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Admin-lane

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  1. Les chimpanzés sont-ils légalement des "personnes"? Une cour d'appel américaine va devoir se prononcer, après une audience mercredi où des défenseurs des primates ont plaidé en ce sens. Ces derniers estiment qu'ils ont le droit fondamental de vivre en liberté. L'an dernier, un tribunal de première instance avait rejeté la requête de l'association de défense des animaux "Non Human Rights Project". Celle-ci réclame que les chimpanzés soient reconnus "légalement comme des personnes", afin que quatre d'entre eux, actuellement détenus dans l'Etat de New York, puissent rejoindre un sanctuaire où ils vivraient librement jusqu'à la fin de leurs jours. L'association, qui avait fait appel, a présenté ses arguments mercredi pour Tommy, l'un de ces singes. "Nous n'attendons pas de décision avant 4 à 6 semaines", a-t-elle précisé. Elle affirme que la science, le droit et l'histoire ont prouvé que les chimpanzés sont autonomes, ont une conscience d'eux-mêmes et ressentent de l'empathie, autant de caractéristiques qui "établissent l'état de personne", avec le droit fondamental qui y est associé, celui de vivre en liberté. "Il est important de noter que nous n'essayons pas de donner des droits humains aux chimpanzés", a souligné l'association. "Nous plaidons pour que les chimpanzés aient des droits de chimpanzés, à commencer par leur liberté de mouvement". Tommy, selon l'association, vit dans une petite cage en ciment dans un abri sombre sur un terrain pour caravanes. Son propriétaire avait indiqué l'an dernier au journal local "Times Union" que le chimpanzé "aimait vivre seul", et avait une télévision et une stéréo à disposition. "Il est incapable de faire des choses qui sont naturelles pour un chimpanzé. Il ne peut pas construire un nid, socialiser avec d'autres de son espèce, ou rechercher de la nourriture", a indiqué l'association sur son site Internet. La "Non Human Rights Project" se bat aussi pour trois autres chimpanzés répondant aux prénoms de Kiko, Hercules et Leo. Kiko, qui est sourd, appartient à un particulier, tandis que Hercules et Leo vivent dans un centre de recherche à Long Island. Romandie 9/10/2014
  2. Londres - Une plate-forme pétrolière près des côtes écossaises a dû être évacuée dans la nuit de mardi à mercredi lorsqu'un incendie s'est déclaré à bord d'un navire transportant des déchets radioactifs et se dirigeant vers elle, a-t-on appris auprès des secours. Les garde-côtes de l'archipel des Shetland ont été alertés mardi soir par le Parida, immatriculé au Danemark, qu'une de ses deux cheminées avait pris feu dans des conditions de mer difficiles, ont-ils expliqué à l'AFP. L'incendie a été rapidement maîtrisé mais l'équipage n'a pas réussi à redémarrer les moteurs. En panne, le navire a alors dérivé vers la côte écossaise et la plateforme pétrolière Beatrice. Il se trouvait à une vingtaine de kilomètres de la plateforme lorsque un hélicoptère de la RAF a hélitreuillé vers minuit l'ensemble des 52 personnes travaillant sur les lieux. Aucun blessé n'est à déplorer, a confirmé la compagnie Woodgroup, responsable de la plateforme, à l'AFP, en évoquant une évacuation par précaution. Le bateau a, lui, été pris en remorque et est arrivé à bon port mercredi matin à Moray Firth, un bras de mer au nord-est de l'Ecosse dans le prolongement du Loch Ness, ont annoncé les garde-côtes écossais. Le Parida devait se rendre de Scrabster, à l'extrémité nord de l'Ecosse, à Anvers, en Belgique, avec dans ses cales des déchets radioactifs en provenance du site de Dounreay, une centrale nucléaire en cours de démantèlement. Selon Mike Douglas des garde-côtes écossais, il s'agit de matériel à radioactivité faible entouré d'une chape de béton. Il n'y a eu aucun danger pour l'équipage et la cargaison n'a pas été menacée par le feu, a affirmé une porte-parole du site de Dounreay à l'AFP, ajoutant que le Parida était intact et ne présentait aucune menace pour l'environnement. Le ministre écossais de l'Environnement, Richard Lochhead, a néanmoins qualifié l'incident de sérieux. Romandie 8/10/2014
  3. Paris - Les députés ont adopté dans la nuit de mardi à mercredi un nouvel objectif de baisse de 20% de la consommation d'énergie française en 2030, dans le cadre de l'examen du projet de loi de transition énergétique. L'Assemblée débat depuis lundi de l'article 1er fixant de grands objectifs chiffrés, et sur lequel une centaine d'amendements restent encore en discussion. Chaîne de DenisBaupin 1/10/2014 Romandie 8/10/2014
  4. Un ourson mystérieusement retrouvé mort lundi à Central Park à New York, aux Etats-Unis, a été tué par une voiture, selon les résultats mardi de l'autopsie. Sa découverte par une promeneuse lundi matin avait créé l'émoi dans la ville. Elle avait aussi soulevé beaucoup de questions, la police et les spécialistes de la vie sauvage se demandant comment le petit ours avait pu arriver jusque-là. Ce point reste encore à élucider. Mais l'unité des animaux sauvages du département de la préservation de l'environnement de l'Etat de New York a indiqué mardi, après autopsie, que l'ourson femelle était mort d'un "traumatisme violent correspondant à une collision avec un véhicule à moteur". L'animal était âgé d'environ six mois et pesait 20 kilogrammes. Et le département n'a pas exclu des poursuites pour "possession illégale, transport et abandon d'un ours non répertorié". Après sa découverte lundi dans un fourré d'une zone herbeuse de Central Park, à la grande surprise parfois teintée d'incrédulité des promeneurs, une enquête a été ouverte. Aucune disparition d'animal n'a été signalée dans les zoos de la ville, laissant penser que l'ours a été tué ailleurs, et transporté à Central Park pour s'en débarrasser. Aucun plantigrade en liberté n'a en effet jamais été signalé à Manhattan. Romandie 8/10/2014
  5. Paris - L'industrie française de la plasturgie a demandé mardi du temps au gouvernement pour trouver une solution pour remplacer les sacs plastiques à usage unique dans les commerces, dont l'interdiction est attendue pour le 1er janvier 2016, rappelant que 3.000 emplois sont en jeu en France. Il y a 3.000 emplois en jeu en France et il serait souhaitable qu'il soit donné un peu de temps aux professionnels, peut-être avec des jalons et des +deadlines+ (dates limite, ndlr), pour qu'ils puissent proposer une solution qui réponde à la demande du gouvernement et qui, en même temps, permette de garantir le maintien de l'industrie, a affirmé Jean Martin, délégué général de la Fédération de la plasturgie et des composites lors d'une conférence de presse. Faisons en sorte que les industriels se rencontrent, qu'ils se mettent au clair entre eux et qu'ils soumettent des solutions au gouvernement. C'est ce que la fédération entend promouvoir, a-t-il ajouté, en réaction à la volonté du gouvernement d'interdire les sacs plastiques à usage unique à partir du 1er janvier 2016. Le vrai problème est qu'aujourd'hui, on veut interdire l'utilisation des sacs plastiques à usage unique et promouvoir des sacs biosourcés compostables domestiquement qui n'existent pas, a assuré M. Martin pour qui il n'y a pour l'instant pas de règles de compostabilité. Un amendement gouvernemental adopté en juin et à fin septembre en commission prévoit d'interdire les sacs plastiques à usage unique à compter du 1er janvier 2016 dans le cadre du projet de loi relatif à la transition énergétique. La Commission européenne a proposé à fin 2013 de réduire de 80% le nombre de sacs jetables mis chaque année sur le marché de l'UE (100 milliards en 2010). Le nombre de sacs distribués chaque année en France est de 5 milliards en caisse, auxquels s'ajoutent 12 milliards d'unités pour les fruits et légumes. Romandie 7/10/2014
