animo-aequoanimo
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animo-aequoanimo a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Forum Administratif
Ce n'est pas du mailer-daemon que tu avais reçu ce retour, Do mais de domeus à qui tu écrivais, ce n'est pas la même chose. Moi je reçois l'avis de mailer-daemon, pas d'inspection canada. Dans ce cas, je vais donc reposter notre document par hotmail pour être bien certaine que ça passe. Je ferai cela demain car je vais bientôt fermer. Je suppose aussi que ta petite commence à te faire signe -
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Je l'ai déjà envoyé hier avec presidente, Do, mais ce que je ne sais pas, c'est si presidente a été barrée tout comme mail.com, est-ce que je recevrais un avis comme j'ai reçu par mail.com. Comme je saais qu'on en reçoit un avec hotmail, si je n'en reçois pas, j'aurai la confirmation que c'est bien passé. -
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J'ai refait un essai d'envoi, Do, mais pour une raison que j'ignore, ça ne passe pas avec mail.com. Je reçois le même message : access denied. Je n'ai pas eu de réponse du "postmaster"... Penses-tu que je devrais le leur transmettre via mon adresse hotmail pour être bien certaine qu'ils l'auront reçu, car je ne sais pas si notre adresse aequoanimo.mail nous informerait si notre message n'avait pas passé et comme je sais que hotmail nous avise, s'il n'avise pas, j'aurais la confirmation que c'est bien passé car nous n'avons pas reçu d'accusé de réception de leur part. Si ça leur fait un double, just too bad car mieux vaut 2 que pas du tout !!! -
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Pourquoi ne le donnerais-tu pas, Ranëwen ? C'est sûr que quelqu'un qui s'affiche avec un manteau de suède ou de cuir peut donner l'envie à quelqu'un d'autre d'en posséder un mais d'un autre côté, si on donne nos bottes de cuir, cela fait en sorte qu'au lieu de s'acheter des bottes neuves quelqu'un d'autre porte celles que nous aurions enterrées, cela fait donc en sorte de moins encourager l'industrie, me semble-t-il. Très bonne idée, Animal, que tu as eue là. C'est mieux de donner aux animaux, en particulier les manteaux de fourrure, qui peuvent servir pour mettre au fond d'une niche, par exemple. Pour les manteaux de fourrure, il me semble que c'est plus voyant et c'est pourquoi je ne le donnerais pas à quelqu'un d'autre, par contre des bottes de cuir, c'est davantage passe-partout, ça passe plus inaperçu dans notre société. Peta a aussi donné des manteaux de fourrure à des gens. Le côté positif que j'avais essayé alors d'y voir est que cela pouvait rabaisser la valeur de la fourrure aux yeux des "grandes dames" qui voient que des moins nanties qu'elles portent aussi de la fourrure.
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Super ma belle Do !!!!!! Il va en prendre plein la gueule !!!!! Je vais essayer de voir pour ce simon, si je peuxle trouver. PS: Je t'ai fait parvenir le bulletin ce matin: j'ai remarqué une erreur p 12 doctorant au lieu de doctorant. Je trouve qu'on voit souvent mieux les erreurs sur papier qu'à l'écran quand on est en train de faire le document.
