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  1. Animal

    Respect sur la banquise

    Respect sur la banquise Mise à jour le jeudi 15 janvier 2009, 13 h 41 . Les chasseurs de phoque ont profité de la réunion annuelle du comité consultatif de l'Atlantique sur la chasse au phoque pour entériner de nouvelles méthodes d'abattage des animaux. Photo: PC/Jonathan Hayward Ils ont unanimement accepté une procédure en trois étapes, qui viendra atténuer la souffrance des animaux. Ces trois étapes, qui sont dans l'ordre assommer la bête, puis vérifier par palpation que le crâne est bel et bien fracassé, pour ensuite saigner l'animal inconscient, doivent être effectuées le plus rapidement possible. Cette procédure a été déterminée à partir des observations et des propositions du Groupe de travail de vétérinaires indépendants formé en mai 2005. Ce comité qui regroupe neuf membres originaires du Canada, des États-Unis, des Pays-Bas, de la France et de la Grande-Bretagne, compte aussi un spécialiste qui a siégé au Groupe vétérinaire international commandé par l'IFAW (International Fund for Animal Welfare) en 2001. Dorénavant, les règlements de Pêches et Océans Canada suivront à la lettre les recommandations des vétérinaires indépendants sur une façon moins cruelle de tuer les phoques. Le président des chasseurs des Îles-de-la-Madeleine, Denis Longuépée, convient que les chasseurs n'avaient plus le choix devant la menace de l'embargo européen sur l'exportation des produits dérivés du phoque. Le Parlement européen et les 27 pays membres de l'Union européenne doivent entendre une première lecture d'un projet de loi en ce sens en mars prochain. Si la législation était adoptée, seuls les produits des pays garantissant une chasse non cruelle seraient acceptés en Europe. Gestion de l'observation Lors de leur réunion annuelle, les chasseurs de phoque ont aussi accepté de resserrer la surveillance des groupes animalistes qui observent la chasse sur la banquise. Une des principales questions en jeu est la distance entre les observateurs et les chasseurs ainsi qu'entre les observateurs et les troupeaux. Cette année, les chasseurs ont demandé que des observateurs indépendants accompagnent les animalistes. Actuellement, les observateurs doivent se tenir à au moins 10 mètres des chasseurs, mais peuvent être plus proches des bêtes, ce qui peut, selon le rapport du Comité permanent des pêches aux Communes publié en 2007, déranger les mères et leurs veaux. Le même rapport souligne aussi qu'une distance plus importante entre les chasseurs et les observateurs ne viendrait pas nuire à la qualité de l'observation tout en maximisant la sécurité de tous et garantissant une chasse ordonnée. Le directeur régional de Pêches et Océans, Patrick Vincent, observe d'ailleurs que les chasseurs se sentent harcelés par les observateurs, notamment parce que les vols d'hélicoptères sont trop bas. ... http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2009/01/15/001-phoque-mesure.asp
  2. Soins de santé au Canada Un nouveau médicament suscite de l'espoir Agence QMI 21 janvier 2009 Un nouveau médicament pour lutter contre la phénylcétonurie (PCU) vient d’être élaboré à Montréal. Maladie rare et grave, les personnes atteintes de la PCU ne peuvent consommer des aliments protéiques (viande, oeufs et lait) parce qu’ils contiennent de la phénylalanine. Une lueur d’espoir vient cependant de poindre à l’horizon. Un nouveau médicament élaboré par des chercheurs de l’Université McGill et du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), avec leurs confrères du Scripps Research Institute et de BioMarin Pharmaceutical Inc., pourrait en effet redonner aux patients atteints de PCU la possibilité de s’alimenter normalement et de suivre un régime riche en protéines, sans que cela soit un risque pour leur santé. ... http://sante.canoe.com/channel_health_news_details.asp?channel_id=2001&relation_id=3483&news_channel_id=2001&news_id=3838&rid=
  3. Animal

    Controversés cochons

    Publié le 18 janvier 2009 Controversés cochons En septembre 1998, des producteurs de porcs avaient envahi l'autoroute 20 avec leurs bêtes, afin de forcer le gouvernement du Québec à les aider financièrement. Photothèque Le Soleil Annie Morin Le Soleil (Québec) La production porcine attise les passions des Québécois au même titre que les caprices de la météo et la performance du Canadien de Montréal. Pas mal pour une population qui se préoccupe assez peu d'agriculture en d'autres temps. D'un côté, des citoyens et des économistes crient au scandale financier, voire au détournement de taxes. Il est vrai que l'aide gouvernementale a atteint des sommets que personne n'avait osé imaginer, même les actuaires de la Financière agricole du Québec (FADQ). Comme tous les spécialistes des probabilités, ils ont tenté de prévoir l'imprévisible, sans toutefois tomber dans la science-fiction. Jusqu'en 2005, leur scénario qualifié de «moyen» a assez bien tenu le coup. Mais le pire du pire s'est concrétisé au cours des trois dernières années. Prix au plancher, coûts de production en hausse, épisodes de maladies, concurrence féroce, dollar canadien en cavale... Tous les beaux calculs des actuaires ont pris le bord. Le scénario catastrophe s'est concrétisé. En 2008, les dédommagements ont dépassé le demi-milliard de dollars. ... http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/200901/17/01-818593-controverses-cochons.php
  4. 22 janvier 2009 De l'agneau de Charlevoix et pas d'ailleurs Lucie Cadieux a travaillé pendant plus de 10 ans pour obtenir la reconnaissance de l'agneau de Charlevoix. «Je vais boire le champagne quand tout sera officiel», lance la propriétaire de la ferme Éboulmontaise. Le Soleil, Erick Labbé (Québec) L'agneau de Charlevoix a désormais toutes les autorisations nécessaires pour devenir la première appellation réservée du Québec. Il ne manque plus que la bénédiction du ministre de l'Agriculture, qui devrait être prononcée dans les prochaines semaines, pour qu'il soit protégé au même titre que le vin de Bordeaux, le piment d'Espelette ou la mozzarella di Buffala. ... http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/200901/21/01-819801-de-lagneau-de-charlevoix-et-pas-dailleurs.php
