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Admin-eleveurcanin

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  1. Médailles de chien www.medaille-de-chien.com Bobijn- Bobine " Broderie" www.bobijn-bobine.be
  2. les photos reduites par guilloteau seront utilisées pour le concours car au bon format
  3. Membre fêtant son anniversaire aujourd’hui: westie31 http://www.deskopelly.com/
  4. PlaqueOff http://www.plaqueoff.com/ ProDen PlaqueOff Là, il y a les deux formes Humaine et animale Vendu chez Naturopat http://www.naturopat.fr/fiches/_11126/proden-plaqueoff-animal-proden-40g.html?manufacturers_id=90=Proden PlaqueOff Animal (ProDen) 40g [NP4028] 18.20 € Il faut comparer les prix.
  5. Bienvenue parmi nous CdS Waldolwisheim Vu par Admin pour géolocalisation http://www.carte-des-membres.com/fr/eleveurcanin/2650
  6. http://www.tandem-sante.com/boutique/fiche.asp?ref=BT%206020&code=11918564389 http://www.plaqueoff.com/ Médailles de chien www.medaille-de-chien.com Bobijn- Bobine " Broderie" www.bobijn-bobine.be
  7. PlaqueOff http://www.plaqueoff.com/ ProDen PlaqueOff Réctifié par Admin
  8. PETITION: http://www.petitiononline.com/sos_dog/petition.html Usines à chiots, chenils et animaleries du Québec Animaux Victimes du Profit
  9. PETITION: http://www.petitiononline.com/sos_dog/petition.html Usines à chiots, chenils et animaleries du Québec Animaux Victimes du Profit Pendant combien de temps encore, le Québec restera-t-il sans législation pour ses animaux ? La misérable vie d'une chienne d'usine à chiots Vers l'âge de 5 mois, on la mettra dans une petite cage de métal, de bois ou de plastique où elle passera toute sa vie enfermée. Ces hangars ou entrepôts, situés soit à l'intérieur d'un bâtiment, soit à l'extérieur, peuvent contenir plusieurs dizaines ou centaines de cages, empilées les unes sur les autres. Les excréments et l'urine tombent souvent dans les cages du dessous. Ces endroits sont rarement chauffés en hiver et durant l'été la chaleur y est suffocante. Vers l'âge de 6 mois, lorsqu'elle commence ses chaleurs, la petite chienne est accouplée avec un mâle provenant d'une usine semblable à la sienne. Pendant sa grossesse, elle ne bénéficiera d’aucun suivi vétérinaire afin d’éviter tout frais superflus au propriétaire. Environs 60 jours plus tard, elle peut donner naissance à plusieurs chiots. La mère et ses petits, n'ont pas d'endroit propre et confortable pour se coucher et doivent se satisfaire d'un plancher de grillage de fer. À cause du manque d'espace, il n'est pas rare qu'en se retournant, la pauvre chienne écrase l'un de ses petits et souvent, le chiot mort pourra rester dans cette cage plusieurs jours avant que le propriétaire ne vienne l'en retirer. Lorsque les petits auront atteint l'âge de 3 semaines, le propriétaire de l'usine viendra les enlever à leur mère. La pauvre chienne tournera en rond dans sa cage, attendant en vain leur retour. Le Transport des Chiots Les chiots sont placés dans des cages, sans eau ni nourriture et des centaines de cages sont empilées les unes sur les autres à l'intérieur d'un camion. Ces camions peuvent parcourir des milliers de kilomètres, été comme hiver, sans système de chauffage ou de ventilation. Les chiots arrivent dans un entrepôt où un préposé retire ceux qui n'ont pas survécu au voyage puis, il fait le tri par race. Les survivants sont embarqués à nouveau dans un autre camion qui les livre dans diverses animaleries de la province. Les Animaleries Une fois à destination, ils sont lavés et parfumés pour leur donner un air attrayant lorsqu'ils seront placés dans la vitrine du magasin. La majorité de ces chiots fûrent tatoués à l’oreille et, pour parfaire le tableau, des documents vétérinaires falsifiés ou de fausses attestations de pedigree certifient la "pureté" de leur race. Le prix d'un chiot vendu en animalerie varie entre 300 et 500$. Là encore, un chiot