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  1. Animal

    BULLETIN HIVER 2008

    CHEVREUIL: TOUS LES RECORDS FRACASSÉS! Par André A. Bellemare Chroniqueur de chasse et de pêche Quotidien LE SOLEIL (Québec) publié le lundi 21 janvier 2008 Tous les records ont été fracassés durant l’automne 2007 dans le domaine de la chasse du cerf de Virginie, que les Québécois appellent encore le chevreuil. Selon les statistiques les plus récentes (du 15 janvier) colligées par le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF), 73196 chevreuils ont été récoltés par près de 177000 chasseurs dans l’ensemble de la province (île d’Anticosti incluse). C’est un succès de chasse de 41 %! Ces statistiques prouvent que la récolte des cerfs durant les derniers mois est la plus importante dans toute l’histoire de la chasse de la province! C’est une augmentation de plus de 6% de la récolte faite en 2006, qui avait elle-même constitué un record. Et, les 177000 chasseurs de chevreuil actifs en 2007 sont 23% plus nombreux que ceux qui chassaient ce grand gibier cervidé en l’an 2000! Tout cela survient au moment où des politiciens et des hauts fonctionnaires, ainsi que des groupes d’antichasseurs tentent de nous faire croire que la chasse intéresse de moins en moins de citoyens du Québec! Les preuves au contraire s’accumulent pourtant constamment… La Fédération québécoise de la faune (FQF) — principal porte-parole des chasseurs de chez nous avec plus de 150000 membres réunis par près de 200 associations locales et régionales — avance même que le nombre de chasseurs qu’elle forme croit progressivement chaque année, et que les femmes et les adolescents constituent maintenant quelque 40 % des nouveaux adeptes. La FQF doit savoir de quoi elle parle: c’est elle qui, au Québec, donne exclusivement les cours obligatoires et fait subir les examens obligatoires à tous ceux qui désirent obtenir un certificat du chasseur (avec armes à feu, arc ou arbalète); c’est aussi la fédération qui donne les cours obligatoires et fait subir les examens obligatoires du gouvernement fédéral pour l’obtention des permis de possession et/ou de possession et d’acquisition d’armes à feu (dans le cadre de la Loi sur le contrôle des armes à feu au Canada). La crédibilité de la FQF vaut bien plus, aux yeux des chasseurs, que celle de toutes ces personnes s’opposant à la pratique de la chasse au Québec et au pays, et qui se croient investies d’une mission divine pour éliminer cette tradition ancestrale séculaire existant chez nous depuis plus de 500 ans! Actuellement, dans l’ensemble de la province (île d’Anticosti incluse), il y a plus d’un demi-million de chevreuils. Ils sont près de 350000 sur le continent et 165000 à Anticosti. Cette abondance de cervidés s’explique surtout par les conditions atmosphériques favorables depuis plusieurs années: hivers tardifs et cléments (dans le sud et l’ouest du Québec surtout), puis printemps hâtifs et doux suivis d’étés chauds et secs et d’automnes doux et prolongés. Il y a une si forte proportion de biches et de faons que les autorités gouvernementales délivrent chaque année des dizaines de milliers de permis spéciaux de chasse pour la récolte de ces cerfs sans bois. D’autre part, les conditions favorables d’enneigement dans le centre, le sud et l’ouest de la province expliquent le haut somme toute relativement élevé de survie des mâles adultes géniteurs et leur récolte stable depuis 2002; on sait que la récolte de bucks constitue un reflet fiable de l’abondance des populations de cerfs de Virginie et de la stabilité des hardes dans de nombreuses des 18 zones provinciales de chasse où il est permis de traquer les cerfs. Des fonctionnaires et des scientifiques du gouvernement du Québec prétendent maintenant qu’il y a… trop de chevreuils chez nous! Parce que des citoyens, dont des producteurs agricoles et des personnes… habituellement opposées à la chasse, se plaignent des dommages causés par ces cervidés aux terres en culture, aux forêts privées, aux arbustes d’ornement autour des maisons et aux terrains de golf. Il ne faut pas oublier les quelques 7000 à 8000 collisions, dont certaines sont mortelles pour les humains, qui surviennent annuellement entre des véhicules-automobiles et des chevreuils gambadant dans les routes sillonant le sud et l’ouest de la province. Voilà qui