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Tout ce qui a été posté par Animal
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Feu vert aux embryons mi-hommes mi-animaux?
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Chasse en Virginie ce mois-ci - Non mais, faut-il être assez lâche pour tuer de si petites bêtes ? N'y-a-t-il pas plus innofensif qu'une tourterelle ? Squirrel (ÉCUREUILS) Dates: Sept. 1 - Jan. 31 Hours: 30 minutes prior to sunrise to 30 minutes after sunrise Limit: Six per day Licenses required: State or county hunting license; archery or muzzleloader license if applicable. With many hunters' attention firmly affixed on big game, Virginia's squirrels don't attract nearly the pressure they got two decades ago. Yet squirrels remain a relatively popular game species for not only a small core of dedicated hunters, but for many hunters who combine squirrel hunting with deer scouting. Last year's hard mast boom should translate to great squirrel hunting across much of Virginia this season. The abundance of acorns in 2006 helped squirrels come into the breeding season in prime condition and that typically leads to high reproduction rates. Mast crops are spottier this year, which will impact the hunting. Hunters who can find good stands of bearing oaks and hickories should find plenty of squirrels. Mourning dove (TOURTERELLES TRISTES) Dates: Sept. 1-29; Oct. 5-27; Dec. 26-Jan. 12 Hunting hours: Noon to sunset for first segment; 30 minutes before sunrise to sunset for second and third segments Bag limit: 12 daily; 24 in possession. Licenses required: Genera hunting license; Harvest Information Program (HIP) registration number. A productive breeding season for mourning doves should translate to productive hunting, said Gary Costanzo, the Department of Game and Inland Fisheries biologist who oversees Virginia's dove program. Weather may have been a contributing factor. "A lot of times, dry years are productive years," Costanzo said. With dove numbers so solid, the status of dove hunting fields will likely have the biggest impact on hunters' success. Will there be many corn fields cut by opening day? Or will most fields remain uncut? "If you come to opening day and there are only a few fields cut, it can really concentrate the doves," Costanzo said. Under that scenario, hunters who have specifically prepared plots for doves could be sitting pretty in the early season. Costanzo said a number of hunters have been taking that route, with those who have planted sunflowers almost certain to enjoy fast action in the early season. Canada goose (early) (OIES DU CANADA) Dates: Sept. 1-25 Hours: 30 minutes before sunrise to 30 minutes after sunset Sept. 1-15. 30 minutes before sunrise to sunset Sept. 17-25 Limit: Five daily; 10 in possession Licenses required: Virginia hunting license, Federal waterfowl stamp, Virginia waterfowl stamp; Harvest Information Program (HIP) registration Now in its 15th year, Virginia's early Canada goose season has proven and effective tool for managing a species that was well on its way to becoming a serious nuisance. Virginia resident goose population was estimated to be more than 260,000 birds in 1998 and 1999, but now sits at about 150,000. As would be expected, hunting success has fallen. In 2000, the kill hit almost 60,000 birds. That included 13,400 in September and a whopping 44,000 during the late season. Last year's kill was about 27,000, with 11,000 geese taken in September. The drop in the population prompted the game department to resist some opportunities to further liberalize hunting regulations this fall. Federal authorities had authorized states to allow unplugged shotguns, use electronic calls and allow hunting until 30 minutes past sunset. But Virginia only adopted the rule to allow hunting past sunset and will allow that for only part of the season. "The one thing that hunters really wanted was the 30 minutes after sunset allowance," said biologist Gary Costanzo, who oversees the state's waterfowl program. "They don't want to hit them too hard, because they are seeing fewer geese in some cases." The reduced population means five-bird limits are no longer a slam-dunk for hunters jump shooting geese on rivers such as the New, or for those who set up decoy spreads in agricultural fields and on big lakes. Still, hunters who spend some time scouting over the next week should be able to enjoy decent hunting come Sept. 1. http://www.roanoke.com/outdoors/wb/129232
