Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Animal

Membres
  • Compteur de contenus

    14 605
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Allo Valou ! J'ai voté et je vois que même s'il est en attente, ton texte est quand-même en ligne et on peut le lire... Tout simplement MAGNIFIQUE !! Tellement bien écrit et bien documenté ! J'espère qu'il fera réfléchir tous les carnivores qui le liront
  2. Julie Latreille est scandalisée par les reportages sur les usines à chiots qui donnent mauvaise réputation aux animaleries. Maxime Pelletier, un employé de Petland, s'assure que les animaux aient tout pour leur confort: eau, nourriture, coin douillet et jouets. La réplique d'une animalerie Oriane Wion L'Œil Régional - 18 octobre 2008 Les reportages sur les usines à chiots diffusés récemment dans les médias télévisés et écrits font réagir bien des gens. Julie Latreille, propriétaire du Petland à Belœil, se dit outrée du message résultant de ce type de reportage qui cible les animaleries comme les complices des usines à chiots. Selon Mme Latreille, ce ne sont pas tous les commerces d'animaux qui doivent être mis dans le même panier. "Après le reportage qui a été diffusé à la télévision, les clients qui entrent dans mon animalerie sont plus craintifs. Que l'on me pose un paquet de questions sur la provenance de mes chiens ne me dérange en rien, je n'ai rien à cacher. C'est plutôt la mauvaise réputation des animaleries, que les médias ont propagée, qui me dérange, expose Mme Latreille. Pour ma part, contrairement à ce que laisse croire le reportage, je n'ai jamais fait euthanasier un animal parce qu'il ne se vendait pas. Dans un pareil cas, je vais baisser son prix, c'est tout". Pour se défendre, Mme Latreille certifie qu'aucun de ses chiens ne provient d'usines à chiots. "Je connais personnellement les éleveurs qui me fournissent les chiens. Je sais que leurs animaux sont bien traités avant de m'être confiés", explique Mme Latreille. D'ailleurs, cette dernière confie que la majorité de ses chiens proviennent d'un élevage à Roxton Pound, près de Bromont, alors que d'autres proviennent d'une éleveuse certifiée de Saint-Basile-le-Grand. Il arrive quelques fois que des particuliers viennent proposer des chiens à Mme Latreille et dans ces moments-là, un examen des bêtes est requis. "Quand un particulier vient me porter ses chiens, parce que sa chienne a eu une portée de chiots, je les examine de long en large et j'analyse leurs comportements. Je veux constater s'ils sont craintifs, peureux ou si au contraire ils sont sociables. Dès que possible je les fais examiner par le vétérinaire", indique Mme Latreille. Ce même vétérinaire vient toutes les semaines ausculter les animaux, les vacciner et vermifuger au besoin. Ce suivi certifie à Mme Latreille, ainsi qu'aux clients, que les animaux sont en bonne santé avant de quitter l'animalerie. Une question de confiance Mme Latreille ne prétend pas vendre des chiens pure race, bien au contraire. "Je suis franche avec les clients. Je ne vends pas de chiens de compétition. Mais ces derniers font de très bons compagnons de vie." Selon la propriétaire du Petland, tout est une question de confiance entre les clients et elle. "Quand les clients achètent un chien, je garantis ce dernier pendant un an pour tous problèmes congénitaux et 14 jours pour tout ce qui est viral. Dans les rares cas où est survenu un problème viral, j'ai assumé entièrement les frais de vétérinaire." Avant de vendre un chien, Mme Latreille et ses employés affirment prendre tout le temps nécessaire pour analyser le futur propriétaire, tant dans son attitude que sa compatibilité avec le chien. "Un client qui entre dans mon commerce en me demandant si j'ai un chien pas cher, vous pouvez être sûre que je ne lui en vends pas. Ça n'existe pas un chien pas cher. Si le client m'aborde de la sorte, je suis persuadée que le chien ne sera pas assez bien traité, alors je ne prends pas de chance. Je dois sentir que j'ai confiance en la personne avant de la laisser partir avec un de mes chiens." Afin d'éviter que les animaleries "en règle" aient une mauvaise réputation, Mme Latreille estime que la SPCA devrait faire plus de vérifications dans les animaleries. "La dernière fois que j'ai vu la SPCA à mon commerce, c'est après un appel de quelqu'un qui pensait que mes chats en vitrine étaient maltraités. Ce que la SPCA a démenti après vérification. Depuis ce jour, personne n'est revenu me voir. Je n'ai rien à cacher, je suis prête à toutes inspections." http://monteregieweb.com/Ma_Vallee/main+fr+01_300+La_replique_d_une_animalerie.html?ArticleID=546035 On peut commenter/ Commentaires(0)
