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Air France se défend de maltraiter les singes
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La Grande Guerre des animaux - Eric Baratay
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Gendron s'excuse après avoir dit qu'il tuait des chats
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Huntingdon : Le maire Stéphane Gendron s'excuse après avoir dit qu'il tuait des chats errants Le maire de Huntingdon, Stéphane Gendron, a dû s'excuser pour avoir lancé à la blague, lors de son émission de radio, qu'il aimait tuer des chats avec son véhicule, même des chatons. Dans une lettre publiée sur le site web de son émission de radio, le maire Gendron reconnaît que le « ton humoristique noir » qu'il a employé était inapproprié pour aborder le sujet de la surpopulation des chats errants. « Lorsque je vois un chat dans la rue, j'accélère pour être sûr de ne pas le manquer », a entre autres lancé M. Gendron, lors de son émission. M. Gendron a même déclaré à l'auditoire qu'il avait reculé sur un chaton « qui venait de naître » avec une camionnette. « Je suis sûr qu'il n'a rien senti. J'étais assez content! », a-t-il ajouté. Ses excuses surviennent après que la SPCA a annoncé l'ouverture d'une enquête sur le maire. Stéphane Gendron s'était déjà exprimé à propos des animaux errants. Son conseil municipal a récemment adopté un règlement imposant la stérilisation des chats. « Dans une ville comme Huntingdon - et c'est la même situation ailleurs en région - nous ne disposons d'aucun refuge pour accueillir les animaux errants », écrit M. Gendron dans sa mise au point. « De plus, la situation financière d'une ville comme chez nous ne permet pas l'allocation de fonds publics pour une telle institution et encore moins un budget à consacrer annuellement à la stérilisation des chats errants sur notre territoire », note-t-il. Selon lui, la présence de chats errants sur sa propriété lui cause des ennuis. « Les chats errants sont une plaie urbaine », avait-il aussi lancé en ondes. « Dans l'état actuel des finances publiques, il est déplorable que nous devions utiliser l'argent des contribuables pour euthanasier un animal dont l'existence est due à un maître irresponsable. Malheureusement, c'est la moins pire des solutions afin de nous débarrasser d'une nuisance réglementaire », écrit-il dans sa missive. Alors que la lettre numérique offre des excuses et fait référence à de « l'humour noir », elle ne précise jamais catégoriquement s'il disait ou non la vérité sur les ondes. « Je conviens que les images utilisées n'avaient aucune utilité pour faire avancer le débat sur cette question demeurée sans solution à ce jour. Pour toutes ces raisons, je m'en excuse », écrit aussi M. Gendron. Dans son enquête, la SCPA est à la recherche de gens disposant de preuves venant soutenir les affirmations prononcées à la radio par le maire. « Nous sommes évidemment horrifiés et outrés; pour quiconque, faire ce genre de commentaires serait terrible, mais le fait que M. Gendron est une personnalité publique, et quelqu'un élu par le public, rend les commentaires même plus horribles », a déclaré Alanna Devine, porte-parole montréalaise de l'organisation. Celle-ci a précisé que la police n'avait pas encore été contactée, puisque la SPCA dispose d'agents spéciaux pouvant faire respecter la loi et lancer des enquêtes. M. Gendron n'en est pas à sa première controverse; il a déjà prononcé des déclarations-chocs sur plusieurs sujets au cours des ans. L'an dernier, il s'est excusé pour avoir qualifié Israël d'État pratiquant l'apartheid qui ne méritait pas d'exister. Il a déjà perdu son poste dans un réseau de télévision après avoir émis des commentaires ayant provoqué de nombreuses plaintes. -
Charlotte a d'abord perdu son mari, « parti voir ailleurs », puis un emploi valorisant, et enfin sa santé. Ayant perdu le sommeil et l'appétit, elle fait l'erreur d'aller consulter un psychiatre, qui croit détecter en elle des troubles bipolaires. C'est parti pour un « rallye médical » : un médicament pour l'humeur, un autre contre l'anxiété, un autre pour le sommeil. Résultat : plus cinq kilos, des migraines, des nausées, un épuisement permanent. Les médecins y voient les effets du stress, et renforcent le traitement. Puis un jour, suite à une émission de télé, elle ressent le besoin de la compagnie d'un chat. Elle commence à nettoyer son appartement, une grande première depuis des mois… Sa première visite dans un refuge est la bonne. Elle revient avec un gros rouquin de trois ans, laissé pour compte pour cause de départ à l'étranger. « À peine arrivé, il a sauté sur le lit et s'est mis à ronronner en bavant. C'était le début d'une nouvelle vie, avec quelqu'un avec qui partager caresses, regards, instants de discussion, et des nuits, des vraies nuits entières de vrai repos bercé par son ronronnement et le pétrissage de ses papattes… ». À partir de ce moment, Charlotte peut diminuer les doses de ses médicaments, elle émerge la journée, et sa vie sociale prend un nouveau tour. Jusqu'à ce nouvel emploi qui signe sa guérison. Le chat, coach mental Le chat peut devenir notre coach mental. Il nous endurcit avec douceur… Le chat est entré dans les foyers en tant que protecteur des greniers à grain, pour lutter contre les rongeurs, lors des débuts de la culture des céréales. C'est donc dans le Croissant fertile, puis en Egypte et dans tout le bassin méditerranéen, que le chat fut d'abord domestiqué. Pour les navigateurs, la présence d'un chat dans leur vaisseau les protégeait contre les rats : c'était une assurance contre les épidémies. Ce rôle sanitaire a définitivement intégré les chats dans nos maisons, après les grandes épidémies de peste (années 