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animo-aequoanimo

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Tout ce qui a été posté par animo-aequoanimo

  1. J'ai peur qu'elle trouve encore à répliquer... (Il n'y aurait qu'en la gavant qu'elle pourrait se la fermer.)
  2. C'est le sôciâl qui prime avec eux. Je ferme une heure, Do : c'est l'heure du lunch...
  3. Voilà ma belle Do, quand tu auras le temps de relire et de voir si tout semble correct. _______________________________________________________ Bonjour madame Desjardins et merci beaucoup de votre réponse à mon courriel; j’aimerais aussi apporter quelques réponses à certains points que vous avancez et je me permets donc de vous écrire une seconde fois. En ce qui concerne tout d’abord la nuance entre le jabot et l’estomac, le Larousse définit ainsi l’estomac des oiseaux : « chez les oiseaux, l’estomac se divise en un jabot où s’accumulent les aliments… » , ce qui fait que, dire que l’on enfonce un tube de la gorge à l’estomac de l’oiseau, n’est pas incorrect, quoique, pour plus de précision et pour éviter la confusion, je reconnais qu’il soit sans doute préférable d’employer le mot jabot. En effet, les canards migrateurs se constituent des réserves mais ce n’est pas pour produire du foie gras et elles ne sont pas accumulées et compactées en si peu de temps que le stock des canards gavés -i.e. nourris « de force », à l’aide d’appareils automatisés qui peuvent certainement causer des blessures. Les photos et les vidéos (que ce soit celles prises en France ou dans la vallée de Hudson*) nous montrent bien qu’il y en a qui se font blesser. Il ne me semble pas que l’on puisse vraiment parler de reproduction de ce qui se passe dans la Nature, ne serait-ce que par l’emploi d’appareils de gavage, et de confinement en cages lors du gavage (ou en tout temps en ce qui concerne l’élevage industriel). *Photos et vidéos à cette adresse : http://www.nofoiegras.org/FGphotos_HV.htm C’est en raison de la cruauté de la pratique du gavage que de nombreux pays l’interdisent et, au Québec, selon les normes de la CAAQ, le gavage des oies et des canards est interdit dans la production biologique (réf. : 6.3.11, Normes biologiques de référence du Québec). Cela me semble tout de même quelque peu significatif. D’autre part, ce qui s’est fait dans le passé n’est pas forcément toujours un exemple à poursuivre, loin de là, et encore moins à notre époque. Tel que le rapporte ce même exemple que vous présentez, on pratiquait alors également l’esclavage. Et, nous avons en effet longtemps maintenu cette coutume du passé à travers les siècles et avons mis bien du temps et des tentatives pour l’abolir car l’esclavage servait plusieurs de nos intérêts. Nous en sommes aussi venus à admettre que le fait que certains maîtres traitaient bien leurs esclaves ne pouvait pas non plus servir de raison acceptable pour maintenir l’esclavage. Comme quoi toutes les traditions humaines sont loin d’être correctes et que dans le cas de l’esclavage comme dans celui du foie gras, c’est pour satisfaire nos propres besoins, besoins non essentiels dans les deux cas, que l’on exploite des esclaves ou des animaux. Aussi bien traités que puissent être les animaux des élevages artisanaux, ils n’en sont pas moins considérés comme des êtres inférieurs n’ayant aucun droit à leur vie propre. Si on ne les brutalise peut-être pas physiquement, on ne tient pourtant pas compte de leur détresse psychologique. Les animaux ne sont pas que des êtres sensibles d’un point de vue physiologique mais ils sont aussi capables d’interactions avec leurs semblables et avec l’être humain et sont conscients de leur environnement et de ce qu’on leur fait subir ; ils sont aussi capables de ressentir des émotions, du stress, d’éprouver de l’anxiété de séparation, etc. Quel sentiment d’abandon, de détresse doit ressentir un animal qui avait toute confiance en son éleveur et qui est envoyé à l’abattoir… Pour poursuivre avec un autre point, soit la comparaison entre une endoscopie effectuée à un être humain et le gavage, cet exemple ne me paraît pas non plus exactement représentatif de ce que subissent les oies et les canards qui endurent ce traitement à répétition jusqu’à 3 semaines durant. On pourrait certainement soupçonner que si une endoscopie digestive était poursuivie au même rythme que le gavage et à l’aide d’un embuc de métal qu’elle provoquerait également de l’irritation et de l’endolorissement des parois, de l’érosion des muqueuses et peut-être même une usure susceptible de provoquer des déchirures. Le fait que le foie puisse reprendre sa forme si l’on cesse le gavage ne peut pas non plus être considéré comme un facteur en faveur du gavage. D’abord, ceci n’est vrai que dans la mesure où un certain seuil critique ne sera pas dépassé et ceci n'apporte pas la preuve que les animaux n’ont pas souffert ni que leur foie ne s'est pas dégradé; le fait que l’on puisse nous-mêmes guérir d’une migraine, d’une entorse ou parfois même d’un cancer ne signifie pas que nous n’avons pas été incommodé et mal en point