malade, ne sera habituellement pas soigné par un vétérinaire car cela reviendrait trop cher au propriétaire de l'animalerie. On le laisse donc mourir. Pour les autres, l'avenir est incertain: plusieurs d'entre eux, traumatisés par la perte de leur mère, les longs transports et le manque de soins souffriront de divers problèmes émotionnels et auront du mal à s'adapter. Séparé trop tôt de sa mère, un chiot, privé en plus de contact humain, peut devenir associable. Il ne s'entend pas avec les autres chiens et n'est pas toujours gentil envers les jeunes enfants. Ces chiots nécessiteront beaucoup d'efforts de la part du maître et plusieurs ne parviendront pas à s’en occuper convenablement. Si certains chiots ont la chance d'être adoptés par des gens soucieux et prêts à les faire soigner et leur consacrer le temps et la patience nécessaires à leur adaptation, d’autres finiront rapidement dans un refuge, un chenil ou seront à nouveau vendus, ou donnés, ou tout simplement abandonnés. La petite chienne d'usine, quant à elle, continuera à vivre dans sa misérable cage. Elle pourra avoir jusqu'à 3 portées par année, laissant ses mamelles distendues et enflées. Faute de nourriture appropriée, d'exercices et de soins, chaque fois qu'elle donnera naissance à des petits, elle s'affaiblira d’avantage. Maigre et sale, elle souffrira de maladies de peau, de déformations aux pattes, elle perdra ses poils par plaque. Et, après 5 ou 6 ans, devenue incapable de produire d'autres chiots, elle sera tuée par de quelconques méthodes douteuses, noyée par exemple, ou envoyée dans des laboratoires de recherches. Il en ira ainsi des chiens non vendus ou malades. Chiens et chiots malades ou non vendus, tués et jetés aux poubelles Lorsque vous achetez un chiot, un chaton ou tout autre animal dans une animalerie, un marché aux puces ou un chenil, vous financez sans le savoir, un commerce extrêmement cruel ! 10 novembre 2005- Ces chiens fox-terriers, malades et couverts d'excréments, ont été découverts dans une maison privée de Blainville au Québec, où vivaient une centaine de leurs congénères. Privés de tout soins et de nourriture depuis plusieurs années, les chiens de ce chenil se mangeaient entre eux pour survivre. Une trentaine de ces malheureux ont dû être euthanasiés. Tant que la Loi sur le bien-être et la sécurité des animaux ne sera pas mise en application, au Québec, les chenils clandestins pourront tranquillement continuer de faire des "p'tits" ! En avril 2005, 23 bergers allemands ont été découverts dans une maison de La Plaine au Québec. Maintenus dans des cages imbibées d'urine, ils vivaient en permanence dans un sous-sol et ne voyaient jamais le jour. En février 2006, appelés pour vérifier où était passé un résidant de Sainte-Agathe (Québec), dont on était sans nouvelle depuis deux semaines- les policiers de la SQ ont découvert 18 chiens abandonnés dans la résidence de ce dernier. Dès leur entrée, les policiers ont immédiatement compris la situation, il y avait des excréments partout et l'endroit était infect. Si certaines bêtes étaient en liberté dans la maison, d'autres étaient dans des cages ou dans des endroits fermés. Ainsi, une femelle de race « bull-terrier » s'est infligée de nombreuses blessures en tentant de sortir de sa cage trop petite, dans laquelle il n'y avait ni eau, ni nourriture. Dans son cas, le manque de soin a fait en sorte qu'elle a eu le postérieur brûlé par son urine. Dans une pièce de la maison, les policiers ont découvert une femelle avec ses huit chiots, laissés sans eau, ni nourriture. Les petites bêtes qui semblaient avoir 5 ou 6 semaines en avaient en réalité 8, ils étaient amaigris et déshydratés. Un animal mort a également été retrouvé. Quant à l'occupant de la maison, un homme de 27 ans, il s'est manifesté aux policiers par l'entremise de son avocat. Selon celui-ci, l'homme aurait demandé à un ami de s'occuper de ses