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Cruautés dans les encans canadiens (lettre s.v.p.)
Animal a posté un sujet dans Pétitions-Sondages-Suggestions
29 janvier 2009- Après une année d'enquête (en 2008) et des preuves vidéo filmées à l'encan Fraser Valley situé à Langley en Colombie-Britannique (Canada), à ce jour, Life Force n'a toujours pas reçu de réponse claire du gouvernement canadien à savoir si des accusations de cruauté animale ont été portées contre les abuseurs de ces animaux (vaches, veaux, cochons,chevaux, moutons, lapins, canards, poulets, pigeons, etc., ) ni si des mesures ont été prises pour corriger la situation. On peut lire le rapport en ligne et visionner ces vidéos où l'on voit des animaux avec des pattes cassées, des yeux crevés, des abcès énormes, des blessures ouvertes, d'autres entassés de force dans des boîtes, des camions, des autos, d'autres animaux émaciés, mourants, etc. etc. etc. S.V.P., écrivez une petite lettre pour demander des explications au gouvernement canadien et dénoncer ces atrocités. Merci beaucoup ! Ministre Provincial de la Santé L'Honorable George Abbott HLTH.Health@ gov.bc.ca Ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire L'Honorable Gerry Ritz Ritz.G@ parl.gc.ca Envoyez aussi une copie de votre lettre à Life Force Foundation lifeforcesociety@hotmail.com http://www.lifeforcefoundation.org/files/FVAFINALJUNE08.pdf http://www.lifeforcefoundation.org/ecotv_play.php?id=26 http://www.lifeforcefoundation.org/ecotv_3es.php -
29 janvier 2009- Après une année d'enquête (en 2008) et des preuves vidéo filmées à l'encan Fraser Valley situé à Langley en Colombie-Britannique (Canada), à ce jour, Life Force n'a toujours pas reçu de réponse claire du gouvernement canadien à savoir si des accusations de cruauté animale ont été portées contre les abuseurs de ces animaux (vaches, veaux, cochons,chevaux, moutons, lapins, canards, poulets, pigeons, etc., ) ni si des mesures ont été prises pour corriger la situation. On peut lire le rapport en ligne et visionner ces vidéos où l'on voit des animaux avec des pattes cassées, des yeux crevés, des abcès énormes, des blessures ouvertes, d'autres entassés de force dans des boîtes, des camions, des autos, d'autres animaux émaciés, mourants, etc. etc. etc. S.V.P., écrivez une petite lettre pour demander des explications au gouvernement canadien et dénoncer ces atrocités. Merci beaucoup ! Ministre Provincial de la Santé L'Honorable George Abbott HLTH.Health@gov.bc.ca Ministre de l'Agriculture et de l'Agroalimentaire L'Honorable Gerry Ritz Ritz.G@parl.gc.ca Envoyez aussi une copie de votre lettre à Life Force Foundation lifeforcesociety@hotmail.com http://www.lifeforcefoundation.org/files/FVAFINALJUNE08.pdf http://www.lifeforcefoundation.org/ecotv_play.php?id=26 http://www.lifeforcefoundation.org/ecotv_3es.php
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Canada 155 dogs seized in Snohomish Co. puppy mill raid Sunday, January 18, 2009 By KING5.com and KING Staff Video Raw video of rescued dogs and puppies Animals found in converted attic GOLD BAR, Wash. – Snohomish County authorities say more than 150 dogs living in filthy conditions were seized in a raid on puppy mill in Gold Bar on Friday night. A tip led deputies and officers to the residence and enough information was gathered to obtain a search warrant for the investigation of animal cruelty. More than 80 dogs were found in a converted attic inside a residence in the 43000 block of May Creek Rd. “Most of them in crates, most of them covered with feces, urine-saturated bedding, covered with fleas, they all were infested with fleas, some had sores all over their bodies,” said Snohomish County spokeswoman Carolyn Weikel. Officers also found four dead dogs, two of them puppies that had been placed in a freezer. The odor from the feces and urine was so overpowering it could be detected well outside the residence, and a large commercial dumpster in the yard was overflowing with dog waste. Medications and used syringes used to treat sick animals were found scattered in front of pens and in a refrigerator. KING More than 150 dogs and puppies were seized from a Sultan home. Bud Wessman, Director of Animal Services for the City of Everett, said it's the worst case he's ever seen. “We have some that we feel have developed distemper, we have some genetic defects from inbreeding of the dogs, missing legs, things like that,” he said. One dog's teeth are so rotten he can't keep his tongue in his mouth. Wessman said it appears that many of the dogs have had their vocal cords cut to keep them quiet. "We're not getting a lot of noise out of the dogs," he said. Investigators say the operation included a detailed breeding plan posted on a wall inside the residence. Photos of rescued dogs “The breeding animals, they might not be kept well but they’ll just take the babies and clean them all up nice and pretty and they are the ones that go to the pet shops,” said Wessman. “It’s a shame.” The Snohomish County Sheriff's Dept. is handling the investigation. If you’d like to donate dog food or money for medical expenses, contact the Animal Rescue Foundation at www.everettarf.org/ or call the Everett Animal Shelter at 425-257-6000. The shelter is also looking for volunteers to help with care http://www.king5.com/localnews/stories/NW_011809WAB-puppy-mill-raid-snohomish-SW.8025892.html
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Je n'ai jamais rien lu au sujet du jus de canneberges pour les chiens. Il faudrait peut-être t'informer auprès de ton vet Cé car ça pourrait peut-être lui causer des problèmes d'acidité à l'estomac (?) Les produits homéopathiques seraient peut-être une autre solution. Je sais qu'il en existe pour les infections urinaires chroniques chez les chiens... Bonne journée toutes les deux
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Montréal/Déjà un record de smog hivernal
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Environnement
