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oupsmumu1

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Tout ce qui a été posté par oupsmumu1

  1. Si tu le permets, je veux juste rajouter : Beaucoup de maitres, sous prétexte que l'animal est identifié (tatouage ou puce), ne mettent plus une identification rapide sur le collier (plaque ou médaille). Faites-le, en cas de perte en campagne, à l'étranger, un numéro de téléphone sur la plaque permettra de retrouver plus vite votre animal.
  2. J'ai vu sur ce blog que la SPA les chats à l'adoption : 70 euros, les chiens : 80 euros et pour les abandonner ils demandaient 150 euros. Comment veux-tu que les gens ne préfèrent pas les abandonner au coin d'une rue que payer un refuge ?
  3. J'ai trouvé cette remarque sur un blog faisant l'éloge du refuge et c'est d'autant plus scandaleux si c'est vrai qu'ils demandent une participation aux bénévoles : "....Les locaux sont la propriété de la ville de Cherbourg-Octeville, et sont entretenus exclusivement par les Services de la Mairie de Cherbourg-Octeville, grace à la bienveillance de Mr le Député-Maire Bernard CAZENEUVE, très sensible à la cause animale..." J'ai donc adressé un message à la personne en lui demandant ce qu'il en était réellement
  4. oupsmumu1

    SAMEDI 5 JUIN

    vOICI LA TEMPERATURE DE MON HUMEUR CE MATIN
  5. TRES URGENT !!! VOILA 4 JOURS QUE DJ N'EST PAS RENTRE CHEZ LUI !!! DJ, berger allemand de 18 mois est parti de chez lui lundi 31 mai et n'est à ce jour pas encore rentré. S'il-vous-plaît, si vous pensez avoir aperçu DJ dans Montpellier ou ses alentours, contactez le plus rapidement possible Marie qui se meurt d'inquiétude... http://ba-sans-famille.forumactif.com/perdu-trouve-f25/perdu-ba-male-18mois-montpellier-rond-points-de-la-lyre-t6627.htm#123045 Il faut aider Marie à retrouver DJ !!! Merci de diffuser largement autour de vous Important ! Vous trouverez l'affiche qu'a réalisée Marie en cliquant sur le lien qui se trouve plus haut.
  6. j'ai effacé car je préfère clore le sujet
  7. Payer pour être bénévole : et ils en trouvent Je serais curieuse de savoir leurs arguments
  8. On va se cultiver ! C'est pas gagné, à chaque fois on part "en live"
  9. Bien vu Elle oublie de rajouter cousine de lait
  10. oupsmumu1