  6. Lille - En une dizaine d'années, les éoliennes installées en France ont vu leur taille et leur puissance augmenter de manière considérable, au risque de poser de nouveaux problèmes d'acceptabilité par la population et de compatibilité avec d'autres activités. En 15 ans, on est passé de turbines d'une puissance de 150 à 300 kilowatts (kW) à des turbines de 3 mégawatts (MW) pour le terrestre, explique Emmanuel Jaclot, directeur général adjoint France d'EDF Energies Nouvelles, deuxième exploitant de parc éolien en France. La puissance moyenne des éoliennes installées en 2013 était de 2,3 MW, selon le Syndicat des énergies renouvelables (SER), qui a publié mardi une étude sur l'état des coûts de production de l'éolien terrestre en France. Alors qu'elles ne dépassaient pas 40 mètres de hauteur au début des années 2000, elles frôlent désormais régulièrement les 100 mètres. Même tendance pour la taille des pales: le best-seller actuel du constructeur Vestas en France est la V112, qui a un diamètre de 112 mètres, soit l'équivalent de deux terrains de rugby, indique Nicolas Wolff, directeur général de Vestas France. Roman Dackiw 17/3/2009 Ces gabarits sont encore plus impressionnants dans l'éolien offshore où les constructeurs fabriquent des turbines qui atteignent 6 MW pour celle d'Alstom et même 8 MW pour la dernière née d'Areva qui sera produite en France pour fournir les futurs parcs du Tréport (Seine-Maritime) et de Vendée. Cette course au gigantisme a un but, exploiter des vents plus faibles et installer des parcs dans des endroits jusqu'ici jugés inintéressants par l'industrie éolienne. Nous arrivons à travailler sur des zones nouvelles, par exemple situées dans l'est de la France, indique M. Wolff, qui estime qu'avec des turbines montant jusqu'à 100 mètres, on pourra installer prochainement des parcs éoliens dans des régions comme l'Aquitaine, aujourd'hui sans aucune éolienne. Ces turbines nouvelle génération vont aussi remplacer progressivement celles installées aux débuts de l'éolien en France il y a une quinzaine d'années. Pour la même puissance, on a trois à quatre fois moins de machines, affirme ainsi Thierry Conil, président de La Compagnie du Vent, filiale de GDF Suez. Et malgré les investissements plus importants sur les fondations pour fixer les turbines au sol, l'installation de ces éoliennes a aussi permis de diminuer de façon continue les coûts de production du MW éolien, selon une étude du cabinet Bearing Point pour la fédération France énergie éolienne. Mais les éoliennes devraient atteindre un plafond, réglementaire d'abord, la France ayant fixé, contrairement à certains pays, un maximum de 150 mètres de hauteur, mais aussi logistique, transporter et installer de telles machines s'avérant plus compliqué. D'ailleurs, selon Jean-Baptiste Séjourné, président de la commission éolienne du SER, une puissance unitaire de 2 MW devrait constituer la norme dans le terrestre. D'autant que ces éoliennes géantes suscitent des craintes des associations de défense de l'environnement, comme la Fédération développement durable qui dénonce des turbines géantes qui massacrent le paysage. Un maximum aussi contraint par les problèmes de compatibilité croissants entre ces nouvelles éoliennes et d'autres activités, principalement les radars météo et militaires ou les couloirs aériens. Les parcs éoliens perturbent le fonctionnement des radars en créant des masques sur leur champ de vision et gênent les vols d'entraînement à basse altitude de l'armée, comme ceux des petits aéronefs civils. On ne pourra pas installer partout ces nouvelles éoliennes, concède Thierry Conil de la Compagnie du Vent. Mais cette contrainte est aussi source de nouvelles évolutions technologiques. Les constructeurs ont ainsi développé des éoliennes dites furtives qui gênent moins les radars. EDF EN a ainsi équipé les éoliennes de son immense parc de 96 MW près de Perpignan de pales discrètes après des négociations avec Météo France qui possède un important radar à proximité du parc. Romandie 7/10/2014
  7. Nicosie (Chypre) - Chypre a annoncé mardi la suspension de sa participation aux négociations visant à la réunification de l'île pour protester contre les agissements d'Ankara, qui cherche selon Nicosie à perturber ses recherches énergétiques en mer. Le président chypriote Nicos Anastasiades et le leader de la République turque de Chypre-Nord étaient censés se rencontrer jeudi matin dans la zone tampon à Nicosie, selon l'ONU. Mais après une réunion de M. Anastasiades avec les responsables des partis politiques chypriotes, le porte-parole du gouvernement a annoncé que le président avait décidé de ne pas assister à cette rencontre sous l'égide de l'ONU. Nicosie considère comme une provocation l'annonce de l'envoi d'un navire sismique turc à partir de mi-octobre dans la zone économique exclusive (ZEE) de Chypre. L'île méditerranéenne est coupée en deux depuis l'invasion de la partie nord par la Turquie en juillet 1974, en réaction à un coup d'Etat mené par des nationalistes chypriotes-grecs pour rattacher l'île à la Grèce. Romandie 7/10/2014
  8. Lille - Echaudés par plusieurs années très difficiles, les industriels de l'éolien réunis ce mardi à Lille pour un colloque annuel, restent prudents sur l'avenir du secteur en France, alors que l'activité est repartie depuis le début de l'année. Cela repart un peu, nous nous en félicitons, indique à l'AFP, Jean-Louis Bal, président du Syndicat des énergies renouvelables, organisateur du colloque national éolien. Au premier semestre, 410 mégawatts (MW) ont été raccordés contre 580 sur toute l'année 2013. C'est un redémarrage notable, nous voyons les dossiers qui avancent, les projets qui se débloquent, a renchéri Emmanuel Jaclot, directeur général adjoint France d'EDF Energies Nouvelles, deuxième exploitant de parcs éoliens en France, derrière GDF Suez. Côté constructeur de turbines, même perception: Nous avons installé 243 MW en 2013 et nous serons bien au-delà en 2014, a indiqué Nicolas Wolff, directeur général de Vestas France, qui a passé cet été la barre des 2.000 MW de puissance cumulée dans l'Hexagone. Si cela continue, nous arriverons à 800 ou 900 MW à la fin de l'année; c'est mieux qu'en 2013, mais moins bien que le pic de 2010, quand la France avait installé 1.250 MW, prédit Jean-Louis Bal. C'est en tout cas insuffisant pour atteindre l'objectif officiel fixé pour 2020 à 19.000 MW d'éolien terrestre, alors que la