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nathalie40

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Tout ce qui a été posté par nathalie40

  1. completement d'accord avec les propos d'yvette nath
  2. je ne sais pas quel est la meilleurs solution mais pour ma part, mes deux york on passer les premieres nuit dans mon lit, puis a coté de mon lit dans un dodo avec un tapis de propreté a coté pendant quelque jour. moi je trouve que ca les rassure et que ca rend la separation d'avec leur famille de naissance plus douce avec l'avantage de leur proposé notre protection pour qu'ils ai confiance. puis ensuite en parc pour enfant avec dodo et tapis a l'interieur, toujour dans ma chambre. pour mes deux biewer, je ne l'ai pas fait, ils dormaient au depart en parc au salon, mais ils etaient deux, c'est plus facile. ensuite ils ont passer plusieurs mois dans ma chambre en parc pour enfant aussi. certain recalcitrant a la propreté nocturne on passé plusieurs mois en vary kennel, pour regler le probleme, ca a plutot bien fonctionner. seulement vers l'age de 6 ou 8 mois, je trouve qu'avant ils sont trop petit et que c'est normal qu'ils n'arrive pas a ce retenir, a cette age la ils sont plutot ado et c'est a cette age la qu'il faut surtout pas lacher sur la fermeté, parce que c'est l'age au quel ils s'affirme et ou ils auraient tendance a prendre le dessus. a present ils ont un ans et dix huit mois et dorment en cage, deux par deux, les biewer au salon et les york dans ma chambre, he! oui clovis n'aime pas dormire loin de moi, quand il est au salon il n'aime pas et il jappe doucement...lol! et pendant les chaleurs, les femelles sont au salon et les males dans ma chambre toujour en cage pour la nuit. voila pour ce qui ce passe chez moi. nath
  3. ca c'est vrai qu'il y en a qui on un affixe et qui font egalement du non lof...et ils ne s'en cache pas... effectivement c'est pas tres clair tout ca... les porter non lof doivent etre au nom de quelqu'un d'autre ou alors ce sont des eleveurs qui font des abandons de porter au profit d'une autre personne, comme ca ca reste en regle avec la scc... c'est pas tres choouette, tout de meme, mais il y a toujour une faille pour s'y mettre dedant. nath
  4. a mon avis pour DDL, si l'eleveuse n'a pas encore l'acceptation pour son affixe, ton chien n'aura pas le nom de son elevage. par contre cela n'a rien a voir avec le faite que la portée soit bien inscrite au LOF, tu aura normalement le certificat de naissance de ton chien (pedigree provisoire) avec tout sa genealogie. un affixe n'est pas une obligation pour etre eleveur, ni un gage de qualité, c'est ni plus ni moins qu'un nom de famille en quelque sorte que les eleveurs achete a la SCC pour donner leur nom au chiens née chez eux, comme ca c'est plus simple de savoir d'ou vien un chien. je crois qu'il y a beaucoup d'incomprehention, que ce soit sur les affixes, la declaration au LOF, l'identification d'un chien...et je ne parlerais meme pas des denomination d'elevage pro, amateur, familliale en plus chaqu'un l'entend a sa facon...mdr! nath
  5. ah! d'accord, donc tu peux mettre le nom du producteur d'un chien qui t'appartient, avec ton affixe pour des chiots née chez toi. avec l'autorisation du producteur... j'ai souvent remarqué ca, mais pas sur des affixes en France, tu sais pourquoi? desolé de t'embrouiller clémence
  6. moi aussi j'ai une question????? par exemple sur le pedigree de clovis, son grand pere c'est Rothby's Rockafella at amwend, ses proprietaires sont les Robine Masters, ils ont importé ce chien des USA. la mere de clovis c'est U'na Rothby's des Robine Masters. pourquoi elle ne s'appel pas U'na des Robine Master? et qu'elle a a son nom de son pere?
  7. j'espere qu'il va mieux, vivement les nouvelles... nath
  8. oh! mince! j'espere de tout coeur que ca va aller, pauvre petit bout nath
  9. je vais voir ce que je trouve... nath
  10. nathalie40

    Grosesse ?

    on ne dit pas grossesse pour une chienne, mais gestation. desolé si je passe pour une emerdeuse, mais ca me choque toujour... nath
  11. nathalie40