  5. Publié le 22 janvier 2009 à 07h08 | Mis à jour à 07h50 Chine: condamnations à mort dans le scandale du lait à la mélamine Photo: AFP Agence France-Presse Pekin La Chine a voulu frapper fort en annonçant jeudi trois condamnations à mort, dont l'une avec sursis, dans l'affaire du lait contaminé à la mélamine qui a tué six enfants et porté atteinte à son image à l'étranger, mais ce sont surtout les trafiquants qui ont payé. Sur les 21 accusés au total, trois autres personnes ont écopé de la prison à vie et les 15 autres de peines allant de 2 à 15 ans d'emprisonnement, a précisé la télévision nationale dans son journal du soir. Trois hommes ont été condamnés à mort, dont l'un avec sursis, pour leur implication dans le scandale du lait frelaté qui a également rendus malades 300 000 enfants l'an dernier, a annoncé l'agence Chine Nouvelle. L'ancienne patronne de Sanlu, figure emblématique du groupe au coeur de cet énorme scandale et ancien cadre du Parti communiste (PCC), accusée d'avoir étouffé l'affaire, fait partie des trois personnes condamnées à la prison à perpétuité. Ces verdicts ont été annoncés par plusieurs tribunaux du nord de la Chine, quelques semaines après les procès des 21 accusés. Zhang Yujun, qui a produit de la poudre contenant de la mélamine et en a écoulé 600 tonnes, a été condamné à mort pour avoir «mis en danger la sécurité publique». Un autre trafiquant a été condamné à la peine de mort pour son implication dans ce scandale qui avait éclaté en septembre et provoqué une psychose en Chine, entraînant à travers le monde des retraits des produits chinois contenant du lait. Un 3e homme a écopé d'une condamnation à mort avec sursis qui sera probablement commuée en prison à vie. Tian Wenhua, 66 ans et ex-directrice de Sanlu, était la plus haute personnalité jugée dans cette affaire qui avait coûté leur poste au chef du PCC de Shijiazhuang (nord, siège de Sanlu) et au maire de la ville. Cette édile locale du Parti et du parlement provincial avait été accusée d'avoir produit et vendu des produits «faux et de qualité inférieure» et encourait la prison à vie, mais pas la peine de mort. Mme Tian avait pour co-accusés trois anciens cadres de Sanlu, qui ont écopé de cinq à 15 ans de prison. Sanlu, l'un des fleurons de l'industrie laitière chinoise désormais en quasi-faillite, s'est vu infliger une amende de 50 millions de yuans (5,6 millions d'euros) et son ex-directrice de 20 millions de yuans. ... http://www.cyberpresse.ca/international/asie-oceanie/200901/22/01-819834-chine-condamnations-a-mort-dans-le-scandale-du-lait-a-la-melamine.php
  6. Publié le 21 janvier 2009 Du poison dans votre assiette Shiv Chopra La Tribune, Yanick Poisson Yanick Poisson La Tribune (VICTORIAVILLE) Limogé de son poste de fonctionnaire de Santé Canada en 2004 pour avoir refusé de suivre les directives de ses supérieurs qui lui demandaient d'approuver des médicaments qui n'avaient pas fait leurs preuves, Shiv Chopra n'y va pas de main morte dans ses accusations à l'endroit du gouvernement fédéral. Le docteur en médecine vétérinaire prétend qu'une collusion entre le gouvernement du Canada et l'industrie agricole fait en sorte que des technologies nocives pour la santé se retrouvent actuellement en abondance dans notre assiette. M. Chopra fait référence aux hormones de croissance, aux antibiotiques utilisés à des fins non thérapeutiques, à l'utilisation de déchets carnés dans la nourriture du pâturage, aux organismes génétiquement modifiés et aux pesticides de synthèses, des substances qui peuvent causer un tort significatif à la santé des gens qui les ingurgitent. L'ancien fonctionnaire, maintenant âgé de 74 ans, affirme que des études bien documentées provenant principalement des pays d'Europe soutiennent que ces cinq technologies peuvent être tenues responsables de plusieurs types de cancers, de troubles de fertilité et de résistances aux antibiotiques. Sans compter la maladie de la vache folle qui a causé passablement de tort au boeuf canadien au cours des dernières années. Shiv Chopra va jusqu'à affirmer que les Canadiens sont les habitants de la planète qui ingèrent la nourriture la plus contaminée de toute la planète, tout juste devant les Américains. «À cause de la collusion entre le gouvernement et une industrie qui ne veut que s'enrichir, on retrouve ces cinq produits partout dans la chaîne alimentaire canadienne», a indiqué celui qui est reconnu comme le plus célèbre «sonneur d'alarme» au pays. Une révolution qui passe par le Québec ... Les personnes qui souhaitent en connaître davantage sur le docteur Chopra, son histoire, les faits entourant son congédiement de Santé Canada et sa lutte contre ces cinq technologies néfastes peuvent consulter son livre Corrupt to the core Memoirs of a Health Canada whistleblower commercialisé depuis décembre. Si tout se déroule comme prévu, cet ouvrage sera traduit par Claude Charbonneau et vendu en français à compter du mois d'avril. http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/200901/21/01-819667-du-poison-dans-votre-assiette.php
  7. Publié le 21 janvier 2009 Du poison dans votre assietteTaille du texte Envoyer Votre nom Shiv Chopra La Tribune, Yanick Poisson Yanick Poisson La Tribune (VICTORIAVILLE) Limogé de son poste de fonctionnaire de Santé Canada en 2004 pour avoir refusé de suivre les directives de ses supérieurs qui lui demandaient d'approuver des médicaments qui n'avaient pas fait leurs preuves, Shiv Chopra n'y va pas de main morte dans ses accusations à l'endroit du gouvernement fédéral. Le docteur en médecine vétérinaire prétend qu'une collusion entre le gouvernement du Canada et l'industrie agricole fait en sorte que des technologies nocives pour la santé se retrouvent actuellement en abondance dans notre assiette. M. Chopra fait référence aux hormones de croissance, aux antibiotiques utilisés à des fins non thérapeutiques, à l'utilisation de déchets carnés dans la nourriture du pâturage, aux organismes génétiquement modifiés et aux pesticides de synthèses, des substances qui peuvent causer un tort significatif à la santé des gens qui les ingurgitent. L'ancien fonctionnaire, maintenant âgé de 74 ans, affirme que des études bien documentées provenant principalement des pays d'Europe soutiennent que ces cinq technologies peuvent être tenues responsables de plusieurs types de cancers, de troubles de fertilité et de résistances aux antibiotiques. Sans compter la maladie de la vache folle qui a causé passablement de tort au boeuf canadien au cours des dernières années. Shiv Chopra va jusqu'à affirmer que les Canadiens sont les habitants de la planète qui ingèrent la nourriture la plus contaminée de toute la planète, tout juste devant les Américains. «À cause de la collusion entre le gouvernement et une industrie qui ne veut que s'enrichir, on retrouve ces cinq produits partout dans la chaîne alimentaire canadienne», a indiqué celui qui est reconnu comme le plus célèbre «sonneur d'alarme» au pays. Une révolution qui passe par le Québec ... Les personnes qui souhaitent en connaître davantage sur le docteur Chopra, son histoire, les faits entourant son congédiement de Santé Canada et sa lutte contre ces cinq technologies néfastes peuvent consulter son livre Corrupt to the core Memoirs of a Health Canada whistleblower commercialisé depuis décembre. Si tout se déroule comme prévu, cet ouvrage sera traduit par Claude Charbonneau et vendu en français à compter du mois d'avril. http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/200901/21/01-819667-du-poison-dans-votre-assiette.php
