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adam1

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  • Date de naissance 08/03/1982

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  1. adam1

    urgent

    donne luis le baycocx 2 gout pandant 5 jour
  2. adam1

    mulet mal ou femelle

    voire sons masque il depace les yeux
  3. Connaître Le Chardonneret Élégant • Classification Le Chardonneret élégant appartient à la famille des Fringillidés qui regroupe de nombreux passereaux communs comme le Pinson des arbres, le Serin cini, le Verdier d'Europe, la Linotte mélodieuse ou encore le Gros-bec casse-noyaux, parmi les plus connus. Son nom scientifique est Carduelis carduelis. Cet oiseau est bien répandu en France : il est souvent observé en hiver sur les mangeoires des jardins où il recherche des graines. Cette fiche technique décrit en détail l'écologie de ce passereau familier. • Etymologie Carduelis carduelis vient de cardus, le chardon, nourriture favorite de l'oiseau. Le terme "élégant" souligne l'harmonie de ses couleurs. Le nom anglais du chardonneret est Goldfinch, Pinson doré, relatif au jaune des ailes. Il existe deux noms allemands : le premier est Distelfink, Pinson des chardons, le deuxième est Stieglitz qui vient de son cri "sticlitt". • Description 1 – Description simple La taille de l'oiseau est de 14 cm de long (de l'extrémité du bec au bout de la queue) et son envergure de 21 à 25 cm : c'est à dire proche de la taille d'une Linotte mélodieuse Carduelis cannabina. Poids : 13 à 19 grammes. Le Chardonneret élégant adulte est facilement reconnaissable à son masque facial rouge et noir, qui lui donne des allures de clown ainsi qu'aux marques alaires jaunes vif. Le masque facial du chardonneret immature est marron clair, sans rouge ni noir. Les mâles et femelles sont identiques de loin : on dit qu'il n'y a pas de dimorphisme sexuel apparent. Le bec est celui d'un granivore : il est relativement long et fin. Les plumes de la queue (rectrices) sont courtes, noires avec des taches blanches caractéristiques. L'oiseau en vol se distingue à son croupion blanc (partie se situant à la base de la queue). Le cri caractéristique lancé en vol est un "didelitt" ou "sticlitt". 2 – Description détaillée Front (jusqu'aux yeux) rouge brillant, avec les lores (zone entre le bec et l'œil) et base du bec noirs. Dessus de la tête noir et ligne noire étroite sur côtés de la tête, derrière les couvertures auriculaires. Grande tache blanche sur la nuque. Joues blanches avec une tache marron clair en son centre. Manteau, dos, bande pectorale et flancs marron clair à chamois. Croupion (plumes sus-caudales) blanc. Ailes noires, aux extrémités marron avec une tâche blanche au bout. Grandes couvertures jaune vif. Bec rose pâle à blanc avec une toute petite tâche noire à l'extrémité. Pattes rose claire. Il existe une dizaine de sous-espèces décrites dans l'ouest Paléarctique, avec pour chacune d'entre elles des variations infimes de teintes du plumage et de taille. En France, trois formes sont reconnues suivant les régions. Les individus du Nord-Ouest se rapportent à la forme C.c. britannica qui semble Être plus sombre (Angleterre et Irlande), puis au fur et à mesure que l'on se dirige vers le centre de la France, les individus se rapportent progressivement à la forme type C.c.carduelis (Europe centrale). Puis, en allant vers le sud, les individus se rapprochent de la forme C.c.parva (Méditerranée et Afrique du Nord). • Répartition & migration La répartition du Chardonneret élégant est vaste : elle englobe les zones boréales, tempérées et méditerranéennes, depuis l'Afrique du Nord, en passant par l'ensemble de l'Europe, jusqu'à l'Ouest asiatique. En France, le Chardonneret élégant est assez commun et il n'est exclu d'aucune région, Y compris la Corse. C'est l'une des