    Combien ça coûte ?

    castration chien plus antibiotique..............143e extraction dentaire plus antibiotique............85e
  12. ne t'inquiete pas je comprends et puis nous n'allons pas polemiqué la dessus, on pourrait ce faire des noeux au cerveau... entre race et varieter la marche n'est pas large... nath
  13. bon! tant pis...je posais la question parce que justement j'en avais un qui sortait de la douche et qu'il n'etait pas encore huilé...c'est plus joli pour les photos. dommage! a toi bea et a toutes celle qui aime mes biewer nath
  14. ah! ben j'ai une idée , si c'est avec un biewer ca va aussi? nath
  15. nathalie40

    Tits mots d'amouuurrrr

    c'est rigolo chez moi pour ayleen c'est ayleenounette, ma grosse mémére, pour cléo c'est ma sauterelle, ma filfille et quand elles font des betises c'est connasse... pour pepilli c'est pepilou, poulou, pour clovis c'est mon cloclo, mon garcon, mon pépére, mon p'tit cheri et quand ils font des betises c'est p'tit trou du cul... c'est pas toujour joli joli mais j'assume... nath
  16. ah oui je n'y avais pas penser... c'est pour ca que j'avais fait deux poste justement , parce que ca ne rentrait pas
  17. remarque quand tu vois la longueur de la partie 1, tu te dit 'ah! non il y en a encore... " c'est surement pour ca qu'il n'y a vait pas de reponse
  18. eh! non c'est pas fini ... Carences vitaminiques Expérimentalement, la carence en vitamine B1 (Thiamine) commence par provoquer chez le jeune chien Beagle une baisse d’appétence, puis des retards de croissance. Dans une seconde phase, la carence plus prolongée se traduit par un amaigrissement et de la coprophagie. Enfin, le dernier stade de carence laisse apparaître des troubles nerveux et se termine par une mort subite (9). Notons que, dans ce cas, la coprophagie n’est pas, loin s’en faut, le premier symptôme à apparaître et que la carence en thiamine est exceptionnelle de nos jours compte tenu de son omniprésence à concentration variable dans les tissus animaux et végétaux. L’adjonction systématique de vitamines B aux rations alimentaires de chiens coprophages ne se justifie donc pas si ces derniers sont par ailleurs en bon état général, même si cet apport supplémentaire ne présente généralement aucun risque de toxicité et semble jouer un certain rôle répulsif en modifiant l’odeur des selles. Excrément d’animaux d’espèces différentes Une étude récente datant de 1998 (1) estime à 45 % la proportion de chiens sains qui consommeraient volontiers, s’ils en avaient l’occasion, des selles de … chats ! La consommation occasionnelle de selles de chats ne doit donc pas être considérée comme un trouble du comportement alimentaire chez le chien. De même, l’ingestion de bouses de vaches ou de crottin de cheval par des chiens de ferme s’apparenterait plus à un comportement de pica qu’à une coprophagie vraie. RISQUES LIES AU COMPORTEMENT DE COPROPHAGIE La coprophagie présente peu de risques sanitaires chez le chien qui bénéficie d’une acidité gastrique capable de neutraliser la majorité des bactéries potentiellement pathogènes. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour lesquelles les toxi-infections alimentaires collectives sont exceptionnelles en chenil, contrairement aux risques rencontrés dans l’espèce humaine en restauration collective. Le risque majeur à prendre en compte lors de coprophagie en chenil reste celui de la transmission des parasites. En effet, la coprophagie, qu’elle soit involontaire (souillure des gamelles par des contaminations fécales) ou spontanée, facilite notamment la transmission féco-orale de kystes de Giardia ou de formes de résistance rapidement infestantes (ookystes de coccidies ou cryptosporidies). Un auteur (4) signale toutefois le cas clinique rare d’un Berger Allemand mâle de 4 ans souffrant d’une occlusion gastrique faisant suite à l’ingestion répétée de bouses de vaches et de crottins de cheval utilisés comme engrais dans un champ… TRAITEMENT DE LA COPROPHAGIE Le choix du traitement dépend naturellement de la cause primaire lorsque celle-ci a pu être identifiée. En effet, avant de choisir un traitement, il faut tenir compte non seulement des conditions d’élevage (mode de distribution des repas, composition de la ration, comportement alimentaire des