  3. Publié le 21 novembre 2008 à 12h57 | Mis à jour le 21 novembre 2008 à 13h29 Un antibiotique courant serait nocif pour les bonnes bactéries La Presse Canadienne Toronto Une nouvelle étude démontre qu'un antibiotique largement utilisé altère le taux normal des bactéries présentes dans le tube digestif des personnes en bonne santé, et ce, bien après le moment de la prise de ce type de médicament. Trois personnes en bonne santé, deux hommes et une femme, ont reçu une cure de cinq jours de ciprofloxacine, un antibiotique largement utilisé pour traiter plusieurs infections bactériennes communes. Les chercheurs ont également prélevé des échantillons de selles des participants avant qu'ils entreprennent leur cure, pendant et quelques mois après le traitement. Les chercheurs ont ensuite analysé les bactéries de ces échantillons à l'aide d'une amplification par la polymérase. Leurs découvertes les ont étonnés : six mois après la prise des antibiotiques, certains types de bonnes bactéries n'étaient toujours pas présents dans le tube digestif des participants, ou l'étaient en quantité inférieure par rapport à celle qui y était présente avant la cure. En fait, la variété des types de bactéries a été réduite d'environ un tiers après que les volontaires eurent pris de la ciprofloxacine, selon le Dr David Relman, chercheur en chef de l'étude publiée hier dans le journal PLoS Biology. (je viens de finir une cure de 7 jours de ces antibiotiques) http://www.cyberpresse.ca/vivre/sante/200811/19/01-802218-un-antibiotique-courant-serait-nocif-pour-les-bonnes-bacteries.php
  4. Mad-cow disease found in B.C. bovine The Province Published: Tuesday, November 18, 2008 The Canadian Food Inspection Agency yesterday confirmed that mad-cow disease has been found in a seven-year-old B.C. dairy cow. The agency wouldn't say where the cow was located but said no part of its carcass entered the human food or animal feed systems. Dr. Connie Argue, CIFA's animal health manager for Western Canada, said the agency will track all cows of a similar age from the same farm that may have eaten contaminated feed. The discovery does not mean the food chain is compromised, she said, adding that it is likely many of the similarly aged dairy cows potentially exposed to contaminated feed would no longer be alive. The doctor said that once the tracking of the potentially compromised cows is complete, the results will be made public. The Vancouver Province 2008 http://www.animalconcerns.org
  5. En effet, ça fait du bien ! Si seulement il y avait autant de révolte lorqu'il est question de défendre les autres animaux: phoques, canards, cochons, etc. etc. etc.
  6. Je n'ai pas pu la regarder non plus, mais j'espère pouvoir le faire dimanche... UN GROS BRAVO POUR TON EXCELLENT COMMENTAIRE VALOU ! C'est super que toi et quelques autres internautes aient aussi dénoncé les cruautés infligées aux autres animaux du Québec, en particulier les animaux de «boucherie»
  7. pauvre petit chou ! L'histoire ne dit pas qu'est-ce, ou qui lui aurait causé ces terribles blessures...
  8. Oui le capt. Watson se prépare d'ailleurs à partir... Greenpeace n'y sera pas cette année...
  9. son dernier commentaire est totalement contradictoire avec ce qu'il dit plus haut
  10. Animal

    Les droits des animaux

    Il est écrit: Veuillez noter que les forums de discussion des Carnets sont ouverts pendant deux semaines. » donc possiblement qu'on a une semaine pour commenter...