capacité installée atteint aujourd'hui 8.200 MW. La reprise enregistrée depuis le début de l'année est la conséquence de la loi dite Brottes sur l'énergie, adoptée en mars 2013, qui a abrogé le minimum de 5 éoliennes par parc pour bénéficier des tarifs de rachat de l'électricité et qui a supprimé les zones de développement de l'éolien simplifiant ainsi les procédures de développement des projets. Concrètement, chez EDF EN, trois de nos projets en Languedoc-Roussillon d'une capacité totale de 35 MW ont été débloqués grâce à cette loi, explique M. Jaclot. L'autre moteur de ce regain d'activité: la sécurisation du tarif de rachat de l'électricité produite via les éoliennes terrestres, qui avait été annulé par le Conseil d'Etat après un recours de l'association anti-éolien Vent de Colère. Cela avait entraîné un retrait des investisseurs et des banques qui ne finançaient plus aucun projet, explique Anne Lapierre, avocate spécialiste de l'énergie chez Norton Rose. Le secteur a également fait des progrès technologiques avec des turbines plus puissantes et une meilleure gestion des parcs qui rendent l'éolien plus compétitif face à d'autres énergies. Les grands exploitants ont développé un savoir-faire dans l'exploitation des sites à travers par exemple le pilotage à distance et l'optimisation des éoliennes qui a permis de gagner quelques points de rentabilité, note Arnaud Leroi, directeur Energie à Paris de Bain & Company. Malgré tout, les industriels affichent une certaine prudence, estimant que des verrous empêchent toujours un redémarrage pérenne de la filière. Pour 2015, nous avons encore pas mal de blocages, estime M. Wolff citant notamment les changements perpétuels de réglementation qui réduisent la visibilité des entreprises. Les industriels sont ainsi dans l'attente du vote de la loi sur la transition énergétique, qui doit déterminer les futurs objectifs dans l'éolien et définir un nouveau mécanisme de soutien avec la fin annoncée des tarifs d'achat. Ils guetteront aussi les mesures de simplification administrative comme la généralisation de l'autorisation unique qui réduirait les recours contre les projets. Cela permettrait de diviser par deux la durée de développement des projets qui atteint 8 à 10 ans aujourd'hui, avance Thierry Conil, président de la Compagnie du Vent, filiale de GDF Suez. En 2014 l'entreprise a obtenu les autorisations pour six projets dont le plus ancien avait été lancé en 2002, note-t-il. Dans ces conditions, pour Arnaud Leroi, si la cible de 19.000 MW est crédible, le calendrier ne l'est certainement pas, car le secteur se heurte à la question du temps et des recours d'opposants à leurs projets. Autre inquiétude: le problème de la compatibilité des parcs éoliens avec les radars météos ou militaires, qui s'intensifie à mesure que les parcs se densifient et que la hauteur des turbines augmente. La profession estime à plusieurs milliers de mégawatts les projets bloqués par des avis défavorables du ministère de la Défense et des discussions sont en cours pour trouver un terrain d'entente au cas par cas. Romandie 7/10/2014
  9. Le typhon Phanfone cause d'importants dégâts au Japon. Selon des informations recueillies ce lundi par la NHK, une personne au moins a trouvé la mort. On déplore par ailleurs 31 blessés et cinq personnes restent portées disparues. ODN 6/10/2014 Passage du typhon Phanfone au Japon : Dans le centre du Japon, le puissant typhon Phanfone est arrivé lundi matin dans la préfecture de Shizuoka. Selon l'Agence japonaise de météorologie, le typhon progressait à midi à une vitesse de 65 kilomètres heure vers la préfecture d'Ibaraki, au nord de Tokyo. Les régions du Kanto-Koshin et du Tohoku se trouvaient à la même heure dans la trajectoire du typhon. 50 à 70 millimètres de précipitations par heure sont attendues dans les heures à venir le long du littoral Pacifique, dans le Kanto-Koshin et le Tohoku. La météo met en garde contre les risques de glissements de terrain, de violentes rafales, d'inondations, de vagues géantes, de foudre et de tornades. NHK WORLD 6/10/2014
  10. L'automne est désormais arrivé, mais la météo était encore clémente à Hanover Township, jeudi 2 octobre. Suffisamment estivale pour pousser un ours à plonger dans la piscine installée dans un jardin de cette commune de Pennsylvanie (Etats-Unis), rapporte la chaîne WNEP (en anglais). WNEP-TV 3/10/2014 L'animal s'est introduit à l'arrière d'une maison familiale, où il est resté une vingtaine de minutes, profitant de l'occasion pour patauger à trois reprises. Le propriétaire se dit "stupéfait" que la piscine hors-sol ne se soit pas effondrée sous le poids de l'imposant mammifère. "Ma fille m'a appelé pour me dire qu'il y avait un ours dans le jardin et je pensais qu'elle plaisantait", confie-t-il à WNEP. Incrédule, il a visionné les images de ses caméras de vidéosurveillance, qui ont confirmé la présence de l'ursidé. Une fois sa trempette terminée, l'animal est reparti dans la nature, en laissant derrière lui un ballon gonflable écrasé et une clôture abîmée par son passage. Francetv Info 6/10/2014
  11. Les faits se sont produits ce dimanche en milieu d'après-midi dans le quartier du Bois de Bléville, au Havre. Le chien divaguait dans les rues. Il s'en est pris à deux groupes d'enfants. Francetvinfo 6/10/2014 Vers 15 heures 30, ce dimanche, le chien, un pitbull, errait dans les rues du quartier du Bois de Bléville (Le Havre-Seine-Maritime). Il est alors rentré dans la cour d'un pavillon, où il a mordu et blessé très grièvement une fillette de 9 ans qui jouait. La petite a été conduite aux urgences mais ses jours ne seraient pas en danger. L'animal s'est sauvé et a attaqué trois autres enfants un peu plus loin. Les jeunes seraient moins grièvement touchés. Ils ont également été conduits aux urgences. Le chien a ensuite été maîtrisé par un passant. Les policiers de la brigade canine du Havre ont pris en charge et conduit le pitbull à la fourrière. Le chien ne porterait pas d'élément permettant de retrouver son propriétaire. Selon Francetv Info, Son propriétaire a depuis été identifié et devrait rapidement être interrogé par la police. "Le chien avait la jambe de la petite dans sa gueule, confie un témoin à France 3. Il a fallu deux heures d'opération pour la réparer, à peu près 150 points de suture sur le corps." L'animal, dont la race n'a pas encore été établie par les services vétérinaires, a finalement été maîtrisé par une brigade canine appelée en urgence sur les lieux. Il a été placé en fourrière et devrait être euthanasié à la fin de l'enquête. ----->Si la race de chien impliquée avait été un toutou réputé "gentil", je doute que l'information aurait été divulguée... FR3 Haute-Normandie 5/10/2014
