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animo-aequoanimo

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Tout ce qui a été posté par animo-aequoanimo

  1. Oui, cette limite de 5 ans est totalement absurde. Cela démontre exactement à quel point les animaux sont des objets.
  2. L'homme dans toute sa splendeur...
  3. Un homme d'Orillia, une municipalité ontarienne située à 135 km au nord de Toronto, a été condamné à 14 mois d'emprisonnement pour avoir tué un petit chien qui a été retrouvé mort dans un terrain de stationnement d'un immeuble à logements, deux jours avant Noël. Le chien, un mélange pug/shih tzu, était âgé de trois ans. Il a été retrouvé sans vie, le 23 décembre, avec des marques apparentes de traumatisme. Steve McGinn, 20 ans, avait été arrêté le 3 janvier, puis accusé d'entrée par effraction, d'avoir blessé et tué un animal et de bris de condition. Le chien ne lui appartenait pas. McGinn a aussi été accusé d'agression contre un homme le soir même où le cadavre du petit chien fut découvert. Les deux incidents ne seraient pas liés, selon la police. Le tribunal a aussi interdit à l'individu de posséder un animal pour cinq ans.
  4. Yes ! J'espère que cela se réalise. C'est une incitation à moins consommer de viande.
  5. C'est un véritable acte criminel et j'espère en effet que les coupables seront pris. L'huile de palme est de plus en plus utilisée. Il y en a souvent la mention parmi les ingrédients de diverses étiquettes de produits alimentaires.
  6. Oui, ça s'en vient. Ce n'est pas encore gagné car cela reste difficile mais il y a un bon petit bout de chemin de fait. La différence est perceptible entre le début de l'an 2000 et maintenant.
  7. 2 articles sur le sujet dans 2 journaux populaires. Excellent pour la cause ! Surtout qu'il s'agit d'une personnalité ! C'est encore mieux !
  8. Des fermiers d'Alice Springs, dans le centre de l'Australie, chassent le dromadaire. A votre avis qui pollue le plus, le 4x4 ou le dromadaire ? Les dromadaires ont été implanté en Australie au cours du XIXe siècle. Un dromadaire émet chaque année 45 kg de méthane, soit une tonne de CO2 en termes d'impact sur le climat. En Australie, où un million de ces animaux erre dans le désert, le gouvernement a décidé de remédier à leur prolifération et à leur contribution au réchauffement climatique : des crédits carbone pourraient bientôt être attribués aux chasseurs de dromadaires sauvages. Un mécanisme financier qui pourrait attirer les investisseurs souhaitant échanger ces crédits sur le marché du CO2 56 euros pour un dromadaire La «carbon farming initiative», en débat au Parlement australien, consisterait à attribuer 75 dollars australiens (56 euros) à un particulier ou une entreprise pour chaque dromadaire abattu. Responsables d'émissions de méthane, les dromadaires sont la cible du gouvernement australien qui incite la population à les abattre... Un dromadaire émet chaque année 45 kg de méthane, soit une tonne de CO2 en termes d’impact sur le climat. En Australie, où un million de ces animaux erre dans le désert, le gouvernement a décidé de remédier à leur prolifération et à leur contribution au réchauffement climatique: des crédits carbone pourraient bientôt être attribués aux chasseurs de dromadaires sauvages. Un mécanisme financier qui pourrait attirer les investisseurs souhaitant échanger ces crédits sur le marché du CO2. Les dromadaires, introduits en Australie au XIXe siècle, nuisent à la biodiversité locale, et sont dangereux en période de sécheresse, où ils attaquent les villages à la recherche d’eau. Mais, comme pour tous les animaux sauvages, leur contribution au réchauffement climatique n’est pas prise en compte dans les calculs officiels des Nations unies qui servent de base aux négociations internationales sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre. L'Australie souhaite étendre l'extermination des dromadaires en Afrique du nord, en Arabie-Saoudite et au Moyent-Orient. Au lieu de mettre sur le marché des voitures électriques ou doté d'un autre moteur non-polluant, au lieu de développer l'énergie solaire et tout type d'énergie libre qu'interdisent toujours les mêmes banquiers privés et firmes privées internationales, le gouvernement australien a choisi l'option de continuer son statut d'esclave soumis à la loi de ses maîtres, et rajoute à l'effet de serre un nouveau problème : celui d'un génocide animal. En effet, certains membres du Parlement australien veulent même aller plus loin et souhaiteraient, de concert avec les Etats-Unis d'Amérique, imposer une taxe sur les pays qui protégeraient tout type d'animal émettant un taux trop élevé de méthane. Cela serait d'autant plus facilité puisque les Etats-Unis occupent déjà l'Irak et l'Afghanistan. Le gouvernement américain réfléchit quant à lui à distribuer des rémunérations à ses soldats pour chaque dromadaire tué. On croit rêver. Après les photos de soldats américains posant à côté de leurs victimes irakiennes torturées, il faut s'attendre à voir la même chose avec des dromadaires, les américains ont trouvé un nouveau jeu, saluons ici l'intelligence des habitants de la soi-disant première démocratie du monde. Des associations écologistes australiennes ont déjà annoncé leur mécontentement et critiqué ce projet de loi international qu'elles jugent barbare et totalitaire. Encore une affaire à suivre qui devrait déclencher dans les prochaines semaines des débats houleux sur le net. Wikistrike appelle les résistants australiens et ceux des pays musulmans à défendre les dromadaires que ce gouvernement australien veut appliquer dans les pays concernés. Et surtout, opposez-leurs l'idée que pour lutter contre l'effet de serre la seule alternative démocratique est la mise sur le marché de l'énergie libre. La pollution est le fait de prime abord des voitures à essence, remplaçons-les par des voitures électriques. http://www.20minutes.fr/article/741603/australie-veut-tuer-dromadaires-sauver-climat ou http://www.20minutes.fr/
