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Admin-eleveurcanin

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Tout ce qui a été posté par Admin-eleveurcanin

  1. Prochain concours photos, il nous faudrait des photos de vos Puppy sans leur maman ! Et oui, tout seul, les pauvres . Petit rappel du réglement : 8) 1 photo par thème et par éleveur et affixe 8) 1 semaine pour poster : Envoyer les photos à mayajoe, Fidji ou Anima par MP et jamais par e-mail ou poster directement sur ce topic 8) vote en choix multiple 8) 1 semaine sur le page d'accueil du forum pour la photo gagnante 8) Une fois le concours lancé, il n'y aura plus de photos acceptées pour ce concours, par contre d'autres concours sur le même thème seront oragnisés alors pas de panique, toutes vous jolies photos pourront être utilisées. (S'ouvrir un book) Afin d'éviter l'anti jeu, il sera demandé de ne pas voter pour sa propre photo Presque toutes les photos seront automatiquement recalibrées par guilloteau.
  2. Je m'inscrirais sur la liste également
  3. Travail sur la création d'un élevage pension canine
  4. lalie bonjour notre affixe: le bois des ternes notre site: www.bergerblancsuisse.fr
  5. Bonjour, Mon affixe est : 65247 avec un n° d'éleveur : 371611 Mon site : http://perso.orange.fr/duchedetours Le Duché de Tours Cordialement, Dominique
  6. Ils sont beaux comme tout ! Nous croisons les doigts pour toi nicole
  7. Bienvenue parmi nous Je vais aller regarder ton site !
  8. Chacun peut donner son avis sur le sujet Avez vous déjà eu des problèmes dù à l'anesthésie ?
  9. Danielle Dr vétérinaire de liege Les interventions chirurgicales nécessitent toutes une anesthésie de l’animal, à l’exception de certains gestes thérapeutiques qui ne provoquent pas de douleur. L’anesthésie ne garantit pas que l’analgésie mais permet également une relaxation musculaire et l’absence de mouvement, elle est essentielle dans la déroulement d’une opération. Son but est d’atteindre un seuil de narcose acceptable pur l’opération prévue tout en maintenant la vie. Différents types de réflexes selon l’espèce animale sont utilisés pour juger le seuil de narcose. On peut distinguer deux grandes types d’anesthésie. La fixe qui s’effectue par produits injectables et la volatile, qui fait intervenir des gaz par inhalation. On peut aussi coupler les deux types. Chaque vétérinaire utilise le protocole d’anesthésie qui lui convient et qu’il maîtrise, de plus celui-ci varie en fonction du type d’intervention, de l’espèce animale, de son état de santé ainsi que d’autres paramètres. La surveillance pendant l’opération et directement après est essentielle. Les anesthésies s’accompagnent souvent de sédatifs et d’opiacés en prémédication. Une prémédication est fréquemment utilisée chez les chiens et chats, toutefois elle est rare chez les NAC. Les produits utilisés seuls ou plus fréquemment en accompagnement sont légion. Certains sédatifs peuvent s’antagoniser à la fin de l’opération. Une palette de sédatif, tel des alpha 2 agonistes, des opiacés, des barbituriques, etc.. s’utilise. Comme anesthésique injectable, la kétamine est un vieux produit efficace utilisé de préférence en combinaison avec un sédatif. L’expérience de médecine humaine nous permet d’utiliser également le propofol, un produit anesthésique extraordinaire et relativement sûr, mais coûteux. Comme gaz anesthésiant l’isoflurane est de plus en plus couramment utilisée malgré son prix car beaucoup plus sûre pour les NAC principalement. Elle est inhalée avec de l’oxygène. L’halothane est un gaz anesthésique encore souvent utilisé. avec oxygène et parfois du gaz hilarant. Ces gaz s’inhalent via un tube endotrachéal après intubation ou via un masque. Les anesthésies gazeuses montrent une limite chez certains reptiles spécialisés en apnées (par ex les tortues aquatiques), car l’endormissement peut durer des heures ! L’art de la narcose ne comprend pas que les produits, mais également toutes les mesures de contrôle visuelles et techniques de l’animal anesthésié, ainsi que des mesures prophylactiques pour éviter un problème opératoire ou post-opératoire lié à la narcose. Ce qu’il faut retenir, est que les techniques et produits actuels d’anesthésie deviennent de plus en plus fiables, la sécurité se trouve nettement améliorée, même pour des animaux fortement à risques. Toutefois il serait faux de se leurrer et de croire que le risque zéro n’existe pas, même si les incidents graves ou moins deviennent de plus en plus rares.