Malgré la pollution Québec n'a pas l'intention d'interdire les poêles à bois La Presse Canadienne Rémi Nadeau 27/01/2009 15h54 - Mise à jour 27/01/2009 17h10 Le gouvernement Charest n'a pas l'intention d'interdire les poêles à bois dans les nouvelles constructions résidentielles au Québec, malgré les voix qui s'élèvent contre la pollution qu'ils génèrent. Alors que la ville de Montréal jongle avec l'idée de proscrire les appareils de combustion domestique dans les nouvelles habitations, le gouvernement du Québec adoptera en 2009 un règlement beaucoup moins coercitif. Le ministère du Développement durable interdira seulement la vente des appareils de chauffage au bois qui ne sont pas conformes aux normes environnementales américaines EPA (Environmental Protection Agency). ... http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/01/20090127-155446.html -
Pollution | 2009 Déjà un record de smog hivernal Éric Yvan Lemay Le Journal de Montréal 28/01/2009 08h25 La qualité de l'air au-dessus de Montréal est pire que jamais. Depuis le mois de novembre, on a totalisé pas moins de 21 jours avec des avertissements de smog. Un record. À titre de comparaison, le précédent record a été établi en 2005 avec 19 jours de smog durant tout l'hiver. Dans la nuit de lundi à hier, l'indice de qualité de l'air a atteint 108, alors qu'on estime que la limite supérieure jugée acceptable est de 50. «C'est rare qu'on atteigne ces chiffres», confirme Diane Boulet, chimiste responsable du réseau de surveillance de la qualité de l'air à Montréal. Le mois de janvier très froid a fait exploser le nombre de jours de smog. «Les conditions de masses d'air très froides ont aidé. Il y a eu moins de vent, donc moins de brassage de particules», confirme André Cantin d'Environnement Canada. Décès prématurés Toute cette pollution a un impact considérable sur la population. «On constate une augmentation des consultations à l'urgence les jours de smog», dit Norman King, épidémiologiste à la Direction de la santé publique de Montréal. Les asthmatiques, les jeunes enfants et les personnes âgées avec des problèmes cardio-vasculaires sont particulièrement vulnérables. On estime que la mauvaise qualité de l'air est responsable de 1 540 décès prématurés par année dans la région métropolitaine. La faute aux poêles à bois L'est de la Ville affiche régulièrement la pire qualité d'air. «C'est dû au fait que notre station d'échantillonnage est située en plein quartier résidentiel. Le chauffage au bois contribue donc beaucoup», souligne Diane Boulet. Au ministère de l'Environnement, on se dit préoccupé par la question. Un projet de loi pour encadrer la vente de nouveaux appareils de chauffage au bois doit être complété d'ici un an. Les fabricants devront suivre des normes strictes, mais on ne touchera pas aux appareils déjà en place. «On n'entrera pas dans chaque maison pour vérifier le système de chauffage, mais il sera interdit de vendre un vieux poêle à bois à un voisin par exemple», indique Dave Lévesque, porte-parole de la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp. ... http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/01/20090128-082500.html
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La Fondation Brigitte Bardot intervient, avec images d'enquêtes à l'appui, auprès de Thierry Lhermitte,vedette d'une pub pour le foie gras Monfort. 16 janv. 2009 "Montfort, c’est mon faible" : Tel est le slogan de la nouvelle publicité de la marque de foie gras du sud-ouest Monfort du groupe Euralis dont Thierry Lhermitte est la vedette. Nous disposons, grâce à l'association Stopgavage, de videos affligeantes tournées, caméra au poing, en France en 2008, dans 3 élevages différents sous contrat avec Euralis. Euralis fournit le foie gras pour la quasi totalité des marques de distributeur ainsi que sous ses propres marques : Montfort, Rougié, Bizac, Pierre Champion... Parce qu'il est temps de montrer les vraies images de l'industrie du foie gras, loin de la propagande publicitaire, nous avons adressé à Thierry Lhermitte un courrier de Brigitte Bardot, accompagné d'un DVD images à l'appui. Lire la lettre de Brigitte Bardot à Thierry Lhermitte De la même manière, la Fondation est également intervenue auprès de Nathalie Simon ayant, elle aussi, fait la promotion d'une autre marque de foie gras. Images d'élevages sous contrat avec Euralis par Stopgavage_Lapaque La publicité en question : Thierry Lhermitte fait de la pub pour du foie gras - wideo L'acteur français a tourné un pub pour la marque Montfort. Mots-clés : foie gras thierry lhermitte Video de matinonline http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40183
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L'Argentine, frappée par la sécheresse, perd ses bovins par milliers BENITO JUAREZ (AFP) - 28/01/2009 08h10 La carcasse d'une vache morte à cause de la sécheresse, le 26 janvier 2009 à Benito Juarez, à 400km au sud de Buenos Aires L'Argentine, qui vient de déclarer en état d'urgence son agriculture frappée par la pire sécheresse en cinquante ans, a déjà perdu entre 1,5 et 1,8 million de bovins : à Benito Juarez, en pleine pampa, les producteurs disent leur désespoir. "Voilà. Regardez celle-là : elle meurt", dit Pedro Gallarraga, 47 ans, éleveur d'origine basque, comme bien de fils d'immigrés qui ont travaillé sur ces terres de Benito Juarez (400 km au sud de Buenos Aires) depuis plus d'un siècle. Un fermier et le fils d'un ami devant la carcasse d'un bovin tué par la sécheresse, le 26 janvier 2009 à Benito Suarez Devant lui, une vache brune tente de se lever péniblement, puis retombe. A cinquante mètres d'elle, un petit veau l'appelle en vain. "Lui aussi va mourir", dit Gallarraga. "Quand ils se mettent à l'écart, c'est qu'on ne les sauvera plus". Tout autour de lui, l'herbe a jauni comme de la paille. Il a plu ici en un an 40% de moins que la moyenne. "Je n'ai jamais vu une telle sécheresse", dit cet éleveur. "J'en avais vu des passagères, oui, mais sur une année entière, jamais". Quelques kilomètres plus loin, le tableau est encore plus sombre. Carlos Abel Mastronardi, 53 ans, a perdu huit vaches en quelques semaines. Elles sont toujours là, dans les enclos qui entourent sa modeste maison de l'estancia "San Pablo". Il avance avec précaution, comme quelqu'un qui a trébuché et a peur de tomber à nouveau. A chacun de ses pas, surgissent des dizaines de sauterelles : avec la sécheresse, le fléau de la "tucura" est de retour. "Mes problèmes ne font que commencer", dit-il d'une voix posée, tenant sa casquette à la main. "Mes vaches vont continuer à mourir : aucun de mes enclos n'a d'herbe. J'ignore jusqu'où nous pourrons tenir. Nous risquons la faillite". C'est un véritable cercle vicieux dans lequel se débattent désormais les éleveurs argentins. "Ils