  9. Une femme qui partage sa maison et sa vie avec un cerf qu'elle a elle-même élevé s'est dite soulagée de pouvoir le garder avec elle. Janet Schwartz a obtenu le droit de le garder chez elle après que le ministère de l'Environnement de la Colombie-Britannique eut envisagé de le lui retirer. Mme Schwartz, une résidente de Ucluelet, a trouvé le chevreuil alors qu'il était un bébé abandonné de ses parents. Elle a décidé de le garder de le nommer Bimbo, en l'honneur d'une chanson de l'acteur et chanteur country Gene Autry. L'animal vit dans sa maison et dort sur son lit. Le ministre de l'Environnement, Terry Lake, a admis qu'en tant de vétérinaire, il comprenait qu'une personne puisse s'attacher à un animal. Il a aussi ajouté qu'il croyait qu'il serait risqué de laisser Bimbo quitter le domicile de Mme Schwartz puisqu'il n'avait rien connu d'autre. Plus tôt cette semaine, le ministère avait laissé entendre qu'elle devrait se départir du cervidé puisqu'il est illégal de garder un animal sauvage et que quelqu'un s'était plaint de sa présence dans la cour arrière de sa maîtresse. En 2009, les autorités avaient demandé à Mme Schwartz de se procurer un permis pour la possession de son animal de compagnie inusité, mais la permission lui avait été refusée.
  10. Merci, ma belle toi Entendu pour les fotes. M'a faire attention de pas trébucher.
  11. .. et le bâtiment est une perte totale. Ça aussi c'est grave pour eux.
  12. Dimanche 13 janvier à 19h00, et en rediffusion Lundi 14 janvier à 10h00 et Vendredi 18 janvier à 13h00 sur canal D Un documentaire qui raconte la vie de Paul Watson, fondateur de Greenpeace et de la Sea Shepherd Society. L'activiste s'est donné comme mission de sauver la planète et les océans. Il n'hésite pas à bafouer les lois et à s'en prendre aux gouvernements, corporations et braconniers, quitte à mettre sa propre vie en danger. Dénoncé par les uns, encensé par les autres, Watson ne laisse personne indifférent. Grâce à des images d'archives et des entrevues, le documentaire fait découvrir le caractère héroïque et l'ego plus grand que nature de ce personnage très médiatisé.
  13. Auparavant un grand importateur de produits d'animaux marins, Taiwan cesse désormais l'importation des produits d'animaux marins dont le phoque. MONTREAL—Humane Society International/Canada commends Taiwan for passing a landmark ban on trade in marine mammal products, including seal skins, but exempting products of traditional indigenous hunts. The Taiwanese Legislative Yuan passed the legislation with unanimous support following a multi-year campaign by Taiwanese animal protection group EAST in collaboration with HSI. “The compassionate actions of the Taiwanese Legislative Yuan will save countless seals and other marine mammals from a horrible fate,” said Rebecca Aldworth, executive director of HSI Canada. “The momentum to end trade in marine mammal products is growing and the sealing industry’s days are numbered. Instead of providing more pointless subsidies to artificially prop up this shameful practice, Canada should prohibit the slaughter and invest in a transition program for sealers.” "Citizens of Taiwan care deeply about animal welfare, and we do not want to trade in products of cruelty that the rest of the world has rejected," said Wu Hung, executive director of EAST. "I am very proud of the leadership Taiwan has shown in banning trade in marine mammal products. I hope that many other nations will follow suit, and that the Canadian government will finally do as the majority of Canadians and people around the world want and end the seal hunt for good." “Between 2003 and 2009, Taiwan imported 430,000 kilograms of seal oil, which made us the 4th largest importer of seal oil in the world. Through our trade in seal products, consumers in Taiwan were unintentionally involved in the killing of thousands of innocent seals in Canada," said Legislator Lin of the Legislative Yuan in Taiwan. "Taiwan's decision is an important step forward for animal protection and conservation in Asia." Canada’s commercial seal hunt is the largest slaughter of marine mammals on Earth. Because most Canadians oppose commercial sealing, the products of the seal slaughter are almost entirely exported. With the United States, European Union and Russia prohibiting trade in seal products, the Canadian sealing industry has sought to develop alternate markets in Asia, sparking protests in mainland China, Hong Kong, South Korea and Taiwan. EAST launched their campaign to secure a Taiwanese ban on seal product trade in 2010, achieving massive public support for the move and convincing many retailers in Taiwan to voluntarily discontinue sales of seal products. The prohibition on trade in marine mammal products cements Taiwan’s position and ensures that its trade in marine mammal products will never resume.