chiens durant son absence. Il pourrait être accusé de cruauté envers les animaux, mais les accusations sont à déterminer. Une arme a également été retrouvée dans la maison. (Source: http://www.hebdosquebecor.com ) Au Québec, des milliers d'éleveurs se "spécialisent" dans la production massive de chiens. Plus de 400,000 chiots naissent chaque année dans des élevages surpeuplés et insalubres. La moitié de ces animaux sont vendus au Québec, les autres sont expédiés aux États-Unis et dans différentes provinces du Canada où l'élevage intensif de chiots est interdit. Dans cette province canadienne, n'importe qui peut se lancer dans l'élevage de chiots. On peut retrouver des élevages dans un hangar, un garage, une remise intérieure ou extérieure, un sous-sol, un fond de cour etc. etc. Étant donné l'absence de législation visant à protéger les animaux au Québec, la Société Protectrice des Animaux (SPCA) n'a aucun pouvoir, pour dénoncer ces pratiques et faire cesser cette honteuse activité. D’après la Section 466 du Code Criminel du Canada, seuls les cas pris en flagrant délit et les cas les plus extrêmes de cruauté et de négligence sont considérés. Pour obtenir un mandat de perquisition, qui n'est émis que par un juge, les inspecteurs de la SPCA doivent avoir des preuves formelles et visuelles d'une situation de négligence ou de cruauté. Ils doivent d'abord obtenir une déposition de plainte signée par le témoin qui fait appel à leurs services. Une simple plainte anonyme venant d'un citoyen qui suspecte que des animaux sont victimes de négligence ou de cruauté est insuffisante. La plupart des éleveurs sans scrupules proviennent de différentes provinces du Canada, où l'élevage intensif de chiens est interdit. Ils achètent des parcelles de terrain ou des fermes situées dans des régions rurales du Québec, près des frontières et éloignées des voisins. Ces éleveurs acquièrent plusieurs chiens de différentes races et les accouplent le plus souvent possible. De " faux papiers " signés par des vétérinaires " fictifs " affichent leur parfaite santé. Certains de ces éleveurs peuvent élever jusqu'à 70 races de chiens à la fois. Ils font affaire avec des producteurs, importateurs et exportateurs, vendeurs intermédiaires, courtiers, vendeurs de rue, de marchés aux puces ou même avec d'autres éleveurs. Leur identité n’est pas connue, ou partiellement connue, et les ventes sont conclues en argent liquide. Certains producteurs vendent leurs chiots en publiant une annonce dans le journal ou sur Internet. Ils rencontrent alors un acheteur potentiel à un endroit spécifique, qui peut aussi bien être le stationnement d’un centre d’achats ou un parc. À travers le Québec, plus de 2,000 personnes opèrent des usines à chiots. Presque toutes les usines d'animaux sont des endroits insalubres où les chiots ne sont pas nourris à heures régulières et où plusieurs n'ont même pas accès à de l'eau. Le seul motif de leurs mauvais traitements est le profit. Plusieurs chiots souffrent de coccidiose ou d'autres virus fréquents dans ces usines. Pendant les l0 premières semaines de la vie d'un chiot, la propreté est pourtant extrêmement importante pour lui permettre de se développer en santé. La plupart des vendeurs qui travaillent dans des animaleries ne connaissent bien souvent rien aux animaux. Ils ne sont là que pour les vendre. Il n'est pas rare de retrouver dans ces animaleries des chiots devenus trop gros pour leur cage, d'autres aux yeux qui coulent, qui ont la diarrhée, qui pleurent sans arrêt ou qui ont développé des comportements anormaux. Ces endroits sont souvent surchauffés et les chiots n'ont pas toujours accès à de l'eau pour se désaltérer. Dans plusieurs animaleries, les animaux sont dans de toutes petites cages accessibles aux passants qui peuvent constamment les manipuler à leur guise. N'encouragez pas ce commerce ! Les gens qui s’imaginent sauver un