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Tout ce qui a été posté par Ti-gars
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Bon...le message est parti avant que j'eu terminé... Une subtile façon de me faire comprendre que je dois me fermer la g...lolllll J'en étais donc à répondre à Laeti236 : Ne m'envie pas. Tout est à la portée de tous. D'autant plus que tu es pleine de jeunesse. Il y a tellement de beaux coins, aussi, dans chacune des régions qui constituent la France. L'espace est juste en plus petit, c'est tout. Je t'en montrerai d'autres belles photos, pour te taquiner un peu...héhé
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Réponse à Moune : Je ne suis pas très objectif en disant que je suis bien d'accord pour dire que mon Ti-gars est beau, mais il doit bien l'être puisque tout le monde le dit. Moi, je l'aime tellement que je le trouverai beau même s'il ne l'était pas. Mais, plus que beau, il est tellement, mais tellement gentil ce p'tit chien-là... Pas une graine de méchanceté. Têtu en ostie, par exemple! (osti, ou ostie avec un "e", est encore un autre de nos jurons qui nous aide a renforcer une affirmation...lollllll) Avant-hier, frustré du fait que j'avais mis fin au jeu, après 20 minutes de jeu avec un autre chien, il m'a signifié qu'il ne voulait pas aller marcher, comme on fait habituellement, le long de la plage. Il s'est assis sur le sable et n'a pas voulu bouger. J'ai eu beau faire celui qui s'en foutait, celui qui s'éloignait sans lui, il n'a pas bougé. Revenant sur mes pas, j'ai eu beau l'engueuler et lui dire que ce n'était pas lui, le boss, il me regardait d'un air boudeur et pas content. Il a fallu que je m'asseois à ses côtés, que je lui explique que je comprenais que c'était chiant pour lui, mais que je n'avais pas eu le choix parce que le maître de son copain en avait marre d'attendre que leur jeu finisse, pour qu'il change d'attitude et adopte un air triste, cette fois. Mais...il ne voulait toujours pas bouger. Finalement, je l'ai assuré qu'il y aura une autre fois et qu'en attendant, on allait faire un petit tour le long de la plage et qu'une belle gâterie l'attendait à la maison. Là, et seulement là, il a levé son p'tit c** et m'a accompagné. Ah, j'te jure, celui-là! Réponse à Laeti236 :
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Salut tout le monde! Ça y'est, l'été est arrivé! Cela signifie des journées plus longues, mais, dans notre cas, moins de temps pour une participation plus active sur le site. Entre le boulot, la visite qui arrive et qui repart après quelques jours passés à jouir de la beauté du coin, nos très longues promenades, et allouettes!, il ne reste guère de temps pour vous lire et nous raconter... Cela ne nous empêche pas, mon humain et moi, de penser souvent à vous. Vous vous douterez très certainement que ce ne sont pas les histoires qui manquent à vous raconter... Faute de temps pour écrire, mon humain a pensé vous inviter à nous suivre, en photos, lors d'une de nos promenades en mai dernier. Est-ce que ça vous dit? Allons-y alors! Je vous emmène dans un des nombreux sentiers où nous aimons aller. Une fois qu'on a sillonné dans le bois, un bon 45 min. de marche, on arrive en haut de la montagne qui surplombe le fleuve, que l'on peut apercevoir au loin. Tout à l'heure, c'est de l'autre côté que nous nous retrouverons autour d'un feu de camp. Voilà, nous sommes redescendu et nous nous trouvons maintenant de l'autre côté, tout près du fleuve. Cela fait près de deux heures que nous marchons. C'est haut, hein? Cette photo a été prise en avril car en juin, la vue n'est pas si dégagée. Bientôt, nous marcherons le long de la plage. Après une baignade dans le fleuve. Pas très chaud en mai... Yanni a fait un feu pour me réchauffer. J'ai l'air d'un p'tit vieux sous ma couverture, ne trouvez-vous pas? Allez, approchez-vous un peu du feu et partagez avec moi sa douce chaleur. Moi, les feux de camp, ça me rend toujours un peu songeur... Et puis, c'est tellement calme ici, n'est-ce pas? Après une promenade comme celle que nous venons de faire, même un jack est brûlé! (crevé, comme vous dites) Un clin d'oeil de mon humain. Il voulait me prendre en photo avec lui, mais pas facile avec un cellulaire et une tête de mûle qui ne veut pas... Allez...on se revois une prochaine fois? Je vous emmènerai ailleurs. En attendant, bon été à tous!