  10. Danielle Dr vétérinaire de Liège Que faire en cas de saillie non désirée ? En période de chaleur, il peut arriver que la vigilance du propriétaire d’une chienne en chaleur se relâche et que cette dernière prenne la poudre d’escampette avec un mâle, non castré de préférence. Lors de saillie fructueuse, les deux chiens restent collés l’un à l’autre un certain temps, en général vers les 30 min. Toutefois, cet argument n’est pas suffisant pour assurer ou non la réussite d’une saillie. Certains jours dans la période de chaleur sont également plus réceptifs à une fécondation, généralement entre le 9ème et le 12ème après l’apparition des chaleurs. Lorsque ces deux conditions sont réunies, on peut, avec légitimité, craindre une gestation non désirée. Mais rien n’est la règle et les exceptions existent toujours ! Possibilités d’interruption de gestation chez la chienne : Injections répétées d’oestrogènes le 3ème, le 5ème et le 7ème jour après la saillie. Cette méthode présente deux inconvénients, elle est risquée car elle favorise l’infection de matrice, et elle est à l’aveugle, c’est-à-dire qu’elle se pratique sans connaître s’il y a réellement eu fécondation. Stérilisation chirurgicale d’urgence. A faire également assez rapidement, le risque opératoire est bien plus important que pendant l’anoestrus. Injections d’antagoniste de la progestérone. 2x après confirmation de la gestation et après 1 mois de gestation. C’est la méthode la plus actuelle et la plus « sûre ». Elle permet également d’intervenir uniquement chez une chienne réellement gestante. Comment constater la gestation chez la chienne ? Par palpation après 1 mois environ. Méthode dont la sensibilité varie, elle n’est pas facile et peu sûre, de plus elle est impossible chez certaines races ou large gabarit de chiens. Test sanguin, au 27ème jour après la saillie. Le test positif est une certitude, le test négatif doit être répété après environ 5j. Echographie, après le 21ème jour. Méthode la plus fiable et la plus rapide, elle permet de quantifier également le nombre de foetus La radiographie n’est possible qu’après le 42ème jour, c’est-à-dire trop tardivement pour interrompre une gestation. En cas de naissance non désirée ? Euthanasier tous les chiots ne devrait pas être permis, un minimum de un chiot doit être laissé à la chienne. Assumer et éduquer les chiots, les socialiser et les placer au mieux. La prévention par la stérilisation avant les premières chaleurs reste tout de même la meilleure méthode à conseiller pour éviter ce genre de problème !
  11. Urgence médicale Trois risques infectieux sont à prévenir et/ou traiter : • Le risque rabique. Le moindre doute ou l’absence de renseignement sur l ‘animal mordeur impose la vaccination ( rappelons que la rage est constamment mortelle lorsque la maladie est déclarée). • Le risque tétanique . Vérifier la validité de la vaccination. Sérothérapie et vaccination s’imposent dans le cas contraire. • L’infection par les germes aérobies et anaérobies constamment présents sur les crocs de l’animal : L’association acide clavulanique et amoxycilline est efficace et recommandée chez l’enfant en l’absence de contre-indication. Les cyclines représentent l’antibiothérapie de choix ( chez l’adulte) contre pasteurella multocida , bacille Gram négatif, hôte fréquent de la cavité buccale animale. Arbre décisionnel.
  12. ce sont les plus trompeuses car d’aspect anodin elles sont cependant toujours la porte d’entrée d’une vaste zone de décollement, profonde, infectée par le croc ! ! lésions sous-jacentes : tendineuses, musculaires, vasculaires et surtout nerveuses, elles doivent être décelées avant tout traitement. Il faut agir vite. Le mordeur Ne pas le tuer. La surveillance vétérinaire est indispensable : systématiquement à J3 J7 et J15 dans le cadre du risque rabique. Si au bout de ces quinze jours l’animal, correctement vacciné, n’a présenté aucun risque de contamination, il n’y a pas lieu d’effectuer une vaccination antirabique chez le mordu. Si le chien présente des signes suspects, la vaccination est effectuée. En zone d’endémie rabique, si le chien a été tué, il faut faire envoyer sa tête à l’institut Louis Pasteur de Paris, pour obtenir un diagnostic histologique. En attendant les résultats, le protocole vaccinal est entrepris, quitte à être arrêté si la contamination rabique est écartée. Le mordu Une morsure est toujours une plaie profonde infectée : C’est donc une Urgence médico-chirurgicale. Urgence chirurgicale Comme toute plaie profonde infectée avec décollement et donc «espace mort », l’absence de prise en charge en urgence aboutit inéluctablement à la constitution d’un abcès profond . Le protocole est dès lors immuable : • Sous anesthésie générale ( qui seule permet d’effectuer la série de gestes stéréotypés salvateurs) • Explorer tout le trajet des crocs ( toujours plus profond et plus vaste que ne laisse supposer la discrétion de la porte d’entrée), en repérant et réparant les structures lésées. • Laver très abondamment au sérum physiologique, ce qui constitue le geste majeur de l’intervention • Parer les berges et tous les tissus contus • Drainer « l’espace mort » • Enfin, et seulement après avoir accompli les gestes précédents, suture soigneuse de chaque plan. S’il existe une perte de substance, les gestes de réparation seront toujours différés. Il est bien évident que si le patient est vu tardivement, le geste chirurgical est toujoursindiqué, mais consiste alors en la mise à plat d’un abcès !