  12. Depuis plus de 20 ans, le cossyphe à tête blanche (Cossypha heinrichi), une espèce d’oiseau extrêmement rare, n’avait pas été observé en RDC. C’est désormais chose faite : à la fin du mois d’août, une mission organisée conjointement par l’Institut Congolais pour la Conservation de la Nature (ICCN) et le Fonds Mondial pour la Nature (WWF) dans la Réserve de Chasse de Bombo Lumene située à l’est de Kinshasa a en effet observé à deux reprises l’animal, caractérisé par son plumage noir et roux, son chant à trémolos et la tête blanche, donc, qui lui a donné son nom. Marc Languy, Directeur de Conservation du WWF en Afrique Centrale et membre de l’expédition affirme que "la redécouverte d’un oiseau aussi rare, que l’on trouve seulement dans le nord de l’Angola et près de Kinshasa confirme l’immense valeur en termes de conservation de Bombo Lumene, ainsi que des zones protégées de RDC en général." La présence du cossyphe à tête blanche à Bombo Lumene est d’autant plus remarquable que de nombreuses menaces extérieures planent sur la biodiversité de la réserve. La chasse et le braconnage constants ont dépeuplé la faune jadis abondante, exterminant les populations d’éléphants et de lions et réduisant drastiquement le nombre de buffles et d’antilopes. Cossypha heinrichi est une espèce d'oiseau de la famille des muscicapidés. Il se trouve uniquement en Angola et eb République démocratique du Congo. Ses habitats naturels sont les plaines humides subtropicales ou les forêts tropicales sèches et la savane. Il est menacé par la perte d'habitat . Ces dernières années, la production illégale de charbon a été très dommageable pour la réserve. Des centaines de personnes ont pénétré illégalement dans l’enceinte de la réserve, s’y sont installées et ont commencé à brûler de large zones forestières protégées afin de produire et de vendre du charbon de bois destiné à alimenter Kinshasa et ses environs. Ces activités représentent une menace directe pour l’habitat du cossyphe, et des autres animaux vulnérables de la réserve. Malgré une récente opération menée avec succès par l’ICCN et l’armée afin de déloger les trafiquants de charbon du parc, les risques de voir la réserve irrémédiablement endommagée sont toutefois élevés : avec seulement 20 gardes pour une zone de 300 000 hectares, l’ICCN reste largement en sous-effectif. Marc Languy précise que "le WWF soutient l’ICCN de toutes ses forces dans cette bataille contre le braconnage et la production illégale de charbon. Dans le même temps, il est indispensable que les autorités renforcent leur soutien à Bombo Lumene et aux autres zones protégées en RDC afin d’éviter que d’autres espèces de faune et de flore, représentant un patrimoine inestimable pour tous les congolais, disparaissent". L’ICCN et le WWF conduisent actuellement un inventaire de la biodiversité dans 15 zones protégées de RDC afin de réévaluer leur potentiel et leur rôle économique. Bombo Lumene a le grand avantage d’être facilement accessible depuis Kinshasa, ce qui ouvre la porte à un potentiel marché touristique important pour la réserve et bénéfique pour les communautés vivant autour du parc. "De plus en plus de citadins cherchent à s’évader du stress de la ville de Kinshasa et visitent Bombo Lumene" a commenté Pasteur Cosma Wilungula, l’Administrateur Délégué Général de l’ICCN. "La redécouverte d’espèces rares et les récents succès de reprise de contrôle de la réserve sont des éléments encourageants pour les gardes qui veillent au maintien des paysage et de la biodiversité du site". Concernant la production illégale de charbon, des solutions existent et ont déjà prouvé leur efficacité dans d’autres régions de la RDC : dans l’Est, le WWF a mis en place un programme de plantation d’arbres à grande échelle baptisée Eco-Makala. Les 10 millions d’arbres déjà plantés permettent d’alléger les pressions sur le Parc National des Virunga, en fournissant une énergie durable à la ville de Goma. WWF 11/9/2014 - Wikipedia - Arkive, photos Nik Borrow
  13. Sea Shepherd Costa Rica et Latin American Sea Turtles (LAST) viennent de lancer l’opération Pacuare, une campagne anti-braconnage pour protéger les tortues marines sur la plage de Pacuare, dans la province de Limón au Costa Rica. D’après les biologistes marins, le mois de septembre sera la période de nidification la plus importante chez les tortues vertes. Ils pensent donc que le braconnage augmentera pendant ce laps de temps. Des membres de l’opération Pacuare menée par Sea Shepherd et LAST en patrouille. (c) Sea Shepherd LAST, membre de WIDECAST, un réseau scientifique international avec des coordinateurs dans plus de 40 pays, mène le projet de protection des tortues de mer sur l’île de Pacuare. Son nombre de volontaires diminuant régulièrement, LAST a sollicité Sea Shepherd pour devenir un partenaire international. Le but de ce partenariat est de faire connaître les problèmes locaux et de recruter des volontaires via son vaste réseau de militants engagés pour protéger les tortues vertes, imbriquées et caouannes qui viennent annuellement faire leur nid sur la petite île. Les volontaires de Sea Shepherd et de LAST patrouillent activement sur le littoral de l’île de Pacuare pour localiser et protéger les nids et les tortues marines. Les œufs pondus par ces animaux en voie de disparition, qui font déjà face à de nombreuses menaces d’origine humaine (notamment l’enchevêtrement dans les filets de pêche, les prises accidentelles et la pollution marine), peuvent tomber entre les mains des braconniers, une situation qui augmente le risque d’extinction des tortues marines. Certaines espèces ciblées par les braconniers ont déjà presque disparu. Des tortues marines venant d’éclore se dirigent en toute sécurité vers la mer. (c) Sea Shepherd Il existe dans cette zone une loi tacite selon laquelle un nid de tortue revient de droit à la première personne qui le trouve. Cette loi plutôt primitive est en général respectée et réduit les risques de conflit. Ainsi, la stratégie de base pour protéger ces tortues est la supériorité numérique: plus il y a de volontaires à patrouiller sur les plages et à revendiquer les tortues, moins d’œufs sont braconnés et moins de tortues sont tuées. Les rapports d’enquête préliminaires montrent qu’il y a un volontaire pour trois braconniers. Il est donc absolument nécessaire de recruter davantage de volontaires pour maintenir les tortues qui nichent hors de danger. La population officieuse de cette île peu développée est d’environ deux cents habitants, il y donc peu de solution pour gagner sa vie, à l’exception de la pêche et de la vente de noix de coco. Par conséquent, les gens se tournent vers le braconnage d’œufs et l’abattage de tortues: ils tirent leurs revenus de la viande et de la vente de souvenirs. Cependant, si on leur donnait une source alternative de revenus, comme l’écotourisme, les habitants préfèreraient protéger les tortues plutôt que de les exploiter. "Le désespoir économique n’est pas une excuse valable pour tuer ces créatures inoffensives et exporter leurs œufs sur les marchés étrangers. Une tortue marine a bien plus de valeur vivante que morte, même pour les braconniers. Le braconnage et les autres activités humaines déciment les tortues marines à une vitesse alarmante. De nombreuses espèces sont sur le point de disparaître totalement des océans. Des membres de Sea Shepherd en patrouille. (c) Sea Shepherd Il est plus que temps de les protéger et "Sea Shepherd s’engage à le faire au Costa Rica et dans les autres lieux de nidification dans le