luzule

ça passe avec le temps !! Ma grosse fracture à la jambe date de 92 au début je ressentais tout avec des modulations du mal en fonction de la météo mais, quand je dit tout c'était neige, orage pluie,... La neige, c'est vraiment profond. ça a faiblit avec les années. Par contre, rebelote avec le poignet qui n'a pas un an. Je ne prend jamais rien Quand on m'a déplâtrée, j'ai pris de l'arnica qui me faisait du bien. Suis pas du genre tchètchètte alors, j'attends que ça passe mais, le chaud apporte un mieux. Je pense à ma copine qui est méga cassée à l'hosto et je me dit que j'ai pas de quoi me plaindre...

Je pense qu'elle parle d'isolateur écateurs, ils font bien 20cm.

J'ai fait 2-3 photos "normales" des préparatifs puis plus rien, il y avait des papas avec numériques, j'ai demandé qu'on me mail les photos même pas de nous (je doute qu'il y en aie) pour illuster le ptv.

Bon, la suite. 15h PTV par ordre chronologique les dossards commencent à 100 nous sommes respectivement 110 (oléane) et 111. C'est affreux comme la pression peut monter pour un truc qui va durer 2 minutes et demi. 1) fossé en selle, un peu de biais, il faut viser juste car il y a un arbre au tronc un peu tordu qui nous est signalé par un pneu (au cas ou on se prendrai le genou dedans, j'aime mieux pas y penser). Aramis a eu 10, Oléane s'est faite un peu peur avec le dit tronc elle récolte un 9. 2) contre-bas en selle : nickel pour les 2 = 10. 3) reculer en selle, un touché pour Ulti un pied sorti pour Aramis (il recule les jambes ecartées). Nous récoltons un modeste 4 chacune. 4) passerelle en selle, c'est une vraie passerelle en béton sur une vraie grosse rivière avec des parapets en treillis, nous l'avions passée en revenant, Aramis la connaît bien RAS un beau 10 chacune. 5) le slalom jugé par le papa de Nabxane. Au trot pour Aramis = 7. Je sais pas ce qui c'est passé pour Ulti mais, elle a eu 4. Faut qu'elle vous raconte alors, je l'attends avant de continuer

Trop sévère, elle n'a déjà rien en bouche !! N'aurais-tu pas besoin d'un peu de sévérité et de contrôle quand tu sors de la carrière comme le jour où tu as vu un arbre de près ?? Quand avec ses 500 kilos elle prend la direction des opérations un rien plus ajusté, ton licol ne serai pas sévère mais efficace. Ceci dit je ne suis pas une professionelle dans ce domaine et je ne ferai pas la moitié de ces exercices avec mon cheval. Mais pourquoi dire toujours "oui mais" quand on ne te dit pas :"oui Hélène c'est super ce que tu fais". Oléane collectionne les stages avec les pros-chuchoteurs et son avis est certainement plus affiné que le mien.

faire très très attention = prudence

Super journée !! D'abord, le POR : +/- 18 km quelques petites "crasses" où nous nous retrouvions en tas à tourner en rond pour trouver l'astuce. Avons perdu de précieuses minutes à chaque fois (2) que nous n'avons pas chercher à rattraper : les pieds nus d'Ulti et sa condition physique ne nous permettant pas d'avancer très vite sur n'importe quel terrain. Faut pas la dégoûter, c'est son premier trec. Au retour, MA, Ulti perd une chaussure en démarrant au galop et reviens trop lentement au pas 0 points. Mais elle a été très pro galopant dans son petit couloir avec des gens partout. Aramis trop rapide au galop 0 points aussi. J'étais limite à l'entrée du couloir pour l'avoir au galop alors j'ai poussé un peu fort, suis entrée au galop (ouf) alors, j'ai pas cherché à ralentir : objectif : rester au galop !! Le pas hum hum 1 point (no comment). Retour au manège par une partie du PTV alors, on en a profité pour s'entraîner : maniabilité, reculer et passerelle. Après-midi : PTV. J'attends qu'Oléane sois passée sur le forum avant de donner la suite....

Faut pas lui en vouloir à cette petite plante c'est sa manière de disséminer ses graines c'est pas con d'utiliser les animaux comme moyen de déplacement. ça s'appelle la phytosociologie, j'adore ,il y a un tas de truc que les plantes font qu'on s'imagine même pas !!

