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hina11

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Tout ce qui a été posté par hina11

  1. ce que concérne le rossignol ils vivent rarement dans la cage ou impossible ils meurent dans les 24h
  2. il ya un trés beau male rossignol qui chante maintent just acoté de moi (acoté de la fenétre) c le paradis waw
  3. Le Rossignol philomèle chante, gringotte, quiritte, trille. Répertoire étonnamment varié et agréable, surtout la nuit (il est un des rares oiseaux à chanter la nuit avec le merle noir). Phrases flûtées, mélodiques et répétées. Habitat : Il habite les forêts, les bois et les bosquets à sous-bois fournis, volontiers près de l'eau mais aussi dans des milieux plus secs à buissons touffus. On peut aussi le rencontrer dans les parcs, les jardins et les vergers. Comportements : Il passe son temps au sol ou près des buissons ou d'arbustes. Son chant est entendu au printemps. Une fois que les jeunes ont acquis leur plumage d'adulte, la famille reste groupée en poussant des cris rauques. Nidification : Nid : il est situé assez bas dans un buisson, souvent à même le sol (rarement au-dessus de 30 cm). La structure est peu ordonnée. Il est construit, à l'aide de feuilles et d'herbes sèches, par la femelle qui en aménage la cuvette intérieure. Ponte : la femelle pond 4 ou 5 oeufs (bleu clair ou bleu-vert et assez mats avec des mouchetures brun rougeâtre pâles) de mai à juin. L'incubation dure 13 jours et les jeunes ont leur plumage complet au bout de 11 jours mais ils ne deviennent pas indépendants avant encore 3 semaines. Régime : Le rossignol philomèle se nourrit essentiellement d'insectes tels que les carabes et les fourmis capturés au sol ou dans la végétation basse. Il mange parfois des baies.
  4. voila cher ami qlq info En effet, son plumage est terne et discret au point qu'assez peu de personnes l'ont aperçu. A peine plus grand que le moineau, notre rossignol philomèle ( remplacé en Europe centrale par son cousin le rossignol progné ) a le dessus brun uniforme, le dessous gris beigeâtre et la queue rousse. De plus, il se tient toujours sous le couvert des buissons et fourrés. Pour l'observateur, il est même agaçant de ne pas pouvoir le repérer alors que son chant tonitruant la situe à quelques mètres seulement. Bourgogne VatarRoulades, trilles, crescendo flûtés, murmures, gloussements et brefs arrêts se succèdent rapidement de façon nuancée, limpide et variée. Du point de vue purement mélodique, le rossignol a de sérieux émules qui l'égalent, voire le dépassent à ce titre: le merle noir, la rousserolle verderolle, la grive musicienne, la fauvette à tête noire et l' Hypolaïs polyglote, Mais le rossignol chante aussi la nuit. Alors soliste à la voix qui porte très loin, il a le don d'impressionner vivement les hommes pendant ces heures propices au calme, à la détente et à la rêverie. Encore plus invisible dés lors, il gagne en mystère, ce qui contribue grandement à son prestige sans partage. Cordoba AlbanLes rossignols sont relativement abondants. Il n'y a guère de haies et de bosquets jusqu'aux abords de la ville qui n'hébergent ces musiciens virtuoses. La végétation basse et dense au-dessus d'un sol couvert de feuilles mortes et autres débris végétaux a leur prédilection. Ils y trouvent insectes, larves, araignées et oeufs de fourmis qui constituent la base de leur régime alimentaire. Ce menu s'enrichit à la fin de l'été de diverses baies leur procurant les réserves énergétiques pour la longue migration qui les conduit en Afrique tropicale pour y passer l'hiver. Ils reviennent dans nos régions vers la mi-avril. Le mâle est le premier à retrouver le site familier où il s'était établi l'année précédente. Quelques jours plus tard, il se trouve généralement une femelle qui répond à ses parades et qui se charge de construire le nid. Pendant ce temps son compagnon défend, en chantant, le territoire du couple et chasse les intrus de son espèce cherchant à se cantonner à proximité. Il n'est pas rare d'entendre à 50 m de distance deux chanteurs qui s'installent. Tellia MichelL'armature du nid est constituée de feuilles mortes entourant une coupelle faite de brins d'herbe, de radicelles et de crins. Placé entre 50 cm et 2m de hauteur dans un fourré, il reçoit en moyenne cinq oeufs. A l'éclosion des jeunes après 13 jours de couvaison, le mâle cesse de chanter et participe au nourrissage des oisillons. Ceux-ci émancipés, il reprend ses vocalises éperdues qu'il apprend aux jeunes dont cet art n'est pas inné. Vers la fin juin, les mâles ne chantent plus et ces oiseaux sont alors quasi-indécelables bien qu'ils ne quittent notre région que pendant la mi-août après avoir effectué leur mue. Rasson GabrielLa période est donc relativement courte où ces virtuoses peuvent enchanter ceux qui, au pas de leur porte, veulent bien les écouter. C'est le regret de tous ceux qui se réjouissent tous les ans du concert printanier des oiseaux où le rossignol tient le premier violon depuis le fond des âges en inspirant les poètes et en régalant toutes les âmes sensibles à la nature.