    des nouvelles de OLI

    Coucou Eléna, tout va bien
  11. Je suis hors sujet mais tant pis : juste pour te dire Annick que je suis ravie que tu sortes de ta réserve et j'adore ton humour, pertinent, timide parfois et élégant (il faudra nous parler un peu de toi car je devine un intérêt culturel qui t'as fait cotoyer beaucoup de sujets)
  12. TEXTE PARU SUR LE SITE DE LA SPA ECRIT PAR FRANCOIS CAVANA "Écoutez. Le tuer, je n'ai pas le cœur. Alors, je vous l'amène. Vous, vous ne les tuez pas. Vous les sauvez. Un refuge, c'est fait pour ça, pour les sauver. Alors bon, le voilà ! C'est à prendre ou à laisser. Si vous n'en voulez pas, j'irai le perdre dans les bois. Je l'attacherai à un arbre, pour ne pas qu'il me coure derrière, vous savez comment ils sont, paraît qu'il y en a qui ont retrouvé leur maison après des centaines de kilomètres, alors vaut mieux l'attacher et puis se sauver, pas l'entendre crier, c'est trop triste, on n'est pas des bêtes. Bon, vous le prenez, ou vous ne le prenez pas ? Faut vous décider, je n'ai pas que ça à faire, on n'a pas encore fini les bagages. Évidemment, il ou elle le prend. Quoi faire d'autre ? Le bon S****d le sait bien. Quand on gère un refuge pour animaux, c'est qu'on a le cœur tendre, qu'on ne peut absolument pas supporter l'idée qu'une bête souffre, soit abandonnée, perdue, vouée à la piqûre, fatale, ou pis, aux pourvoyeurs des laboratoires. Les pseudos-amis des bêtes qui, lorsque le chien ne veut plus chasser, ou bien est devenu trop vieux, ou bien a osé donner un coup de dent au sale môme qui le harcèle, ou lorsque le mignon chaton offert pour Noël est devenu au 14 juillet, un gros matou qui a son caractère et ne veut plus jouer les nounours en peluche, ou encore lorsque "ces gentils compagnons" se mettent à être malades et coûtent "les yeux de la tête" en visites au véto, ces salopards délicats qui décident de les supprimer mais n'ont pas le courage de faire le vilain geste qui tue vont les déposer à la porte du refuge (variantes : ils les jettent par-dessus le grillage, ils enferment dans une boite en carton la chatte miaulant et ses petits...) comme on déposait jadis les nouveaux nés non désirés à la porte des couvents. Fonder un refuge pour animaux est la pire façon de s'empoisonner la vie. Non seulement cela ne peut pas rapporter d'argent (les abandonneurs ne laissent jamais de quoi acheter un peu de bouffe, cela ne leur vient même pas à l'idée), mais c'est un gouffre financier. Fonder un refuge ne peut être qu'une action bénévole et précaire, un élan de révolte contre l'indifférence générale devant l'omniprésence de la misère animale. C'est le fait d'âmes sensibles qui mettent sur le même plan toute souffrance, toute angoisse, humaine ou non humaine. La plupart du temps, dans le cas des petits refuges, il s'agit de gens à faibles ressources qui s'épuisent à mener un combat sans fin comme sans espoir, mais qui ne pourraient pas ne pas le mener. Ils sont parfois aidés par de maigres subventions (dans le meilleur des cas), par la générosité de quelques adhérents, mais en général abandonnés à leurs seules ressources personnelles. Un refuge est vite submergé. Là comme ailleurs, la mode imposée par les éleveurs et la publicité des fabricants d'aliments ont stimulé une frénésie d'achat dont les conséquences sont la versatilité du public et la cupidité des éleveurs et des marchands. La "rentabilité" exige qu'une femelle d'une race "vendeuse" ponde et ponde jusqu'à en crever. On achète par caprice, le caprice passé on est bien emmerdé, et comme on n'est pas des tueurs on se débarrasse, au plus proche refuge. Et là, c'est le chantage cynique de tout à l'heure : "Vous le prenez ou je vais le perdre". C'est exactement le coup de l'otage à qui le malfrat a mis le couteau sur la carotide : "Vous me la donnez la caisse ou je l'égorge." On ne sait pas assez, même chez ceux qui considèrent l'animal comme un être vivant et souffrant à part entière (je n'aime pas dire "amis des bêtes"), quelle terrible et décourageante corvée est la gestion