explique pourquoi les gestionnaires de la chasse délivrent autant de permis spéciaux pour l’abattage des biches en âge de se reproduire: les autorités avouent publiquement, depuis déjà quelques années, qu’elles désirent réduire d’au moins 50% la taille des hardes de chevreuils un peu partout, surtout dans les bois-Francs, dans les Cantons-de-l’Est, en Montérégie et dans le sud-ouest de la province. Vous savez aussi que, s’il n’en tenait qu’à certaines personnes, on éliminerait aussi les chevreuils dans l’île d’Orléans… Voici un bref tableau résumant bien toute la récolte de chevreuil de 2008 dans l’ensemble de la province (y incluant celle dans l’île d’Anticosti) pour les 18 zones provinciales de chasse qui étaient accessibles à cette chasse durant les derniers mois de 2007: Biches Mâles Faons TOTAL ACB 6053 3684 3778 13515 Arbalètes 1303 1403 608 3314 Arc 2361 2300 1056 5717 Carabine 12094 29729 5109 46932 Fusil 1042 2067 609 3718 TOTAL 22853 39183 11160 73196 On constate que 3718 chevreuils ou 5% du total ont été abattus au fusil (avec des balles uniques, rayées ou non, ainsi que des chevrotines), tandis que 3314 cerfs ou 4,5% ont été récoltés à l’arbalète. Les chasseurs à l’arc en ont abattu 5717 ou 7,8% du total, à comparer aux 13515 ou 18,5% récoltés avec des armes à chargement par la bouche ou ACB (les mousquets archaïques). Ce sont, bien sûr, les chasseurs utilisant des carabines modernes de gros calibre qui ont rapporté le plus de chevreuils, c’est-à-dire 46932 ou 64%, les deux tiers du total de la récolte. Les mâles adultes ont représenté 53% des cervidés récoltés, tandis que les biches représentaient 31% du total de la récolte, les faons constituant le reste. Si vous désirez obtenir beaucoup plus de statistiques officielles du gouvernement du Québec concernant la chasse du chevreuil de 2007 (par sexe des cevidés et par engins de chasse dans chacune des 18 zones provinciales de chasse concernées), vérifiez la page suivante dans Internett: http://www.mrnf.gouv.qc.ca/faune/statistiques/chasse-piegeage.jsp
  2. QUEBEC : Cerf de Virginie contre Ours Noir Le cerf de Virginie aurait mis K.-O. l'ours noir de l'île d'Anticosti Le ring: Anticosti. Dans le coin gauche: un omnivore indigène, l'ours d'Amérique. Dans le coin droit: un herbivore introduit, le cerf de Virginie. L'enjeu: survivre. Début du combat: 1896, alors que 220 cerfs provenant du continent sont relâchés sur l'île. Dès le début de l'affrontement, le cerf bondit. Sa population dépasse les 50 000 dans les années 1930. Pendant ce temps, l'ours titube et sa population plonge. Le cerf frappe de plus belle. À la fin des années 1960, ses effectifs atteignent entre 60 000 et 120 000 têtes. Pendant ce temps, l'ours, lui, va au tapis pour le compte de dix. Depuis 1998, aucun ours ni aucune manifestation de sa présence n'ont été signalés sur Anticosti. Le poids lourd a été éradiqué de "son" île par un poids léger. Pareil scénario, où un grand herbivore déloge d'un vaste écosystème une population bien portante d'omnivores, serait sans précédent dans la littérature scientifique, signale Steeve Côté, professeur au Département de biologie et chercheur au Centre d'études nordiques. Que s'est-il donc passé au début des années 1900 pour expliquer pareil revirement? Une chasse à l'ours trop intensive? Peu de chance, répond l'expert. "C'est une grande île et il y avait seulement quelques kilomètres de route lorsque le déclin de l'ours a commencé. L'impact de la chasse a dû se limiter à la région immédiate de Port-Menier." La maladie alors? "On n'en connaît aucune qui aurait pu décimer la population d'ours à ce point", répond-il. Les coupes forestières? "Elles touchaient à peine 5 % de l'île." Plus de myrtilles ! Steeve Côté a sa petite idée sur ce qui a pu causer cet événement inédit dans le monde des grands mammifères. Sa thèse a été jugée suffisamment sérieuse pour que la revue scientifique Conservation Biology lui ouvre les pages de son dernier numéro. En deux mots, le professeur Côté soutient que le cerf, cette machine à brouter, a décimé la strate herbacée des forêts d'Anticosti, privant ainsi l'ours des petits fruits indispensables à son alimentation automnale. "Avant l'arrivée du cerf, il n'y avait que deux mammifères qui se nourrissaient de végétaux sur Anticosti: l'ours noir et la souris sylvestre. Les cerfs ont décimé