ou que nous ne demeurons pas vulnérables. Et même si toutes « les pauvres petites » (sic) femelles ne sont pas broyées chez les producteurs de votre connaissance, ce n’est pas le cas chez tous. L’exception ne fait pas la règle (**) et, il n’y a pas que dans les autres pays que se pratique le gavage industriel puisque certains producteurs du Québec possèdent des usines de gavage comptant jusqu’à 4,000 places. Une entreprise du Québec produit 2,550 foie gras par semaine et une autre produit 80,000 fois gras par année. Nous sommes quand même un peu loin de la production artisanale. (**) A l’émission « La Semaine Verte » du 15 février 2004, on disait sans équivoque que les femelles canetons étaient écartées de la chaîne, bien sûr on n’ira pas jusqu’à préciser dans ce contexte qu’elles sont broyées vivantes pas plus qu’on ne le dit pour les poussins mâles à qui on fait subir le même sort dans l’élevage des poules pondeuses, ce qui n’empêche pas par ailleurs une production de poulet de chair. C’est pourtant de cette façon que l’on dispose des poussins : hachés, vivants, dans des hachoirs. C’est écrit tel quel dans le Code des Pratiques d’Agriculture Canada. Enfin si dans les débuts les canards courent se faire gaver, c’est possiblement que la nourriture, et la quantité, alors dispensée compense encore à ce moment pour l’inconfort subi lors des premières séances mais, encore une fois, si l’on visionne les vidéos de séances de gavage, on ne peut pas croire un seul instant que ces animaux ne souffrent pas. On m’a rapporté tout récemment le témoignage d’une préposée au gavage employée dans une entreprise artisanale du Québec qui disait qu’elle allait quitter ce travail car elle n’en pouvait plus d’assister à la souffrance de ces animaux en fin de gavage et dont on pouvait lire dans le regard qu’ils voudraient que l’on cesse cette opération. Cette personne disait aussi qu’effectivement les premiers jours du gavage, les oiseaux semblaient satisfaits de recevoir cette nourriture en dépit du procédé employé mais que l’on constatait qu’il en allait bien autrement dans les jours suivants. Il demeure inacceptable qu’une souffrance soit imposée à un animal, du fait que des sévices plus grands sont commis ailleurs ou que cette souffrance est de plus courte durée. Une cruauté n’en justifie pas une autre, même qualifiée de moins pire car pour la victime qui souffre, c’est tout aussi injuste et, si on hiérarchisait ainsi la souffrance, on laisserait tout faire. Que l’homme ait toujours pratiqué l’élevage, tué et mangé des animaux ne justifie pas non plus pour autant que cela doive continuer. En effet, les consommateurs de viande avancent souvent cet argument que les hommes ont toujours mangé des animaux, comme si ça en justifiait la pratique. Selon cette logique, nous ne devrions pas essayer d’empêcher le meurtre d’autrui ou la guerre puisque cela s’est toujours pratiqué. C’est en remettant en question certaines pratiques que notre société a pu évoluer. C’est de cette façon que nous en sommes venus à abolir l’esclavage, la peine de mort, à accorder le droit de vote aux femmes, etc. Les Nord Américains consomment de la viande qui ne coûte pas cher parce que c’est ce qu’on leur offre. Quand nos fast food proposent des hamburgers à 2$ ou des hot dogs à 2 pour 1$, on fait en sorte qu’ils en achètent. Et si la viande de supermarché n’est pas cher, c’est parce que l’industrie de la viande est grassement subventionnée et que tout est mis en œuvre pour qu’on en achète. De grosses publicités télévisées que l’industrie peut aussi se payer incitent le consommateur à acheter le porc de tel épicier ou le poulet en spécial de tel autre. Bien sûr que les groupes qui s'élèvent contre le gavage dénoncent aussi tout ce qui est élevage industriel. Ces groupes sont tous végétariens, et même vegans, qu'il s'agisse de « stopgavage » en France, de Gaia en Belgique, de « Peta » ou de « Farm Sanctuary » aux Etats-Unis et bien entendu que les éleveurs artisans ne sont pas des monstres et qu’il y a une différence entre élevage artisanal et élevage industriel dans la façon de traiter les animaux et, si les groupes de défense animale dénoncent d’abord et avant tout les mauvais traitements de l’élevage intensif –ce qui inclut les entreprises industrielles de production de foie gras, ils ne font pas pour autant abstraction du fait que les animaux des petits élevages se font abattre. Croyez-vous sincèrement que l’on puisse parler de respect envers un animal quand on lui enlève la vie ? D’autant plus que la viande n’est nullement indispensable pour se nourrir sainement. Si l’on se soucie réellement du bien-être et du sort des animaux que nous élevons, comment se fait-il qu’on les traite tout simplement comme de la viande en devenir ? Quand notre alimentation a pour conséquence la mort d’autres êtres sensibles, cela devrait pourtant bien être suffisant pour réfléchir sérieusement à ses habitudes alimentaires. En septembre 2005, des rapports de l'Agence canadienne d'inspection des aliments révélaient que près du tiers des 29 abattoirs québécois