espèces les plus fréquentes de France : la population nationale est comprise dans une fourchette allant de 1 à 5 millions de couples (LPO, 2004). Sa population est croissante ces dernières années (LPO, 2001). Le Chardonneret élégant est donc visible toute l'année chez nous (espèce sédentaire ou migratrice partielle), cependant une raréfaction est notée en hiver dans le Nord-Est et les zones montagneuses à cause de la rigueur du climat. En cette saison, la population française de chardonnerets est renforcée par les individus migrateurs venus du nord-est de l'Europe. • Habitat On trouve le Chardonneret élégant dans une multitude d'habitats de plaines : boisements ouverts, landes à bruyères, bocage, lisières et clairières des forêts, ycompris celles de résineux. Il est commun à proximité de l'homme dans les vergers, grands jardins, parcs d'agrément, avenues boisées, cimetières, même au cœur des vastes agglomérations. Le Chardonneret élégant apprécie les milieux secs (xérophiles), c'est pourquoi il est si abondant dans les plaines méditerranéennes. En montagne, il ne niche généralement pas au dessus de 1400 mètres (exceptionnellement 2000 mètres en Suisse), mais on peut le voir à plus haute altitude après la nidification : par exemple sur les prairies alpines autour des chalets à 2400 m. Les migrateurs passent les cols et certains ont même été notés jusqu'à 3 554 mètres dans les Alpes ! Bruyères Cardère • Comportement alimentaire Le chardonneret est essentiellement granivore. Il recherche en priorité les petites graines des composées (chardons, centaurées, bardanes, séneçons...) qu'il trouve essentiellement dans les friches et hautes herbes. Il consommerait ainsi 150 espèces végétales différentes. Il prélève généralement les graines directement sur la fleur. Il se nourrit souvent sur les tournesols. En hiver on le trouve aussi dans les arbres : aulnes et pins. Le chardonneret prélève très rarement des baies. En période de nidification, il peut agrémenter son régime alimentaire de quelques invertébrés : petits coléoptères, diptères, pucerons, chenilles et larves qui servent également à nourrir les jeunes au nid. • Territoire En France, on compte en moyenne un couple de chardonneret pour 10 ha (Duboc, 1994). Les densités de ce fringille n'atteignent pas des valeurs extraordinaires, sauf en milieu urbain où il n'est pas rare de trouver plusieurs nids en quelques dizaines de mètres dans les alignements d'arbres ou d'arbustes ornementaux. L'espèce présente alors un certain grégarisme dans les zones d'habitation humaine où le territoire a une valeur restreinte : selon une étude menée par Conder (1948), celui-ci est en moyenne de 250 m² pendant la construction du nid et la période d'accouplement, puis se réduit à 10 m² après la ponte. • Chant Le chant du chardonneret s'entend du mois de mars à fin août : celui-ci est rapide, entrecoupé de roulades et trilles aiguës, facilement reconnaissable quand on l'a entendu une première fois. Le mâle chante généralement sur un perchoir élevé. La femelle peut aussi chanter à l'occasion. • Nidification NB : Ce paragraphe s'inspire principalement des descriptions faites par P. Géroudet (1980) & P. Duboc (1994). 1. Formation du couple et nid Les couples se forment discrètement, vraisemblablement dès l'hiver. La reproduction commence avec l'émission du premier chant au mois de mars. Mâle et femelle choisissent l'emplacement du nid et la construction commence. Celui-ci se situe à l'extrémité d'une branche, une enfourchure d'arbuste, une haie, dans un buisson, toujours à faible hauteur et bien caché dans le feuillage. Le nid du chardonneret est très soigné : c'est une petite coupe profonde, confectionnée de tiges herbacées et de radicelles entrelacées, fixées, maintenues et revêtues à l'extérieur par des soies d'araignées et de chrysalides, des duvets végétaux, des fils, des crins, des brins de mousse, des flocons de laine et de poils y sont ajoutés, avec parfois une plume, ou des lambeaux de papier. L'intérieur est bien garni de matériaux doux et soyeux, surtout d'aigrettes de composées. Le nid est construit seulement par la femelle en 4 à 7 jours. 