les plantes qui produisent la principale source d'alimentation de l'ours à la fin de l'été et à l'automne." En captivité, un ours de 100 kg à qui on offre des petits fruits à volonté peut en engloutir jusqu'à 35 kg par jour. La consommation de feuillage ne parvient pas à répondre aux besoins énergétiques de cette bête puisqu'elle ne digère pas efficacement les aliments riches en fibres. Pour appuyer sa thèse, le chercheur, associé à la Chaire CRSNG-Produits forestiers Anticosti, et ses étudiants ont réalisé un vaste inventaire des framboisiers, ronces, gadelliers, bleuets et cornouilliers du Canada trouvés sur l'île en 2004. Selon leurs données, on trouvait alors 0,28 fruits/m2. Or, d'autres études ont montré qu'à des densités inférieures à 66 fruits/m2 les ours ne parviennent pas à accumuler suffisamment de réserves pour passer l'hiver et allaiter leurs petits. À la lumière de ces données, il serait illusoire de compter sur l'ours pour contrôler la population de cerfs sur Anticosti, même s'il se nourrit de jeunes faons au printemps. "La densité des petits fruits est 235 fois trop faible pour y maintenir une population d'ours, fait valoir Steeve Côté. Dans les conditions actuelles, toute tentative visant à réintroduire cette espèce sur Anticosti est vouée à l'échec." Source : Université de Laval http://www.buvettedesalpages.be/2005/10/cerf_ours_noir.html
  3. Animal

    BULLETIN HIVER 2008

    Le dimanche 13 janvier 2008 Record historique pour le cerf de Virginie Les chasseurs ont abattu 73 106 chevreuils durant la dernière saison. Photothèque Le Soleil Marc Saint-Pierre Le Soleil Québec Record historique, la récolte de cerfs de Virginie a été meilleure que jamais dans les forêts continentales du Québec en 2007, mais le Walhalla des chasseurs se situe toujours à l’île d’Anticosti. C’est ce qui apparaît dans les bilans de la récente saison de chasse de Ressources naturelles et Faune portant sur le «chevreuil» québécois. Continent et Anticosti compris, ce sont effectivement 73 106 chevreuils qui ont été abattus cet automne dans l’ensemble du territoire québécois, comparativement aux 68 907 de 2006, elle-même une année record. De ce nombre, les mâles empanachés et les femelles adultes ont compté pour 54 % et 31 %, les jeunes de l’année comptant pour le reste des captures. «La récolte de cet automne est la plus abondante que le Québec ait connue. L’augmentation est principalement due à l’attribution d’un nombre supérieur de permis autorisant la récolte de cerfs sans bois, femelles et faons. La récolte de mâles adultes, un reflet fiable de l’abondance des populations, indique que celles-ci sont relativement stables et se situent près des objectifs de densité établis au plan de gestion dans la plupart des zones de chasse», a précisé une porte-parole de Ressources naturelles et Faune, Chantal Drapeau. C’est aussi un fait que le cerf de Virginie est la dévotion première des chasseurs québécois, au-dessus des petits gibiers et du luminescent orignal. Un nombre sans précédent de 176 000 chasseurs ont pris leur permis de chevreuil 2007 pour bénéficier du privilège de participer à sa quête, un millier de plus qu’en 2006 et 23 % de plus qu’en 2000. «Le taux de succès s’est établi à quelque chose comme 40 %. C’est-à-dire que 4 chasseurs sur 10 sont revenus des bois avec un grand sourire et des photos à l’appui», a noté Mme Drapeau. Anticosti Dans le même temps, là où un permis régulier autorise une double capture, Anticosti a encore confirmé son statut de destination nord-américaine du chevreuil. Les 5142 chasseurs qui ont pris pied sur l’île du golfe Saint-Laurent ont tué 8986 cerfs, des mâles à quelque 60 %. André Gingras, de la Direction de l’aménagement de la faune à Ressources naturelles et Faune à Sept-Îles, a balayé les rumeurs de saison de chasse catastrophique un moment véhiculées dans la confrérie des disciples de Nemrod, soi-disant à cause d’un printemps tardif. «L’indice de succès s’est établi à 1,64 chevreuil par chasseur. Il s’agit d’une année moyenne. Anticosti est encore un endroit du Québec où la chassse est exceptionnelle», a indiqué le biologiste à grands traits, notant que les prises se situent aux alentours de 1,8 bête les meilleures années. Les hivers sont à prendre en compte pour la petite différence. Au Québec, le chevreuil est à la limite septentrionale