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pacemaker91

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Tout ce qui a été posté par pacemaker91

  1. et moi je te dis de m'envoyer les photos : assoanimalami@sfr.fr je te les mettrai ici
  2. zoo d'Adelaide, dans le sud de l'Australie, compte un nouveau résident depuis octobre 2010 : un petit cacatoès de palme. C'est le premier de son espèce à voir le jour et à grandir depuis 1973 dans le pays. Le 5 octobre dernier, un oeuf a éclos au zoo d'Adelaide, en Australie. En est sorti un petit oiseau rare, un cacatoès de palme, le premier à survivre après sa naissance dans un zoo du pays depuis près de 40 ans. Pendant les premiers temps, l'oiseau a été placé dans une couveuse et était nourri toutes les heures et demie. La femelle doit encore être nourrie par le personnel du zoo pendant les cinq ou six prochains mois. Comme c'est un animal qui vit dans les régions chaudes, il a dû être placé dans un environnement dont la température moyenne avoisine les 35°C. Dix jours après sa naissance, le cacatoès a ouvert ses yeux pour la première fois, et une semaine plus tard, celui-ci a vu ses premières plumes apparaître. A 86 jours, il a effectué son premier vol, très court mais gracieux, selon le zoo. La prochaine étape pour l'oiseau ? Rencontrer ses parents qui lui apprendront à s'intégrer et à se rendre sociable.
  3. Mardi dernier, les gardes du parc national de Kruger en Afrique du Sud ont tué trois individus suspectés de braconnage sur des rhinocéros. C'est la seconde fois en moins d'une semaine que les gardes du parc national de Kruger, la plus grande réserve animalière d'Afrique du Sud, tirent sur des braconniers de rhinocéros. Samedi dernier, deux individus suspectés de braconnage avaient déjà été tués près de la frontière avec le Mozambique. Mardi, la sécurité du parc s'est de nouveau retrouvée confrontée à une bande de cinq braconniers armés. Bilan : trois morts et un blessé. L'Afrique du Sud abrite plus de 90% des rhinocéros blancs et noirs du continent. Mais ces dernières années, le braconnage des animaux a pris une dimension inquiétante. En 2010, les autorités africaines ont enregistré plus de 300 affaires de ce type, soit une augmentation de près de 10% en comparaison à l'année précédente. Et malgré les menaces de poursuites, les récompenses promises aux braconniers alimentent de plus en plus le phénomène. L'explication vient du renforcement de la demande de cornes de rhinocéros. En Asie, celles-ci sont très prisées pour leurs propriétés médicinales et se vendent facilement sur le marché noir. Selon les derniers chiffres, le prix de la corne aurait désormais atteint 35.000 livres, soit près de 40.000 euros par kilogramme. Ainsi, plus d'une vingtaine de rhinocéros ont déjà été abattus en Afrique du Sud depuis le début de l'année, selon l'agence des Parcs naturels sud-africains. Les autorités africaines appellent à une réponse mondiale pour tenter d'enrayer la tendance et protéger les rhinocéros déjà menacés d'extinction.
  4. Une maman gorille a donné naissance à des jumeaux au Rwanda, selon plusieurs sources basées à Kigali. La naissance de petits gorilles est un fait très rare chez ces primates, menacés d'extinction. Le Rwanda peut donc être fier, puisque ce sont des jumeaux qui ont vu le jour en ce début d'année. Selon l'Office rwandais de développement (RDB), cité par Sciences et Avenir, "les jumeaux, de sexe masculin, sont nés jeudi d'une maman gorille nommée Kabatwa et se portent bien". En quarante ans, seules cinq naissances de gorilles jumeaux ont été recensées au Rwanda. Les derniers petits, baptisés Impano (Don) et Byishimo (Joie) par la femme du président Paul Kagame, étaient nés en 2004. La chaîne des volcans, qui se trouve à la frontière entre le Rwanda, l'Ouganda et la République démocratique du Congo, abrite à ce jour la moitié des 700 gorilles de montagne encore vivants dans le monde. Malheureusement, ceux-ci sont menacés d'extinction.