petit chien en l'achetant dans une animalerie ne font que perpétuer un commerce cruel. Chaque fois qu’un chiot est vendu, il est aussitôt remplacé par un autre. Plusieurs chiots achetés dans des animaleries sont ramenés pour diverses raisons: problèmes congénitaux, respiratoires, insuffisance rénale, dysplasie de la hanche, diarrhée, surdité, problèmes de comportement... Si le chiot est malade ou meurt peu après l'achat, la majorité des propriétaires d'animaleries offriront un autre chiot au client plutôt qu'un remboursement. Si vous tenez absolument à posséder un chien, allez chez un éleveur réputé sérieux et fiable qui se soucie des chiens qu'il élève, qui les aime et les fait soigner quand ils en ont besoin. Même si ces chiots coûtent un peu plus, vous aurez au moins la garantie que celui que vous achetez est en santé. Vous seriez également surpris du nombre de chiots ou de chiens de race que l'on peut retrouver au refuge de la SPCA. Vous contribueriez vraiment à sauver la vie d'un chien, qui autrement serait euthanasié. CE QUE VOUS POUVEZ FAIRE: L'envoi de lettres variées et personnalisées est un facteur important de succès et un élément majeur dans la défense de la cause animale; merci donc de donner une touche individualisée à vos courriers. Cependant, si vous manquez de temps pour écrire, il est bien entendu largement préférable de récupérer ce modèle de lettre (voir ci-bas) en copier-coller, plutôt que ne pas écrire. (l'Origine de se texte tragique vien de http://protectionanimale.com/usines.htm si vous voulez en même temps voir les images.... si vous oser.... ) Sincerely, The Undersigned http://www.petitiononline.com/sos_dog/petition.html http://aequoanimo.com/usinesachiots.html#1
  10. Chiens Saint Bernard devenus chiens de boucherie en Chine http://ddotb.wordpress.com/2007/11/09/lelevage-de-saint-bernards-%e2%80%a6/ http://www.sossaintbernard.org/ PETITION Thank you for signing our petition on: http://www.petitiononline.com/twany/petition.html
  11. L'enterrement des animaux domestiques est régi par l'Article L.226-1 et L.226-2 du Code rural. Si l'animal pèse plus de 40 kg, le propriétaire est obligé d'avertir le service d'équarrissage en s'adressant à la Mairie de son domicile. Ce service vient enlever gratuitement, à votre domicile, le corps de l'animal. Si l'animal pèse moins de 40 kg, le propriétaire peut l'enfouir à une profondeur qui doit être de 1,20 m au moins, s'il n'y a pas usage de chaux vive. Il est interdit par l'Article 98 du règlement sanitaire départemental de déposer des cadavres dans les mares, rivières, abreuvoirs, gouffres et bétoires et de les enfouir à moins de 35 m des habitations, puits et sources. Ils ne doivent être déposés ni sur la voie publique, ni dans les ordures ménagères. Il existe des cimetières pour animaux et des centres d'incinération dont la liste pourra vous être fournie par votre vétérinaire. http://www.associationstephanelamart.com/index.php?page=juridique&n=30
  12. La détention de chien de garde et de défense est interdite, sous peine de 3 mois de prison et de 3.750 euros d'amende : aux mineurs, aux personnes condamnées pour crime, ou pour délit inscrit au Bulletin n° 2 du Casier judiciaire et sanctionné par une peine d'emprisonnement, aux personnes auxquelles la garde d'un animal a été retirée par décision judiciaire. La déclaration de détention doit être obligatoirement faite à la Mairie de votre domicile ou de votre résidence, ou de la résidence du chien, en apportant la justification : de l'identification de l'animal par tatouage, d'une vaccination antirabique en cours de validité, d'une assurance de responsabilité. La muselière et la laisse sont obligatoires sur la voie publique, dans les locaux ouverts au public, dans les parties communes des immeubles collectifs, et dans les transports en commun. Liens : doc/Reglementation-detention-animal.pdf
