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Tout ce qui a été posté par Cyd
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Mais notre traceuse chérie ne l’a pas vu de cet œil ! Nouveau contrôle où je profite de la temporisation pour soigner un petit bobo au postérieur de Belle qui vient de se faire marcher dessus par sa copine… Allure : 10 km/h ! Bon, va falloir avancer ce coup-ci… et Astra qui faibli… Et bien tant pis pour le temps, on fera au rythme d’Astra (qui, je le rappelle est une trait ardennaise !)… Le chemin est large, assez plat, pas trop dur ; nous tentons un petit galop sans pousser personne. A la sortie du bois, nous reprenons le pas jusqu’à la ferme de Fontenelle ou nous attend le 5e contrôle et le pique nique… une seule minute de retard ! Pendant la pose, nous prenons des nouvelles des autres cavaliers : certains ont eu quelques problèmes d’embourbement en suivant un mauvais itinéraire (un certain Rolex, qui n’en revient toujours pas de ce qu’on peut trouver en dehors d’un carré de dressage !!!), d’autres ont loupé des balises, d’autres encore essayent d’imaginer les pièges tendus par Nathalie :twisted: , l’emplacement du tronçon à l’azimut …. Nous ne sommes pas au bout de nos peines, à en croire Marc et Patrick ! Nos 2 partenaires ayant bu, grignoté des pommes et un peu somnolé pendant ¾ d’heure, il est maintenant temps de repartir. Le tronçon est à du 5 km/h, c’est parfait pour redémarrer sous le soleil . La chaleur aidant, je grogne un peu :x car j’ai eu droit, comme Caro, à des remarques stupides du contrôleur vétéran… Heureusement que voici les sourires sympathiques de Tony et Suzanne qui tiennent le poste suivant, et ma mauvaise humeur s’envole comme par enchantement ! Nous repartons à du 9, au grand trot car le chemin que nous suivons en lisière de forêt est herbeux mais légèrement glissant. « Nous prenons le parti d’avancer tant que c’est possible car nous ne savons pas ce que nous réserve la suite. En effet, après environ 2 km, le chemin devient sentier et s’incline méchamment. Nous arrivons dans la vallée de l’Eau d’Heure non sans oublier de poinçonner une nouvelle balise de contrôle de passage. » (Petit copié –collé car j’ai confondu les 2 tronçons !!!)
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Nous quittons le contrôle à 13h19. J’ai FAIM :x et il commence à faire chaud. Les juments sont en forme, la course aux balises les a excitées car, comme nous, elles se sont prises au jeu ! Le 4e tronçon est à du 8 km/h. Nous prenons le parti d’avancer tant que c’est possible car nous ne savons pas ce que nous réserve la suite. En effet, après environ 1,5 km, le chemin devient sentier et s’incline méchamment . Nous arrivons dans la vallée de l’Eau d’Heure non sans oublier de poinçonner une nouvelle balise de contrôle de passage :twisted: . Un peu plus loin, un passage à niveau toute sonnerie hurlante nous barre la route. Belle et Astra patientent quelques minutes sans broncher et nous redémarrons au petit trot. Sur la grand’ route en côte, Astra s’essouffle un peu et s’arrête à chaque flaque … la pose de midi serait la bienvenue !!!
