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Équipe d'administration-calomania

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Tout ce qui a été posté par Équipe d'administration-calomania

  1. Équipe d'administration-calomania

    Bonjour

    loooooooooooooooooooool Pas le droit ? Tu paries ??? :bonj:
  2. Équipe d'administration-calomania

    Bonjour

    Bonjour Playboy ! Nous avions que c'était toi, mais nous voulions savoir où tu irais encore4 une fois dans tes mensonges !! Éleveur, toi ??? Je transmets tous tes messages à Fred, afin qu'il soit bien au courant de ce que tu es capable de faire. Et .... je pense que nos représailles vont aller maintenant plus loin qu'une simple exclusion du forum.
  3. Ma tite Charlotte .... je viens de faire le compte et nous ne serons que 15 ... Bien sûr j'amène Gamin, mais il reste de la place dans le bol, d'après la photo ...
  4. Merci, Charlotte et Bambou !!! :coeur2:
  5. Alors, que ceux et celles qui n'ont pas compris lèvent le doigt ...... pour qu'on sache à qui on à affaire !!! Merci Charlotte. Ça c'est de l'explication ! :coeur2:
  6. Ah !! Ça c'est une bonne nouvelle !! Encore, encore ... :bonj: :coeur2:
  7. looooool Vous êtes tous comme des enfants devant un gâteau !!!! Je vous adore !!! :coeur2:
  8. Ils sont magnifiques, Lora ! Je comprends ton attachement pour celui qui est parti. C'est vrai qu'un chien peut devenir beaucoup plus qu'un animal pour nous. Ta façon d'en parler m'a touchée. :coeur2:
  9. Ah !! Mes deux p'tits bouffeux de facteur !!!!! loooool Sont beaux, sont beaux !! :coeur2:
  10. Bonjour Moikago !! Ce n'est pas de ta faute ... Nous t'attendions !! :coeur2:
  11. Bonjour Lora ! Toutes les maladies ne sont pas contagieuses et la petite peut trés bien être la seule malade. Personnellement, je pensais à une ponte prochaine mais, si c'est le cas, il pourrait s'agir d'un oeuf retenu. Je pense que seul un vétérinaire pourrait t'en dire plus Donne-nous des nouvelles.
  12. Je souhaite que les auteurs de cet acte odieux reçoivent une sentence exemplaire ... Il est temps ! :coeur2:
  13. Je laisse ce débat ouvert 2 jours de plus ..... La devise du forum a été respectée : aider dans le respect et la bonne humeur .... c'est ce que nous avons fait dans ce débat dont le sujet, d'habitude, attise un peu trop les esprits !! Encore merci à vous !! Je fermerai vendredi.
  14. Allô ! On n'en met jamais trop quand il s'agit de nos animaux ! Une belle ribambelle de copains à poils et à plumes ! Hnokki a eu son jour de chance lorsque tu l'as découvert ! Ils est tellement beau ! Merci à toi de les partager un peu avec nous ! :coeur2:
  15. Merci Bambou !! Tu as l'air de bien connaître les ondulées, c'est rassurant !
  16. Les perroquets heureux n’ont pas d’histoire 1008mots par Christiane Grégoire, cofondatrice de l’AQAP - Juillet 1998 En hommage à tous les passionnés de perroquets pour qui le feu de cette passion brûle toujours et encore. On entend trop souvent, malheureusement, des histoires d’horreur à propos de perroquets de compagnie opprimés, maltraités ou carrément abandonnés. Comment encore s’en surprendre ? Lisez-vous les journaux ? Écoutez-vous les nouvelles à la télé ? Quelqu’un a déjà dit que “la manière dont sont traités les animaux est le reflet d’une société”. Pas toujours brillant, le reflet ! Sans pour autant minimiser les conséquences terribles d’actes odieux commis tous les jours en ce bas monde, j’aimerais néanmoins ici rendre hommage à tous les gens bien ordinaires, sans histoire, qui partagent leur vie avec un ou des perroquets et leur vouent un amour et une passion souvent jugés irraisonnés par leur proches. J’ai eu la chance, et le privilège, à maintes reprises, d’être le témoin de leur dévouement à l’égard de leurs compagnons à plumes et je me sens, à chaque fois, émue et remplie de joie. Ça me fait toujours l’effet d’un baume au cœur et, dans ces moments-là, je me réconcilie alors, un tant soit peu, avec la catégorie d’êtres, sur cette planète, qu’on dénomme humains. Ces perroquets heureux et sans histoire vivent une petite vie bien tranquille, ou quelquefois plus olé olé, auprès de leurs humains adorés, ces “serviteurs sur deux pattes”, qui ne connaissent jamais la quiétude. Ces humains adorés sont tantôt des célibataires endurcis, tantôt des personnes plus âgées, des familles grouillantes de jeunes marmots ou encore des personnes handicapées, des rescapés de la vie ou des gens plus fortunés, et toute cette mosaïque humaine partage une passion pour le moins exigeante, très accaparante mais ô combien