  8. 22 janvier 2009 à 07h12 | Mis à jour à 07h12 Amené en cour pour avoir nourri un écureuil Photo La Presse Sara Champagne La Presse Attention: cet article n'est pas un canular. L'histoire d'un homme qui a lancé quelques arachides à un écureuil de Westmount aboutira sur un procès. Il met en scène un homme de 58 ans, en chair et en os, et un écureuil affamé. De Westmount. À l'automne 2006, par une matinée plutôt froide, Bruce Kert, musicien professionnel, se baladait tout bonnement en bordure du parc de Westmount. Quand tout à coup, il aperçoit quelques arachides par terre. Il décide alors de les ramasser et se dit intérieurement qu'il va les balancer au prochain écureuil qu'il va croiser et dont les représentants sont nombreux dans le secteur. Quelques secondes plus tard, un gros écureuil, qui venait de descendre rapidement d'un arbre, surgit. M. Kert, de façon candide, dira-t-il à La Presse, lui balance la manne. Mais un policier fait le guet. En moins de temps qu'il ne faut pour le réaliser, il rédige un constat d'infraction et le remet au fautif, à l'homme, évidemment. Hier après-midi, deux ans plus tard, la juge Dominique Jolie, de la cour municipale de Montréal, a approuvé la requête en rétractation de jugement à l'égard de M. Kert et fixé l'ouverture d'un procès au 4 mai prochain. L'amende qui était au départ de 75$ se chiffre maintenant à 455$. Il faut dire que l'accusé a omis de se présenter à une première audience en rétractation, il y a plus d'un an. Pour cette raison, il a même été passible d'emprisonnement. Depuis le début de ce feuilleton, M. Kert a toujours soutenu qu'il en était à sa première infraction. Qu'il n'avait jamais nourri un écureuil auparavant. Et qu'il ne comprenait pas pourquoi on ne lui avait pas donné un simple avertissement. «Je n'allais pas recommencer», plaide-t-il. Hier, la juge lui a demandé s'il y avait des panneaux aux abords du parc prévenant les citoyens du règlement municipal interdisant de nourrir les animaux en liberté. «Non», a déclaré Bruce Kert, stupéfait par la tournure des événements. «Je n'ai pas d'avocat, a-t-il ensuite expliqué, à la sortie de la salle d'audience. C'est fou, non? Je ne vais quand même pas embaucher un avocat pour avoir lancé des peanuts à un écureuil. Pour une amende de 455$.» Squirrelgate La mairie de Westmount a déjà expliqué que le fait de nourrir la faune sauvage pouvait causer des problèmes graves de santé publique. On admet qu'il est toutefois de coutume de donner un avertissement avant d'imposer une amende, comme on le fait dans les cas de manquement à la propreté. Décontenancé par la tournure des événements, Bruce Kert a choisi d'exorciser sa fâcheuse histoire en écrivant une chanson blues. Squirrelgate est le titre de cette chanson maintenant téléchargée sur YouTube. Il espère que les contribuables montréalais réaliseront comment leurs taxes sont parfois dépensées «dans des procès insensés.» Montréal et les écureuils En général, dans tous les arrondissements et villes liées de l'agglomération de Montréal, il est interdit de nourrir pigeons, goélands, écureuils et tout autre animal vivant en liberté, comme des mouffettes ou ratons laveurs. Ce règlement sur «les nuisances» est édicté en vertu de la Charte de Montréal. Selon les arrondissements ou villes, une première infraction peut être passible d'une peine minimale de plus ou moins 20$, ne dépassant pas 1000$. Après trois infractions, l'amende peut atteindre 2000$. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/200901/22/01-819837-amene-en-cour-pour-avoir-nourri-un-ecureuil.php
  9. 24 janvier 2008 Chasse au phoque L'industrie constate des signes d'essoufflement Phoque Les chasseurs de phoques des provinces de l'Atlantique et du Québec s'inquiètent pour leur avenir. La chasse au phoque n'ouvrira qu'au printemps, mais l'industrie connaît déjà certaines difficultés. Lors d'un encan, tenu plus tôt ce mois-ci en Ontario, seule la moitié des peaux de phoques a été vendue. (p.s. l'article anglophone précédent, mentionne qu'aucune peau n'a été vendue) Il s'agit de la plus mauvaise vente des six dernières années. De plus, le prix de la fourrure a dégringolé. Robert Cahill, le directeur de l'Institut de la fourrure du Canada, soutient que les interdictions d'exporter les produits du phoque en Europe sont responsables de cette situation. Il rappelle que la Belgique et les Pays-Bas ont adopté des lois qui interdisent la vente des produits du phoque, et que la France, l'Allemagne, l'Italie et l'Autriche songent à adopter des lois similaires. Le chasseur Jean-Claude Lapierre craint que l'Union européenne finisse par adopter une telle loi. « Nous autres, en fait, on est pessimiste. On ne lâchera pas tout de suite. Il va falloir pousser sur le gouvernement. On a de l'espoir quand même. On ne lâchera pas tout de suite parce que c'est une industrie qui rapporte beaucoup aux familles de l'Atlantique », déclare-t-il. Jean-Claude Lapierre montre du doigt des groupes de protection des animaux, comme la Humane Society. La directrice de cet organisme au Canada, Rebecca Aldworth, est heureuse de la tournure des événements. « Je pense que l'industrie de la chasse au phoque est près de la fin », dit-elle. Cependant, la bataille n'est pas encore terminée. L'Organisation mondiale du commerce entend actuellement la plainte du Canada contre la Belgique et les Pays-Bas. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2008/01/24/004-ATL-chasse-phoque_n.shtml
  10. Aucune des 10,000 peaux de phoques mises en vente à l'encan en Ontario ce mois-ci n'a été vendue. L'industrie de la fourrure blâme l'Union européenne et la crise économique ... --------------------------------------------------------------------- January 21, 2009 Nunavut seal skins fail at auction Canadian fur officials are blaming the European Union's proposed ban, as well as a waning global economy, on a poor showing for Nunavut seal skins so far this year. None of the 10,000 Nunavut seal pelts that went up for auction this month had sold at the first auction of this year at Fur Harvesters Auction Inc.'s auction house in North Bay, Ont. "The entire collection remains unsold," said Fur Harvesters Auction CEO Mark Downey, adding that the auction house will have to slash prices on the seal skins. "We're looking at probably a 50 per cent price reduction to get the thing started again," he said. "The whole thing's got to be revitalized." Nunavut government officials say they are exploring other options for selling the furs, such as marketing them within the North. "We have a number of local people who are taking seals," said Wayne Lynch, director of fisheries and sealing with the Nunavut government. "As well, we have interest in northern Quebec .… There's many different areas that have contacted us for a hundred here or a thousand there." Northern buyers bought almost 2,000 seal skins in 2008, accounting for about 25 per cent of total sales. Lynch said more marketing and promotion could boost those numbers, and help Nunavut's hunters avoid a complete collapse in the seal skin market. Nunavut hunters have generally been paid an average of $50 per pelt. Unless buyers come forward, Lynch said that price could drop. http://www.cbc.ca/consumer/story/2009/01/21/eu-seal.html?ref=rss
  11. Ils se sentent tellement fort avec une arme dans la main ! J'aimerais bien les voir tous seuls, sans arme, au milieu d'un troupeau d'éléphants
  12. Je suis tout-à-fait d'accord avec toi Cath et je ne me fie pas trop aux statistiques non plus, car parfois, l'industrie affirme que ses ventes augmentent, alors que ça n'est pas le cas... Il y a tellement eu de mauvaise presse concernant l'industrie de la fourrure en Chine, que ça m'étonnerais bien gros que ça n'ait pas affecté leurs ventes...
