Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

pacemaker91

Membres
  • Compteur de contenus

    97 339
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    1

Tout ce qui a été posté par pacemaker91

  1. d'une part j'ai déplace votre message dans la bonne rubrique, d'autre part les chatons sont ils identifiés ? Dans le cas contraire je supprime votre message.
  2. http://www.goodplanet.info/Societe/Animaux/La-souffrance-animale/(theme)/41805 Macaque du Japon (Macaca fuscata) Expérience sur un sujet dans un laboratoire de recherches au japon. Yann Arthus-Bertrand Apparue dans l’Antiquité, la question de la souffrance animale est aujourd’hui un sujet qui mobilise un grand nombre de personnes à travers le monde. Animaux d’élevage, animaux de compagnies, NAC (nouveaux animaux de compagnie), animaux dans les zoos ou dans les cirques, et même animaux sauvages bénéficient désormais de protections qui, bien qu’elles divergent en fonction des catégories d’animaux et des Etats, convergent toutes vers la reconnaissance d’un droit : le droit de ne pas être maltraité. Le droit français distingue deux grandes catégories d’animaux : les animaux sauvages d’un côté, et les animaux domestiques de l’autre, c’est-à-dire n’importe quel animal « détenu ou destiné à être détenu par l'homme pour son agrément. » Parmi les animaux domestiques, on trouve là aussi deux catégories : les animaux de compagnie et les animaux d’élevage. Depuis une loi de 1976, le droit des animaux en France est guidé par trois grands principes : l’animal est un être sensible qui doit être placé dans des conditions de vie compatibles avec ses impératifs biologiques ; il est interdit d’exercer des mauvais traitements envers les animaux ; et il est interdit d’utiliser des animaux de façon abusive. Les fondements de la prise de conscience de la souffrance animale La question de la protection des animaux remonte à l’Antiquité et elle repose sur une dimension éthique. Elle renvoie à la question de la place de l’homme et des animaux dans le vivant. Cette question traverse toute la philosophie et s’interroge sur le fait de savoir si les animaux sont dotés ou non d’une conscience. Dans d’autres cultures, la question renvoie aussi au cycle des réincarnations. Le philosophe Peter Singer donne dès 1975 avec son ouvrage La Libération Animale une nouvelle dimension à la prise de considération des animaux. Il l’aborde sous un jour utilitariste, c’est-à-dire en considérant que le but de la société et de l’éthique est de fournir « le bien être maximal pour le plus grand nombre », y compris les animaux puisque ces derniers peuvent aussi, comme les êtres humains, ressentir de la souffrance. Le mouvement pour la protection des animaux C’est à partir du XIXe siècle que les premiers grands mouvements de défense des animaux voient le jour avec la Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals en Angleterre en 1824. En France, la Société Protectrice des Animaux existe depuis 1845. À l’heure actuelle, ces mouvements se sont internationalisés. Ils fournissent des services comme l’accueil d’animaux abandonnés, l’adoption, les soins aux animaux blessés ou encore en militant en faveur de lois contre l’exploitation des animaux, la cruauté et la maltraitance. Certains mouvements et certains militants versent dans des actions violente, parfois qualifiés d’écoterrorisme, l’Animal Liberation Front et d’autres groupes sont ainsi classés comme terroristes. Adeptes de l’action directe, ils n’hésitent pas à saboter les installations des laboratoires et des fermes ou à libérer des animaux emprisonnés. Droit des animaux d’élevage Pratiqué notamment pour l’alimentation humaine (mais aussi pour les laboratoires médicaux, les cosmétiques ou encore la production de fourrures), l’élevage a pris au cours des dernières décennies des proportions industrielles qui sont pour l’heure difficilement compatibles avec le bien-être animal. Cochons, poules et poulets – pour ne citer qu’eux – sont entassés dans d’immenses hangars où ils ne voient jamais la lumière du jour et où ils ne peuvent quasiment pas bouger. Le Code rural et les directives européennes prévoient pourtant qu’ils doivent être placés « dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de leur espèces et que toutes les mesures doivent être mises en œuvre pour leur éviter des souffrances lors de l’élevage, le parcage, le transport et l’abattage » – l’étourdissement est par exemple obligatoire excepté pour l’abattage rituel. Enfin, les expériences biologiques médicales et scientifiques doivent quant à elles être limitées aux cas de stricte nécessité. Changer ses habitudes alimentaires Certains régimes alimentaires peuvent être guidés par une volonté de boycott et de défense des animaux. Le végétarisme (régime alimentaire qui exclut la chair des animaux, y compris les poissons) et