C'est mon livre de chevet, LA bible du cavalier randonneur. Vous veriez l'état de l'édition précedente, on voit qu'il n'est pas resté sur l'étagère. Quoique, j'en connais un plus abîmé.

Le papa de Nabxane peut-être mais, sur place y aura sûrement.

Alors perdues ou pas les photos ???

Sais pas, moi j'étais en we à Floing chez les sypathiques organisateurs de Trec et il a juste plu.

C'est un accessoire d'escalade qui sert pour faire du rappel mais, tu ne dois pas essayer de faire ça toute seule ni même avec un aide, c'est la conclusion de tout un travail préalable fait par un professionnel. Le bricolage que tu pourrais faire de toi même pourrait s'avérer plus dangereux ou catastrophique qu'autre chose. Soit : la fin : Les détracteurs diront : « ce n’est que du bon sens, il n’y a rien de magique ou encore : ça fait 20 ans que je fais du Parelli moi ! » Ok, je n’en doute pas mais, il y a des choses qu’on ne sait pas toujours régler tout seul même si on sait que l’on doit réagir. Comme dans n’importe quel domaine, il n’y a pas de honte à se faire aider par un spécialiste. Evidemment, un cas n’est pas l’autre. Slalom (le nouveau) c’est un tout autre spécimen avec d’autres problèmes et surtout d’autres réactions aux mêmes stimuli. Pour conclure, je dirai que la méthode Parelli nous a aidés à évoluer ensemble et je ne remercierai jamais assez Jean pour le plaisir et le confort qu’il m’a apporté.

Le phacochère il est trop top.

Arf, oui, céder à la pression dans toute les positions dans un premier temps quand on a attaqué "en force", il était attaché à un poteau avec un huit d'escalade. Dès qu'il tirait, Jean lui rendait du mou de manière démultipliée par le huit. C'est à dire qu'il recevait du mou mais pas proportionnellement à sa force de traction. On l'a ensuite exposé à tous ses "vices" : tapis qui tombe, selle qui tombe, corde dans les jambes bref, on le poussait à la faute jusqu'à ce qu'il ne fasse plus qu'un raidissement de corps ou une contorsion de la tête pour observer plutôt qu'une traction sans réfléchir. Par la suite, je devais faire exprès de laisser tomber un truc ou de déseller dans le désordre. Pour monter dans le van, comme ça allait super avec jean, il le montait dans le van sellé avec un tas de truc qui pendait dans la bricole, il a même essayer en marche arrière. Moi, les passages "violents" j'étais en larmes, c'est ma vété super intéressée par la méthode qui venait seconder Jean.

Je connaissais pas ce nom là, moi, c'était coup de lance.

Eh, le van c'est la troisième année que je l'ai. L'année avant, je m'étais achetée une petite jeep pas chère pour pouvoir supporter le tout. Vous savez tous très bien que c'est une passion peu enrichissante financièrement parlant. La suite : Nous n’avons pas suivi le cursus traditionnel des 7 jeux. Ce qui m’intéressait, c’était d’acquérir le minimum pour pouvoir régler nos problèmes de robinet. Après, j’ai cessé les séances Parelli en conservant néanmoins les règles générales. Je dis souvent que les bases de la méthode devraient être vendues en kit avec chaque nouveau cheval. En ce qui me concerne, je ne suis pas encore totalement guérie, je n’ose toujours pas le laisser attaché au van seul sans surveillance. Je préfère le « pousser » dedans et aller papoter le cœur léger. Aramis lui, a appris à « vivre » selon d’autres règles que les siennes, à ne plus être l’élu, l’unique, le gros gâté à sa maman. L’arrivée de Slalom début de cette année (récit de 2004) a encore contribué à lui rendre sa place de cheval. On dirait qu’il mûrit au lieu de se gâter.