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Editor, The Telegram St. John's, Newfoundland and Labrador Dear Editor, Would you believe that somewhere in Canada, there is a horse farm that skins 7,000 horses alive every year? Being skinned alive is probably on par to being burnt alive on the pain scale. Anyone doubting this, try peeling your next hang-nail backwards please. We know that cat and dogs are being tortured hideously before being killed for meat, but that is in Korea. To skin horses by the thousands alive, here in Canada? Incredible. True. But change "horse" to "seal", and it suddenly becomes acceptable, respectable, promotable, and in fact actively promoted by the government. Further, the government uses tax-payers' money to employ the Coast Guard to make sure that the atrocity is not observed. Why is that? Are seals less susceptible to pain than horses? What do you call deliberately imparting pain on a sentient being? Webster calls it "sadism". How can making profit justify sadism? There is one person we can ask. Simple. Statistics, stupid. In your article titled "IFAW wants apology" (March 9, 2006), the Newfoundland premier justifies skinning 7,000 baby seals alive, and/or by some other horrendous method which even he would consider inhumane, by proudly quoting a 2002 Canadian Veterinary Medical Association report, which found that "98 per cent of seals are killed in an acceptably humane manner" 98% posiitive means 2% negative. Just 2%? It certainly doesn't sounds even 1% as bad as 7,000, does it? Everything is relative, but here is something absolute. At about one meter per seal, a single file of 7,000 live-skinned seals stretches 7 kilometers, or 35 city blocks. Walk this distance as a meditative experience please, Mr. Willams.. Mr. Williams is smart. He chooses the report that gave the highest pecentage figure for the number of those seals deemed killed humanely, by whatever lowered threshold of evaluation on humaneness. I have read other equally authoritative reports, some rating the percentage of seals killed inhumanely at 10%, 20%, or even 40%. Ultimately, it come to the moral quality of the human species. Is it morally justifiable to deliberately skin-alive even one seal, or one horse, or one dog, or one cat, for any reason? Here is a test for the moral fibre of Mr. Williams. Hakkapics are a dime a dozen. Here is one for you, Mr. Williams. And here in front of you is a totally helpless and defenseless baby seal. Don't worry Mr. Williams, it is older than 2 weeks and has sprung a few grey hairs. Go ahead and bash it, Mr. Williams. Oh, and you missed crushing its skull and it is still moving? Here is a knife. Go ahead, skin it, Mr. Williams. "B-But I'm not a sealer," stutters Williams. I know. You are worse. Whereas a sealer who kills 100 seals has the blood of 100 seals on his hands, Mr. Williams, your hands are dripping with the blood of 350,000 sentient creatures, what the Chinese call "sea leopards". Anthony Marr, founder HOPE-CARE Foundation 604-222-1169 Vancouver, BC.
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Ma belle Do; voici un commentaire que faisait Barry Kent MacKay, l'an dernier. Peut-être que ça t'aidera à cogner le pieu de ce crétin afin de mieux l'enfoncer encore: [Note to animal protectionists on the seal hunt issue: whenever you hear the "swim reflex" argument (see last sentence in article, below) rebut bypointing out that the law, virtually never enforced, dictates that sealers perform a simple corneal reflex test before skinning commences. This involves touching the eyeball, which will trigger a blink if there are any reflexes left, or if the animal is to any degree conscious, in which case it is to be beaten again, until there is no reflex and the body is entirely limp. Most seals are skinned alive, death coming from "bleeding-out" when the axillary artery (underside of flipper where it joins the skin) is cut, with death following quickly. The question is not if they are alive when skinned, most are, but if they are to any degree conscious or reflexive. Blood does not gush from a dead animal, and a dead animal lacks true reflexes unless electrically stimulated. BKM]
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La traduction pour David
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La traduction pour David
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Tabarnouche, Do, c'est fabuleux !!!!!! Merci, merci, merci !!!!!! Cependant pour ceci : "analogie-isomorphisme", je vais laisser le trait d'union parce qu'il y en a un en anglais et que je ne suis pas certaine du mot. Il pourra toujours le corriger lui-même car il doit être pas mal bilingue étant donné qu'il a fait ses études universitaires en anglais. -
