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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Animal

    Guerre aux chats

    Il faudrait que le Maire de Rosemont (Montréal) reçoive beaucoup de lettres afin de lui démontrer que plusieurs ne sont d'accord avec sa politique... Je crois que c'est lui, le monsieur le Maire André Lavallée Maire de l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie Responsable de l’aménagement urbain et du transport Comité exécutif de la Ville de Montréal 514 872-6473 andrelavallee@ville.montreal.qc.ca On peut aussi écrire notre message en ligne. Cliquez en haut à droite sur Contactez-nous
  2. Quelle horreur !!! Pauvres petits chiens !! Si seulement tous ceux qui achètent des chiots en animalerie pouvaient voir cette vidéo Merci pour les liens Cath
  3. Animal

    Guerre aux chats

    Guerre aux chats Reynaldo Marquez Le Journal de Montréal 22/12/2008 08h25 Un règlement controversé qui interdit de posséder plus de trois chats par logement soulève l’ire de certains citoyens. Un nouveau règlement municipal interdisant de posséder plus de trois chats par logement soulève la grogne des résidants dans l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie. Cette réglementation interdit aussi aux résidants de l'arrondissement de nourrir les chats errants, depuis le 18 novembre dernier. Aux prises avec huit cas de logements insalubres en raison de la présence de chats, les autorités de l'arrondissement ont ont fini par sévir, selon Claude Phaneuf. «Certains résidants se sont plaints des odeurs nauséabondes de chats trop nombreux, provenant de chez leurs voisins», explique le porte-parole de l'arrondissement Rosemont-La Petite-Patrie. Cinq des 19 arrondissements de Montréal, dont Saint-Laurent, Mercier-Hochelaga-Maisonneuve et LaSalle ont déjà des règlements allant en ce sens, dit-il. Cette initiative est loin de faire l'unanimité auprès des vétérinaires et des résidants, qui devront payer une amende de 144 $ s'ils contreviennent au règlement. Grogne Mais les choses n'en resteront pas là, promet le Réseau pour animaux perdus et retrouvés, qui fourbit ses armes pour contester le règlement, selon sa présidente Janine Larose. «Nous avons reçu la nouvelle comme une claque au visage», a-t-elle tonné, dénonçant du même souffle ce règlement «stupide» et «d'une grande cruauté» envers les chats affamés. Mme Larose travaille à préparer une campagne contre ce règlement en incitant ses membres, plusieurs dizaines, à inonder de lettres de protestation la mairie de l'arrondissement. «Il ne faut pas que ça s'étende à d'autres quartiers, c'est déjà assez horrible comme ça», a-t-elle dit. Certains citoyens ont manifesté leur colère par l'entremise des pages d'opinion du journal local de Rosemont-La Petite-Patrie. Les vétérinaires sont contre Des vétérinaires du coin abondent dans le même sens. «Limiter le nombre de chats et interdire de les nourrir n'est pas la véritable solution. Il faut avant tout régler le problème de la surpopulation», selon le Dr David Quirion de la clinique vétérinaire De Lorimier-Rosemont. Il assure que plusieurs de ses clients ont plus de trois chats et que leurs logements ne sont pas pour autant insalubres, dit-il. La solution serait, notamment, d'obliger les citoyens à faire stériliser les chats qu'ils accueillent, croit la vétérinaire Diane Berthelet. Or, les autorités croient dur comme fer que ce règlement aura les résultats escomptés, affirme Claude Phaneuf, porte-parole de l'arrondissement. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/12/20081222-082500.html