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Salut les copains! Hey, ho, on ne s'énerve pas les filles! Quand je dis les « copains », cela sous-entend aussi les copines... J'avais hâte de vous annoncer la nouvelle, mais mon humain, qui a eu beaucoup de mal à y croire, préférait attendre avant de me laisser faire l'annonce. Remarquez que je le comprends. Il s'est fait avoir la dernière fois en criant trop vite à la victoire, ce qui fait que, là, il tenait à se montrer prudent. Et bien cette fois, ça y'est! Je viens de décrocher la palme d'or en appliquant LA règle de conduite en matière de sociabilité. Si, si, j'vous assure. J'ai finalement mis en pratique l'enseignement dispensé par mon humain. Depuis que je suis tout petit, il s'évertue à me dire qu'il me faut être gentil envers les autres quatre pattes. Devant mon agressivité, il rigolait toujours un peu en se disant que cela allait passer lorsque j'allais être plus vieux. Et puis, j'avais tellement de choses à apprendre que je ne pouvais pas tout gober d'un seul coup. « Rome ne s'est pas fait en un seul jour », se répétait-il souvent pour s'encourager. Mais, suite à ma rencontre avec le colley il y a quelques semaines passées (se référer au texte du 6 mai dernier), mon humain a finalement pris la chose très au sérieux et s'est bien promis de me faire changer là-dessus. En septembre, j'aurais 4 ans et mon humain a jugé qu'il était grand temps pour moi d'adopter une conduite plus acceptable. Il faut dire que lorsqu'il a une idée en tête, celui-là, il ne lâche pas facilement le morceau... Moi aussi je suis tenace, mais j'en avais plus que marre d'entendre ses discours à n'en plus finir et ses sempiternels avertissements. Toutefois, il me faut bien lui donner raison sur un point : Assurément, je ne serais jamais parvenu à me faire des amis avec une approche aussi rébarbative. J'avoue que j'en avais un peu marre d'être constamment rejeté par mes congénères. Mais, par dessus tout, il y a le fait que je l'aime tellement mon humain que, de le voir si préoccupé par mon comportement, je me suis dit que je me devais de faire preuve d'un peu de bonne volonté. La semaine dernière donc, alors que nous étions sur la plage, j'aperçois au loin ce que j'aurais habituellement considéré comme un « morceau de choix ». Yanni l'avait vu, lui aussi, et s'était empressé de m'avertir qu'il ne tolèrerait plus une nouvelle incartade et encore moins d'impairs. Juste dans le ton, j'avais compris qu'il était sérieux. « Ok. Pas de conneries », me suis-je dit. Pour bien démontrer que j'avais saisi, au lieu de foncer sur l'autre chien à toute allure, je suis allé bien tranquillement vers lui. Lorsqu'il m'a vu, il a cessé aussitôt son activité et s'est mis au garde-à-vous. Mon humain, qui avait accéléré le pas pour me suivre de plus près, continuait de m'encourager d'une voix douce à garder mon calme. « bon...démontrons que je suis un bon toutou », ai-je réfléchi en me couchant sur le sable. Est-ce que j'en ai trop fait en poussant l'amabilité jusqu'à me traîner, sur quelques centimètres, sur le ventre? L'autre est vite accouru, en tous cas. L'autre, c'était une femelle de huit ans. Un beau mélange, je dois dire, de berger allemand, de labrador et de doberman. Ah...y'a pas à dire, ça leur plaît qu'on se couche et qu'on se traîne devant elles, les femelles! Du coup, me trouvant instantanément sympathique et mignon tout plein, elle s'est mise à jouer avec moi. Youppi! Je m'étais fait une copine! Mon humain n'a pas eu à se coucher et à se traîner sur le ventre, lui, pour sympathiser avec la belle humaine qui accompagnait ma nouvelle copine. Mais je ne m'inquiète pas trop pour ça. La quiétude de notre vie ne risque pas d'être chamboulée, car mon humain m'a dit que, tout comme moi, il s'est fait opérer une fois pour toutes pour ne pas avoir à souffrir continuellement. (Houlàààà...y'est pas tellement content que je vous livre ça et il vient de me dire qu'il compte bien donner sa version des choses sur la section Au Café...) Bon, revenons à nos moutons, ou à nos chiens. Donc, comme je m'étais bien comporté cette journée-là, j'ai fait le bonheur de mon humain et j'ai eu droit à une fabuleuse gâterie. Et son discours était beaucoup moins loin et plus