1300). Mais cette explication purement utilitaire n'est pas suffisante : d'une part, bien d'autres animaux (chiens ratiers, furets) peuvent chasser les rongeurs ; d'autre part, le chat est devenu l'ami de l'homme, jusqu'à l'accompagner hors problèmes domestiques. Aujourd'hui, il n'a plus aucun rôle de gardiennage, mais il connaît un succès sans précédent : alors que le nombre de chiens diminue chaque année, le nombre de chats a augmenté de 20 % en 5 ans. Ils sont plus de 10 millions en France ! Le chat, pour remplacer le bébé ? Selon le vétérinaire comportementaliste Joël Dehasse, le chat, même adulte, constituerait un substitut de bébé pour l'homme. Il en a le poids, les bruits, la douceur, la chaleur, le goût des caresses. Et l'homme doit lui prodiguer des soins un peu comme à un bébé. Le chat nous apprend à communiquer À noter que le miaulement du chat est réservé à l'homme. Les chats ne miaulent pas entre eux. Bien que son registre d'expression soit assez limité, l'homme apprend rapidement à faire la différence entre le « mmr » jovial de salut ou de remerciement, le « mraou » qui quémande une caresse ou son repas, le « mmrraouu » nettement plus insistant, ou la plainte « miieeou » plus ou moins rauque selon l'intensité de l'émotion. Par ses mimiques du visage et ses postures, il réclame des réponses, il engage le dialogue, et il oblige déjà à comprendre le parler du chat. Il fait intervenir ses oreilles (dressées, rabattues en arrière ou écartées), ses yeux (écartement des paupières, tension des pupilles), ses postures de jeu, de méfiance, de séduction ou d'impatience. Il développe ainsi une communication globale avec l'homme, d'autant mieux comprise que le maître est disponible et attentif. Certains maîtres engagent ainsi une véritable discussion, en parlant à leur chat sur un rythme qui devient musical et des intonations qui vont du plus grave au plus aigu. Quand on dit : « Ouuuuh, le gentil minet, on lui a acheté une bouaaaate d'un nouveau patééééé au thon, comme il va se régaleeeeer ! » On sait l'influence des comptines, à la fois sur le bébé qui écoute, les yeux fixés sur sa maman, en essayant de saisir un sens qui vient peu à peu, et sur sa mère, pour qui ces instants de partage musicaux apportent plaisir et sérénité. Le chat crée un lien entre les personnes Il n'y a pas que les personnes solitaires qui parlent à leur chat. Ces conversations sont bénéfiques pour tous ceux qui s'y adonnent. Dans une salle d'attente de vétérinaire, c'est un festival d'exclamations et de compliments échangés entre clients. Bien entendu, le chat fait jouer. Et comme dans les jeux des enfants, c'est une manière d'apprendre à vivre avec les autres. C'est au cours de jeux avec sa mère que le chaton apprend à contrôler l'intensité de la morsure, voire à l'inhiber complètement, et à rétracter ses griffes. Sinon, gare à la réaction maternelle, qui consiste à plaquer au sol le chaton indocile et à le mordiller lentement jusqu'à ce qu'il cesse tout mouvement. Le chat nous lèche, le chat nous caresse… Le chat recherche en permanence le contact en douceur, avec des surfaces un peu rugueuses (tronc, moquette, bas de meubles), avec ses congénères, et bien sûr avec l'homme. Ce qui tombe bien car l'homme est lui aussi à la recherche de contacts rassérénants. Mais dans la société humaine, les contacts physiques sont très régulés car ils ont une connotation sexuelle. Ils ne s'effectuent que selon des rituels (danse, bisou familial, accolades viriles des sportifs…) très codifiés. Seuls les enfants en bas âge et nos compagnons domestiques sont tolérés de câlins « gratuits ». Le chat nous permet ainsi des gestes d'affection, des élans de tendresse, qui nous sont interdits par ailleurs. Les caresses du chat à l'homme se font par léchage ou par frottage de tout son corps. N'oublions pas ce pétrissage régulier, toutes griffes rentrées, généralement accompagnées d'un ronronnement en douceur… Nuits câlines… Le chat est quasiment le seul animal accepté dans le lit de l'homme. Parce qu'il est propre, sans odeur. Parce qu'il se laisse caresser. Parce que son pelage est chaud. Et bien sûr parce que son ronronnement nous apaise et nous endort. Le chat installé, le maître du lit n'ose plus bouger, de peur de le chasser. Les vibrations perçues par nos récepteurs cutanés (corpuscules de Pacini) font secréter des endorphines d'action très courte (quelques minutes) mais puissantes. Au total, un nuage de molécules calmantes, mêlé de pulsions émotives apaisées. L'écoute du ronronnement est une véritable thérapie, dont l'effet rivalise avec bien des antidépresseurs et des somnifères ! À votre santé ! Jean-Marc Dupuis, avec Jean-Yves Gauchet (vétérinaire).
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Embargo européen sur le phoque : L'Organisation mondiale du commerce rejette l'appel du Canada L'Organisation mondiale du commerce (OMC) reconnaît pour une seconde fois que l'Union européenne peut interdire les produits du phoque pour des raisons d'ordre moral. L'OMC s'est prononcée sur l'appel fait par le Canada et la Norvège sur la décision de l'Union européenne d'imposer un embargo sur les produits dérivés du phoque. En novembre, l'OMC avait conclu que cette interdiction ne respectait pas les règles commerciales internationales, mais l'organisme avait ajouté que l'interdiction pouvait être justifiée pour des raisons éthiques concernant le bien-être des animaux. C'est cet argument que contestaient le Canada et la Norvège. L'Union européenne avait justifié son embargo par les « préoccupations morales du public » jugeant les méthodes de chasse « cruelles ». Le Canada défend la chasse au phoque en affirmant au contraire que cette activité est durable, réglementée et exécutée sans cruauté.
