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Tout ce qui a été posté par nathalie40
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effectivement tes petites chiennes ont eu beaucoup de chance. je n'utilise jamais de produit dangereux, ni pour le limaces et escargot, ma fois s'il y en a dans mon jardin, tant pis...ni de poison anti taupe, pour les souris et autre truc de ce genre, j'ai des chats, rien de mieux et en plus ce n'est pas nocif pour mes chiens. nath
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Gadgette - Seconde opération - Péripéties....
nathalie40 a répondu à un(e) sujet de Béa et Gadgette dans Santé
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non, mais ce n'est pas ca, de toute facon meme si ma tante est une raleuse...lol! elle ne le mettrait certainement pas en refuge...ce n'est pas un sans coeur non plus. mais ils sont agé tout les deux et puis sortir le loulou, bien plus souvent qu'avant et ramasser....bien! je peut comprendre que ca soit fatiguant pour eux, il sont en appartement a paris et il n'y a meme pas de balcon. enfin! j'ai quand meme trouver des choses interessante, je vais leur reconseiller d'alle chez le veto, si ca peut eventuellement amelioré un peut les choses... nath
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tres interessant pour comprendre le pourquoi, un peut long certe, mais tres bien expliqué. bonne lecture La coprophagie DEFINITION ET GENERALI TES: Au sens étymologique du terme, la coprogphagie se définit comme l’ingestion (-phagie) d’excréments (copro-). Ce comportement s’avère normal et même vital pour certaines espèces comme les rongeurs et les lapins chez qui certains nutriments essentiels (vitamines du groupe B notamment) sont produites par les synthèses bactériennes de la flore du côlon. Les capacités d’absorption et d’assimilation de ces nutriments étant très limitées au niveau des portions postérieures du tube digestif, ces animaux doivent nécessairement ingérer leurs propres déjections (ou celles des congénères) sous peine de carence alimentaire grave. La coprophagie s’observe également chez d’autres animaux comme le porcelet, le poulain, les chiens et les singes mais de façon beaucoup moins systématique (6). Hormis le léchage normal des selles des jeunes chiots par leur mère qui permet un toilettage et une stimulation périnéale du réflexe de défécation, la coprophagie régulière est considérée comme un trouble du comportement alimentaire chez les carnivores domestiques. Ce vice admet souvent des causes favorisantes qu’il convient d’explorer avant toute tentative de traitement diététique, médical ou comportemental. FACTEURS FAVORISANT LA COPROPHAGIE: En règle générale, un excrément dans lequel persistent des nutriments peu ou pas digérés (matières grasses, fibres musculaires, amidon) reste « appétissant » aussi bien pour l’excréteur que pour ses congénères. C’est la raison pour laquelle il ne faut pas toujours rechercher la cause d’une coprophagie chez le mangeur mais parfois chez son colocataire… La persistance d’éléments non digérés dans les selles peut être liée aux origines suivantes : Parasitoses digestives: De nombreux parasites digestifs du chien (helminthes ou protozoaires) peuvent être à l’origine d’un phénomène de malabsorption-maldigestion chez le chien en perturbant l’assimilation glucidique, protéique ou lipidique de la ration : ascarides, ankylostomes, trichures et Giardia sont les principaux parasites digestifs fréquemment retrouvés lors de coproscopies parasitaires collectives effectuées dans les chenils confrontés à la coprophagie. La coproscopie parasitaire est donc l’examen à effectuer en priorité lors de coprophagie. Le mélange d’échantillons de selles provenant de plusieurs chiens permet d’augmenter les « chances » d’identifier le ou les parasites en cause. Notre bilan effectué sur l’année 1999 montre que 90 % des chenils confrontés à de la coprophagie ont présenté une coproscopie parasitaire collective positive à au moins un parasite digestif. Signalons également que ce trouble du comportement alimentaire participe à l’accomplissement des cycles parasitaires en chenil et donc à la contagion et à l’auto-entretien du cercle vicieux « maldigestion – coprophagie ». Troubles du comportement Compétition alimentaire Le fait de nourrir plusieurs chiens en même temps (chiens de meute par exemple) provoque une « concurrence alimentaire » (peur de manquer) qui peut entraîner non seulement une accélération de la vitesse d’ingestion des repas mais également une surconsommation. Cette dernière peut être seule à l’origine d’une accélération du transit digestif conduisant à une mauvaise assimilation des nutriments. Par voie de conséquence, certains éléments non digérés peuvent se retrouver intacts dans les selles qui présentent alors une appétibilité résiduelle. Ennui, claustration, stress Certains chiens