  4. La Financière agricole saisit des chèvres d'une fromagerie 23 décembre 2008 - 06h26 La PRESSE CANADIENNE GASPE _ La Ferme Chimo, réputée pour la production de fromage de chèvre, se retrouve maintenant sans troupeau. La Financière agricole du Québec a exercé dimanche son droit de créancier avec garantie en prenant possession des 118 chèvres de l'entreprise située à Gaspé. Le propriétaire de la firme, Bernard Major, avait admis en décembre qu'il portait une dette dépassant significativement les 100 000 $. La Ferme Chimo a vu ses problèmes s'amplifier en été quand le gouvernement du Québec y a saisi la production, en marge de la crise de la listériose. ... http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/12/20081223-062627.html
  5. L’huile d’olive extra vierge anti cancer? Agence Nomade 23 décembre 2008 L’huile d'olive extra vierge de qualité contient des éléments «phytochimiques» qui pourraient s’attaquer aux cellules cancéreuses. C’est ce qu’avance une nouvelle recherche dont les résultats ont été publiés dans la revue scientifique BMC Cancer et qui éclaire davantage les liens entre l'huile d'olive et le régime alimentaire de type méditerranéen. Javier Menendez, de l'Institut catalan d'oncologie, et Antonio Segura-Carretero, de l'Université de Grenade en Espagne, ont dirigé une équipe de chercheurs qui s’est penchée sur les composantes de l'huile d'olive qui seraient les plus actives contre le cancer. «Nos résultats révèlent pour la première fois que tous les grands complexes de phénols présents dans huile d'olive extra vierge suppriment radicalement la surexpression du HER2, le gène présent dans des cellules de cancer du sein» a déclaré par communiqué Javier Menendez. Les polyphénols Le pressage à froid de l’huile d'olive extra vierge conserve les substances phytochimiques alors que les autres types de pressage détruisent ces substances. Javier Menendez et ses collègues ont séparé les éléments chimiques contenus dans l’huile et les ont testés en laboratoire. Ils ont découvert que les polyphénols (lignanes et secoiridoids) ont inhibé efficacement le HER2. Bien que ces résultats fournissent de nouvelles indications sur les mécanismes par lesquels l'huile d’olive de bonne qualité, c'est-à-dire riche en polyphénols, pourrait contribuer à diminuer le niveau de risque de cancer du sein, les chercheurs demeurent toutefois prudents puisque d’autres recherches sont nécessaires pour confirmer ces effets chez les humains. Néanmoins, les chercheurs pensent que les polyphénols contenus dans l’huile d’olive pourraient fournir une excellente plate-forme pour la conception de nouveaux médicaments anti cancer du sein. http://sante.canoe.com
  6. C'est pas croyable de parler d'être vivants de cette manière ! On jurerait qu'ils parlent de poulets en peluche
  7. Jean-Luc Lavallée Le Journal de Québec 23/12/2008 11h00 - Mise à jour 23/12/2008 11h32 C'est une violente dispute au sujet d'un chat qui est à l'origine du septième meurtre de l'année à Québec. La chicane entre deux voisins de pallier de la rue Anna a dégénéré en affrontement aux couteaux à l'issue duquel l'un des deux belligérants a laissé sa vie dimanche soir. La victime de 53ans, André Therrien, aurait voulu se venger de son voisin qui s'en serait pris à son chat, après avoir été griffé. «Il ne l'a pas pris et il aurait éventré le chat» a raconté Louise d'Anjou, une voisine. Bagarre sanglante... http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2008/12/20081223-110045.html
  8. je le crois aussi ! On n'aura peut-être bientôt même plus le droit de manifester pacifiquement
  9. Animal