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Cruaté animale : la SPCA enquête
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http://m.radio-canada.ca/regions/quebec/2014/04/21/007-mercy-for-animals-cruaute-veaux-pont-rouge-campagne-lundi.shtml (Video) Cruauté animale à Pont-Rouge : les pratiques d'une ferme de veaux critiquées L'organisation de protection des animaux Mercy For Animals Canada interpelle le Conseil canadien du commerce de détail (CCCD) sur la maltraitance qu'elle dit avoir constatée dans un élevage de 800 veaux de Pont-Rouge, près de Québec. L'organisme, qui a lancé lundi matin une campagne pancanadienne à Montréal, a dénoncé vivement des images qu'il juge choquantes et qui ont été filmées à la caméra cachée dans cette ferme. Stéphane Perrais, membre du conseil d'administration de Mercy For Animals Canada, a raconté qu'un enquêteur de l'organisme s'y est fait embaucher pendant deux mois, de décembre à février dernier. C'est à cet endroit qu'il a tourné des images qui montrent des travailleurs donnant des coups de pied et des coups de poing à des petits veaux. On voit aussi les travailleurs battre et électrocuter les bêtes, qui sont enfermées dans des cages souillées d'urine et d'excréments. Mercy For Animals Canada dit qu'une plainte a été transmise à la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux. Par ailleurs, Mercy For Animals Canada a lancé une pétition en ligne pour réclamer du CCCD l'interdiction de l'utilisation des petites cages à veaux, qui est généralisée dans l'industrie, dit Stéphane Perrais. « Ce type d'élevage est endémique et systémique dans l'ensemble de l'industrie. Chaque fois que nous allons faire des enquêtes en caméra cachée, et c'est notre cinquième en l'espace de 18 mois, nous trouvons toujours des cas de violence et de cruauté envers les animaux. Ce qu'il faut comprendre, c'est que dans ce cas-ci, les veaux que vous voyez sont élevés dans de petites cages en bois et que ces cages en bois sont le standard de l'industrie de l'élevage de veau », dit M. Perrais. Un cas isolé, assure la Fédération De son côté, Jean-Philippe Deschênes-Gilbert, directeur général à la Fédération des producteurs de bovins du Québec, déplore la situation. Il tient néanmoins à se faire rassurant et parle d'un cas isolé dans le cas de Pont-Rouge. « Pour la Fédération des producteurs de bovins, les images qu'on a vues, c'est des images qui sont inacceptables et ce n'est pas du tout ce qu'on constate que la vaste majorité des producteurs de lait, qui ont des pratiques tout à fait conformes aux normes de bien-être animal », assure-t-il. Quant à lui, le maire de Pont-Rouge Ghislain Langlais dit avoir été surpris d'apprendre la nouvelle. « Ça m'a surpris, parce qu'il me semble qu'en 2014, ça ne devrait pas exister des situations comme ça. Si j'avais été au courant de la situation, j'aurais tout simplement informé qui de droit. C'est dur », a-t-il réagi. Pour sa part, l'entreprise Délimax, de Saint-Hyacinthe, qui fournit des services à cette ferme d'élevage, a tenu à se dissocier de ce cas de cruauté animale. « C'est sûr que tous ces gestes-là sont tout à fait inacceptables. Je tiens à souligner que c'est une ferme cliente de notre groupe. Ce n'est pas une ferme qui nous appartient, ce ne sont pas des veaux qui nous appartiennent. C'est un client à qui on vend des services », a souligné le directeur du développement de Délimax, André Blais. Des voisins surpris Radio-Canada a tenté d'entrer en contact avec l'entreprise qui exploite la ferme et les propriétaires qui lui louent les installations, mais en vain. Dans le voisinage, les gens se disent surpris qu'une telle affaire se passe à Pont-Rouge. C'est le cas de Raymond Doré : « J'ai toujours vu fonctionner cette ferme avec les anciens propriétaires et ça allait très bien. Aujourd'hui, je ne connais pas les propriétaires actuels. C'est loué et je ne sais pas comment fonctionne l'entreprise. » Certains ont dit avoir constaté un roulement de personnel à cette ferme d'élevage située sur la route Grand-Capsa -
Le statut des animaux progresse dans le code civil
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Paris, le 24 avril 2014 - Les autorités viennent de certifier plus d'un million de signatures pour l'initiative citoyenne européenne Stop Vivisection. Ce dispositif mis en place en 2012 permet aux citoyens de proposer des modifications législatives dans l'Union européenne. Stop Vivisection est la troisième initiative citoyenne à poursuivre son parcours. La première condition était de collecter au moins un million de signatures dans au moins sept pays de l'Union. Stop Vivisection déposait 1.326.000 signatures fin décembre 2013. Les autorités concernées avaient dès lors trois mois pour certifier ces signatures. Avec un léger retard, c'est l'étape qui vient d'être franchie. Stop Vivisection sera donc la première initiative citoyenne à être examinée par le nouveau Parlement européen et la nouvelle Commission européenne. En septembre, Gianni Tamino et André Ménache, représentants de Stop Vivisection et tous deux scientifiques, seront reçus au Parlement européen. La Commission européenne devra donc répondre en octobre sur la suite qu'elle compte donner à cette demande de plus d'un million de citoyens européens. Créée par des chercheurs issus du CNRS, Antidote Europe participe activement à cette initiative citoyenne européenne car aucune espèce animale n'est un modèle biologique fiable pour l'homme. La confiance dans le prétendu "modèle animal" a des conséquences graves pour la santé humaine. Plus d'informations sur http://www.stopvivisection.eu et sur http://antidote-europe.org
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Cruauté animale à Pont-Rouge : La SPCA confirme avoir ouvert une enquête, à la demande de Mercy For Animals Canada La Société canadienne pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) confirme qu'elle a ouvert une enquête criminelle à la demande de Mercy For Animals Canada sur des actes de maltraitance que l'organisme dit avoir observés dans un élevage de veaux de Pont-Rouge au moyen d'une caméra cachée. La SPCA a entrepris cette enquête après qu'un enquêteur de Mercy For Animals Canada eut révélé, ces derniers jours, les pratiques de cette ferme d'élevage, située sur la route Grand-Capsa. L'enquêteur en question a travaillé pendant deux mois dans cet élevage de 800 veaux. Il y a tourné des images qui montrent, entre autres, des travailleurs en train de battre et d'électrocuter les bêtes. Anita Kapuscinska, porte-parole de la SPCA, a fait savoir mardi matin que l'organisme avait tous les pouvoirs pour mener une enquête criminelle dans ce dossier. « Nous, à la SPCA de Montréal, nous avons des inspecteurs qui ont les mêmes droits que les policiers quand ça vient aux enquêtes criminelles. Donc, les inspecteurs sont en train de faire les démarches », a-t-elle expliqué. La mise au jour des pratiques controversées de cette ferme de Pont-Rouge a déjà suscité plusieurs réactions. La Fédération des producteurs de bovins du Québec juge la situation inacceptable. Elle a néanmoins tenu à se faire rassurante et parle d'un cas isolé. De son côté, le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ) refuse, pour le moment, de commenter ce cas précis. Pour sa part, l'entreprise Délimax de Saint-Hyacinthe, qui fournit des services à la ferme d'élevage de Pont-Rouge, a tenu à se dissocier des événements rapportés. Les voisins de la ferme d'élevage se sont pour leur part dits très surpris qu'une telle affaire se déroule dans leur municipalité. Le maire de Pont-Rouge, Ghislain Langlais, est également étonné. « Il me semble qu'en 2014, ça ne devrait pas exister des situations comme ça. À ce moment, si j'avais été au courant de la situation, j'aurais tout simplement informé qui de droit, c'est sûr », affirme-t-il. La SPCA croit être en mesure de présenter les résultats de son enquête d'ici quelques jours. La cruauté animale est passible d'une peine maximale de cinq ans d'emprisonnement.
