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Edouard6

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Tout ce qui a été posté par Edouard6

  1. Même si je trouve la situation pas normale, on ne devrait pas systématiquement vouloir domestiquer les espèces sauvages, c'est quand même surprenant. Comme quoi beaucoup d'animaux peuvent apprendre des tours. En cherchant pour voir s'il y avait d'autres vidéos surprenantes sur ces mêmes primates, j'en ai trouvé une avec un chat qui est aussi surprenante : le petit singe épouille le chat qui dort et ne bronche pas ! YouBuzz 20octobre2013 Moi
  2. Aki est un singe capucin domestiqué, à qui l'on a appris à acheter des boissons tout seul sur un automate. QGJCD 17juin2013 Au Tohuku Safari Park, au Japon, les visiteurs peuvent évoluer parmi des animaux sauvage tenus en captivité. Ce qui est moins commun en revanche, c’est quand l’animal singe le touriste… jusque dans ses habitudes de consommation. C'est le cas d'Aki, singe capucin, qui a appris à acheter des boissons tout seul sur un distributeur automatisé. En France, rappelons que la détention d'un capucin comme animal de compagnie (NAC) est soumise à autorisation préfectorale. S & A 20juillet2015
  3. Voilà une vidéo craquante avec tous ces chatons. Mais c'est pas une raison de laisser vos animaux se reproduire. Il y a plein plein de chats et de chatons dans les refuges et dans les rues. Ca fait tout plein d'animaux malheureux et beaucoup vont mourir parce qu'ils sont en surnombre. Et ça me rend triste. Moi mes chats et ceux de ma mamie, ils sont tous stérilisés. FunnyTV 27 févr. 2015 Moi
  4. J'ai trouvé cette vidéo sympa et mignone. Elle montre une maman chat inquiète que l'on touche à ses bébés nouveau-nés. Elle n'apprécie pas non plus d'être dérangée. Selon moi, ce petit film montre exactement ce qu'il ne faut pas faire. On ne dérange pas une chatte qui vient de mettre bas et on évite, sauf si c'est vital, de toucher aux chatons... Car soit la chatte pourrait refuser de s'en occuper (ça arrive) ou les déplacer dans un autre endroit. Chan john 13 mars 2013 Moi
  5. Chaque année, des dizaines de milliers d'animaux sont perdus. Une nouvelle application mobile permet de connecter rapidement les propriétaires de l'animal perdu avec leurs voisins. En France, en 2013, plus de 30.000 animaux ont été déclarés perdus auprès du Fichier National d'Identification des Carnivores Domestiques (I-CAD), sur les plus de 20 millions de chiens, chats, mais aussi furets répertoriés. La moitié d'entre eux disparaissent d'ailleurs l'été, pour des raisons diverses, comme la peur du bruit (fêtes, feux d'artifices), la recherche de partenaire sexuel (période des chaleurs...), perte de repères (lors de déplacements en vacances), etc. 01netTV 19/6/2015 Il est également possible d'enregistrer soi-même des modifications, comme le changement d'adresse (notamment en vacances), le décès... L'I-CAD espère ainsi développer un réseau de signalements, plus simple que les démarches qu'il fallait effectuer auparavant. L'occasion également de souligner l'importance de l'identification de son animal de compagnie, par tatouage ou puce électronique (obligatoire en France, mais souvent négligée). En effet, selon l'I-CAD : "à la seule condition que les coordonnées de son détenteur soient à jour, s'il est identifié, un chien ou un chat a 90% de chances d'être retrouvé et rendu à son propriétaire". À bon entendeur... Adresse / Contacts de l'ICAD : 112-114, Avenue Gabriel Péri 94246 L’Hay les Roses Cedex Tél : 0810 778 778 Site internet : www.i-cad.fr Email : contact@i-cad.fr S & A 3juillet.2015
  6. L'iguane rose des Galápagos, ou iguane terrestre rose des Galápagos, ou encore rosada en espagnol (nom scientifique : Conolophus marthae), est une nouvelle espèce d'iguane terrestre de couleur... rose, et vivant, comme son nom l'indique, aux îles Galápagos, plus précisément sur une partie de l'île Isabella. Il n'a été découvert que très récemment : en 1986. Il a été aperçu pour la première fois sur les pentes du volcan Wolf, au Nord de l'île d'Isabella. Il n'y a pas si longtemps, on ne connaissait que trois espèces d'iguanes aux Galápagos : l'iguane marin (Amblyrynchus cristatus), et les deux espèces d'iguanes terrestres « jaune » : l'iguane terrestre des Galápagos (Conolophus subcristatus) et l'iguane terrestre de Santa Fe (Conolophus pallidus). Un iguane rose photographié par Rimini (cc-sa 3.0) Lors de sa découverte, on ignorait s'il s'agissait d'une anomalie, ou bien d'un hybride entre plusieurs espèces d'iguanes déjà connues, et qui vivent au même endroit. Récemment, en 2009, des scientifiques ont démontré qu'il s'agissait en fait d'une troisième espèce d'iguane terrestre, à laquelle ils ont donné le nom scientifique de Conolophus marthae. L'iguane rose ressemble beaucoup à ses cousins, mais il se reconnaît facilement par la couleur particulière de son corps, rose orné de bandes noires. La tête et les pattes avant sont entièrement roses, des rayures noires couvrent l'arrière de son corps, et se rejoignent pour former un motif. La queue est entièrement noire. On ne sait pas très bien à quoi est due la coloration rose, mais ce phénomène peut probablement s'expliquer au moins en partie par la circulation du sang dans la peau et les écailles. Le dos de l'iguane rose, comme celui de ses cousins, est parcouru par une crête ornée de piquants. En revanche, sur la