    Bull automne 08 - animaux de labo

    Atroce et tellement décourageant !
  10. Animal

    Unbearable cruelty

    Unbearable cruelty Mass. activist shines light on sloth bear abuse By Eva Wolchover Sunday, December 21, 2008 - Added 1d 19h ago A Shrewsbury resident is at the forefront of an unusual animal rights’ cause: the “dancing bears” of India. The sloth bears have long been a mainstay at the legendary Taj Mahal palace, where they have performed for 17th century emperors and camera-toting tourists alike. But behind a colorful and exotic attraction lurks a cruel reality, said Shrewsbury resident Laurence Eve Van Atten, who runs the American office for International Animal Rescue, a British-based nonprofit. “On a trip to India I had heard about the dancing bears and thought it was one of the most horrible things I’d ever heard,” said Van Atten, 29. After the bears’ capture as cubs, she said, poachers use red-hot pokers to hammer holes through their muzzles. Rope is strung through the holes and when it is tugged, the bears leap (or “dance”) in pain. “The canine teeth are smashed out, rendering them defenseless so that they can be dragged around the streets. All the bears are controlled by that rope on their nose,” said Van Atten. The captors force the bears to “dance” in exchange for cash from tourists, she said. And sadly, “It’s mostly American and British tourists that will pay to see the bears dance.” The bears often are beaten blind in an attempt to pacify them, while others go blind from malnutrition. Van Atten, a University of Massachusetts at Amherst grad, traveled to India in 2006 as part of her graduate work for the University of Edinburgh. Since then, she has worked in the Bay State to raise awareness of the mistreatment of the bears. Van Atten has organized community fund-raisers and regular lectures to educate and discourage American tourists from paying to see the bears “dance” when visiting India. She plans a springtime “Bhair-a-thon,” where local salons will cut hair in exchange for donations to three bear sanctuaries in India. The IAR has rescued about 500 bears, which are voluntarily turned over by their captors. The former owners are offered vocational training in return. “It’s not just an animal welfare project,” Van Atten said, “we’re also helping these people live a better lifestyle.” As for the bears, she said, “They live out their lives on these sanctuaries. It’s almost like a retirement home. They can never be released in the wild - their teeth have been smashed out and they have been raised by people since they were cubs.” http://news.bostonherald.com
  11. Netherlands to crack down on animal rights extremism www.chinaview.cn 2008-12-22 BRUSSELS, Dec. 22 (Xinhua) -- The Netherlands will set up a special police unit to address radical actions against individuals and companies by animal rights activists, the Home Affairs Ministry said. The special team, which also includes members from the public prosecution department and the Dutch intelligence service, will try to prevent dangerous intimidation practices by extreme animal rights organizations, Home Affairs Minister Guusje ter Horst was quoted by local newspaper De Telegraaf as saying Sunday. The decision followed repeated attacks on company or individual properties in the Netherlands by animal rights activists. The latest one occurred early Saturday morning when two cars of a top executive of NYSE Euronext Amsterdam stock exchange, which were parked in front of his home in the western Dutch town of Wassenaar, were set on fire. The shares of Huntingdon Life Sciences, a British animal testing center, are traded on Euronext. Although no one has claimed responsibility for the attack, a similar attack last month on a former senior executive of Euronext in the central Dutch town of Hilversum was claimed by an animal rights group. In March, several houses of Euronext executives were covered with graffiti after British animal activists published their personal details on websites. The website called on visitors to send unwanted e-mails to the executives every day. The violence used by activists is "very dangerous" and "an unacceptable form of intimidation directed at people who are simply doing their job," Ter Horst told Dutch TV broadcaster NOS on Sunday. "We must come down hard on it," she said. The new Dutch team is modeled on a similar British force combating animal rights extremism. In reaction to Saturday's attack, a spokesman for the Dutch animal rights group Respect for Animals said such sort of attack is acceptable. "We think the fact that animals are used in pointless experiments is worse. Cars do not have feelings," he said. http://news.xinhuanet.com/english/2008-12/22/content_10544561.htm
  12. Animal

    Bull automne 08 - animaux de labo

    rares sont les bonnes nouvelles concernant les animaux
  13. Exactement ! ahahahah qu'est-ce que ça change aux images ça ?
  14. Animal