  5. Samedi dernier, un Australien a dû se battre avec un crocodile de plus deux mètres de long ! Bien que blessé, l'homme s'en est sorti vivant. L'incident s'est déroulé à Beening Creek, un lieu de baignade populaire et fréquenté d'Australie. Alors qu'un homme était en train de nager dans l'eau, il a soudainement été attaqué par un crocodile qui longeait les côtes. L'animal était imposant, puisqu'il mesurait pas moins de 2,5 mètres de long d'après certains témoignages. Entouré de ses deux filles qui étaient en train de se baigner avec lui, l'Australien de 37 ans a alors tenter d'échapper aux coups et aux crocs de l'animal en se battant avec lui. Finalement, le père de famille s'en est sorti avec quelques blessures sans gravité, explique la presse australienne. En revenant sur la rive, le baigneur a expliqué aux policiers qu'il s'était battu avec le crocodile de toutes ses forces, jusqu'à ce que l'animal abandonne et le laisse partir lui et ses enfants.
  6. Vendredi dernier, au zoo de Lyon, quatre singes de grandes valeurs ont été enlevés. Dès samedi, un des animaux a été retrouvé, mais les trois autres sont toujours recherchés. Au zoo de la Tête-d'Or à Lyon, dans la nuit de vendredi à samedi, quatre singes ont été dérobés. Les voleurs ont choisi des singes très rares, puisqu'il s'agit d'un couple tamarins, singes originaires d'Amazonie, ainsi qu'un couple cercopithèque de l'Hoest, qui sont eux originaires d'Afrique du sud. La femelle tamarin qui a été enlevée était enceinte et devrait mettre bas dans quelques jours. Une situation d'autant plus inquiétante pour le directeur du zoo, David Gomis, même si la femelle cercopithèque a été retrouvée devant une caserne de pompier, samedi dernier. Les spécialistes estiment la valeurs des trois singes toujours dans la nature à environ 17 500 euros. Les cercopithèques valent entre 5 000 et 10 000 euros alors que les tamarins ont une valeur comprise entre 2 000 euros et 3 000 euros. Les enquêteurs ne savent pas encore pourquoi ces singes ont été la cible de kidnappeurs, mais David Gomis explique que "deux pistes sont possibles : soit des irresponsables qui s'imaginent les revendre comme animaux de compagnie, soit un trafic organisé qui agirait sur commande".
  7. Pour Saba, morte d'une hémorragie Contre ces vétos qui font des erreurs médicales graves, provoquant d'horribles souffrances ou le décès de nos animaux, n'assumant pas, toujours impunis protégés par leurs collègues, poussés à l'hypocrisie au nom d'une déontologie qui devient morbide http://www.lapetition.be/en-ligne/contre-ces-vetos-qui-font-des-erreurs-medicales-graves-provoquant-d-horribles-souffrances-ou-le-deces-de-nos-animaux-n-assumant-pas-toujours-impunis-proteges-par-leurs-collegues-pousses-a-l-hypocrisie-8536.html n'oubliez pas de confirmer, merci
  8. [size=16]Pour mettre un terme aux usines à chiots en Australie : http://www.thepetitionsite.com/2/save-our-animals-ban-puppy-mills-in-aus/ Pour mettre un terme aux usines à chiots en Amérique du Nord : http://www.thepetitionsite.com/7/BAN-PUPPY-MILLS-FROM-NORTH-AMERICA/ [/size]
  9. Pour demander une enquête sur les conditions dans lesquelles sont plongés les lions du zoo de Lujan en Argentine lorsque les visiteurs sont conviés à entrer dans leur cage pour les toucher et se faire photographier à leurs côtés : http://www.thepetitionsite.com/1/Lujan-Zoo-petition/
  10. Pour une révision complète des lois de protection animale au Canada : http://www.thepetitionsite.com/46/animal-abusecruelty-laws-need-to-be-change/
  11. Pour demander aux Laboratoires de Pharmacologie et Toxicologie ( LPT ) de Hambourg d'arrêter de faire leur tests sur des chiens et des chats : http://www.thepetitionsite.com/54/stop-the-killingtorturing-say-no-to-the-laboratories-of-pharmachology-toxichology-lpt-in-hamburg/
  12. Pour les photos des chiens, cliquez sur le lien : http://sos-chiens-de-chasse.forumactif.com/t7202-gros-sauvetage-de-22-epagneuls-actuellement-en-fourriere A noter : ces chiens ne sont pas menacés d'eutha pour le moment. Je suis Présidente d'une association qui s'appelle Un Coeur Sans Toit et qui est basée dans le 49. Je recherche des fa ou adoptants dans le 49 ou départements limitrophes, ou d'autres assos qui pourraient prendre le relais. Mon mail : chipinou@yahoo.fr, je peux faire le relais avec la fourrière J'essaie d'aider et de sortir des chiens ou des chats de la fourrière du 79 quand je peux (fa ou adoptants trouvés). J'y suis allée la semaine dernière et là ..... j'y suis repartie en pleurant. Un couple de personnes âgées a laissé reproduire ses chiens (des Epagneuls Bretons) depuis plusieurs années. Lr Mr est décédé et les 22 chiens se retrouvent en fourrière. Il y en a de tous âges. Je ne connais pas leurs anciennes conditions de vie mais je vous laisse les imaginer. Place aux photos, ces chiens se blessent les pattes pour sortir.