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24-08-2007-Ottawa persiste et signe : le Canada ne respectera pas ses engagements en matière de réduction de gaz à effet de serre (GES). Poussé par l'opposition, qui avait adopté fin juin à la Chambre des communes une "loi de mise en oeuvre du protocole de Kyoto", le gouvernement de Stephen Harper (conservateur, minoritaire) a choisi l'affrontement en publiant discrètement en début de semaine un "plan sur les changements climatiques". Celui-ci est en fait une copie quasiment conforme d'un plan dévoilé en avril par le ministre de l'environnement, qui faisait fi des engagements canadiens envers Kyoto et avait déjà été décrié. http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3244,36-947217@51-853716,0.html
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Hécatombe de dromadaires en Arabie saoudite JEAN-MICHEL BADER. Publié le 01 septembre 2007 Actualisé le 01 septembre 2007 : 21h05 Les animaux ont des signes clinique d'agitation, de perte de contrôle de leurs mouvements, et meurent en quelques heures. Les animaux ont des signes clinique d'agitation, de perte de contrôle de leurs mouvements, et meurent en quelques heures. AFP / ISSOUF SANOGO . Plus de 2 000 camélidés sont morts brutalement en Arabie saoudite depuis le 10 août dernier. Des analyses sont effectuées dans des laboratoires français pour expliquer cette mystérieuse épidémie . LE PRINCE gouverneur de Riyad, Salman Bin Abdul Aziz, a malheureusement été obligé d'annuler le concours de beauté des chameaux, qui devait avoir lieu au mois de septembre. Mille cinq cents camélidés étaient attendus avec impatience pour ce grand rendez-vous, dans ce pays qui a élevé cet animal à un niveau symbolique et économique inexistant ailleurs dans le monde. C'est que, depuis le 10 août 2007, une très mystérieuse épidémie décime les camélidés : c'est devenu une « véritable hécatombe », selon l'AFP. Les bêtes meurent par dizaines quotidiennement. Les animaux ont des signes cliniques d'agitation, de perte de contrôle de leurs mouvements, et meurent en quelques heures. À l'autopsie, leur foie porte à sa surface des points noirs, et des taches jaunâtres sont retrouvées sur la face interne de la peau. Rien que le 28 août, selon des statistiques officieuses, citées par le quotidien saoudien Al Watan, 60 dromadaires, 400 moutons et 7 vaches sont mortes. Un journaliste d'Al Watan nous a confirmé la mort, depuis le début de la crise, de plus de 2 400 bêtes, et un confrère du quotidien Al-Iqtissadiya (« L'Économie ») affirme que plusieurs membres de la famille royale ont donné pour compensation leurs propres animaux aux propriétaires touchés. Le roi Abdallah Ben Abdel Aziz al-Saoud suit de près l'affaire. Les autorités saoudiennes sont de plus en plus critiquées par les propriétaires de dromadaires, qui dénoncent la lenteur de leur réaction. Elles ont envoyé cette semaine des échantillons congelés de cadavres de dromadaires à l'école vétérinaire de Lyon, et des échantillons du foin de son (n'fala) avec lequel avaient été nourris les animaux, au laboratoire Myco2B de Toulouse. Il s'agit de déterminer rapidement la nature et la cause de cette épizootie. Un champignon microscopique Première piste suivie par le ministère de l'Agriculture saoudien : un empoisonnement alimentaire d'origine inconnue. Le royaume saoudien, qui comptait en 2005 environ 862 000 camélidés, y a organisé de véritables étables laitières où l'on trait les femelles allaitantes, tout comme des vaches PrimHolstein en Europe ! Les animaux doivent recevoir des compléments alimentaires, d'où l'apport de foin. Celui-ci a pu être stocké dans des conditions douteuses, et s'y serait développé un champignon microscopique. Il en existe des milliers d'espèces, capables de synthétiser des centaines de mycotoxines protéiques. Le responsable du programme FAO en Arabie a demandé son aide à la France qui dispose du seul laboratoire privé, à Toulouse, qui garde encore la compétence perdue par les grands laboratoires publics universitaires dans ce secteur. Une hypothèse inquiétante