de son habitat, il paie tribut à l’hiver, et c’est encore plus vrai à Anticosti. Mais plus de cerfs terrassés par l’hiver signifie, dès le printemps anticostien, plus de nourriture pour ceux qui restent, qui se reproduisent davantage, qui se tirent de l’hiver plus doux suivant, qui rebondissent bientôt à au-delà de 160 000 pour faire de l’île le paradis cynégétique qu’il est. Le biologiste d’Anticosti ne tue pas la peau de l’ours l’hiver «avant que le dernier morceau de glace ne soit fondu». Mais des cycles qu’il observe depuis plus de 20 ans, il tire le pari que la saison 2008 pourra être excellente. «Les chasseurs qui s’abstiendront de venir parce qu’ils imaginent que la saison ne sera pas bonne pourraient le regretter», a-t-il conclu. http://www.cyberpresse.ca/article/20080113/CPSOLEIL/80112097/5133/CPSOLEIL
  4. Oui, surtout quand c'est à leur avantage: Ils en auront plus à tuer quand viendra la saison de la chasse
  5. 09 février 2008 Gaspésie: Québec nourrira d'urgence les cerfs de Virginie Catherine Handfield La Presse Pas facile de marcher dans un mètre de neige. S'ils pouvaient parler, les cerfs de Virginie de la Gaspésie vous le confirmeraient. Les bêtes dépensent tellement d'énergie pour se déplacer cette saison que le gouvernement a pris la décision de les nourrir dès la semaine prochaine. http://www.cyberpresse.ca/article/20080209/CPENVIRONNEMENT/802090841/6108/CPENVIRONNEMENT
  6. Je suis sincèrement désolée ma chère Linda. À toi et à toute famille, je souhaite bon courage. Avec vous tous, en pensées, XXXXXXXXXXXXXX
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    BULLETIN HIVER 2008

    Nova Scotia authorizes limited grey seal cull JOHN LEWADOWSKI The Canadian Press February 8, 2008 at 4:23 PM EST Halifax — A limited grey seal hunt has been authorized for Hay Island, a provincially protected wilderness area off Cape Breton, Nova Scotia Fisheries Minister Ron Chisholm announced Friday. Nova Scotia already has a yearly quota of 12,000 grey seals, but in recent years hunters have rarely taken more than a few hundred annually. The main reason is that the bulk of the 300,000-strong herd can be found around Sable Island, a remote and windy sand spit 250 kilometres east of Halifax. Hay Island is only about 10 kilometres from Main-a-Dieu, off the east coast of Cape Breton. Mr. Chisholm said the decision to allow up to 2,500 animals to be taken from the area was driven by a need to protect fish species. “We have an area where the fishery hasn't come back, even with the groundfish moratorium of 1992 still on,” said Mr. Chisholm. “And we do know that there has been a population explosion of grey seals in that area.” Mr. Chisholm said local fishermen are telling him there are so many seals in the area they can't set nets or bait any more. “They lose their nets, they lose their traps because of the seals getting into them. When they throw small lobsters back, the seals are waiting to grab them before they even hit the bottom.” Gus van Helvoort, a spokesman for the federal Fisheries Department, said there is a wealth of evidence to suggest dramatic growth in the grey seal herd. “There was a scientific assessment done last year and the final numbers place the population somewhere in the area of 300,000 in the western Atlantic and southern Gulf of St. Lawrence with the largest proportion of those animals on Sable Island,” said Mr. van Helvoort. He said an international group of 35 research scientists is currently studying the seal predation issue and hopes to meet again later this year to discuss their findings. “It's not anecdotal. There are concerns. There's evidence to suggest (the predation question) is real but the question is the degree to which it has an impact.” He said the department's concern is that the hunt is well managed and sustainable for not only pelts but perhaps meat as well. “It's very much a commercial harvest that has a long history and the fact that the population has increased as much as it has over the past 20 plus years provides an opportunity to re-evaluate that harvest.” The hunt carries with it strict conditions, is only for this year, and will take place over three to five days ending no later than March 15. Mr. Chisholm said he expects there will be some fallout from animal rights groups once word gets out, but he's hoping the Nova