  13. Bonjour, URGENT !!! Recherche un voiturage pour Choukette chienne de 7 mois D’Homecourt 54 310 (près de Metz) vers Eragny (val d’Oise) pour le vendredi 11 Février 2011 . Cette petite doit descendre vers lourdes ce week-end Un grand merci à tous ceux qui pourront aider! Renseignements : Véronique v.cario-burn@orange.fr A DIFFUSER UN MAX SVP !! MERCI ! BONNE JOURNEE http://www.amis-des-levriers-espagnols.fr
  14. Parcs animaliers et zoos en chine : éveil a la sagesse Sept parcs animaliers fermés, cinquante-trois sommés de mettre un terme à leurs pratiques abusives, tel est le bilan de la tournée d’inspection menée en Chine à la demande du gouvernement d’octobre à décembre 2010. One Voice qui, depuis longtemps, dénonce la barbarie dont sont victimes les animaux en ces lieux et se bat pour y mettre un terme, voit là un signe porteur d’espoir et en attend d’autres. Comme One Voice l’a hélas constaté au cours de ses missions sur le terrain, les conditions de vie faites aux animaux dans les parcs animaliers et les zoos en Chine relèvent souvent d’une indicible violence, que la cause en soit la cruauté, le manque de moyens ou l’indifférence. Alors dans l’inspection de 500 de ces établissements demandée par le gouvernement chinois, One Voice a vu une action positive qu’elle met en perspective avec la loi sur la protection animale dont les autorités chinoises sont en passe de se doter et sur laquelle leurs juristes ont sollicité le regard de l’association. D’octobre à décembre 2010, six équipes ont donc sillonné la Chine. A leur retour, sept établissements se sont vu retirer leur permis d’exploitation, cinquante-trois sommés de se mettre en règle avec la loi au regard de leur mauvaise gestion et de prendre les mesures nécessaires pour protéger leurs animaux. La tâche va être immense : elle concerne bien entendu les soins, l’alimentation, le cadre de vie, l’entretien, mais elle suppose aussi un changement dans la relation aux animaux. Faut-il rappeler qu’à travers les souffrances qui leur sont infligées, si l’animal est, bien entendu, bafoué, la dignité humaine l’est aussi. Et de cela, une large majorité de Chinois est parfaitement consciente. Dans les zoos et les parcs animaliers chinois, l’animal n’est pas seulement hébergé, il est souvent exploité. One Voice a mémorisé ce triste spectacle dans des vidéos notamment. Ours, singes, tigres, lions, éléphants, mais aussi dauphins ou oiseaux peuvent faire le show. Des acrobaties aux tours en bicyclette, ces numéros coûtent cher en souffrances : demander ce type d’exercice est déjà contre nature, mais pour y contraindre les animaux, les techniques d’entraînement sont cruelles. Les sujets ainsi exhibés sont humiliés au prétexte d’amuser le public. Celui-ci, à travers des mises en scènes triviales, est comme mis en condition pour se railler d’eux, la conscience endormie. Dans un autre cadre de « divertissement », les visiteurs peuvent être invités à donner des animaux vivants (poulets par exemple) en pâture aux grands félins. Ailleurs, certains n’hésitent pas à arracher les dents des bébés tigres pour que les enfants puissent les prendre dans leurs bras en toute sécurité. Si les enfants savaient, ils en seraient tout chamboulés. Ils le seraient aussi, comme nombre de leurs parents, s’ils savaient que le trafic va bon train et que la rapacité n’a que faire de la vie animale, que l’espèce soit rare ou pas. Une autre raison que le public aurait de s’émouvoir, c’est que lui aussi n’est pas vraiment considéré : dans certains cas, les conditions de sécurité le concernant sont plus que défaillantes… Qu’ils soient ou non soumis au travail obligatoire, les animaux ne mangent pas toujours à leur faim. Les cas de malnutrition sont très fréquents. Quant à la surveillance vétérinaire, il est rare qu’elle existe. Les animaux, malades ou blessés, peuvent être ainsi abandonnés à leur triste sort et à leur triste logement. Car les cages, dans de piètres conditions, pas mieux entretenues que leurs hôtes, peu adaptées à leurs besoins, ne sont jamais des havres de paix. Elles sont dépourvues de zones refuge et quand celles-ci existent, on en prive parfois l’accès aux animaux pour qu’ils restent