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eleveur du domaine de trebimoel http://www.elevagedudomainedetrebimoel.fr/topic/index.html

Canicross Le 07 mars 2010 : Canicross blanc. Nous organisons avec la collaboration du Club Canicross Rhones Alpin un canicross blanc dans notre station. Un parcours avec une vue exceptionnelle vous attend! Pour tout renseignement 04.76.80.13.52 Contact : MArie ou http://www.auris.fr Mail : accueil@auris-en-oisans.fr office de Tourisme d'AUris

Chiens dangereux : la loi se durcit pour 3 600 propriétaires dans le Rhône Depuis le 1er janvier, les propriétaires de chiens catégorisés doivent passer un double certificat pour être en conformité et éviter une grosse amende. 3 600 sont concernés dans le département.... Officiellement Hier à Saint-Laurent de Mure. Ils sont une vingtaine à passer la journée au club du chien de défense et de police de Lyon. Tous des propriétaires de chiens dits dangereux, appartenant à la première ou deuxième catégorie. Après sept heures de formation, ils auront leur certificat de détention, qu'ils devront compléter par un examen comportemental du chien chez un vétérinaire habilité. Coût total, environ 300 euros, même si les tarifs sont libres et varient selon les structures. C'est en tout cas le prix à payer pour posséder aujourd'hui, un staff ou un rottweiller. C'est la troisième session assurée par Bernard Louis, éducateur canin depuis 25 ans : « Nous en ferons sans doute deux par mois jusqu'à l'été. La présence du chien n'est pas obligatoire car ce n'est pas en sept heures que l'on éduque un animal. C'est toute une vie. En revanche, cette journée n'est pas inutile pour faire de la prévention et rappeler dans quelles circonstances un chien peut être agressif, quand tous les propriétaires sont certains que leur chien est le plus beau et le plus gentil. On constate souvent, par exemple, que l'enclos du chien est protégé par un loquet que n'importe quel enfant peut ouvrir. Ou bien qu'une petite main peut aisément passer à travers les barreaux d'un portail. Bref, on essaie de leur donner le maximum d'outils en main ». 350 000 chiens dangereux sont répertoriés en France. Dont 3600 dans le Rhône, parmi lesquels 1 400 à Lyon et Villeurbanne. Évidemment, il en existe beaucoup plus. Mais pour les uns comme pour les autres, le non-respect de la nouvelle législation est passible d'une amende pouvant aller jusqu'à 3 750 euros. Pour y échapper, il faut au minimum prouver que vous avez engagé les démarches. Cette loi est-elle suffisante? Pour Bernard Louis, cela aurait pu être l'occasion d'aller plus loin: «on s'est focalisé sur certaines races mais pour tous les chiens, c'est la même chose. Il faudrait inciter les maîtres à aller dans un club. L'idéal est même de nous contacter avant de prendre un chiot pour bien mesurer toutes les contraintes et les devoirs. Trop de gens vont dans un élevage comme au supermarché. Un chien, c'est vivant et cela peut être une arme par destination ». Au club de Saint-Laurent de Mure, l'adhésion annuelle est de 125 euros pour une séance hebdomadaire 11 mois sur 12. Xavier Breuil Source : http://www.leprogres.fr/fr/reg(...)

Jasseron - Les pompiers sauvent un chien de chasse après une nuit dans un ravin Dans l'excitation d'une bonne après-midi de chasse samedi, Victoire, belle chienne de chasse de Maurice Cœur s'est éloignée quelque peu de son maître et s'est perdue dans la montagne du Château. Dans son parcours, elle a descendu un ravin juste au-dessus de l'ancienne carrière route de Meillonnas. À un certain endroit, plus possible de continuer plus bas et plus possible de remonter pour faire demi-tour. Se signalant par ses aboiements, mais la nuit tombant, ce n'est que dimanche matin que l'équipe des pompiers locaux a réussi, tout en finesse, à lui faire surmonter sa peur pour enfin, la récupérer. De quoi soulager ses maîtres, ravis de la retrouver. Photo La chienne Victoire, ravie de retrouver ses maîtres après une nuit passée dehors / Photo Didier Durif Une belle histoire qui a trouvé une fin heureuse grâce à l'action toujours appréciée des sapeurs-pompiers volontaires du centre de première intervention de Jasseron. Source : http://www.leprogres.fr/fr/reg(...)