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Vente de gibier dans les restaurants : les chasseurs mécontents La Fédération des chasseurs du Québec s'insurge contre le projet-pilote de vente de gibier dans les restaurants Le projet-pilote du gouvernement Québec permettant à une dizaine de restaurants de servir de la viande sauvage, pendant une semaine l'automne prochain, ne fait pas l'affaire de la Fédération des chasseurs du Québec. Le projet-pilote a été annoncé par le ministre de l'Environnement, Yves-François Blanchet, la semaine dernière. Le chef propriétaire du restaurant montréalais Toqué!, Normand Laprise, présidera le comité d'experts chargé d'élaborer les règles entourant la mise en marché du gibier québécois. Les balises entourant la traçabilité et la salubrité des produits seront connues d'ici l'automne. Or, la Fédération des chasseurs du Québec craint que cette mesure n'entraîne la « commercialisation de la faune ». « C'est le principe des chasseurs commerciaux qui vont aller dans la forêt profiter de l'ensemble d'un bien collectif pour en faire un profit personnel pour certaines gens, c'est ça qui met le monde en fusil », a expliqué Pierre Latraverse, président de la fédération. Il ajoute que la majorité de la population ne bénéficiera pas du projet-pilote de toute façon, puisque les restaurants choisis sont haut de gamme. À Montréal, les restaurants Toqué!, Pied de cochon et Maison publique ont été choisis. Des établissements de Québec, du Bas-Saint-Laurent et de Charlevoix participeront aussi à l'expérience. Pour Normand Laprise, il s'agit d'une belle occasion de mieux connaître nos produits québécois. « C'est ça qui est stimulant d'avoir une semaine par année du gibier sauvage. C'est extraordinaire que d'avoir un cerf ou deux à cuisiner, ça va être le plaisir pour nous d'avoir quelque chose d'authentique. » Balises claires Le ministre de l'Environnement ne croit pas que les inquiétudes de la Fédération des chasseurs soient motivées, puisque très peu d'animaux seront tués pour la semaine du projet. Des chasseurs et trappeurs choisis à l'avance fourniront les castors, cerfs, rats musqués et lièvres aux restaurateurs. « On exclut une libéralisation de la chasse qui pourrait être faite sur le marché dans les grandes surfaces, c'est pas du tout là qu'on s'en va, mais on vise une augmentation progressive », a-t-il expliqué. M. Blanchet rappelle aussi que, par exemple, seulement une douzaine de cerfs de Virginie, qui proviendront de l'île d'Anticosti, seront tués pour la première année. Normand Laprise ajoute aussi que la vente ponctuelle de gibier dans les restaurants de la province pourrait aider à gérer les populations animales. « Si on a une surpopulation de 10 000 bêtes dans un territoire, bien on pourra en tuer pendant 2 ou 3 ans. » Et lorsque la population redeviendra normale, la chasse cessera et on passera à un autre animal, selon lui. Pierre Latraverse croit que cette perspective ouvrira la porte à des abus. « Qui va empêcher quelqu'un de vendre son cerf de Virginie ou son orignal à un restaurateur? »
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Des travailleurs étrangers temporaires logés par McDonald's à Edmonton disent s'être senti « comme des esclaves » Des travailleurs étrangers temporaires béliziens à Edmonton clament que McDonald's les a forcés à partager un appartement dispendieux, tout en déduisant le loyer de leurs paies. « Nous nous sentions comme des esclaves », lance l'ex-employé Jamie Montero, qui est arrivé du Belize avec quatre autres travailleurs étrangers temporaires en septembre dernier. « Nous n'avons signé aucun contrat pour habiter dans l'immeuble à appartements où nous étions. Nos contrats ont été signés par McDonald's. Toutes nos factures de services publics étaient au nom de McDonalds. » McDonald's logeait les travailleurs béliziens dans un immeuble à appartements du centre-ville d'Edmonton, même s'ils travaillaient dans l'extrémité sud de la ville. La compagnie a signé un bail de six mois et s'attendait, selon les travailleurs, à ce que ceux-ci demeurent locataires durant ce temps. « C'était trop loin du lieu de travail et c'était très cher », affirme M. Montero, selon qui il lui fallait une heure et demie pour se rendre au travail en transport en commun. « Ils ont même dit que si nous quittions notre appartement pour aller en louer un autre, la compagnie déduirait quand même le loyer de nos salaires », soutient un autre employé, qui a demandé à ne pas être nommé parce qu'il travaille encore chez McDonald's. Les baux montrent que McDonald's payait un total de 2359 $ par mois pour l'appartement et ne payait pas pour les services publics ou d'autres frais. Cependant, elle déduisait 280 $ aux deux semaines sur les paies de cinq employés, récoltant ainsi 3030 $ par mois. Cela laisse entendre qu'elle percevait 671 $ de plus que le prix du loyer. Le loyer a expiré à la fin février. Depuis, les travailleurs béliziens ont trouvé un appartement plus abordable. Kenney : si coercition il y a, la police doit enquêter Si les travailleurs étrangers pensent qu'on les a forcés à vivre quelque part où ils ne voulaient pas habiter, cela mériterait une enquête policière, croit le ministre fédéral de l'Emploi, Jason Kenney. « Personne, pas même un employeur, ne peut forcer quelqu'un à vivre quelque part, les gens sont libres de choisir où ils veulent vivre », a tranché celui dont le ministère enquête sur l'usage que fait McDonald's du Programme des travailleurs étrangers temporaires. Jamie Montero et les autres travailleurs béliziens ont été recrutés par Actyl, une entreprise qui fait venir des étrangers pour qu'ils travaillent dans des restaurants McDonald's de l'Ouest canadien. Actyl s'est décrit auprès de l'équipe Go Public de CBC comme une agence « sans frais », laissant entendre qu'elle n'exige pas d'argent des travailleurs étrangers. Pourtant, des documents montrent que les travailleurs béliziens ont payé environ 600 $ chacun, pour le traitement des visas, des examens médicaux et leur voyage en autobus jusqu'à l'aéroport de Cancún. Selon M. Montero et l'employé qui tient à ne pas être nommé, la présidente d'Actyl, Linda West, a promis que les frais seraient remboursés par McDonalds une fois au Canada. Les Béliziens disent que McDonald's ne les a jamais remboursés. Selon le ministre Kenney, la plupart des employeurs remboursent les frais associés aux permis de travail. « Nous exigeons aussi que l'employeur paie les frais associés au déplacement », précise-t-il. Pas d'heures supplémentaires Mme West a aussi promis aux Béliziens qu'ils feraient beaucoup d'heures supplémentaires, disent-ils. L'offre d'emploi qu'ils ont signée au Belize mentionne une telle possibilité. « McDonald's a ensuite dit qu'elle ne donnait pas d'heures supplémentaires aux étrangers », indique toutefois M. Montero, pour qui ces heures, payées à 16,50 $, étaient plus alléchantes que le taux horaire régulier. En outre, les contrats d'embauche stipulent que McDonald's ne fournirait pas le logement. « Au Belize, il n'y avait rien dans le contrat sur l'endroit où nous allions habiter », argue l'employé qui tient à ne pas être nommé. Questionnée par CBC sur les présumées promesses relatives aux heures supplémentaires et au remboursement de frais, Linda West a répondu : « Ces déclarations sont tout à fait fausses ». Le porte-parole de MacDonald's Canada, Richard Ellis, a quant à lui confirmé les modalités de l'entente sur la location de l'appartement. Il a également réagi en soulignant que Jamie Montero est mécontent. « Il a été congédié après seulement deux mois, avant la fin de sa période de probation, dit-il. Je suggère respectueusement que les dires d'un ex-employé évidemment mécontent ne constituent pas le genre d'information qui devrait vous servir de base de reportage. » D'après un reportage de Kathy Tomlinson et l'équipe Go Public