chiens, nature de l’environnement) mais aussi des résultats d’une véritable « enquête » visant à identifier l’individu qui a le premier présenté ce trouble du comportement qui, par la suite, s’est étendu à l’ensemble de l’élevage. Il devient ainsi possible, par exemple, de faire la différence entre une enzootie de giardiose (extension progressive des troubles), une insuffisance pancréatique isolée (tous les chiens consomment les selles provenant du même individu) ou une diarrhée de surconsommation (accélération du transit digestif liée à une concurrence alimentaire ou à un stress collectif). Toutefois, quelle que soit l’origine des troubles, certaines mesures peuvent être systématiquement mises en œuvre en cas de coprophagie en chenil : Traitement du parasitisme digestif: Si la coproscopie parasitaire collective fournit des résultats positifs, quels que soient les parasites digestifs identifiés, il importe de considérer l’ensemble de l’élevage comme potentiellement infesté et de traiter simultanément tout l’effectif (parfois pendant 5 jours consécutifs en cas de trichurose) sans négliger l’assainissement de l’environnement et les possibilités de portage d’éléments infestant par le pelage des animaux (cas de la giardiose notamment). Le choix des produits dépend du cycle de développement du parasite en cause et de son mode d’action. Une vermifugation « en aveugle » (sans coproscopie parasitaire préalable) est, pour cette raison, fortement déconseillée en cas de coprophagie en élevage non pas à cause d’une éventuelle toxicité mais surtout à cause des risques d’inefficacité. Lors de coproscopie parasitaire positive, le seul traitement antiparasitaire suffit parfois à atténuer la coprophagie en moins d’une semaine. Toutefois, il importe de poursuivre le traitement médical par une thérapie comportementale pour "déshabituer" progressivement les animaux qui auraient pris goût à ce vice. Traitement des excréments : Le retrait rapide des excréments dès leur émission réclame beaucoup de temps et de disponibilité de la part de l’éleveur au cours de la thérapie de déconditionnement. Il est également possible de provoquer une aversion chez les chiens vicieux afin qu’ils associent l’ingestion d’excréments à une sensation désagréable immédiate (collier actionnable à distance, pistolet à eau, etc.). A cet effet, l’éleveur pourra recourir à divers stratagèmes tels que le saupoudrage des excréments à l’aide de poivre ou de répulsifs (moutarde, piment, quinine, For-Bid ) pour dissuader les chiens de recommencer. Par ailleurs, l’adjonction de levure de bière à la ration alimentaire pourrait, dans certains cas, atténuer les phénomènes de coprophagie, sans doute par modification de l’odeur des selles. Modalités d’alimentation L’analyse micrographique des excréments qui présentent une appétibilité résiduelle pour les congénères est un examen qui apporte de nombreux renseignements sur l’origine de cette appétence (12). En effet, si cette analyse met en évidence dans les selles convoitées une maldigestion protéique (persistance de fibre musculaires non hydrolysées dans les selles par exemple), une malassimilation lipidique (persistance de globules gras) ou encore une maldigestion amylasique (persistance de grains d’amidon), un traitement diététique de l’animal concerné visera à adapter les apports alimentaires à ses capacités digestives et permettra, par voie de conséquence, de tarir la source primaire de la coprophagie. Si cette analyse révèle des troubles de l’assimilation sur l’ensemble des chiens en l’absence de parasitose concomitante, il est alors conseillé d’opter pour un aliment plus digestible, généralement restreint en matières grasses et en fibres (10). Chez certains chiens Nordiques (Alaskan, Huskies notamment) dont l’équipement amylasique est souvent limité, il semblerait que la réduction de l’apport glucidique (ENA pour Extractif Non Azoté) permette une rapide résolution des symptômes de coprogphagie (10). Toutefois, certains auteurs (8) ont pu autrefois recommander une alimentation riche en fibres insolubles (celluloses) lors de coprophagie mais ceci ne nous semble pas indiqué à moins que la coprophagie ne soit accompagnée de pica (« chiens brouteurs d’herbe »). Quoi qu’il en soit, l’éleveur peut vérifier par lui-même