  13. THESE vétérinaire GRENOBLE La prise en charge des morsures de chien est une urgence médico-chirurgicale. Il s’agit d’une plaie toujours profonde et infectée. Elle impose donc une attitude stéréotypée qui seule permet d'éviter l'évolution inéluctable vers l'abcédation et les conséquences parfois dramatiques qui peuvent en découler. Il faut recueillir des informations Dans le cadre d’une double enquête : • sur le mordeur • sur le mordu Le mordeur Il faut évaluer les risques que sa morsure peut représenter pour le mordu : ce qui doit être l’obsession du clinicien est le risque infectieux toujours présent, dont le très rare mais gravissime risque rabique. situations peuvent se présenter : chien connu • chien inconnu chien connu Dans tous les cas, ne pas tuer le chien ( surveillance vétérinaire). Le chien a-t-il mordu après provocation ou a-t-il un comportement inhabituel ? Ce qui peut orienter vers une possible contamination rabique. Toujours demander son statut vaccinal et une consultation vétérinaire, avec production de deux certificats établis à 15 jours d’intervalle par le vétérinaire. chien inconnu (non retrouvé ou errant) Toujours demander au centre antirabique le plus proche l’attitude à adopter en fonction du risque potentiel de contamination, variable selon les régions. Le mordu L’aspect spectaculaire ou au contraire anodin de la morsure est toujours trompeur. Il est donc indispensable de conduire un examen stéréotypé. Interrogatoire • Quel est le terrain ? o âge o antécédents (médicaux, chirurgicaux, allergies) o statut vaccinal • Les circonstances de la morsure : o heure de survenue +++ o traumatismes associés ? • Heure de la dernière ingestion solide ou liquide : précision conditionnant le type d’anesthésie à mettre en œuvre Examen clinique • Général : Il est conseillé de commencer par lui afin de ne pas l’oublier devant l’aspect, parfois spectaculaire, de la morsure : recherche de contusions, hématomes, voire fractures, traumatisme crânien (choc violent d’un gros chien sur un enfant). • De la morsure : otype : délabrantes et/ou avec perte de substance : sources de graves séquelles morphologiques ou esthétiques. Elles ne font heureusement jamais discuter leur prise en charge en urgence.
  14. Un vieux chien au ventre gonflé, qui boit et urine plus que la normale, dévore sa nourriture et développe des problèmes cutanés est peut-être victime de la maladie de Cushing. Trop de glucocorticoïdes Les glucocorticoïdes sont des hormones synthétisées par deux petites glandes situées en avant des reins appelées surrénales. Ces hormones, indispensables à la vie, permettent à l'organisme de s'adapter au stress. C'est l'hypophyse, une glande attachée au cerveau, qui stimule la production des glucocorticoïdes par les surrénales. Des tumeurs de l'hypophyse, et plus rarement des surrénales, induisent une production exagérée de glucocorticoïdes, ce qui provoque l'apparition des symptômes de la maladie. L'âge et certaines races Le chien de plus de 9 ans est la cible principale de la maladie. Certaines races sont prédisposées : il s'agit des caniches, teckels, terriers, beagles et bergers allemands. Le chat est rarement atteint. Les symptômes sont variés : l'animal boit, urine et mange davantage. Ses muscles s'affaiblissent, notamment au niveau de l'abdomen, qui paraît alors plus gros. Cet aspect «gonflé» peut être intensifié par un grossissement du foie. La peau est plus fine et cicatrise mal, les poils tombent de façon symétrique sur le corps et des taches rougeâtres peuvent apparaître suite à une dilatation anormale des veines. Les os se décalcifient et le calcium ainsi libéré est redirigé notamment vers la peau, où il induit des calcifications. Des troubles psychiques peuvent apparaître, provoquant un changement de comportement. Comme le système immunitaire est affaibli, le chien développe plus facilement cystites et infections pulmonaires. Enfin, la maladie peut déclencher l'apparition d'un diabète sucré. Traitement Dans certains cas de tumeurs des surrénales, une ablation chirurgicale de la glande atteinte est réalisée. Cependant, dans de nombreux cas, le traitement est médical et consiste en l'administration à vie d'un médicament appelé mitotane. Ce traitement n'est pas sans risque, car il peut être mal toléré par l'estomac du chien et provoquer des vomissements. De plus, il peut induire une suppression trop importante des glucocorticoïdes qui n'assurent plus leurs fonctions vitales. Un suivi vétérinaire régulier est donc indispensable pour veiller au bon déroulement du traitement et assurer une vie confortable à votre fidèle ami. en parler à son vétérinaire