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Le Japon sommé d'arrêter la chasse à la baleine
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Le statut des animaux progresse dans le code civil
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On se demande quand même où ils ont trouvé leur 1200 végétariens qui se seraient prêtés à leur sondage qui donne l'impression que les auteurs de cette prétendue étude se sont mélangés en faisant leur rapport... D'ailleurs, on sait que certaines personnes de la population qui mangent du poulet ou du poisson se qualifient végétariens... En tous cas, on sent nettement le parti pris de l'auteur de l'article qui se met d'ailleurs un doigt dans l'œil en prétendant que les écologistes sont végétariens puisqu'ils sont une minorité à l'être. Ni l'article, ni le sondage ne me semblent très crédibles. D'ailleurs un sondage ne peut être qualifié d'étude scientifique _______________________________________________________________________________________________________________ Être végétarien : mauvais pour la santé ? Publié le 4 avril 2014 dans Sciences et technologies Une étude scientifique montre que les gros mangeurs de viande ont une vie plus saine. Par P. Gosselin. Ce n’est un secret pour personne : la plupart des végétariens sont souvent des écologistes radicaux et des alarmistes du climat obsédés et hystériques lorsque le sujet en vient au réchauffement de la planète. Il est possible que l’université de Graz en Autriche ait découvert une raison à cela : leur régime alimentaire malsain. Une nouvelle étude de l’université de Graz conclut que les végétariens sont plus souvent malades et ont une qualité de vie moindre que celle des personnes mangeant de la viande. Selon le communiqué de la presse allemande, les végétariens sont « plus souvent sujets aux cancers et aux problèmes cardiaques ». L’article déclare également qu’ils sont plus souvent atteints de troubles d’ordre psychologique. En conséquence, écrit le rapport, ils représentent une plus grande charge dans le système de sécurité sociale. Selon le communiqué de presse, les scientifiques ont étudié des données de l’Austrian Health Interview Survey (AT-HIS), qui fait également partie d’une des enquêtes les plus importantes et reconnues de l’UE (European Health Interview Survey). Les scientifiques ont utilisé un panel d’un total de 1320 personnes qui étaient divisées en 4 groupes de 330 personnes chacun. Tous les groupes étaient comparables en termes de sexe, d’âge et de statut socio-économique. Cette étude prenait également en compte le tabagisme ainsi que l’activité physique. L’IMC (Indice de Masse Corporelle) se trouvait également dans la moyenne (22,9 – 24,9) pour les quatre groupes. La seule chose vraiment différente parmi ceux-ci était le régime alimentaire. Les quatre groupes étaient : 1) végétariens, 2) mangeurs de viande avec beaucoup de fruits et de légumes, 3) mangeant très peu de viande et 4) mangeant beaucoup de viande. Plus de trois quarts des participants étaient des femmes (76,4%). Les végétariens considérablement victimes de maladies chroniques Le communiqué de presse indique que les résultats contredisent les clichés communs sur le fait que les régimes sans viande sont plus sains. Les végétariens ont deux fois plus d’allergies que le groupe mangeant beaucoup de viande (30,6% contre 16,7%) et ils sont soumis à un taux supérieur de 166% de risque de cancer (4,8% contre 1,8%). De plus, les scientifiques ont découvert que les végétaliens avaient un taux de risque de problème cardiaque supérieur de 150% (1,5% contre 0,6%). Au total, ils ont étudié près de 18 maladies chroniques différentes. Comparé aux mangeurs de viande, les végétariens étaient plus touchés pour 14 d’entre elles (78%) y compris l’asthme, le diabète, les migraines et l’ostéoporose. L’université de médecine de Graz confirme les découvertes faites par l’université d’Hildesheim : les troubles psychologiques sont plus fréquents chez les végétariens, déclare le communiqué de presse. Aux racines de l’anxiété et de la dépression ? Dans cette analyse, l’université de Graz remarque que les végétariens étaient deux fois plus sujets à l’anxiété et à la dépression que les gros mangeurs de viande (9,4% contre 4,5%). Ce résultat a été confirmé par l’université d’Hildesheim qui avait noté que les végétariens souffraient de façon plus significative de dépression, d’anxiété, de maux psychosomatiques et de troubles alimentaires. Les scientifiques de Graz révèlent également que les végétariens tombent plus souvent malades et se rendent plus souvent chez le médecin. Les mangeurs de viande apparaissent également comme ayant une « qualité de vie bien meilleure toutes catégories confondues » comme le démontre l’étude. Les quatre catégories étudiées étaient : santé physique et psychologique, relations sociales et qualité de vie liée à l’environnement. Une science qui doute Une fois de plus, il ne s’agit pas de la première étude qui a récemment contredit les idées que les végétariens vivaient plus sainement. L’étude la plus importante au monde concernant la nutrition (EPIC) indique que les végétariens ont, au contraire, tendance à mourir plus jeunes. Récemment, des experts ont démontré que les bénéfices sanitaires présumés liés à un régime végétarien tiennent plus du mythe et des légendes. Par exemple, selon le Professeur Ulrich Voderholzer, Directeur et Chef Médecin de la Schön Klinik Roseneck et expert en troubles alimentaires, les promesses faites par les associations végétariennes « ne sont pas scientifiquement prouvées. » Le communiqué de presse de l’université de Graz déclare : « Il s’agit plus d’un message idéologique qui suggère de fausses promesses. » Avant d’ajouter : « Concernant la prévention des cancers grâce aux fruits et légumes, le Prof. Rudolf Kaaks du Centre de Recherche Allemand sur le Cancer DKFZ indiquait : « Il n’y a pas de relation ; 0,0% ». » Ça alors ! Ça a l’air aussi mauvais que les preuves données liant le mauvais temps aux émissions de CO2. Les écolos ne sont pas seulement crédules en matière de science climatique, mais nombreux sont ceux qui le sont aussi sur les sciences nutritionnelles. Les mangeurs de barres de céréales et calineurs d’arbres bisounours semblent donc être les plus mal informés de la planète.