nuque, l'iguane rose n'a pas de piquants, juste une sorte de bosse arrondie. Parmi les trois, l'iguane terrestre et l'iguane jaune sont plus proches entre eux que de l'iguane rose, qui est semble-t-il l'espèce qui pourrait être apparue en premier... Autrement dit, les premiers iguanes à avoir peuplé les Galápagos pourraient avoir été... roses, et non pas jaunes ! En A et D, iguanes du genre Conolophus photographiés respectivement sur les flancs des volcans Sierra Nerga et Wolf. En B et C, deux spécimens de rosada du volcan Wolf. Crédit : Gabriele Gentile/PNAS Les analyses génétiques révèlent que l'iguane rose est apparu sur les Galápagos il y a très longtemps, alors que la plupart des îles des Galápagos n'étaient même pas encore formées ! Plus étonnant encore, le volcan sur lequel il vit est, au contraire, l'un des plus jeunes de tout l'archipel ! Cela pourrait vouloir dire que, peut-être, l'iguane rose est apparu ailleurs dans l'archipel, et qu'il n'est venu sur ce volcan que plus tard. Il vivait peut-être par le passé ailleurs dans l'archipel, sur une zone plus étendue, d'où il semble avoir disparu... Ou peut-être pas, d'ailleurs, car le fait que l'on ait pas encore trouvé d'iguane rose ailleurs dans les Galápagos ne veut pas dire qu'il n'y en ait pas... Wikidia
  7. Le Gorna (Groupe ornithologique du refuge Nord Alsace) a relâché hier, dans le cadre de la Fête de la Nature, une cigogne noire. L’oiseau était soigné depuis deux ans dans le refuge. Photo DNA Désormais libre, elle migrera vers l’Afrique en septembre. Ses anciens hôtes espèrent bien la voir revenir nicher dans les Vosges du Nord, à proximité du Gorna. DNA 21mai2015
  8. De LP.ca 20mai2015 : Le Bureau américain de la pêche et de la vie sauvage (US Fish and Wildlife Service) a annoncé mercredi que l'ours noir de Louisiane n'était plus en danger d'extinction et a proposé de le retirer de la liste des animaux menacés. «L'ours noir de Louisiane symbolise combien la loi sur les espèces en danger (Endangered Species Act) peut être efficace pour protéger et restaurer les populations d'espèces menacées et en danger», a déclaré la secrétaire à l'Intérieur Sally Jewell. Inspiration du «Teddy Bear», cet ours avait été placé sous la protection de la loi sur les espèces en danger en 1992. PHOTO GERALD HERBERT, AP «À travers le Texas, la Louisiane et le Mississippi nous avons travaillé avec nos partenaires pour protéger et restaurer l'habitat de ces ours, réintroduire leurs populations et réduire les menaces qui pesaient sur eux», a-t-elle ajouté. Inspiration du «Teddy Bear», cet ours avait été placé sous la protection de la loi sur les espèces en danger en 1992. Il s'agit d'une sous-espèce de l'ours noir qui est unique à la Louisiane, l'ouest du Mississippi et l'est du Texas. Cet ours est entré dans la culture populaire américaine en 1902 lors d'une partie de chasse du président Theodore «Teddy» Roosevelt dans le Mississippi. Ce dernier avait refusé de tuer un vieil ours capturé par les organisateurs de la chasse pour éviter que le président ne rentre bredouille. Un dessin humoristique publié dans le Washington Post avait relaté ce geste présidentiel, donnant l'idée au propriétaire d'une confiserie de Brooklyn de créer le personnage de «Teddy Bear» le «nounours» en peluche des enfants américains. La loi sur la protection des espèces en danger a été essentielle pour sauvegarder des animaux et aussi des plantes menacés de disparition depuis plus de quarante ans. La loi a contribué à sauver notamment l'alligator américain, la panthère de Floride, l'aigle chauve, emblème des États-Unis, le pélican brun et la baleine grise. La Presse
  9. Des géographes américains ont exploité 43 années d’observation de la surface de la Terre par les satellites du programme [url=Image du haut : évolution du couvert forestier dans la seule région de République démocratique du Congo (RDC). En bas, agrandissement du détail encadré dans l’image au-dessus. Les cartes ont été créées à partir des données collectées entre 2000 et 2013 et indiquent, selon la couleur, la période où des changements sont intervenus sur les forêts. Joshua Stevens (Nasa Earth Observatory), Global Forest Change, Hansen et al., UMD]Landsat[/url] pour étudier les changements du couvert forestier à travers le monde. Avec l’aide de la puissance de calculs mise à leur disposition par Google, les chercheurs ont élaboré une cartographie complète de la déforestation et de son évolution au fil du temps. Pour étudier et suivre les changements qui s’opèrent à la surface de notre Planète, quoi de mieux que les archives des satellites comme celles de Landsat qui cumulent depuis 43 ans déjà, d’importantes masses de données. Tant et si bien que pas un endroit dans le monde ne lui échappe, en moyenne, une fois par saison ! Capture d'écran de la page Global Forest Change qui publie une carte interactive produite à partir de 43 ans de données collectées par Landsat puis traitées avec l'aide de Google. On y découvre toutes les zones forestières affectées par des changements : incendies, tempêtes, maladies, etc. Les chercheurs ont constaté que « très peu font un cycle de croissance complet en raison des perturbations ». Global Forest Change, Hansen et al. Toutes ces ressources, Matthew Hansen et Sam Goward de l’université du Maryland ont cherché à les exploiter depuis les années 1990 afin d’étudier l’évolution des milieux forestiers. « Nous