  5. A. Matériel d'élevage A1. Cages : au moins 1 cage d'élevage, dimensions minimales: 40 cm de hauteur, 50 cm de longueur et 35 cm de largeur (tarin des aulnes, linotte à bec jaune et verdier d'Europe). 200 cm de hauteur, 200 cm de longueur et 70 cm de largeur (pinson des arbres, pinson du nord, bec croisé des sapins, gros-bec casse-noyaux, bouvreuil pivoine, chardonneret élégant, linotte mélodieuse). au moins 1 cage de quarantaine, dimensions minimales: 40 cm de hauteur, 50 cm de longueur et 35 cm de largeur. au moins 1 cage d'hospitalisation, dimensions minimales 40 cm de hauteur, 50 cm de longueur et 35 cm de largeur. au moins 1 cage pour les jeunes oiseaux sevrés, dimensions minimales: 200 cm de hauteur, 200 cm de longueur et 70 cm de largeur Les cages doivent être couvertes et construites à l'aide de matériaux de surface lisse et néttoyable. A2. Accessoires : Les accessoires doivent être amovibles et néttoyables. Les abreuvoirs et mangeoires seront couverts et placés en hauteur. Pour les cages de 40 cm de hauteur, 50 cm de longueur et 35 cm de largeur: au moins 2 perches de diamètre adapté à l'espèce (12 à 16 mm); au moins 1 assise pour le nid (durant la période de reproduction). Pour les cages d'au moins 200 cm de hauteur, 200 cm de longueur et 70 cm de largeur: au moins 4 perches de diamètre adapté à l'espèce (12 à 16 mm); au moins 2 assises pour le nid (durant la période de reproduction). B. Conduite de l'élevage B1.Isolement du couple reproducteur dans une cage d'élevage (bouvreuil pivoine, bec croisé des sapins, gros-bec casse-noyaux, pinson des arbres, pinson du nord, linotte mélodieuse, linotte à bec jaune). Rassemblement de plusieurs couples reproducteurs de même espèce dans une cage d'élevage d'au moins 200 cm de hauteur, 200 cm de longueur et 70 cm de largeur (chardonneret, verdier d'Europe et tarin des aulnes). B2. Durant le saison de reproduction, apport d'une alimentation répondant au besoin physiologiques du couple reproducteur et des oisillons. B3. Apport d'eau fraîche et propre (boisson et bain). B4. Durant le saison de reproduction, apport de matériaux pour la construction du nid. B5. Maintien à l'état propre: du sol des cages; des accessoires.