la digestibilité de l’aliment en pesant les entrées (matière sèche ingérée) et les sorties (quantité de selles obtenues). Un aliment « haut de gamme » entraîne en moyenne chez un chien sain 40 à 50 grammes de résidus fécaux pour 100 grammes de matière sèche ingérée (sachant qu’un aliment sec ne contient généralement pas plus de 10 % d’humidité). Par ailleurs, il est recommandé de limiter la vitesse d’ingestion des repas afin que le chien en tire le meilleur parti. Pour ce faire, l’éleveur pourra dans la mesure du possible distribuer l’aliment à volonté (11) pour limiter la concurrence alimentaire ou fractionner les repas. Il pourra également séparer les chiens au moment des repas, placer un gros galet au milieu des gamelles pour obliger les chiens à saisir chaque croquette du bout de la langue ou encore éparpiller les croquettes dans de grands plats à paella pour les inciter à « picorer » plutôt qu’à « engloutir » leurs repas. Traitement des insuffisants pancréatiques Lors d’insuffisance pancréatique confirmée par dosage enzymatique, le traitement des chiens atteints à l’aide d’aliments diététiques adaptés et, le cas échéant, d’enzymes pancréatiques exogènes suffit généralement pour améliorer rapidement l’état général des malades (reprise de poids, baisse du volume des selles et de la fréquence des défécations, réduction des flatulences et des borborygmes) mais, curieusement, ne semble pas influer sur leur comportement alimentaire (polyphagie, coprophagie, soif), ni même sur la couleur et la consistance des selles (7). Modification des conditions environnementales Lorsque toutes les autres causes de coprophagie ont été exclues, l’hypothèse de coprophagie d’origine psychogène peut être retenue. Dans ce cas, il est conseillé de passer en revue toutes les conditions environnementales susceptibles d’induire stress, ennui ou anxiété chez les pensionnaires. Il sera alors utile de favoriser les distractions (détente, jouets, Agility…), d’éviter les punitions inadéquates, de nettoyer les boxes et les courettes en l’absence des animaux en faisant mine d’ignorer ce comportement indésirable, voire, dans les cas extrêmes, de recourir aux anxiolytiques en tant que traitement auxiliaire de la thérapie de déconditionnement. CONCLUSION On le voit, la coprophagie en chenil est loin d’être une fatalité si l’on prend la peine d’en explorer l’origine en menant, avec son vétérinaire, une véritable enquête. De nos jours et avec les examens complémentaires peu coûteux qui sont à sa disposition, l’éleveur ne peut plus se contenter de solutions évasives du genre "c’est d’origine alimentaire" ou "c’est d’origine comportementale" ou encore "c’est normal". Ce qui nous permet de conclure par la célèbre boutade "si le mal de tête était une carence en aspirine, la coprophagie serait une carence en m… "!
  19. ben je vais le remettre, lisez au moins la conclusion... nath
  20. d'ailleur, ou est passer la suite... nath
  21. c'est surtout, que pour une fois j'ai trouver des choses interessante et clairement expliqué sur le sujet. j'ai pensé que ca pouvait eventuellement rendre service. alors oui quand ils etaient plus petit, c'etaient assé recurant chez moi de la part de certain de mes chiens, maintenant ca va mieux, sauf pour les crottes de chat, alors la...je n'ai pas encore trouver la solution, a part les surveiller de pres et de veiller a ce qu'il n'y ai pas d'endroit meuble dans le jardin qui pourrait attiré les chats pour faire leurs besoins. a croire que c'est du caviar, ses crottes de chat, remarquez ca ne m'etonne qu'a moitier, elles ne sentent pas pareil, ca sens le vomis les crottes de chat...et les chiens aime le vomis. eh! oui, desolé pour ses petites remarque, mais c'est aussi avoir le nez dans la merde tout les jours quand on ce lance dans l'elevage nath
  22. encore toute mes felicitations pour ses beau p'tit bout de chiens et bonne continuation, pour tout ce que tu entreprends, c'est beaucoup de travail et d'investissement nath
  23. nathalie40

    empoisonnement

    oui mais les femmes sont des hommes comme les autres... et je n'aime pas le foot pour la biere, ce n'est qu'avec moderation, comme tout d'ailleur, je n'aime pas les excets en tout gendre... nath
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