le végétalisme (régime alimentaire qui exclut tout produit d’origine animale comme le lait ou les œufs) s’inscrivent dans cette tendance, même si ces pratiques restent minoritaires en France où elles concernent à peine plus de 2 % de la population. Sans aller jusque-là, il suffit parfois de revoir certaines habitudes alimentaires pour déjà lutter contre la souffrance animale. En choisissant des œufs de poules élevés en plein air par exemple, ou en favorisant certaines filières plus respectueuses du mode de vie des animaux et qui sortent de ce que l’exploitation animale et l’élevage intensif ont de plus scandaleux. Droit des animaux de compagnie En France, près de deux foyers sur trois possèdent un animal de compagnie et l’on estime à plus de 18 millions le nombre de chiens et de chats. Le droit français insiste sur le bien-être des animaux de compagnie et l’article 521-1 du Code pénal punit sévèrement (2 ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende) le fait de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique ou de lui infliger des sévices graves. Le fait d’abandonner par exemple un chien sur la voie publique peut être assimilé à un tel acte de cruauté. Or d’après la SPA, la France est le pays européen où l’on abandonne le plus d’animaux de compagnie. Droit des animaux voués au divertissement En France, des règles existent à propos des conditions de détention des animaux de cirque, mais seules quelques villes ont pris des arrêtés interdisant la présence d’animaux dans des cirques sur leur territoire. De nombreuses associations militent pour une interdiction à l’échelle nationale, à l’image de ce qui se fait à l’étranger, notamment en Amérique du Sud ou en Europe, où les interdictions d’animaux dans les cirques se sont propagées de ville en ville avant d’être adoptées au niveau national. Les zoos sont également soumis à une réglementation stricte, mais plusieurs rapports d’ONG ont pointé du doigt les nombreux zoos en Europe, y compris en France, qui ne se conforment pas à la réglementation européenne. Enfin, les peines prévues par le Code pénal français ne s’appliquent pas aux courses de taureaux ou aux combats de coqs lorsque ces pratiques relèvent de traditions locales. Les mentalités évoluent cependant puisqu’au mois d’août 2011, la Catalogne a décidé d’interdire la corrida. Droits des animaux sauvages La protection des animaux sauvages face à la souffrance concerne surtout les activités de chasse. Ces dernières sont au centre de vives polémiques entre les défenseurs de la Nature, qui les jugent cruelles et disproportionnées, et les chasseurs qui se présentent en garants de traditions et investis d’un rôle de régulation des espèces. En France, les animaux sauvages ne bénéficient pas de protection particulière puisqu’en vertu d’une notion de droit romain, ils sont considérés comme des Res nullius, c’est-à-dire qu’ils n’appartiennent à personne jusqu’au moment où ils sont chassés. Toutefois, les parcs nationaux et certaines dispositions légales offrent leurs protections à certaines espèces. Ainsi, la réglementation sur la chasse distingue trois catégories d’espèces : les espèces protégées qu’on ne peut pas chasser et les autres pour lesquels la chasse est autorisée dont les espèces dites nuisibles qui sont soumises à des plans de chasse. La loi a interdit certaines pratiques de chasse comme l’usage des pièges à dents, mais les défenseurs de la nature appellent à l’interdiction d’autres types de pièges comme ceux à colle ou encore de la chasse à courre. Animalistes Défense des animaux et protection de l’environnement sont souvent associés. Pour autant, ils ne sont pas identiques. C’est pourquoi on oppose parfois les animalistes (défenseurs des animaux) aux environementalistes (un anglicisme qui désigne plutôt ceux qui se préoccupent d’avantage des écosystèmes). Certains défenseurs de l’environnement peuvent accepter que des groupes d’animaux soient tués pour respecter des équilibres écologiques. Ils vont par exemple encourager l’élimination des rats ou même des hérissons sur certaines îles qui hébergent des oiseaux protégés –les rongeurs sont responsables de plusieurs extinctions. A l’inverse, ils critiqueront certaines pratiques liées aux animaux domestiques, à leur entretien et à leur impact sur la planète. Les chats domestiques sont ainsi les premiers prédateurs mondiaux : ils tueraient plus d’un milliard d’oiseaux ou de petits rongeurs par an. Quand aux chiens, ils consomment une telle quantité de viande qu’ils sont responsables, indirectement, et s’ils sont nourris avec des boîtes, de plus d’émissions de CO2 qu’un 4x4. Toutefois, les différences entre ces deux sensibilités sont assez floues et flexibles ; elles n’empêchent pas celles et ceux qui s’en réclament de se retrouver sur les questions principales de la préservation de la planète.