Ce n'est pas un mince problème. Je suis partiellement d'accord avec toi, Ariix. Je trouve aussi que si on allait jusqu'au bout de notre raisonnement, on enterrerait les bottes. Ce qui signifie qu'on ne les donnerait pas non plus à quelqu'un d'autre, surtout si on compare cela avec de la peau humaine. Cependant, là où je crois quand même que ce ne serait pas respectueux pour l'animal de jeter les bottes, c'est que je vois ça comme quelqu'un qui se commande un steak au restaurant et qui le laisse de côté en disant "Ah wouach ! pas mangeable, trop cuit" ou qui en laisse la moitié parce qu'il n'a plus faim, portion qui finira gaspillée et jetée à la poubelle et dans ce cas, je me dis que cet animal est en partie mort en vain, gaspillé. Même chose pour le cuir que nous jetterions parce que nos convictions ont évoluées, même si à ce point-là, ça ne change plus grand chose pour l'animal. Ne t'inquiètes pas pour le ton, Ariix, on discute pour chercher ce qui serait le mieux, pas pour se battre
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La traduction pour David
animo-aequoanimo a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Forum Administratif
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Je le visiterai plus à fonds dans les prochains jours. J'ai encore trop de pain à trancher en ce moment Je viens de penser que je n'ai pas encore préparé la petite lettre-coupon de réabonnement pour ceux des abonnés dont ce sera le 4 ième numéro Je vais le faire demain car il est près de 9 hres et je commence à "canter"
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La traduction pour David
animo-aequoanimo a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Forum Administratif
Cellules et tissus humains Pourquoi utiliser des substituts humains en recherche scientifique ? Dans le contexte de la recherche scientifique, l’analyse systématique des modèles animaux pour étudier des maladies humaines ou évaluer des risques toxicologiques est absente. En fait, l’analyse des modèles animaux permet peu d’en valider la pertinence, mais insiste plutôt sur la raison pour laquelle le modèle est utilisé et ce qui a été fait avec l’animal (12 ??) En outre, les meta-analyses (la combinaison et l'association de résultats de plusieurs expériences) sont encore plus difficiles à trouver. Ce manque d'analyses sérieuses de modèles animaux utilisés en recherche entraîne une perte de ressources et induit les chercheurs en erreur. Mots clefs utilisés - Modèle Animal – Analyse de Modèle Animal – Analyse Systématique Meta-analyses de modèle animal avec PUBMED de Modèle Animal Nombre d’articles trouvés 11/02/2004 30,159 - 3,671 _ 460 10 Historiquement, des modèles animaux furent utilisés pour obtenir de l'information sur des problèmes de santé et évaluer la sécurité de produits chimiques avant leur mise en marché pour l'utilisation humaine. La recherche animale représente la principale catégorie d'études financées par l’Institut Canadien de Recherche Scientifique, puisqu'elle reçoit plus de 60 % des subventions et représente 3 fois le nombre des études cliniques. En pratique, les subventions sont accordées à la recherche clinique s'il y a des données animales antérieures appuyant l’évaluation ultérieure sur des sujets humains. De plus, Santé Canada exige la preuve qu’un médicament est, dans une mesure acceptable, sécuritaire; une liste de contrôle d'essais animaux est passée en revue avant l'autorisation de tests sur des sujets humains. Tout ceci démontre combien tant la recherche scientifique que la sécurité du produit dépendent lourdement sur la recherche effectuée sur les animaux. # de projets avec animaux # de projets avec animaux approuvés 17,479 (66 %) 1,295,852,000 (63 %) # projets avec sujets humains # de projets avec sujets humains approuvé par CIHR 9,065 756,037,000 Année Financière 1995-2005 Le peu d'études publiées accentue à quel point il est difficile de comparer les résultats d'expérimentations animales en raison du nombre de modèles animaux, des diverses méthodes employées et du manque de description précise dans des journaux scientifiques. Il existe des problèmes inhérents à l'utilisation d'animaux dans la recherche, comme l’absence de questionnement pour l'utilisation d'espèces animales vivantes alors que d'autres méthodes sont disponibles ou pourraient être employées. Des différences entre espèces rendent l'extrapolation très difficile en raison du manque d'analogie-isomorphisme avec l'espèce humaine, particulièrement aux niveaux cellulaires et moléculaires où surviennent les maladies. Des différences subtiles entre les espèces animales résultent de millions d’années d'évolution. La taxonomie moléculaire a montré des différences génétiques importantes entre les chimpanzés et les êtres humains, bien que nous partagions 98.7 % de séquences ADN. On n’ignore pas en toxicologie que les primates sont de piètres indicateurs des risques toxicologiques susceptibles de se produire chez l'espèce humaine. En particulier, l'incapacité de