  13. Animal

    Bulletin-PRINTEMPS 2009

    South Africa busts rhinoceros poaching ring Some animals had horns removed while still alive, officials say AP The corpse of a slaughtered rhino is seen at a national park in South Africa. Rhino horns are used in medicines in parts of Asia. View related photos Multimedia Black market The wildlife trade is the third-largest illegal trade in the world after guns and drugs. Learn who is buying and selling and see the species put at risk by the trade. updated 9:48 a.m. ET, Fri., Jan. 16, 2009 JOHANNESBURG, South Africa - South African police and game park rangers have arrested 11 suspects in an international rhinoceros poaching ring. Police commissioner Ray Lalla said in a statement Friday that some of the rhinos had their horns hacked from them while they were still alive. Investigators tracked the suspects — identified as South African, Chinese and Mozambican — for days. They were charged with illegally hunting game in the national parks, illegally possessing and dealing in rhino horn and illegal possession of firearms. Rhino horn is used in medicines in parts of Asia, where some believe it is an aphrodisiac. Wildlife trade's dark side What do elephants, rhinos, great apes, bears, big cats, sharks, parrots and marine turtles have in common? They're all threatened by the illegal wildlife trade. Last year, the U.N. agency that oversees the international wildlife trade said that rhinos were in trouble across the continent and in India. "Populations in the Democratic Republic of the Congo, India, Mozambique, Nepal, South Africa and Zimbabwe, are all suffering from poaching," the U.N. Convention on International Trade in Endangered Species stated in July. "The situation is so critical in the Democratic Republic of the Congo that scientists fear the population may have been wiped out. Illegal trade in rhinoceros horn appears to be a cause of major concern. It includes fraudulent applications for CITES documents, abuse of legal trophy hunting and the use of couriers smuggling horns from southern Africa to Far East Asia." http://www.msnbc.msn.com/id/28691087/
  14. De riches chasseurs Anglais paient des milliers de dollars pour aller tuer des éléphants, incluant des éléphanteaux, au Zimbabwe -------------------------------------------------------------------- January 18, 2009 British kill entire elephant herd Hunting parties are paying out thousands to kill elephants, including calves, in Zimbabwe Benjamin Chang, who shot three elephants, said the meat was given to villagers Daniel Foggo BRITISH hunters, including a prominent Harley Street surgeon, have been paying the Zimbabwean authorities thousands of pounds each to take part in a mass elephant cull. They are among groups of hunters who have been permitted to track and kill whole herds, including their calves, before taking photographs of themselves with the carcasses. Rumours that Zimbabwe was culling its population of 80,000-100,000 elephants have been circulating for some time, but definitive proof that foreigners have been paying to be involved has emerged only now. Elephant culls are highly controversial. They typically involve killing every animal in a herd, usually about a dozen strong, and they are condemned as brutal and unnecessary by many conservationists. Supporters argue that the animals are destroying ecosystems by stripping whole areas of edible foliage and monopolising water sources, and that killing is the only effective method of population control. Alternatives, such as habitat expansion, relocation and even the use of contraception, are proposed by wildlife campaign groups, but the hunters reject them as unworkable. Peter Carr, a professional hunting outfitter from Yorkshire, took a party to the Hwange national park last year to cull a herd of 11 elephants, including some “adolescent” calves. The game reserve, which is Zimbabwe’s largest at more than 5,600 square miles, is said to be home to about 50,000 elephants, more than double its capacity. One of Carr’s party was Benjamin Chang, a British orthopaedic surgeon who is based in London’s Harley Street. He paid £5,600 to take part, most of which was passed on to the Zimbabwean park authorities. Chang and Carr shot three elephants each. Unlike conventional trophy-hunters, clients taking part in culls are not permitted to keep any part of the elephant; but they are allowed to take photographs. Ivory from slaughtered elephants has been legally sold by the Zimbabwean authorities to China and Japan. Last November, Zimbabwe sold nearly four tons of ivory in a one-off sale permitted under international law, for £330,000. The British hunters, who used specialist rifles to kill the elephants, said shooting was the most humane method of killing, although sometimes more than one shot was necessary to dispatch an animal. Elephant welfare campaigners were horrified. Will Travers of the Born Free Foundation said: “These days it takes something pretty extraordinary to shock and distress as far as Zimbabwe is concerned. But news of the slaughter of elephants inside national parks still has the power to make you sick to your stomach.” Michael Wamithi, the elephant programme manager for the International Fund for Animal Welfare said British hunters paying to kill elephants were unlikely to help Zimbabwean conservation efforts. “Because of the corruption and financial situation I would be surprised if anything at all reached conservation or communities,” he said. However, Carr said he believed that the money would be used to help maintain the stability of the wildlife in the park. Carr, author of a forthcoming book, Death in the Bush Veldt, which includes chapters on hunting elephants and other big game, said: “The elephants are slowly turning the land there into a desert. I consider myself a champion for elephants but they must be culled, although it’s such an awful word it makes the bunnyhuggers spit their dummies out. “No one feels great after culling a herd: it is quite a sombre mood. You have to kill all of them - if any escape they can spread panic in other herds.” Carr said the cull has been kept low-key. “I was asked last year if I could find clients to go over and shoot 100 elephants as part of the cull,” he said. “I took one party over [including Chang] and had another 18 clients lined up, half of whom were British, but after that the reports of violence and unrest caused them to back out.” The overall African elephant population has dropped from 1.3m in 1979 to about 500,000 today, but in some areas they are considered too numerous. South Africa is proposing a cull of elephants in Kruger national park for the first time since 1995. In Zimbabwe starving people have resorted to killing elephants for food, and recent reports have suggested Mu-gabe’s soldiers are being given meat from carcasses. Chang, 49, said it was right to use the elephants to feed the Zimbabwean people. “The meat goes to the village. They are queuing at the camp saying, ‘Please give us the meat.’ I was told one elephant will feed one village for 3½ months,” he said. The hunter, who struck a thumbs-up pose for a picture of him astride an elephant he had shot, went on to shoot a lioness in South Africa. He defended the practice of foreigners paying to kill elephants. “The army could have done the cull themselves but they don’t have the right guns. You can’t use an automatic rifle, that would just be cruel,” he said. Rich game Big game hunting is a rich man’s pastime. Hunters must pay a fee to kill each animal, and are usually allowed to keep the skins as a “trophy”. The so-called big five are the most popular prey. A bull elephant costs upwards of £6,500 and can be as expensive as £37,000. Lions cost between £8,000 and £15,000, buffalos from £6,000 and leopards between £8,000 and £15,000. White rhinos, which are often tranquillised with a dart rather than killed, start at about £5,000. http://www.timesonline.co.uk/tol/news/uk/article5537002.ece
  15. China northern fur farms grow despite furor Mon Jan 19, 2009 By Vivi Lin HARBIN, China, Jan 19 (Reuters Life!) - Fur may have fallen out of favour with some fashion designers and shoppers concerned about animal welfare, but breeding animals for their pelts is a thriving industry in northeastern China. China is a major exporter of fur garments and the number of fur farms have mushroomed in the past ten years, especially in the cold, northern region of Heilongjiang. A group of scientists is now helping locals improve the breeding rates of animals such as mink and fox through artificial insemination and other means, according to Liu Zhiping, who heads the university research team helping the farmers. "A group of foxes does not give birth naturally to many cubs a year, so if you want to see a lot of fur in the market from a certain breed of furry animals, we need to introduce the technology of artificial insemination," said Liu, a professor at the Northeastern Forestry University of China. Some wild species such as Red and Arctic foxes and raccoon dogs are being bred in farms, and the team hopes that will also help improve the quality of the fur they produce. "What we are doing now is researching the different varieties of fox breeds. If foxes are inbred, the quality of the species will degenerate, so to prevent that from happening, we need to do experiments to be able to retain good genes," said Bai Yuyan, a member of the research team. Statistics about production volumes, revenues and exports are few and far between, and Bai said that was because the fur industry does not gain enough attention from the government. She said most of the region's buyers were from neighbouring Russia, where many people bulk up against the bitter winter by wearing fur. She said this year, farmers were more cautious about production due to the economic recession, adding that the industry was expected to be impacted in some way. According to local industry experts, the level of fur production in northeastern China has been increasing steadily by 10 percent per year since 2004. A growing number of international fur traders, processors and fashion designers have gradually shifted their business to China, according to a forum held by the China Leather and Fur Association in November. Industry analysts say cheap labour and the absence of animal rights' protection regulations in the country are encouraging the controversial industry, which has been lambasted by animal rights groups that say the animals are often skinned alive. Chinese authorities have called the animal groups' reports exaggerated. Liu said he hoped critics of the fur industry would also consider its conservationist side. "By raising captive animals, we can save the wild ones at the same time. It takes far more effort to hunt a wild animal than to raise one, so by farming these animals, we are playing an important role in protecting their wild counterparts," he said. (Editing by Miral Fahmy and Emma Graham-Harrison) http://www.reuters.com/article/latestCrisis/idUSSP389889
  16. Fur Harvesters Auction holds first sale of the year - VIDEO AND PHOTO GALLERY Posted By Brandi Cramer http://northbaynugget.ca/ArticleDisplay.aspx?e=1381026 Janv. 2009 The Fur Harvesters Auction was pleasantly surprised Friday when its first sale brought in almost $1 million. “Beavers did surprisingly well. The top price for a pelt was $59.08 and the average price per pelt was $28.92,” said Jim Gibb, director of public relations. About 30 international buyers sat with their auction cards bidding on more than 100,000 pelts from 15 species. Also a top seller Friday was muskrat, which fetched a top price of $7.94 per pelt with the average set at $3.85. The toughest species to move was raccoon. “We only sold eight per cent of our stock and the top price was $39.10 compared to about $45 last year,” Gibb said. “We cleared almost 100 per cent last year.” Buyer Mitch Hatzis has been attending local sales for more than 25 years. “I am always happy and I always get something,” said Hatzis, who lives in Manhattan. “The best is the beavers, and second raccoons. Any wild fur is much better, because the weather helps the fur a lot. You get good quality.” Gibb was pessimistic prior to the sale. “We expected it to be the worst. We are thinking the market, in a bit more time, will stabilize and prices should improve over the season.” --------------------- p.s.: Il y a eu une autre vente tout récemment et d'après ce que j'ai entendu à la radio anglo, il y a eu très peu d'acheteurs pour les peaux de phoques....