    Le massage canin

    Ma grosse minouche apprécie beaucoup les messages. Tous les soirs elle a droit à sa petite séance de massage et de brossage. Je crois que c'est le moment de la journée où elle est le plus heureuse
  15. La plainte déposée par l’association « La Fourrure française » auprès de l’Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité pour demander la modification, voire le retrait de la campagne anti-fourrure lancée par la Fondation Brigitte Bardot, a été rejetée le 5 décembre dernier par le Jury de Déontologie Publicitaire. Cette décision conforte la Fondation dans le bien-fondé de son combat qui vise à informer le public sur ce qu’implique le choix de porter de la fourrure. Rappelons que chaque seconde, un animal meurt pour la mode dans le monde. L’ensemble des plaintes de « La Fourrure française » rejeté ! La toute récente association « La Fourrure française », enregistrée en octobre 2008, n’a pas su convaincre le Jury de Déontologie Publicitaire de l’ARPP malgré de nombreux « arguments » avancés à l’encontre de la campagne de la Fondation : Caractère déloyal à l’encontre du produit et de la filière professionnelle : REJETE Slogan et images agressifs : REJETE Trompeuse car la campagne présente l’exploitation de la fourrure de façon calomnieuse : REJETE Trompeuse, car il n’y a pas de lien entre le vêtement porté et l’animal cité : REJETE Choquante et susceptible de heurter les personnes sensibles ou trop jeunes : REJETE Incitation à des comportements agressifs : REJETE De plus, le Jury de Déontologie Publicitaire admet que « la publicité en cause s’inscrit dans le cadre d’une campagne d’opinion non marchande, mise en œuvre par une association reconnue d’utilité publique ». Enfin, cette même instance rappelle que « L’ARPP, interrogée dans le cadre de la procédure de conseil avant diffusion par un afficheur, a délivré un conseil favorable s’agissant d’une campagne d’opinion non marchande qui participe à la liberté d’expression… » Le marché de la fourrure : des chiffres qui font froid dans le dos - Plus de 50 millions d’animaux qui sont tués chaque année pour leur fourrure - 45 millions sont issus de l’élevage, soit 85% du commerce mondial. - 5 millions sont des animaux sauvages capturés dans la nature. La Fondation Brigitte Bardot tient à souligner l’importance de cette décision qui reconnaît la justesse de ses causes et espère que cette grande campagne sensibilisera le public au sort de millions d’animaux sacrifiés inutilement www.Fondationbrigittebardot.fr
  16. 16 dec. 2008 Puisque la fin d’année est très souvent synonyme de bilan, la Fondation Brigitte Bardot a estimé le nombre d’animaux massacrés en 2008 pour les besoins et plaisirs de l’homme. Ce triste recensement qui comptabilise plus d’un milliard d’animaux tués comprend : les animaux de boucherie, l’expérimentation animale, la chasse les battues, les fêtes religieuses, la fourrure. Ce dénombrement est bien évidemment perfectible car il ne prend pas en compte les nombreux cas d’animaux maltraités et tués dans des conditions inhabituelles. Face à ce constat déplorable, Brigitte Bardot, indignée, rappelle sévèrement à l’ordre le gouvernement et notamment les ministres en charge de l’environnement et de l’agriculture. Bilan mortuaire ahurissant et abus en tous genres Sans aucun doute, ce sont les animaux de boucherie (bovins, ovins, volailles, équidés…) qui payent le plus lourd tribu avec près d’1 milliard d’animaux tués chaque année pour leur viande. De plus, l’élevage d’animaux de boucherie étant un fort émetteur de gaz à effet de serre, on peut se demander s’il ne serait pas bon pour tous de consommer moins de viande à la faveur d’un régime alimentaire plus diversifié. Viennent ensuite les animaux victimes de la chasse avec plus de 30 millions d’animaux de 39 espèces différentes qui ont été exterminés. De plus, ce « loisir funèbre » est également le terrain de tous les abus avec une augmentation scandaleuse des quotas de certaines espèces comme le sanglier, par exemple, qui lors de la saison de chasse 2006-2007 a vu sa population réduite de 466 352 individus et tout récemment une battue en Ile de France autorisant des chasseurs à « tirer » 6000 sangliers à vue. Les dérives étant légion, il est aussi important de souligner le calvaire des cerfs dont plusieurs milliers vont être prochainement tués dans le Jura et qui sont également les victimes d’une des chasses les plus odieuses, la chasse à cour. Dernièrement, un particulier a vu débarqué dans son jardin tout un équipage de vènerie qui n’a pas hésité à saigner un cerf en plein milieu de sa propriété ! A souligner également, les tortures infligés au nom de la recherche à plus 2 325 000 animaux qui chaque année meurent dans les laboratoires français. Enfin, les fêtes religieuses et festivités de fin d’année n’épargnent pas non plus les animaux. Le 8 décembre dernier, pour l’Aïd-el-kébir, c’est près de 200 000 moutons qui ont été sacrifiés en une seule journée sans étourdissement préalable. Enfin, c’est environ 30 millions de volailles qui seront dépecés pour les fêtes de fin d’année. « A quoi servez-vous, messieurs les ministres ? » Face à ce macabre constat, Brigitte Bardot s’interroge quant à l’incapacité des pouvoirs publics à réagir : « Mais à quoi servent donc Messieurs Borloo et Barnier ? Ces ministres intègres et leurs conseillers vertueux ont conduit la France à devenir la lanterne rouge européenne de la protection animale. Tous ces gens que j’ai tenté de convaincre ne font rien, ne servent à rien, autorisent tous les carnages et abus et, en plus, coutent énormément d’argent aux contribuables. » http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/accueil.php
  17. Animal