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dans les glaces au large de Terre-Neuve Les carcasses de neuf grandes baleines bleues ont été trouvées dans les glaces au large de la côte sud-ouest de Terre-Neuve, selon le ministère des Pêches et des Océans. Les spécialistes des baleines qualifient cette région de piège pour ces grands mammifères marins. Lorsque les vents écartent les glaces, les baleines se déplacent pour se nourrir, mais si les vents changent de direction, elles peuvent se retrouver bloquées, explique Jack Lawson, chercheur au ministère des Pêches et des Océans. La couverture de glace sur la mer peut entraîner la mort des baleines, affirme M. Lawson. Jack Lawson ajoute que c'est horrible, et très décevant pour les chercheurs qui travaillent sur un plan pour favoriser le rétablissement de cette espèce. La grande baleine bleue, aussi appelée rorqual bleu, est une espèce en péril. Pêches et Océans Canada estime qu'il n'en reste qu'environ 250 dans l'Atlantique Nord-Ouest. La mort de neuf spécimens est un coup dur pour l'espèce. La grande baleine bleue est le plus gros animal de la planète. Elle atteint une longueur équivalant à celle de trois autobus scolaires.
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Le Japon sommé d'arrêter la chasse à la baleine
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Un message de Thomas Locquet : Une étude qui doit se tenir prochainement aura une influence décisive sur le message du PNNS français (Programme national nutrition-santé) concernant le végétalisme à partir de 2015. Le PNNS est à la base des recommandations nutritionnelles véhiculées par les institutions, par les médecins, par les diététiciens, il influence la vision de la "normalité" des travailleurs sociaux et des juges... Autant dire que l'importance de cette étude est cruciale, mais par manque de mobilisation nous risquons de rater cette très belle occasion de faire progresser le végétalisme et le véganisme en France et de sortir du message officiel actuel : "le végétalisme est nocif". Concrètement : L'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire), l'une des principales agences françaises dans le domaine de l'alimentation, et qui joue un rôle important dans la préparation du futur PNNS, a décidé de mener la première étude d'envergure sur les liens entre végétalisme et santé. Enfin ! Pour cela, les chercheurs ont prévus de mener une étude transversale sur les données des végétaliens qui participent à l'étude Nutrinet-Santé (une étude plus générale et à plus long terme sur les liens entre alimentation et santé). Problème : pour que cette recherche spécifique puisse se faire, il faut aux chercheurs les réponses aux questionnaires d'inclusion dans Nutrinet d'au moins 1000 végétaliens et véganes, et ce pour fin décembre. Or, nous n'étions fin novembre qu'une centaine de végétaliens inclus, et actuellement il manque probablement 700 à 800 inclusions de végétaliens pour changer la vision du végétalisme par l¹État français. Solution : les végétaliens et véganes doivent se mobiliser, s'inscrire massivement à l'étude nutrinet et remplir les questionnaires d'inclusion avant fin décembre. Les questionnaires prennent généralement deux à trois heures à remplir, réparties sur une dizaine de jour. On vous demandera quelques renseignements sur votre état de santé général, votre état physique... Vous n'êtes pas obligé de fournir ni médecin traitant ni n° de sécu, ce sont des questions optionnelles. Deux points importants : - dans le "questionnaire anthropométrique", à la question "suivez-vous un régime" il ne faut pas oublier de répondre "oui" puis "car je suis végétalien" ; - les trois questionnaires alimentaires, qui portent sur trois jours tirés au sort, doivent être remplis avant le fin décembre. Si vous participez déjà à Nutrinet et que vous avez oublié de cocher la case "car je suis végétalien", vous pouvez demander la rectification de cette information. Plus de détails sur http://nutrinet-vege.fr, pour des questions particulières sur l'étude ou des difficultés à s'inscrire ou à remplir les questionnaires (le site de l'étude ne brille pas par son ergonomie...) : nutrinetvege@gmail.com, et pour s'inscrire à l'étude http://www.etude-nutrinet-sante.fr/ Mille végétaliens et véganes pour montrer que l'alimentation sans souffrance animale est compatible avec la santé humaine : on peut y arriver !
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Un message de Thomas Locquet : Une étude qui doit se tenir prochainement aura une influence décisive sur le message du PNNS français (Programme national nutrition-santé) concernant le végétalisme à partir de 2015. Le PNNS est à la base des recommandations nutritionnelles véhiculées par les institutions, par les médecins, par les diététiciens, il influence la vision de la "normalité" des travailleurs sociaux et des juges... Autant dire que l'importance de cette étude est cruciale, mais par manque de mobilisation nous risquons de rater cette très belle occasion de faire progresser le végétalisme et le véganisme en France et de sortir du message officiel actuel : "le végétalisme est nocif". Concrètement : L'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire), l'une des principales agences françaises dans le domaine de l'alimentation, et qui joue un rôle important dans la préparation du futur PNNS, a décidé de mener la première étude d'envergure sur les liens entre végétalisme et santé. Enfin ! Pour cela, les chercheurs ont prévus de mener une étude transversale sur les données des végétaliens qui participent à l'étude Nutrinet-Santé (une étude plus générale et à plus long terme sur les liens entre alimentation et santé). Problème : pour que cette recherche spécifique puisse se faire, il faut aux chercheurs les réponses aux questionnaires d'inclusion dans Nutrinet d'au moins 1000 végétaliens et véganes, et ce pour fin décembre. Or, nous n'étions fin novembre qu'une centaine de végétaliens inclus, et actuellement il manque probablement 700 à 800 inclusions de végétaliens pour changer la vision du végétalisme par l¹État français. Solution : les végétaliens et véganes doivent se mobiliser, s'inscrire massivement à l'étude nutrinet et remplir les questionnaires d'inclusion avant fin décembre. Les questionnaires prennent généralement deux à trois heures à remplir, réparties sur une dizaine de jour. On vous demandera quelques renseignements sur votre état de santé général, votre état physique... Vous n'êtes pas obligé de fournir ni médecin traitant ni n° de sécu, ce sont des questions optionnelles. Deux points importants : - dans le "questionnaire anthropométrique", à la question "suivez-vous un régime" il ne faut pas oublier de répondre "oui" puis "car je suis végétalien" ; - les trois questionnaires alimentaires, qui portent sur trois jours tirés au sort, doivent être remplis avant le fin décembre. Si vous participez déjà à Nutrinet et que vous avez oublié de cocher la case "car je suis végétalien", vous pouvez demander la rectification de cette information. Plus de détails sur http://nutrinet-vege.fr, pour des questions particulières sur l'étude ou des difficultés à s'inscrire ou à remplir les questionnaires (le site de l'étude ne brille pas par son ergonomie...) : nutrinetvege@gmail.com, et pour s'inscrire à l'étude http://www.etude-nutrinet-sante.fr/ Mille végétaliens et véganes pour montrer que l'alimentation sans souffrance animale est compatible avec la santé humaine : on peut y arriver !