visibles aux yeux du public. Dans ces conditions, évoquer l’hygiène pourrait paraître extravagant. Sûrement pas pour One Voice qui agit au quotidien en France et par le biais des associations sur place dont elle soutient les actions pour la défense et le respect des animaux sans réserve. Pour l’association, la Chine fera « un bond en avant » dans ce domaine quand la loi sur la protection animale en préparation sera promulguée. Il faut dire qu’en matière de protection animale, la Chine, parmi les plus grandes puissances mondiales, est restée jusqu’il y a peu silencieuse. Si elle a pris des dispositions concernant les animaux sauvages menacés d’extinction, les projets de loi de protection des animaux n’avaient pu jusqu’alors aboutir. Les choses sont en train de changer. Une loi, que One Voice soutient aux côtés d’autres associations, est sur le point d’être promulguée. Elle est rédigée par des universitaires et juristes chinois, qui se sont montrés attentifs au regard que les organisations de défense des animaux internationales portaient sur leur projet et One Voice, sollicitée, a répondu de manière très détaillée. Pour l’association, cette loi est essentielle et elle l’a encore répété en juillet 2010, en adressant des pétitions au gouvernement chinois et au président Sarkozy pour appeler à la fin de la cruauté animale en Chine. Elle devrait être le cadre d’une véritable « révolution » pour les droits de l’animal en Chine. Comme le disait Song Wei, avocat et professeur de droit à l’Université chinoise des sciences et des technologies, la Chine ne peut pas « …échapper à ce courant en faveur d’un amour universel ni y rester étranger. » Pour accompagner l’éveil à la cause des animaux en chine, One Voice s’est associée à l’ONG ACTAsia qui forme sur place les militants des groupes de protection animale. Initiée en 2009, la formation est cofinancée par One Voice. Le but est de permettre aux ONG chinoises de défense des animaux, encore balbutiantes, de disposer des moyens pour peser sur les décisions prises en la matière. Source : OneVoice 07/02/2011
  15. Une vidéo accuse la ville de Bruxelles de maltraitance animale En caméra cachée, l'organisation de défense des animaux GAIA a filmé des opérations chirurgicales douloureuses pratiquées pour le compte de la ville de Bruxelles sur pigeons conscients et mal anesthésiés. L'association rend public le film difficilement soutenable de son enquête, révélé hier par RTL-TVI dans Images à l'appui. Elle demande à la Ville d'abandonner d'urgence cette pratique, et d'installer des pigeonniers contraceptifs pour réguler la population de pigeons dans le respect des oiseaux. Pour intervenir contre la reproduction des pigeons urbains, la ville de Bruxelles recourt à une méthode choquante : la stérilisation chirurgicale sur animaux pas ou mal anesthésiés. La vidéo publiée aujourd'hui par GAIA montre des oiseaux opérés à la chaîne, incontestablement conscients et réagissant vivement tandis qu'ils subissent à vif une ablation des testicules ou des ovaires. Ces opérations sont menées en France (région parisienne) pour le compte de la Ville de Bruxelles, par la SACPA, une société spécialisée dans la capture des animaux considérés nuisibles. GAIA a soumis ses images à plusieurs vétérinaires spécialistes des oiseaux. Pour le Professeur Dr An Martel, chef de clinique spécialiste des oiseaux et animaux exotiques à l'Université de Gand, "cette anesthésie inadéquate est inacceptable". Pour cette experte, ces "conditions d'hygiène insuffisantes favorisent la contraction d'infections durant l'opération." Certaines infections engendrent des souffrances chroniques précédant la mort des oiseaux. Également interrogés par GAIA, les responsables de l'Université vétérinaire d'Utrecht (Pays-Bas) et du groupe de travail néerlandais sur les oiseaux et les animaux exotiques (NOIVBD) ont respectivement qualifié d'"inacceptables" et de "maltraitance animale" les pratiques commanditées par la Ville de Bruxelles. Parce qu'elle engendre des souffrances sévères, la pratique du "chaponnage" des oiseaux est interdite en Belgique depuis 2001[1] . La ville de Bruxelles a passé un contrat avec une société française