sacrifient non seulement des vaches, mais des vaches qui doivent mettre bas, car ils n'arrivent plus à les nourrir", déplore, en visite chez Mastronardi, Juan de Carranza, 49 ans, délégué de la Société Rurale Argentine. Pour lui, "le pire, ce ne sont pas les vaches et les veaux qui meurent, mais ceux qui ne naîtront pas". "C'est un cycle de cinq ans, souligne-t-il. Or, c'est tout le cycle qui est bouleversé, avec une baisse de la rentabilité de 25% en un an". Le fleuve Salado, qui traverse la province de Buenos Aires 300 km au nord de Benito Juarez, est sec. Quelques flaques d'eau subsistent dans lesquelles viennent se rafraîchir les troupeaux. L'Argentine a déjà perdu en un an 1,5 million de bovins, selon l'Institut national de technologie agricole (INTA) et 1,8 million selon la Confédération des coopératives agricoles (CONINAGRO) sur un total d'environ 50 millions. La présidente argentine Cristina Kirchner, issue du péronisme de gauche, a déclaré lundi soir le secteur agricole en état d'urgence, ce qui devrait se traduire par une exemption d'impôts pour de nombreux producteurs. Le même gouvernement limite toutefois les exportations afin d'augmenter l'offre intérieure et empêcher toute hausse des prix dans un pays où la consommation de viande est la plus forte du monde avec 75 kg de viande par an et par habitant. Il a limité en mai à 25% la quantité exportable de viande pour chaque abattoir. Le prix du kilo de viande payé aux éleveurs, qui atteignait 3,60 pesos (0,70 centimes d'euros) il y a un an, ne dépasse pas 2,50 pesos (0,55 centimes d'euros). Parallèlement, les coûts fixes des éleveurs ont, eux, augmenté de 40%. Les éleveurs conduisent souvent leurs bêtes à l'abattoir plutôt que de les laisser mourir sur leurs terres. Cet afflux ne fait que tirer davantage encore les prix à la baisse.
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Un chasseur a tué la semaine dernière à Montgesoye (Doubs), dans la vallée de la Loue, un cochon chinois apprivoisé qu'il a pris pour un sanglier. Le cochon chinois, plus trapu, plus petit et au groin plus court qu'un sanglier, était un animal apprivoisé qui s'était enfui de la maison de ses maitres et se trouvait sur un site d'égrenage où il se nourrissait. L'office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCSF) a été alerté par le chasseur, et a ouvert une enquête. Les gardes de l'ONCSF observent dans le Doubs de plus en plus de sangliers au comportement et aux allures bizarres, soies grises ou blanches, groins courts, oreilles tombantes, et rappellent que l'animal peut se reproduire avec des espèces domestiques. (Source : Le Bien Public) 27 janvier 2009
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L'Islande intensifie la chasse à la baleine
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
L'Islande intensifie la chasse à la baleine REYKJAVIK (AFP) - 27/01/2009 19h59 L'Islande, qui avait repris en 2006 la chasse commerciale à la baleine, va intensifier cette activité controversée, avec des quotas de prises annuelles multipliés par plus de six pour les cinq prochaines années. "Le quota de prises est fixé sur recommandation de l'Institut de recherche marine", a déclaré à l'AFP le ministre démissionnaire de la pêche et de l'agriculture, Einar K. Gudfinnsson, précisant que dans son dernier rapport, celui-ci suggérait des prises allant jusqu'à 150 rorquals communs et 100 baleines de Minke (ou petits rorquals, une des plus petites baleines, ndlr). "J'ai toujours souligné que la chasse à la baleine devait être pérenne, et c'est pourquoi je pense que les baleiniers seront satisfaits de ce quota", a-t-il ajouté. ... http://www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.php?rub=sci&idArticle=newsmlmmd.9fa7437d742aa4dc80cea625ba83ff61.211.xml&titre=L%27Islande+intensifie+la+chasse+%E0+la+baleine -
L'idée est pourtant très sérieuse : fermer les abattoirs et interdire tout commerce de chaire animale. Cet appel se fera, ce samedi 31 janvier, sous le titre de "première édition de la Journée Mondiale pour l'Abolition de la Viande". Présentation des auteurs et explication de leurs revendications. C'est une première historique, qui fera rire les uns, réfléchir les autres. L'évènement est international mais d'origine française. Vouloir interdire la viande au pays de la gastronomie, qui l'eût cru ? C'est du mouvement végétarien qu'est bien entendu venue l'idée. En menant cette action annuelle, les militants du collectif pour l'abolition du commerce de la viande veulent créer le débat. Le meurtre dans l'assiette Est-il juste de continuer à se nourrir de viande à une époque où abattre un animal pour sa chaire n'est plus un acte de survie mais un simple plaisir gustatif ? Tuer un animal sans nécessité, n'est-ce pas une chose à considérer comme un meurtre, répréhensible par la loi, où doit-on respecter cette liberté de tuer ? Autant de questions qui seront posées ce samedi dans les villes de Paris, Lyon, Rennes, Montpellier, Metz, Toulouse, Besançon et d'autres, par le biais des associations végétariennes locales participantes à la campagne. Esclavagistes ou abolitionnistes ? Au delà même de la question de manger ou non de la viande, le débat va plus loin. Abolir la viande, c'est aussi abolir l'exploitation animale, que les militants comparent avec l'esclavage : "Au XVIII siècle, l'esclavage des humains était légal. Ce monde de servitude semblait appartenir à l’ordre naturel des choses : les Grecs et les Romains avaient des esclaves, [...] il était impensable qu’il puisse en être autrement. Pourtant, quelques décennies plus tard, l’esclavage était aboli." peut-on lire dans leurs revendications sur leur site. Les animaux d'élevage naissent, subissent les conditions d'élevage (privation de liberté, stress, souffrance) et finissent à l'abattoir. Est-ce ainsi que l'on doit continuer de concevoir notre rapport à l'animal ? Plus d'informations sur http://abolir-la-viande.org http://www.come4news.com/abolir-la-viande-990502