particulièrement anxieux ou insuffisamment stimulés par leur environnement peuvent présenter, par exemple au cours d’un séjour en pension, un épisode transitoire de coprophagie. Le stress, qu’il soit lié aux conditions d’élevage ou à un événement extérieur (orage, circulation nocturne de renards errants etc.) peut également initier ce trouble de comportement qui, par imitation, se propage rapidement à tous les pensionnaires. Troubles hiérarchiques Les chiens dominés sont enclins à se rouler dans les excréments de chiens dominant à l’occasion, par exemple, d’une promenade en forêt, ceci afin de s’imprégner des messages chimiques (« phéromones ») qu’ils véhiculent. Ces mêmes individus sont également prédisposés à la coprophagie. Enfin, les réprimandes infligées par un propriétaire ou un éleveur à un chien à la suite d’un épisode de malpropreté, risquent d’inciter l’animal à faire disparaître ses méfaits par un comportement coprophage. Atavisme Certaines races rustiques comme les Beaucerons, les chiens de chasse ou les chiens Nordiques sont plus fréquemment atteints de déficits en amylases (enzymes digérant l’amidon) et donc plus volontiers coprophages que d’autres. Le chiens de ces races, lorsque toutes les autres causes de coprophagie auront été exclues, pourront bénéficier d’une ration restreinte en amidon ou ayant subi des traitements thermiques (cuisson) et/ou mécaniques (écrasement) améliorant sa digestibilité. Si les chiens de grandes races semblent prédisposés aux troubles de la digestion ou de l’assimilation (la longueur de leur tube digestif étant proportionnellement plus réduite que chez les chiens de petit format), les petites races de type Shih-Tzu, Lhassa-Apso, Cavalier King Charles, Pékinois, Caniche, Cocker présentent paradoxalement plus souvent de la coprophagie en collectivité. Déficits enzymatiques De nombreux déficits enzymatiques, qu’ils soient d’origine pancréatique, hépatique, biliaire ou encore intestinale, favorisent l’excrétion d’éléments non digérés dans les selles, les fermentations et putréfactions au niveau du côlon (à l’origine de borborygmes et de flatulences) et les proliférations bactériennes. Parmi ces déficits, l’insuffisance pancréatique exocrine congénitale (fréquente chez certains chiens de grandes races prédisposées comme les Bergers Allemands) ou acquise (à la suite d’une pancréatite aiguë par exemple) est certainement l’affection la plus répandue dans l’espèce canine. L’insuffisance pancréatique exocrine se traduit au plan clinique par une polyphagie (augmentation de l’appétit), un amaigrissement et l’émission fréquente de selles bouseuses, d’aspect gras, mastic et décoloré. Ces symptômes s’observent également lors d’infestation du duodénum par des parasites unicellulaires nommés Giardia qui perturbent l’activité des enzymes pancréatiques qui se déversent dans le duodénum. D’après une étude datant de 1995 (2), environ 20 % des insuffisants pancréatiques présenteraient des symptômes de coprophagie et, parmi les chiens souffrant de cette affection, environ 60 % cesseraient d’ingérer leurs propres excréments après traitement aux enzymes pancréatiques. Toutefois, ces résultats ne peuvent être obtenus dans les collectivités canines au sein desquelles le comportement d’imitation entretient ce vice de comportement, même après traitement de la cause primaire. Gastrite chronique Le « pica » est un trouble du comportement alimentaire qui se traduit par une propension à l’ingestion d’herbe, de terre (tellurophagie), de cailloux ou au léchage des matériaux environnants (sols, murs, etc.). Ce trouble du comportement est parfois lié à une carence d’apport ou d’absorption. Les biopsies de muqueuse gastrique réalisées sur les carnivores (chats ou chiens) souffrant de pica ont montré que ces animaux souffraient plus fréquemment de « gastrite chronique » que les individus indemnes. Ainsi, contrairement à une idée répandue, le comportement de pica ne serait pas majoritairement lié au parasitisme (l’on croit que l’animal « se purge » en mangeant de l’herbe) ou à une carence alimentaire mais plus souvent à un phénomène que l’on pourrait qualifier « d’irritation stomacale » incitant l’animal à ingérer ou à lécher toute sorte de matières a priori non comestibles et de préférence riches en fibres insolubles (lignine du bois par exemple) pour se « gratter » l’estomac. La coprophagie pourrait alors être incluse dans le syndrome « pica » et certains chiens coprophages classés parmi les patients potentiellement atteints de gastrite chronique. Ceci est important lorsque l’on sait que la gastrite chronique est une affection prédisposant au syndrome dilatation-torsion de l’estomac chez les chiens de grande taille. Mauvaise digestibilité de l’aliment Bien que rare dans nos régions, l’ingestion d’aliments peu digestibles de piètre qualité (affection appelée « generic dog food disease » par les