Les chiens dits « dangereux » de plus en plus touchés par les abandons Avec la mise en vigueur du permis de détention pour les chiens dits « dangereux », ... la SPA Canche-Authie doit faire face à une augmentation des abandons de chiens, principalement ceux de la deuxième catégorie comme les croisés rottweiller. En effet, depuis le 1er janvier, les propriétaires ou détenteurs de chiens susceptibles d'être dangereux de catégories 1 pour les races d'attaque et de catégorie 2 pour celles de garde et de défenses doivent être titulaires d'un permis de détention. Le chien doit passer une évaluation comportementale, effectuée par un vétérinaire agréé et le maître, un test d'aptitude, obtenue avec un formateur agréé. Celui-ci doit suivre une formation sur l'éducation et le comportement canin mais également sur la prévention des accidents. Le permis sera ensuite délivré par les maires après présentation des différents documents. Les objectifs principaux de ce permis de détention sont de responsabiliser les maîtres et de sanctionner les personnes inconscientes qui dressent ces chiens à l'attaque et qui les utilisent comme des armes. Photo : Tigrou le rottweiler attend une nouvelle famille. Il est sage et doux, comme tous les chiens bien éduqués. « Les propriétaires de chiens de race de 1ere et 2eme catégorie mais principalement de croisés rottweiller ont tellement peur que leurs chiens n'obtiennent pas le test comportemental, qui est effectué sans le maître, qu'il préfère abandonner leur animal ou ils nous appellent pour l'abandonner », expliquent les bénévoles de la SPA Canche-Authie. Mais les abandons et les demandes d'abandon ont réellement commencé en septembre 2009 et les bénévoles du refuge craignent fortement une sérieuse croissance. « Au refuge, il n'y a aucun rottweiller méchant. Mais maintenant, ce sera bien plus difficile de les faire adopter. Par exemple, ici on a dans le même box, Tigrou et Téquila, deux rottweiller qui sont de supers chiens mais comme pour toutes les autres races, il faut faire attention et leur donner une éducation ferme. » • Source : http://www.lavoixdunord.fr/Loc(...)

Dieppe : Chiens sales : gare au PV ! INCIVILITES.Les policiers municipaux sont désormais assermentés pour verbaliser les propriétaires d'animaux qui font leurs besoins en ville. Une mesure radicale. Photo : Les policiers municipaux privilégieront le dialogue mais n'hésiteront pas à sévir si besoin Cette fois, la municipalité a décidé de mettre les pieds dans le… plat ! Désormais, la mairie fait la chasse aux propriétaires de chiens irrespectueux qui gâchent notre quotidien. Les canisettes (petits aménagements destinés à recevoir les déjections canines) et les distributions de sachets à excréments n'ayant pas suffit à faire entendre raison aux plus sales, les élus, qui parlent « d'incivilités persistantes et regrettables », lancent une opération répression. Depuis près de deux semaines, la police municipale est assermentée pour verbaliser les propriétaires de chiens malpropres. Après des années de prévention et de dialogue infructueux, l'outil répressif devenait inévitable. « S'il n'y a pas de sanction, les gens continuent, regrette Hugues Falaize, adjoint à l'Urbanisme. C'est la culture du pays qui veut ça. A Dieppe, c'est un réel problème. Surtout pour une ville qui se veut touristique. » Après presque un an et demi de procédure, un arrêté municipal a été pris le 14 janvier et quatorze agents sont maintenant autorisés à verbaliser les contrevenants. « Nous ne sanctionnerons pas systématiquement les gens, explique Bruno Ohl, brigadier-chef de la police municipale de Dieppe. Nous les rappellerons à l'ordre. Mais si on les reprend, on sera plus fermes. C'est une petite ville et on connaît les gens qui ne jouent pas le jeu ». Que risquent les propriétaires de chiens indélicats ? « Une amende de 11 € et le relevé de leur identité », indique le brigadier-chef Bruno Ohl. « L'amende aurait pu être de 68 €, ajoute Hugues Falaize. Mais nous avons fait le choix d'être modéré ». Les agents de police seront munis de petits carnets roses et n'effectueront pas de tournées dédiées à ces incivilités mais verbaliseront les flagrants délits. « L'arrêté pris par la mairie s'applique à l'ensemble de la ville, confie Bruno Ohl. Mais nous sanctionnerons essentiellement dans les lieux ou cela pose de réels problèmes. A savoir le centre-ville, les pelouses et les plages. » Le document tend également à lutter contre la divagation des chiens, « principale cause des déjections canines » selon l'adjoint à l'Urbanisme. Et les propriétaires doivent tenir leur chien en laisse. Cependant, les quadrupèdes sont totalement interdits sur les plages du 15 juin au 15 septembre. Des panneaux ont également été installés pour informer les gens, dont six dans la Grande Rue et rue de la Barre. charly le gal Source : http://www.paris-normandie.fr/(...)