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28 janvier 2009 Les manchots empereurs menacés par la fonte de la banquise Le palmipède austral popularisé par La Marche de l'empereur, le film de Luc Jacquet, pourrait disparaître d'icià la fin du siècle. C'est ce qu'annoncent des chercheurs français du Centre d'études biologiques de Chizé (CNRS), associés à deux équipes américaines, dans l'édition en ligne du 26 janvier de la revue de l'Académie des sciences américaine (PNAS). Le cycle de vie (mue et reproduction) et la nourriture (calmars, poissons, krill) de l'oiseau marin sont en effet étroitement liés à la banquise antarctique. En combinant les prévisions de réduction de l'étendue des glaces, établies par le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), et le suivi démographique, entre 1962 et 2005, d'une colonie de manchots empereurs de Terre Adélie, les chercheurs ont calculé que les effectifs de cette population pourraient chuter de 6 000 couples reproducteurs, au début des années 1960, à seulement 400 à l'horizon 2100. 'La probabilité d'une quasi-extinction est d'au moins 36 %', évaluent-ils. Pour survivre, l'espèce devrait faire preuve d'une capacité d'adaptation rapide (migration, modification de la période d'accouplement et de ponte...), dont elle semble pour l'instant dépourvue. Lire la suite l'article http://fr.news.yahoo.com/64/20090128/twl-les-manchots-empereurs-menacs-par-la-acb1c83.html
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Publié le 28 janvier 2009 Braconnage: cent trente individus interceptés Benoît Fortin, agent de protection de la faune, montre une partie du matériel saisi dans la région lors de la saison de chasse de l'automne 2008. Les agents de la faune ont mis la main notamment sur des projecteurs et des armes. Marie-Eve Lafontaine Le Nouvelliste (Trois-Rivières) Pas moins de 130 individus ont été interceptés pour avoir commis des actes de braconnage en Mauricie-Centre-du-Québec au cours de la saison de chasse de l'automne 2008. Ils font face à 158 chefs d'accusation qui pourraient leur valoir des amendes totalisant près de 115 000 $. Les agents de protection de la faune ont saisi du matériel quelque peu inusité comme un projecteur d'une puissance de 18 millions de chandelles. «C'est énorme. On en trouve des projecteurs mais pas aussi gros. Le but avec cet appareil est vraiment d'éclairer à grande distance pour localiser le gibier. C'était des gens qui étaient vraiment décidés. Ils l'utilisent, par exemple, dans des endroits où se trouvent des cerfs de Virginie. Ils vont le déceler avec ce projecteur et vont abattre l'animal. Le cerf de Virginie n'est pas un animal qui va se sauver nécessairement lorsqu'il est éclairé, mais c'est, bien entendu, un geste qui est totalement illégal», explique Benoît Fortin, agent de protection de la faune. Les agents ont également mis la main sur un appeau électronique qui était utilisé pour la chasse. «La possession est permise pour apprendre à appeler le gibier comme le cerf de Virginie ou l'orignal, mais on ne peut pas l'utiliser pour chasser», précise M. Fortin. En Mauricie, les agents de protection de la faune des bureaux de La Tuque, de Shawinigan et de Saint-Alexis-des-Monts ont déposé 84 chefs d'accusation visant 71 individus. Les accusations concernent, entre autres, la possession de plus de gros gibier que la limite permise, la possession illégale de chair d'orignal et de cerf de Virginie et la possession d'arme à feu chargée à bord d'un véhicule. Pas moins de trois carabines ont été saisies. L'ensemble de ces braconniers pourraient écoper d'amendes totalisant 54 700 $ auxquels s'ajoutent les frais judiciaires. Dans certains cas, l'annulation du permis et du certificat de chasseur pour une période de 24 mois devrait être imposée. Au Centre-du-Québec, dans les secteurs couverts par les bureaux de Victoriaville et de Drummondville, les agents de protection de la faune ont intercepté 59 individus qui font face à 74 chefs d'accusation et à des amendes potentielles totalisant près de 60 000 $. Les principales accusations touchent la chasse au gros gibier la nuit, la possession illégale de gros gibier, la chasse au gros gibier avec une arme interdite, l'utilisation d'un projecteur pour déceler la présence de gros gibier la nuit et la possession d'armes à feu chargées à bord d'un véhicule. Les agents ont également mis la main sur 11 armes à feu, 11 projecteurs et un appeau électronique. Grâce aux opérations effectuées tant en Mauricie qu'au Centre-du-Québec, plus de 2350 kg de viande ont été remis à des organismes qui oeuvrent auprès des personnes défavorisées. Des enquêtes sont encore en cours et pourraient éventuellement conduire à d'autres accusations. Les citoyens sont invités à signaler tout acte de braconnage ou geste allant à l'encontre de la protection de la faune à S.O.S. Braconnage au 1-800-463-2191 ou au bureau de la protection de la faune de leur région. http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/mauricie/200901/28/01-821634-braconnage-cent-trente-individus-interceptes.php
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Publié le 28 janvier 2009 Braconnage: cent trente individus interceptés Benoît Fortin, agent de protection de la faune, montre une partie du matériel saisi dans la région lors de la saison de chasse de l'automne 2008. Les agents de la faune ont mis la main notamment sur des projecteurs et des armes. Marie-Eve Lafontaine Le Nouvelliste (Trois-Rivières) Pas moins de 130 individus ont été interceptés pour avoir commis des actes de braconnage en Mauricie-Centre-du-Québec au cours de la saison de chasse de l'automne 2008. Ils font face à 158 chefs d'accusation qui pourraient leur valoir des amendes totalisant près de 115 000 $. Les agents de protection de la faune ont saisi du matériel quelque peu inusité comme un projecteur d'une puissance de 18 millions de chandelles. «C'est énorme. On en trouve des projecteurs mais pas aussi gros. Le but avec cet appareil est vraiment d'éclairer à grande distance pour localiser le gibier. C'était des gens qui étaient vraiment décidés. Ils l'utilisent, par exemple, dans des endroits où se trouvent des cerfs de Virginie. Ils vont le déceler avec ce projecteur et vont abattre l'animal. Le cerf de Virginie n'est pas un animal qui va se sauver nécessairement lorsqu'il est éclairé, mais c'est, bien entendu, un geste qui est totalement illégal», explique Benoît Fortin, agent de protection de la faune. Les agents ont également mis la main sur un appeau électronique qui était utilisé pour la chasse. «La possession est permise pour apprendre à appeler le gibier comme le cerf de Virginie ou l'orignal, mais on ne peut pas l'utiliser pour chasser», précise M. Fortin. En Mauricie, les agents de protection de la faune des bureaux de La Tuque, de