de juridiction fédérale répondaient à peine aux exigences sur le bon traitement des animaux. Selon ces rapports, le quart des abattoirs du Québec infligent des souffrances indues aux animaux. Parmi les infractions relevées par les inspecteurs: l'utilisation abusive du bâton électrique servant à guider les animaux vers les chaînes de transformation, des planchers glissants qui provoquent des chutes et des blessures, des taux anormalement élevés de décès dans des lots d'animaux en transit dans des locaux parfois dépourvus de nourriture, d'eau ou de ventilation... Une dizaine d'abattoirs ont été réprimandés à une ou plusieurs reprises au cours des deux dernières années pour ne pas avoir respecté les normes en vigueur afin d'assurer une mort rapide et sans douleur aux animaux ou pour ne pas avoir offert des environnements convenables aux bêtes en attente de leur mort. Finalement, au point de vue pollution, dix petits élevages artisans ne contribuent pas moins à la pollution qu’un seul élevage industriel du même nombre total d’animaux. Je vous remercie d’avoir pris le temps de me lire et de m’avoir permis de vous expliquer pourquoi les groupes de défense animale ne peuvent être d’accord pas plus avec l’anémie imposée aux veaux qu’avec la technique de gavage, et encore moins avec celle de la production industrielle. Cordialement,
  4. Nous avons reçu les félicitations sur la liste anti-foie d' Antoine, Méryl, Lise defrance ainsi que de plusieurs sur le forum de T-A mais sur la liste de l'AVM : NIET ! C'est incroyable comme ils sont amorphes !
  5. J'comprend donc, Do et tes doigts eux, ça va mieux ?
  6. Ils doivent penser qu'ils ont plus de chances comme ça. Ils s'imaginent que ce sont eux qui ont fait changer l'autre magasin d'idée (j'ai oublié le nom). Moi aussi je l'aurais cru si A-M n'avait pas dit qu'ils ne vendaient déjà plus de fourrure et que la 4 ait écrit qu'ils avaient récupéré l'affaire 5 leur crédit.
  7. J'espère que ça lui fera l'effet d'une bombe... mais je ne m'y attend pas vraiment. Elle me fait penser aux chasseurs.
  8. Ce doit être une tactique, Do. Ils ont dû se dire que ce serait bien d'essayer une "spécialité" puisque d'habitude, ils font une manif anti-fourrure générale.
  9. Mauditte grosse torche Je pense que j'aurai fini ma réponse demain ou mercredi. Elle ne doit plus s'attendre à recevoir de réponse. Déjà, ça lui fera une petite surprise
  10. Voir si les clients seront capables de faire la différence !!!!
  11. Moi aussi je l'ai trouvée différente des autres fois où je l'ai rencontrée mais c'est peut-être parce qu'elle étaite rentrée tard la veille et que son chum se retrouve sans logis et qu'elle ne peut pas l'héberger parce qu'il est allergique à son chat... un paquet de problèmes. Il est sans travail et sans le sou et sans logis... Je ne crois pas qu'elle soit allée à la manif de Gan de samedi car elle était encore à la table quand nous sommes parties à 14:45 et je crois que GAN est passé sur l'autre rue en face de nous vers midi 30. Leurs manifs ne durent jamais aussi longtemps, à ma connaissance, au max = 1 hre 1/2, surtout lorsqu'il fait froid. Voici le message que j'ai reçu cet après-midi: ___________________________________________________________ Manifester contre BEDO : Là où la cruauté faite aux animaux est à la mode (english below) (Veuillez nous excuser pour le court préavis, mais à cause de l'échec des négociations avec BEDO, nous essayons de planifier immédiatement le plus grand nombre de protestations possible à l'extérieur de leurs boutiques.) Avec sa collection d’automne qui comporte des manteaux et collets en lapin importés de Chine, Bedo semble penser que la fourrure est acceptable en tant que point fort de la mode.Mais sous le chic de leurs étalages et de leurs publicités se cache la dure réalité de l’industrie barbare de la fourrure. Les vêtements avec de la fourrure des collections BEDO sont fabriqués en Chine où il n’y a pas de réglementation pour le bien-être des animaux. Ce qui est encore plus troublant, c’est qu’il existe en Chine une industrie florissante et très cruelle de production de fourrure de chats et de chiens; cette fourrure est souvent faussement étiquetée comme étant de la fourrure de lapin avant d’être exportée vers les marchés occidentaux. Joignez votre voix à la nôtre contre les animaux maltraités par BEDO. Date : mardi le 10 janvier, midi Lieu : rejoignez-nous au bureau de Réseau Action Globale – 372 Ste. Catherine Ouest suite 308 Information : (514) 939-5525 ou contact@gan.ca
  12. Excellente idée, Do ! réponse de Valérie suite au remerciement personnel : Merci de me remercier ;), mais tu as eu encore plus de courage que moi pour organiser tout cela! Bravo encore pour cette merveilleuse implication. Oui, il faisait très froid samedi, c'est vrai que ça nous a tous pris du courage pour « faire la job» ! En espérant que quelques-uns de ces passants ne mangeront plus jamais de foie gras de leur vie... À bientôt! Valérie x
  13. (Ps: dans le message au sujet de Silvie = histoire de chats (j'ai mal écrit le mot). Je me dépêchais.