enivrante ! l’amour des perroquets. Ces humains sont tous unis dans les mêmes joies et par les mêmes préoccupations. Ils ne donnent que le meilleur d’eux-mêmes, chacun selon ses moyens, afin d’offrir à leurs protégés une vie heureuse, remplie d’aventures excitantes ! Ils lisent, se renseignent, déploient des trésors d’imagination pour bien socialiser, éduquer, divertir, nourrir, entretenir et soigner leurs compagnons de vie à plumes. Le seul objectif de varier le menu, par exemple, devient une mission en soi. La quête de fruits et de légumes exotiques, le mélange savant de céréales, de graines et de noix, le raffinement dans la présentation du festin : haché, râpé, en bâtonnets, en cubes ou en rondelles, l’agencement des couleurs : un peu de vert par ci, du jaune, puis un peu de rouge par là, l’équilibre diététique par des jongleries avec les vitamines, les protéines, les minéraux et les autres éléments essentiels, tout cela est un art constamment perfectionné par les passionnés de perroquets. Pourtant, chaque jour, l’humain adoré et dévot assiste impuissant à l’apothéose invariable de ce rituel : tout se retrouve sur le plancher et sur les murs avoisinant les quartiers des volatiles, parfois intouché ! Qu’importe ! Le perroquet est heureux. Il développe sa curiosité, enrichit son répertoire de sensations gustatives et tactiles, et ... l’humain “est aux p’tits oiseaux” ! Une autre mission, toute aussi importante, requiert quotidiennement la vigilance des amants des psittacidés : le divertissement. À ce chapitre, très nombreuses les heures passées à fabriquer, à recycler et à transformer des jouets suscitant curiosité et habileté. Très nombreux, les dollars dépensés à l’acquisition de cages, de perchoirs et de parcs d’amusement pour améliorer et rendre plus stimulant l’environnement de leurs compagnons ailés. Pourtant, chaque jour, les vestiges de ces merveilleux jouets jonchent les fonds de cage. D’innombrables particules de plastique non toxique, de carton déchiré et de bois grugé sont éparpillés, des perchoirs souillés et des cordes de coton effilochées. Qu’importe ! Le perroquet est heureux. Il continue de satisfaire sa curiosité innée, d’apprivoiser ses craintes, d’augmenter sa confiance en ses moyens, d’acquérir une saine indépendance et d’enrichir son répertoire de sensations tactiles, et ... l’humain “est aux p’tits oiseaux” ! On pourrait décrire ainsi beaucoup d’autres missions dont les humains passionnés de perroquets choisissent de s’acquitter tous les jours avec amour et constance auprès de leurs perroquets compagnons. Au risque d’allonger quelque peu ce texte, on ne peut cependant passer sous silence la mission de la bonne compagnie. Un perroquet heureux est le plus merveilleux compagnon ! Ses pirouettes, ses facéties, ses reparties, souvent à propos, lorsqu’on a la chance d’avoir un bon parleur, ses marques d’affection, en certaines occasions un peu trop débordantes, et même, parfois, son sale caractère des mauvais jours, illuminent et pimentent la vie de tous les jours. L’apanage des perroquets heureux est qu’ils sont partie intégrante de la vie de leurs humains. Ils jouissent, même surveillés, de moments de liberté fréquents dans la maison, ils partagent quelquefois, le plus souvent possible, des repas en famille, ils profitent, par beau temps, de sorties à l’extérieur sécuritaires, la possibilité d’une bonne douche ou d’un bain leur est offerte régulièrement, c’est blottis contre leurs humains chéris qu’ils visionnent un bon film ou écoutent de la musique, on les laisse enjôler ou réprimander, à leur gré et selon leurs humeurs, les enfants, le chien, le chat et, de temps à autre, c’est en s’époumonant à qui mieux mieux qu’ils agressent violemment les fragiles oreilles humaines. Qu’importe ! Le perroquet est heureux ! Il partage votre vie, il fait partie de votre monde, il se sent aimé et ... l’humain “est aux p’tits oiseaux”. Tous les humains, qui partagent leur vie avec des perroquets, connaissent très bien ces scénarios. Ce qui en fait des êtres hors du commun cependant, (ou masochistes ?) est la joie qu’ils éprouvent à prodiguer à leurs compagnons à plumes, non seulement le meilleur en tout mais surtout le meilleur d’eux-mêmes. Ainsi, au fil des mois et des années, qui sont parfois nombreuses, une merveilleuse complicité se développe, un amour inconditionnel, de part et d’autre, s’installe et une relation privilégiée se vit, au jour le jour, et “"... au bout du compte, on se rend compte ..." que les perroquets heureux n’ont pas d’histoire”.