anglo-saxons) conduit soit à un déséquilibre de la flore bactérienne du colon d’origine glucidique (céréales, fibres végétales) responsable de la production d’acides gras volatils par fermentation dans les matières fécales, soit à la production de déchets putrides par mauvaise digestion protéique (cas des aliments contenant du collagène mal cuit des tendons ou de la kératine de poils, de cuir, de cornes ou de plumes) (5). Bien que répugnantes pour l’homme, ces matières fécales altérées peuvent présenter une appétibilité résiduelle pour les chiens et donc inciter à la coprophagie. Carences vitaminiques Expérimentalement, la carence en vitamine B1 (Thiamine) commence par provoquer chez le jeune chien Beagle une baisse d’appétence, puis des retards de croissance. Dans une seconde phase, la carence plus prolongée se traduit par un amaigrissement et de la coprophagie. Enfin, le dernier stade de carence laisse apparaître des troubles nerveux et se termine par une mort subite (9). Notons que, dans ce cas, la coprophagie n’est pas, loin s’en faut, le premier symptôme à apparaître et que la carence en thiamine est exceptionnelle de nos jours compte tenu de son omniprésence à concentration variable dans les tissus animaux et végétaux. L’adjonction systématique de vitamines B aux rations alimentaires de chiens coprophages ne se justifie donc pas si ces derniers sont par ailleurs en bon état général, même si cet apport supplémentaire ne présente généralement aucun risque de toxicité et semble jouer un certain rôle répulsif en modifiant l’odeur des selles. Excrément d’animaux d’espèces différentes Une étude récente datant de 1998 (1) estime à 45 % la proportion de chiens sains qui consommeraient volontiers, s’ils en avaient l’occasion, des selles de … chats ! La consommation occasionnelle de selles de chats ne doit donc pas être considérée comme un trouble du comportement alimentaire chez le chien. De même, l’ingestion de bouses de vaches ou de crottin de cheval par des chiens de ferme s’apparenterait plus à un comportement de pica qu’à une coprophagie vraie. RISQUES LIES AU COMPORTEMENT DE COPROPHAGIE La coprophagie présente peu de risques sanitaires chez le chien qui bénéficie d’une acidité gastrique capable de neutraliser la majorité des bactéries potentiellement pathogènes. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles les toxi-infections alimentaires collectives sont exceptionnelles en chenil, contrairement aux risques rencontrés dans l’espèce humaine en restauration collective. Le risque majeur à prendre en compte lors de coprophagie en chenil reste celui de la transmission des parasites. En effet, la coprophagie, qu’elle soit involontaire (souillure des gamelles par des contaminations fécales) ou spontanée, facilite notamment la transmission féco-orale de kystes de Giardia ou de formes de résistance rapidement infestantes (ookystes de coccidies ou cryptosporidies). Un auteur (4) signale toutefois le cas clinique rare d’un Berger Allemand mâle de 4 ans souffrant d’une occlusion gastrique faisant suite à l’ingestion répétée de bouses de vaches et de crottins de cheval utilisés comme engrais dans un champ… TRAITEMENT DE LA COPROPHAGIE Le choix du traitement dépend naturellement de la cause primaire lorsque celle-ci a pu être identifiée. En effet, avant de choisir un traitement, il faut tenir compte non seulement des conditions d’élevage (mode de distribution des repas, composition de la ration, comportement alimentaire des chiens, nature de l’environnement) mais aussi des résultats d’une véritable « enquête » visant à identifier l’individu qui a le premier présenté ce trouble du comportement qui, par la suite, s’est étendu à l’ensemble de l’élevage. Il devient ainsi possible, par exemple, de faire la différence entre une enzootie de giardiose (extension progressive des troubles), une insuffisance pancréatique isolée (tous les chiens consomment les selles provenant du même individu) ou une diarrhée de surconsommation (accélération du transit digestif liée à une concurrence alimentaire ou à un stress collectif). Toutefois, quelle que soit l’origine des troubles, certaines mesures peuvent être systématiquement mises en œuvre en cas de coprophagie en chenil : Traitement du parasitisme digestif: Si la coproscopie parasitaire collective fournit des résultats positifs, quels que soient les parasites digestifs identifiés, il importe de considérer l’ensemble de l’élevage comme potentiellement infesté et de traiter simultanément tout l’effectif (parfois pendant 5 jours consécutifs en cas de trichurose) sans négliger l’assainissement de l’environnement et les possibilités de portage d’éléments infestant par le pelage des animaux (cas de la giardiose notamment). Le choix des produits dépend du cycle de développement du parasite en cause et de son mode d’action. Une vermifugation « en aveugle » (sans coproscopie parasitaire