  6. A première vue, cette idée d'élever en lâchant les parents dans la nature, peut paraître insensée. Pourtant, si l'on respecte certaines règles, on peut très bien y arriver. On sait depuis longtemps que des oiseaux exotiques suite à des « accidents » se reproduisent en pleine nature sans gronde difficulté. Ainsi, à titre d'exemple: l'astrild à joues rouges qui après s'être échoppée en assez grand nombre d'un contingent important venait, de leur pays d'origine, se reproduire au Portugal. Pour ne pas aller si loin, il y a, à Bruxelles, une colonie de perruches à collier qui vivent et se reproduisent très bien en liberté. On ne parlera même pas des canaris dans 111e qui en porte le nom... Pour l'amateur que je suis, l'expérience était tentante. Ma première tentative s'est faite avec un couple de canaris jaune. Installé dans une volière de 4mètre sur I et comportant une fenêtre ouvrant sur l'avant de celle-ci. bès l'éclosion des jeunes, j'ai ouvert la fenêtre. Le mâle a disparu dans la demi-heure qui o suivi et la femelle quelques heures plus tard... ECHEC bans une volière adjacente, j'avais un couple de linottes mélodieuses qui couvait. J'ai retenté l'expérience, convaincu que si les canaris avaient été un échec, la cause était certainement due au fait que, ne connaissant pas la nature, ils s'étaient fait prendre par un prédateur ou l'autre (voisin, chat du voisin,...) De nouveau, dès l'éclosion, j'ai ouvert la fenêtre et là, phénomène étrange, le mâle est sorti tel un boulet de canon de la volière (je compris d'ailleurs vite que je ne le reverrais pas), alors que la femelle a continué à couver. Après l4jours sans éclosion, je me suis rendu compte que les oeufs étaient clairs et qu'il nLy avait donc pas eu daccouplement.. ECHEC ET MAT Il me fallait recommencer l'expérience. C'est ce que j'ai fait avec un couple de grives musiciennes (mais le mâle étant un champion aux expositions, je ne pouvais pas risquer de le perdre). La veille de l'éclosion, avant d'ouvrir la fenêtre, j'ai remis le male en cage et j'ai installé celle-ci à plus ou moins un mètre du nid. La solution était là: sans aucun problème la femelle s'est mise à élever ses jeunes. Pour chercher la nourriture, elle partait rarement plus loin que le jardin où chaque jour je bêchais un bon mètre carré et où je jetais des escargots deux fois par semaine. Après une quinzaine de jours, alors que je travaillais au jardin, j'ai vu la femelle revenir avec de la paille plein le bec. Un rapide contrôle effectué, j'ai constaté qu'elle faisait son nid sur la cage du môle. J'aurais pu, à ce moment, relâcher le môle une heure par jour (en fermant la fenêtre) mais comme nous étions déjà au mois de juillet, j'ai jugé qu'il était préférable d'en rester là pour cette année et de laisser couver sur des oeufs non fécondés. Après cette première réussite, j'ai décidé d'essayer avec d'autres oiseaux. Grâce à cette technique, j'ai pu élever des bouvreuils pivoine, des pinsons des arbres (j'ai essayé aussi avec des pinsons du Nord, mais la femelle n'est plus revenue), verdier de Chine et de l'Himalaya ainsi que des verdiers d'Europe. beux raisons m'ont poussé à abandonner ce système d'élevage. La première, c'est que l'on trouve actuellement dans le commerce tout ce qu'il faut pour élever correctement. La deuxième est la détérioration complète de l'environnement avec une circulation de plus en plus dense (j'habite le long d'une nationale...c'est d'ailleurs sur celle-ci que ma grive a laissé ses plumes) et une pulvérisation de plus en plus fréquente (qui a été fatale à ma famille de bouvreuils et de pinsons). Il faut savoir que derrière mon jardin se trouve un champ assez important exploité par un fermier du coin qui passe plus de temps à pulvériser qu'à récolter. Aussi, la dernière année durant laquelle j'ai tenté ce genre d'élevage, le champ de pommes de terre o été pulvérisé seize fois avant la récolte. En conclusion, je crois que l'expérience vaut la peine d'être tentée à condition d'habiter un coin isolé du gros trafic et si