Sophie Bailly nous confirme « avoir reçu les échantillons et déclenché une batterie de tests, dont les résultats seront connus la semaine prochaine ». Il s'agit de mettre en culture sur des milieux spécifiques, des dilutions des échantillons de l'aliment, pour y trouver la moisissure suspecte. Certaines analyses se font en routine, d'autres sont presque expérimentales. Si l'on trouve un agent microbiologique, on pourra alors vaporiser dans un spectromètre de masse le produit de cette culture, pour y détecter une toxine dangereuse (il en existe des centaines). Un argument essentiel en faveur de l'empoisonnement, est avancé par Abdallah Oihabi, responsable du programme de la FAO local : « Nous avons pris le foin, et donné à manger à d'autres camélidés, ils ont péri comme les autres avec les mêmes symptômes. » La seconde hypothèse, plus inquiétante, est avancée par Bernard Faye (Cirad, Montpellier) : « Ce n'est pas la première fois que l'on voit une mortalité brutale importante dans cette région. En 1996, on avait vu en Éthiopie une épidémie mortelle dans cette espèce, due à un virus qui touche d'habitude les chèvres, et qui n'était jamais passée chez le chameau. » Il s'agit de la peste des petits ruminants, qui semble franchir la barrière des espèces. Les ovins et les bovins morts en Arabie pourraient aussi être concernés, et les contacts est-africains de Bernard Faye lui ont fait part d'une mortalité importante et brutale de chameaux au nord du Kenya. Les échantillons envoyés à l'École vétérinaire de Lyon seront analysés dans cette perspective. Pour ne rien simplifier, la peste des petits ruminants s'accompagne volontiers d'une surinfection par un streptocoque qui infecte généralement le cheval, mais qui, chez les ovins, peut provoquer une gourme généralisée qui tue les animaux atteints. Pour compliquer encore la situation, le royaume saoudien doit aussi faire face à une menace d'épidémie de fièvre aphteuse. http://www.lefigaro.fr/sciences/20070901.FIG000001152_hecatombe_de_dromadaires_en_arabie_saoudite.html
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5 septembre 2007-Accident de chasse mortel en Gaspésie Des accusations bientôt portées Le chasseur à l'arc, qui a tué accidentellement l'un de ses compagnons, comparaîtra le 10 septembre prochain au palais de justice de Sainte-Anne-des-Monts. http://www.hebdosquebecor.com/riv/09022007/riv_09022007_A1.shtml
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CANADA, «leader» de l’abattage de chevaux !
Animal a posté un sujet dans Pétitions-Sondages-Suggestions
(traduction sommaire et rapide par animal A. Animo) Source: http://www.defendhorsescanada.org/ 4 septembre 2007- Le Canada est en train devenir le «leader» de l’abattage de chevaux En 2006, aux États-Unis, deux des trois derniers abattoirs de chevaux ont fermé leurs portes, car au Texas, une loi a été adoptée afin de protéger les chevaux. En Illinois, un seul abattoir est toujours en fonction et sur appel seulement. L'abattage de chevaux aux États-Unis sera bientôt de l’histoire ancienne, puisqu’il est prévu qu’une loi interdisant l’abattage de chevaux entrera bientôt en vigueur. Lorsque cette loi sera en fonction, non seulement sera-t-il illégal d’abattre des chevaux aux États-Unis, il sera également interdit de les expédier vers des abattoirs canadiens et mexicains. Il y a un an, au Canada, il existait 3 abattoirs de chevaux, soit 2 au Québec et 1 en Alberta. Aujourd’hui ce nombre a doublé. Il existe maintenant 2 abattoirs de chevaux au Québec, 2 en Alberta, 1 en Colombie-Britannique et 1 en Saskatchewan. Lorsque les chevaux sont expédiés pour l’abattage, ils sont transportés sur de longues distances, entassés dans des remorques normalement utilisées pour le transport des bovins. Des étalons, des poulains, des pouliches enceintes et leurs petits, des chevaux boiteux et malades ne sont ni abreuvés ni nourris pendant des jours. Ils sont parfois conduits à des milliers de kilomètres à travers le Canada ou aussi loin qu’au Texas. Des régistres de transport démontrent qu’au moins un ou plusieurs chevaux meurent avant même leur arrivée à destination. Pour ceux qui survivent, c’est l’enfer qui les attend à l’abattoir. Ceux qui sont encore en mesure de marcher sont poussés à l’intérieur à l’aide d’aiguillons