    Bull automne 08 - animaux de labo

    bonjour ma belle hop, Voici1 article qui pourrait peut-être t'intéresser- peut-être pour le bulletin du printemps prochain XXXXXX --------------------------------------------------------- Puerto Rico hunting, killing troublesome monkeys By BEN FOX – 2 days ago 20 dec. 2008 LAJAS, Puerto Rico (AP) — The easy life is over for hundreds of monkeys — some harboring herpes and hepatitis — that have run wild through southwestern Puerto Rico for more than 30 years. Authorities launched a plan this month to capture and kill the monkeys before they spread across the entire island, threatening agriculture, native wildlife and possibly people. But some animal experts and the farmers who have complained for years about the rhesus and patas monkeys think it may be too late. "I don't honestly believe they will ever get rid of the patas monkeys in Puerto Rico," said Dr. Mark Wilson, director of the Florida International Teaching Zoo, which has helped find zoos willing to take some of the animals. "They may go deep into the forest, but they will never go away. There's just too many of them, and they are too smart." At least 1,000 monkeys from at least 11 distinct colonies populate the Lajas Valley. After a year of study, rangers began trapping them in steel cages that are about 10 feet long, baited with food and equipped with a trip lever. Two of 16 monkeys were released with radio collars for further tracking. Each of the others was killed with one shot from a .22-caliber rifle. Officials determined shooting the monkeys was more humane than lethal injection, said Secretary of Natural Resources Javier Velez Arrocho. He said he regrets having to kill the animals but had no choice after 92 organizations rejected them. Animal treatment is a sensitive topic in Puerto Rico, which was in the spotlight last year after about 80 dogs and cats were seized from a housing project and hurled off a bridge. In May, a veterinarian confirmed that more than 400 racehorses, many in perfect health, are killed by injection in Puerto Rico each year. Both cases sparked widespread criticism. But the elimination of pesky monkeys has not spawned public protests. "My personal opinion is that I would rather see them put to sleep than put through horrible experiments," said Sally Figueroa, a board member of the animal-welfare group Pare Este in the eastern city of Fajardo. The scourge of nonnative animals is particularly acute in Puerto Rico because of its lush climate and lack of predators. Several species of dangerous snakes, crocodiles, caimans and alligators — imported, kept as pets, then released into the wild — now flourish in more than 30 rivers, said Sgt. Angel Atienza, a ranger who specializes in exotic animals. As Atienza spoke, his agents were investigating reports of a mountain lion running wild in hills near the small central town of Adjuntas. Behind his office, cages confined snakes, monkeys and a 400-pound black bear confiscated from a private menagerie. The Lajas monkeys arrived in the 1960s and '70s after escaping research facilities on small islands just off the mainland. They adapted easily, fueled by plentiful crops, including pineapple, melon and the eggs of wild birds. The creatures cost about $300,000 in annual damage and more than $1 million in indirect ways, such as forcing farmers to plant less profitable crops that don't attract the animals, according to an analysis by the U.S. Department of Agriculture and other agencies. The monkeys are also blamed for a dramatic drop in the valley's bird population. Lacking resources, the Puerto Rican government has made only sporadic attempts to control the monkeys in the past. Last year, however, the island's agricultural and wildlife agencies secured $1.8 million from the territorial government, allowing them to track, study and begin trying to eliminate the Lajas Valley populations. The patas, natives of Africa, are not considered desirable for research, and there's little demand from zoos. The rhesus monkeys, from Asia, are believed to be infected with a variation of the herpes virus and hepatitis, making them potentially dangerous to humans, Velez said. Patas can also harbor the viruses. Authorities have kept their monkey-control campaign relatively quiet. "I don't want to have a protest by people who don't understand this," Velez said. "We are dealing with a plague of animals that do not belong to Puerto Rico that are very dangerous." Controlling them, Velez said, will require money and time — both of which are scarce. "If they reach the central part of the island, especially the forest," he said, "there is no way we can finish them." The Associated Press
  18. Sask. farmers getting extended access to gopher poison Last Updated: Thursday, December 11, 2008 The Canadian Press Saskatchewan farmers looking to rid their fields of pesky gophers are getting more access to a harsh poison. The province says Canada's federal pest management agency has extended the emergency use of two per cent liquid strychnine to the end of July 2009. The move will help producers until a long-term solution can be found, Saskatchewan Agriculture Minister Bob Bjornerud said. There are 171 rural municipalities currently eligible to distribute strychnine to their farmers. Gopher damage has been extensive in Saskatchewan ‹ the province's crop insurance program paid out $1 million to cover damages in the southwest part of the province last year. Access to strychnine was restricted years ago because of the harm it did to other wildlife, but the rules were relaxed in 2007 to help farmers in southwestern Saskatchewan deal with the severe infestation. http://www.cbc.ca/canada/saskatchewan/story/2008/12/11/strychnine.html
  19. Merci beaucoup Cath ! J'ai hâte de voir comment cette histoire va se terminer...
  20. Merci hop ! Insensé d'en arriver à une telle solution ! Si je ne me trompe, les pics font parties des espèces protégées
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