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Le premier tronçon est à parcourir à du 7 km/h et nous fait passer par un petit sentier caché entre les jardins où notre fine traceuse Nathalie a jugé bon de placer une balise de contrôle de passage :twisted: . La rater nous aurait coûté 30 points de pénalité ; nous n’en auront que 2 pour un retard de 2 minutes par rapport au temps idéal :bball: . Le 2e tronçon affiche du 8,5 km/h de moyenne et nous réserve un joli petit contrôle de passage à la sortie d’un chemin « oublié », suivi de 50 mètres dans l’objectif de la caméra de Télé Sambre ! Souriez, vous êtes filmés ! Déconcentrés, 5 minutes de retard… :x Chaleureusement accueilli au 2e contrôle par Fabrice et son épouse, nous bénéficions d’une bonne trentaine de minutes de temporisation pour calculer l’emplacement de 5 balises grâce à une série de coordonnées UTM. Nos juments en profitent pour boire et grignoter à l’ombre, tandis que nous élaborons un itinéraire reliant les 5 balises. Nous reconnaissons sur carte ce petit bois entourant la prison de Jamioulx qui abrite un magnifique terrain de moto cross déjà emprunté l’an passé lors du 1er trec du Val d’Heure… Un entrelacs de sentiers en tout sens, de bosses et de fosses qui promet bien du plaisir ! Nous avons 30 minutes pour trouver les balises, poinçonner notre feuille de route et rejoindre le contrôle suivant. La 1 et la 2 ne nous posent pas de problèmes. En partant sur la 3, nous trouvons une balise qui n’est visiblement pas pour nous vu que son emplacement ne correspond pas à nos calculs. En effet, un cavalier T2 débouche du bois, poinçonne et repart au grand galop ! Nous avons bien fait de l’éviter car nous apprendrons par le suite que cette balise a coûté 60 points de pénalité à certains cavaliers T3 ! La troisième balise nous donne du fil à retordre :suspect: et c’est avec Patrick Vanaken que nous la dénichons au bord d’un étang vert de lentilles d’eau ! Nous filons alors au galop sur la 4 et y arrivons en même temps que Marc. Nous le suivons un moment puis optons pour un autre itinéraire pour rejoindre la dernière balise. 150 mètres de route, un chemin à droite… et nous retrouvons Marc en train de poinçonner :cyclops: . Il file à toute vitesse, pendant que nous poinçonnons à notre tour, et arrive avant nous au contrôle. Il n’a pas dépassé le temps imparti alors que nous avons 13 minutes de retard… mais nous avons les 5 balises ! Wouaw ! C’était grisant ! :happy:
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Une ardennaise au Pays Noir. C’est après 2 heures de van, paisiblement occupée à grignoter du foin, qu’Astra, notre ardennaise de pures souches, pose le pied sur le sol du Pays Noir, le vendredi 25 août dernier. Les pensionnaires des magnifiques écuries de Boulant Fontaine à Ham sur Heure sont quelque peu étonnés de voir déambuler une jument de trait dans leur domaine ! Flanquée de sa fidèle compagne de prairie, une jument de type pure sang aux longues et fines jambes, en tout point son opposée, elle est inscrite au TREC du Val d’Heure organisé pour la seconde fois par Nathalie Gardey :cheers: . Les juments installées, c’est à notre tour de préparer notre logement pour le week-end : un bon coup de balai dans le van qui fera comme d’habitude office de caravane … Ensuite vient le moment de confirmer nos inscriptions ; c’est une grande première pour notre équipe car demain, nous allons « jouer dans la cour des grands » en T3 ! A l’apéro, nous retrouvons avec plaisir les habitués des trec : cavaliers bien sûr, mais aussi les nombreux bénévoles qui apportent régulièrement leur contribution au bon déroulement de pareille organisation . Le samedi matin, les juments prêtes à partir après un contrôle véto passé avec succès, nous entrons en salle des cartes en essayant de ne pas nous laisser submerger par le stress engendré par cette nouvelle expérience :geek: . Vingt minutes pour recopier précisément le tracé, deviner les éventuels pièges topographiques, mesurer et noter les quelques 37 kms, mettre la carte à l’abri dans son porte carte, jeter un œil sur le type de balise placé sur notre chemin, emporter nos numéros et notre feuille de route… Le chrono démarre, nous voilà partis !