  17. La cage et la maison Ce fait vécu m’a toujours émue et m’émeut à chaque fois que je le relis. Pour tous ceux et celles qui n’ont jamais lu ce fait émouvant, j’aimerais le partager avec vous ; le ! Tiré du Journal de Montréal, le 16 mai 1998. Texte intégral. Page 6- Collaboration spéciale de Pierre Bourgault J’ai perdu mon Isabelle. Elle est morte lundi dernier, pendant La fin du monde est à sept heures. Il y a la grande fin du monde, qui n’arrive jamais, et il y a toutes ces petites fins du monde qui nous bouleversent et nous laissent sans voix. Isabelle était un perroquet, un gris d’Afrique. De tous les perroquets, c’est celui qui parle le plus. On dit qu’il peut accéder à un vocabulaire de près de mille mots, soit plus qu’un Québécois moyen. Isabelle parlait beaucoup. Elle disait : « Qu’est-ce que tu racontes, ma beauté d’amour? » Ou encore : « Je veux un beau champignon. » Elle parlait au téléphone et raccrochait à la fin de la conversation. Elle toussait comme moi et elle criait « quel con ! » quand elle pensait à Franco. Lorsque Beau Bonhomme ( mon chien ) se dirigeait vers la porte arrière, elle disait : « Tu veux aller dehors ? » Parfois, elle se retrouvait quelque part dans l’appartement et, pour m’avertir de sa position, elle murmurait : « Viens mon petit bébé. » « Quelle salope ! » C’est la première fois qu’elle avait fugué ... Ne la retrouvant pas, je partis à sa recherche en l’appelant ainsi. Elle chantait Au clair de la lune aussi mal que moi. À ma grande honte, elle disait aussi « Quelle salope ! » et, consciente que cela m’indisposait, elle s’amusait à le répéter sans cesse. Tout un moineau que ce perroquet… Elle hurlait comme toutes les sirènes qu’elle entendait et, quand elle lançait ses grands cris de la jungle, elle mettait toute la maisonnée en émoi. Isabelle était belle, tout habillée de gris et de rouge. Elle avait une présence redoutable et exigeait toutes les attentions. Elle m’a vite appris que les oiseaux sont sans doute plus intelligents qu’ont le croit. Isabelle est morte lundi. Jamais je n’aurais cru que j’allais, une fois dans ma vie, pleurer la mort d’un oiseau. Elle est morte très vite, en moins de trente secondes. Quelques petits spasmes, un cri étouffé et c’était fini. Je l’ai caressée, je l’ai un peu bousculée pour tenter de la ramener à la vie. Mais c’était fini. Je ne m’en suis toujours pas tout à fait remis. Amour-haine Nous avions une relation amour-haine qui nous rendait indispensables l’un à l’autre. Quand elle est entrée chez moi, elle était d’une douceur et d’une drôlerie merveilleuses. Je pouvais la caresser à qui mieux mieux et elle se couchait sur le dos dans ma main. Elle montait sur mes doigts sans réticence et me mordait un peu, juste pour le plaisir. Puis, un jour, la vie a changé. Par ma faute. Parce que je ne connaissais pas mon oiseau. Un soir qu’elle était sur sa cage, je voulus la faire entrer à l’intérieur la nuit venue. Comme elle refusait, je l’y ai entrée de force. Ce ne fut plus jamais comme avant. Dès lors, nos rapports furent plus difficiles et, jusqu'à sa mort, elle s’est souvenue de cet incident fâcheux. J’avais appris trop tard que, la nuit venue, elle entrait tout simplement dans sa cage, pour y dormir, comme on entre à la maison. La leçon…. Mais elle m’avait donné une leçon que je n’oublierai jamais. C’est tout simple : il suffit de laisser la porte ouverte pour que la cage devienne maison. Sa maison est vide aujourd’hui. La mienne aussi. Mais la porte est ouverte. Texte repris par : Huguette Lalonde
  18. Oui, Teatime !!! Ils ont la vie dure, hein ??? Françoise, tu as quelque chose contre la voix de mon Gamin ??? Fô qu'il s'exprime, ce petit !! :coeur2:
  19. Dendy ... je ne sais pas par quel miracle toutes les personnes au grand coeur se retrouvent ici, avec nous !! :coeur2: Je n'aurais jamais osé souhaité tant de joie ! Merci pour ce que tu as fait pour tes petits et merci d'être ici !! :coeur2:
  20. Voui, vous avez raison toutes les deux .... le petit mâle est donc porteur de lutino. Françoise adore expliquer ..... alors je la laisse venir vous en dire plus long sur les autres possibilités !! :coeur2:
  21. Dendy, ne dit pas de mensonges !!!!!! Si tu veux venir avec nous, c'est pour le Caribou !!!!
  22. Royal et fort apprécié, en tout cas ! Merci à vous deux ! :coeur2:
  23. Super, ces photos !! On est loin de mes petites volières d'intérieur !! J'en veux des comme ça !! Je place dans "photos de tous vos becs-crochus et de leurs installations" :coeur2:
  24. Bon ! On s'en reparle demain matin ? :coeur2:
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