2. Œufs et poussins La femelle chardonneret pond généralement 5 œufs au mois de mai (plus rarement 4 ou 6). Elle couve pendant 12 jours et c'est le mâle qui vient alors l'alimenter. Après l'éclosion, les petits sont protégés sous leur mère. Ils sont recouverts d'un duvet gris sombre peu fourni. La cavité buccale est rouge carmin avec des bourrelets blanc crème à la commissure du bec. Les jeunes sont ensuite nourris par les deux adultes environ deux fois par heure chacun en moyenne. Ils sortent du nid à l'âge de 14 – 15 jours. La femelle fait ainsi 2 couvées par an, parfois 3. 3. Familles Dès le milieu de l'été, en juillet, les premières bandes formées de groupes familiaux explorent les campagnes à la recherche de friches riches en composées, de grèves et vasières envahies de bidens ou armoises ou encore de jardins. Le passage postnuptial, par petites troupes qui survolent la campagne, le littoral et les cols est sensible en octobre-novembre. • Comment attirer le chardonneret au jardin ? En hiver, vous pouvez facilement attirer le Chardonneret élégant à proximité de votre habitation. Celui-ci appréciera particulièrement les graines de tournesol, de chènevis et de millet que vous lui mettrez à disposition dans une mangeoire ou à même le sol. L'oiseau grégaire, prélèvera alors les graines tombées au sol, par petites troupes. Au printemps, pour favoriser sa venue sur votre terrain, offrez- lui des zones de friches comportant des composées (centaurées, bardanes et séneçons jacobée et commun) et autres plantes adventices (chardons, cardères sauvages, mouron des oiseaux...). Pour la pelouse, vous pouvez par exemple conserver des banquettes herbacées le long des haies ou des allées. Ainsi, les hautes herbes permettront aux plantes de fleurir et de monter en graines, attirant notre oiseau. Ces lisières herbacées pourront être coupées au mois de mars et sont également très favorables aux papillons.
  4. Reproduction du chardonneret en cage Pendant cette période de reproduction du chardonneret , voici une méthode parmi d'autres qui vous permettra de reproduire des chardonnerets en cage, voici une méthode utilisée par de nombreux éleveurs . Ce processus pourrait devenir très facile si l'éleveur suivra les étapes soigneusement examinées de la vie et la nutrition du chardonneret. Tous d'abord les points clé de la réussite sont : - L'alimentation (une alimentation saine et variée) - L'hygiènes l'eau changé tout les jours et fond de cage 1 fois par semaine. - La tranquillité du couple (toujours les laissé tranquille et évité de les dérangé). Se focaliser toujours sur la femelle pour la reproduction, parce qu'elle doit être habituée a la vie en cage. La femelle préféré est la femelle qui est issu d'un élevage (née en cage), cette femelle peut reproduire dès sa première année La femelle issue d'une capture mais, avant d'avoir complété son masque rouge, peut reproduire dès la deuxième année. La femelle issue d'une capture mais, adulte, elle sera en meilleure forme et peut reproduire dès la deuxième année L'alimentation annuels doit lui être adaptés comme ici: En hiver : graines de chènevis et de lin et un peu de graines de Niger, graines blanche et de la pâtée aux oeufs chaque semaine ou une semaine sur deux, on peut lui rajoutée des vers. Pas de verdures pour la femelle sauf le thym ( quelques éleveurs Italien ne donne jamais de verdures a leurs chardonnerets) Après l'hiver ( vers février ) , on lui offre tous types de verdures et si c'est possible des graines de chardon ou du thym , des graines germées