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vautour1

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Tout ce qui a été posté par vautour1

  1. Je n'ai pas lu en diagonale, la répétions c'était pour marquer mon étonnement et ma satisfaction d'apprendre que cette bestiole mange les hydres. Pour confirmer voir le point d'exclamation à la fin de la phrase. Mine tire plus vite que son ombre !
  2. Ils mangent les Hydres ! Quand tu en auras assez, je veux bien en prendre un en pension.
  3. Tu a raison car on ne subodore pas toujours juste ! Subodore, j'aime ce mot, à l'occasion, j'essaierai de le replacer.
  4. [quote=MINE 79 post_id=41369 time=1510802817 user_id=58]Je veux bien te croire, Didier, mais dans ce cas d'où viennent les minéraux qui vont faire une carapace assez dure de la coquille, de l'alimentation, d'autre chose... ? PS : Didier tu dis ne pas savoir d'où vient cette espèce... or en intro j'ai précisé que les Asolènes étaient "originaires du Sud Brésil et Nord de l'Argentine." [/quote] Oui de l'alimentation, c'est aussi comme ça que les poissons qui vivent dans les eaux presque pures fabriquent leur squelette. J'ai fait de nombreuses mesures de conductivité sur une grande partie du territoire Brésilien sauf en Amazonie et à l’extrême Sud du pays. Je subodore(*) que l'eau y est très douce. * Ce mot n'est pas couramment utilisé, je l'ai entendu pour la première fois dans un dialogue de la guerre des étoiles, cela fait 1/4 de siècle
  5. Oui d'accord, c'est une particularité mais cela n'implique pas qu'ils échappent aux méfaits de la consanguinité. Dans la nature, soumis aux changements (naturels) de leur milieux ainsi qu'à la prédation et aux infections bactériennes et virales, comme les autres vivants, ils n'ont plus ou pas assez de potentialités d'adaptations(*). Dans nos élevages l’échelle du temps n'est pas la même que dans la nature, nous conservons les espèces captives des dizaines d'années, dans la nature elles se maintiennent et s'adaptent à leur milieu sur des milliers d'années. * voir les Ormeaux totalement "consanguins" qui ont pratiquement disparus de nos campagnes suite à une maladie virale
  6. Je m'autorise une petite modification de la réponse de mon ami Olivier. Mauvaises idée pour les killies et [b]tous les poissons que nous voulons maintenir et reproduire en captivité dans les mêmes conditions que nous maintenons les killies.[/b] Les killies sont soumis aux mêmes lois de la génétique que les autres poissons. Sur cette question, j'affirme que les killies ne sont pas une exception. Parce que le plus souvent les géniteurs sauvages importés sont très peut nombreux, parce que lorsque nous maintenons une espèce, nous possédons rarement de nombreux spécimens, très rapidement après 3 ou 4 générations, la diversité génétique de nos poissons est épuisée. Nous maintenons ainsi des lignées sélectionnées par nos choix conscients (sélection des reproducteurs etc...) ou inconscients (conditions de maintenance etc..). Ainsi les populations qui se maintiennent dans nos élevages, sont totalement "consanguines" mais en même temps elles sont adaptées à nos conditions d'élevage. Je site de mémoire l'avis d'un professeur de génétique : [i]"introduire des poissons sauvages ou des poissons issus d'une autre lignée et plus défavorable que favorable car nous risquons d'introduire des gènes délétères" [/i] Si l'idée du "sang neuf" est une bonne idée, pratiquement elle n'est pas applicable en aquariophilie, car pour maintenir une espèce en conservant son patrimoine génétique, il faut au minimum une population de 100 reproducteurs sauvages et il faut ensuite croiser constamment les descendants. Dans la nature les biologistes considèrent qu'une population est en grave danger lorsque le nombre de reproducteurs et inférieur à 100. Dans ces conditions introduire "du sang neuf" issu d'autres populations isolées génétiquement est tout à fait favorable. [b]Donc l'idée du "sang neuf" n'est pas mauvaise en elle même mais elle est [u]nuisible[/u] dans les conditions de maintenances de nos poissons d'aquarium.[/b] Bon dans certaines circonstances, mauvaise dans d'autres circonstances, c'est probablement cette ambivalence qui explique la lenteur avec laquelle cette idée s'installe parmi les aquariophiles.