L'idée d'un parc à chiens fait son chemin à Les Coteaux Jessica Stafford Le Journal Saint-François Depuis qu'elle possède Buster, un labrador blond maintenant âgé de 7 ans, Karine Latour pense à mettre sur pied un projet de parc à chiens. L'idée pourrait prendre forme à Les Coteaux dans les prochains mois. La résidante du secteur Coteau-Station aimerait bénéficier de l'aménagement d'un parc pour enfants dans son quartier, à l'été 2010, pour exaucer son voeu. L'occasion serait idéale pour y construire à proximité l'emplacement dédié à ces animaux domestiques. Karine Latour, résidante des Coteaux, a identifié des terrains qui pourraient être propices à l'aménagement d'un parc à chiens. (Photo: LE JOURNAL) L'été dernier, pas moins de 449 membres de l'espèce des canidés étaient présents dans les foyers de la municipalité. Avec les nouvelles constructions et l'établissement de jeunes familles au cours des derniers mois, il ne serait pas surprenant que ce chiffre ait grimpé depuis. Dans le document qu'elle remettra prochainement au conseil municipal, la jeune maman énumère les bienfaits qu'aurait une aire comme celle-là. «Un parc à chiens est un endroit idéal pour permettre à Fido de faire de l'exercice. Les propriétaires du meilleur ami de l'homme aiment tisser des liens avec d'autres gens qui leur ressemblent, ce qui favorise également le bon voisinage», soutient la nouvelle citoyenne des Coteaux qui habite depuis décembre dernier dans Les Jardins du Havre. Diminuer l'embonpoint par l'activité physique, prolonger généralement la vie et améliorer grandement la santé mentale de son compagnon, ne sont que quelques-uns des points positifs apportés par la création d'un tel parc. «Une diminution des risques de mauvais comportements comme la destruction d'objets, les jappements, les fugues, l'agressivité et la peur, sont aussi escomptés», ajoute celle qui doit accoucher de son deuxième enfant d'ici deux semaines. Selon la propriétaire de Buster, les animaux qui ne peuvent se défouler finissent souvent par être abandonnés ou euthanasiés car leurs maîtres ne réussissent pas à régler ces problèmes. «C'est malheureux car ces troubles seraient faciles à éliminer par l'exercice en quantité suffisante et une sociabilisation adéquate. Ces deux bénéfices sont intimement en lien avec la fréquentation d'un parc à chiens», affirme-t-elle. La concrétisation de ce projet pourrait donc diminuer le nombre de plaintes liées aux pitoux. Ces derniers seraient moins en contact avec la portion de la population qui n'en possède pas. «C'est une belle façon de les concentrer dans un lieu où les humains qui craignent les chiens ne se retrouvent pas, contrairement aux balades dans les rues», explique celle qui s'est renseignée amplement sur le sujet. L'instigatrice du plan propose de mettre en place des règlements qui seraient affichés clairement à l'entrée du site ou, préférablement, remis aux utilisateurs lors de leur inscription. Par exemple, le feuillet explicatif en question décrirait les exclusions temporaires de l'enclos. Il reviendrait à un comité de suggérer des règles pertinentes, dont la procédure pour libérer et remettre en laisse son animal à l'endroit prévu à cette fin, c'est-à-dire, entre les portes doubles. Les excréments devraient être ramassés par le maître et celui-ci devrait réparer les dégâts causés par son chien, s'il y avait lieu. Il serait également interdit de laisser son compagnon sans surveillance. Un grand terrain où les chiens pourraient courir serait nécessaire. Un espace de 100 pieds par 200 pieds accueillerait environ 30 bêtes à la fois, soit le maximum d'achalandage escompté. Le lot doit, toujours selon la présentatrice du projet, avoir accès à la rue avec une entrée pour que les camions de la ville puissent y accéder. Une entrée avec portique pour les usagers serait également essentielle. La résidante des Jardins du Havre n'a négligé aucun détail dans son document quant à la forme que prendrait l'emplacement choisi pour demeurer sécuritaire, si l'idée devait être retenue par les élus municipaux. Les coûts totaux à la réalisation d'un premier parc à chiens pour la région de Soulanges sont estimés à un maximum d'environ 15 000 $, incluant la surface, la clôture, un abreuvoir, l'affichage des règlements et l'éclairage. Pétition en cours Celle qui a conceptualisé le projet comptait près d'une soixantaine de signatures à sa pétition lors de sa rencontre avec le JOURNAL, la semaine dernière. Mme Latour est optimiste d'en amasser encore beaucoup d'autres puisqu'elle commence à peine son porte-à-porte. «Au moins la moitié de mes voisins ont des chiens et je sais que la majorité des gens de ma rue signeront pour donner leur appui à l'aménagement du parc», est convaincue l'employée du CLSC à Salaberry-de-Valleyfield. Il est possible de signer la pétition en se rendant à l'Hôpital vétérinaire Lac Saint-François, située sur la rue Principale dans le secteur Coteau-Landing, qui endosse l'initiative avec enthousiasme. Les cabots peuvent présentement bénéficier d'un terrain clôturé pour courir et s'amuser dans les municipalités de Hudson et de Kirkland, les deux seuls endroits qui en possèdent à proximité des Coteaux. Source : http://monteregieweb.com/main+(...)