pour procéder à des opérations illégales en Belgique. Chaque année, 4000 pigeons sont ainsi capturés, transportés jusqu'en région parisienne et opérés avant d'être réexpédiés à Bruxelles, pour un montant annuel de plusieurs dizaines de milliers d'euros. Malgré les efforts pour rencontrer l'échevinat de la propreté en charge du dossier, et des invitations lancées depuis plus de deux ans à mettre en place d'autres méthodes plus respectueuses du bien-être animal, GAIA a toujours trouvé porte close et aucune discussion n'a pu être entamée avec les autorités communales. En novembre dernier, la Ville a clôturé un appel d'offre visant à poursuivre pour les 5 prochaines années ses opérations de stérilisation des pigeons, et d'autres opérations d'euthanasies de masse [2]. GAIA réclame l'installation de pigeonniers contraceptifs urbains, comme mis en place avec succès dans plusieurs villes des Pays-Bas[3] et dans d'autres pays d'Europe. Pour Ann De Greef, directrice de GAIA, "stabilisée autour d'un pigeonnier, la colonie s'y reproduit et y pond ses oeufs qui n'ont plus qu'à être retirés et substitués par des leurres. Le contrôle des naissances remplace les abattages massifs et les stérilisations, dans le respect des oiseaux... et des amis des oiseaux." Source : GAIA 07/02/2011
  16. IFAW relache 5 elephanteaux orphelins, secourus en Inde Aujourd’hui, IFAW transfère 5 éléphanteaux – les représentants d’une espèce menacée- , sauvés et élevés par l’homme, depuis le centre de secours de Kaziranga vers le parc national de Manas dans l’état de l’Assam, au nord-est de l’Inde. Organisé par IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) et son partenaire, la Wildlife Trust of India (WTI), le relâcher s’inscrit dans l’effort actuel visant à intégrer des éléphants orphelins au sein de hardes sauvages à Manas. Ce travail délicat est mené avec le soutien du département forestier de l’Assam et le Conseil Territorial de Bodoland (BTC). Les éléphanteaux, une femelle et quatre mâles âgés de 3 à 6 ans, ont été sauvés dans diverses circonstances et proviennent de différents endroits de l’Assam. Tous ces éléphanteaux ont été séparés de leur harde d’origine, soit à l’issue de conflits avec l’homme, de déplacement pour cause d’inondations, ou de leur présence dans des champs de thé. Ne pouvant être réintégrés à leur harde, ces derniers ont été accueillis au centre. Les éléphants ont été élevés par des vétérinaires et des soignants d’IFAW et de la WTI. Ils ont été nourris au biberon, réunis pour faciliter la création de liens sociaux et ont été promenés en forêt pour leur permettre de gambader et de s’y nourrir en liberté. Avant leur départ, les éléphanteaux ont été chargés sur des camions dimanche puis transportés vers le parc national de Manas pour une acclimatation in situ. A Manas, le comportement individuel des éléphants et les interactions entre eux et avec les éléphants sauvages seront attentivement observés et enregistrés. Une fois que les éléphants seront totalement détachés de leurs soigneurs puis relâchés dans la nature, ils seront surveillés par des colliers-émetteurs. “Nous sommes très heureux de voir ces éléphants évoluer dans les forêts du Parc National de Manas. C’est un pas important vers leur réintégration à leur milieu naturel mais il reste néanmoins de nombreux obstacles à franchir. Notre programme de ‘remise en liberté en douceur’ permettra aux éléphants de devenir peu à peu pleinement autonomes, à leur rythme,” a déclaré Ian Robinson, le directeur de l’équipe de Secours d’Urgence d’IFAW. Cette translocation d’éléphanteaux vers le parc de Manas à l’issue d’un programme de réhabilitation est la troisième à être réalisée. Auparavant huit éléphanteaux avaient fait l’objet d’un déplacement réussi et à ce jour, quatre d’entre eux vivent en liberté et ont de toute évidence été acceptés par des hardes sauvages. Ce projet est une des initiatives de conservation mises en œuvre conjointement par les autorités et IFAW-WTI dans le cadre des efforts déployés pour rendre à Manas sa gloire passée. “Manas a toujours été une zone de conservation prioritaire, comme l’indique son statut de parc national, de réserve de tigres et de site