  13. http://petition.cfabas.fr/petition/php/index.php PETITION: Pour la défense des TERRIERS DE TYPE BULL Et autres chiens de race concernés Nous voulons, avec votre soutien, démontrer que la solution ne réside pas dans la disparition de telle ou telle race, mais bien dans le traitement du problème sur le fond. Nos chiens sont sélectionnés depuis plusieurs dizaines d'années par des éleveurs passionnés et, comme toutes les autres races, ce sont des chiens merveilleux et équilibrés lorsqu'ils ne tombent pas dans de mauvaises mains. Le problème, ce n’est pas le chien mais celui qui est au bout de la laisse. Encore une fois, la solution ne consiste pas en une suppression d’une race et cela, le public doit le savoir et doit être informé à ce sujet. Tout propriétaire de chien doit être bien conscient que si une telle logique était appliquée, toute race mordant serait ainsi susceptible de disparaître. On ne traiterait alors hélas pas les vraies causes du problème
  14. Irak - À Bagdad, un homme défie les dangers pour l’amour des bêtes Un vétérinaire continue envers et contre tout à soigner les animaux Dans la capitale irakienne livrée aux violences, où les soins de santé restent souvent un luxe pour les humains, il existe au moins un vétérinaire qui continue envers et contre tout à soigner les bêtes. Lors de ses tournées dans Bagdad pour sauver des caniches, des perroquets et même des tigres, Namir Abdel Fatah, 46 ans, a échappé à bien des fusillades et garde sur une jambe les cicatrices d’un éclat d’obus. Malgré les guerres successives qu’a connues l’Irak depuis 1980, ce Bagdadi assure n’avoir jamais failli à sa mission entamée il y a 26 ans. « Les gens cherchent à prendre soin de leurs animaux malgré tout ce qui se passe », explique à l’AFP le vétérinaire. « Il y a beaucoup plus de gens qu’on le croie qui gardent des chiens comme animaux domestiques. Il y a dans la ville des chiens très coûteux comme des pékinois, mais leurs propriétaires ne les sortent jamais de crainte qu’il ne leur arrive quelque chose », ajoute-t-il. C’est donc M. Fatah qui doit sortir pour aller à la rencontre des bêtes dans les rues d’une ville encore trop souvent soumise à la loi de groupes armés et où les attentats sont quasi quotidiens. « Les vitres de ma voiture ont été une fois soufflées par une explosion au moment où j’allais soigner le chien d’un client. Une autre fois, ma voiture a été touchée par des éclats d’obus », raconte M. Fatah. « Mais je n’ai jamais été pris pour cible. De toute façon, je n’ai pas l’intention d’arrêter mon travail à cause des dangers que je cours », assure ce vétérinaire formé à Bagdad et dans l’ancienne Allemagne de l’Est. Quelques jours après l’entrée des troupes américaines à Bagdad en avril 2003, il se rendait chez un client dans le quartier de Dora lorsqu’une fusillade a éclaté. « Les Américains ont bloqué la rue et m’ont dit que je ne pouvais pas aller plus loin. Mais j’ai pris le risque de continuer ma route parce que je devais absolument me rendre chez un client », assure M. Fatah. Sous le régime brutal de Saddam Hussein, soumis à un embargo international après l’invasion du Koweït en 1990, la vie n’était pas plus facile pour ce vétérinaire. « Il était alors très difficile d’obtenir les bons médicaments en raison notamment des taxes très élevées imposées par le régime sur les importations. Aujourd’hui, je peux me procurer à l’étranger tous les médicaments que je veux », dit-il. Sous la dictature, il a aussi travaillé avec des chiens formés pour les forces de sécurité, une période de sa vie qu’il préfère ne pas aborder. Aujourd’hui, même si la plupart de ses clients sont des gens fortunés, des hommes politiques ou des diplomates, M. Fatah assure qu’il ne se soucie que de leurs animaux. « C’est comme ça que j’ai survécu. En ne posant pas de questions quand j’allais dans leurs villas. Je ne veux pas me mêler de politique. » Avec de tels clients, M. Farah a fait parfois la rencontre d’animaux un peu particuliers : des ours, des singes, des tigres et des lions, même si les forces américaines ont confisqué la plupart de ces félins à leurs propriétaires. Mais la préférence de M. Fatah va aux simples chats et chiens qui sont souvent négligés dans une ville où les hommes sont occupés à leur propre survie. M. Fatah, qui dit avoir refusé par patriotisme des emplois bien rémunérés à l’étranger, espère que son fils de sept ans pourra un jour prendre sa relève et sauver des bêtes dans un Irak pacifié. Source : L'Orient Le Jour
