr/index.php/cms/13/article/305398/Pres_de_200_chiens_en_lice

Dimanche matin, dans un bois entre Castelsarrasin et Saint-Nicolas, un promeneur a assisté à une scène d'un autre âge. Le cliché que nous publions parle de lui-même, c'est un acte sadique, une scène d'un autre âge à laquelle a assisté un promeneur qui baladait, dimanche matin, ses chiens dans un bois isolé entre Castelsarrasin et Saint-Nicolas-de-la-Grave. L'homme, qui préfère, pour l'heure, conserver, pour des raisons évidentes, l'anonymat, témoigne sur «l'exécution sommaire» à laquelle il a assisté. «C'est en promenant mes chiens non loin du Tarn que j'ai été intrigué par le va-et-vient d'un véhicule auquel je ne portais pas d'attention particulière, si ce n'est qu'il ne circule pas beaucoup d'automobiles en plein bois.» Et de poursuivre: «Je l'ai vu alors sortir quelque chose de sa malle qu'il a traînée avec une certaine résistance jusqu'à un arbre (c'est vraisemblablement le chien de chasse, avec la corde qu'il a déjà autour du cou, NDLR). Peu après, j'ai entendu un coup de feu, ce qui m'a d'autant surpris que l'on est en pleine réserve de chasse, un endroit où les chasseurs n'ont justement pas le droit de tirer.» En quelques minutes, le promeneur se précipite sur les lieux pour voir de quoi il s'agit. Sur place, il a juste le temps de voir un véhicule qui s'éloigne promptement et le cadavre d'un chien de chasse froidement abattu d'un coup de fusil à l'arrière du crâne. Indigné par cet acte de cruauté sans nom, il informe immédiatement l'association du refuge de Saint-Béart à deux pas de là qui lui conseille de déposer aussitôt plainte. Cette dernière est enregistrée au commissariat, accompagnée d'une série de clichés. Le chien a, depuis, été transporté à la clinique vétérinaire de Moissac où, à la demande du parquet, il a été autopsié hier. Dans le même temps, une douille de calibre 12 - celle d'un fusil de chasse - et de plomb 6 - servant habituellement aux chasseurs de faisans ou de perdreaux- a pu être identifiée sur le lieu du tir. Elle a été transmise aux services de la gendarmerie qui devraient la faire analyser dans leur laboratoire. Également sur place, Michèle Fléta, l'un des coresponsables du refuge canin, se déclarait indignée par ce qu'elle n'hésitait pas à qualifier comme un «acte de barbarie. Il n'a laissé aucune chance à cet animal attaché à 60 centimètres de corde». Et de pointer du doigt une catégorie qu'elle connaît bien: «C'est la fin de la saison de la chasse, on n'a plus besoin du chien, et bien, on n'hésite pas à s'en débarrasser d'un coup de fusil.» Une situation dont ce défenseur des animaux entend faire un exemple. «L'association de Saint-Béart, à laquelle se sont joints, d'ores et déjà, 30 Millions d'amis et la fondation Brigitte Bardot, a déposé plainte et se portera partie civile s'il devait y avoir un procès.» Source : http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/10/773789-Il-abat-froidement-son-chien-de-chasse.html

Les cailloux Bleus en attente

éleveur amateur en cours en attente

en attente

Nous nous amusons comme des fous avec maman et Marine !

J'ai 1 mois et 2 jours! Je me porte comme un chef. Ma couleur n'a pas bougé. Je pense resté Lavande et Feu