électriques. Ils peuvent entendre et sentir l’odeur de la mort. Lors de cette étape finale de leur vie, tremblants, ils sont à ce point effrayés qu’ils ne peuvent contenir leur vessie ni leurs intestins. La Coalition canadienne de défense des chevaux (CHDC) demande à tous les Canadiens de s'associer à son engagement qui est celui d’aider à protéger les chevaux contre ce destin effroyable. Ensemble, nous devons faire pression auprès de nos politiciens, de même qu’aux ministres de l'agriculture, afin qu’une loi vienne enfin mettre un terme à cette pratique barbare. Un scrutin d'Ipsos-Reid conduit en 2004 indique que presque 2/3 des Canadiens (64%) s'opposent à l'abattage des chevaux pour la consommation humaine. Maintenant que le Canada est en train de devenir la "solution" à l’interdiction imminente de l’abattage de chevaux aux États-Unis, nous devons augmenter nos efforts afin de protéger ces milliers de chevaux qui mourront ici même au Canada. En 2006, plus de 50 000 chevaux ont été abattus au Canada. C'est presque 1000 chaque semaine. Avec l’augmentation du nombre de chevaux expédiés au Canada et des nouveaux abattoirs en fonction, ce nombre ne cessera d’augmenter. Ces chevaux ne sont pas tous des chevaux irrécupérables ou qui ne pourraient pas être de bons compagnons. Ils ne sont pas tous vieux, malades ou boiteux. Plusieurs sont vendus aux enchères à des acheteurs qui travaillent dans l’entreprise de la viande. Les abattoirs ne pratiquent pas d’euthanasie «en douceur». Ces abattoirs profitent uniquement à l’industrie qui fournit de la viande chevaline à ses clients d’outre-mer. Aucun cheval n’est à l’abri de l’abattoir. S.V.P.Écrivez un mot à votre député et aux Ministres de l’Agriculture du Québec et du Canada Honorable Gerry Ritz, Ministre de l’Agriculture et Agroalimentaire Canada http://www.gerryritzmp.com/contact.html et Laurent Lessard, Ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec http://www.mapaq.gouv.qc.ca/Fr/nousjoindre/formulairequestions.htm ----------------------------------------------------- Canada Becoming Horse Slaughter Leader How Can You Help Stop It? September 4, 2007 There is a disturbing trend developing in Canada . We are becoming the country of choice for domestic and foreign owned horse slaughter businesses to continue killing North American horses for human consumption overseas. In 2006, two of the last three existing US horse slaughter plants closed, as a Texas law protecting horses was upheld. In Illinois , the last remaining plant remains in operation only on appeal. Horse slaughter is close to becoming history in the US , as it is anticipated that the American Horse Slaughter Prevention Act will soon become law. When this law is passed, not only will horses be protected from slaughter in the US , they will also be prevented from shipping to Canada and Mexico for the same purpose. A year ago, there were 3 plants in Canada – 2 in Quebec and one in Alberta . Today, this number has doubled – there now exists 2 in Quebec, 2 in Alberta, one in BC and one in Saskatchewan. When horses are shipped to slaughter, they are transported over very long distances, cramped in trailers built for cattle. Stallions, young colts and fillies, pregnant mares and geldings, along with sick and lame horses are not provided with food or water for days at a time. They are driven thousands of miles sometimes across Canada or from as far away as Texas . Transportation records show that normally one or more horses are found dead on arrival. For those that do survive the last journey of their lives, what awaits them in the slaughterhouse is an even greater hell. Those that can still walk are herded by electric prods inside, where they hear, see and smell the death around them. In these final steps of their lives, visibly shaking and frightened to the point of losing control of their bladder and bowels, they experience the final betrayal that we as humans could possibly inflict on these loyal and trusting creatures. The Canadian Horse Defense Coalition (CHDC) asks Canadians to join in their pledge to help protect our equines from this grisly fate. Together, we must put pressure on our Members of Parliament, as well as the Minister of Agriculture, so legislation can be passed that will put an end to this