traduire la majorité des résultats recueillis par la recherche animale en quelque avantage pratique que ce soit pour la société est notoirement établie dans la communauté de l’expérimentation animale. Pour certains, l'application pratique de la recherche animale au bénéfice de la santé humaine est réellement de peu d'importance; seules de nouvelles connaissances justifient des expériences sur les animaux, même si cela implique de nuire à des animaux sensibles sans qu’il n’en découle aucun profit au bout. Un secteur qui constitue un souci important pour beaucoup de gens est la découverte de cures et de traitements pour les maladies graves et la sécurité des produits d’usage quotidien. L'incidence de quelques maladies (maladies neurologiques, diabète, maladies cardiovasculaires, infarctus, problèmes respiratoires) a augmenté, de même que les dommages et la mortalité dus aux effets secondaires des médicaments. Il y a maintenant un souci palpable quant à la sécurité des médicaments et de tous les autres produits chimiques, dont certains affectent ou tuent des millions de consommateurs. En plus du manque de contrôle et de surveillance post-marketing, il y a aussi un manque de tests appropriés au départ même. Il est de notoriété commune que 80 % des études cliniques sont non informatives et la plupart, sinon toutes, sont issues de la recherche pré clinique sur des animaux. Puisque l’expérimentation animale reçoit la plupart des subventions et des octrois disponibles, il reste donc moins de fonds disponibles pour la recherche clinique. Ironiquement les découvertes obtenues par les tests sur les animaux dans des champs tels que la thérapie génétique, la transplantation des îlots du pancréas et d'autres techniques ne sont pas vérifiées ensuite chez des sujets humains à cause d'un manque de ressources. Le coût approximatif du système de soin de santé publique canadien est de plus de 100 milliards de dollars par an et il n'y a aucune indication que cette situation va s’améliorer. Une des meilleures façons de traiter les problèmes associés à la gestion des services médicaux est de mettre l’accent sur la prévention, l'éducation, une meilleure recherche et de meilleurs tests scientifiques, qui auront pour résultats des médicaments plus efficaces et plus sûrs. Malheureusement, éduquer le public s’est souvent avéré inefficace (par exemple, l'échec des campagnes anti-taba ; des lois/taxes coercitives peuvent être considérées nécessaires. La recherche sur les animaux est approuvée et (…) par l'industrie et le gouvernement et vue comme une pratique légalement acceptable. En conséquence, une telle méthodologie a été largement acceptée par la société, indépendamment de sa productivité et de son coût et indépendamment des alternatives. Il n’est pas surprenant que la recherche improductive et les tests non scientifiques soient devenus des procédures standard. La recherche et les tests peuvent être réalisés plus efficacement en utilisant des modèles qui reproduisent étroitement certains aspects de la biologie humaine et c'est précisément pourquoi des cellules et des tissus humains deviennent des alternatives intéressantes à l'utilisation de cellules et de tissus animaux. Historiquement, l'utilisation de cadavres humains dans des autopsies et des études anatomiques fut longtemps interdite à cause des sentiments moraux et religieux, et cela jusqu'à la Renaissance, qui a connu la remontée de l'anatomie humaine moderne. Maintenant, quelques scientifiques universitaires et industriels ont appris à reconnaître le besoin croissant pour des systèmes cellulaires et du tissu humain in vitro. En plus, un nombre significatif de chercheurs soulignent le besoin d'évaluer des produits et des hypothèses chez tout l'animal au complet avant de les tester sur des sujets humains. Sans évaluation précise des modèles animaux, ces méthodologies demeurent empiriques. La question réelle en cause est l'évaluation scientifique des risques des médicaments et des produits chimiques à l'aide de modèles valables. Comparé aux pionniers du 19ème siècle, il y a maintenant de nombreuses méthodes disponibles pour la recherche et les tests des médicaments et autres produits chimiques. En conséquence, de nouvelles alternatives peuvent être examinées si une politique émerge et si des fonds soutiennent ces efforts. En fait, l'utilisation des cellules et des tissus humains pour étudier la biologie humaine est une approche saine et l'information que nous pouvons en obtenir est d’une valeur considérable. En raison de la quantité d'informations que nous avons et de nos connaissances technologiques, en plus des pressions morales et scientifiques de faire une meilleure science, nous en sommes à écrire une nouvelle ère; les scientifiques des université et ceux de l’industrie considèrent remplacer les essais in vivo et in vitro sur les animaux par des essais in vitro sur des