Scotia hunt is put in perspective. “The hunt that we have going on now is more of a trial around the Hay Island area to see if we can't get a commercial one going,” he said. “And as minister of fisheries I have to protect the fishery. We have to do this.” http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/RTGAM.20080208.wgreyseal0208/BNStory/National/home ---------------- Fishermen after higher grey seal quota Last Updated: Friday, February 8, 2008 | 11:07 AM NT CBC News With new research suggesting a big increase in the population of grey seals in the Gulf of St. Lawrence, fishermen in western P.E.I. are looking for a bigger hunt this year. Grey seals are only a small percentage of the overall Canadian seal hunt, with most of the attention paid to the harp seal harvest. But grey seals are an issue for fishermen because they live, and eat, in the gulf year round. "We're competing with the seal," said Shelton Barlow, head of the Prince County Fishermen's Association. "We're going to try to win out, if we can." Officials from the federal Department of Fisheries and Oceans are doing helicopter surveys of the seals this week to determine both how many seals there are, and when the hunt might start. "Overall, there's about 300,000 animals in eastern Canada," the department's Mike Hammill said. "The population has increased a fair amount since the '70s. Population back then was around 25,000 animals." Barlow said representatives from his association will be in Moncton Friday at a meeting that will help decide the number of grey seals to be hunted this year. They will be pushing for an increase from last year's 12,000-animal quota. http://www.cbc.ca/canada/newfoundland-labrador/story/2008/02/08/greyseal-gulf.html
  8. Le jeudi 07 février 2008 Nature Québec veut une aire protégée pour le caribou forestier Éric Moreault Le Soleil Québec Nature Québec demande à Québec de créer, dès cette année, une aire protégée de 5000 km2 dans le nord pour assurer la survie du caribou forestier. Le gouvernement Charest assure qu’il aura de bonnes nouvelles à ce sujet dans son livre vert sur la forêt, qui sera rendu public d’ici à la fin du mois. http://www.cyberpresse.ca/article/20080207/CPSOLEIL/80207192/6907/CPSOLEIL
  9. Le problème dans ma région, c'est que les forêts disparaissent à vue d'oeil. Année après année, on déboise pour construire toujours plus de routes, de centres d'achats, de condominiums, d'usines, etc. etc. etc. Les animaux perdent leurs territoires et se retrouvent en banlieue. Et il n'y a pas que les faucons qu'on retrouve en ville: il y a aussi les chevreuils, renards, ratons-laveurs, mouffettes, lièvres, etc. etc. Parlant d'animaux sauvages, cette semaine, j'ai reçu un journal de la ville, une édition spéciale, avec en gros titre: ALERTE À LA RAGE ! On disait que les autorités avaient trouvé un renard atteint de la rage en Montérégie et on demandait aux gens de ne pas s'approcher d'animaux sauvages, de ne pas les nourrir, etc. etc. Comme nous sommes en pleine saison de piégeage des animaux à fourrure, ça ne m'étonnerais pas que ça serve d'excuse encore une fois cette année, pour en capturer des milliers
  10. Ce faucon, (en fait nous en avons 2) sont les plus gros de ceux qui viennent chez-nous (il y en a aussi des plus petits). Ces gros faucons Pèlerins chassent principalement les tourterelles et les pigeons, mais ils chassent aussi les écureuils, les lapins, etc. L'année dernière, j'en ai vu un attrapper un écureuil au sol et s'envoler avec !! Ils n'ont pas du tout peur de moi. Je sors parfois dehors pour tenter de les effaroucher, mais ils ne font que me regarder. Et même lorsque je me trouve juste en dessous d'eux, quand ils sont dans un arbre par exemple, ils restent là... Et oui Cé, tu as raison, car comme ils capturent leurs proies avec leurs serres et qu'ils ont besoin de beaucoup d'espace libre pour pouvoir faire leurs captures, même si un écureuil ou un oiseau se trouve juste à côté d'eux, ils ne peuvent pas les tuer... Par contre, ils ont développé une technique qui consiste à se lancer littéralement dans les haies de cèdres, là où ils savent que des oiseaux se cachent, afin de les faire sortir de leur cachette et lorsque les oiseaux s'enfuient, les faucons peuvent les attrapper ! Même si ça fait partie de la nature, c'est un monde quand-même bien cruel !