  15. Info du 05/01/2008 États-Unis - Aliments pour animaux : Des millions en dédommagement Aux États-Unis, une entreprise de fabrication d'aliments pour chiens a accepté de verser 3,1 millions de dollars américains pour dédommager les propriétaires d'animaux morts ou malades après avoir été contaminés par la nourriture. Le produit en question, fabriqué par l'usine de Diamond Pet Foods en Caroline du Sud, contenait une moisissure toxique, appelée l'aflatoxine, qui peut causer d'importants dommages au foie. En 2005, la nourriture avait été distribuée dans 23 États. Des dizaines de chiens sont morts après avoir consommé le produit, jusqu'à ce qu'un vétérinaire fasse le lien entre le produit et le décès d'un chien. La compagnie avait alors procédé à un rappel de son produit. Diamond Pet Foods a fait face à des centaines de poursuites pour cette affaire. Elle mettra en place un fonds d'indemnisation pour les propriétaires de chiens décédés ou malades, notamment pour compenser pour les frais de vétérinaire. L'entreprise, qui a son siège social à Meta, au Missouri, a admis que des employés de son usine de Gaston, en Caroline du Sud, n'avaient pas fait les examens habituels pour assurer la sécurité des produits. L'agence fédérale américaine de l'alimentation et du médicament (FDA) avait affirmé dans un rapport que l'entreprise n'avait pas les traces de tests effectués sur 12 cargaisons de maïs en 2005, au moment où les céréales contaminées auraient été introduites dans la chaîne de production. Photo : Ce chien a subit des dommages permaments au foie après avoir été contaminé à l'aflatoxine. Source : http://cbc.radio-canada.ca/
  16. Info du 05/01/2008 les mœurs canines et félines 2008 Les 12 et 13 avril 2008 en Avignon, GECC et le comité organisateur du colloque « les mœurs canines et félines 2008 » (Karine Molinié, Gérard Mus, Vincent Porcu, Dr Thierry Bédossa) rassemblent tous les acteurs du monde canin et félin autour du thème : Attitudes gênantes ou indésirables de nos chiens et chats : mauvais comportements ou pathologies du comportement ? Par ailleurs ce colloque propose en exclusivité une présentation de L’EVALUATION COMPORTEMENTALE des chiens rendue obligatoire par la loi. Colloque ouvert aux particuliers et aux professionnels, inscriptions sur le site de l’association GECC : http://assoGECC.free.fr tarifs : 90 €/1 journée et 120 €/2 journées (pauses café, salées et déjeuners compris) Tarifs préférentiels pour les membres du SNPCC, les étudiants vétérinaires, les étudiants BEPA éducateur canin, les étudiants en Bac Pro, BEP et BEPA élevage canin et félin, les étudiants auxiliaires vétérinaires et les étudiants en brevet toiletteur (voir site). assoGECC@free.fr http://assoGECC.free.fr Tél : 06.07.82.50.19 Source : http://assoGECC.free.fr
  17. Les bébés vont êtres jolis comme tout ! Tu nous mettras des photos j'espère BO DEREK. muriel Tu as eu tes bébés HOVAWARTS ?
  18. https://www.dailymotion.com/playlist/xaag6_mes-dalmatiens_les-bebes-de-victoire VIDEOS: Les Dalmatiens de Starlight et Guilloteau
  19. De fany A Admin, Aujourd’hui à 20:26 Eleveur des joyeuses lucioles N° éleveur 334966 Pas de site internet
  20. Ils sont presque tous au PARIS-DOG-SHOW ce WE J'espère que nous aurons de belles photos :P
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