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Vente de gibier dans les restaurants
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Vente de gibier dans les restaurants : les chasseurs mécontents La Fédération des chasseurs du Québec s'insurge contre le projet-pilote de vente de gibier dans les restaurants Le projet-pilote du gouvernement Québec permettant à une dizaine de restaurants de servir de la viande sauvage, pendant une semaine l'automne prochain, ne fait pas l'affaire de la Fédération des chasseurs du Québec. Le projet-pilote a été annoncé par le ministre de l'Environnement, Yves-François Blanchet, la semaine dernière. Le chef propriétaire du restaurant montréalais Toqué!, Normand Laprise, présidera le comité d'experts chargé d'élaborer les règles entourant la mise en marché du gibier québécois. Les balises entourant la traçabilité et la salubrité des produits seront connues d'ici l'automne. Or, la Fédération des chasseurs du Québec craint que cette mesure n'entraîne la « commercialisation de la faune ». « C'est le principe des chasseurs commerciaux qui vont aller dans la forêt profiter de l'ensemble d'un bien collectif pour en faire un profit personnel pour certaines gens, c'est ça qui met le monde en fusil », a expliqué Pierre Latraverse, président de la fédération. Il ajoute que la majorité de la population ne bénéficiera pas du projet-pilote de toute façon, puisque les restaurants choisis sont haut de gamme. À Montréal, les restaurants Toqué!, Pied de cochon et Maison publique ont été choisis. Des établissements de Québec, du Bas-Saint-Laurent et de Charlevoix participeront aussi à l'expérience. Pour Normand Laprise, il s'agit d'une belle occasion de mieux connaître nos produits québécois. « C'est ça qui est stimulant d'avoir une semaine par année du gibier sauvage. C'est extraordinaire que d'avoir un cerf ou deux à cuisiner, ça va être le plaisir pour nous d'avoir quelque chose d'authentique. » Balises claires Le ministre de l'Environnement ne croit pas les inquiétudes de la Fédération des chasseurs soient motivées, puisque très peu d'animaux seront tués pour la semaine du projet. Des chasseurs et trappeurs choisis à l'avance fourniront les castors, cerfs, rats musqués et lièvres aux restaurateurs. « On exclut une libéralisation de la chasse qui pourrait être faite sur le marché dans les grandes surfaces, c'est pas du tout là qu'on s'en va, mais on vise une augmentation progressive », a-t-il expliqué. M. Blanchet rappelle aussi que, par exemple, seule une douzaine de cerfs de Virginie, qui proviendront de l'île d'Anticosti, seront tués pour la première année. Normand Laprise ajoute aussi que la vente ponctuelle de gibier dans les restaurants de la province pourrait aider à gérer les populations animales. « Si on a une surpopulation de 10 000 bêtes dans un territoire, bien on pourra en tuer pendant 2 ou 3 ans. » Et lorsque la population redeviendra normale, la chasse cessera et on passera à un autre animal, selon lui. Pierre Latraverse croit que cette perspective ouvrira la porte à des abus. « Qui va empêcher quelqu'un de vendre son cerf de Virginie ou son orignal à un restaurateur? » -
Mc Donald s'installe au Vietnam
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Le géant de la restauration rapide McDonald's a ouvert son premier restaurant au Vietnam Le géant américain de la restauration rapide McDonald's a ouvert samedi son premier restaurant dans le communiste Vietnam. Après PFK, Burger King et Pizza Hut, McDonald's veut ainsi tenter de séduire les 90 millions de consommateurs vietnamiens. Toutefois, même si le niveau de vie augmente dans le pays, avec un revenu moyen annuel qui vient de dépasser les 1650 $, tous n'auront pas les moyens de s'offrir un Big Mac, facturé 3 $ pièce. Tout de même, des centaines de personnes faisaient déjà la queue samedi matin à Ho Chi Minh-Ville, certains bien avant l'heure d'ouverture. Les clients à scooter attendaient également pour la commande à l'auto. « Pour les franchises internationales, notamment les fast-food, s'ils veulent réussir au Vietnam, ils n'ont pas besoin que toute la population devienne leurs consommateurs. Ils ont besoin qu'un petit pourcentage [de la population] vienne de temps en temps chaque mois », affirme Sean Ngo, qui conseille des marques étrangères s'implantant au Vietnam. Par ailleurs, même si l'augmentation du niveau de vie entraîne les consommateurs urbains à diversifier leur alimentation, McDonald's pourrait devoir s'adapter au menu traditionnel vietnamien. Déjà, le restaurateur a introduit un McPork dans son menu, les Vietnamiens raffolant du cochon. « Les Vietnamiens ont l'habitude de manger du riz et des nouilles. McDonald's va devoir trouver une solution pour ce marché », estime l'économiste Le Dang Doanh. « Processus rigoureux de sélection » Le Vietnam s'est largement ouvert à l'économie de marché depuis des réformes économiques mises en place au début des années 1990. Depuis 10 ans, sa croissance économique est de 5 % à 6 % annuellement. Le pays est toutefois toujours dirigé par un régime à parti unique et toute contestation y est réprimée. L'entrée de McDonalds sur le marché vietnamien est d'ailleurs révélatrice de la façon dont s'y font les affaires. Même si l'entreprise a assuré avoir choisi son premier franchisé après « un processus rigoureux de sélection », le droit d'exploiter le restaurant a été remportée l'an dernier par le beau-fils du premier ministre. -
Cette semaine, un type a tué son ex-conjointe et leurs 2 enfants. Aux nouvelles, des voisins qui commentaient ont dit que le type était une bonne personne tranquille, mais un autre a dit qu'il avait loué une partie de son logement et que c'était un type violent, qu'il avait un chenil et qu'il l'avait déjà vu maltraiter un chien. Encore une fois, on constate que la violence faite aux animaux s'étend aussi à l'être humain et dans certains cas à des actes criminels comme celui-ci. ______________________________________________________________________________________________________________ Trois jours après le drame familial qui avait déjà coûté la vie à trois personnes à Sainte-Croix et Saint-Isidore, dans Chaudière-Appalaches, la Sûreté du Québec (SQ) a annoncé que la petite Béatrice Godin, 11 ans, a succombé à ses blessures, mardi soir. De son côté, le père de la fillette, Martin Godin, qui était considéré comme le suspect numéro un dans cette affaire, était encore dans un état «critique, mais stable» à l'hôpital, selon Richard Gagné, porte-parole de la SQ. Il se serait gravement blessé en tentant de se suicider. Tôt dimanche, Martin Godin, 54 ans, avait été découvert dans un état critique par les policiers de la SQ à l'intérieur de sa résidence de Saint-Isidore, dans ce qui semble être une tentative de suicide ratée. Avec lui dans la maison, ses deux filles gisaient au sol. Les policiers n'ont pu que constater le décès de l'aînée, Medora Godin, 13 ans, tandis que son autre enfant, Béatrice, est finalement morte des suites de ses blessures, mardi. La police croit que le père aurait tenté d'assassiner ses filles. Plus tôt en soirée, les policiers avaient trouvé deux corps inanimés à l'extérieur d'un chalet à Sainte-Croix, à 66 km de là. La mère des deux filles de Godin, Nancy Samson, 44 ans, et son nouveau conjoint, Benoît Daigle, 39 ans, reposaient sans vie en bordure de cette résidence. Selon les informations qui ont filtré jusqu'à maintenant, M. Godin aurait tenté de se venger, car il était incapable d'accepter sa rupture avec sa femme et son nouveau conjoint.