  14. Oui, Do, et je me suis dit que pour la prochaine action, nous leur apporterions une carte de remerciement d'Aequo Animo, en notre nom à toutes deux pour remercier chaque participant qui sera alors présent.
  15. Je crois que mélanie travaillait la plupart des samedis jusqu'aux Fêtes à l'entreprise hortiole de son père mais il devait fermer ensuite jusqu'au printemps. Je n'ai pas eu de réponse au mail que je lui ai fait parvenir pour la distribution. Quant à Sonia, elle n'a jamais participé à des actions de militance. Je suppose que maintenant avec la plus jeune, elle viendra encore moins. PS: Ma belle Do, si jamais tu répondais à Seb des Cahiers Antispé pour le remercier, pourrais-tu lui dire que c'est moi qu'il connaît, car il trouvera peut-être bizarre que "je" fasse commme si je ne le connaissais pas et il pense peut-être que tu es moi .... je viens de recevoir un tél. de Silvie (histoire de chts que je te raconterai + tard... mais 'ai dû m'interronmpre dans mon message) Es-tu allée à ton r-v ?
  16. Elle n'a pas fini de corriger...
  17. Ma belle Do, hier soir, j'ai fait parvenir le petit mot de remerciement suivant à chaque participant . Joanne vient d'y répondre et elle nous remercie également :-) Bienvenue Cécil, c'est mon plaisir! Merci aussi à toi et Dominique pour la création des tracts et l'organisation des distributions!! xox Joanne ----- Original Message ----- From: "Aequo Animo" <aequoanimo@mail.com> To: "Joanne Charlebois" <ariix@inorbit.com> Subject: MERCI Date: Sun, 08 Jan 2006 20:04:59 -0500 > > Merci infiniment, Joanne, pour ta participation à l'action de samedi: il > fallait du courage, beaucoup de dévouement et de générosité envers la > cause pour rester dehors aussi longtemps par un tel froid. MERCI ! > :-) Cécil xxx
  18. Je viens de voir que c'est fait Alors, je crois que je vais le faire sur la liste de l'AVM pour les titiller ces végétariens de mon oeil qui ne font que se rassembler pour faire du social au chaud entre eux C'est pas comme ça que la cause va avancer et puis je pense qu'à la prochaine occasion, je vais emmener ça sur le tapis d'une façon ou d'une autre et aussi leur dire de s'abonner pour donner un coup de main à la cause.
  19. C'est malheureux comme accidents mais ça en fait aussi d'autres de plus pour les haïr avec nous et ça augmente l'opposition publique contre eux !
  20. Ah ! Pauvre Do, ce n'est vraiment pas drôle. Peut-être que tu devrais te tremper les mains dans de l'eau chaude et du sel de mer ? Je ne sais pas mais puisque des bains aux sels de mer sont souvent recommandés, ce serait peut-être bon pour la circulation du sang dans tes mains ??? J'espère que ce ne sera pas trop pire demain, autant pour tes mains que pour la température. Je vais aller poster le compte-rendu de notre action sur le forum de TA. D'ci là, reposes-toi bien ma belle Do et à demain. Grosses bises et une caresse à Fanie
  21. Crois-tu que cette petite réponse soit ok ma belle Do ? _______________________________________________ Merci Antoine :-) Notre action sur la fourrure s'intitulait "HOT & SANS FOURRURE" pour faire prendre conscience aux gens que l'on peut être IN & HOT sans porter de fourrure. Oui, il faisait vraiment froid, surtout samedi dernier et nous remercions tous ceux qui se sont joints à nous pour cette journée; il fallait du courage, beaucoup de dévouement et de générosité envers la cause pour rester dehors aussi longtemps.
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