marieke1

Ce qui m'impressionne le plus, c'est la force qu'ils dégagent tous les deux. Ils sont fameusement balèzes.

10/10 Alex A toi maintenant

Voilà la nouvelle question : Qu'est-ce une jument "bréhaigne"

Si ce n'est pas la trachée, je pensais au larynx. J'ai connu un cheval qui cornait et cela venait de sa respiration, à l'inspire.

Merci pour les infos. C'est sympa. Je mettrai mon mari au courant ce soir (ce que femme veut, Dieu veut... ) Non sans blague, chaque année rebelote avec les seaux, et pour mon cher et tendre : réparation si conduites non coupées tôt assez (c'est là le plus dur : car qu'est ce qu'il peut râler )

Emeraude, c'est très intéressant ! Et au niveau des robinets (intérieurs et extérieurs des écuries), ne gèlent-ils pas avec ce système ?

Bien belle fifille. C'est son premier poulain qu'elle attend ?

Super touchant. Quelle allure déjà chez un si petit poulinou ! Et quel port de tête !

Merci à toutes. Votre expérience et votre vécu sont très utiles. J'ai montré à mon mari vos réponses (c'est un super bricoleur "at home"). Bilan : tout va rester comme cela. A moi de couper et de vidanger les tuyauteries et abreuvoirs tôt assez pour qu'il ne soit pas obligé de réparer les dégâts d'éclatement chaque année. Avec ce gel interminable, je redoute surtout les coliques, car boire de l'eau glacée, c'est pas top. Un avantage appréciable quand on a ses chevaux à la maison, est que l'on peut disposer d'eau chaude. Mais quelle galère pour le passe-passe des seaux

Avec cette période de grand froid, nous avons dû couper l'alimentation en eau dans les écuries et devons distribuer quotidiennement l'eau à l'aide de seaux dans de grandes bassines installées dans les boxes. Il existe des serpentins électriques permettant aux canalisations de ne pas geler. Avez-vous ce système dans vos écuries ou à la pension de votre cheval ? Est-ce à 100% efficace ? N'y a t-il pas de problèmes avec l'abreuvoir lui-même (petite cuvette d'eau exposée au gel), ne gèle t-il pas quand même ? Même question pour le robinet. Merci pour vos réponses.

Ma prof d'éthologie a utilisé le lasso lors du débourrage de Pieter l'été dernier au cours d'exercices de désensibilisation : autour d'un antérieur, d'un postérieur ou les deux, croupe et postérieur, passage de sangle (il n'avait jamais été sellé auparavant)... Ces exercices étaient propres à elle, appris lors de son séjour de 2 ans dans le Montana où elle a débourré des dizaines de poulains. Attaché sur la selle, le lasso a désensibilisé Pieter entre autre au bruit, claquement... venant de son dos. Malheureusement je n'ai pas vu de livre non plus sur des exercices à faire avec un lasso. Parfois je l'utilise dans le travail en liberté; je le fais claquer roulé sur ma cuisse. Je n'en abuse pas, c'est plus un rappel à l'ordre.

Malheureusement je ne sais pas obtenir de renseignements plus utiles, car elle a déménagé. Ma soeur (qui à l'époque la côtoyait plus que moi) se souvient que le cheval souffrait terriblement, tapait souvent dans son fourreau et que son état général dégénérait. Le véto avait prévenu que c'était grave et qu'idéalement le cheval devait partir en clinique vétérinaire plus des examens plus approfondis. Le cheval ayant plus de 25 ans, sa propriétaire n'a pas voulu assumer les frais qui s'annonçaient et l'a fait partir à l'abattoir Tiens nous au courant de la suite, veux-tu ?

Normalement cela commence toujours le premier w-e de décembre et dure une semaine. Sur le net, ils ne donnent pas encore de date. Au contraire, ils mettent un "?" et ajoutent que les dates sont sujettes à changement, voir auprès de l'organisateur. C'est encore un peu trop tôt pour ça.

Je comprends ton inquiétude. Dans le cas de Jumbo Jet, son fourreau a gonflé durant les 3 dernières semaines de sa vie (doublé de volume); des gouttes (pus + eau de feu) tombaient de son fourreau, malodorantes (une puanteur). Malheureusement je connaissais pas encore le Calmivet (calmant sous forme de granulé : 6 à 8 cuillères à café selon le poids du cheval). Je l'obtiens sans ordonnance en pharmacie en France (environ 15 €) et il permet une descente du pénis (pour les soins, c'est indispensable). (Pour info, je l'utilise actuellement pour le cheval de ma soeur pour le calmer lors du ferrage). N'as-tu pu obtenir plus de précisions de la part du véto suite à sa dernière visite ? A quoi est dû le gonflement exactement ? Ne peut-il te renseigner exactement et peut être te rassurer ? J'ai connu un cheval âgé qui a eu un gonflement du fourreau (taille de 2 ballons de football). Je vais contacter sa propriétaire pour en savoir plus. Si cela peut t'aider.