  17. How Mark Bittman saved the world and lost his belly BEPPI CROSARIOL From Wednesday's Globe and Mail January 21, 2009 at 9:04 AM EST Gourmets are often able to cite a personal epiphany, a moment of insight that irrevocably changed the way they looked at food. Often such stories involve France or Italy, an overachieving carafe of vin ordinaire and a budding romance. In Mark Bittman's case, the mind-bending moment came two years ago, long after he had become a famous cook, when a United Nations Food and Agriculture Organization report titled Livestock's Long Shadow landed on his desk. Mr. Bittman, the popular New York Times food columnist and author of several bestsellers, including How to Cook Everything, fixated on a statistic. Global livestock production accounts for one-fifth of all greenhouse-gas emissions - more than transportation. "The global-warming thing was a catalyst," Mr. Bittman said by phone last week from Oregon, where he was travelling on business. Mark Bittman Like many people, Mr. Bittman had read about the ugly underbelly of animal and fish farming, its negative impact on food quality and human health. But now the planet itself seemed imperilled by meat. The report also dovetailed with unsettling personal news. Mr. Bittman's cholesterol had risen above normal. So had his blood sugar, an ominous sign for a 57-year-old carrying extra pounds and a family history of diabetes. He had developed sleep apnea, too, a disruption in nighttime breathing often associated with blocked airflow. Decades of carnivorous indulgence had taken their toll. He resolved to take action - by eating fewer animal products and more vegetables, whole grains and legumes. Not exactly an earth-shattering prescription, but Mr. Bittman says the UN report suddenly turned what had been an option into an imperative. "It's not sustainable to raise all the meat we raise now," he said. "No matter which way you raise it, it's not sustainable." Devotees of his weekly column, The Minimalist, can read about his epiphany in Food Matters: A Guide to Conscious Eating, a new book that might be described as part diet plan, part lifestyle manifesto and - the author being the author - part cookbook. Showing a flare for concise writing and investigative reporting honed as a news journalist in his early years, he delivers a litany of haunting statistics in the first half of the book. For example, because of such inputs as petroleum-based fertilizers, pesticides, machinery, transport and drugs, "according to one estimate," Mr. Bittman writes, "a typical steer consumes the equivalent of 135 gallons of gasoline in his lifetime, enough for even some gas guzzlers to drive more than halfway from New York to Los Angeles." It's much more efficient for humans to get their calories from plants than animals, he concludes. Readers not persuaded by the ecological imperative might find a couple of other reasons in Food Matters for cutting back on crown roast and beefing up on broccoli. For one, animal welfare. "It would be hard for most people to see the way that cows and pigs and chickens are treated," he says. "Why do dogs get such special treatment? They're not smarter than pigs." As for human health, Mr. Bittman says scientists and nutritionists can split hairs over data in support of one ingredient or another, but one central truth is pretty uncontroversial: Eating less meat and refined carbohydrates, such as sugar and white flour, and consuming more plants is a good thing, certainly for the vast majority of carnivorous North Americans. What's also clear is that "Big Food," as he calls the industrial food peddlers, often co-opt the latest magic bullets and nutritional buzzwords to pawn off otherwise nutritionally questionable food. A conspicuous example: "multigrain" cereals that are little more than a "box full of small cookies" with oat bran added. Smart eaters should take it all with a proverbial grain of salt. "I'm here in Portland, [Ore.], and it's a running joke - all they're talking about is hemp," Mr. Bittman said. "So, what? Now you have to eat hemp seeds because your diet doesn't have any hemp in it? Last year it was flax seeds. Ten years ago it was oat bran. That's exactly what the big food companies want." He says Food Matters, part of which is likely to resonate with fans of Michael Pollan's 2006 book The Omnivore's Dilemma, purposely steers clear of weight-loss deadlines and the burdensome calorie-counting of standard diets. Nor does Mr. Bittman intend ever to become a full-fledged vegetarian. The point of the book, he says, is to preach the gospel of a diet free of junk food and light on meat, to get people to become, as he whimsically puts it, "less-meatarians." Those who follow the plan, he says, will almost certainly lose excess weight and keep it off. We eat far too much flesh anyway, Mr. Bittman argues, a sad consequence of grotesque overproduction facilitated by the post-war rise of factory farms, with their "confined-feeding" operations. Each year, globally, 60 billion animals are raised and slaughtered for food. Ten billion - or 17 per cent - are in the United States, a country with less than 5 per cent of the world's population. Mr. Bittman says there is not enough pasture land available on which all those animals can graze naturally. It's on this point that Mr. Bittman's message diverges sharply from that of New Age chefs espousing Arcadian diets based on foodie buzzwords such as "grass-fed," "organic" and "free-range." Theirs is, in the end, an elitist gospel, he says. In his own case, Mr. Bittman managed to reduce meat, dairy and fish consumption to one-third of what it was a couple of years ago. He also cut out virtually all refined carbohydrates, though he often makes exceptions when there's good white bread available at dinner. Result: He lost more than 35 pounds within four months and is back to normal cholesterol and blood-sugar levels. His sleep apnea, too, disappeared. He dubs his personal regimen "vegan until 6." From morning till dusk, he eats no animal products, junk food or simple carbohydrates (with the exception of milk or cream and sugar in his coffee). At dinner, anything goes - meat, bread, dessert, wine. Is he afraid of alienating part of his core audience, the gourmets who breathlessly await his recipes each Wednesday in the New York Times? "I'm going to do great recipes for the rest of my life," he said. "I'm sure there'll be people who feel I've left my senses behind. ... But many fans are happy I'm moving in this direction." Bittman in person Mark Bittman will appear in conversation with CBC Radio host Matt Galloway tomorrow in Toronto at 7 p.m. at the University of Toronto's Hart House, East Common Room, 7 Hart House Circle. The event is free. Bittman bites On flavoured yogurt "I still have friends who think yogurt is health food and I'm, like, 'Would you please go read the label?' So much yogurt is highly processed milk with jam in it." On the oil dependence of cattle farming "A typical family-of-four steak dinner is the rough equivalent, energy-wise, of driving around in a sport-utility vehicle for three hours while leaving all the lights on at home." On the advantage of eating plants "It takes 2.2 calories of fossil fuel to yield one calorie of food energy from corn; that same calorie of food energy from beef requires you to burn 40 calories of fossil fuel." On the virtue of embracing a bit of hunger "The three things people are most neurotic about are food, sex and sleep. Very few people, every time they want to have sex, go have sex. Almost no one goes to sleep every time they get tired. But people think 'I'm hungry' and they go get food right away." http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/RTGAM.20090121.wlbittman21/BNStory/globebooks/home
  18. Animal

    Bulletin-PRINTEMPS 2009