plaisant à entendre. Mais je sentais bien que, malgré tout, mon humain demeurait septique quand au fait que j'allais désormais adopter un bon comportement. Du coup, j'ai décidé de lui prouver que, si je voulais, je pouvais. Et puis, le souvenir du jeu avec la copine et de la délicieuse gâterie ne pouvait que me stimuler à continuer dans cette voie. Le lendemain, alors que nous revenions d'une longue marche à travers bois, mon humain a décidé que nous allions emprunter le chemin de la plage pour revenir à l'auto. En temps normal, nous serions revenu directement par le sentier, mais, allez donc savoir pourquoi, il en a décidé autrement cette fois-là. Remarquez que je ne m'en suis pas plaint... Et c'est là que nous les avons vu. Et que, au même moment, ils nous ont vus, eux aussi. (tululu...tululu...tululu..hum hum...[air de Mission Impossible]) Ça n'a pas été bien long que l'humain s'est empressé de mettre la laisse au colley de son collier ...heu... non... au collier de son colley, je veux dire. Ben oui, c'était mon trouillard de colley qui était devant nous sur la plage! Héhé... « Ti-gars, ne fait pas le c**, j't'averti! » s'est aussitôt empressé de me souffler à l'oreille mon humain. « Mais non, t'inquiètes... », lui ai-je répondu du regard. J'aurais pu courir vers lui et lui sauter dessus, il en tremblait déjà d'ailleurs, mais j'ai choisi de m'avancer tout tranquillement pour bien lui montrer qu'il n'y avait pas de quoi s'énerver. L'humain au bout de sa laisse me regardait d'un air soupçonneux et demeurait sur la défensive. Mon humain, qui s'était avancé lui aussi, avait beau lui parler, lui faire remarquer que mon attitude avait changée, c'est à peine s'il l'écoutait tant il était tendu. Yanni a dit que l'humain lui faisait penser à un goéland qui a peur qu'on lui vole sa moule, et qui se tient sur la défensive le cou rentré dans le corps. Lollllll. Que dire du colley... une vraie poule mouillée! Même en lui montrant que j'avais compris, que j'avais changé, y'avait rien à faire. Il ne voulait pas jouer. Et ça été comme ça avec les autres chiens que nous avons rencontrés les jours suivants. Tous des résidents de ma place, tous des anciens « agressés » par moi qui semblaient avoir la mémoire vive et qui ne voulaient pas jouer avec moi, malgré mon bon comportement. Sur le coup, j'étais plutôt découragé. Je me suis demandé : « à quoi bon adopter une approche cordiale puisque, de toutes façons, y'en a pas un qui veut jouer avec moi? » Mon humain, qui avait bien peur que je perde mes bonnes résolutions, s'est empressé de me consoler et de m'expliquer que, si ceux-là gardaient un mauvais souvenir de moi, d'autres allaient faire la connaissance d'un Ti-gars bien sympathique. Et là, il m'a fait encore un discours philosophique sur la force de l'erreur et les transformations positives que celle-ci entraîne. Halala...! N'empêche qu'il avait raison, mon humain. J'ai, depuis, eu l'occasion de faire connaissance avec quatre autres chiens et d'avoir quelques minutes de plaisir avec eux. Mon Yanni était tellement, mais TELLEMENT content et fier de moi qu'il s'est empressé de célébrer l'évènement en débouchant une bonne bouteille et en m'offrant ma gâterie préférée. Faut dire qu'avec lui, tout est propice à la fête...
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Au lieu de coups de langue, c'est un cours de langue qu'il va falloir que j'donne à ton humaine, Roxy, pour l'aider à mieux saisir notre langue au Québec. lollllll Alors... le tabernacle, chère amie, se trouve dans un lieu de culte, particulièrement dans les églises catholiques. Il fait partie de tout ce qui est sacré dans cette religion. Le TABARNAK!, lui, est un juron utilisé plus ou moins à toutes les sauces et à une fréquence qui varie selon le niveau d'éducation ou le goût de la provocation chez la personne qui l'émet. Ce juron, comme tant d'autres au Québec, tire assurément son origine du tabernacle de l'église catho. Si jamais le sujet t'intéresse, tu me le dis et je t'offre un cours plus avancé sur le langage ordurier chez nous...lolll Mon humain sait ne pas abuser du mot et son effet sur moi vient du ton sur lequel il m'est lancé. Lorsqu'il lance un Tabarnak!, laisse-moi te dire que je suis bien mieux d'écouter...