Photo : La Grande Virée, course de traîneaux à chiens, en était à sa quinzième édition. Agence QMI/Jean-François Desgagnés Bien qu’il ait fait un froid à ne pas mettre un chien dehors hier, cela n’a pas empêché des milliers de personnes de participer aux différentes activités de cette première journée du Carnaval, où la race canine était à l’honneur. Les plus petits se sont gelé les pattes; les plus gros et les plus poilus, eux, ont fait des jaloux. Évidemment, il est ici question de chiens. Ceux-là mêmes qui ont été les grandes vedettes de cette première journée complète de festivités hivernales dans les rues du Vieux-Québec. À compter de 10 h, on a pu voir la compétition d’agilité canine sur neige prendre son envol, comme le veut la tradition depuis plus d’une dizaine d’années. «La seule compétition sur neige du monde», a dit Junior Cabana, animateur de cette activité. Jusqu’en fin d’après-midi, 55 participants sont venus mettre à l’épreuve les performances de leurs compagnons à quatre pattes. Selon leurs degrés d’agilité, les bêtes ont dû grimper, zigzaguer entre les poteaux, se faufiler dans les tuyaux: tout ça, sans perdre un instant. Arrivée de Trois-Rivières pour participer à la compétition avec Yougi, son caniche nain de trois ans, Marie-Pier Auclair, 15 ans, se passionne pour les épreuves d’agilité canine depuis deux ans. Elle voit là une excellente occasion de lui faire dépenser de l’énergie. C’est Zelda, un chien dirigé par Pierre-Luc Cyr (Club d’agilité des Deux-Rives), qui a mérité le titre de meilleur chien du jour, en plus de la première position dans la catégorie «Expert». Une course qui a du mordant Faisant tout autant partie de la tradition du Carnaval de Québec, la Grande Virée, course de traîneaux à chiens, en était à sa quinzième édition. Le point de départ et d’arrivée du parcours en boucle de 6 km était situé près du Château Frontenac. Chose certaine, ça a jappé sur la rue Saint-Louis. La Grande Virée est une course de traîneaux à chiens pas comme les autres, puisque c’est la seule à se tenir en ville. «Les chiens se croisent. Alors, peu importe où tu es situé, tu es sûr de faire les attelages au moins deux fois», a fait remarquer le président du Carnaval, André Roy. La plupart des équipes sont parvenues à terminer le parcours de 6 km en un temps oscillant autour de 10 minutes. Selon les animateurs de la compétition, Éric Bernard et Louis Lacroix, les chiens ont filé à une vitesse moyenne de 20 milles à l’heure, le temps froid ayant aidé pour que la qualité de la surface enneigée profite aux chiens. La musher Madeleine Leblond est celle qui a remporté l’épreuve pour la sixième fois, en un temps de 9 min 45 s, devant Alex Thomas (9 min 48 s) et Sadie Thériault (9 min 51 s). Certains chiens, plus indisciplinés, comme ceux du musher Guillaume Lemire, ont pris pratiquement deux fois plus de temps que ceux de l’équipe gagnante pour venir à bout du parcours. L’un d’eux a même été surpris à prendre une «mordée» de neige quelques pas avant la ligne d’arrivée. (Le Journal de Québec) Source : http://www2.canoe.com/infos/so(...)