  11. Moutons sous surveillance avant l'Aïd (18/11/2008) Quelques mesures de sécurité bonnes à savoir BRUXELLES Suite à de nouveaux sérotypes de fièvre catarrhale du mouton (blue tongue) aux Pays-Bas et en Allemagne, des mesures de vigilance accrues ont été instaurées lors d'exportation de ruminants en provenance, entre autres, de ces pays. Cela porte conséquence aux conditions d'importation des animaux en Belgique en vue de la Fête du sacrifice du 8 décembre. ... http://www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/232388/moutons-sous-surveillance-avant-l-aid.html
  12. Il y avait eu une enquête de PETA aussi en 2006, dans une ferme d'élevage de dindes «Butterball» à Arkansas http://www.goveg.com/feat/butterball/butterball-investigation.asp http://www.goveg.com/feat/butterball/butterball.asp
  13. La photo est pourtant une preuve en soit - C'est monstrueux !
  14. Animal

    Les droits des animaux

    Allo Valou ! On dirait bien qu'il y a un ou une petite «boss» en charge des courriels reçus et que c'est lui ou elle qui décide si un commentaire sera posté ou non, surtout quand ces commentaires ne vont pas dans le même sens que ceux de l'auteur ... Oui, David a créé ce blog il y a quelques mois... Chaque fois qu'il répond à un article de journal, il l'affiche sur son blog: Une façon de s'assurer que ces commentaires seront lus p.s.: n'importe qui peut se créer un blog sur VOIR
  15. Rejoignez-nous en signant la map'monde. http://protection-animale.e-monsite.com/rubrique,cyber-action-de-noel,240945.html
  16. Voir aussi cet article... South Africa Could Soon Allow Controlled Elephant Hunts Written by Alex Felsinger Published on November 15th, 2008 Once severely endangered, elephants in South Africa now thrive, causing some to worry that their population could threaten smaller species. While some are calling to reinstate culling of elephants for the first time since 1994, other conservationists worry that the effects of killing elephants run deeper than we understand. In 1900, the elephant population sunk to only 200 due to hunting; now, the population is estimated to be 17,000. This soaring number combined with their individual demand for feed can result in over-grazing, which hurts the rhinoceros and gazelle populations first. The animals, which can live up to 70 years, seem to have strong familial bonds that extend to death. After one of their own dies, elephants often sit near the body for days and sometimes try to cover the body with sticks. Due to the emotional impact on other elephants, the government would require that entire families of elephants be killed rather than only the old or sick. Contraception and translocation have been deemed too expensive to use. Other parts of Southern Africa are experiencing similar over-population, but forest elephants in central Africa still face numerous threats. Conservation group the World Wildlife Fund agrees with South Africa’s plans. “In some areas there may be too many elephants for the available area, and culling may be needed,” said Sue Lieberman, director of the WWF International species program. “It’s not a preferred option and it’s not a pretty sight. Nobody wants to do this, but the option of doing nothing doesn’t exist.” Photo Credit: Exfordy on Flickr under Creative Commons license. http://planetsave.com/blog/2008/11/15/south-africa-could-soon-allow-controlled-elephant-hunts/
  17. Midland, MI November 14 2008 ANIMAL RIGHTS How we treat animals reflects who we are By Dr. Randy Wysong Publishing Guidelines: You are welcome to publish this article in its entirety, electronically, or in print free of charge, as long as you include my full signature file for ezines, and my Web site address in hyperlink for other sites. Please send a courtesy link or email where you publish to wysong@asifthinkingmatters.com From a purely biological perspective, no creature inherently has rights beyond that which it has the power to impose. What is able to survive does, what cannot does not. But our world is not just biology. It is ethics as well. “Might makes right” cannot be the operating paradigm in a world where freedom, compassion, humanity, and love are desired. Nor are we removed from consideration of the rights of other creatures just because we are paying somebody else to create drugs, scent a deodorant, or raise our food. Humans with the ability to use their technology to affect and control the world so widely and deeply are constantly faced with ethical choices. Modern life is not a matter of mere survival as it was when we were in the wild. It is an opportunity to develop and grow as introspective, sensitive, and ethical