monde", a déclaré Susan Hartland, directrice exécutive de Sea Shepherd USA. Malgré l’assassinat de l’activiste Jairo Mora Sandoval par des braconniers sur la plage avoisinante de Moín en 2013, le massacre des tortues et le braconnage des œufs restent relativement peu médiatisés, le Costa Rica étant souvent dépeint comme un paradis écotouristique et sûr pour la faune. Le massacre des tortues et le braconnage des œufs n’est que la partie visible de l’iceberg sur la plage de Moín, où les crimes et le trafic de drogues sont monnaie courante. Malgré la beauté du site et la diversité de la faune, ces 17 kilomètres de côte sont dangereux sans escorte policière et donc difficiles à protéger. "Sea Shepherd a baptisé l’un de ses navires d’après Jairo Mora Sandoval, défenseur engagé des tortues marines, qui a été tué au Costa Rica alors qu’il protégeait des nids de tortue des braconniers. Notre objectif est d’augmenter les patrouilles sur la plage de Moín l’année prochaine afin d’honorer la mémoire de Jairo en continuant son travail important au Costa Rica. De nombreuses personnes veulent exploiter les tortues, mais ces dernières peuvent compter sur leurs défenseurs acharnés," a ajouté Susan Hartland. Sea Shepherd mène actuellement d’autres campagnes de défense des tortues marines dans des zones où le braconnage de tortues est important, notamment au Honduras et au Cap-Vert. Des tortues marines venant d’éclore se dirigent en toute sécurité vers la mer. (c) Sea Shepherd Sea Shepherd 21/9/2014
  14. Nos équipes quittent les îles Féroé. C'est la fin de près de trois mois et demi de mission sur place. A l'heure actuelle, nous ne savons toujours pas si nos trois bateaux confisqués vont nous être rendus où s'ils vont être vendus aux enchères par les autorités (procès le 13 octobre prochain). Une audition aujourd'hui au sujet du cas du Spitfire est en cours. MrCaseyoliver 31/8/2014 Nous vous donnons d'ores et déjà rendez vous le SAMEDI 13 DÉCEMBRE prochain à Paris pour rencontrer une partie de l'équipe, découvrir des images photos et vidéos inédites de la campagne et fêter avec nous les nombreuses vies sauvées cet été grâce aux efforts de nos volontaires et aux généreux soutien de nos donateurs. Grindstop reste une affaire à suivre.... Sea Shepherd 3/10/2014
  15. Aujourd'hui, après plus de sept heures d'audience sur le cas des 8 activistes (dont sept français) et des trois bateaux de Sea shepherd France impliqués dans l'opération liée au massacre de dauphins du 30 août dernier, la juge a finalement décidé d'ajourner la suite du procès au 13 octobre prochain. La procureure réclame la déportation et l’interdiction de territoire pour les huit activistes concernés pour une durée d’un an. Elle demande également la saisie définitive des bateaux et leur mise aux enchères. Sea Shepherd France est accusée d'avoir tenté d'intervenir pour sauver 33 dauphins qui ont été massacrés en ce jour du 30 Août. L'organisation est présente dans l'archipel féringien depuis le 15 juin et mène des patrouilles journalières avec des bateaux fabriqués en Bretagne spécialement pour cette mission. Trois des quatre bateaux ont été confisqués. Le procès concernant le cas du Spitfire, de Sea Shepherd RU et des trois activistes (dont deux françaises) se tiendra le 2 Octobre prochain. L'équipage est accusé d'avoir fait fuir un groupe de plusieurs centaines de dauphins loin des côtes féringiennes. 430 de cette espèce de dauphins avaient été massacrés l'année dernière aux Iles Féroé. Le "Grind" des Iles Féroé est le plus grand massacre de mammifères marins en Europe. L'équipe maritime ce matin devant la Cour de Justice de Thorshavn. Visitez le site de l'opération GrindStop 2014 pour plus d'informations. Sea Shepherd 25/9/2014
  16. Aux prises avec une épidémie d’Ebola d’ampleur dramatique, le Liberia a pourtant été à l’honneur au cours du Sommet climatique organisé par les Nations unies. Ce petit pays d’Afrique de l’Ouest, encore largement recouvert de forêts, vient en effet de rendre public un accord bilatéral avec la Norvège visant à y développer une agriculture dite “zéro-déforestation”. Photo Greenpeace. Les fameux palmiers à huile sont responsables des parties clairsemées dans cette forêt autrefois touffue. Et qui dit déforestation, dit moins de ressource en eau, modification du climat local... et perte de biodiversité autant végétale qu'animale... L’accord prévoit en effet que le pays se dote d’une législation limitant aux zones non boisées les projets agro-industriels, type plantations de palmiers à huile, production de cacao ou de pâte à papier. En parallèle, la création d’un cadastre national et la reconnaissance légale des droits coutumiers des populations permettraient de limiter les conflits liés à l’allocation arbitraire des terres au profit des multinationales. Ces nouvelles dispositions s’appliqueront immédiatement aux nouveaux investisseurs. Elles conditionneront l’autorisation de “faire du business au Liberia” à un engagement préalable en faveur de pratiques “zéro déforestation”. Elles concerneront également les projets en cours, quitte à revenir sur des contrats existants et, pourquoi pas, à les amender ! Une avancée remarquable et bienvenue dans un pays où, rien que dans le secteur de l’huile de palme, plus de 650 000 ha (la taille d’un département français) avaient été alloués à une poignée d’investisseurs ces dernières années, menaçant les forêts et la sécurité alimentaire de leurs habitants. Parmi ces industriels attirés par la “nouvelle frontière” du palmier à huile qu’est devenue l’Afrique, et le Liberia en particulier, seuls les groupes Golden Agri Resources et Wilmar s’étaient déjà engagés à adopter une politique de plantations “zéro déforestation”, conséquence des campagnes de Greenpeace ciblant Nestlé et Procter & Gamble, leurs clients respectifs. Créant un précédent au niveau mondial, le Liberia a donc décidé d’institutionnaliser ces politiques privées pour en faire le standard légal national, étendu à d’autres matières premières agricoles ou sylvicoles. Quelques semaines avant l’annonce libérienne, Cargill, le géant du négoce des matières premières, ou encore Carrefour, n°2 de la grande distribution au niveau mondial, avaient également annoncé leur politique d’approvisionnement “zéro déforestation”. Et ces derniers jours, les principaux récalcitrants, dont le numéro un mondial de la production d’huile de palme Sime Darby, ont peut-être fait un pas décisif, annonçant “un moratoire immédiat sur le déboisement des zones à haute valeur de carbone (High Carbon Stock areas)”. Reste à les convaincre de rendre ce moratoire permanent et d’adopter le référentiel “zéro déforestation” promu par Greenpeace, et dorénavant institutionnalisé par un gouvernement africain. Greenpeace demeurera évidemment vigilante quant à l’application rapide de ces différents engagements et leur impact concret sur le terrain, c’est-à-dire les forêts tropicales de notre planète. Greenpeace 24/9/2014