  3. http://www.rescue-forum.com/sos-appels-divers-55/help-pourrait-nourrir-3-chats-14-12-6-01-nimes-30-urgent-74810/#post1462284 CONTACT: corinne_mahistre@yahoo.fr
  4. http://www.mesopinions.com/petition/animaux/mettons-fin-aux-monstreux-sacrifices-gadhimai/9450 Auteur : JDM À l'attention : gouvernement et ambassadeurs Népalais Les sacrifices d’animaux, les plus terribles sur la planète, se perpétuent tous les ans, lors de la fête de Daishain, et tous les 5 ans, lors de la fête de Gadhimai. Il n’existe aucune loi réglementant ces sacrifices et le gouvernement népalais en subventionne certains. Leur nombre augmente lorsque la situation économique des fidèles s’améliore, leur donnant les moyens d’offrir des animaux. Une grande partie de la population hindoue urbaine les désapprouve. Cependant, les sacrifices d’animaux sont pratiqués à grande échelle. La fête de Gadhimai a lieu tous les cinq ans En novembre, environ 250 000 animaux y ont été mutilés ou décapités en l’espace de deux jours «pour plaire à Gadhimai », déesse de la puissance. Ce sont les mises à mort des panchhbali (les cinq offrandes) : des buffles, des chèvres, des porcs, des coqs, des rats sont égorgés au couteau. Leur mort est violente et lente. Les animaux sont toujours vivants lorsque les prêtres répandent leur sang. Tout de suite après, des hommes armés de sabres pénètrent dans un enclos à l’intérieur duquel sont enfermés environ 20 000 buffles. Ils commencent à les frapper en visant le cou. Quand ils ne parviennent pas à décapiter l’animal, ils lui tranchent les pattes de derrière. Une fois que l’animal est au sol, il est frappé à coups de sabre. Pour le décapiter, il faut jusqu’à vingt-cinq tentatives. Outre les méthodes usuelles de sacrifice Comme l’égorgement et la décapitation, d’autres formes de sacrifices sont pratiquées : serpents brûlés vifs, écorchage à vif des porcs et arrachage du coeur d’animaux vivants. À Bhaktapur, des porcs sont écorchés vifs à mains nues et on leur ouvre la poitrine, toujours à mains nues, pour en arracher le coeur encore palpitant. L’animal cesse de hurler et meurt pendant que son coeur encore battant est offert au temple au son d’une musique tonitruante. Il semble qu’il n’existe aucune limite aux différentes sortes de cruauté infligées aux animaux au nom de la religion ou de la culture. Durant la fête annuelle de Khokana un rite consiste à jeter une jeune chèvre de cinq à six mois dans un bassin où de jeunes hommes vont la dépecer vivante, à mains nues et avec leurs dents. Neuf adolescents se jettent à l’eau et se mettent à la déchiqueter en lui arrachant les oreilles, les sabots, la queue. Celui qui réussit à la tuer devient le «héros ». Il lui revient de mener la danse de Shinkali qui succède à ce rituel où la violence se déchaine à l’état brut. Je demande au gouvernement Népalais, ainsi qu'aux ambassadeurs du Népal, l'arrêt de cette monstruosité!
  5. dimanche 9 décembre 2012 : 113ème membre banni ... joyeux Noël ! c'est merveilleux un forum de sourds muets !