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Salut tout le monde! Avant de vous relater une nouvelle aventure, mon humain et moi tenons a vous remercier de l'intérêt que vous portez à mes histoires. Je félicite tous les copains qui ont réussi à jouer du charme pour pousser leur(s) deux pattes à passer un commentaire. C'est que ça fait plaisir, non seulement à moi, mais à Yanni aussi. Après tout...c'est lui qui rapporte mes chroniques (et pour une fois que c'est lui qui rapporte...). Ce que vous ne savez pas, c'est qu'il pourrait bien en rapporter tout autant sur son compte. Ne dit-on pas « tel chien, tel maître »? Naturellement, il ne montrerait que le bon côté des choses! Il ne vous raconterait pas, par exemple, que, lorsqu'il entreprend de poser un cadre au mur – lorsqu'il entreprend d'en poser un –, il plante dix fois le clou, qui s'enfonce dans le vide, faisant du mur une passoire, et que lorsqu'il parvient finalement à le planter, son maudit clou, le cadre est de travers et n'est pas là où il aurait aimé qu'il soit. Ah, la, la...chaque fois que je le vois prendre un outil, je flaire la catastrophe! Comme il se débrouille un peu mieux avec un crayon, je ne crains pas trop pour mes récits. Parlant de récits, en voici un nouveau. Bonne lecture! Petit lexique québécois : *Bestioles de toutes sortes communément appelées bibites, généralement prononcé bebites. **Jouet de peluche communément appelé toutou, généralement prononcé tetou. ***Tabarnak : Juron québécois qui s'associe très souvent à d'autres jurons et qui décrit parfaitement bien le niveau de frustration ou l'intensité de la colère chez la personne qui l'émet. Le printemps! N'est-ce pas une saison magnifique? Je ne sais ce qu'il en est pour chacun d'entre vous, mais, je trouve qu'au printemps il y a comme une odeur de renouveau dans l'air. Chez nous, la nature se dégarnie de ce lourd manteau blanc qu'elle porte pendant près de six mois, laissant ainsi tomber son air austère, abandonnant une vie d'ascète, pour démontrer plus de fragilité et adopter un peu de fantaisie. Au printemps, il me faut réapprendre à marcher car, si en hiver tous les chemins ne sont que tapis blancs, au printemps, broussailles et rocailles mènent la vie dure à mes petites pattes. Au printemps, c'est aussi le temps des nouvelles odeurs. Les herbes humides s'étirent et se redressent lentement, les talus se remplissent d'eau et prennent l'allure de ruisseaux, les bourgeons éclatent littéralement comme autant de boules de graisses prises dans un corsé trop serré, et les vents poussent des senteurs de *bebites de toutes sortes. (Je précise que j'utilise le mot « senteur » car, pour moi, se sont des odeurs des plus agréables.) Les oiseaux ont beau me siffler des airs mélodieux ou stridents, les écureuils peuvent bien me narguer du haut des branches sur lesquelles ils se réfugient, les escadrons d'outardes peuvent bien cacarder, en formation en V, du haut des airs « À l'année prochaine! », rien ne m'excite autant que de déranger les perdrix tapies dans les sous-bois ou que de flairer un renard du fond de son terrier. Vous l'aurez assurément deviné, je m'en donne à cœur joie lors de mes sorties en compagnie de mon humain. C'est lors d'une sortie printanière que j'ai fais la découverte d'un étrange **tetou. De loin, il m'avait semblé avoir vu quelque chose bouger au milieu du petit chemin que nous avions emprunté, mais, comme je n'ai pas une très bonne vue, j'avais vite remis en question l'hypothèse d'une possible bebite. Je m'étais donc concentré ailleurs. La truffe collée au sol, la queue en action, je zigzaguais à la manière du requin, mes petites pattes m'amenant – telle une guêpe attirée par l'odeur du muscat – inévitablement à faire une découverte. Mon humain, qui ne perdait rien de mon activité, était déjà sur le qui-vive. Dire qu'avant mon adoption, Mônsieur se promenait le nez en l'air, l'esprit perdu entre ciel et terre, rêvassant et coloriant sa vie en bleu, blanc, rose. Héhé...finies les niaiseries avec mon arrivée! Dès lors, il lui fallait être attentif. Attentif à tout ce qui bouge et à tout ce qui ne bouge plus, parce qu'avec mon esprit de chasseur et mon tempérament téméraire gare aux complications! Soudain, jetant un coup d'œil à la dérobée du côté de mon deux pattes, je m'étais rendu compte qu'il s'était arrêté et qu'il fixait son regard sur quelque chose. Mon instinct me disait qu'il devait y avoir sujet d'intérêt pour moi, et je m'étais empressé d'aller dans cette direction. « Ti-gars, vient ici! » l'ai-je entendu m'ordonner. Ah! Ah! Je ne m'étais pas trompé! Si mon humain me rappelait à lui en pleine marche, c'est qu'il allait y avoir de l'action. J'avais bien envie de faire celui qui n'entend pas, mais je sentais que, dans le ton de l'ordonnance, il valait mieux que j'écoute. Je me suis donc posé le fessier sans pour autant cesser de chercher du regard ce qui pouvait