  17. Cher Lego, une fois de plus, nous sommes très tristes. Nous venons d’apprendre que vous avez lancé une nouvelle collection de jouets Shell à Singapour. Et ce n’est qu’un début – ces jouets devraient être disponibles d’ici un an dans les stations-service Shell du monde entier. Il y a à peine quelques jours, Shell présentait aux autorités américaines les projets de forage exploratoire qu’elle compte effectuer dès l’été prochain dans l’océan Arctique, au large de l’Alaska. La compagnie pétrolière semble avoir la mémoire courte : elle a déjà oublié les déboires en série qu’elle a connus en 2013. Elle avait alors a perdu le contrôle du Kulluk, sa plateforme de forage, qui s’était échouée près d’une réserve naturelle. En réalité, Shell avait décidé de procéder à son remorquage alors que les conditions météorologiques étaient mauvaises, et ce uniquement pour échapper à des taxes. Cher LEGO, en vous affichant aux côtés de Shell au moment où elle récidive avec ses forages en Arctique, vous courrez le risque d’être vous aussi éclaboussé par ces projets dangereux et controversés. Cautionnez-vous les projets fous de Shell ? Les conditions extrêmes de l’Arctique – températures glaciales, plusieurs mois d’obscurité, présence d’icebergs flottants géants et eaux agitées – rendent les forages offshore extrêmement dangereux. les scientifiques s’accordent à dire qu’une marée noire dans l’Arctique serait impossible à nettoyer, ce qui serait un désastre pour les populations de la région et les écosystèmes uniques qu’elle abrite. Ils affirment aussi que si nous voulons enrayer les bouleversements climatiques, il ne faut plus extraire de combustibles fossiles. Mais Shell et d’autres compagnies pétrolières sont prêtes à prendre tous les risques pour extraire jusqu’à la dernière goutte de pétrole, pour leurs propres intérêts économiques. Et vous, LEGO, vous leur servez de faire-valoir. LEGO, cessez d’être un jouet dans les mains de Shell ! Les autorités américaines doivent prendre en considération les risques environnementaux, sociaux et politiques avant de donner le feu vert à Shell pour ses nouveaux forages exploratoires. Et c’est là où vous entrez en jeu, LEGO. Shell vous utilise pour se donner l’image d’une entreprise positive. Grâce à vos jouets, son logo atterrit entre les mains de millions d’enfants. Elle s’immisce insidieusement mais sûrement dans les salles de jeux des enfants, voire dans leur esprit. Aujourd’hui, elle fait du lobbying auprès des dirigeants pour obtenir l’autorisation de forer en Arctique. Elle fait aussi les yeux doux à la prochaine génération de consommateurs, d’électeurs, de dirigeants d’entreprises, d’actionnaires et de responsables politiques. Bref, elle s’assure d’avoir les décideurs d’aujourd’hui et de demain dans la poche. "C’est lorsque nous sommes enfants que nous nouons les liens émotionnels les plus durables, et les entreprises ne le savent que trop bien. L’un des plus grands dangers de la publicité envahissante destinée aux enfants, c’est que certaines entreprises sans scrupule utilisent ce ressort pour construire ce que les spécialistes du marketing appellent une fidélité “du berceau jusqu’à la tombe”. Dr. Susan Linn, psychologue affiliée à la Harvard Medical School et auteure de Consuming Kids: The Hostile Takeover of Childhood LEGO, est-ce qu’un million de demandes seront suffisantes pour vous faire changer d’avis ? ... Plus d'un million de personnes se sont exprimées pour vous exhorter à ne pas soutenir les pratiques destructrices de Shell dans l’Arctique. Vos mini-figurines se sont rebellées aux quatre coins du globe. La LEGOlution est en marche et bien déterminée à aller jusqu’au bout ! Lire toutes les actualités de la campagne Save The Arctic Greenpeace 22/9/2014
  18. Petit Navire est le plus gros pourvoyeur de thon en boîte sur le marché français. Malgré l’ambition affichée d’être leader en matière de pêche durable, la marque s’approvisionne en thons pêchés avec une technique ravageuse pour les océans : les dispositifs de concentration de poissons (DCP). Nous lui demandons d’arrêter ce carnage et d’opter pour des méthodes de pêche durable ! Petit Navire peut être leader du marché français du thon en boîte, mais pour ce qui est des performances environnementales, il se classe bel et bien parmi les derniers. Par ailleurs, des analyses ADN réalisées pendant l’été 2014 par un laboratoire indépendant sur du thon provenant des conserves de la marque Petit Navire ont démontré que ces dernières contenaient un mélange de différentes espèces de thons, ce qui est rigoureusement interdit par la législation européenne. L’écrasante majorité du thon vendu par Petit Navire est pêchée avec des DCP Les dispositifs de concentration de poissons sont non sélectifs. Les thoniers industriels qui les déploient et pêchent dessus remontent à la surface toutes les espèces qui se trouvent autour, dont celles qui ne sont pas visées, comme les requins, et qui seront rejetées à la mer, mortes ou mourantes. Les scientifiques estiment à 960 000 le nombre de requins soyeux tués à cause des DCP chaque année dans l’Océan Indien, d’où provient près de 80% du thon vendu par Petit Navire. Le thon est une espèce grégaire évoluant naturellement en bancs. Plusieurs espèces qui, en temps normal, ne se mélangent pas, se regroupent autour du DCP. Les jeunes thons obèses et albacores notamment, ont tendance à s’associer aux thons adultes listaos sous les DCP. Au moment de la pêche, il est quasiment impossible de distinguer à l’œil nu la différence entre un petit thon obèse et un petit thon albacore. Conséquences ? Plusieurs espèces de thons se retrouvent dans la même boîte de conserve. La ressource est fragilisée car les jeunes thons pris dans les mailles du filet sont autant de poissons qui ne pourront participer au renouvellement du stock. La seule façon d’éviter ces mélanges et de diminuer la pression de pêche sur les thons tropicaux est d’arrêter l’utilisation des DCP, et de passer à une méthode de pêche plus sélective comme la canne, la ligne ou la senne sur banc libre. Greenpeace France 6/10/2014 Ecrivez à Petit Navire pour lui demander d'arrêter ce carnage. [b]C’est pourquoi nous demandons à Petit Navire de cesser de s’approvisionner en thon pêché avec des DCP et d’opter pour des méthodes de pêche durable ! Nous savons que c’est possible. Petit Navire appartient au groupe MW Brands. D’autres marques du groupe MW Brands, comme John West au Royaume-Uni ou Mareblu en Italie, ont déjà pris publiquement l’engagement d’offrir 100% de thons pêchés sans DCP aux consommateurs d’ici 2016. Au tour de Petit Navire ! Ensemble, nous devons mettre un terme au pillage des ressources marines.[/b] Greenpeace 6/10/2014