  14. Si je comprends bien, on ne mentionne rien sur ce qu'il adviendra, par exemple si on leur accorde ou non un autre délai pour se conformer faute de quoi ils arecevrainet une amende J'espère que cela ne sera pas sans conséquences pour les fautifs.
  15. Air Canada cease the transport of primates! In some fantastic news just before Christmas, Air Canada have won their battle with the Canadian vivisection industry to finally dispel a 1998 ruling by the Canadian Transportation Agency, (CTA), that prohibited Air Canada from banning the transport of primates. The ruling comes just in time for Air Canada’s Caribbean season, so flights that would have returned from the Caribbean stocked with animals stolen from the wild will now carry nothing more sinister than their paying passengers luggage. This is yet another blow to the Caribbean primate export industry because Air Canada was the last known air transporter of primates from the region and the farmers in St Kitts and Barbados will no doubt have been eagerly awaiting this opportunity to export some animals, but Jean Balau of the Barbados Primate Research Center this will be a particularly bitter blow as he was the original pursuant of the CTA ruling back in 1998 when Air Canada originally tried to ban primate transports! Nature magazine’s report on the news can be read below: Air Canada, one of the few major airline companies that still transports primates for research, was given the go-ahead to stop moving macaques and other non-human primates bound for research labs, after a decision today from its regulatory agency, the Canadian Transportation Agency (CTA). The airline applauded the decision and said that, effective December 22, it will require all non-human primate shippers to sign a declaration that the animals are not intended for research or experiments. The airline tried to abandon research primate transport more than a year ago, after the British Union Against Vivisection publicized the airline’s movement of monkeys from China to Canada. But Queen’s University, in Kingston, Ontario, and the Public Health Agency of Canada both filed complaints with the CTA, arguing that the proposed policy change was discriminatory and unjust. Today, the CTA disagreed, freeing the airline to remove itself from the dwindling list of passenger carriers that still transport lab-bound primates, such as the long-tailed macaques pictured here in a cargo hold en route to a European lab. The remaining primate-transporting carriers include Air France and United Airlines. (Nature took a close look at this issue earlier this year, in “Activists ground primate flights“. We also examined the pressure that activists are bringing to bear on cargo carriers such as UPS and FedEx, in “Lab animal flights squeezed“.) The CTA decision says that Air Canada’s proposed new policy would not be discriminatory, because it would apply to all shippers, not just Queen’s University, or groups like them. Admittedly, the agency writes, the rule change is bound to affect certain shippers, like research universities, adversely compared to others. But it says the airline has a “rational basis” for the proposed change: continuing to transport lab-bound primates could hurt Air Canada’s reputation and commercial interests. Martin Pare, a professor at the Centre for Neuroscience Studies at Queen’s University, says he is “shocked” by the transportation agency’s decision. With available airline carriers dwindling, he says, obtaining research primates could become a problem in Canada, which lacks a breeding colony of macaques. Canadian scientists may now need to discuss establishing such a colony, says Pare, who uses Rhesus macaques to examine side effects of drugs such as Ritalin. Animal activists celebrated the decision. ”The public can [now] book Air Canada flights with a clear conscience,” says Justin Goodman, director of the laboratory investigations department at People for the Ethical Treatment of Animals (PETA) in Washington DC. (The group was granted “interested person” status in the complaint, and nearly 19,000 people signed a PETA petition lobbying the CTA to allow Air Canada to change its policy.) Goodman says his organization will continue to focus its campaign on United Airlines. United’s global media relations unit did not immediately respond to a request for comment. Source: http://blogs.nature.com/news/2012/12/air-canada-to-stop-transporting-research-primates.html
  16. Je comprend la peine de cette dame. C'est tellement indignant.
  17. - documentaire "La face cachée de la viande" - dimanche, 9 déc. à 21:40 - durée 60 min.
  18. Séance spéciale, suivi d'un débat au cinéma "KINEPOLIS" (le plus grand d'Europe) de Lomme (Lille), en présence de l'équipe du film, Alf. A la suite du débat, l'équipe du film vous recevra pour une scéance de dédicace (sur affiche du film offerte) au "PLANET BOWLING" en face du cinéma. CINÉMA KINEPOLIS - ZA Du grand but, 1 Rue du Château d'Isenghien, 59160 Lomme - Lille : 03 20 17 04 00
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