voulions connaître l’impact des perturbations — agriculture, débroussaillage, incendies, tempêtes — qui modifient les forêts, raconte l’un des deux chercheurs. « Chaque fois que vous dérangez une forêt, cela redémarre le cycle de croissance et lorsque vous faites cela, vous impactez le cycle du carbone. Très peu font un cycle de croissance complet en raison des perturbations, et personne ne connait leurs impacts sur le cycle du carbone. » Cependant, les images en haute résolution étaient rarement accessibles, car très chères, aussi les deux géographes furent-ils contraints de travailler avec des moyens plus modestes pour reconstituer l’évolution des forêts au cours de ces dernières décennies. Cela a changé en 2008, avec les données mises à disposition en accès libre. En association avec Google qui témoignait de la même expertise qu’eux en cartographie, les scientifiques purent alors profiter d’une grande puissance de calculs qui leur faisait défaut depuis des « lustres ». Ce sont ainsi plus de 700.000 « scènes » de Landsat qui furent traitées en prenant soin à chaque fois d’éliminer les pixels où apparaissent des nuages pour ne garder que les plus clairs avec couvert forestier. Cela a demandé un million d’heures avec pas moins de 10.000 unités centrales… « Les analyses auraient pris 15 ans avec un seul ordinateur » souligne Rebecca Moore, programmeuse et cartographe chez Google qui fut la principale interlocutrice de l’équipe dans ce projet que vous pouvez consulter ici. Image du haut : évolution du couvert forestier dans la seule région de République démocratique du Congo (RDC). En bas, agrandissement du détail encadré dans l’image au-dessus. Les cartes ont été créées à partir des données collectées entre 2000 et 2013 et indiquent, selon la couleur, la période où des changements sont intervenus sur les forêts. Joshua Stevens (Nasa Earth Observatory), Global Forest Change, Hansen et al., UMD L’échantillon présenté ci-dessus traduit la situation en République démocratique du Congo (RDC), pays en voie de développement qui, comme beaucoup d’autres, n’a jamais procédé à un inventaire de ses ressources forestières. Les résultats, disent les chercheurs, sont en accord avec d’autres études sur la déforestation : entre 53 et 72 téragrammes de carbone stocké principalement par des arbres ont été perdus entre 2000 et 2010. Sans surprise, « les schémas de déboisement sont regroupés autour des zones à forte densité de population humaine qui, en RDC, ont tendance à être le long des principales voies navigables qui relient les gens et les ressources vitales à la capitale Kinshasa, commente Glenn Bush du Woods Hole research Center, poursuivant « les tâches de la déforestation suivent clairement le fleuve Congo et ses affluents ». NASAEarthObservatory 20mars2015 Earth Observatory qui relate les défis de ce programme scientifique écrit que les auteurs souhaiteraient « créer un système global d’alerte sur les pertes des forêts » et s’occupent par ailleurs à développer des « outils pour distinguer les causes des changements dans les forêts : feux, interventions mécaniques, maladies, tempêtes, etc. ». « Nous avons un produit globalement cohérent, des cartes locales pertinentes qui peuvent être utilisées dans une variété d’applications, souligne Matthew Hansen, comme des estimations des émissions de carbone après une déforestation, des modélisations de la biodiversité, l’évaluation des zones protégées, l’étude de la santé des forêts et des humains ». F - S 9mai2015
  10. Le biologiste Dr. Bill Barklow, est le premier scientifique à avoir découvert le répertoire des sons des hippopotames sous l'eau. rainbowgaiawarrior 5/2/2011 Peter Banza est coordinateur pour le WWF. Son combat à lui, la survie des hippopotames, est pacifique. Il y a trente ans vivait ici la plus grande concentration d'hippopotames du monde. Aujourd'hui, ils ne sont plus que huit cent, alors qu'il y en avait plus de trente mille. Les hippopotames, officiellement protégés, ont été exterminés par l'homme. 450 gardes sans radio, ni jumelles, ni voitures, traquent les braconniers sur un territoire plus grand que la corse. Ils trouvent une dizaine de carcasses d'hippopotames par mois. Les animaux sont abattus pour leur viande ou leur ivoire. Mais en tuant l'hippopotame, l'homme met en jeu sa propre survie. Les premiers concernés sont les pêcheurs du lac. Le volume de la pêche diminue au fur et à mesure que l'hippopotame disparaît. Les hippopotames rejettent dans le lac des excréments. Les poissons, qui les suivent à la trace, se nourrissent de ces déjections, essentielles à leur subsistance. Sans hippopotame, pas de nourriture pour les poissons. Et sans poisson, pas de pêche pour les hommes. L'homme n'est pas supérieur à la nature. Il en fait partie. La chaîne alimentaire était ici parfaite. Jusqu'à ce que l'homme tue l'hippopotame. Il faut donc éloigner l'homme de l'hippopotame. Du fait de la guerre, cent cinquante mille personnes vivent aujourd'hui illégalement sur le territoire du parc. Il faudrait dix ans sans attaque de l'homme pour que la colonie des hippopotames puisse se reconstituer. Et aussi un très beau documentaire à voir ICI : The Hippo supremacy de National Geogrphic. Youtube 29avril2015
  11. Heu, c'est juste bizarre. j'ai appris quelque chose mais j'aime pas du tout ce qu'on voit à la vidéo, même si je sais que c'est la nature qui veut que ça se passe comme ça.