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Alors voilà: il parait que nous sommes 1er en équipe T3 Je dis "il parait" car nous n'y croyons pas encore Nous avons tenté le T3 très fort poussés par Shaver (voir plus haut) en nous disant "Bah, on va essayer pour voir ce que c'est..." sans prétention aucune! Je vous raconterai peut-être en détail, mais le POR ne nous a pas posé trop de problèmes sauf qu'on s'est plantés dans le dernier tronçon à l'azimut (comme beaucoup d'autres!!!)... la MA nulle pour Michel et tout juste 31/60 pour moi, quant au PTV... perso, j'en suis sortie ravie du parcours de ma Belle, mais l'Opel Astra de Michel était en panne de batterie!!! ce qui a fait monter mon cher époux très très haut dans les tours :x :x :x Donc, dans nos têtes, c'était déjà règlé: on était sûrs d'être derniers des 3 équipes T3 Alors, on a d'abord calmé le grand Michel (merci Patrick qui a dit ce qu'il fallait pile-poil au bon moment ) Puis on bu plein des verres avec les copains pour oublier Ce qui fait qu'au moment de la remise des prix, on n'était pas vraiment là, si vous comprenez ce que je veux dire et on a pas compris pourquoi Shaver nous donnait une coupe (lot de consolation peut-être :fêtee: ) on n'a pas écouté son discours (pardon Shaver ) et on a filé en douce car il était déjà tard et qu'on avait 2 heures de route Voilà, c'est seulement maintenant que je réalise :geek: Incroyable mais vrai :happy:
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LES AOUTATS Trombicula autumnalis Identification Trombicula autumnalis est un acarien. L'adulte, comme tous les acariens, présente 4 paires de pattes. Long de 2 mm, il est d'un blanc jaunâtre, le corps couvert de poils denses et courts. La nymphe diffère seulement de l'adulte par sa taille, plus petite (0,9 mm) et sa couleur rose pâle. La larve est le stade qui nous intéresse le plus directement: c'est elle qui provoque les démangeaisons et c'est d'elle qu'il s'agit lorsqu'on parle d'Aoûtat! Très petite (0,2 mm), elle ne présente que 3 paires de pattes. Son corps, de forme ovale à globuleuse, est rouge orangé à rouge écarlate. Eléments de biologie Les nymphes et les adultes sont aveugles et vivent dans le sol où ils se nourrissent d'oeufs d'insectes et de divers athropodes. Les adultes hivernent puis pondent au printemps (400 ufs et plus par femelle) dans le sol les oeufs donnant alors des larves au bout de 20 à 40 jours. Celles-ci vivent à la surface du sol (sur les mottes de terre, petits cailloux ou herbes et brindilles tombées à terre) et doivent se fixer, dès leur naissance et dans les plus brefs délais, sur un animal à sang chaud afin de se nourrir des sucs tissulaires ou de la lymphe de ce dernier. Cet hôte est le plus souvent un petit vertébré (lapins, hérissons, taupes, rongeurs, oiseaux, etc) un animal domestique, voire l'homme qui est son hôte occasionnel. La vie parasitaire des larves d'Aoûtat est très brève (2 à 3 jours). Une fois la prise alimentaire effectuée, celles-ci se laissent tomber sur le sol et s'enfouissent dans la terre; elles se transformeront successivement en pré-nymphe (stade de repos), nymphe (stade mobile), pré-adulte et adulte. Les pelouses et gazons ombragés et humides, près d'une pièce d'eau, sont les endroits les plus infestés par les Aoûtats, en particulier pendant la période estivale (de juillet à septembre). En altitude, au-dessus de 1'000 m, on peut les rencontrer jusqu'en octobre, voire jusqu'à la mi-novembre et parfois même dès le mois d'avril. Dans ces deux derniers cas, il est possible que l'animal hiverne à l'état larvaire. Symptômes et nuisances Ils résultent du comportement de piqûre de l'Aoûtat qui, enfonçant ses pièces buccales dans la peau de l'homme, dégage un suc digestif capable de solubiliser les tissus, avant d'aspirer le liquide nutritif produit. Ces piqûres alimentaires entraînent : - des envenimations locales ou générales (petite papule boursouflée, rougeâtre de 2 à 3 mm de diamètre, entourée d'une auréole plus claire de 1 mm) au bout de quelques heures - des démangeaisons très vives au bout de 20 à 30 heures, lorsque les larves se décrochent, et qui peuvent persister du 2ème au 7ème jour (lésions prurigineuses). Stratégie de lutte Protection contre les piqûres· Protection vestimentaire: porter des vêtements imperméables, bien fermés, particulièrement au niveau des jambes. Il s'agit ici de réduire les voies d'accès à la peau. · Produits répulsifs et/ou curatifs: - Le souffre en poudre, mélangé à part égale avec du talc est répandu sur les vêtements et sous-vêtements, assure une très bonne protection - Divers produits vendus en pharmacie pour guérir les piqûres d'Aoûtats ont également une efficacité préventive: · benzoate de benzyle et sulfirame · clofénotane &m crotamiton Apaisement des démangeaisons: Outre les produits cités ci-dessus, les lotions alcoolisées (alcool camphré) ou acidulées ainsi que les solutions à base d'huiles végétales ou minérales ont une action apaisante. Attention: elles provoquent parfois des rougeurs chez certains sujetsdDès l'apparition des premiers symptômes, il est conseillé de prendre un bain bien chaud en se savonnant au savon de Marseille (peu irritant). Après ce bain qui a pour but de détruire les Aoûtats, appliquer un des produits apaisants au niveau des zones irritées. Il est généralement nécessaire de renouveler ces applications plusieurs fois par jour et pendant plusieurs jours. En effet, même après la mort des Aoûtats, les démangeaisons continuent; elles ne diminuent que progressivement.