people. For example, walking in the woods requires no rules, but driving in traffic does. Drinking from a stream is not a problem, but damming the stream and flooding thousands of acres is. Breaking down brush with our hands to make a lean-to for shelter is one thing, but denuding the planet with machines is quite another. Hunting animals in the wild for food using only ingenuity, strength, and speed is a matter totally unlike wiping out whole populations with rifles (for ‘sport’) or with our urban encroachment. Farming animals to feed a swelling population is necessary, but denying them any form of natural or decent life, or subjecting them to abuse or cruelty is not a right we can claim. Living in the wild would present few ethical choices. Causes and philosophy have a way of taking a back seat when life is consumed with day-to-day survival. But an advanced society with almost limitless technological capabilities is another matter. Our ability now to practically cage and control every creature on the planet and virtually destroy the Earth’s life-supporting environment on an Earth-wide scale requires choices and ethical responsibility. The first choice to be made, it would seem, is whether we wish to survive here long term or not. Assuming the answer is yes, we must take fiduciary responsibility for the planet and its web of life. But it does not end there, as some humane and green movements would seem to argue. In order to survive we must also take the lives of the plant and animal food we consume. That is a reality we face, and, assuming we wish to survive, it is not a matter of ethics. On the other hand, our management and behavior toward other living things—including our food—do present moral choices. It also creates a mood, if you will, setting the tone for how we treat one another. If we find it easy to treat life with insensitivity, it is a small step to treat one another the same way. If we extend care, compassion, and decency out toward the rest of the world, we are far more likely to treat fellow humans similarly. Killing animals or plants for fun or just because we have the power to do so is neither rational nor ethical. It is a form of psychopathic behavior that threatens the web of life upon which we depend and desensitizes us to the value of all life. People who take joy in the pain, suffering, and death of other creatures, or justify it because of dollars to be made, threaten civilization itself. It is not that great a leap for those who behave in this way to extend similar insensitivity to humans. Would we rather live next door to someone who creates habitat for wild creatures in their yard and live-captures house mice to set them free outdoors, or someone who stomps on any bug they see, chains their dog to a stake in the yard, yahoos about shooting songbirds from their window with a pellet gun, and hunts for trophies leaving carcasses to rot? It is not a coincidence that serial killers often have a history of torturing and killing animals.1 Creatures raised for food should not be treated as nothing more than production units, confined so as to never see the light of day, and then be handled and slaughtered inhumanely. They should be raised kindly in a free and open environment where they might enjoy the life they have. Arguably hunting should be reserved for the singular purpose of obtaining food, not for the pleasure of killing. If there is opportunity to show compassion, why not take it rather than abuse and exploit just because we have the power to do so? Scientists and much of the public justify animal experimentation as necessary in order to find disease cures, test toxins, check mascara safety, and so on. I am reminded of an experience in a toxicology class. The lesson for the day was to show how topical products could be screened for safety. For a demonstration, the professor held a rabbit by the nap and put some drops of a chemical in the rabbit’s eye. The rabbit squealed and struggled in pain. It was a miserable thing to see. As days went by we were shown the progression of the caustic chemical on the rabbit’s cornea. The extreme ulceration that resulted was grotesque and the pain the rabbit was enduring was gut wrenching. To this day I remember vividly and regret that I paid tuition for this needless cruelty—although to show any reaction at the time risked being viewed as unscientific and emotional, a definite no-no in medical schools. The lesson to be learned from this pathetic display of human insensitivity was that noxious chemicals will ulcerate and dissolve eyes. How profound. There wasn’t a student in the class that could not have guessed