d'un refuge quand on dispose de peu de moyens. Pour un animal placé à grand-peine, il en arrive dix, vingt, cent ! Cela vous dévore la vie, vous écrase sous une conviction d'inéluctable impuissance. Beaucoup de petits refuges de province luttent envers et contre tous, ignorés, méprisés, abandonnés à leurs seules ressources, et, cela va de soi, en butte aux sarcasmes des imbéciles et aux froncements de sourcils des vertueux qui jugent bien futile de s'occuper d'animaux alors qu'il y a tant de détresses humaines... Et quand l'apôtre qui a englouti sa vie dans un refuge meurt ou devient impotent, que deviennent les bêtes ? Pardi, l'euthanasie en masse par les services de l'hygiène publique, pas fâchés d'être débarrassés. Savez-vous que, si vous possédez plus de 9 chiens, vous devenez de ce seul fait "refuge" et devez déclarer la chose à votre mairie et à la D.S .V. (Direction des Services Vétérinaires) ? A partir de là, vous serez soumis aux inspections d'usage concernant les règles d'hygiène, de sécurité, etc. En somme le bénévolat est pénalisé. Tout se passe comme si la seule voie "normale" était l'euthanasie systématique, le sauvetage étant considéré comme anormal, suspect et fortement découragé. Il faut que l'animal cesse d'être considéré comme un objet, un bien "meuble" qu'on achète, qu'on vend, qu'on cède, avec à peine quelques restrictions concernant les "mauvais traitements", d'ailleurs bien légèrement punis. Il faut que la survenue d'un animal dans un foyer soit aussi grave, aussi importante, aussi contraignante que la naissance d'un enfant. C'est le formidable et trop prévu nombre d'abandons liés aux départs en vacances qui m'a mordu au cul. Savez-vous qu'ils font la queue aux portes des refuges, les enfoirés, avant d'aller faire bronzer leurs gueules de sales cons ? "Avec la planche à voile sur le toit de la voiture" m'a-t-on confié. Que leurs têtes, à ces sous-merdes, volent haut dans l'air, propulsées par les pales tranchantes des hélices des hors-bords, pêle-mêle avec celles des toréadors et des aficionados ! Vous qui les aimez, faites les STÉRILISER ! Les laisser proliférer est criminel : ce sont ces portées innombrables qui fournissent la matière première des vivisecteurs et condamnent les refuges au naufrage En occident, on versera un pleur de connivence sur la perte sèche, mais, n'est-ce pas, faut ce qu'il faut. Là non plus, pas sur les canards. Qui pleure sur un canard ? Je vais vous épater : moi, je pleure sur un canard. Ces multitudes de vies tolérées à seule fin de grossir le plus vite possible pour être transformées en merde par nous, 6 milliards de tristes connards, et balancé aux ordures toutes palpitantes parce que les traîtres connards ont peur pour leur petite gueule si importante. Oui, vaut mieux que j'arrête, je perds les pédales. Notre petit confort, nos petits bonheurs de gourmandise ont les pieds dans un marécage de sang, de merde, de souffrance et de superbe indifférence. Savez-vous quoi ? Je ne puis plus voir des vaches dans les champs, des moutons, des poules picorant sans, tout de suite après le premier attendrissement, sentir une main qui me broie les tripes en même temps qu'une voix me hurle dans la tête: "des condamnés à mort ! Ce sont tous des condamnés à mort !". J'essaie de me dire "ils ne savent pas." Je n'en suis pas très sûr. Et les oiseaux sauvages ? Ah ceux-là hein ? Eh bien ce sont des salauds. Méprisant les frontières et les embargos, ils transportent dans les migrations les sales virus et les sèment par le monde. Sus aux migrateurs ! Chasseurs, à vos fusils ! Tuez tout, on a pas le temps de leur regarder le blanc de l'œil ni de leur prendre le pouls." Avoir d'avantage pitié des bêtes que des hommes, c'est pas très bien vu chez les hommes. C'est considéré comme une sorte de désertion, de trahison, voire de perversion ou d'infirmité mentale. Mais bon dieu, nous sommes hommes par hasard. Tant mieux, j'aime bien comprendre le monde. Et c'est justement parce que je suis homme que je puis transcender cet instinct