  6. précision : des paniers partout pour les chats qui finalement dorment sur la boîte de paquets de croquettes !
  7. http://www.20minutes.fr/article/1059485/raoni-chef-indien-a-portee-bambins Le cacique amazonien a rendu visite à des écoliers parisiens... Ce n’est pas Saint Nicolas que les enfants ont accueilli en ce 6 décembre mais le chef indien Raoni, en visite à Paris pour plaider la cause de la forêt amazonienne. Les écoliers de Living school, une école privée du 19e arrondissement, ont passé une heure ce jeudi avec le cacique, et n’ont pas été impressionnés par la coiffe à plumes jaunes ni par le plateau labial du vieil indien. Une chanson pour la forêt «Ah, j’ai hâte de voir Raoni», piaffait d’impatience le petit Elmar, après une sieste forcée le temps que les Indiens finissent leur poulet. «Pour eux, il faut absolument manger du poulet à chaque repas, donc nous avons couru pour trouver un poulet rôti», explique Anne-Sophie de Oliveira, une des enseignantes. Une fois les problèmes de volaille réglés, le grand chef est venu s’asseoir face aux enfants, qui savaient très bien qui il était. «La semaine dernière, nous leur avons présenté les Kayapos et le problème du barrage de Belo Monte, précise Mauve Doyen, coordinatrice des activités extra-scolaires. Et, surtout, nous leur avons demandé ce qu’ils aimeraient faire pour les aider.» Les enfants avaient même préparé une surprise pour accueillir Raoni: une chanson sur la forêt, les petits oiseaux joyeux, les écureuils curieux et les champignons frileux… «L’arbre, c’est la vie qui purifie notre air, qui tend ses bras feuillus vers un ciel plus clair, aimons-les, soignons-les», un refrain qui va droit au cœur des Kayapos qui se battent depuis plus de vingt ans pour protéger leur territoire au cœur de la forêt amazonienne. En tournée en France pour soutenir la campagne «Urgence Amazonie», le chef indien a parlé aux enfants de sa lutte contre le barrage de Belo Monte: «Si le gouvernement brésilien construit ce barrage, cela détruira la forêt dans les territoires autochtones, rappelle Raoni. Je me bats pour sauvegarder la forêt et qu’elle reste intacte pour mes petits-enfants et les petits-enfants de mes petits-enfants.» Raoni, c’est le chef «parce qu’il est gentil» Grâce à ses tours du monde successifs et le soutien du chanteur Sting, Raoni a déjà réussi à protéger une grande zone de forêt tropicale, d’une surface équivalente à un tiers de la France, des appétits des industriels. Mais les tâches rouges montrant les zones déforestées sur la carte de l’Amazonie font pousser un «han» de frayeur aux enfants. «Si vous nous aidez, nous pourrons délimiter une nouvelle zone qui bloquera l’accès à la rivière où nous péchons», poursuit le chef indien. Une fois les sujets sérieux évoqués, les enfants ont encore des questions. «Pourquoi on vous a choisi pour être le chef?», demande une petite fille. «Parce qu’il est gentil…», lui souffle sa copine. «Je lutte pour que nous vivions tous en paix, que nous ayons du travail, de la nourriture et du respect mutuel, c’est pour ça que mon peuple m’a choisi pour le représenter», explique Raoni. «Et comment on fait pour vivre aussi longtemps?», s’interroge un autre. Le vieil homme de 82 ans répond simplement qu’il a utilisé «des médicaments traditionnels issus de la forêt pour s’endurcir et être en bonne santé». Pour aider les Kayapos, les élèves de Living School participeront en 2013 à un programme de plantation d’arbres. Mais avant de se quitter, ils avaient déjà un cadeau à faire à Raoni: lorsque Tiber, neuf ans, s’est approché fièrement de l’Indien pour lui offrir les dessins faits par les enfants et que le grand chef l’a pris dans ses bras pour le remercier, ce sont les enfants qui ont demandé aux maîtresses pourquoi elles pleuraient. Audrey Chauvet
  8. http://www.rescue-forum.com/adoption-chien-17/berger-allemand-femelle-19-mois-74347/