  11. p.s. Je crois à cette étude ! Tous les ans, mes petits moineaux ont au moins 3 portées dans chacun de mes nichoirs. Depuis le mois de décembre, ils ont déjà formé leur couple et travaillent sans relâche à solidifier/ aménager les nids de l'année précédente... ------------------------------------- Feeding birds during winter means healthier hatch in spring Study links human help to 'breeding success' TOM SPEARS Canwest News Service Wednesday, February 06, 2008 Birds that you feed through the winter will raise bigger and healthier broods next spring, according to the first study to link feeding by humans to "breeding success." The study from Britain and Ireland focuses on a European type of chickadee - the white-tailed version - but scientists say the findings probably apply to Canadian chickadees, cardinals and blue jays, too. Birds that had access to feeders laid the same number of eggs as those that had to find all their own food, the scientists found. But the human-fed birds laid eggs earlier, giving their babies a chance to fatten up before all the other bird families are hunting for food. Their young also grew up stronger and healthier. In the end, these families produced one more surviving young bird than the birds left on their own. A typical nest has about 10 eggs at the start. Bird-lovers in Britain and the United States put out 500,000 tonnes of bird food each year, the study by the University of Exeter and Queen's University Belfast found. "We have very mild winters, and it probably has a much more substantial effect in places where the winters are hard," such as Canada, said lead researcher Stuart Bearhop of the University of Exeter. But there's a remaining mystery: What part of the food matters most? "We really don't know whether it's the energy or some other nutritional value," Bearhop said. If the birds just need calories, then anything with fat will do. But it may be that feeders are supplying vitamins and minerals crucial to raising young, such as vitamin E, crucial in egg production and embryo development. Peanuts and many seeds are rich in vitamin E. The Gazette (Montreal) 2008
  12. Les photos ne sont pas très bonnes car je les ai prises de l'intérieur, à travers ma fenêtre de cuisine et avec un flash ! Ça n'est pas la première fois que je vois des petits écureuils s'approcher d'aussi près de ces énormes faucons, même s'ils en ont très peur...
  13. Animal

    La Chasse au phoque

    Rappel: Chasse au phoque: La région demande 20 000 bêtes 2008-01-16 08:31:21 Le comité consultatif sur les pêches qui s'est tenu la semaine dernière, à Saint-Jean de Terre-Neuve, s'est penché sur la répartition des contingents de phoques par région. Les chasseurs de la Basse-Côte-Nord réclament un quota de 20 000 bêtes, soit quatre fois plus que ce qui a été abattu l'an dernier. Pêches et Océans doit nommer sous peu un expert, qui consultera les différents groupes et proposera les quotas de chasse pour le printemps prochain. Paul Nadeau, qui représente 400 détenteurs de permis de chasse en Basse-Côte-Nord, croit que le ministère manquera de temps. « Ça va prendre un médiateur qui va agir de façon incroyablement rapide, si on veut faire le travail entre le 15 janvier et le 1er mars », analyse Paul Nadeau. Le représentant des chasseurs de la Basse-Côte-Nord rappelle qu'au cours des deux dernières années le ministre a réparti les quotas sans tenir compte de l'historique de la chasse. Il doute de l'empressement réel au ministère à consulter les groupes de chasseurs sur la répartition des quotas. « Il y a beaucoup de lobbying des grandes régions entre autres, comme Terre-Neuve, qui n'ont pas intérêt trop à voir leur part changer parce qu'ils n'ont rien à gagner de cette médiation. Ils ont plus de 92 % déjà du phoque du Groenland dans le golfe », observe Paul Nadeau. Les enjeux sont pourtant importants pour les pêcheurs de la Basse-Côte-Nord qui vivent depuis cinq ans avec un moratoire sur la pêche à la morue et au crabe. La reconnaissance d'un quota de base pour la chasse au phoque viendrait consolider un revenu d'appoint dont ils ont bien besoin. nouvelles.sympatico.msn
  14. Animal

    La Chasse au phoque