complémenter de vitamines et très important donner de la pâtée aux oeufs pour donnée a la femelle la graisse nécessaire pour couvée il est préférable dit rajouté quelques vers et un peu de chènevis , de lin et un peu de Niger ( mais n'en abusé pas car ce sont des graines très grasse pour le foie et cela peut mené a la mort de votre oiseau ) il est important de mettre la cage en hauteurs a 50 cm du sol ( le meilleur c'est quand la cage arrive a votre épaule car l'oiseau si s'en en sécurité ) plus l'oiseau est en hauteur plus il se sentira en sécurité mais évité quand même de les mettre trop haut il deviendront trop sauvage , il est déconseillé de mettre plus d'une femelle en même temps dans la même cage dans le but de reproduire . Placez la cage dans un endroit hors de portée des enfants et des animaux domestiques, si possible envelopper la cage avec du nylon ou autres pour que les oiseaux se sentent en sécurité et pour évité les projections de graines. Le mâle sera prêt quand le bec deviendra légèrement rosé même s'il reste encore une petite tache noir sur le bout du bec, et normalement il devra chanté en faisant la cour a la femelle. La femelle portera les mêmes signes du malle et pourra elle aussi chanté , et dansé pour répondre aux appels du male , et commencera de temps en temps a jouée avec un bout de papier ou une plume , pour construire un nid ( il faut de temps en temps la "testé" en mettant une peu de coton ) . Si vous avez plus d'un couple, alors il faudra les mettres dans une grande cage pour que les femelles fassent leurs choix et pour qu'il n'y est pas de problèmes d'incompatibilités. Ils se donneront a manger ou se suivront. Le nid de préférence sera a l'intérieur, camouflé avec de la verdure artificielle, le matériel de nidification est préférable d'être doux , du coton de chardon ou de la mousse qu'on retrouve sur les bas des arbres , de la charpie blanche , les matériaux blanc est recommandé car le blanc a tendance a les stimulé et évité le coton car il peuvent se coincé dans les pattes de la femelle ou des oisillons ... Bref, il y a plusieurs sujets ici qui traitent le matériaux de nidifications. Quelques conseils pour éviter les erreurs de débutant : -faire attention avec tous se qui est fil de fer ou trucs pointue dans la cage, du style accroche pour mettre le nid en hauteur ou fil de fer pour l'os de seiche. -ne pas trop charger les oiseaux en nourriture bien qu'il faille les chauffer, il ne faut pas surcharger, le foie gras est très vite arrivé (donc évité les mélanges trop riche en graine noir il faudra dans se cas le "blanchir" avec de l'alpiste) et surtout ne pas trop chauffer les oiseaux, sinon risque de femelle qui abandonne les petits pour renicher, ou bagarre incessante. Ou male qui fou tout en l'air et tue tout les petits pour recocher ou bien souvent qu'il cassent les oeufs et cela est très démoralisant surtout si les oeufs était fécondé de nombreux éleveurs le sépare une fois la ponte terminé pour évité tout problèmes . -ne pas trop manipuler les oiseaux a la main, sa les stress énormément. -dès maintenant traiter contre les poux pour éviter de perdre des jeunes bêtement soit par de la poudre insecticide ou avec de l'ivomec , sinon une petite astuce c'est de suspendre un peu de tanaisie au dessus des cages et dans le nids c'est un très bonne anti-poux. -éviter de trop les déranger, juste une fois par jours pour changer l'eau et le reste, c'est suffisant. -observer régulièrement les oiseaux, même quelques minutes par jour, pour éviter les problèmes de dernière minute comme il en vient souvent en période de reproduction. Style mal de ponte ou trucs comme sa. -ne pas être impatient, sa ne fait faire que des bêtises !!!!!! -essayez de camoufler la cage et les nids au maximum pour qu'ils se sentent bien car les chardonneret aime bien être caché .