Photo: Laetitia Deconinck, Le Soleil Frédéric Denoncourt Le Soleil Québec - Madeleine Leblond avait très peu de temps à accorder aux médias dans les minutes suivant la fin de sa course. «Excusez-moi. Donnez-moi encore quelques minutes», a-t-elle répété à plusieurs reprises. Elle préférait consacrer toute son attention et son énergie à récompenser ses «coéquipiers» Champion (le meneur), Grizek, Blackie et Spock, des chiens de race alaskan. On ne pouvait pas le lui reprocher. Parce qu'admettons-le : nous n'en avons trop souvent que pour les bipèdes et leur savoir-faire lors de ces courses. En revanche, nous avons un peu tendance à minimiser l'effort considérable fourni par les bêtes. Ce n'est à l'évidence pas le cas de Madeleine Leblond, qui avait concocté pour ses quatre chiens âgés entre un an et demi et huit ans un mélange à forte teneur en protéines fait de foie, d'oeuf et de boeuf haché. Les rois du jour ont même eu droit à... des ailes de poulet! Des ailes de poulet? «Oui, comme celles que tu manges! C'est leur récompense d'après-course.» Le plus jeune chien de l'attelage, Blackie, a un an et demi, le plus vieux, Champion, en a huit. La retraite va bientôt sonner dans son cas. «Il va me lâcher bientôt, je dois préparer la relève», lâche en terminant celle qui ne semblait nullement envisager son retrait de la compétition. Source : http://www.cyberpresse.ca/le-s(...)