barbaric practice. An Ipsos-Reid poll conducted in 2004 reveals that nearly 2/3 of Canadians (64%) oppose the slaughter of horses for human consumption. Now that Canada is becoming the “solution” for the imminent closing of this business in the US , we must increase our efforts to protect the thousands of horses that will die this most cruel death here in Canada . In 2006, over 50,000 horses were slaughtered in Canada . That is nearly 1,000 every week. With the increased number of horses shipping to Canada , and the new slaughterhouses in operation, these numbers will continue to rise. These horses are not all unwanted and untrainable. They are not all old, sick and lame. Many of these horses are picked up at auction by kill buyers. Slaughterhouses do not provide a humane euthanasia service -- they are strictly profit driven by an industry that supplies horsemeat to overseas consumers. Quite literally, no horse is safe from slaughter. How can you help? By contacting your MP and Minister of Agriculture, you are making your voice heard. By helping educate yourself and fellow Canadians about this hidden industry, you are helping to reveal it and keep it above the radar. On the CHDC website at www.defendhorsescanada.org -
(traduction sommaire et rapide par animal A. Animo) Source: http://www.defendhorsescanada.org/ 4 septembre 2007- Le Canada est en train devenir le «leader» de l’abattage de chevaux En 2006, aux États-Unis, deux des trois derniers abattoirs de chevaux ont fermé leurs portes, car au Texas, une loi a été adoptée afin de protéger les chevaux. En Illinois, un seul abattoir est toujours en fonction et sur appel seulement. L'abattage de chevaux aux États-Unis sera bientôt de l’histoire ancienne, puisqu’il est prévu qu’une loi interdisant l’abattage de chevaux entrera bientôt en vigueur. Lorsque cette loi sera en fonction, non seulement sera-t-il illégal d’abattre des chevaux aux États-Unis, il sera également interdit de les expédier vers des abattoirs canadiens et mexicains. Il y a un an, au Canada, il existait 3 abattoirs de chevaux, soit 2 au Québec et 1 en Alberta. Aujourd’hui ce nombre a doublé. Il existe maintenant 2 abattoirs de chevaux au Québec, 2 en Alberta, 1 en Colombie-Britannique et 1 en Saskatchewan. Lorsque les chevaux sont expédiés pour l’abattage, ils sont transportés sur de longues distances, entassés dans des remorques normalement utilisées pour le transport des bovins. Des étalons, des poulains, des pouliches enceintes et leurs petits, des chevaux boiteux et malades ne sont ni abreuvés ni nourris pendant des jours. Ils sont parfois conduits à des milliers de kilomètres à travers le Canada ou aussi loin qu’au Texas. Des régistres de transport démontrent qu’au moins un ou plusieurs chevaux meurent avant même leur arrivée à destination. Pour ceux qui survivent, c’est l’enfer qui les attend à l’abattoir. Ceux qui sont encore en mesure de marcher sont poussés à l’intérieur à l’aide d’aiguillons électriques. Ils peuvent entendre et sentir l’odeur de la mort. Lors de cette étape finale de leur vie, tremblants, ils sont à ce point effrayés qu’ils ne peuvent contenir leur vessie ni leurs intestins. La Coalition canadienne de défense des chevaux (CHDC) demande à tous les Canadiens de s'associer à son engagement qui est celui d’aider à protéger les chevaux contre ce destin effroyable. Ensemble, nous devons faire pression auprès de nos politiciens, de même qu’aux ministres de l'agriculture, afin qu’une loi vienne enfin mettre un terme à cette pratique barbare. Un scrutin d'Ipsos-Reid conduit en 2004 indique que presque 2/3 des Canadiens (64%) s'opposent à l'abattage des chevaux pour la consommation humaine. Maintenant que le Canada est en train de devenir la "solution" à l’interdiction imminente de l’abattage de chevaux aux États-Unis, nous devons augmenter nos efforts afin de protéger ces milliers de chevaux qui mourront ici même au Canada. En 2006, plus de 50 000 chevaux ont été abattus au Canada. C'est presque 1000 chaque semaine. Avec l’augmentation du nombre de chevaux expédiés au Canada et des nouveaux abattoirs en fonction, ce nombre ne cessera d’augmenter. Ces chevaux ne sont pas tous des chevaux irrécupérables ou qui ne pourraient pas être de bons compagnons. Ils ne sont pas tous vieux, malades ou boiteux. Plusieurs sont vendus aux enchères à des acheteurs qui travaillent dans l’entreprise de la viande. Les abattoirs ne pratiquent pas d’euthanasie «en douceur». Ces abattoirs profitent uniquement à l’industrie qui fournit de la viande chevaline à ses clients d’outre-mer. Aucun cheval n’est à l’abri de l’abattoir. S,V.P.