Cela fait partie d'un tout selon moi. Durant le débourrage, lors d'une pression des jambes avec soutien du rein, j'ouvre les doigts permettant une légère descente d'encolure. bout du nez vers l'avant. Je privilégie le mouvement en avant, dans le calme, sans précipitation. Petit à petit, avec les mêmes aides (jambes et rein), le contact avec la bouche va devenir de plus en plus souple, et l'angle tête/encolure va se fermer peu à peu. C'est parce que le jeune cheval trouve son équilibre sous le cavalier, engage mieux ses postérieurs, tend sa ligne de dessus grâce à l'activité de l'arrière main, qu'un meilleur soutien de l'encolure lui permettra de se mettre sur la main. Kathy Amos-Jacob écrit ceci : "il faut que vous ayez la sensation que le cheval passe ses oreilles par-dessus son mors en étirant son encolure et non pas comme on le voit trop souvent, qu'il ramène sa tête vers son corps par l'action des rênes qui tirent, d'où une petite encolure rabougrie, une tête plaquée, un cheval embouti". Tu vois Eleane, il faut de l'impulsion. C'est la main qui va recevoir l'impulsion créée par les jambes. Cette main va résister plur place, faisant sentir le mors. Elle reste moelleuse avec un contact le plus agréable possible pour le jeune cheval. C'est une étape cruciale dans le travail qui requiert énormément de tact de la part du cavalier.

6 mois avant son décès, je me suis rendue compte que JJ avait du mal à descendre son pénis pour uriner. A chaque ballade, il urinait, parfois 2 fois, nous avions l'habitude. J'ai senti que quelque chose n'allait pas, car il arrondissait le dos, prenait la pose mais rien ne descendait. Lâché au pré, il a fallu que que je guette le moment où enfin il a pu se soulager pour approcher et constater avec horreur, qu'il avait un ulcère sur le dernier tiers du pénis. C'était rose foncé, boursouflé, de la circonférence d'une tasse à thé. Le véto l'a examiné (sous calmant pour provoquer la descente du pénis), l'a désinfecté et poudré d'un antibiotique. Ensuite j'ai dû le nettoyer avec l'Isobétadine gynécologique (flacon bleu) et de l'eau tiède (3 l) régulièrement à l'aide d'un tuyau en cahoutchouc souple le plus haut possible dans le fourreau et d'appliquer une pommade antibiotique locale. Alors là, plus facile à dire qu'à faire. C'était un endroit tellement douloureux, tellement sensible et il fallait qu'il soit descendu pour le faire. Il fallait être là au bon moment. JJ a eu un moment de répit. Il était en pleine forme pour ses 21 ans. Je le remontais en ballade calmement. Et puis d'un coup, tout s'est enchaîné : coliques, oedème très important au ventre qui remontait jusqu'au passage de sangles, redifficulté de descendre son pénis, état général en dégringolade. Le véto étant impuissant, je l'ai conduit à la clinique vétérinaire à Gand. Il y est resté 8 jours jusqu'à son euthanasie. Au départ, les vétos voulaient l'amputer d'un tiers du pénis. Ils ne parlaient plus d'ulcère mais de tumeur. Mais JJ a failli y rester durant l'anesthésie (faiblesse cardiaque) et ils ont dû stopper l'intervention et se contenter d'une biopsie. Finalement, le cancer s'était généralisé avec métastases et la dure décision a dû être prise. Un post a été ouvert sur les soins à apporter au pénis du cheval sur ce forum. Il est très intéressant et important car cet organe est bien souvent tabou pour beaucoup de cavaliers (dont moi-même à l'époque). Mais il mérite des soins également. Le véto m'a dit que cet ulcère était sûrement arrivé à cause d'un bout de paille collé qui a pourri... Maintenant, avec Pieter, je reste vigilante. Aucune partie de son anatomie n'échappe à mon attention. D'ailleurs, il descent si facilement son pénis, que rien que l'examen visuel est très facile. Il accepte très volontiers les soins à cet endroit particulier suite à un petit rituel installé (décontraction, confiance et douceur). J'espère que cela pourra t'aider.

En effet, comment ne pas craquer devant lui ! Il ressemble beaucoup à mon cheval Jumbo Jet, décédé il y a tout juste 2 ans d'un cancer des parties. Que la chance vous accompagne dans vos projets et que tout se passe au mieux pour ce bel alezan.