bien me valoir cette pause. Mais je ne voyais rien. Voyons donc! Mon humain était-il devenu fou? Enfin...plus fou qu'il ne l'est déjà, devais-je dire... Arrivé à ma hauteur, il m'a pris dans ses bras et a continué à marcher d'avant. Alors, là, c'est clair qu'il se passait quelque chose. Mais QUOI? C'est à ce moment que je l'ai vu. Énorme, presque de ma grosseur. Cette touffe brune parsemée de tâches plus claires, qui tranchait au-travers des brins d'herbe, était plantée en plein milieu du sentier. Je voulais la voir de plus près, mais mon humain avait le bras fort et il m'était impossible de me dégager de son étreinte. Mais c'était quoi, ce truc poilu? Je n'avais jamais rien vu de pareil auparavant et même mon humain semblait trouver étrange que la chose reste plantée là, sans bouger. J'ai eu beau me débattre, me lamenter, rien n'y a fait. Mon humain a passé son chemin avec moi ligoté dans ses bras. Lorsque nous avons été assez éloigné, et comme je semblais m'être calmé, Yanni m'a reposé à terre et, comme d'habitude..., m'a fait son discours. J'avais fait celui qui était passé à autre chose, parce que je savais que c'était la meilleure chose à faire, mais vous pensez bien que j'avais toujours la touffe brune à l'idée! Prêtant quelques minutes d'attention, au-travers de tous ses mots, je n'ai retenu que ceci : Siffleux, vieille marmotte. Je n'ai pas voulu m'intéresser à ses explications sur la raison qui l'avait motivé à me montrer la bestiole tout en m'empêchant de la sentir de plus près (faut toujours qu'il perde un temps fou à expliquer, mon humain!). Et j'ai coupé le vent qui me criait de revenir, ne voulant rien écouter et encore moins entendre des mots dangereux et punition. Même qu'en courant vers la bestiole, j'ai cru comprendre que mon humain me disait de la mordre et qu'elle allait en faire une maladie. Enfin...on ne comprend que ce que l'on veut bien comprendre, hein? C'était pour moi le jour J. J pour Jouissance. Et, dans le temps de le dire, j'étais arrivé au point...G. G pour Gare à toi! Du haut de mes 33 cm, j'ai biglé la marmotte, ce qui n'a pas semblé lui plaire car elle m'a offert une dentition digne des plus grands fumeurs de ce monde. Ah, mais c'est que je n'aime pas qu'on me mette au défi! Et puis je n'avais pas le temps d'entreprendre les pourparlers, compte tenu du fait que mon humain s'en venait au pas de course, et n'avais nulle envie qu'il s'ingère dans une négociation. Sans crier gare, je lui ai sauté dessus et avant qu'elle n'eut le temps de réaliser ce qui lui arrivait, je l'avais saisi par le chignon du cou et la secouais tel un prunier. À la maison, j'adore jouer ainsi avec mes tetous. J'en ai toute une collection et vous devriez voir dans quel état lamentable ils finissent au fond de mon coffre à jouer. Mais j'avoue que celui-ci était un étrange tetou. Il était beaucoup plus lourd que les autres, devant bien peser dans le 5 à 6 kilos, et semblait offrir plus de résistance que les autres. J'ai secoué mon sac à puces en y mettant toute mes énergies jusqu'à ce que mon humain arrive tout essoufflé et m'ordonne de faire grâce au pantin. « Lâche-le! Ti-gars, lâche le siffleux! », l'ai-je entendu crier. Mais mon acharnement à mettre K.O. Mon adversaire était tel que j'ai préféré faire la sourde oreille. « Lâche-le, j'te dis! Lâche le siffleux, TABARNAK! » Au dernier mot, j'ai jugé préférable de lâcher prise. En effet, quand mon humain lâche un « tabarnak » et qu'il le dit sur ce ton, je devine la suite. Le jeu était fini. Je me suis senti décoller telle une fusée-sonde et c'est dans les bras de mon humain que j'ai continué à dévorer, des yeux cette fois, la touffe brune qui n'en menait pas large. J'aurais bien aimé lui faire subir le même sort que mes autres tetous, et j'étais un peu déçu en la regardant partir en se dandinant le popotin comme si elle venait de faire un tour de grande roue à la foire. Mais, bon...Toute bonne chose à une fin, dit-on!
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Québécois, Français ou autres nationalités, si vous envisagez un voyage et rêvez de grands espaces, vous êtes tous les bienvenus chez moi (naturellement, pas tous en même temps...lolll). ici, à Trois-Pistoles (très petite ville en allant vers l'est du Québec), vous aurez le choix des paysages. Bordé, au nord, par le Fleuve (St-Laurent) et au sud par bois et champs à perte de vue, nos compagnons à 4 pattes ont de quoi se réjouir. Pour vous situer un peu, en face, au nord, c'est la haute Côte-Nord (Les Bergeronnes, Tadoussac, etc.). Il suffit de prendre le traversier et on est avec les baleines...lolll À côté, à l'est, c'est Rimouski, Bic, et on descend vers la Gaspésie. A l'ouest, ce sont les endroits touristiques (Kamouraska, St-Jean-Port-Joli, Montmagny) que l'on traverse pour s'en aller vers Québec et Montréal. Peu importe la saison, les endroits où se balader (à pieds, en vélo, à skis ou raquettes) sont légions et tous plus beaux les uns que les autres. Pour avoir visité, et habité, le Québec de tous bords tous côtés, je peux vous assurer - sans rien enlever aux autres régions (L'estrie, Lanaudière, Laurentides, Chaudière Appalaches, Mauricie, Montérégie, etc.) du Québec - que le Bas-St-Laurent est l'un des plus beaux coins (pas pour rien que je m'y suis finalement établi...). Enfin...si vous venez, vous jugerez vous-mêmes En attendant, voici un bref aperçu. Plage Plage Coucher de soleil Coucher de soleil