  12. Le crapaud du Suriname (Pipa Pipa) est un amphibien entièrement plat – ce qui lui a d’ailleurs valut son nom, "cerf-volant" en portugais – d’une dizaine de centimètres vivant dans les mares d’Amérique du Sud. Sa particularité : un mode d’incubation qui en feront frissonner plus d’un... Et pour cause, elle a lieu juste sous la peau de la femelle ! bombsonyourmoms 2novembre2009 À la saison des pluies, le mâle crapaud part en quête d’une femelle. Il émet alors des "clics" sonores à l’aide de l’os hyoïde, situé au niveau de son cou. Charmée, la femelle s’approche. Le mâle saute aussitôt sur son dos, l’agrippe solidement et l’accouplement a lieu, dans l’eau. Pendant plus de 12 heures, le mâle et la femelle vont se livrer à des acrobaties avec pour but d’insérer leurs œufs dans le dos de la femelle. Sous l’action d’hormones, la peau de la femelle est devenue plus fine à cet endroit. Hugo Claessen CC BY-SA 2.5 Pendant les longues heures de la copulation, les deux amphibiens vont faire des galipettes. À chacune de ces roulades, la femelle émet quelques œufs que le mâle fertilise. Il les glisse ensuite jusqu’au dos de sa compagne où il les insère. Au total, une centaine d’œufs seront implantés. Après l’accouplement, la peau les recouvrira progressivement, jusqu’à les rendre invisibles. 4 mois après l’implantation sous-cutanée, les petits sortent enfin. À force de mouvements, ils se frayent un chemin hors de leur loge de chair. Mais ils n’en émergent pas au stade de têtards. Ils sont déjà formés. Des Crapauds du Suriname miniatures indépendants, qui reprennent leur liberté à la sortie du corps de leur mère. Ce mode d’incubation présente de ce fait un avantage non négligeable : les têtards échappent à toute prédation, abrités dans le dos de leur mère. Elle-même, pour ne pas mettre en danger sa couvée se fait discrète, pendant toute la durée de l’incubation. Pipa pipa a le corps aplati, de couleur brune ou olivâtre, et couvert de nombreux petits tubercules. Sa tête est grande, triangulaire et dotée de petits yeux à pupille ronde. Les narines sont situées à l'extrémité de deux tubes courts et étroits portés par le museau. La femelle pourrait mesurer jusqu'à 20 cm, soit 5 cm de plus que le mâle qui peut mesurer jusqu'à 15 cm. Sa longévité serait autour de 8 ans. Cette espèce est endémique du Nord de l'Amérique du Sud. Elle se rencontre jusqu'à 400 m d'altitude en Bolivie, au Brésil, en Colombie, en Équateur, en Guyane, au Guyana, au Pérou, au Suriname, sur l'île de Trinité à Trinité-et-Tobago et au Venezuela. Elle vit sur le fond boueux des rivières et canaux tropicaux. Pipa pipa en captivité. Pouzin Olivier CC BY-SA 3.0 Pipa pipa est un animal solitaire, sauf au cours de la reproduction, et exclusivement aquatique. Cependant, il vit en communauté s'il est en captivité. Cette espèce se nourrit de poisson et surtout de crustacés, qu'elle détecte au toucher grâce à des organes en forme d’étoile situés sur le bout de ses doigts. Elle est ovipare et peut avoir en tout près de 100 œufs. Ceux-ci sont incubés sur le dos de leur mère, dans lequel ils sont enclos par un repli de la peau. Les têtards ne sont pas relâchés : les petites Pipa pipa sortent après 3 à 4 mois déjà métamorphosées du dos de leur mère, et mesurant environ 2 cm. Wikipedia S & A 21AVRIL2015
  13. Mon chat il préfère boire au robinet. Dès fois il se sert de sa patte pour attraper l'eau, dès fois il boit directement au robinet. Et aussi les chats de mamie, il y en a qui boivent au robinet. Et il y en a surtout un quand il boit dans son bol d'eau, il en met partout parce que il met d'abord la patte dedans. Maintenant c'est un bol en inox, mais avant c'était dans une gamelle en plastique dur et bleu et il faisait quand même pareil.