grégaire, irréfléchi, purement animal qui fait se serrer les coudes aux hommes, les incite à diviniser l'homme par-dessus toute créature. Réflexe spontané, réflexe normal. Normal chez une oie, chez un phoque, chez un hareng. Un homme devrait aller plus loin. C'est parce que j'essaie d'être vraiment, pleinement homme, c'est-à-dire une bête avec un petit quelque chose en plus, que je mets sur un pied d'égalité ce qui est homme et ce qui ne l'est pas. M'emmerdez pas avec votre St François d'Assise, je n'ai pas de paradis à gagner. Mon amour des bêtes est bien autre chose qu'un attendrissement devant le mignon minet, bien autre chose qu'une lamentation devant les espèces, j'm'en fous, je ne suis pas collectionneur d'espèces, des millions d'espèces ont disparu depuis que la première lave s'est figée. Seuls m'intéressent les individus. Mon horreur du meurtre, de la souffrance, du saccage, de la peur infligée fait de ma tranche de vie une descente aux enfers. Nous tous, les vivants, ne sommes-nous donc pas des passagers de la même planète ? L'homme n'a pas besoin de ma pitié : il a largement assez de la sienne propre. S'aime-t-il le bougre ! la littérature, la religion, la philosophie, la politique, l'art, la publicité, la science même n'intéressent les hommes que lorsqu'ils les mettent au premier plan, tous ne sont qu'exaltation de l'homme, incitations à aimer l'homme, déification de l'homme. Les bêtes n'ont pas, si j'ose dire, la parole. Elles n'ont pas d'avocat chez les hommes. Elles ne sont que tolérées. Tolérées dans la mesure où elles sont utiles, ou jolies, ou attendrissantes. Ou comestibles. Les hommes les ont ingénieusement classées en animaux « utiles » et animaux « nuisibles ». Utiles ou nuisibles pour les hommes, ça va de soi. Les chinois ont patiemment détruit les oiseaux parce qu'ils mangeaient une partie du riz destiné aux chinois. De quel droit les chinois sont-ils si nombreux qu'il n'y a plus de place pour les oiseaux ? Du droit du plus fort, hé oui ! Voilà qui est net ! Ne venez plus m'emmerder avec votre supériorité morale. Ni avec vos bons dieux, faits à l'image des hommes, par les hommes, pour les hommes. Si les petits cochons atomiques ne mangent pas l'humanité en route, il n'existera bientôt plus la moindre bête ni la moindre plante « nuisible » ou « inutile ». Le travail est déjà bien avancé et le mouvement s'accélère. La mécanisation libèrera -peut-être - l'homme du travail « servile ». Elle a déjà libéré le cheval : il a disparu. On n'a plus besoin de lui pour tirer la charrue, il n'existe quasiment plus à l'état sauvage, adieu le cheval. Oui, on en gardera quelques-uns, pour jouer au dada, pour le tiercé, pour le ciné, pour la nostalgie. L'insémination artificielle a déjà réduit l'espèce « bœuf » à ses seules femelles. Un taureau féconde -par la poste- des millions de vaches. Oui, on s'en garde quelques-uns pour les corridas, spectacle d'une « bouleversante grandeur » où l'homme, intelligence « sublime », affronte la bête, les yeux dans les yeux ... oui, on se garde quelques faisans, quelques lapins, quelques cerfs ... pour la chasse. On se garde quelques éléphants pour que les petits merdeux aillent les voir dans les zoos, et quelques autres dans des bouts de savane pour que les papas des merdeux aillent y faire des safaris-photos après le déjeuner d'affaires. Pourquoi je m'énerve comme ça ? Parce que je les voudrais semblables à ce qu'ils se vantent d'être, ces tas : un peu plus, un peu mieux que les autres bêtes. Mais non, ils le sont, certes, mais pas assez. Pas autant qu'ils croient. A mi-chemin. Et à mi-chemin entre ce qu'est la bête et ce que devrait être l'homme, il y a le C**. Et le C** s'octroie sans problème la propriété absolue de la Terre et de tout ce qui vit dessus, et même l'univers entier, tant qu'une espèce plus forte ou plus avancée techniquement mais tout aussi C** ne l'aura traité lui-même comme il traite ce qui lui est « inférieur » « inférieur ». Rien que ce mot ! Il y a même toute une hiérarchie...." François Cavanna
  13. oupsmumu1