possible non entouré de terrains de culture intensive. François w. L'HYBRIDATION NOTES DE BASE SUR LES CROISEMENTS DIFFICILES Ces croisements consistent à accoupler, soit des canaris mâles avec des femelles d'indigènes ou d'Exotiques, soit des espèces indigènes ou exotiques entre elles. Je pense inutile de préciser qu'il est préférable de s'être fait la main sur des choses plus faciles avant d'aborder cette discipline. LE MATERIEL. Il est important. L'idéal serait, bien sûr, de faire nicher les oiseaux en cage d'élevage. Cela arrive parfois, et je connais quelques réussites obtenues de cette manière, mais c'est malgré tout l'exception. Les femelles indigènes ou exotiques hésitent, en effet, à nidifier dans un espace réduit et à découvert. Il faudra donc les loger en volière extérieure de préférence, et plantée ou garnie, de manière à recréer d'aussi près que possible les conditions de vie naturelles des sujets en présence. Les élevages d'hybrides que j'ai pu visiter en Belgique sont conçus de cette manière, et je m'en suis inspiré pour réaliser mon installation. Les volières sont compartimentées en éléments de 2,50 m X 1,50 m X 2,50 m pouvant correspondre entre eux, l'entrée principale étant aménagée en sas. Elles sont semi-couvertes, la moitié de la toiture est simplement grillagée pour permettre aux occupants de s'exposer au soleil ou à la pluie. Seule, la façade est entièrement ouverte. Les côtés et le fond sont garnis dans la partie supérieure, à mi-hauteur, de plaques d'onduline transparente, de façon à réaliser une protection efficace .untre les courants d'air. Une haie de thuyas protège le bas. Le sol, bêché chaque annô.~, permet la germination et la pousse de toutes sortes de graminées. Chaque volière, plantée soit d'un thuya ou d'un buddleia, et garnie de touffes de genêt ~in et buis, comporte un petit pourrissoir où fermentent pelures de fruits ei déchets de verdure, de façon à attirer les drosophylles. Une sphère de gril~ge contenant des déchets de viande favorise la production d'asticots, dont beauccup d'oiseaux sont friands. LES OISEAUX. A défaut d'installations de ce genre, on peut, bien sûr, tenter l'expérience en petites volières intérieures garnies. Pourquoi, direz-vous, rechercher la difficulté, alors qu'il est plus facile de réussir en hybridation avec des femelles canari qu'avec des mâles? L'emploi de mâles présentant des facteurs de dilution liés au sexe, que ce soit isabelle, pastel ou satiné, permet d'obtenir des hybrides femelles chez qui se retrouvent les caractères du père. Les plus connus sont les canaris X chardonnerets pastels, dont le masque rouge et les miroirs jaunes se détachent sur la couleur crème du reste du plumage. Mais imaginons ce que donnerait un canari X bouvreuil du même type. Que dire aussi des hybrides à facteur satiné, encore rares, mais combien prometteurs. De l'union Indigène X Indigène, Indigène X Exotique, ou Exotique X Exotique, on obtient aussi des produits merveilleux. Ils sont peu courants, mais la satisfaction ressentie par l'éleveur qui réussit, ne serait-ce qu'un seul de ces sujets, le paie largement du mal qu'il s'est donné. LES ACCOUPLEMENTS. Ces accouplements se rapprochent plus, à mon sens, de l'élevage d'Indigènes et de certains Exotiques en race pure, que des croisements avec femelles de canaris. Je m'explique Lors des tentatives d'hybridation avec ces dernières, il y a plus souvent " fécondation " seulement qu'