  15. Kystes, abcès, hématomes et tumeurs peuvent déformer la peau de votre chien. Les tumeurs, résultant d'une multiplication anormale des cellules de la peau, doivent faire l'objet d'une biopsie ou d'une excision afin d'en définir les risques pour votre ami. Evaluer le risque Lorsqu'une tumeur apparaît sur la peau de votre chien, il est en général nécessaire de réaliser une biopsie ou de l'exciser afin de l'examiner au microscope. En effet, il est capital de connaître sa nature et son caractère bénin ou malin afin de réaliser un éventuel traitement et d'évaluer le risque encouru par le chien. La tumeur bénigne se caractérise par le fait qu'elle ne produit pas de métastases et n'envahit pas les tissus environnants, au contraire de la tumeur maligne qui est à l'origine de métastases colonisant d'autres organes, tels que le foie, le poumon et les ganglions, et peut induire la mort de votre ami. Plus le diagnostic et le traitement sont précoces, plus les chances de guérison sont élevées. Tumeurs bénignes Parmi les tumeurs bénignes, on peut citer le papillome ou « verrue », qui est souvent d'origine virale. Chez les jeunes chiens, ces tumeurs régressent en général spontanément et ne doivent faire l'objet d'aucun traitement. Il en est de même pour l'histiocytome qui est un petit nodule bénin apparaissant sur la face ou les membres des jeunes chiens. Le lipome est quant à lui une prolifération de tissu graisseux fréquente chez les femelles âgées obèses. Un régime doit être entrepris afin de diminuer le risque de récidive. Le basaliome est une tumeur des cellules se trouvant à la base de l'épiderme que l'on rencontre surtout sur la tête ou le dos des caniches et des cockers. Toutes ces tumeurs bénignes peuvent faire l'objet d'un traitement chirurgical si elles grossissent ou gênent le chien. Tumeurs malignes Le lymphome épithéliotrope est une tumeur provoquée par la multiplication anormale de globules blancs dans la peau. Elle apparaît sous la forme de rougeurs provoquant des démangeaisons et évolue progressivement en plaques et ulcères cutanés. Les métastases provoquent la mort de l'animal. Le carcinome épidermoïde apparaît quant à lui sur le tronc et les membres suite à des expositions prolongées au soleil. Il métastase rarement sauf lorsqu'il apparaît au niveau des pieds du chien, comme c'est notamment plus souvent le cas chez les caniches noirs. Si le retrait chirurgical suffit dans la plupart des cas, une amputation des doigts voire du membre doit être envisagée lorsque cette tumeur se trouve sur les doigts. En plus du retrait chirurgical, toutes ces tumeurs malignes rencontrées le plus souvent chez des chiens âgés peuvent être traitées par chimiothérapie ou radiothérapie. Tumeurs bénignes ou malignes Le mastocytome est une tumeur fréquente chez les vieux boxers, labradors et terriers. Elle se présente le plus souvent sous la forme d'un ou plusieurs nodules. Des troubles digestifs, nerveux ou de l'anémie peuvent l'accompagner. Si certains mastocytomes sont bénins, d'autres métastasent et provoquent la mort de l'animal en quelques semaines ou mois. Enfin, les petites glandes situées autour de l'anus peuvent être le siège de tumeurs appelées circumanalome. Ces nodules dont l'apparition est favorisée par les androgènes apparaissent en général chez les mâles. La castration du chien provoque une diminution voire une disparition de ces tumeurs. en parler à son vétérinaire
  16. Votre chien tousse. A cela, il peut y avoir plusieurs origines. Afin de déterminer l'origine de la toux une consultation chez le vétérinaire est nécessaire. LES LARYNGITES : Il s'agit d'une simple irritation du larynx. Le chien tousse après s'être agité, parce qu'il a trop aboyé ou trop tiré sur sa laisse lors de la promenade. Vérifiez si le collier convient bien au chien LES BRONCHITES : La bronchite aigue : due à une infection des voies respiratoires. Elles nécessitent le plus souvent un traitement antibiotique. La bronchite chronique : inflammation des voies respiratoires, elle est plus fréquente chez le chien âgé, et le chien obèse. C'est une toux sèche, en quintes, tout au long de la