Shawinigan et de Saint-Alexis-des-Monts ont déposé 84 chefs d'accusation visant 71 individus. Les accusations concernent, entre autres, la possession de plus de gros gibier que la limite permise, la possession illégale de chair d'orignal et de cerf de Virginie et la possession d'arme à feu chargée à bord d'un véhicule. Pas moins de trois carabines ont été saisies. L'ensemble de ces braconniers pourraient écoper d'amendes totalisant 54 700 $ auxquels s'ajoutent les frais judiciaires. Dans certains cas, l'annulation du permis et du certificat de chasseur pour une période de 24 mois devrait être imposée. Au Centre-du-Québec, dans les secteurs couverts par les bureaux de Victoriaville et de Drummondville, les agents de protection de la faune ont intercepté 59 individus qui font face à 74 chefs d'accusation et à des amendes potentielles totalisant près de 60 000 $. Les principales accusations touchent la chasse au gros gibier la nuit, la possession illégale de gros gibier, la chasse au gros gibier avec une arme interdite, l'utilisation d'un projecteur pour déceler la présence de gros gibier la nuit et la possession d'armes à feu chargées à bord d'un véhicule. Les agents ont également mis la main sur 11 armes à feu, 11 projecteurs et un appeau électronique. Grâce aux opérations effectuées tant en Mauricie qu'au Centre-du-Québec, plus de 2350 kg de viande ont été remis à des organismes qui oeuvrent auprès des personnes défavorisées. Des enquêtes sont encore en cours et pourraient éventuellement conduire à d'autres accusations. Les citoyens sont invités à signaler tout acte de braconnage ou geste allant à l'encontre de la protection de la faune à S.O.S. Braconnage au 1-800-463-2191 ou au bureau de la protection de la faune de leur région. http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/mauricie/200901/28/01-821634-braconnage-cent-trente-individus-interceptes.php
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Simon-Olivier Lorange La Voix de l'Est (Sainte-Christine) Les quelque 1100 porcs qui se trouvaient à l'intérieur de la porcherie détenue par la Ferme des 2 «C», à Sainte-Christine, ont tous péri au cours d'un tragique incendie déclenché hier midi. ... «Au moins, il n'y a pas eu de vies humaines en danger, et c'est ça l'important, a philosophé M. Côté. Mais c'est sûr que c'est triste, surtout parce que j'avais investi 50 000 $ en rénovation du bâtiment au cours de la dernière année et que, après plusieurs hauts et bas dans l'industrie depuis trois ou quatre ans, ç'avait recommencé à bien aller. Maintenant, c'est le temps de se retrousser les manches et de recommencer à neuf. J'aime trop ce domaine-là pour abandonner.» http://www.cyberpresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/200901/28/01-821618-1100-porcs-perissent-dans-un-incendie.php
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Publié le 28 janvier 2009 à 07h47 | Mis à jour à 07h47 1100 porcs périssent dans un incendieTaille du texte Imprimer Envoyer Votre nom Agrandir Un attroupement discute des tristes événements à quelques mètres des décombres du bâtiment à l'intérieur duquel 1100 porcs ont péri. photo Janick Marois Simon-Olivier Lorange La Voix de l'Est (Sainte-Christine) Les quelque 1100 porcs qui se trouvaient à l'intérieur de la porcherie détenue par la Ferme des 2 «C», à Sainte-Christine, ont tous péri au cours d'un tragique incendie déclenché hier midi. En ajoutant à ces pertes le bâtiment lui-même, entièrement rasé par les flammes, la valeur des dommages s'élèverait à 700 000 $ selon les estimations du propriétaire des lieux, Pierre Côté. «J'étais en train de dîner quand on a senti une baisse de courant, a raconté hier le principal concerné, passablement serein malgré tout. Je suis venu vérifier rapidement, mais le feu était déjà commencé et avait pris aux portes, alors on ne pouvait pas entrer. Comme l'extincteur n'est pas loin de l'entrée, j'ai essayé de l'atteindre, mais il y avait déjà trop de fumée et c'était rendu trop dangereux d'essayer de sauver les animaux.» C'est donc la totalité de la production animale de la ferme, qui voyait à l'engraissement de porcs depuis 19 ans, qui a été emportée. Une érablière est également exploitée sur le même terrain, mais les arbres n'ont pas été atteints par les flammes. Devant l'ampleur du brasier, les services d'incendie de Durham-Sud et de Roxton Falls ont été mis à contribution afin de venir en aide à celui de Sainte-Christine. Une trentaine d'hommes qui ont travaillé tout l'après-midi. Selon les premiers indices relevés sur les lieux, il semble qu'un problème d'ordre électrique ait été à l'origine de l'incendie. «Au moins, il n'y a pas eu de vies humaines en danger, et c'est ça l'important, a philosophé M. Côté. Mais c'est sûr que c'est triste, surtout parce que j'avais investi 50 000 $ en rénovation du bâtiment au cours de la dernière année et que, après plusieurs hauts et bas dans l'industrie depuis trois ou quatre ans, ç'avait recommencé à bien aller. Maintenant, c'est le temps de se retrousser les manches et de recommencer à neuf. J'aime trop ce domaine-là pour abandonner.» http://www.cyberpresse.ca/la-voix-de-lest/actualites/200901/28/01-821618-1100-porcs-perissent-dans-un-incendie.php
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26 janvier 2009 LA PRESSE CANADIENNE FREDERICTON - Le sénateur Fabian Manning, de Terre-Neuve-et-Labrador, soutient que la rencontre entre les représentants canadiens de la chasse aux phoques et ceux de l'Union européenne (UE) s'est bien déroulée. M. Manning faisait partie de la délégation canadienne qui tentait, la semaine dernière, de convaincre les membres de l'union de pas aller de l'avant avec un projet de loi visant ces produits. C'est que l'Union européenne songerait à bannir les importations de produits issus de l'industrie canadienne de la chasse aux phoques. Le sénateur Manning reconnaît que cette opération charme a été plutôt difficile. Les membres de la délégation canadienne ont notamment tenté de démontrer que les accusations de pratiques de chasse cruelles dénoncées par certains groupes de défense des animaux sont inexactes. Le sénateur pense toutefois que les membres de l'UE ont écouté attentivement ce qu'avait à dire la délégation canadienne à ce sujet. M. Manning estime donc qu'ils feront un choix plus éclairé lors du vote sur ce projet de loi de l'UE prévu d'ici le mois d'avril.