  7. Je ne sais pas d’où viens cette espèce mais j'ai souvent vu des gastéropodes et des crevettes dans des eaux très douces. Le minéraux pour faire de la coquille de la carapace ou des os ne viennent pas obligatoirement de l'eau.
  8. Encore moins de problèmes avec les ASA, si tu en veux ?
  9. Le risque est réel, tu as été prévenu !
  10. On peut s'inscrire au forum du KCF sans être obligé d'adhérer à l'association.
  11. oui se présenter sans patati et patata......
  12. Oui je confirme, les killies annuels y compris les espèces tropicales ont des oeufs qui résistent au froid.
  13. Les professionnelles peu fiables avec de longues listes, sont souvent des asiatiques qui rassemblent la production de plusieurs éleveurs, ils ont aussi la caractéristique d'avoir des prix très bas. Mais il y a des éleveurs avec des listes impressionnantes comme "Kiril" qui sont aussi très fiables.
  14. Je vends sur aquabid mais je n'ai jamais rien acheté. Je peux quand même donner quelques conseils. Les prix les plus bas sont souvent de mauvaises affaires, se méfier des vendeurs qui n'ont pas beaucoup d'appréciations, ou qui en ont une proportion importante de mauvaises, ne pas acheter de poissons quand les températures minimum sont en dessous de 10 degrés C ou en période de canicule. Même avec un bon éleveur il n'y a pas de garantie absolue. J'oubliais un conseil important, écarter toutes les annonces avec des noms de Genre ou d'espèce mal écrit.
  15. Non ! L'année d'avant, aux championnats de France dans les Alpes du Sud, j'ai perdu une ou deux places au classement général pour avoir fait un autre choix. Avec d'autres compétiteurs je me suis trouvé bloqué sur un relief pendant plus d'une demi heure avec juste assez d'ascendance pour rester sur place. Un peu désespéré de ne pouvoir m'échapper, je me suis posé pour uriner. Dix minutes plus tard, les pilotes qui avaient été plus tenaces, gagnaient de l'altitude et pouvaient ainsi franchir le relief vers l'arrivée finale. Ça c'est un décollage au treuil, cette technique permet de s'envoller en plaine à condition d'avoir une piste ou une route aux abords dégagés de tout obstacle. Plus facile à mettre en oeuvre à partir d'un aéroclub on pouvait aussi décoller remarqué par un ULM, comme un planeur derrière un avion. Ce site de décollage était à proximité de Prissé la Charrière. http://nsm07.casimages.com/img/2017/10/04//1710040841528805115301512.jpg" alt="" /> La même chose vu du Delta : http://nsm07.casimages.com/img/2017/10/04//1710040841518805115301510.jpg" alt="" />
  16. Rien de présentable pour le moment. C'est un Hypsolebias assez proche de notatus et de stellatus. Cette espèce est dans le hobby pour la première fois. Nous avons rapporté de vieux poissons, un trio chez moi, plus trois couples en Hollande. Les mâles hollandais sont morts rapidement sans descendance. Mes femelles sont mortes à l'acclimatation. Mon mâle atteint d'une nécrose avec une importante perte de matière à la base de la caudale à quand même vaillamment honoré la femelle que m'a expédié mon ami hollandais. Actuellement, j'ai plusieurs jeunes couples F1 et des oeufs F2. Si tu veux je peux t'offrir un couple tu pourras le photographier.
  17. Je dois parfois être barbant avec mes histoires de Delta, il doit m'arriver de radoter. Si ça te plais tant mieux à moi ça me permet de les revivre un peu. Mon plus long vol (j'ai commencé par écrire le plus beau vol) je l'ai fait en décollant de Fleuré, c'est pile à 50 km à l'Est de chez Mine, je me suis posé quelques kilomètres au Nord de Roquefort dans les Landes. A l'époque j'avais un harnais profilé, celui de la photo si-dessous, il était plus confortable et plus aérodynamique que celui ou l'on devine un vautour en Espagne, il avait quand même un petit problème je ne pouvait pas l'ouvrir suffisamment afin de pouvoir uriner en vol. Il y avait 275 km entre mon point de décollage et l'atterrissage, le vol avait duré plus de 5 heures à un moment vers chez Olivier (que je ne connaissais pas encore), j'ai du choisir entre me pisser dessus ou atterrir. Là c'est dans les Alpes, sur le bord d'un nuage pas très loin du lac d'Annecy. http://nsm07.casimages.com/img/2017/10/04//1710040841508805115301508.jpg" alt="" />
  18. D'accord avec Olivier. Pour le Simpsonichthys ils pondent à la surface du sol. Pour la première fois je viens de récolter 10 oeufs de Simp. cholopterix dans la mousse de Java et zéro dans le pondoir. C'est exceptionnel même pour cette espèce.