  7. pour commencer voici qlq infos sur ce beau ooiseau: Aspect Un peu plus petit qu'un moineau, ce petit pinson a un aspect soigné avec un petit bec conique. Pendant la saison de reproduction, il est impossible de ne pas reconnaître le mâle arborant fièrement des taches rouges sur le front et sur la poitrine. En dehors de la saison de reproduction, la linotte a un aspect plus terne. En hiver, les deux sexes sont d'une couleur brune assez uniforme. Les mâles ont le dos brun, les ailes foncées, une tête brun-gris et le dessous légèrement strié. Les femelles sont plus grises, avec moins de roux dans le plumage. Les jeunes sont roux clair avec des rayures foncées. Souvent vues en vol, elles sont facilement identifiables par leur gazouillis très mélodieux et les taches pâles sur les ailes. Comportement La linotte mélodieuse est un petit fringillidé qui vit généralement dans la campagne, surtout sur les terres cultivées, où elle se nourrit de graines (plantes cultivées et sauvages). En hiver, les linottes errent en bandes à la recherche de graines dans les champs et les landes, en compagnie d'autres pinsons et bruants. Elles trouvent dans la nature toute la nourriture nécessaire et ne dépendent donc pas du nourrissage hivernal. Les linottes ne fréquentent pas beaucoup les jardins, mais elles ont récemment colonisé des parcs et des jardins dans certaines parties de l'Europe du Nord. Elles visitent cependant parfois les mangeoires situées à proximité de leurs colonies. Comme beaucoup d'autres oiseaux vivant dans un environnement agricole, sa population connaît pour le moment un fort déclin, due aux méthodes agricoles modernes. De plus la linotte mélodieuse est célèbre pour son chant, très proche de celui canari. Pour cette raison elle a été souvent mise en cage. Habitat La linotte mélodieuse vit dans les haies et les buissons en milieu agricole ou de landes ou de bruyères. On la retrouve essentiellement en plaine. Aire de répartition Niche partout en Belgique et en France, sauf dans le Var et les Landes. Reproduction Période de nidification : mai à août. Nombre de couvaisons : deux a trois couvées. Nombre d'œufs : 4 à 6 œufs bleu pâle tachés de brun roux ou brun foncé. Incubation : 12 à 13 jours (femelle). Nid : la linotte niche souvent en petits groupes (jusqu'à une douzaine de couples ; nids distants de quelques mètres). Le nid est une coupe de racines, de tiges, tapissée de duvet et de laine. Il est situé à 1 mètre environ au-dessus du sol, sous le feuillage d'un buisson ou d'un conifère. Type de nichoir : Envol : 11 à 14 jours. Emancipation : deux semaines après. Plumage juvénile : sans. Première nidification : un an. Migration Migrateur partiel. En hiver, on observe un déplacement massif vers les côtes atlantiques ainsi qu'un afflux des populations scandinaves et britanniques. voix Le chant est un gazouillis, un trille musical et varié. Le cri en vol est un ghé-ghé-ghé. En vol, chant faible, mélodieux, gazouillé. Nourriture naturelle Les linottes mangent des insectes au printemps et en été et des petites graines le reste de l'année. Elle recherche la moutarde sauvage, la renouée des oiseaux, le pissenlit et la patience, et les graines de colza, de chardons, d'oseille sauvage. Mangeoires Visiteurs rares des mangeoires, cependant elles peuvent prendre les graines et semences pendant les hivers rigoureux. Elle apprécie les déchets de cuisine, les mélanges pour oiseaux forestiers, les graines de lin, cacahuètes en morceaux, le millet et le tournesol.
  8. oui mutan c'ete just une ereur de lien j'ai rater l'image je vai la changer
  9. on le fai des volieres de plus de 10m et directement sur terre pour que les oiseaux puisent trouver des pikines plus des materieaux chéres et ça demande bcp de moyens.... c'est un beau oiseau avec un chante fort....
  10. hina11

    Couleur d'oeufs ....

    oui c'est la derniere et c normal
  11. je dirai des vers et des pinkies. oui il est possible de l'elever mais ça demande bcp de moyens cher ami
  12. hina11

    male ou femelle?

    le premier je dirai un male car je vois que sa mstache et noire foncé. en effet donne liu un peu de vinaigre . la video je pense une femelle
  13. j'aime telement ce oiseau il est sauvagement beau en realité je trouve pas es adjectifs pour le califier
  14. merci infiniment pour l'information . oui c un male il est en train de netoyer son nid. j'aimerai bien esseyer de l'elver ou de faire d'hybridation c'est un oiseau magnifique avec un chante agreable je pense qu'il a plus de son que le chardonneret
  15. [img] comment s'appel ce oiseau. merci
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