    Trapper sets target on nuisance beavers Posted By Marlene Bergsma, Standard Staff 14 janvier 2009 There’s a beaver menace in St. Catharines, but Stewart Frerotte is on the job. The Niagara Falls trapper has caught and dispatched three of them, and he’s not stopping until the tree-munching population is under control. Beavers and humans could co-exist, Frerotte said, “except they do all this damage.” He describes the carnage: 20 pear trees in a farmer’s creekside orchard, an expensive ornamental birch tree in a Port Dalhousie yard, two giant willow trees in Rennie Park. Standing on a wooded slope near the bridge that connects Henley Island Drive to Henley Island, Frerotte points out the dozens of trees in just a small area — all chopped at beaver height, with telltale tooth marks and pointed tops. “If someone doesn’t point it out to you, you wouldn’t notice,” said Frerotte, but with the underbrush flattened and snowcovered, there are stumps — big and small — everywhere you look. “They are industrious little things,” Frerotte said, and they don’t hibernate. They are mostly nocturnal, but they are still active in the winter, mostly felling trees for food. “If you had told me seven years ago I’d be trapping beavers in St. Catharines, I would have laughed at you,” he said, “but all of a sudden, they’ve just blossomed. There’s beavers everywhere, it seems.” Frerotte was hired by the St. Catharines parks and recreation department last spring, after the damage was discovered in Rennie Park and there were reports of a large male beaver living in the area of Henley Island that was charging people. Frerotte caught the territorial, agressive male at Henley Island and two young beavers in Martindale Pond at Rennie Park. He uses a conibear trap, — known as a “killing trap” — which is set below the surface, near where a beaver is known to exit the water. The spring-loaded metal is triggered by a beaver swimming through, and it snaps shut, immediately breaking the animal’s neck or rendering it inconscious, Frerotte said. “It dies within seconds. It is very humane. The only thing quicker is shooting them.” Frerotte lays his traps where he knows there is evidence of beaver activity, and there is no danger of humans or dogs accidentally tripping them. He checks them every day. If he catches a beaver, he skins it and sells the fur, which is worth between $10 and $30 a pelt, depending on size and quality. It’s sold at auction in Toronto, with most of the fur going to Russia or China where it is used for coats and hats. The city pays him $50 per beaver, plus $15 a day. It took him eight days to catch the male, and four days to catch the juveniles. He’ll be setting more traps soon, especially in the area of the Green Ribbon Trail off Martindale Road, where Dalemere Estates residents Kevin and Renate Hodges recently reported partly chewed trees in danger of toppling on to pedestrians. St. George’s Coun. Peter Secord handed the Hodges’ photos to acting parks and recreation director Jim Benson and asked him to get the trapper on the case. Frerotte, who is a licenced trapper and a trapper education instructor, said he only sets traps where the city asks him to. He has no way of knowing how many beavers live in St. Catharines, but he doesn’t intend to eradicate them. The city’s aim is to reduce the population. “Just the ones that are doing the damage and in the areas where there are complaints,” he said. Frerotte knows there are people who will object to the killing of wild animals, and he has met people who confront him about the job he is doing. But he is a retired Niagara Regional Police sergeant who is used to dealing with conflict. He stays calm and explains “somebody has to do it. “I don’t get into arguments with them,” said Frerotte, who learned how to trap from his father and grandfather when he was a boy. “They are entitled to their opinions. I can be rational. I am taking the excess population. It’s a renewable resource.” Left unchecked, a burgeoning beaver population puts the animals at risk of starvation or disease, he said, and there are some diseases that can be passed to humans. Frerotte traps from October to May, when the beaver pelts are thicker and more valuable, and which also coincides with the legal trapping season. It’s a hobby, for Frerotte, one that doesn’t make much money after he’s paid for his licences and equipment, but one that keeps him active and gives him a reason to get going every day. “For 30 years I chased human predators and now I chase animal predators,” he said, “the ones that are in conflict with people.” http://www.scstandard.com/ArticleDisplay.aspx?e=1386003
  19. Animal

    Chasse aux phoques

    EU urged to introduce ban on seal products Opponents of seal hunting today made an impassioned plea for an EU-wide ban on the international trade in seal products. A parliamentary hearing was told that the trade is “inhumane and tragic” and should be banned. Rebecca Aldworth, director of the Humane Society International Canada, told the hearing, “The EU needs to take action because Europeans have been telling their governments for three decades that they do not support the trade in seal products. “People ask why seals are special but seals are special because they are subject to the most inhumane treatment I have ever seen. “The EU now has a historic opportunity to save millions of these animals from a fate you cannot imagine.” The hearing was organised by the internal market and consumer protection committee to debate a draft report by UK ALDE deputy Diana Wallis on a commission proposal for an EU-wide ban on the trade in seal products. Members saw a worrying video by Aldworth, showing graphic scenes of seals, which had been clubbed or shot, dying in the snow. Aldworth said they did not die instantly but, rather, suffered a “slow, agonising” death. Her comments were echoed by Dr Andrew Butterworth of Bristol University, who carried out a study in Newfoundland into Canadian commercial seal hunting. He said the results of his research revealed that in 82 per cent of cases, seals which had been shot did not die by a single shot and that 40 per cent of seals which had been clubbed did not die from the first blow. “This shows that seals are not being killed humanely and there is a total absence of any monitoring of seal hunts,” he said. Wallis said, “It is hard not to be moved when you watch the sort of scenes we have seen today.” British EPP-ED deputy Malcolm Harbour described some methods of seal hunting as “morally unacceptable” but pointed out that, even with a ban, seals would still have to be killed in order to help control stock levels. Another keynote speaker, David Lavigne, of the International Fund for Animal Welfare, said, “This is not just a question of animal welfare, it is also a question of ethics.” Hans Moller, of the ministry of fisheries in Greenland, set out the case for seal hunting, saying that it was “crucial” to the local economy in seal-hunting countries such as Greenland, Namibia and Norway. He also accused those in Europe who advocated a ban of “double standards”. He said, “The fact is that millions of animals in Europe die in great suffering each year and we hear nothing of this. All I ask is that you in Europe respect out culture and our right to hunt seals.” http://www.theparliament.com/policy-focus/agriculture/agriculture-article0/newsarticle/eu-urged-to-introduce-ban-on-seal-products/