préalable) est, pour cette raison, fortement déconseillée en cas de coprophagie en élevage non pas à cause d’une éventuelle toxicité mais surtout à cause des risques d’inefficacité. Lors de coproscopie parasitaire positive, le seul traitement antiparasitaire suffit parfois à atténuer la coprophagie en moins d’une semaine. Toutefois, il importe de poursuivre le traitement médical par une thérapie comportementale pour "déshabituer" progressivement les animaux qui auraient pris goût à ce vice. Traitement des excréments : Le retrait rapide des excréments dès leur émission réclame beaucoup de temps et de disponibilité de la part de l’éleveur au cours de la thérapie de déconditionnement. Il est également possible de provoquer une aversion chez les chiens vicieux afin qu’ils associent l’ingestion d’excréments à une sensation désagréable immédiate (collier actionnable à distance, pistolet à eau, etc.). A cet effet, l’éleveur pourra recourir à divers stratagèmes tels que le saupoudrage des excréments à l’aide de poivre ou de répulsifs (moutarde, piment, quinine, For-Bid ) pour dissuader les chiens de recommencer. Par ailleurs, l’adjonction de levure de bière à la ration alimentaire pourrait, dans certains cas, atténuer les phénomènes de coprophagie, sans doute par modification de l’odeur des selles. suite au poste "-2- la coprophagie...suite"
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oui, evidement que c'est a cause de son age, je me demandais si certaine d'entre vous avais deja rencontre ce probleme et si votre veto vous avait peut etre proposé un traitement qui aurait pu amelioré les choses. je comprend bien le cas de ton léo, claire, pour le loly de mon oncle, je ne sais pas si il a un traitement pour quelque chose?? en faite ca me touche beaucoup , parce que ce cocker, c'est Lollipop, le chien de mes parents qui sont deceder il y a dix ans maintenant, a l'epoque je l'avait tout naturellement recuperé, mais ca a ete trop compliqué...et je n'ai pas su l'integré a ma famille...donc c'est le frere de mon pere qui la pris avec lui. voila pour la petite histoire. il vit en appart a paris et ma tante pet les plomp, parce que si j'ai bien compris ce pauvre vieux chien s'oublie un peut trop souvent....mais depuis le debut il est tres tres attaché a mon oncle et ma tante me dit que ce qu'il lui faut c'est un jardin et me propose de le recuperer...moi ca ne me poserais pas de probleme, mais il est tellement attacher a mon oncle qui ce l'emene partout que le pauvre je crois qu'il ne le supporterait pas. nath
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ben en faite je ne sais pas trop, mais je pense que c'est plutot du a son grand age, je crois qu'a ses ages la c'est souvent du a une defaillance reinal, forcement les organes sont "usé". et puis nous n'en avons pas discuté bien longtemp, je ne sais pas trop en faite si son chien fait plus souvent et qu'il a du mal a ce retenir ce qui fait qu'il fait de plus en plus souvent dans l'appartement(les sortie quotidienne ne suffise plus comme avant), ou si il le retrouve mouillé quand le chien ce leve de son panier... oui cecile, un chien...les vieux chien male souffre aussi d'incontinance, peut etre pas pour les meme raison qu'une chienne qui fait que l'on leur prescrit du propalin. merci deja pour vos reponse nath
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comme je sais que certaine d'entre vous on des vieux chiens, je me demandais si il existe des traitements pour le chien agé qui souffre d'incontinance. en faite c'est pour le chien de mon oncle, un cocker anglais de 13 ans. si vous avez des infos sur le sujet, merci de me les transmettre. je lui ai conseiller d'en parler a son veto. mais le vecu des un et des autre est toujour tres instructif. nath
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oui pourquoi pas, ca peut peut etre aider, ceci dit nos loulous ont en general une bonne alimentation, donc...est ce bien utile??? tout en sachant que la vitesse de pousse de poils est genetique, il y en a qui ont une pousse plus rapide que d'autre, je pense qu'une bonne alimentation, avec des soins d'entretient classique pour le poils et de la patience...c'est ca qu'il te faut...de la patience... sans compter que ses complements alimentaire sont plutot onéreux. nath
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et tu leur met quel frequence??je ne sais pas moi...parce que france musique ou nostalgie c'est peut etre pas extra pour entendre des bruits varier... les films TV c'est pas mal aussi, il y a des films d'action qui bruite pas mal...bon apres faut pouvoir les avoir dans son salon, ou installer la tv dans sa nursery... nath
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mon york aboit pour un rien!!!
nathalie40 a répondu à un(e) sujet de danou11 dans Comportement / Education
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