cellules ou des tissus humains parce qu'ils reconnaissent la supériorité morale et scientifique de cette méthodologie. En outre, les solutions de rechange à l'utilisation des animaux dans la recherche sont nécessaires pour nous aider à protéger les droits, la sécurité et le bien-être des individus. Comment la collecte, la distribution et la recherche sur cellules et les tissus humains fonctionnent-elles au Canada et dans certains autres pays ? Le code criminel du Canada, le Privacy Act et les lois et les règlements provinciaux contrôlent l'utilisation de tissu humain et la recherche sur les sujets humains. Le comité d'éthique de recherches qui possède l'expertise dans ce type de recherche régit les procédures et applique les directives morales pour protéger les sujets participant à ces tests, comme établi par le Tri-Conseil qui se compose de membres du CIHR, NSERC et SSHRC. Ces directives soulignent le respect de la dignité humaine, le consentement informé, la vie privée et la confidentialité, l’équité, et le libre don. Concernant la recherche sur les embryons humains, tel que décrété récemment par la Chambre des Communes le 28 octobre de l'année dernière, la loi C-13 interdit actuellement le clonage humain, mais permet l’utilisation d’embryons humains. Les chercheurs peuvent obtenir du tissu humain laissé après les chirurgies, biopsies, avortements foetaux, et quand la mort du cerveau est vérifiée par deux médecins chez un patient ayant fait don de tissu ou dont les proches parents sont d'accord pour le don. Le tissu cadavérique peut également être recueilli. Les chercheurs doivent d'abord soumettre une demande au conseil d'éthique de recherches (REB) qui évalue les aspects moraux et scientifiques du projet expérimental. Si la demande est rejetée, le chercheur peut en appeler de la décision devant un conseil spécial. Les donneurs doivent être également informés du but de la recherche, du type de tissu recueilli, des utilisations potentielles du tissu, et si le tissu est (.. ? ..) au donneur. Dans les cas où il n’y a pas de tissu disponible, on peut en obtenir à partir des banques de tissu situées aux Etats-Unis ou ailleurs, et livrées aux laboratoires canadiens. Il n'existe aucune banque de tissu pour la recherche au Canada, et peu de campagnes d’information/éducation auprès du public pour montrer les avantages potentiels d'employer des cellules et du tissu humains pour la recherche. En Angleterre, des lois existent pour protéger l'identité du donneur et les droits à la vie privée et les règles de consentement informé s'appliquent aussi. Le « Human Tissue Act » (1961) permet l'utilisation de tissus humains à des fins thérapeutiques et de recherche en autant qu’il n’y a aucune opposition de la part du donneur ou de ses proches. « L'Acte de Greffe d'organe Humain » (1989) interdit le paiement d’un prélèvement pour une transplantation à un autre individu. La Banque de Tissu Humain de l'Hôpital Peterborough (PHHTB) et les Services Nationaux de Tissu et Sang de la Sécurité Sociale du Royaume Uni (NBSTS) possèdent un système en place pour récupérer le tissu cadavérique pour la recherche dans le secteur commercial (ou pour le secteur de la recherche commerciale ??). Il existe également un enregistrement en ligne pour les gens désirant faire don de leur corps pour la recherche. En particulier, une société, Pharmagene, des Laboratoires Royston, en Angleterre, utilise des tissus humains et des technologies informatiques sophistiquées pour développer et évaluer de nouveaux médicaments. Aux Etats-Unis des banques de tissu ont aussi été développées. En 1986, quand l'Institut International pour l'Avancement de la Médecine a été établi, la conscience publique par rapport à l'option de faire des dons d'organes et de tissus pour la recherche était pratiquement zéro. La « National Organ Transplant Act» interdit l'achat et la vente des organes et des tissus humains. L'Association américaine des Banques de Tissu (AATB) a établi et contrôle la conformité des normes de qualité et de sécurité parmi les banques de tissus pour greffes. Il y a environ deux ans, l'Agence de certification des aliments et des médicaments a publié un règlement final qui exige des banques de cellules humaines, de tissu et de produits à base de cellules et tissu de s’inscrire avec l'agence et de produire une liste de leurs cellules et tissus humains et produits cellulaires ou à base de tissu (HCT/Ps). En Europe, le Réseau européen de Banques de Tissu pour la Recherche a été créé à titre d'organisation possédant l'expertise au niveau des banques de tissu humain et en tant que centre de référence sur ce type de service pour les universités et les industries membres de la communauté. Qu'est-ce qui peut être fait pour augmenter la collection de parties humaines pour des buts de recherche ? Quel genre de tissu peut être recueilli et ce qu'on peut en faire ?