  19. L'impression de hauteur est amplifiée par la focale courte de l'objectif. C'est en Espagne à Yessa. Je suis à environ 1800 m d'altitude soit environ 1400 m au dessus du sol. A l'époque cette partie des Pyrénées espagnole abritait des centaines de vautours fauves et percnopteres.
  20. La "petite" voile faisait presque 10 m d'envergure. C'est une activité qui comporte des risques mais elle est particulièrement grisante. Voler comme un oiseau et parfois avec des oiseaux en utilisant seulement les courants ascendants, c'est un vieux rêve de sapiens, il nousi a fallu plus de 2000 ans pour pouvoir le réaliser. Sur cette image si vous tracez une ligne du milieux de mon casque au bout de mon bras vers le bord de la photo vous pouvez deviner un vautour percnoptère. Il est à environ 15 mètres, il parait très loin car la photo a été prise avec un objectif grand angle (17mm). http://nsm07.casimages.com/img/2017/10/05//1710051218048805115301737.jpg" alt="" />
  21. L'oiseau n'était pas un vautour mais un goéland argenté. L'oiseau n'est pas parti à cause d'une bêtise, il est parti naturellement une fois adulte. La bêtise c'est de dénicher un jeune oiseau. Pour cette espèce en expansion, je n'ai pas eu beaucoup de problèmes de conscience. La fin de l'histoire je ne la connais pas mais je devine qu'elle c'est mal terminée. Le plus souvent les animaux sauvages imprégnés par l'homme finissent assez vite quand ils sont totalement libres. Une fin plus optimiste c'est qu'il a pu s'adapter à la vie sauvage. Cette hypothèse n'est pas totalement impossible car les goélands sont très opportunistes et assez intelligents.
  22. Mon fils viens de scanner de vieilles photos d'une ancienne passion. Ici, c'est mon goéland, il s'appelait l'Oiseau il a vécu 3 ans en semi liberté dans mon jardin. http://nsm07.casimages.com/img/2017/10/04//1710040841478805115301503.jpg" alt="" /> Mon objectif, c'était de voler avec lui. Survol de la campagne poitevine au printemps. http://nsm07.casimages.com/img/2017/10/04//1710040841528805115301511.jpg" alt="" /> Cela ne c'est jamais fait, il s'est contenté de me survoler lorsque je me baladais en vélo. A sa majorité, il a quitté la maison. J'ai volé sans lui. Aux antipodes, 2500m au dessus du bush australien. http://nsm07.casimages.com/img/2017/10/04//1710040841498805115301507.jpg" alt="" />
  23. Uniquement sur commande, disponibles la bourse de St. Hilaire ou à prendre chez moi. Couples : Austrolebias paucisquama « São Sepé » Hypsolebias radiosus F1 « HVP 15-2017» Pterolebias phasianus F2 « Pocone HVP 32-2016 » Spectrolebias brousseaui « San Simon Bo 14-3 » Spectrolebias filamentosus « ABPV 13-3 »
  24. Je l'ai aussi connu au moment de son arrêt. Un ami commun du KCF m'avait indiqué qu'il venait de perdre une jambe et qu'il était très affecté moralement par son handicap. Je l'ai rencontré au début pour essayer de l'aider à surmonter son problème mais je n'ai pas été très efficace, je n'ai pas pu le relancer dans sa passion. La configuration de sa maison "les petits escaliers" n'a pas été favorable à sa rééducation Par la suite nous sommes devenus amis. Je le rencontrais trois ou quatre fois par an, Il me racontait ces histoires d'aquariophile. J'étais souvent ébahis par le nombre de relations qu'il entretenait sur la planète killiphile à une époque ou le courrier postal était presque le seul moyen de communiquer.
  25. A la dame de Chambrille, c'est très localisé. Le socle granitique est presque à la surface entre Poitier et Melle, il affleure autour de Parthenay. Entre Parthenay et Fénery tu devrais trouver ton bonheur.
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