Écrivez un mot à votre député et aux Ministres de l’Agriculture du Québec et du Canada Honorable Gerry Ritz, Ministre de l’Agriculture et Agroalimentaire Canada http://www.gerryritzmp.com/contact.html et Laurent Lessard, Ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec http://www.mapaq.gouv.qc.ca/Fr/nousjoindre/formulairequestions.htm ----------------------------------------------------- Canada Becoming Horse Slaughter Leader How Can You Help Stop It? September 4, 2007 There is a disturbing trend developing in Canada . We are becoming the country of choice for domestic and foreign owned horse slaughter businesses to continue killing North American horses for human consumption overseas. In 2006, two of the last three existing US horse slaughter plants closed, as a Texas law protecting horses was upheld. In Illinois , the last remaining plant remains in operation only on appeal. Horse slaughter is close to becoming history in the US , as it is anticipated that the American Horse Slaughter Prevention Act will soon become law. When this law is passed, not only will horses be protected from slaughter in the US , they will also be prevented from shipping to Canada and Mexico for the same purpose. A year ago, there were 3 plants in Canada – 2 in Quebec and one in Alberta . Today, this number has doubled – there now exists 2 in Quebec, 2 in Alberta, one in BC and one in Saskatchewan. When horses are shipped to slaughter, they are transported over very long distances, cramped in trailers built for cattle. Stallions, young colts and fillies, pregnant mares and geldings, along with sick and lame horses are not provided with food or water for days at a time. They are driven thousands of miles sometimes across Canada or from as far away as Texas . Transportation records show that normally one or more horses are found dead on arrival. For those that do survive the last journey of their lives, what awaits them in the slaughterhouse is an even greater hell. Those that can still walk are herded by electric prods inside, where they hear, see and smell the death around them. In these final steps of their lives, visibly shaking and frightened to the point of losing control of their bladder and bowels, they experience the final betrayal that we as humans could possibly inflict on these loyal and trusting creatures. The Canadian Horse Defense Coalition (CHDC) asks Canadians to join in their pledge to help protect our equines from this grisly fate. Together, we must put pressure on our Members of Parliament, as well as the Minister of Agriculture, so legislation can be passed that will put an end to this barbaric practice. An Ipsos-Reid poll conducted in 2004 reveals that nearly 2/3 of Canadians (64%) oppose the slaughter of horses for human consumption. Now that Canada is becoming the “solution” for the imminent closing of this business in the US , we must increase our efforts to protect the thousands of horses that will die this most cruel death here in Canada . In 2006, over 50,000 horses were slaughtered in Canada . That is nearly 1,000 every week. With the increased number of horses shipping to Canada , and the new slaughterhouses in operation, these numbers will continue to rise. These horses are not all unwanted and untrainable. They are not all old, sick and lame. Many of these horses are picked up at auction by kill buyers. Slaughterhouses do not provide a humane euthanasia service -- they are strictly profit driven by an industry that supplies horsemeat to overseas consumers. Quite literally, no horse is safe from slaughter. How can you help? By contacting your MP and Minister of Agriculture, you are making your voice heard. By helping educate yourself and fellow Canadians about this hidden industry, you are helping to reveal it and keep it above the radar. On the CHDC website at www.defendhorsescanada.org
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Feu vert aux embryons mi-hommes mi-animaux?