the outcome before the macabre demonstration was done. The real takeaway was that life could be treated with disregard. If we wanted to be good doctors we needed to suck it up, put aside silly compassion and bravely mutilate life for the sake of the greater good of medicine. Torture aside, such experimentation is unnecessary and really quite embarrassingly sloppy science. Those who participate in it become desensitized to suffering, lose compassion, and learn to hone the skill of obtuse justification. Medical experimentation upon animals is unnecessary because every species reacts to toxins, drugs, and even surgery differently. For that matter, every individual is different biochemically. What might be true for one goose is not for a gander. So a scientific result from a lab in which thousands of mice, dogs, or monkeys are tortured does not give certainty about an effect in humans or in other species. Biological differences skew all results.2 Aspirin causes birth defects in rats but not in humans. Humans and guinea pigs require vitamin C in the diet but most other creatures manufacture it themselves. An opium dose that will kill a human is harmless in dogs and chicks. Allylisothiocyanate will cause cancer in the male rat, but may not in the female, or in mice. Penicillin will kill a guinea pig but potentially save the life of a person. Most drugs, nutrients, and toxins have a reverse effect: a benefit at one level is a danger at another. Measuring such things is near impossible.3 Even kindness in the lab can alter results as demonstrated by atherosclerosis (the heart attack factor) being reduced by as much as 60% in rabbits that are handled, compared to those ignored.4 The point is that nobody knows all the variables when conducting such research. They can only control for some, guess at all the others, and then make an extrapolation, a huge leap in faith timed precisely to occur before the budget runs out. This is the reason drugs go through years of FDA trials at a cost of 360 million dollars, and then can kill and maim when introduced to the population. Nevertheless, such heartless experimentation proceeds in the name of science and the promise of cures. It’s a shame. Using a little logic, or other laboratory tools such as tissue culture techniques, could as well have led to the same conclusions gained from animal experimentation. For example, researchers used 24,000 mice to prove that 2-acetylaminofluorene was carcinogenic. Based on genetic context logic, you or I could have told them the result without caging or torturing one mouse. Why would a synthetic chemical such as this not be harmful? What is most frustrating is that the result of all the animal experimentation is not cures. Rather, there are hundreds of thousands of maimed and killed humans who bought into the faulty science of such ‘proven’ drugs. Animal research brings us drugs with side effects, dependencies, prescription errors, cross-reactions, and removal of symptoms while the cause of the disease continues. Animal experimentation is a bad idea at its start and a tragic disaster in practice. The popular idea is that our environment, including all of its creatures, is a mere resource for our exploitation. That is irrational if long-term human welfare is to matter and denies that humans have a higher purpose than might makes right. Dr. Wysong is author of thirteen books on health, nutrition, self improvement, philosophy, and the origin of life. He is a pioneer in the natural health and nutrition movement, and is the first to put the creation-evolution debate on rational footings. His blog, books, updates, mind-stimulating content, and interactive forums can be found at: asifthinkingmatters.com. To contact Dr. Wysong email: wysong@asifthinkingmatters.com 1. Relationship between Animal Abuse and Human Violence. Oxford Centre for Animal Ethics, 2007. Retrieved from the World Wide Web: www.oxfordanimalethics.com. 2. Gawrylewski, Andrea, ‘The Trouble with Animal Models: Trials and Error’, The Scientist 21-7 (2007), 45-51. 3. Qureshi, B. The reverse effect. Journal of the Royal Society of Medicine, 83 (1990), 131-132. 4. Rowland, D. The Nutritional Bypass: Reverse Atherosclerosis Without Surgery. Parry Sound: Rowland Publications, 1995. Dr. Randy Wysong President Wysong Corporation Midland, MI Phone : (989) 631 0009 Contact Dr. Randy Wysong http://www.expertclick.com/NewsReleaseWire/default.cfm?Action=ReleaseDetail&ID=23974
  18. Animal

    A happy day for farm animals

    Merci pour ces précisions hop ! Ça vaudrait sûrement la peine d'aviser la HSUS
  19. Jamais entendu parler de cette histoire
×
×
  • Créer...