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Le gouvernement augmente les possibilités d'exportation pour les éleveurs de bétail Ottawa (Ontario), 9 janvier 2009 - Le gouvernement du Canada élargira les possibilités d'exportation pour les éleveurs de bétail en donnant suite aux recommandations des tables rondes sur la chaîne de valeur de l'industrie du boeuf et du porc. Le gouvernement mettra en oeuvre deux recommandations clés : créer un secrétariat à l'accès aux marchés et ouvrir un accès commercialement significatif aux marchés du boeuf dans une première étape vers l'accès libre, comme le recommande l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE). « Les producteurs canadiens souhaitent gagner leur vie dans le marché et ce gouvernement travaille avec eux pour ouvrir de nouveaux marchés sur la scène mondiale, a déclaré le ministre Ritz. Les tables rondes ont fourni d'excellents avis qui serviront de base à notre travail constant visant à ouvrir de nouveaux marchés et à uniformiser les règles du jeu pour nos exportations. » Le ministre Ritz a annoncé la création d'un secrétariat à l'accès aux marchés au sein d'Agriculture et Agroalimentaire Canada afin de mieux coordonner les initiatives que le gouvernement promeut avec l'industrie et les producteurs en vue de poursuivre de façon dynamique et stratégique l'ouverture de nouveaux marchés et de rester à la hauteur des concurrents internationaux. Le secrétariat fera appel aux services d'un éventail d'experts commerciaux afin de faire la promotion des exportations agricoles canadiennes à travers le monde. Le secrétariat s'efforcera d'élargir l'accès aux marchés à l'extérieur des États-Unis pour les produits agricoles et agroalimentaires, notamment dans des marchés prometteurs comme le Mexique, la Chine, le Japon, la Corée, Hong Kong, l'Indonésie, la Russie et l'Arabie saoudite. Le gouvernement appliquera également les recommandations de l'industrie du bétail visant l'établissement d'un accès commercialement significatif aux marchés internationaux du boeuf dans une première étape vers un accès libre conformément aux normes de l'OIE. « Nous convenons avec les producteurs que le Canada doit établir le premier contact pour accéder à de nombreux marchés internationaux, tout en poursuivant notre objectif de rétablissement d'un accès complet pour le boeuf canadien à travers le monde », a affirmé le ministre Ritz. ba Agriculture Canada http://Aceis.AGR.CA/
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Bientôt un vaccin contre les cancers de la peau ? Sandrine Cabut 21/01/2009 Un chercheur australien a présenté récemment des résultats préliminaires chez l'animal, qui laissent toutefois sceptiques les spécialistes français. Après un vaccin contre les cancers du col de l'utérus, un vaccin pour prévenir certains cancers cutanés ? Présentés récemment lors d'un congrès médical à Brisbane (Australie), les résultats préliminaires obtenus par un immunologiste australien laissent toutefois très sceptiques les spécialistes français. Ian Frazer (université du Queensland) est un chercheur reconnu pour ses travaux sur les papillomavirus humains (HPV), qui ont contribué à la mise au point des vaccins anticancereux du col utérin. Il a même été élu homme de l'année en Australie en 2006. C'est également en ciblant des HPV, mais d'autres types que ceux impliqués dans les tumeurs gynécologiques, qu'il a conçu son vaccin anticancer de la peau. Celui-ci vise à prévenir les carcinomes épidermoïdes cutanés, des tumeurs moins redoutables que les mélanomes mais très fréquentes. Selon le Pr Frazer, les résultats sont probants chez l'animal, et un premier essai clinique chez l'homme devrait démarrer dès l'an prochain. Le rôle de la protection solaire En Australie, la perspective d'une prévention vaccinale des cancers cutanés fait déjà rêver. Du fait de ses conditions d'ensoleillement et de la peau claire de ses habitants, le pays détient en effet le record mondial de tumeurs de la peau. Au total, 380 000 cas sont enregistrés chaque année parmi les 20 millions d'Australiens, dont 1 600 mortels. Parmi eux, plus de 137 000 sont des carcinomes épidermoïdes, responsables de 400 décès. Le vaccin ne dispensera pas des mesures de protection solaire, prévient toutefois Ian Frazer. «Je ne sais pas quelle proportion de carcinomes est due à des HPV, avoue Ian Frazer interrogé par le Daily Telegraph. Dans les jours les plus pessimistes, je dirais 1 % ; d'autres jours, je pense que c'est peut-être tous. » «Le rôle oncogène de certains HPV est clairement établi dans les cancers cutanés associés à une maladie rare, l'épidermodysplasie verruciforme ; mais en ce qui concerne la population générale, les arguments scientifiques ne sont pas très convaincants », tempère le Pr Gérard Orth (Institut Pasteur), spécialiste international des papillomavirus. Des HPV de type bêta sont effectivement souvent présents dans les lésions cutanées précancéreuses et les carcinomes épidermoïdes, chez les individus sans déficit immunologique et encore plus fréquemment chez des patients qui ont été greffés. Mais ces mêmes virus peuvent également être détectés sur la peau saine. » En outre, la situation est nettement plus complexe que pour les cancers du col de l'utérus, dus à 70 % à un HPV alpha de type 16 ou 18. «Il n'existe pas de virus bêta HPV spécifiques de la peau, mais plusieurs dizaines de types viraux bêta avec des effets biologiques différents, explique le Pr François Aubin, dermatologue à Besançon, qui se demande même si ces virus n'ont pas au contraire un effet protecteur vis-à-vis des cancers cutanés. 100 000 nouveaux cas par an «L'implication des HPV dans les carcinomes épidermoïdes cutanés est toujours débattue et les mécanismes sont loin d'être élucidés, confirme le Dr Ève Maubec, dermatologue spécialisée en cancérologie à l'hôpital Bichat (Paris). Le facteur de risque majeur des carcinomes épidermoïdes est l'exposition solaire, rappelle-t-elle, en précisant que ces tumeurs de la peau sont vingt-cinq fois moins fréquentes en France qu'en Australie. Dans l'Hexagone, près de 100 000 nouveaux cas de cancers cutanés sont diagnostiqués chaque année : 70 % sont des carcinomes baso-cellulaires - des tumeurs qui n'engagent pas le pronostic vital car elles ne métastasent pas, 20 % des spino-cellulaires et moins de 10 % des mélanomes. Ceux-ci sont responsables de la majorité des décès (environ 1 400 par an). La mortalité des autres cancers cutanés est cependant loin d'être négligeable : 531 décès en 2004, 582 en 2005 selon le service de statistiques de mortalité de l'Inserm. En l'absence de vaccination, la seule prévention possible et d'efficacité certaine est la réduction de l'exposition solaire. http://www.lefigaro.fr/sante/2008/12/29/01004-20081229ARTFIG00235-bientot-un-vaccin-contre-les-cancers-de-la-peau-.php