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Le chat gris n'a pas utilisé l'abri qui lui était destiné. C'est un chat qui semble plutôt timide mais je ne suis pas certaine qu'il ait compris de quoi il s'agissait car même Frimousse n'est pas entré dans l'abri, lui qui est d'habitude plutôt curieux mais le chat gris doit probablement avoir un abri quelque part, même si je suis pas mal certaine qu'il ne vit pas dans une maison. Je ne le vois pas très souvent. J'espère que quelqu'un prend quand même soin de lui. On a un hiver rigoureux avec pas mal de grands froids comme on en n'avait pas eu depuis plusieurs années. Avec janvier qui tire à sa fin, ça va peut-être commencer à s'adoucir un peu. J'ai bien hâte au printemps !
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C'est un drame, pas un accident ...
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http://www.liberation.fr/societe/2014/01/17/c-est-un-drame-pas-un-accident_973710 «C’est un drame, pas un accident» Par Didier Arnaud Les parents de Nicolas, 12 ans, regrettent que le chasseur qui a tué leur fils n’ait écopé que du sursis. C’est l’histoire terrible et absurde d’un adolescent mort à cause de la chasse. Avec son père David, ce 22 janvier 2012, Nicolas, 12 ans (1), faisait du quad comme chaque dimanche sur les sentiers de Seine-Maritime, près de Bosc-Bérenger, dans le bois de la Gâte. Ils se sont approchés du chasseur qui leur a demandé : «Vous n’avez pas vu les pancartes ?» Ils ont répondu qu’il n’y en avait pas à l’entrée du chemin. La suite, c’est David Guilbert qui la raconte, pour la première fois : «Au moment où j’allais mettre en route, j’ai entendu le coup de feu. J’ai senti Nicolas s’écrouler sur mon dos. Le chasseur disait : "merde, merde, j’ai fait le con !" J’ai vu le petit la tête pleine de sang, les chasseurs ont essayé de faire les premiers soins. C’était trop tard. J’ai dit [à propos du chasseur qui avait tiré ndlr] : "je le tuerai". Mais c’était sous le coup de la colère.» L’accident qui a coûté la vie à Nicolas Guilbert est l’un des 21 mortels qui ont eu lieu en France durant la saison 2012-2013, marquée par 179 accidents contre 143 l’année précédente, en hausse de 25%. Sandrine, l’épouse de David, raconte comment, à son arrivée sur les lieux, elle aperçoit tous les quadeurs alignés, et son fils à terre. L’expertise balistique dira que le fusil était très vieux, que son cran de sécurité ne fonctionnait pas, que le chasseur n’avait pas cassé son fusil et extrait les cartouches comme il aurait dû le faire en présence d’un tiers. Depuis l’accident qui a coûté la vie à Nicolas, c’est obligatoire dans le département. Nicolas avait 12 ans. Il était bon élève, faisait du roller, jouait gardien de but depuis ses 6 ans. Il avait une moto et faisait du quad avec son père. Ses meilleurs amis avaient des parents chasseurs, comme les 10 000 pratiquants du département. Au début, raconte Sandrine, «ils en ont voulu à leurs pères». Une plaque a été installée au stade de la Varenne, à Saint-Saëns. Une stèle devrait être bientôt posée dans le bois de la Gâte, là où le coup de fusil l’a emporté. Il devrait y être écrit : «En mémoire de notre enfant chéri, mort le 22 janvier, victime d’une négligence d’un chasseur.» A la place de «mort», les parents auraient préféré «tué». Mais le conseil municipal en a décidé autrement. Depuis la mort de son fils, David a racheté un quad, mais il n’a plus le cœur à ce loisir. Il ne s’en sert que pour porter ses bouteilles au conteneur du tri sélectif. «Ça ne me dit rien, je pense à Nicolas quand je suis dessus», dit-il. Sandrine est suivie par un psychologue, tandis que son mari n’en éprouve pas l’utilité. «Il a enfoui cela au plus profond de lui», dit-elle. Tous deux attendaient beaucoup du jugement. «On ne lui pardonnera jamais de nous avoir pris notre fils, et qu’on ne vivra plus jamais de la même façon», raconte Sandrine qui souhaitait que le chasseur «prenne de la prison ferme». Elle a consacré beaucoup de son temps à rechercher sur Internet d’autres accidents et a fini par en dénicher un où un chasseur avait écopé de cinq mois ferme en mars en Lozère pour avoir tué un jeune cueilleur de champignons qu’il avait pris pour un sanglier. Sandrine souhaiterait que la mort de son fils «serve d’exemple», que les chasseurs se montrent prudents et que la justice «soit sévère pour faire peur aux gens». «Quand quelqu’un qui a bu tue avec sa voiture, il va en prison. Le chasseur, il va en garde à vue et puis il sort», regrette Sandrine. En 2012, elle s’est rendue à une réunion de chasseurs où elle a lu une lettre dans laquelle elle leur a demandé de respecter les «consignes de sécurité». Elle a dit ressentir de la «haine» envers celui qui avait tué son fils. Elle a entendu un grand silence, puis certains sont venus lui dire qu’ils la comprenaient. -
Pour une évolution du statut juridique des animaux au Québec
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