  14. Ce chat peut sembler paresseux mais cette technique cache un problème de vision féline ! Au lieu de boire directement dans sa gamelle, ce chat utilise sa patte pour boire... Paresseux ? Pas vraiment car cette technique pallie en réalité un problème de vision. Les chats ont une bonne vue, même de nuit, mais ils voient difficilement à 10 centimètres de leur museau (ils sont myopes). Comme l'explique Daniel Filion, consultant en comportement félin sur sa page Facebook, les chats ont donc des difficultés à évaluer la distance entre la gamelle d'eau et leur museau lorsqu'ils lapent. Wael Malek 5février2015 Dans le cas de ce chat, la tâche est encore plus ardue : son bol est en inox. Or, ce matériau reflète parfois la lumière, rendant la distance museau-eau encore plus approximative. Il est préférable d'utiliser un matériau tel la céramique qui limite les reflets. De ce fait, certains félins n'hésitent pas à utiliser leur patte, soit pour faire des vagues à la surface de l'eau avant de boire pour analyser la distance, soit pour directement amener l'eau à leur bouche. Alliant l'utile à l'agréable, ce chat s'est donc allongé à côté de sa gamelle pour boire. S & A 21avril2015
  15. Je trouve que cette dame a bien fait de tout faire pour sauver ces hérissons. Il n'y a pas beaucoup de gens qui le savent, mais le hérisson est une espèce protégée en France.
  16. À Ivry-sur-Seine, la construction d'un complexe immobilier de 99 logements a été retardée, le temps d'évacuer les hérissons présents sur le site. Un hérisson. Gibe, ccby-sa3.0 À Ivry-sur-Seine, dans le Val-de-Marne, les hérissons ont eu raison d'un promoteur immobilier. La construction du projet Lamant-Coutant, qui prévoit la création de 99 logements, un parking ou des jardins partagés, a été retardée d'un mois pour empêcher la mort des bêtes, rapporte Le Parisien. Ce sont les habitants des environs qui ont tiré la sonnette d'alarme. Peu avant les travaux, Danielle, une riveraine du quartier, remarque la "présence probable, mais pas certaine", avant de confier "en avoir vu plusieurs fois. Ils sortent à la nuit tombée et mangent les escargots sur les trottoirs". Perturbée par le danger qui menace les hérissons très vulnérables en période d'hibernation, la femme demande secours à la Fondation assistance aux animaux. Ensemble, ils envoient le 24 avril 2014 un courrier à la mairie d'Ivry, resté "sans suite". Alors que s'approche le début des travaux, l'Ivryenne, déterminée, saisit l'association Stéphane Lamart, spécialiste de la "défense des droits des animaux". Le 10 mars 2015, la société Infinim, à l'origine du projet immobilier, se voit rappeler que "la loi interdit la perturbation intentionnelle des hérissons dans le milieu naturel". L'entreprise répond favorablement et repousse le démarrage du gros oeuvre. D'ici là, une opération a été lancée pour recueillir la dizaine de bêtes qui seront placées dans le Sanctuaire des hérissons de la ville. Le hérisson est un petit mammifère insectivore disposant de poils agglomérés, durs, hérissés et piquants. Ce nom dérive du latin ericius. Les espèces les plus connues des francophones sont le hérisson commun (Erinaceus europaeus) et le Hérisson oriental (Erinaceus concolor). La femelle du hérisson est appelée la « hérissonne ». Ce hérisson est répandu en Europe, y compris la Russie d'Europe, sauf le grand Nord, ainsi qu'en Turquie et dans le Caucase. En Europe, c'est une espèce protégée par la Convention de Berne et en France, par l’arrêté du 23 avril 2007. Jeune hérisson européen. Lars Karlsson CC BY-SA 2.5 Le corps, long de 20 à 30 cm, haut de 12 à 15 cm, est recouvert de poils qui se renouvellent de manière continue. Du front jusqu'aux flancs, ils sont recouverts d'une sorte de membrane à la naissance, puis percés en quelques heures. Souples et blanches chez le jeune hérisson, elles tombent et sont remplacées par des piquants creux plus résistants de 2 à 3 cm qui poussent et se renouvellent sur une durée de 18 mois environ. Le hérisson adulte possède entre 5 000 et 7 500 piquants. Ce sont en fait des poils de 2 à 3 cm de long, de couleur variable, à la base généralement brune. Ils sortent de la peau par trois, chacun dans une direction différente. Creux en leur centre, donc très légers, ils présentent une cannelure externe qui renforce leur solidité et les rend pratiquement indéformables et incassables. Ils sont coudés à la racine, et peuvent par conséquent être pliés ou dépliés sur le corps de l'animal par des muscles striés situés le long du corps. Le hérisson Européen hiberne. Au début de l'automne, il prépare un nid garni de feuilles mortes puis se roule en boule et s'endort d'un profond sommeil entrecoupé de brefs réveils. Cet hibernant utilise alors 30 % des réserves de graisses accumulées dans son corps au cours de la belle saison. Durant son sommeil, la température du hérisson peut chuter de 20 °C. C'est pourquoi il doit se réveiller au moins une fois toutes les semaines pour éliminer l'acidose qui s'installe durant ses hypothermies. Cependant, à chaque réveil, sa température remonte à la normale, ce qui a pour effet de réduire considérablement ses réserves de graisses. Lorsque sa réserve de graisse devient trop basse, le hérisson doit