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Ouais...j'peux vous dire que je n'offre pas toujours à mon humain l'occasion de sourire! Laissez-moi vous raconter la suite de mon aventure passée, que je vous ai relatée précédemment. Ça c'est passé au lendemain, en fait, et mon humain n'était pas très content... À la plage Figurez-vous que j'ai déconné lors de notre promenade. Il a fallu que je croise la route d'un colley et, je ne sais pas se qui m'a pris, mais je lui ai sauté dessus dès qu'il a voulu jouer avec moi. En fait, je ne lui voulais pas de mal. Je voulais simplement qu'il sache que, même si j'étais petit, je ne me laissais pas faire. Il s'est alors mis à courir, le c**! Naturellement, je lui ai couru après et, je l'ai rattrapé en deux temps, trois mouvements, mais il était en panique et ne voulait pas me laisser le temps de m'expliquer alors, je lui ai de nouveau sauté dessus. Un trouillard, ce chien! Je ne lui faisais pourtant pas vraiment mal, je ne faisais que le mordiller. Mais, là, il a fallu que les « deux pattes » s'en mêlent et je n'ai pas eu le temps de me faire comprendre. En fait, le maître de monsieur-le-trouillard était en panique en voyant son chien se faire "agresser" et que, même s'il s'époumonait à le rappeler, celui-ci prenait la poudre d'escampette. Mon humain, qui se faisait légèrement engueuler par l'autre deux pattes, m'a vite rejoins et, pas content du tout, m'a saisi par le chignon du cou et m'a forcé à me soumettre. C'était rudement humiliant... j'en voulais au trouillard à cause de qui j'allais me faire engueuler solide à coup sûr... Son maître est arrivé assez vite en jurant comme un charretier et mon humain a dû s'excuser de mon comportement. Je connais mon humain, si on est trop dur avec lui, c'est pas long que lui aussi montre les dents... Heureusement, le maître était aussi trouillard que son chien et ils ont foutu le camp tout de suite. Mon humain était mal à l'aise de n'avoir pu expliquer pourquoi j'avais agis ainsi et vraiment fâché de ce que j'avais fait. Houlà, qu'il était vraiment fâché! Devinez ce qui est arrivé? Ben oui...j'ai été en punition. D'abord, le sermon. Houlà qu'il était pas content.... Il avait les yeux quasiment sorti de la tête et les sourcils froncés au max et il me forçait à le regarder dans les yeux pendant qu'il me sermonnait. J'aime pas ça du tout. Y'est pas méchant mon humain, mais quand il est fâché...houuuuu je me tiens à carreaux. J'ai eu droit à tout un sermon, croyez-moi! Ça ne finissait plus. Mais, même si j'en avais marre, j'ai préféré marcher la queue entre les pattes, avec la laisse attachée au collier, bien sûr...grrrrrr. Au bout de cinq minutes, qui m'ont parue une éternité, il a enfin enlevé la laisse, mais comme il me redisait qu'il était vraiment fâché, j'ai jugé plus sage de marcher à ses côtés et de rester peinard. Ça été comme ça tout au long de la marche sur la plage. Je ne suis même allé me rouler dans les algues sèches, comme je fais toujours. Plus tard, alors qu'on empruntait le sentier pour aller dans les bois, mon humain s'est radouci et m'a même prodigué une caresse en m'expliquant à quel point il m'aime, mais je l'ai vu bien triste et l'ai sentis inquiet de ma conduite. Ah...ce n'était pas ma journée, ce jour-là. Je ne sais pas ce que j'avais, mais je me sentais nerveux au possible. Pourtant, avant de rencontrer ce trouillard, on avait marché déjà plus d'une heure au-travers du camping et j'avais eu l'occasion de croiser plein de gens qui m'avaient salué, en me criant "Ti-gars!", et qui m'avaient caressé. Mais on aurait dit que je n'avais pas assez eu de défoulement. Je n'ai pas aimé ma journée et je n'ai même pas voulu manger à l'heure du souper. Ah...triste journée, j'vous dis. Du coup, mon humain a passé une partie de sa soirée à lire sur le forum des expériences dans la rubrique "agressivité". Il m'a dit qu'il se sentait un peu consolé en lisant que je n'étais pas le seul à mal agir, mais il s'est tout de même couché soucieux, je l'ai bien vu à son air. Il m'a même dit en me caressant avant de s'endormir : "Va falloir qu'on trouve une façon de te rendre plus doux avec les autres chiens, mon garçon. Sinon, tu ne pourras jamais te faire d'amis." Gageons qu'il n'a pas fini de s'arracher les cheveux (pour le peu qu'il lui reste...) et, moi, d'entendre ses discours... Jour triste