  20. 20 jan La Presse Canadienne ILES-DE-LA-MADELEINE - La Garde côtière canadienne n'effectuera plus de remorquage de bateaux de moins de 30 mètres en situation de glace, exception faite de situation de détresse où des vies humaines sont en danger. C'est à la suite de l'accident de l'Acadien II, qui a causé la perte de quatre chasseurs Madelinots, que cette nouvelle politique a été adoptée en vue de la prochaine saison de chasse aux phoques. Le sous-commissaire de la Garde côtière, René Grenier, affirme que dans les cas de détresse, tout l'équipage remorqué devra monter à bord du brise-glace. Ces changements de politiques de remorquage ont été entérinés à la suite du dépôt des rapports de la Garde côtière canadienne et du Bureau de la sécurité des transports sur les événements du 29 mars 2008. René Grenier ajoute que le brise-glace de la Garde côtière apportera une aide technique aux équipages non-maîtres de leurs manoeuvres et pris dans les glaces. Cependant, un remorqueur privé sera appelé pour prêter assistance. Denis Longuépée, président intérimaire de l'Association des chasseurs de phoques des Iles-de-la-Madeleine, affirme que cette nouvelle politique est accueillie avec déception. Les chasseurs de phoques ont fait part de leurs craintes d'une hausse considérable de leurs primes d'assurance, advenant qu'ils doivent abandonné leur navire pour le faire remorquer. La nouvelle politique a été présentée aux principaux acteurs de la chasse, la semaine dernière, à la réunion annuelle du comité consultatif du phoque de l'Atlantique. http://qc.news.yahoo.com/s/capress/090120/nationales/20090120_phoques_remorquage
  21. Animal

    Du kangourou au souper

    En Australie, des scientifiques recommandent à la population de manger de la viande de kangourou pour diminuer le réchauffement climatique. chez-nous, il est possible de trouver cette viande en épicerie. Les Québécois commencent à en consommer, mais on est loin de la cause environnementale. Isabelle Maher Le Journal de Montréal «C'est délicieux!» affirme Claude Loucheur de Gibier Canabec, un distributeur de viande qui vend la viande de kangourou à plusieurs restaurateurs, épiceries et boucheries québécoises. «Ce n'est pas encore très populaire, mais il y a une petite demande pour la viande de kangourou, observe Michaël Desjardins, boucher à la boutique Le Maître Gourmet de la rue Laurier (Montréal). «C'est un produit un peu tendance. Depuis deux ans, on en retrouve un peu partout en boucherie et même dans certaines épiceries, surtout en tranches fines pour la fondue chinoise», ajoute Claude Loucheur. «Il y a de l'exotisme au Québec!» .... «Si on est tanné du boeuf, on peut aller vers le verf, l'autruche, la viande chevaline, le faisan ou le canard» plaide celle qui est chargée des questions d'agriculture pour l'organisme. Madame Joncas rappelle que le Québec perd deux fermes par jour, selon les statistiques. ... Dans le journal de Montréal d'aujourd'hui avec photo du boucher
  22. La Presse Canadienne Bob Weber 21/01/2009 07h38 Alors que de plus en plus de pays lorgnent du côté des eaux arctiques rendues plus accessibles par le réchauffement climatique, une nouvelle étude laisse entendre que des brèches majeures dans les lois et conventions internationales rendent la région vulnérable aux dommages environnementaux qui risquent d'être causés par la course à l'exploitation des ressources. Clive Tesar, du Fonds mondial pour la nature, l'organisation qui a financé l'étude présentée mardi à Tromso, en Norvège, a soutenu que les intérêts nationaux dans les secteurs de l'énergie, des pêcheries et du transport de marchandises entravaient actuellement la mise en place d'une protection adéquate de l'environnement. Le rapport souligne qu'il n'y a pas de normes restrictives mondiales pour l'exploitation énergétique, seulement des directives du Conseil de l'Arctique, un regroupement de huit nations sans autorité légale. Alors que la Convention des Nations unies sur le droit de la mer traite de la réglementation des pêches, la responsabilité de l'implantation de ces règlements est laissée aux Etats et aux gouvernements. De plus, selon l'organisation, la Convention est remplie d'échappatoires. Le Fonds mondial pour la nature fait également état de l'absence de normes internationales sur les émissions de gaz à effet de serre des embarcations dans l'Arctique et d'un système clair de voies de transport dans le secteur. Clive Tesar a affirmé que le rapport visait à convaincre les gouvernements de l'importance d'avoir une vision large et à long terme quand il s'agit du Nord. «Il faut vraiment faire comprendre aux gouvernements de l'Arctique qu'il y a un intérêt commun qui est de plus grande valeur que l'exploitation par chaque État du plus grand nombre de ressources possibles», a-t-il argué. Un expert de l'Arctique à l'Université de Toronto, Franklyn Griffiths, s'est dit d'accord avec les conclusions du rapport du Fonds mondial pour la nature. Mais il a soutenu que les pays de l'Arctique étaient loin d'être prêts à accepter quoi que ce soit qui pourrait leur lier les mains dans un secteur qu'ils considèrent comme leur «propre cour arrière». «Ils ne veulent pas perdre de liberté d'action et ils ne veulent pas être soumis à des règles contraignantes difficiles à défendre auprès de leur population. Il y a beaucoup de travail à faire», a affirmé M. Griffiths. Le Canada est aussi coupable que n'importe quel autre pays quant à l'emprise des intérêts particuliers sur les discussions concernant l'Arctique, a soutenu le chercheur de l'Université de Toronto. http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/01/20090121-073819.html
  23. Associated Press (AP) 21/01/2009 07h37 L'aspect sécuritaire des ampoules électriques à faible consommation d'énergie fait l'objet d'une étude pour déterminer si elles émettent des rayons ultraviolets potentiellement nocifs. Le ministère fédéral de la Santé a lancé l'étude sur la question en décembre. Deux mois auparavant, des responsables britanniques de la santé publique avaient émis une mise en garde selon laquelle ces ampoules émettent sur une courte distance des rayons UV dont la force équivaut à s'exposer au soleil par une journée d'été. L'Agence de protection de la santé du Royaume-Uni recommande désormais de ne pas se tenir plus d'une heure par jour à moins de 30 centimètres d'une ampoule électrique à faible consommation d'énergie. Au Canada, le gouvernement fédéral encourage l'utilisation de ces ampoules dans le but de réduire les émissions de gaz à effet de serre et compte éliminer de la circulation les lampes incandescentes d'ici 2012. ... http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/01/20090121-073758.html
  24. Animal

    Comment devenir chasseur

    La chronique chasse et pêche Comment devenir chasseur Patrick Campeau Journal de Montréal 21/01/2009 09h45 La chasse est une tradition qui se perpétue de génération en génération et cette activité connaît un regain de popularité assez remarquable depuis quelques années. La Fédération québécoise des chasseurs et pêcheurs est un organisme sans but lucratif créé en 1946. Sa mission est de contribuer à la gestion, au développement et à la perpétuation de la chasse et de la pêche comme activités traditionnelles, patrimoniales et sportives. ... MANIEMENT DES ARMES À FEU Pour les jeunes et les moins jeunes qui veulent découvrir ou redécouvrir toutes les joies et les sensations fortes que peut nous apporter la chasse, voici ce qu'il faut savoir. ... http://www.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2009/01/20090121-094500.html
  25. Un chercheur propose le retour des coupes à blanc Agence QMI 21/01/2009 12h15 Corbis Longtemps décriée par les groupes environnementaux et abolie depuis des années, la coupe à blanc pourrait bien revenir à la mode dans les forêts de la région. C'est ce que propose Benoît Lafleur, étudiant au doctorat en Sciences de l'environnement à l'UQAT. Après avoir analysé des forêts au nord de La Sarre où des coupes à blanc avaient été réalisées dans le passé, il a constaté que les épinettes noires avaient mieux repoussé dans les secteurs où le sol avait été beaucoup perturbé. Conclusion: pour certains types de forêts, la coupe à blanc favorise mieux la régénération que les autres méthodes de coupe. Estomaqués «Quand j'ai présenté mes résultats, plusieurs collègues et intervenants du monde forestier ont été estomaqués, mentionne le chercheur. J'estime qu'on a évacué trop vite la coupe à blanc pour répondre à des impératifs sociaux qui, oui, sont valables, mais pas toujours appropriés.» ... http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/01/20090121-121504.html
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