impérativement reprendre une vie normale, quelle que soit la météo et la température, et trouver de la nourriture, sous peine de mort. Le hérisson se réveillant pendant l'hiver, il faut donc lui laisser de la nourriture à disposition toute l'année (N.B. : contrairement aux oiseaux, qui ne doivent être nourris qu'en hiver, il n'y a aucun risque que le hérisson cesse de chasser puisqu'il préférera toujours sa nourriture naturelle). Pour le nourrir, il faut construire un petit abri dans lequel lui-seul pourra entrer Le hérisson est un animal semi-nocturne. Dès le crépuscule, il cherche sa nourriture composée d'insectes, de vers, d'escargots, de limaces, d'œufs, de fruits et de baies. Il est à ce titre un auxiliaire de tout premier plan pour les jardiniers. Il s'attaque parfois aux serpents, lézards, rongeurs, batraciens, oiseaux nichant à terre. Il passe la journée à dormir (environ 18 heures par jour) dans un gîte qu'il aménage avec des feuilles, ou sous un buisson, et ne sort pas en plein jour. Le hérisson ayant une vue très basse, il se sert surtout de son odorat et de son ouïe fine pour chasser. Il est par exemple capable d'entendre un ver de terre se glissant sous les feuilles mortes. Contrairement à une idée répandue, les hérissons ne supportent pas le pain ou le lait de vache qui leur donne des diarrhées mortelles. En cas de nécessité il convient de les abreuver avec de l'eau et de leur offrir de la nourriture pour chat ou chiot. Hérisson commun en milieu naturel. Jörg Hempel CC BY-SA 2.0-de Cet animal, aux mœurs nocturnes, se déplace beaucoup mais, en cas de danger, s'immobilise et se roule en boule en hérissant ses piquants. À la moindre alerte ou bruit suspect, il dresse ses épines très rapidement. Si la menace se précise, il penche sa tête en avant et protège sa tête et ses pattes. À ce stade il n'est pas encore complètement en boule, car il doit continuer de surveiller ce qui se passe. Il ne se met en boule que quand on le touche et peut rester dans cette position pendant des heures sans la moindre fatigue. À ce stade, la tête dépasse encore de la boule d'épines, mais se trouve contre le sol, donc inaccessible. Si on le retourne, alors il rentre sa tête très rapidement. Les renards ou les chiens (principaux prédateurs) profitent de ce laps de temps très court pour essayer de le mordre à la tête ou au cou avant que la bête ait le temps de refermer son armure. Le hérisson habite un terrier ou un tronc d'arbre. Chaque hérisson a son territoire, ce qui justifie les combats entre eux lors des saisons des amours. Pendant l'hivernation, il abrite le même terrier et le change à sa façon. Sa durée de vie moyenne dans la nature est de 2 à 3 ans mais passe à 8 ans en captivité (10 ans étant sa durée de vie maximum). Les maltraitances envers ces animaux peuvent être signalées à l'association « le Sanctuaire des Hérissons » qui se charge de porter plainte, y compris lorsque les auteurs des faits sont inconnus. Voir ICI la page Facebook du sanctuaire. Comme l'a rappelé Edouard6, le hérisson est une espèce protégée sur la totalité du territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux mammifères protégés sur l'ensemble du territoire. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever ou de le naturaliser. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le mettre en vente, de le vendre ou de l'acheter. Il est inscrit à l'annexe III18 de la convention de Berne. Wikipedia LePoint12avril2015
  17. J'ai déjà lu qu'un lionceau blanc pouvait naître d'un couple de lions normaux et que ça arrive quand un des deux parents à un gène (je sais plus lequel) qui favorise un pelage blanc ou du, moins, plus clair que la normale. J'en ai vu au parc des félins. Par contre je suis totalement contre de modifier génétiquement un animal pour s'enrichir et je trouve aussi débiles les gens qui paient pour tuer des animaux, histoire de se la raconter... Ils n'ont qu'à donner leur argent à des gens qui en ont besoin ou à des associations qui protègent les animaux. Voilà ce que j'avais à dire.
  18. Un événement rare. Un petit lion blanc aux yeux bleus est né dans le zoo de Beto Carrero World (Etat de Santa Catarina, Brésil), rapporte le Globo (en portugais), dimanche 15 mars. Dans le monde, il n'y aurait que 300 lions blancs et ce lionceau, né de parents venus d'Afrique du Sud, serait le premier à voir le jour au Brésil. Sky News 17 mars 2015 Seulement, après avoir vu le jour, il a été rejeté par sa mère. Ce sont donc des spécialistes qui s'occupent de l'élever, comme le montrent ces images reprises par la télévision américaine Sky News. "Il s'agit d'un comportement relativement fréquent en captivité, notamment pour une première naissance, les mères trouvant dangereux d'élever leur progéniture en captivité", explique Le Parisien. Les lions blancs sont très rares et prisés des chasseurs de trophées. Dans des réserves de chasse en Afrique du Sud, certains paient 30 000 dollars pour abattre ces animaux spécialement modifiés génétiquement, relatait Bloomberg. FTVI 17MARS2015