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Salut les amis! Avant de vous relater mon aventure (que j'ai déjà relaté en primeur à deux copains, membres du site), il faut que je vous dise que, après m'avoir fait travailler sur un tas de choses, qu'il m'a fallu apprendre au cours de mon enfance et de mon adolescence, mon humain a décidé qu'il était grand temps pour moi que je travaille sur le côté sociabilité. Comme rien n'est facile dans la vie, il nous faudra très certainement – à lui comme à moi – trouver la force d'y parvenir. En attendant, voici une petite aventure survenue en avril dernier. Par un après-midi venteux et plutôt froid, alors que nous marchions le long de la plage, voilà donc que mon humain et moi croisons le chemin de deux mastodontes. En fait, nous les connaissions déjà un peu pour les avoir rencontrés à quelques reprises au cours des années passées. L'un deux, un berger anglais de trois ans, avait déjà fait l'objet de mes assauts alors que je n'avais qu'un an et demi. Je vous le mets d'ailleurs en image pour vous donner une meilleure idée. Bien que, déjà à cette époque, il était bien plus gros que moi, ma folie, mon inexpérience, mon tempérament téméraire et ma nature de dominateur, avaient tôt fait d'avoir le dessus sur ce gros nounours, qui n'avait finalement en avantage sur moi que son poids. Au fond, il me faut avouer bien humblement que j'ai tendance à avoir la trouille. Ben oui...je suis un vrai trouillard. Mais, voyez-vous, face à cette peur qui m'habite continuellement, je me dis que j'ai le choix : ou bien je montre ma peur et je me fais écraser à tout coup, ou bien je la cache en montrant que je ne me laisserai jamais faire. J'ai toujours choisi cette dernière option. C'est pourquoi, chaque fois qu'il m'arrivait de croiser le chemin d'un des nôtres, je ne faisais ni une ni deux; avant même de le saluer, je lui faisais comprendre que c'est moi « Le Boss ». Comme Samson avec Dalila, mon point faible a toujours été les femelles, par contre. En effet, sois celles-ci se soumettent immédiatement et s'écrasent ne voulant pas du tout jouer par la suite, sois elles montrent tout de suite les dents et n'hésitent pas à me faire comprendre que je ne suis qu'un pauvre c*****d. Dans ce dernier cas, ne me voyant pas me battre avec une femelle, je préfère laisser tomber... Toujours est-il que, une fois soumis, j'avais eu bien du plaisir à jouer avec mon gros nounours, même si, comme c'est le plus souvent le cas, son humaine (dans son cas, sa maitresse), n'avait pas apprécié de voir son mastodonte se soumettre à un maigrelet de mon espèce. Faut reconnaître que, dans l'ensemble, les humains ne comprennent pas notre langage, hein? L'année suivante, j'avais croisé de nouveau Nounours-le-berger-anglais qui, cette fois, était accompagné d'une jeune chienne berger allemand. Naturellement, j'avais compris qu'il était préférable que je ne m'occupe pas d'elle et j'avais trouvé déplorable de constater que Nounours, de toutes évidences dépendant et asservi à sa copine, n'osait plus jouer avec moi. Frustré, je l'avais un peu emmerdé ce qui avait beaucoup dérangé sa maitresse, toujours aussi hostile envers moi. Entre-temps, Yanni s'est évertué à me faire comprendre que ma manière d'aborder les autres ne me facilite en rien les choses, en ce qui a trait de me faire des amis. Mais, vous ai-je dit qu'il était tenace et patient, mon humain? Tout en me sermonnant et en me refaisant toujours le même discours, après chaque rencontre, il prophétisait que j'allais vieillir et certainement « frapper un mur », comme il dit, et que j'allais bien finir par comprendre. Ben, il y a quelques semaines, j'ai « frappé un mur » lorsque j'ai croisé le chemin de mes deux bergers. Je les ai aperçu de loin. Ils s'en venaient, tous les deux, en courant comme des débiles dans ma direction. En les voyant accourir vers moi, cela n'a pas été sans me rappeler ma propre façon de faire, et j'ai tout à coup compris ce que peuvent ressentir les autres chiens lorsque je me précipite sur eux. J'vous dis que j'étais pas gros sous mon poil... Plus ils se rapprochaient et plus je constatais à quel point l'un et l'autre avaient grandis et j'ai tout à coup pressenti que j'allais y goûter. Bien sûr que Yanni était près de moi, mais je n'allais quand même pas perdre la face en allant me réfugier auprès de lui! J'ai choisi, pour une fois, pour la toute première fois, de me soumettre. Ben oui...téméraire, mais pas fou quand même!Je me suis allongé, sans bouger, attendant qu'ils soient à ma hauteur...enfin...quand je dis « à ma hauteur »...façon de parler, vous vous en doutez bien bien. Mamamia! Ils étaient au-dessus de moi, tous les deux, à me renifler. Par réflexe ou par fierté, je ne sais trop, j'ai montré un peu les dents et nounours s'est poussé un peu. Mais pas la grande donzelle! Madame voulait jouer, semble-t-il.... ben pas moi! J'avais beau savoir que Yanni surveillait la