Suisse - Chiens : Dans les Franches-Montagnes, l’illusion du Grand Nord Sous la neige et par moins dix degrés, 700 chiens de traîneau se sont affrontés sur les plages de neige de Saignelégier Photo : La Neuchâteloise Sarah Audétat et son attelage de Huskies de Sibérie. (Eddy Mottaz) Il est environ 9h30 ce dimanche et 700 chiens de traîneau trépignent et jappent sur leur plage d’or blanc, à Saignelégier (JU). Cela fait beaucoup de bruit. «Cela n’arrive heureusement qu’une fois l’année», lâche Hélène, venue en voisine voir «ces belles bêtes avec des yeux bleus perçants qui font presque peur». Il neige à gros flocons, le public de 12 000 personnes est un peu moins nombreux qu’à l’habitude (jusqu’à 20 000 personnes les années précédentes), mais cela ne contrarie pas Toinette Wisard, secrétaire de la Société de développement et d’embellissement de Saignelégier (SDES), qui depuis 1973 organise cette compétition. «Quand ça tombe comme ça, les chiens sont heureux, ils sont pressés de s’élancer, ça promet du spectacle», se réjouit-elle. Quatre-vingt-dix attelages prennent part à la manifestation, venant de Neuchâtel, de Berne, du Jura, de France et même d’Espagne et des Pays-Bas. Plusieurs courses sont prévues: sprints de 8, 12 et 18 km et mi-distance sur 35 km. La Neuchâteloise Sarah Audétat, 39 ans, concourt dans cette dernière catégorie. Ses chiens sont des Leva-Neve, originaires du Vercors. «Ce sont des chiens nordiques, des Huskies de Sibérie, une pure race», annonce-t-elle fièrement. Les spécialistes les considèrent comme les pur-sang des attelages. Sarah en possède douze qu’elle élève chez elle aux Vieux-Prés. Publicité Comment est-elle devenue musher ou conductrice d’attelage? «J’aime les chiens, la neige et les grands espaces, voilà les seules explications. J’ai commencé avec des petites compétitions et puis en 2004 je suis passée à l’échelon supérieur.» Au point de désormais s’élancer dans la Grande Odyssée, «le marathon blanc», course internationale de dix jours sur plus de mille kilomètres dans les Alpes françaises et suisses. Sarah a d’abord goûté au Trophée qui dure trois jours. Elle a fini 4e en 2008 et deuxième en 2009. En 2010, elle a tenté l’Odyssée mais «j’ai survitaminé mes chiens, ça les a presque intoxiqués, la course n’a pas été plaisante». Ses Huskies s’appellent Bluebell, Shénia, Tolkien, Koda etc. Ils ont de 2 à 7 ans. Koda, le chef de la meute est placé derrière, le premier donc à tirer le traîneau lourd de 15 kilos. Les chiens les plus légers, en général les femelles, sont en tête. Les 35 kilomètres sont parcourus en environ deux heures. Source : http://www.letemps.ch/Page/Uui(...)

Australie - Une maman chihuahua adopte trois chatons orphelins Qui a dit que les chats et les chiens ne s’entendaient pas? La semaine dernière, suite à des complications, Tinkerbell, une femelle chihuahua, était à la clinique vétérinaire Hobart Animal où elle avait donné naissance par césarienne à quatre chiots. Alors que sa maîtresse était à son chevet, un homme est arrivé avec trois chatons orphelins qui venaient apparemment de naître. Angie Reynolds a aussitôt décidé de prendre les petits malheureux chez elle, à Mornington, jusqu’à ce qu’elle leur trouve une nouvelle famille d’accueil. “Lorsque nous sommes rentrés, j’ai mis les chatons avec ma chienne pour voir si elle les acceptait, a-t-elle raconté au journal australien The Mercury. Non seulement Tinkerbell les a adoptés mais elle fait leur toilette, se blottit contre eux pour les réchauffer et elle devient folle si j’en prends un.” Puis elle a ajouté : ” La maman et tous ses bébés se portent bien.” Angie est tellement sous le charme de cette petite famille inattendue qu’elle a beaucoup de peine à imaginer qu’un jour, il va falloir qu’elle s’en sépare! Source : The Mercury Source : http://www.doggybuzz.fr/2010/0(...)