  19. Un éléphant, ça trempe énormément. "Double Trouble" ("Double Problème") est un éléphanteau facétieux. Au Royal Elephant Kraal and Village, à Ayutthaya, non loin de Bangkok, en Thaïlande, l'animal a voulu profiter de son bain pour s'amuser un peu, montre cette vidéo publiée jeudi 12 mars. Alors qu'il est arrosé par des visiteurs, il entre et sort de la baignoire en éclaboussant le plus possible. Il met même la tête sous l'eau après avoir maladroitement tenté d'entrer dans le bain. A la fin de la vidéo, il emporte un tuyau d'arrosage dans son sillage, manquant de renverser une petite fille. Claus Jørgensen 12 mars 2015 Cette vidéo a été publiée par Elephantsay, une ONG qui exploite un parc consacré aux éléphants et qui se vante de les protéger. Elle recueille notamment de vieux éléphants à leur retraite et propose à des touristes d'aller à leur rencontre. FTVI 17MARS2015
  20. Des chercheurs français ont mis en évidence que les juments sont plus attirées par les étalons à la voix grave. Mieux, les scientifiques ont découvert pourquoi. Un étalon à la voix grave, signe de fertilité, attire plus les juments. ARDEA/MARY EVANS/SIPA Même si la plupart des reproductions équines sont dues aujourd'hui à des inséminations artificielles (38% des saillies réalisées en France en 2014) et la "monte en main" où l'étalon et la jument sont tenus en bride par l'homme (34%), la monte en liberté perdure, en particulier au sein des troupeaux sauvages ou semi-sauvages. La jument a alors le choix entre plusieurs étalons. Des chercheurs de l'Université de Rennes 1 ont montré, lors d'un test simple, qu'elle choisit alors généralement l'étalon qui a la voix la plus grave. Ainsi, une jument pouvant aller soit vers un hennissement aigu (à gauche), soit vers un hennissement grave (à droite), se dirigeait clairement vers ce dernier (à droite). Mais leurs résultats, publiés le 25 février 2015 dans la revue Plos One, ne s'arrêtent pas là. Ils révèlent également la raison de ce choix : les étalons à la voix grave sont plus fertiles. En effet, les chercheurs de l’UMR EthoS (Éthologie animale et humaine, CNRS/université de Rennes 1), ont découvert que la voix des étalons était en lien avec leur succès reproducteur (nombre de naissances par rapport au nombre de saillies). La voix de 15 étalons reproducteurs d’âge et de race variés ont été enregistrées alors qu’ils voyaient une jument à distance. Leur voix a été analysée et comparée d’une part à des données de qualité du sperme et d'autre part aux données de succès de reproduction sur plusieurs années, issues de la base de données de l’Institut français du cheval et de l’équitation (IFCE). Ainsi, les étalons à la voix graves se sont révélés être à l'origine de davantage de gestations réussies. S et A 4mars2015
  21. Les chevaux sont originaires du sous-continent indien : c'est ce que révèlent de nouveaux fossiles découverts dans une mine de charbon. Les chevaux comme les rhinocéros ou les tapirs appartiennent à l'ordre des périssodactyles. Ils ont la particularité d'avoir un nombre impair de doigts au niveau de leurs membres postérieurs ainsi qu'un système digestif particulier. Les ancêtres de tous ces animaux se sont probablement côtoyés sur la péninsule indienne, quand elle n'était pas encore accrochée à l'Asie. Dessin d'artiste représentant Cambaytherium thewissi. Elaine Kasmer C'est dans une mine de charbon à ciel ouvert au Nord-ouest de Mumbai que des paléontologues de la [b]Johns Hopkins School of Medicine ont découvert plus de deux cent os fossilisés appartenant à plusieurs animaux d'une même espèce : Cambaytherium thewissi[/b]. Les datations ont donné un âge d'environ 54,5 millions d'années pour ces os. Cet animal très mal connu jusqu'alors constitue selon les spécialistes un chaînon manquant entre les périssodactyles et des animaux plus primitifs encore. "Ceci est l'animal le plus proche que nous ayons trouvé de l'ancêtre commun de l'ordre des Perissodactylas" explique Kenneth Rose, principal auteur de l'étude. Cela confirme l'hypothèse que les chevaux ou du moins leurs ancêtres sont originaires d'Inde. La découverte de ces fossiles illustre également l'histoire tectonique de l'Inde. La péninsule indienne était autrefois rattachée à Madagascar mais elle s'est détachée et s'est déplacée jusqu'à entrer en collision avec le continent asiatique. Des études précédentes avait fait de l'Inde isolée le berceau des primates et des ongulés. "Cambaytherium est la première preuve concrète à l'appui de cette idée. Mais l'histoire n'est pas si simple" souligne Kenneth Rose. En effet, à l'époque où vivait Cambaytherium, l'Inde était une île, mais elle abritait aussi des primates et un rongeur dont on a retrouvé la trace en Europe. "Une explication possible est que l'Inde passa près de la péninsule arabique ou de la corne de l'Afrique et qu'un pont de terre a temporairement relié les deux ce qui a permis aux animaux de migrer. Mais Cambaytherium étant unique cela suggère que l'Inde a été isolée pendant un certain temps" conclut le chercheur. S et A 23novembre2014