scène, j'étais vraiment pas gros sous mon poil. Il m'a dit de ne pas m'en faire, qu'elle n'était pas méchante, de rester calme, et sa voix chaude m'a quelque peu rassurée. Je me suis alors redressé, mi honteux, mi apeuré encore, et ma dignité fut sauvé par la cloche (C'est l'cas d'le dire...) En effet, la donzelle s'est éloignée à l'appel de sa maitresse. Mais là, le nounours s'est comme réveillé et il a voulu absolument jouer. Ah...je n'avais pas envie de jouer, moi! Je le trouvais agressant. À ce moment aussi j'ai compris à quel point je peux sembler agressant aux autres chiens qui ne veulent pas jouer. Il m'a écrasé une patte ce gros porc! Comme je suis comédien, même si cela ne m'a pas fait vraiment mal puisque nous étions sur le sable, j'ai lâché une petite plainte et le gros a arrêté. Mais voilà que la donzelle est revenue. J'ai levé les yeux vers Yanni, osant à peine lui demander d'intervenir, et j'ai vu qu'il examinait la scène, mais qu'il désirait clairement me voir m'en sortir tout seul. Quelle m***e! Le moment m'est apparu comme une éternité. J'ai pris mon courage à deux pattes et j'ai fait front...enfin..un peu...à la donzelle. Finalement, les cabots ont suivi leur maitresse qui passait son chemin toute fière que, cette fois, ses deux monstres ne lui aient pas fait honte. Yanni m'a alors pris dans ses bras et, en me serrant tout contre lui, m'a dit combien il était fier de moi. Fier de moi? Je ne comprenais pas pourquoi il était fier de moi. J'avais montré ma peur et m'étais soumis, moi, Le Boss! Comme je le regardais avec, dans les yeux, une petite lueur de reproches pour le fait qu'il n'était pas venu à mon secours, il s'est assis dans le sable et tout en me caressant il m'a expliqué ce que je ne comprenais pas. Je me rappelle encore très bien l'ensemble de son discours. « Je t'aime, mon Ti-gars, a-t-il commencé à me dire. Je t'aime et je suis toujours là pour toi. Mais, vois-tu, mon Ti-gars, il me fallait te laisser faire ta propre expérience si je voulais que tu comprennes ce que je m'évertue à t'apprendre depuis trois ans. Si je t'avais pris dans mes bras tout de suite, tu n'aurais pas goûté à la peur. Au contraire, tu aurais fait le fanfaron et n'aurais fait qu'exciter tes adversaires. Et tu n'aurais rien compris. Je savais que ces deux-là ne sont pas méchants et j'ai jugé que le moment était venu pour toi d'apprendre...et de grandir. Tout comme la vie m'enseigne, elle t'enseigne toi aussi, mon p'tit guerrier d'la lumière. La peur ne s'habille pas que de honte. La peur revêt parfois le manteau du salut. C'est ton jugement qui l'habille soit de honte, soit de salut. Cette fois-ci, mon Ti-gars, tu n'as pas à avoir honte de ta peur, et je suis fier de toi parce que tu as su faire montre d'intelligence et de bon jugement. Tu as été malgré tout courageux, mais tu as compris qu'il faut parfois se plier devant un adversaire trop gros pour soi et qu'il faut savoir faire montre de sagesse en ne s'engageant pas dans une guerre qui serait perdue d'avance. La prochaine fois que tu vas croiser le chemin d'un autre chien, souviens-toi, mon p'tit amour-des-îles, de ce que tu viens de vivre. Souviens-toi de cette peur qui est venue t'habiter et fait preuve de compassion et de douceur envers ton semblable. » Là-dessus, il m'a serré très fort avant de se lever et de me laisser courir. Mais, crois-le ou non, j'ai préféré marcher à ses côtés. Mais attend, mon histoire ne s'arrête pas là! Figures-toi que, quelques minutes plus tard, alors qu'on avait laissé la plage pour emprunter un chemin de bois, je croise un berger...australien, cette fois. À croire qu'il n'y a que ça, des bergers... J'peux te dire que je me suis souvenu de la leçon. Tandis qu'on poursuivait notre chemin, j'ai surpris mon humain qui souriait en marchant. (Ma première rencontre avec Nounours, deux ans passés) (On avait bien rigolé cette fois-là!)
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Bonjour tout le monde! Yanni, mon humain, vient de découvrir cette section du forum et il a pensé que cela pourrait être bien de me laisser raconter mes aventures à ceux et celles que cela pourrait intéresser. S'il est souvent divertissant de lire les aventures - bonnes ou mauvaises - vécues par d'autres, cela peut aussi être instructif et enrichissant d'une certaine manière. Comme les phases de notre existence de Russell (Jack ou Parson) sont inévitablement truffés d'épisodes plus ou moins extraordinaires, ce ne sera certes pas les sujets d'histoires qui vont manquer à mon humain, mais le temps pour vous les rapporter. Quoi qu'il en soit, puisqu'il me créé mon propre DOGBOOK et qu'il me laisse la parole, c'est avec plaisir que je vais partager avec vous mes bons comme mes mauvais coups. N'hésitez pas à demander à vos propriétaires de vous laisser faire vos commentaires. À très bientôt, donc... Ti-gars
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