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Avions et oiseaux : 800 incidents par an en France Marielle Court 22/01/2009 En France, comme dans la plupart des grands pays occidentaux, les aéroports sont dotés d'équipes dont le travail consiste à faire fuirles volatiles aux abords des avions au moyen de tirs de fusée détonante, de torche laser ou d'imitation de cris de détresse. Crédits photo : AFP La Direction de l'aviation civile lance une grande étude sur trois ans pour embarquer des systèmes d'effarouchement à bord des avions. L'expression est lourde de sens : lorsque le monde de l'aviation évoque les oiseaux, il parle de péril aviaire. Les chiffres sont impressionnants : tous les ans il y cinq à six mille incidents avec des volatiles dans l'aviation civile dont près de huit cents en France. «À peu près 15 % d'entre eux sont jugés sérieux», explique-t-on à la DGAC (Direction générale de l'aviation civile). Et à cela, il faut encore en ajouter quatre cents pour les seuls avions militaires. L'extraordinaire amerrissage de l'Airbus A 320 dans la baie de l'Hudson, à New York, est une violente piqûre de rappel tant on a frôlé la catastrophe. Il y a plusieurs années, les premiers rapports qui ont été écrits sur le danger de collision avec les oiseaux évoquaient déjà la possibilité que deux moteurs soient détruits en même temps. «La probabilité que les deux réacteurs soient touchés par des gros oiseaux était de une sur un milliard de vols», assure Jean-Luc Briot, ornithologue à la DGAC. C'est arrivé cette année. Il y a une trentaine d'années «on nous demandait comment modifier les trajectoires des oiseaux migrateurs», ironise un chercheur du Muséum national d'histoire naturelle, à Paris. Aujourd'hui, les choses ont considérablement évolué. En France, comme dans la plupart des grands pays occidentaux, les aéroports sont dotés d'équipes dédiées au péril aviaire. «Ils sont quinze à Roissy et onze à Orly. Leur travail consiste exclusivement à faire fuir les oiseaux aux abords des pistes, entre le premier avion du matin et le dernier du soir», explique un responsable d'Aéroports de Paris. Tirs de fusée détonante, effarouchements ponctuels, torche laser, imitation de cris de détresse… Tout est bon pour écarter les volatiles. Avec un risque : que les oiseaux s'habituent. «J'ai pris en photo un oiseau tranquillement perché sur un des haut-parleurs installés au bord des pistes», s'amuse Gérard Feldzer, le directeur du Musée de l'air du Bourget. Du coup, des tirs à balles réelles sont effectués quand tout le reste a échoué. Un gros travail est également fait dans l'aménagement des aéroports : pas de mare ni d'arbres propices à servir de perchoirs aux volatiles, pas de fleurs ou d'herbes hautes où ils pourraient être tentés de faire leurs nids… D'un autre côté, les constructeurs sont soumis à une réglementation de plus en plus sévère. Les réacteurs ou les pare-brise subissent des tests toujours plus stricts de «tir de poulets». «La structure des avions doit résister à des impacts d'oiseaux de 1,85 kilo en vitesse de croisière», précise ainsi la DGAC. Mais il y a toujours des imprévus. «Le réacteur d'un A 320 doit supporter la pression de sept goélands de un kilo et continuer de produire au moins 75 % de la poussée de décollage pendant une vingtaine de minutes, le temps de se reposer», raconte Jean-Luc Briot. Seulement voilà, il y a peu, à Nice, deux de ces volatiles ont suffi à détruire un des moteurs et à mettre l'avion en danger : «par malchance ils sont tombés sur la même pale», précise encore l'ornithologue. Anticiper le parcours des oiseaux migrateurs est un autre problème. Surtout pour les avions militaires qui se trouvent souvent à la même altitude qu'eux. «Dans les pays d'Europe du Nord, il existe des systèmes de prévisions. Quand les oiseaux sont trop nombreux, les sorties militaires sont interrompues», explique Jean-Luc Briot qui ajoute : «en Israël, ils ont perdu plus d'avions militaires à cause des oiseaux qu'en raison des conflits». En France, où l'armée perd quasiment un avion de chasse tous les quatre ans, les vols ne sont pas suspendus. Il est vrai que lorsqu'ils passent au-dessus de l'Hexagone, les migrateurs s'éparpillent. «Le couloir pour les grues cendrées s'étale sur près de 300 kilomètres de large», poursuit l'ornithologue. «On ne vole pas sans la nature, on vole avec» Aujourd'hui, la DGAC lance une étude de grande envergure sur trois ans afin de mettre au point un système embarqué dans les avions destiné à effaroucher les oiseaux. Malgré les améliorations - à Air France le nombre d'incidents sérieux a été divisé par trois en dix ans - il est très important de continuer à progresser. Il y a quelque 8 000 avions de ligne qui circulent aujourd'hui dans le ciel et le trafic «double à peu près tous les dix ans», rappelle Gérard Feldzer. Les risques de collision vont donc aller en s'accroissant . Or, «on ne vole pas sans la nature, on vole avec», rappelle le spécialiste soucieux de protéger la biodiversité. Cela n'a pas empêché le personnel de l'aéroport de Nantes de se frotter les mains lorsque, le 24 décembre, ils ont ramassé sur les pistes de l'aéroport des oies assommées en plein vol quasiment prêtes à être enfournées ! » TEMOIGNAGES - «Je suis entré dans un nuage de mouettes, il y avait du sang partout» http://www.lefigaro.fr/sciences/2009/01/22/01008-20090122ARTFIG00009-avions-et-oiseaux-incidents-par-an-en-france-.php