Ta Mia est super canon et la photographe une vraie pro !

et par ce travail, on obtient un cheval en main, léger et décontracté. Pour les jeunes chevaux, se contenter d'une mise sur la main (équilibre horizontal qui par un travail sur les transitions d'allures notamment va s'améliorer).

Je crois que certaines petites précisions sont à apporter sur le fait de saliver. Voici ce que j'ai trouvé sur le net et qui conforte ce que j'ai appris en 30 ans d'équitation : ARDE christian User Eperon d'or Re:"Baver" et "déglutir" - 2008/03/10 21:59 Bouche sèche, bouche fraîche Il ya ce qu’en disent les spécialistes de la bio-mécanique et ce que nous apprend l’expérience. Les premiers disent que lorsque la fonction salivation est contrariée, la bouche peut être sèche ou, au contraire, exagérément baveuse. Les chevaux nous apprennent que s’ils travaillent dans la contrainte, muserolle lâche (qui permet la déglutition) ils restent la bouche sèche. Et s’ils travaillent dans la contrainte, muserolle très serrée, ils exhalent une abondante « mousse à raser ». Quand le cheval embouché normalement, muserolle lâche, travaille juste il se met à saliver légèrement. On dit que sa bouche est « fraîche ». Or un cheval peut commencer son entraînement du jour avec une bouche fraîche puis enchaîner, pendant la même séance, sur une période ou la bouche va redevenir sèche ( conséquence de diverses contrariétés dont il convient de trouver l’origine) .La façon dont le cheval salive est donc un indicateur précieux de la qualité du travail. Biomécaniciens et cavaliers se rejoignent donc bien sur cette question de la salivation. Il en va de même d’ailleurs pour la transpiration. | | The administrator has disabled public write access. ADAM Simone User Eperon de bronze Re:"Baver" et "déglutir" - 2008/03/10 22:04 Effectivement le Docteur Sylvie Anduze-Acher explique bien que: "Le serrage excessif de la muserolle, outre les perturbations respiratoires occasionnées, ne permet plus la déglutition physiologique salivaire : s’écoule alors une salive épaisse et visqueuse, de mauvaise qualité due au stress, à l’angoisse, et ou à la douleur, qui est dans l’impossibilité d’ être normalement déglutie". Et puis un peu plus loin: "... lorsque, dans la bouche on introduit différents métaux, et que ces métaux induisent une différence de potentiel, on crée un courant électrique, conduit par les électrolytes contenus dans la salive. On a donc construit une pile Volta. Ainsi, en utilisant des mors composés de métaux différents dans la bouche des chevaux, on crée un courant électrique qui est conduit par la salive et cela occasionne une hyper-salivation, les glandes salivaires du cheval répondant aux stimuli électriques, et non à la sensibilité et aux talents d’une bonne main". Certains diront être pour, d'autre contre. Cela fait réfléchir quand même. Le mors en cuivre serait-il une solution de facilité, donnant bonne conscience au cavalier ? Ces considérations appellent une remise en question de la part du cavalier et de sa main. Mais plus facile à dire qu'à faire !!

Mon véto m'a toujours conseillée de la biotine concentrée (au moins 2000mg) avec zinc et cuivre (à s'assurer sur la notice). Je fais chaque année à mon cheval une cure de 6 mois, c'est à dire toute la saison de box.

Je suis très impressionnée ! Quelle jument ! Tu as un sacré contact avec elle, il le faut non?

Entièrement d'accord avec Kyrah et Alex. Et comme Kyrah, j'ai investi dans une bonne clôture électrifiée que je contrôle régulièrement. Nous sommes responsables de la sécurité de nos chevaux, pire encore lorsque nous hébergeons des chevaux de propriétaires. En fait, ton cheval fait office de testeur. Ta pension devrait lui en être reconnaissante et en profiter pour réparer ses clôtures avant qu'un incident n'arrive.

Et le problème, SSKL, est que tu ignores si cette selle ira à ton cheval ou pas. L'important est de pouvoir essayer et de s'assurer qu'elle convient parfaitement, surtout quand on considère le dos rond et large de nos frifris. C'est la selle qui doit aller au cheval et non pas le cheval à la selle. Ma selle Stübben mixte allait super bien à mon ancien cheval, mais là sur Pieter, rien ne va. Au premier coup d'oeil quand je la lui pose sur le dos, je vois qu'elle n'est pas adaptée et serre notamment au niveau des épaules, le troussequin décolle... Je lui ai donc trouvé une selle adaptée à son format. Si tu as affaire à une bonne sellerie, tu pourras faire maints essais avant de fixer ton choix. Parfois, Une selle présentée en brun peut être obtenue en noir. Certaines selleries se déplacent aussi chez le cavalier avec un stock de selles. Cela vaut la peine de se renseigner.

Bonne réponse Liloo A toi de poser ta question.