  19. Mercredi 17 septembre, le pays annonce qu'il enverra des bateaux en Antarctique pour conduire des recherches "non létales" sur les cétacés. Image du 25 février 2013 et fournie le 26 à l'AFP montre le navire Sea Shepherd de Bob Barker heurtant le tanker de la flotte baleinière japonaise San Laurel dans les eaux gelées de l'Antarctique (c) Afp "Le Japon ira en Antarctique cette saison pour conduire la partie non létale de son programme de recherche Jarpa II", a déclaré à l'AFP Glenn Inwood, porte-parole de la délégation japonaise à la la Commission baleinière internationale (CBI). Cet organisme qui a pour mission de réglementer la chasse à la baleine et d'assurer la protection durable de ces cétacés s'est réunie dans le courant du mois de septembre à Portoroz (Slovénie). Le Japon avait jusqu'ici annoncé qu'il renonçait à chasser en Antarctique cette année, à la suite de la décision fin mars de la Cour internationale de justice qui l'a reconnu coupable de détourner à des fins commerciales la chasse effectuée à titre scientifique dans cette région. Pour la saison suivante (2015-2016), le chef de la délégation japonaise, Joji Morishita, a indiqué que son pays soumettrait "d'ici la fin de l'année" un nouveau programme de recherche au comité scientifique de la Commission baleinière internationale. Le comité scientifique fait seulement des recommandations. La chasse pour des motifs scientifiques est prévue dans la convention de la Commission baleinière et constitue une dérogation au moratoire sur la chasse à la baleine de 1986. "Nous respectons et nous respecterons la décision de la CIJ", a déclaré à la tribune de la Commission, Joji Morishita, le chef de la délégation japonaise. "La CIJ a imposé un certain nombre de conditions pour utiliser des moyens de recherche létaux", a commenté M. Morishita, notamment "l'ampleur du programme utilisant des moyens létaux", "la méthodologie utilisée", "les échantillons cibles et ceux réalisés", "le calendrier du programme" et "les résultats scientifiques". Interrogé sur le futur programme de recherche, le commissaire adjoint, Hideki Moronuki, a dit qu'il n'avait à ce stade pas de détails. Il a ajouté que son pays développerait "un nouveau programme de recherche de manière ouverte et transparente". Le Japon a par ailleurs demandé à la CBI de pouvoir chasser à proximité de ses côtes, mais n'a pas sollicité à ce stade de vote. "Le Japon préfèrerait une décision par consensus à ce sujet", sa proposition étant "très raisonnable, avec moins de baleines qui seraient prises que le quota attribué au Groenland cette semaine par la CIB", a déclaré Hideki Moronuki à l'AFP. Selon le site de l'Institut de recherche sur les cétacés, le Japon a pêché 115 baleines dans les eaux du Pacifique nord-ouest en 2013 au titre de la chasse scientifique. Sciences et avenir 18/9/2014
  20. Situations plus ou moins stressantes, chevaux aux caractères plus ou moins trempés : des chercheurs français se sont intéressés aux variations dans l'apprentissage des équidés. Du poulain au cheval de compétition, tout cheval apprend quotidiennement pour que ses performances s’améliorent. Pourtant, les cavaliers le savent bien, les capacités d’apprentissage – et notamment de mémorisation d’un exercice – diffèrent d’un individu à l’autre. Pour qu’un cheval apprenne mieux, il faut tenir compte de son caractère. Geoff Robinson Photogra/REX/SIPA D’après une équipe de l’INRA (Institut national de la recherche agronomique), la clé qui permettrait d’expliquer ces différences se trouvent dans la personnalité de l’équidé. Ainsi, pour que le cheval progresse au mieux, il faut savoir adapter les conditions d’apprentissage (stressantes ou non) à son caractère (peureux ou non). "Si le cheval est placé dans une situation stressante avant la séance d’apprentissage, les individus peureux sont toujours défavorisés, avance Léa Lansade, ingénieur de recherche en éthologie à l’INRA. Néanmoins, en l’absence de facteur de stress, c’est l’inverse, les individus peureux ont des performances de mémoire supérieures. Ce qui suggère un état d’éveil naturellement plus élevé chez eux." Par ailleurs, les chercheurs ont relevé qu’en cas de stress causé lors de l’exercice lui-même (notamment quand l’ordre gestuel – une pression de jambe par exemple – est renforcé), les chevaux peureux sont là aussi les plus performants". En revanche, "les individus peureux développent plus facilement des comportements dits automatiques, au détriment de réponses plus cognitives, ce qui suggère chez eux une moins grande flexibilité comportementale", poursuit Léa Lansade. En résumé, il n’y a pas véritablement de bons ou de mauvais élèves. Il faut juste adapter les conditions d’apprentissage (y compris avant la séance) au caractère du cheval. Mieux, les chercheurs suggèrent qu’il est également possible de rendre son cheval moins peureux en jouant sur ses conditions de vie. Ce qui peut s’avérer fort utile par exemple pour un cavalier qui souhaite sortir son cheval en compétition. D’après Léa Lansade, "le tempérament des chevaux peut évoluer dans le temps. Par exemple, les chevaux aux conditions de vie enrichies (présentation d’objets nouveaux, de jouets, alimentation variée, sorties au pré en groupe) deviennent moins peureux et moins sensibles tactilement que les chevaux aux conditions de vie appauvries (aliment concentré, sortie individuelle au paddock). Ainsi, enrichir les conditions de vie des chevaux, en favorisant les sorties au pré, les contacts sociaux et certains aménagements dans leur environnement et leur alimentation permet d’accroître les performances d’apprentissage". Autant de paramètres qui permettent de personnaliser la méthode de travail de chaque cheval, en s’inspirant des tâches les plus adaptées à chaque tempérament. Sans compter que l’enrichissement du milieu de vie a un effet positif sur le bien-être des animaux. Et un cheval plus calme et plus heureux sera logiquement moins susceptible de développer des réactions dangereuses pour l’homme. Sciences et avenir 19/9/2014
  21. Outre l'Afrique du Sud, voir article précédent, les manifestations, organisées par un groupement de militants, d'ONG et de sponsors privés, se sont aussi tenues dans plusieurs ville à travers le monde, comme San Francisco et Tokyo. Des manifestants exigent des mesures d'urgence contre le braconnage des éléphants et des rhinocéros d'Afrique, le 4 octobre 2014 au Cap (c) Afp "Le trafic d'animaux sauvages génère un chiffre d'affaires de 20 milliards de dollars par an", selon Dex Kotze, qui souligne que cette forme de criminalité n'affecte pas seulement les animaux: "Des organisations terroristes comme les Shebab somaliens utilisent le trafic de l'ivoire, qu'ils échangent contre des armes". Quelques centaines de personnes ont aussi manifesté à Nairobi et à Iringa (Tanzanie). "Nous défilons pour sauver les vies des éléphants et des rhinocéros au Kenya, qui ont atteint un niveau critique. Nous ne voulons pas attendre le jour où il n'y aura plus un seul éléphant au Kenya", a déclaré Nyokabi Gethaiga, fondatrice du mouvement Laisser vivre. Le port kenyan de Mombasa est le premier centre d'exportation d'ivoire au monde, ont aussi dénoncé les manifestants kenyans. Selon les chiffres officiels, près de deux fois plus de rhinocéros ont été tués par des braconniers au Kenya en 2013 (59) par rapport à 2012 (30). En Tanzanie, la population d'éléphants a été divisée par deux en sept ans, selon des relevés aériens. "Je ne veux pas devoir aller au musée pour voir des éléphants. C'est dans la nature qu'ils doivent être", a assuré Kendall Marillier, 7 ans, défilant à Iringa, à quelques 200 km du parc national de Ruaha. Quelques 300 personnes se sont aussi rassemblées à Paris autour de représentants d'associations du bien-être animal. Sciences et avenir 4/10/2014