  22. La ville de Purmerend a conseillé à ses habitants de ne sortir la nuit qu'armés de parapluies pour se protéger du rapace, qui a déjà blessé plusieurs personnes. Purmerend, aux Pays-Bas, a des allures de Bodega Bay, la petite ville californienne où se déroule le film Les Oiseaux, d'Alfred Hitchcock. En effet, la ville néerlandaise est hantée par les attaques d'un mystérieux hibou. A tel point que la municipalité a conseillé à ses habitants de ne sortir la nuit qu'armés de parapluies pour se protéger du rapace. Un hibou grand-duc, en Allemagne, le 26 août 2014. (ROSL ROESSNER / BIA / MINDEN PICTURES / AFP) Depuis trois semaines, une douzaine d'habitants de Purmerend, au nord d'Amsterdam, ont été attaqués par ce hibou grand-duc (l'une des plus grandes espèces de hibou, avec une envergure pouvant aller jusqu'à 1,80 mètre et un poids jusqu'à trois kilos). Certains d'entre eux ont même dû être emmenés à l'hôpital. Le dernier assaut date de mardi 24 février dans la soirée. Deux membres d'un club d'athlétisme local ont été attaqués alors qu'ils couraient sur la piste. Un des deux coureurs a eu besoin de points de suture pour certaines des six blessures à la tête causées par les serres du rapace. Conséquence : le club a annulé tous les entraînements jusqu'à nouvel ordre. Plus loin, des résidents et des employés d'un centre pour handicapés ont subi au moins 15 attaques, selon la porte-parole de l'établissement. Elle a expliqué : "Pendant la journée, il n'y a pas de problème, mais la nuit, nous ne nous aventurons dehors qu'armés de parapluies, casques et chapeaux." "Le problème, c'est que l'on n'entend pas le hibou avant qu'il frappe, et ses serres sont aiguisées comme des rasoirs, a-t-elle ajouté : Nous espérons que la municipalité va vite attraper cet oiseau". La municipalité assure de son côté qu'elle tente de trouver une solution : "Nous voulons attraper le hibou car nos habitants sont en danger", a-t-elle indiqué sur son site internet, notant toutefois que le hibou grand-duc est une espèce protégée (et dont le nombre d'individus de ne cesse de diminuer) et qu'un permis spécial est nécessaire pour capturer un spécimen. "Ces procédures peuvent prendre du temps. (...) Entre-temps, nous conseillons aux gens de rester éloignés du hibou." Gejo Wassink, de la Fondation néerlandaise OWN pour la protection des hiboux, a soutenu que le comportement de l'animal en question est inhabituel : "Soit le hibou a été élevé en captivité puis relâché, et il associe maintenant les humains à la nourriture, ce qui impliquerait qu'il n'a pas l'intention d'attaquer les gens. (...) Ou alors, il peut avoir un niveau d'hormones élevé vu que la saison de reproduction débute, et du coup, il défend son territoire." FTVI 25février2015
  23. Dans une ville de Floride, un ours a été aperçu près des maisons certainement pour trouver de quoi manger. Des résidents ont appelé la police qui a décidé d'éloigner l'ours de peur qu'il ne représente un danger. Photo de l'ours dans l'entrée d'une maison. Mais l'ours a eu peur et il a commencé à s'enfuir en se dirigeant vers l'eau. C'est à ce moment-là qu'il a été atteint d'une fléchette tranquillisante. L'ours se sauve eeffrayé alors qu'il a été touché par une flèche anesthésiante (le point jaune sur le flanc ggauche de l'ours) Bien que le produit commence à faire effet, l'ours à continuer à avancer dans l'eau. Il a commencé à tituber mais a continué. L'ours avance dans l'océan après avoir reçu une flèche anesthésiante. Heureusement pour lui, un spectateur, Adam Warwick qui travaille au sein de la Wildlife Service a vu la scène et a compris que l'ours risquait de se noyer si rien n'était fait. Alors, sans plus réfléchir, il a sauté à l'eau pour aider l'ours. Adam Warwick saute à l'eau pour aider l'ours. Il l'a même ramené sur le bord du rivage où il a ensuite été pris en charge et, après une inspection de routine pour vérifier son état de santé, il a été ramené dans la forêt proche. Adam Warwick aide l'animal à regagner le bord du rivage. Il a fallu utiliser un engin de chantier pour hisser l'ours pour pouvoir le transporter, dans un véhicule et lui faire regagner la forêt. L'ours remis de ses émotions et les effets de l'anesthésiant. Real Thing TV 29juillet2014 DOSE.COM 23JUILLET2015 (traduit par ma maman) Photos non taguées sur le site de Dose. Il y a plein d'autres photos à voir.
  24. Je m'intéresse au monde animal depuis longtemps. J'apprécie les chats en particulier mais tous les animaux (sauf les araignées et certains insectes re ) me fascinent. Et comme j'aime aussi la nature, cette vidéo m'a plu, alors je vous la fait connaître. CINE+ 2octobre 2014 Bon j'avoue que je n'aime pas les scènes quand un prédateur tue un autre animal pour se nourrir, surtout un bébé, mais c'est la nature qui est comme ça, alors il faut l'accepter. Et puis nous, on tue aussi des animaux pour nous nourrir. Mais quand même on en tue plus que c'est nécessaire alors que les animaux ils prennent juste ce qu'ils ont besoin pour vivre. YOUTUE / CINE+ 1FEVRIER2014
  25. Une équipe d'océanographes et de géologues ont pris la mer pour étudier la formation du tsunami qui a ravagé les côtes japonaises le 11 mars 2011. CINE+ 2 octobre 2014 Pendant quatre semaines, le Sonne, un navire d'exploration scientifique, a croisé au large des côtes de Tohoku. À bord de ce laboratoire flottant, vingt chercheurs allemands et japonais sont paris pour une mission : analyser comment le déplacement du plancher océanique provoqué par un séisme a déclenché le tsunami dévastateur. YOUTUBE / CINE+
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