  5. Méthode et secrets d’élevage et de reproduction du chardonneret parva en cage Dans cet article je vais essayer de vous citer mon expérience de reproduction du chardonneret parva dans des petites volières, avec une méthode testée et réussie de ma part. On va commencer par le choix des petits juvéniles de préférence qu’on les met en couple dans une volière de canaris 0.5x0.25 des leur deuxième ou troisième mois comme ça ils passeront tout l’été et par la suite la période de la mue ensemble, et même on peut les écoler ensemble si on a un bon maitre surtout un mulet c’est testé et validé. (Pour les adeptes d’écolage). Par la suite vient l’emplacement de la volière qui est un facteur très important et déterminant dans la réussite de la reproduction, de préférence un emplacement ; a la fois ensoleillé et a l’abri des courants d’air, parce que se sentir en sécurité est très important pour le couple et surtout la femelle. Pendant la mue juvénile on couvre une demi-couverture les volières avec une nappe pour garantir un déroulement réussi et rapide de la mue bien sur avec des apports de vitamine pendant cette période qui très stressante et fragilisante pour nos chardonnerets. Avant la période de mue généralement j’ai recours à un premier blanchiment et à un deuxième âpres cette période, avec des anticoccidiens comme baycox, baytril, trimexine, sulfamax….etc, il faut changer chaque année l’antibiotique pour ne pas avoir des résistances microbienne face a un seul produit Apres avoir passé la mue vient la période de repos a cette période la, et comme son nom l’indique c’est le repos total qui est recommandé pour nos chardonnerets, et ce n’est pas une période de préparation parce que plusieurs éleveurs commencent directement la préparation afin de commencer la reproduction le plutôt possible ; moi personnellement, je ne suis pas adepte de cette méthode car un tel rythme affaiblit les couples âpres deux ou trois ans et dans le monde du chardonneret il ne faut jamais se précipiter et il faut avoir le maximum de patience qui est le clef de réussite de tout éleveur. Donc pour moi cette période et aussi importante vu que les couples ont besoin du repos pour démarrer avec un rythme croissant jour âpres jour, jusqu'à ,en arriver a la période de reproduction en toute forme et tout au long de cette période j’ajoute rien d’extra ,à la nourriture sauf leur mélange ordinaire et une fois par semaine un apport de vitamines ou bien du vinaigre de cidre dans l’eau. En arrivant au mois d’avril après avoir passé la période de repos, c’est a ce moment la qu’il faut penser a la fameuse préparation des couples et la je vais vous dévoiler quelques secrets que la majorité des éleveurs qui ont réussi leurs élevage, ne veulent pas en parler ; ou s’ils en parlent c’est de bouche a oreille, pour ne pas dévoiler a tout le monde soit disant leur « secret de métier » comme on le dit ,en ce qui me concerne, moi j’ai pas de secret je dévoile tout par conviction que l’information ne se cache pas. En bref leur secret c’est ni la vitamine E ni autre chose c’est juste le traitement hormonale des couples, pour les males on utilise des produits a base de méthyle-testostérone et pour les femelles on utilise des produits a base de citrate de clomifène, ces deux traitement sont d’une grande efficacité que vous ne pouvez pas imaginer mais il faut faire attention a leur utilisation ,c’est avec modération et il ne faut pas en abuser parce qu’ils ont des effets inverses. Pour le premier traitement qui est le méthyle-testostérone on le trouve dans quelques rares produits destinés aux oiseaux de compagnie tel que tabernil canto ou melodyl canto ou strong bird, et il a un grand effet sur les caractères sexuels des males tous ce qui est chant et fertilité, d’ailleurs les éleveurs l’utilisent avant les concours de chants, et la j’ouvre une petite parenthèse sur quelques pratiques ; Si vous croisez un jour un éleveur avec son chardon qui chante d’une manière anormale, non stop et les ailes tombantes, soyez sur et certains qu’il est traité avec la testostérone, d’ailleurs les vidéos qui circulent sur youtube avec des Shows de chardonnerets qui cochent les femelles dans les mains des éleveurs ce n’est que du traitement hormonale et les éleveurs prétendent avoir le meilleur chardonneret au monde et tout ces trucs. Bref je reviens à notre sujet ; l’utilisation de cette hormone ne doit pas être prolongée plus qu’un mois avec une fréquence de deux à trois fois par semaine avec les doses recommandées sinon ce sera l’effet inverse qui est la dépendance et la stérilité. Pour le deuxième traitement c’est le citrate de clomifène sous forme de pilules au nom de clomid ou serpafar a l’origine il est destiné pour les femmes qui ont un déficit d’ovulation parce que c’est un inducteur d’ovulation on l’utilise a raison d’une pilule dans un litre d’eau chaque jour et ça influe énormément l’ovulation chez les femelles chardonnerets dans un délai de deux voir trois semaines. aussi a respecter les doses sinon c’est la catastrophe il peut être toxique et mortel a fortes doses. Ces deux traitements on les utilisent généralement , juste la première année du couple pour franchir quelques difficultés de maturation sexuelle chez les deux ,et une fois le couple c’est bien mis sur la route et bien rodé dans sa première reproduction on n’a plus besoin de ce traitement les années à venir. Les espagnols sont les plus adeptes de cette stratégie de traitement et d’accouplement et réussissent bien leur métiers, reste au Maghreb (Maroc, Algérie, Tunisie) on utilise cette méthode secrètement et parfois il ya des échecs, faute de non respects des dosages, ou de tendance à faire des shows qui endommagent les oiseaux d’une manière ou autre. Bien que je respecte touts les autres méthodes et expériences, Je vous assure chers éleveurs que la méthode que je viens de vous citer est la plus efficace, et la prochaine fois on évoquera d’autres sujets qui concernent notre oiseaux préféré qui est le chardonneret parva.