journée. Il est nécessaire de surveiller le chien afin d'éviter toute surinfection. On essaiera de réduire les efforts pour éviter un état de détresse respiratoire. La bronchite chronique non traitée, risque, avec le temps, de se transformer en emphysème pulmonaire. La respiration devient alors difficile en permanence, particulièrement bruyante à l'expiration. L'ASTHME : La toux est le premier signe de l'asthme. Ce dernier est toujours d'origine allergique, la cause est souvent difficile à déterminer, le vétérinaire prescrira donc un traitement symptomatique. Il est préférable d'éviter les atmosphères polluées. L'asthme touche surtout les jeunes chiens et les adultes jeunes. LES TOUX VERMINEUSES : Elle est due aux larves de vers intestinaux et touche plus particulièrement les chiots. Une vermifugation est nécessaire. Avant de traiter une toux il est indispensable de déterminer la nature de celle-ci, et seul votre vétérinaire peut le faire, en effet en la toux peut avoir d'autres origines qui nécessitent un traitement spécial, il existe des "toux cardiaques", témoignant d'un début d'insuffisance cardiaque, elle peut également être le signe d'une maladie de Carré ou d'une toux de chenil. Devant une toux qui dure ou qui est accompagnée de fièvre consultez rapidement votre vétérinaire.
  17. Voici comment on peut composer une trousse destinée à soigner les petits bobos. Elle vous suivra dans tous vos déplacements. Avec cela vous pourrez panser une petite plaie, retirez un épillet, ou calmer une irritation. Mais n'hésitez jamais à consulter votre vétérinaire. Il est le seul à pouvoir soigner une brûlure ou une plaie profonde une paire de ciseaux à bouts ronds, pour couper les poils autour d'une plaie des compresses de gaze stériles du coton 1 bande élastique (Velpeau, Elastoplaste ...), en cas de foulure ou pour maintenir un pansement de l'éther et une pince à épiler, pour enlever les tiques un thermomètre et de la vaseline un désinfectant (Hexomédine, Bétadine...) pour nettoyer une plaie. N'utilisez pas d'alcool une lotion oculaire, à défaut du sérum physiologique, en cas d'irritation un produit pour nettoyer les oreilles (demander conseil à votre vétérinaire) une vieille chaussette pour protéger un pansement sur une patte blessée un lien en tissu pour museler un chien dangereux. Attention ! ne muselez jamais un chien inconscient. Vous noterez sur un papier le numéro de téléphone de votre vétérinaire, ainsi qu'un numéro d'urgence 24h/24 les médicaments donnés par votre vétérinaire si votre chien suit un traitement particulier = marque déposée.
  18. L'HYDROCUTION : Elle se définit comme un état syncopal lié à l'agression d'une eau très froide. La noyade en est l'aboutissement le plus fréquent. Le temps de survie est très variable, de quelques secondes à quelques heures. L'hydrocution n'est pas seulement due à l'immersion dans une eau très froide, elle peut aussi être déclenchée par une différence trop importante entre l'eau et le corps. Cette immersion brutale dans une eau à une température très inférieure à la température corporelle peut entraîner deux types de réponses réflexes à l'origine d'arythmie cardiaque : un arrêt respiratoire plus ou moins long et un ralentissement du rythme cardiaque. C'est un réflexe de choc au froid. le refroidissement rapide de la peau déclenche un halètement avec hyperventilation incontrôlable et élévation du débit cardiaque. Ces deux réflexes, se produisant simultanément, augmentent la probabilité de troubles cardiaques dès les premières secondes de l'immersion. L'hydrocution survient le plus souvent à la suite de chutes accidentelles en eau froide (chutes de bateau, bord de torrent, lacs, rivières ...), ou à l'occasion d'une baignade en eau fraîche ou froide après une exposition assez longue à de fortes chaleurs (promenade pendant les heures chaudes, activité sportive, séjour dans un véhicule surchauffé ...). Même un chien excellent nageur n'est pas à l'abri de ce genre d'accident. Ne laissez pas votre animal se baigner en eau froide ou après avoir fait un effort physique par grosses chaleurs. Que faire si l'accident est arrivé ? Récupérer le chien le plus rapidement possible et le ramener à terre ou hors de l'eau. Couvrez-le pour éviter toute perte de chaleur supplémentaire et emmenez-le chez le vétérinaire le plus proche.
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