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Chine/149 chiens sauvés par Animals Asia
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New year brings hope for Chinese dogs Animals Asia helps save 149 dogs from illegal meat trader Animals Asia Foundation is funding the rescue of 149 dogs from an illegal trader in Sichuan province. The dogs, crammed together in tiny cages, had been bound for a meat market in the southern city of Guangzhou, China’s dog-eating capital. The dogs were confiscated from the trading station in Pengzhou, 30 kilometres north of Chengdu, by the local Animal Husbandry Bureau after it discovered the trader was operating without a licence. The officials were notified of the situation by Mr Qiao Wei, the operator of Qiming Rescue Centre in Chengdu, who had received a tip-off about the dogs. All 149 dogs were taken to the rescue centre yesterday (31 December) and released into the quarantine area. A truck containing cages crammed with petrified dogs arrives at Qi Ming rescue centre. Animals Asia’s Founder and CEO, Jill Robinson, along with a team from the foundation’s Moon Bear Rescue centre in Chengdu, including Education Manager Rainbow Zhu, vet Leanne Clark and vet nurse Emily Gorman, were at the shelter when the dogs arrived. “The dogs were in an appalling condition, many of them very thin and clearly in shock,” Ms Robinson said. “I hate to think how long they had been in those cages, many of them packed in so tightly that they were piled on top of each other. We heard terrible screams coming from some of the cages, where terrified dogs were biting each other.” A terrified dog waits to be released. She said many of the dogs were wearing collars and were possibly stolen pets; some were pure-breeds, including two dalmatians and a chocolate labrador; others had been collected as strays from the streets. She appealed to families in Pengzhou that had lost their dogs to contact the rescue centre. Animals Asia’s vet team administered emergency medical treatment to the dogs that were most in need and euthanised one dog, who was suffering from distemper. Health-checks are continuing today (1 January). Animals Asia had recently built the spacious quarantine area at Qiming Rescue Centre to provide temporary shelter for dogs it had rescued from the Sichuan earthquake. “Luckily most of those dogs have since been adopted or reclaimed by their families,” Ms Robinson said. “So we have room to house these new dogs while they recover from this terrible trauma and await adoption.” The foundation will provide ongoing medical care and funding for dog food. Education Manager Rainbow Zhu said "It's hard to see how these dogs have been treated, and worse to think there are millions more elsewhere being abused in this way. Though there are no laws yet against dog eating in China, it's great to see there are 149 of them being successfully rescued today with the big assistance from the local authority." Ms Robinson applauded the authorities for their quick action, which meant the dogs had been spared from the terror of a four-day journey to Guangzhou with no food or water and a brutal death; dogs are often slowly beaten to death in the misguided belief that “torture equals taste”. Animals Asia's vet nurse Emily Gorman opens a cage of dogs. “This is a wonderful example of Chinese people standing up and saying ‘no’ to the cruel dog-eating trade,” Ms Robinson said. “It is a great way to start 2009!” Dogs are eaten in China year-round, but more so during the cold winter months. http://www.animalsasia.org/index.php?UID=OCMBEQ6OOVL -
Genetically Modified Pigs to be Bred for Organ Transplant Harvesting Monday, January 26, 2009 by: David Gutierrez, staff writer (NaturalNews) A British lord and fertility researcher has announced plans to breed genetically engineered pigs, for the purpose of harvesting their organs for transplant into humans. "Pigs' organs are the right size for human transplantation, and they work similarly to human organs," said Lord Winston, head of the Institute of Reproductive and Developmental Biology at Hammersmith Hospital in London. Health professionals have attempted to transplant organs from animals into humans before, but research in the field dropped off in the late 1990s when early transplant attempts were rejected and attacked by recipients' bodies as foreign tissue. Concerns over the possibility that transplants could facilitate the spread of diseases from animals to humans also contributed to a drop in the field's popularity. Now Winston and colleagues from Imperial College want to revive the idea by breeding pigs that contain six human genes, in order to decrease the chances that the pigs' organs will be rejected by human bodies. They have formed a company called Atazoa that has successfully created transgenic pig sperm, but their research stalled due to strict British regulations over transgenic animals. "One of the biggest problems in Britain is the regulatory framework. It's been very difficult to get this sort of animal work going," Winston said. The researchers initially had to wait 13 months before they were licensed to genetically modify the pigs, then were told that regulations prohibited breeding genetically modified animals on agricultural land. In response, Atazoa has moved its research to the United States, which has drastically fewer regulations concerning genetic research on animals. The researchers will breed the pigs with genetically modified sperm in Missouri, and hope to produce a fully modified animal within the next two years. After that, they hope to begin clinical trials to demonstrate that the genetically engineered organs are safe for human transplant. Sources for this story include: news.scotsman.com; www.pigprogress.net; www.guardian.co.uk. http://www.naturalnews.com/025414.html
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