  6. L’Hiver et élevage de chardonneret sans maladies Dans cet article je vais essayer de vous présenter quelques conduites et recommandation à tenir et a suivre dans votre élevage pendant la saison d’hiver, qui figure sans doute la plus difficile pour tout éleveur : D'abord on commence par éviter l’humidité, qui est l’ennemi n°1 du chardonneret, et oui l’humidité provoque les maladies surtout la fameuse coccidiose, et pour faire : -il faut garder son pièce d’élevage aérée et ensoleillée tout en évitant les courants d’air, sinon s’équiper d’un déshumidificateur. -veiller a ce que les graines soient toujours sèches, dans ses contenances d’origine ou même dans les mangeoires, jetez le résidu du fond de la mangeoire parce qu’il capte rapidement l’humidité. - assurez vous que les fonds des cages sont toujours propres et loin des excréments et tout contact avec les déchets, parce qu’un chardonneret qui grignote toujours au fond de cage, c’est un futur malade sans aucun doute. -pratiquer le blanchiment sur deux période un premier en fin septembre l’autre en fin janvier Ensuite viennent d’autres conditions à respecter : Garder le même rythme d’éclairage, de température et de nourriture de vos chardons parce qu’un petit changement a ces trois niveaux déclenchera une fausse mue, et par la suite il y’aura de lourdes conséquence lors de l’accouplement des mâles et femelles, et même je peux vous confirmez que vous direz bye bye reproduction et vous passerez à coté. Donc faites attention se sont des facteurs qui nous paraissent ordinaires mais qui demandent beaucoup de vigilance de votre part, et comme témoignage beaucoup d’éleveurs me demandent pourquoi mon couple ne se reproduit pas malgré qu’il est prêt le mâle avec bec rose et n’arrête pas de chanter et la femelle fait les appels au mal et même construit le nid mais pas de ponte ou des œufs clair ou elle quitte le nid?? Je réponds tout simplement je suis sur qu’ils ont vécu une fausse mue au cours de saison de repos ou en préparation, et âpres les éleveurs confirment ma réponse. Ou on me demande dans deux ou trois jours mon chardonneret et tout à coup est devenus en boule ?? Je réponds ca se passe pas dans ces deux ou trois jours ce n’est que le dernier stade de la maladie parce qu’au début vous ne pouvez pas remarquer la maladie quand vous regarder votre chardonneret de prés, tout simplement et par instinct en lui approchant il se met en garde pour sauter ou voler donc pas de signe apparent que les derniers jours ou il est vaincu et ne peut pas le cacher, et a ce moment la a savoir vous pouvez le guérir ou non. Donc je reviens aux causes qui sont le manque d’hygiène, et le contact avec les excréments ou une nourriture humide et pourrie, qui provoquent les maladies, et c’est pour ca que je recommande le blanchiment, parce qu’en élevage ou même dans notre vie vaut mieux prévenir que guérir.
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