Une meute de chiens errants entre dans le zoo de Sofia et tue treize pensionnaires. Joël Cerutti Les vétérinaires du zoo de Sofia (Bulgarie) ont découvert le carnage vers les 7 h 30 le matin du 24 janvier. Les cadavres de huit mouflons, quatre daims et une biche baignaient dans des mares de sang. Les responsables de la tuerie? Une meute de six chiens errants, poussée par la faim et les températures glaciales, qui avait réussi à pénétrer dans les lieux en sautant par-dessus une clôture séparant le zoo d'un parking privé. Sans l'intervention des gardes de sécurité, les chiens auraient encore ajouté deux daims et un mouflon à leur tableau de chasse. La meute a pris la fuite dès l'arrivée des humains avant d'être finalement attrapée par des agents de la Municipalité de Sofia. Le directeur du zoo, Ivan Ivanov, ne mâche pas ses mots devant ce carnage. «Ne me demandez surtout pas ce que j'ai ressenti quand j'ai vu tous ces animaux tués! Je n'arrivais pas à croire ce qui s'était passé. Depuis ces événements, je viens dormir tous les soirs à mon bureau, au zoo...» lâche-t-il au Monitor Daily. Depuis, Ivan Ivanov a fait renforcer les rondes et il a équipé les gardes de pistolets à gaz. Et il se pose quelques questions. La boucherie a eu lieu vers les 3 heures du matin. Il se demande comment les agents, appartenant à une société de surveillance privée, n'ont rien entendu. Il les tient même pour responsables. Chiens contre chiens Jadis, Ivan Ivanov avait trouvé une parade pour éviter ce genre d'attaque: les chiens dressés contre les chiens sauvages. «Nous prenions bien soin d'eux et ils gardaient le territoire du zoo. Ils ne laissaient aucun intrus entrer dans les cages des animaux. Mais voilà, ces chiens faisaient peur à certains visiteurs et nous avons dû nous en séparer...» déplore-t-il. Conséquence directe: le nombre de raids de chiens sauvages, effectués surtout pour voler la nourriture donnée aux pensionnaires du zoo, est grimpé en flèche. Les chiens errants posent un problème épineux aux autorités de Sofia depuis le début de la crise économique. Les canidés sont abandonnés par des propriétaires qui n'ont plus les moyens de s'en occuper. On estime qu'il y a au moins 9000 chiens errants autour de la capitale bulgare. Un nombre en constante augmentation. Pour le zoo de Sofia, la perte des treize pensionnaires se révèle très onéreuse. Ils appartenaient à des espèces rares, donc chères! Ivan Ivanov a malgré tout déjà trouvé de nouveaux animaux appartenant aux mêmes espèces pour les remplacer. Source : http://www.lematin.ch/actu/mon(...)

Le Certificat d’Aptitude à l’Accompagnement des Maîtres C.A.A.M organisé conjointement par le CEFCA (Centre d'Etudes et de Formation au Comportement Animalier) et le LPA du Pays de Bray, permet aux personnes titulaires du certificat de capacité destiné à l’exercice des activités liées aux animaux de compagnie d’espèces domestiques datant d’au moins un an, de se porter candidat pour dispenser la formation obligatoire des propriétaires de chiens de 1 ère et 2 éme catégorie définie aux articles L.211-13-1 et R. 211-5-3 du code rural. Elle est aussi ouverte à toutes les personnes désirant se perfectionner dans les comportements canins, les méthodes d’apprentissages et les techniques de communication entre l’éducateur et le maître du chien dans le cadre de la journée de formation. Validation de la formation: Délivrance du certificat de la formation validée par le Ministère de l’Agriculture, le Ministère de l’Intérieur et le Ministère de l’Outre Mer et des Collectivités Territoriales. Prise en charge : le CEFCA est un organisme de formation enregistré sous le numéro : 72064002922064, vous pouvez donc bénéficier d’une prise en charge. Les formateurs : les CAAM sont dispensés par des vétérinaires comportementalistes comme Monique Bourdin, Isabelle Vieira, Patrick Pageat, des vétérinaires et comportementalistes comme Alain Weiss, des éducateurs comportementalistes comme Joelle Caveriviére, Karine Molinié, Patrick Villardry et Patrick Schmitz. La liste complète des formateurs est disponible sur le site Internet du CEFCA. PROCHAINE SESSION Le C.A.A.M aura lieu les 2-3-4 mars 2010 au Brémontier Merval du LPA du Pays de Bray Le Château 76220 Brémontier Merval Tél: 02 32 89 96 60 Mél : lpa.merval@educagri.fr Le prix de la formation pour les trois jours est de 170 € déjeuners et pauses compris. Possibilités de restauration et d’hébergement sur place. Hébergement en pavillon d'internat (chambres de 2 à 6 personnes), Nuitée : 14.00€ / personne (literie fournie), Petit déjeuner : 2.50€ / personne, Dîner : 5.00€ / personne (nombre limité) Bulletins d’inscriptions sur le site du CEFCA http://cefca.eu Contact : pole.formation@cefca.eu Tél : 06.09.09.24.64 / 06.07.82.50.19