du patrimoine mondial de l’UNESCO. Après avoir survécu à une longue période de guerre civile durant laquelle, entre autres pertes, sa population entière de rhinocéros a été décimée, et face à la menace de perdre son statut de patrimoine mondial de l’humanité, le parc de Manas regagne maintenant son aura grâce à des initiatives proactives du gouvernement et de la société civile,” souligne Vivek Menon, Directeur Général de WTI. En 2006, les rhinocéros ont été réintroduits à Manas pour la première fois depuis l’extermination de la population locale. En plus de la réintroduction des rhinocéros et de la réhabilitation d’autres espèces emblématiques comme le tigre et l’éléphant, IFAW et WTI ont aussi assisté le département forestier et les autorités de BTC en matière d’activités de conservation dans les communautés, de formation et d’équipement des personnels en première ligne, et de soutien au organisations de conservation de terrain. Source : IFAW 07/02/2011
  17. Début janvier, lors d’une rixe, cet homme de 47 ans, avait incité son chien, un American Staffordshire, à mordre un de ses voisins. Blessé à l’avant-bras, la victime avait bénéficié d’une ITT de huit jours. Un chien dangereux, classé en catégorie 2, qui aurait dû porter une muselière, précise TF1 News. Le maître du molosse avait déjà été condamné pour des violences et il lui était interdit de détenir un tel animal. Après l’attaque de son chien, il avait été placé en détention provisoire. Lundi, le tribunal correctionnel de Narbonne, dans l’Aude, l’a condamné à deux ans de prison ferme pour « violence volontaire avec arme en état de récidive légale ». Une condamnation assortie d’un mandat de dépôt.
  18. Le dicton météorologique du jour: "Si février n'a ses bourrasques, Tous les mois feront des frasques" Le proverbe du jour: "Ne s'étonner de rien est presque l'unique moyen qui donne et conserve le bonheur" (proverbe latin) La citation du jour: "La haine, c'est la colère des faibles" (Alphonse Daudet, Lettres de mon moulin).
  19. Après les fêtes, Olof Sjeldrup a rassemblé ses moutons, puis les a conduits à l'abattoir. Capitaine au long cours pendant trente ans, il possédait avec sa femme un troupeau d'une centaine de bêtes, à Orsa, en Dalécarlie (au centre de la Suède). «J'ai 65 ans. J'aurais voulu continuer. Mais je ne peux plus laisser les animaux pâturer en liberté.» En 2010, un loup a tué 6 de ses bêtes. En 2009, 13. Il a perçu des indemnités à chaque fois. «Mais ce n'est pas ainsi que je veux élever des moutons.» Il est amer : «Il faudrait tuer au moins 60 loups pour que les éleveurs de la région soient tranquilles.» Prédateurs. Depuis le 15 janvier, la chasse aux loups a repris en Suède. Une pratique jugée «illégale» par Bruxelles qui a confirmé il y a dix jours l'ouverture d'une procédure d'infraction aux règles de l'Union européenne contre la Suède. Selon les quotas de l'Agence nationale de protection de l'environnement, 20 prédateurs devront avoir été tués d'ici au 15 février. Lors des deux premières battues, les chasseurs en ont abattu 15. Et les défenseurs de l'environnement crient au scandale. Si la décision de limiter le nombre de loups a été votée par les députés en 2009, elle est loin de faire l'unanimité. Au ministère de l'Environnement, à Stockholm, on justifie la reprise de la chasse après un arrêt de quarante-cinq ans en rappelant qu'il s'agit d'une mesure provisoire. Limiter la croissance de la population à 210 individus et 20 meutes jusqu'en 2012, le temps que des experts déterminent comment régénérer l'espèce. Selon Ruona Burman, conseillère au ministère, «la chasse devrait accroître l'acceptation des loups et nous permettre d'introduire plus facilement des animaux prélevés à l'étranger.»
  20. «La capture et la mise à mort intentionnelle est interdite tout comme la perturbation des phases critiques du cycle vital.» Une directive européenne classant le loup comme espèce protégée Jurisprudence. En 2007, la Cour de justice européenne exige que la Finlande ne délivre plus «à titre préventif» de permis de chasse aux loups mais seulement en cas de preuves d'une nuisance ou d'un danger.
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