Bon, encore un bout mais, c'est bien parce qu tu pars demain. Début novembre, on a abordé le van. Aramis et Jean, ça marche plutôt bien. Aramis et moi, c’est la cata. Alors, il a fallu que Je fasse des devoirs, que Je fasse les exercices et que J’arrête de me prendre la tête. Jean très psychologue et surtout très patient se déplaçait chaque semaine non pas pour charger mon cheval mais pour me regarder charger. Un genre de coach moral quoi. Fin janvier 2003, c’était « réglé ». A l’heure actuelle, Aramis ne me pose plus de problème et moi, je ne m’angoisse plus à l’idée de transporter. Je me suis même acheté un van et je me dis à chaque fois qu je suis une grosse gâtée. Quand j’embarque, j’annonce très fière : « je vais charger le gros ! » Quand je pense à la vallée des larmes que j’ai traversée, voilà que je fais la maligne maintenant !

Non, on peut pas l'enterrer dans une prairie même les chiens sont sensés partir au clos d'équarissage. Mes 2 vieux sont partis au clos, je me suis même levée pour voir partir la ponette à 5h30 du mat. je me suis dit que de toute façon, elle ne sentait plus rien. Mort, c'est mort, une fois que la vie est partie, pour moi, il ne reste que l'enveloppe. Alors, qu'on en fasse de la colle ou autre chose...

Merciiiiiiiiiiiiii Attends, c'est pas fini.

Non, je fais le trec au val de lienne (chevron) certainement en équipe avec carole sur Slalom. Je t'ai pas envoyé d'invitation ?

Minute, j'arrive. Fin mai 2002, (2 ans de galère) la Blanche Fontaine organise une démonstration de la méthode Pat Parelli avec des adeptes du coin : Jean et Angélique Crotteux. J’y vais évidemment, dès qu’il y a du cheval quelque part, je vais voir. Légèrement septique : c’est pas mal mais, ce sont leurs chevaux et ça fait 1 an qu’ils les travaillent. Combien de fois par semaine ? Avec quel budget ? Je rentre quand même étonnée surtout par la façon dont les juments montent dans le van. Jean s’assied sur le garde boue et indique à Eloïse qu’elle doit monter dans le van. Elle le contourne et entre seule. GLUPS. Je renseigne ces 2 personnes à une connaissance dont le cheval ne monte PAS dans le van. Après 3 séances, elle me téléphone des millions de mercis. Là, je me dis : « à moi ! » Lundi 29 juillet 2002, 1ère leçon : jeu de l’amitié. On découvre les zones tabous du gros : derrière les jarrets et bien sûr la nuque et les oreilles. En fin d’heure, Jean fait des nœuds dans ses oreilles, le gros mâchouille ça travaille dans sa tête, c’est bon signe. Je suis dégoûtée, cela fait 5 ans que je négocie la toilette des oreilles et lui, en une heure … Il a l’art et la manière. Le renard, c’est la partie visible de l’iceberg. En grattant un peu, on a découvert pas mal de trucs pas forcément ragoûtants. Quelques séances d’apprentissage du respect, de désensibilisation, de céder à la pression plus tard, on a attaqué le renard. Mais Aramis n’est pas simple et il a fallu plusieurs fois changer le programme. Le problème en bonne voie, il me restait à faire des devoirs et lui faire confiance.

C'est paru l'an dernier dans l'hippo news. J'avoue, je fais comme toi mais, si je tape la tartine, y aura moins de lecteur.

Aramis, c’est mon petit gris, ma chaussette. Je l’ai eu à 2 ans, débourré par mes soins, c’est ma grande réussite. Mais voilà, en mai 2000 (5 ans), il s’est fait attaquer par le tuyau d’arrosage (trop de pression, genre serpent furieux qui crache de l’eau) et à découvert par le même occasion que quand on tire très fort en cas de danger ça casse et on est libre. 15 jours plus tard, il fait tomber son bac de brosses et rebelote. Après ces 2 malheureuses expériences, dès que j’étais un peu nerveuse et/ou que je respectais pas le protocole (établit par ses soins) CRAC, on me cassait un mousqueton avant de partir. C’était devenu inconfortable, je ne lui faisais plus confiance, mon super cheval avait cultivé un affreux défaut : il tirait au renard !! Bonjour les pauses de midi où je n’osais plus l’attacher de peur de devoir courir derrière et nous gâcher la rando. Dans le même ordre d’idée, il avait également mis au point un mode opératoire pour monter dans le van : papa devant, florence derrière, la longe attachée à tel endroit du van pour le pousser dedans sinon, il savait bien qu’elle n’était pas assez longue et surtout ne pas échanger les postes de travail !

ah ça, ils vont pas me louper c'est sûr.