    La Chasse au phoque : Cap-aux-Meules, le mercredi 30 janvier 2008 – Le député de Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Monsieur Raynald Blais, dénonce le délai de la nomination d’un examinateur indépendant dans le dossier de la chasse au phoque, délai qui permet au ministre de MPO, l’Honorable Loyola Hearn, de gagner du temps et de ne pas agir cette année sur le partage des quotas dans l’Est du Québec. « C’est encore un moyen d’empêcher les Québécois de profiter d’un quota équitable pour la chasse au phoque en 2008 ! » soutient Blais. ... suite http://www.raynaldblais.qc.ca/content/view/35/1/
  15. Bonsoir, Nous avons présentement 43 lapins à la SPCA. Comme vous pouvez imaginer beaucoup plus que nous pouvons accomoder. Si vous connaissez quelqu'un qui pourrait être une famille d'accueil, nous en avons besoin immédiatement. Merci pour votre support. Stephanie Stephanie Embriaco Exotic Animal Team Leader cell: 514-823-4175 home: 450-672-4175 Good evening, We currently have 43 rabbits and counting at the SPCA. Obviously many more than our facilities can handle. We are thus looking for foster families who would be able to help in this desperate time of need. If you know anyone who would like to foster, we are desperate so please come forth. Thank you, Stephanie
  16. Le mercredi 06 février 2008 Cacouna: les méthaniers menacent les bélugas Éric Moreault Le Soleil Québec La reproduction du béluga est compromise par l’éventuelle installation du terminal méthanier de Gros-Cacouna, au cœur d’un lieu de gestation du mammifère. Si jamais Énergie Cacouna va de l’avant, il devra se plier à plusieurs exigences pour assurer la protection du béluga, qui a un statut d’espèce en péril et fait l’objet de mesures de protection depuis 1979. «La venue de ce nouveau projet de développement est une menace pouvant réduire encore plus l’habitat du béluga du Saint-Laurent», habitat qui s’est de plus considérablement réduit dans le passé, peut-on lire dans l’avis scientifique de la direction régionale des sciences de Pêches et Océans Canada (MPO) sur le projet. Les exigences du ministère seront établies en fonction de cet avis. Le cheptel stagne à 1000 individus depuis 20 ans. http://www.cyberpresse.ca/article/20080206/CPSOLEIL/80205287/6907/CPSOLEIL
  17. Pourquoi Greenpeace a-t-il aussi peur de se mouiller ?
  18. Le problème, c'est qu'il n'y avait justement aucune ferme dans les environs Cé Elles étaient peut-être beaucoup plus loin, de l'autre côté du lac, mais ça n'aurait de toute façon pas été accesible pour nous qui étions sur une piste cyclable... Les jeunes devaient être en congé. Je dis «les jeunes», mais ils avaient bien dans la trentaine, sinon +, toute la «gang»... Ils avaient également leurs cannes à pêche avec eux !
  19. Salut les filles, je n'ai absolument rien contre le fait qu'on embauche des travailleurs étrangers pour travailler chez-nous, mais je me demande comment il se fait que ces étrangers peuvent travailler dans des abattoirs sans avoir de formation... Il y en a beaucoup qui travaillent dans des abattoirs de poulets, de cochons, dans des élevages de canards gavés, etc. etc. L'été dernier, j'avais oublié de vous mentionner, que lors d'une ballade à vélo en Montérégie, Peter et moi avons surpris 6 jeunes «travailleurs étrangers» en train de lapider de pauvres vaches qui se trouvaient dans un champs... Ils leurs lançaient d'énormes pierres de toutes leurs forces et ils riaient comme des cons lorsqu'ils réussissaient à en toucher une. Comme les vaches sont curieuses de nature, les pauvres s'étaient même avancées de plus près pour voir ces salopards... P. et moi nous sommes arrêtés à quelques mètres d'eux pour les regarder et leur montrer qu'ils étaient observés, mais ils continuaient quand-même en se moquant de nous. Ils avaient deux vieilles bagnoles près d'eux, et par terre se trouvaient 5 ou 6 caisses de bières ... Comme nous étions seuls et dans un endroit isolé (pas de maisons, pas de fermes), je n'ai pas voulu que P. s'approche d'eux, (mon bonhomme n'est pas très en forme....) mais heureusement, deux hommes dans la trentaine s'adonnaient à passer à vélo à toutes allures, sur la même route de gravier et je leur ai crié d'arrêter en leur disant que des jeunes s'amusaient à torturer des vaches. Ils sont arrêtés et ont tout-de-suite été leur parlé et quelques minutes plus tard, les jeunes latinos sont déguerpi dans leurs bagnoles, en nous montrant leur doigt en l'air et en nous