  22. Quelles seraient les conséquences de l'inversion des pôles magnétiques terrestres ? Pas si graves, et surtout pas nouveau, cette inversion ayant déjà eu lieu dans le passé. La Terre qui perdrait le Nord (magnétique)... Faut-il s'en inquiéter ? Réponse : NON. Image d'illustration. (ELECTROOPTICSYSTEMS/AFP) La Terre pourrait-elle perdre le nord et entraîner ainsi la disparition de l’humanité ? Précisons d’abord que par "nord", on entend le pôle magnétique et non géographique, c’est-à-dire la direction pointée par une boussole. Eh bien oui, l’aiguille de la boussole pourrait soudainement se mettre à indiquer le sud ! Pourtant, pas de quoi paniquer... Cette inversion s’est souvent produite par le passé. La dernière remonte à il y a environ 800.000 ans. Et pendant les quatre à cinq derniers millions d’années, il y en a eu une poignée d’autres. Le phénomène n’est pas périodique. Ces irrégularités proviennent de la source même du champ magnétique terrestre. Au cœur de la Terre, le fer fondu, conducteur électrique et magnétique, est agité de mouvements de convection turbulents. Cette sorte de "dynamo" complètement fondue et instable crée un champ magnétique aussi imprévisible que la météo. Rien ne permet de dire que la décroissance du champ magnétique observée depuis trois mille ans se finira par une inversion dans mille à deux mille ans (donc bien après 2014 !) Par le passé, notre champ a connu bien des rebonds qui ont évité l’inversion. De toute façon, les géologues n’ont jamais observé de corrélations entre une inversion de champ et une extinction d’espèces. Seule conséquence possible : l’affaiblissement de la protection naturelle contre les particules solaires qu’offre ce champ, sans que cela cause des dégâts importants. Sauf peut-être sur les systèmes de communication des satellites. Sciences et avenir 6/10/2014
  23. Le puissant typhon Phanfone a touché l'île principale du Japon, Honshu, et se dirige désormais tout droit vers Tokyo. Il a déjà balayé le sud de l'archipel où il a fait quatre morts et disparus, dont trois militaires américains. ReblopTV 5/10/2014 Romandie 6/10/2014
  24. Le documentaire revient sur les 10 attaques de requins ayant frappé l'île depuis 3 ans. Un film d'une grande qualité, diffusé au festival Pariscience dimanche 5 octobre à 19 h. Le requin-bouledogue, principal suspect des attaques à La Réunion. Hendrik Sauvignet 10 attaques. 5 morts. 3 années de psychose à La Réunion : l'île fait face à une situation qui divise sa population... et affecte grandement le tourisme. Ce long documentaire (1 h 36) suit les pas du journaliste indépendant Laurent Bouvier. Des mois durant, il va rencontrer scientifiques, pêcheurs, surfeurs et rescapés... À l'arrivée, un film riche, très riche, aux séquences parfois superbes. Les expéditions en mer pour poser des "tags" sur les squales sont ainsi mémorables... Sur les squales, ou plutôt "dans" les squales : il s'agit en effet de remonter l'animal jusqu'à la surface, accroché au bout d'une ligne de pêche. Le requin est ensuite renversé sur le dos par les scientifiques, qui profitent de l'état d'hébétude dans lequel il est alors plongé (la position est peu naturelle pour lui) pour lui inciser délicatement le ventre, afin d'y placer une petite balise, longue comme un bâton de colle à papier. Il faut voir les biologistes, penchés sur le bastingage de leur bateau, presque à tomber dans l'eau, pour intervenir sur le requin, toujours remuant malgré sa position. Et le squale n'est libéré qu'une fois la plaie recousue. L'opération, menée sur un requin-bouledogue de plus de trois mètres (que les chercheurs ont surnommé Estelle) nécessite pour l'opérateur humain d'avoir... un certain cran ! Si le documentaire est parfois un peu agaçant dans sa narration - le récit à la première personne par Laurent Bouvier a parfois un côté "Tintin au pays des requins -, il touche juste par sa volonté d'englober dans toutes ses dimensions le "problème squale" à La Réunion, notamment en interrogeant tous les acteurs du drame. À cet égard, les entretiens avec deux rescapés d'attaques durant lesquelles ils ont perdu une jambe pour l'un, le bras et la jambe pour l'autre, sont terriblement émouvants. "Attaques de requins à La Réunion : l'enquête". Un documentaire de Rémy Tezier présenté à Pariscience dimanche 5 octobre 2014 de 19h à 20h45. Plus d'infos sur le site de Pariscience. Shark Island TV 20/4/2014 (un autre documentaire) Sciences et avenir 4/10/2014
  25. Le 29 septembre 2014, Shen Bin donnait la vie pour la première fois à deux bébés pandas dans le centre de Bifengxia au Sichuan. Une bonne nouvelle pour la conservation de l'espèce. Le panda géant ou "grand chat ours" en chinois est le symbole de la conservation animale. Il est en effet de plus en plus menacé. Pour cette raison, chaque annonce de naissance de pandas est une bonne nouvelle pour la conservation de l'espèce. Ce bébé panda est l'un des triplés nés le 13 août 2014 au parc chinois de Guangzhou. Chine nouvelle /Sipa Pour sa première portée, Shen Bin a mis au monde des jumeaux, un mâle et une femelle. Ce qui n'est pas rare chez les pandas. En revanche, plus rare, la naissance de triplés qui a eu lieu en août 2014, au Safari Park Chimelong de Guangzhou, toujours en Chine. Dans la nature, il est difficile pour un panda de se reproduire. "C'est un animal solitaire qui vit dans des forêts morcelées (en cause l'urbanisation). La femelle n'est féconde que trois jours par an et elle n'est réceptive qu'une journée. Il faut se rencontrer au bon moment", nous rappelle Rodolphe Delord, directeur du Zoo de Beauval qui accueille l'unique couple de pandas en France. En captivité, les obstacles à la reproduction sont moindres. On peut même faciliter les choses "en plaçant un couple dans le même enclos au moment des chaleurs." Si cela ne fonctionne pas, il reste l'insémination artificielle, une technique bien maîtrisée. La reproduction naturelle représente toutefois "de 50 à 60 % des naissances". Une fois né, le parcours d'un bébé panda est semé d'embûches. Naturellement prématuré, il est particulièrement délicat. Il peut donc être victime de la maladresse de sa mère "qui ne sait pas faire". Ce genre d'accident est le plus souvent évité dans les zoos. Dans la nature, la mère ne s'occupe que d'un petit, le plus fort. Dans les zoos et centre d'élevage, le bébé abandonné est nourri au biberon. Un roulement entre les deux petits est ensuite mis en place pour assurer la survie du plus faible. Les naissances en captivité sont en augmentation depuis plusieurs années tandis que le taux de mortalité est en baisse. Il y a donc de plus en plus de pandas. "Nous sommes là pour conserver ces espèces. Les souches génétiques sont désormais suffisantes pour envisager la réintroduction". Il ne reste plus qu'à espérer que le couple de pandas du zoo de Beauval participera aussi à la préservation de son espèce. "Nous allons tout faire pour que ce soit le cas d'ici à deux ans". Sciences et avenir 5/10/2014
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