Qualifiée pour la finale mondiale du concours Saint-Hubert, Christelle Bataille a su faire sa place dans le milieu de la chasse, majoritairement masculin. Christelle Bataille avec Diam's, sa chienne. FILLE et petite-fille de chasseur, Christelle Bataille aime rappeler que sa mère, alors enceinte d'elle, accompagnait son père Dominique à la chasse. Aujourd'hui âgée de 30 ans, elle réalise le rêve de son paternel, qui voulait un fils chasseur. « Je ne marchais pas encore, il m'amenait déjà dans les bois. J'ai découvert la chasse à 6 ans, en l'accompagnant », se remémore la jolie blonde, qui n'a jamais été un garçon manqué. Tout naturellement, elle obtient son permis de chasse à 15 ans, l'âge minimum. Les premières chasses ont été un peu difficiles. « C'est un monde d'hommes, et certains ont eu du mal à accepter qu'une jeune fille comme moi soit autant passionnée ». Face aux remarques, pas toujours agréables aux oreilles d'une adolescente, Christelle répond à sa manière. Lors de sa première partie, elle tue deux sangliers que d'autres chasseurs venaient de rater. « Pendant mes premières années de chasse, j'ai dû être touchée par la grâce de Saint-Hubert (le saint patron des chasseurs), j'ai vu beaucoup de gibier et j'ai beaucoup prélevé. Ça m'a aidée à me faire ma place », assure-t-elle. En route vers la Slovaquie Puis Christelle découvre la chasse au petit gibier et la complicité nécessaire d'un chien. Elle acquiert un Braque, un chien d'arrêt, dont le rôle est de fixer le gibier et de le garder sous contrôle jusqu'à l'arrivée de son maître. « Puis en 2005, j'ai participé au concours Saint-Hubert, où le chasseur est évalué sur son habilité au tir et le chien sur son dressage ». Elle remporte l'épreuve départementale, la régionale et termine cinquième à la finale nationale, au domaine de Rambouillet, dans la catégorie féminine. « Pour moi, cette séparation des hommes et des femmes n'a pas lieu d'être. J'ai demandé à participer à la compétition masculine, cela m'a été refusé. Je me suis battue pour m'intégrer parmi les hommes et on m'isole à nouveau », regrette-t-elle. Soit. En 2009, elle termine vice-championne de France et gagne sa place aux championnats du monde, qui se tiendront en octobre 2010 à Brastislava (Slovaquie). Un accomplissement. « C'est une grande fierté et un beau cadeau pour tous ceux qui m'accompagnent, me soutiennent : mon père, le dresseur de mon chien, tous les chasseurs ardennais et mon compagnon ». Rencontré au cours d'une partie de chasse, ce dernier partage aussi sa passion pour les chiens. « On se comprend, on n'a pas à faire de sacrifices pour accepter la passion de l'autre. On la vit ensemble, à fond », explique Pascal Tissiere. Leur fille Inès, âgée de 6 ans, semble marcher dans les pas de ses parents. Passionnée par la nature, elle insiste déjà pour les accompagner à la chasse, même en ce rude hiver. Rémi HAVYARIMANA Source : http://www.lunion.presse.fr/in(...)

Bon anniversaire à vous deux

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C'est du forcing tout ça !

Bon anniversaire à vous deux.

Oui, j'ai passé une bonne journée ! Merci, merci.

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