lançant des injures ... Je me suis demandée par la suite, si ces jeunes ne travaillaient pas dans une des fermes du coin.... p.s.: Il n'y avait aucune ferme, là où se trouvaient ces pauvres vaches. Je présume que ce champs appartenait à un éleveur mais que sa ferme se trouvait plus loin. Les vaches étaient donc laissées dehors, sans aucune surveillance ! ------------------------------------------------------- Plus de travailleurs étrangers dans les fermes en 2008 6 février 2008 - 06h00 Le Nouvelliste Brigitte Trahan Trois-Rivières Le Centre d'emplois agricole de l'UPA de la Mauricie estime que le nombre de travailleurs étrangers dépassera la cinquantaine cette année. L'an passé ils étaient 42. Photo: Olivier Croteau, archives. De 42 qu'ils étaient l'an dernier, ils passeraient à plus d'une cinquantaine en 2008, prévoit le responsable du service, Yves Demers. Selon les données du ministère des Affaires étrangères et Commerce international Canada, 200 travailleurs agricoles mexicains avaient initié ce service en 1974 avec des fermiers canadiens. Le succès fut tel qu'on comptait déjà 10 500 de ces travailleurs en 2002. Le nombre de travailleurs agricoles provenant du Mexique, du Guatemala et des Antilles est en progression constante. Dans la région, les travailleurs étrangers proviennent du Mexique et du Guatemala, mais pas encore des Antilles, raconte M. Demers. Non seulement leur nombre augmente chaque année, "mais cette année, nous avons eu une grosse augmentation du nombre d'employeurs qui en veulent", dit-il. Depuis 2007, en effet, il est possible de recourir à leurs services autant pour la production végétale qu'animale. "Ceux qui ont eu des travailleurs étrangers une fois en ont chaque année par la suite. Non seulement ils les apprécient, mais ils m'ont tous dit sans exception - et sans que je leur demande - que la croissance de leur entreprise est basée sur la disponibilé des travailleurs étrangers", raconte Yves Demers. Dans certaines régions plus agricoles que la Mauricie, comme la Montérégie, c'est par centaines qu'ils sont embauchés, dit-il. "Il y a certains contrats que ces entreprises-là ne signeraient pas si elles n'étaient pas certaines d'avoir des Mexicains au printemps", raconte le responsable du Centre d'emploi agricole. "Ce sont de bons travailleurs", raconte André Massicotte de la Ferme Massibec de Champlain qui embauche trois ou quatre de ces travailleurs étrangers par année. Sans eux, dit-il, les choses seraient plus difficiles. M. Massicotte raconte qu'il arrive souvent qu'en embauchant et en formant de jeunes Québécois pour les travaux agricoles, il faille "refaire le recrutement chaque matin parce que le lendemain, ils ne se représentaient pas à la job. Tu veux que la permanence reste un peu, tu ne veux pas toujours être en mode d'entraînement", plaide-t-il. Selon André Massicotte, les travailleurs étrangers "ne sont pas devenus essentiels, mais quasiment. Ils ont une bonne attitude au travail. On ne s'en passerait pas", dit-il, car ils abattent "de l'ouvrage routinier, à la chaleur", dit-il. "Ce n'est pas tant la rapidité d'exécution, mais ils sont constants et fiables", fait-il valoir. M. Massicotte explique qu'il aime mieux recruter du côté du Québec, "mais quand on voit qu'on a de la misère à faire travailler notre monde au Québec, jusqu'à quel point on doit s'arracher le coeur à donner de l'ouvrage aux Québécois quand ils n'en veulent pas?" s'interroge-t-il. Ces travailleurs étrangers ne gagnent peut être en moyenne que 8,52 $ de l'heure, mais comme le fait valoir Yves Demers, ils sont logés et n'ont pas à se payer de voiture. Quand ils transforment leurs dollars canadiens en monnaie de leur pays, leur travail au Québec se montre alors très rémunérateur, ajoute-t-il. "C'est comme s'ils gagnaient 15 $ ou 20 $ de l'heure", illustre-t-il. "L'économie maraîchère est de plus en plus basée sur l'accessibilité des travailleurs étrangers au Québec", fait remarquer M. Demers. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080206/CPNOUVELLISTE/802060739/5409/CPNOUVELLISTE
  20. Il y aura peut-être moyen de faire une petite mise à jour dans le bulletin d'hiver ma belle hop... Je présume que les chiffres sont à la hausse (?)
  21. Quelle torture cela a dû être pour ces chèvres !
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