  9. http://www.rescue-forum.com/adoption-chat-30/sos-2-chats-ch-fa-asso-dont-1-type-siam-mise-fourriere-rp-demain-7-12-77-a-74380/ CONTACT : TALIE en MP ou mail : natalilie@hotmail.fr Ces deux chats ont été sortis d'un site insalubre et démantelé (dans les bois) début septembre et placés temporairement chez une dame dans une salle de bains - mais faute d'avoir dégoté un autre accueil et une asso, cette dame a perdu patience et va conduire ces 2 chats DEMAIN VENDREDI 7/12 en FOURRIERE. 5 chats ont été sortis vivants de ce site, dont 1 mamie-chat FIV+, 2 négatifs, et ces deux là NON TESTES - et non castrés. La protectrice qui m'a fait part de ce SOS galère, n'a pas obtenu les bons de stérilisations, et là, c'est carrément le pompon, puisque la dame à qui ils ont été confiés à l'arrache, avant d'être trappéspar la fourrière suite au démantèlement du site..... s'en débarrasse... en fourrière. C'est AVANT DEMAIN qu'il faut trouver une asso et un accueil pour ces 2 mounes !! Ils sont sociables (ont eu l'habitude d'être nourris sur site) mais réservés au départ, s'entendent super bien tous les deux, et sont d'âge moyen (non déterminé) Sont proches de MELUN (77) Caramel et Joli-Coeur ont besoin de VOUS !!!! Un post de recherches de FA avait été créé en septembre (sans aucune proposition) : URGENT!recherche famille d'accueil pour 2 CHATS AVANT FOURRIERE DANS LE 77 A priori, ils vivaient sur un site "tous ensemble", et là, ils passent leur temps pelotonnés à 2 , donc j'imagine qu'ils doivent avoir l'habitude des autres chats. Le problème, c'est que je n'ai pas contact direct avec la dame qui les a (encore jusqu'à demain....) chez elle, donc peu d'infos à fournir, et ils sont isolés.... et pas stérilisés.... La mamie-FIV, c'est Mamounette, elle a été prise en charge par une protectrice indépendante, et toujours pas adoptée - pour info, son post est là : URGENT! MAMOUNETTE sortie de la misère, 10 ans, testée FIV+ (77) Voilà le site où étaient ces chats :
  10. Traduction Google de la pétition : Il est assez raisonnable de penser que si l'on réserve des zones humides dans le monde ont soutenu 20 pour cent de la population d'une espèce en voie de disparition », il doit être protégé de la pollution mortelle. Mais les chasseurs ont tué 20 cigognes orientales dans la réserve des terres humides Beidagang et, jusqu'à présent, n'ont pas été punis. Superstition sur les bienfaits de combustibles rares animaux sauvages de leur chasse. La cigogne orientale a une mythologie particulièrement forte autour de lui en Chine et au Japon. Chaque automne, 500 cigognes oriental reste dans la réserve des terres humides Beidagang au cours de leur migration vers le sud. Cette année, si 20 ont été perdus, plus de deux douzaines ont été sauvés grâce à l'action rapide de la part des ornithologues et des sauveteurs. Mais il ne devrait pas être en bons citoyens individuels pour sauver une espèce. Dites ministère chinois de la protection de l'environnement pour protéger les oiseaux rares des attaques empoisonnées.
  11. Signez la pétition : http://www.thepetitionsite.com/854/646/161/save-the-engangered-oriental-stork/?z00m=20458282 It's pretty reasonable to think that if one wetland reserve in the world supported 20 percent of an endangered species' population, it should be protected from deathly pollution. But hunters killed 20 oriental storks in the Beidagang wetland reserve and, so far, haven't been punished. Superstition about the health benefits of rare wild animals fuels their hunting. The oriental stork has a particularly strong mythology around it in China and Japan. Every fall, 500 oriental storks rest in the Beidagang wetland reserve during their southern migration. This year, though 20 were lost, more than two dozen were saved thanks to swift action by bird watchers and rescuers. But it shouldn't be up in individual good citizens to save a species. Tell China's Ministry of Environmental Protection to protect rare birds from poison attacks.
×
×
  • Créer...