    petite nouvelle

    Une dernière et de taille : (J'ai élevé Alex seule jusqu'à l'âge de 9 ans et ai rencontré Chris qui a depuis reconnu légalement Alex) : On regardait tout les deux la TV et il y avait un questionnaire à plusieurs réponses qui avait pour sujet si à l'âge de 13 ans, un enfant peut choisir en cas de divorce avec qui habiter. Alex : si vous vous séparez avec papa à 13 ans je peux choisir ? moi : comme on n'est pas marié et que papa ne t'a pas reconnu, je suis la seule responsable et c'est donc avec moi que tu irais, à moins que l'un ou l'autre fassiez une demande contraire. Alex : ........ moi : et si c'était le cas, avec qui tu choisirais d'aller ? Alex : (pensif) Avec toi parce que tout de même nous sommes du même sang et si j'ai besoin d'une greffe ou d'une transfusion, il y a plus de chance que l'on soit compatible.
  14. oupsmumu1

    petite nouvelle

    C'est moi qui l'ai fait Pour revenir à Mattéo c'est un joli prénom.
  15. oupsmumu1

    petite nouvelle

    Relève les anecdotes, les bons mots, ses bêtises aussi : il adorera que tu les lui racontes plus tard. Mon fils a 19 ans et aime beaucoup que je lui raconte "lui" bébé ou petit enfant, ex : Il avait 5 ans et faisait du vélo sur la place et continuait dans la traverse derrière chez mes parents où se trouvait une voiture en stationnement d'une voisine : la voisine gentiment lui demande de ne plus passer dans la traverse car il risquait de rayer la voiture. Alex lui répond : "il n'y a qu'une personne habilitée à me donner des ordres et c'est ma mère". Ma voisine en est restée bouche bée et m'a raconté l'incident en riant aux larmes et en me disant qu'avec sa gueule d'ange, il lui avait cloué le bec tellement elle ne s'y attendait pas
  16. Je te dis pas comme il est en folie , dès que l'oiseau bouge dans sa cage, beck est derrière la porte. Hier Alex a enfermé Beck dans une chambre et a libéré l'oiseau dans la maison pour lui laisser se dégourdir les ailes (du coup on a chacun notre protégé). On a réglé le problème de la bouffe : une boite pour chien qui tronait sur une étagère (alors que Beck ne mange que des croquettes) et du coup, on a un oiseau qui a du chien, il a retrouvé de la vigueur et je pense qu'il survivra et que dans 15 jours on pourra le relacher (je pense car il n'a pas encore de plumes entre les ailes).
  17. oupsmumu1

    petite nouvelle

    Et ton fiston, comment s'appelle-t-il, caractère ?
  18. C'est ce que je pensais . Je suis sure (toujours été) qu'un jour je serais riche (faudrais pas que ça tarde trop et avant que je sois trop vieille)
  19. Oh non ! tu me donnes la nausée... quelle honte ! Comme l'on doit les parents boivent, les enfants trinquent : juste deux anecdotes de plus : Valérie gardait depuis bébé un petit garçon qui a finalement été proposé à l'adoption à l'âge de 10 ans (petit garçon turbulent et assez difficile), les services sociaux l'ont laissé 1an 1/2 avec la famille sans que l'adoption soit finalisée (la famille hésitait toujours et l'abrutissait de cachets) et c'est finalement le petit garçon replacé dans un foyer hors de Marseille qui a réussi à appeler Valérie "au secours" et Valérie a pu le faire réintégrer un foyer sur Marseille mais n'a pu le reprendre avec elle car elle a d'autres enfants en garde : le petit a maintenant 12 ans et elle le prend avec elle tous les 15 jours. Une des petites qu'elle garde "temporairement sur l'année scolaire" a 5 ans et l'école à l'autre bout de Marseille (un autre un peu plus grand avec l'école à côté de la maison) : donc course contre la montre le matin pour emmener l'un, prier pour qu'il n'y ait pas d'arrêt de métro pour pouvoir arriver à l'heure à l'école, sinon c'est retour à la maison avec la gamine. Parce que les services sociaux considèrent qu'il n'ait pas bon de la changer d'habitude. Pour permettre aux mamans de venir voir "leur gamin" (sur un autre) les sces sociaux payaient le taxi (alors qu'il y a le métro), le téléphone portable, une partie du loyer, etc....
  20. J'ai des voisines qui gardent des enfants de la DASS et elles en voient de toutes les couleurs et ont le coeur bien accroché, bien que souvent écoeurées par les services sociaux qui préviligient souvent les parents au détriment de l'enfant. L'une d'elles qui garde un frère et une soeur alors qu'ils avaient respectivement 3 et 5 ans, m'a raconté que les petits ne voyaient également plus leur mère depuis qu'elle avait signalé des attouchements sur la petite de 5 ans. Ma voisine avait douché la petite et la petite lui avait demandé de la "lécher" en disant que c'est ce que faisait sa mère. Je crois qu'après ça, on ne peut plus s'étonner de grand chose
  21. oupsmumu1

    jeudi 3 juin

    j'ai beugué : c'est pas en répétant que j'aurais 30 jours de congés
  22. oupsmumu1

    jeudi 3 juin

    Pas beaucoup de vacances 15 jours mais c'est déjà ça : la première semaine dans les alpes et du 17 au 24 à SETE en mobilhome avec piscine à 50 m de la plage : donc s'il y en a pas loin qui veulent venir passer la journée avec nous, m'envoyer un MP je laisserais mon portable
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