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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05 septembre 2007 Le propriétaire d'un pitbull mordu par son animal et frappé par un ami devra faire face à des accusations de possession de cocaïne cachée dans son... anus. ... Dans son désir d'éloigner la bête, un des amis de l'homme a saisi une masse, mais a atteint son compagnon plutôt que le pitbull. Celui qui est maintenant accusé dans cette affaire a subi d'importantes lacérations au visage à la suite de l'attaque de son pitbull et des blessures à la tête, résultat du coup de masse asséné accidentellement par son copain. L'accusé et propriétaire du chien a déjà écopé d'une amende de 200 $ pour avoir eu un pitbull alors que ce genre d'animal est interdit sur le territoire de la MRC des Collines. Pour ce qui est du chien, il a été euthanasié. http://www.cyberpresse.ca/article/20070905/CPINSOLITE/709050340/-1/CPINSOLITE
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Des centaines de perchaudes mortes reposent sur les berges du lac Waterloo depuis quelques jours. Une situation qui accroît l'inquiétude des riverains déjà troublés par la présence d'algues bleues. Cynthia St-Hilaire La Voix de l'Est Waterloo http://www.cyberpresse.ca/article/20070904/CPACTUALITES/709040665/5264/CPACTUALITES
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Oméga-3 pour végétariens Mathieu Perreault La Presse Bonne nouvelle pour les végétariens, des biologistes anglais viennent de découvrir que des algues microscopiques contiennent des oméga-3, qui se retrouvent surtout chez les poissons gras. Le phytoplancton Crypthecodinium cohnii en contient beaucoup, mais est malheureusement trop cher à cultiver pour être mis en marché. Des tests chez des volontaires qui en ont consommé pendant trois mois montrent qu'ils ont les mêmes effets de diminution de la tension artérielle que les autres sources d'oméga-3. http://www.cyberpresse.ca/article/20070904/CPACTUEL/70904029/6685/CPACTUEL
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COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate PHOQUE, LA CONTROVERSE Exposition à l’Écomusée du fier monde du 5 au 23 septembre 2007 Montréal, mardi le 28 août 2007.- L’Écomusée du fier monde est heureux d’accueillir en ses murs l’exposition photographique PHOQUE, LA CONTROVERSE qui porte sur divers aspects de la chasse au phoque et présente les photographies de Raoul Jomphe, réalisateur de Phoques – Le film, accompagnées des textes de Nicolas Landry. Les divers clichés ont été captés durant le tournage du documentaire sur la chasse au phoque qui a fait les manchettes au printemps dernier. L’exposition débute dès le mercredi 5 septembre et se poursuit jusqu’au 23 septembre. « Durant les dernières décennies, les chasseurs de phoques ont dû subir les attaques des animalistes qui venaient les intimider jusque sur la banquise. Ces groupes radicaux se sont enrichis en utilisant des images souvent biaisées qui ne montraient qu’un seul côté de la médaille. La propagande des groupes animalistes a fait mal à la chasse au phoque. Cette exposition photographique veut rendre justice à nos chasseurs. Nous souhaitons rétablir les faits en ce qui concerne ces hommes qui ont dû trimer fort toute leur vie pour nourrir leur famille. » -Raoul Jomphe et Nicolas Landry, auteurs de PHOQUE, LA CONTROVERSE « L’objectif vise à montrer la réalité de la vie sauvage sur la banquise sans manipuler l’émotion du spectateur ni susciter son anthropomorphisme. (…) Cette exposition apporte une certaine poésie à un univers faussement dépeint comme « barbare » par les animalistes, et montre la réalité crue d’une nature sauvage trop longtemps idéalisée par ces mêmes activistes. » -Sénateur Céline Hervieux-Payette, Leader de l’opposition au Sénat, invitée d’honneur Horaire du musée (à partir du 5 septembre) : Tarifs : Mercredi, de 11 h 00 à 20 h 00 Adulte, 6 $ Jeudi et vendredi, de 9 h 30 à 16 h 00 Étudiant, âge d’or, enfant, Accès Montréal, 4 $ Samedi et dimanche, de 10 h 30 à 17 h 00 Famille (2 adultes, 2 enfants), 12 $ Enfant de 6 ans et moins, gratuit Horaire et tarif réguliers du musée; à l’exception du 19 et 20 septembre : musée fermé Renseignements : 514 528-8444 / www.ecomusee.qc.ca L’Écomusée du fier monde est situé au 2050, rue Amherst, angle Ontario à Montréal; à sept minutes à pied du métro Berri-UQÀM. Des visites guidées du musée, des expositions et du quartier sont offertes aux groupes de 15 personnes et plus. Nos installations sont accessibles aux personnes à mobilité restreinte. - 30 - Renseignements : Marie-Josée Lemaire-Caplette - 514 528-8444 - communicationsecomusee@hotmail.com Source : Écomusée du fier monde BRÈVES BIOGRAPHIES DES AUTEURS Exposition Phoque, la controverse du 5 au 23 septembre 2007 Raoul Jomphe Nord-Côtier d’origine, Raoul s’inspire de l’authenticité des gens qu’il rencontre et de leurs récits. Le respect de la nature l’habite, mais ce qui le préoccupe davantage c’est la place de l’homme dans son environnement. Comme cinéaste, il a documenté la chasse chez les Innus Montagnais, les Inuits du Nunavik, du Nunavut et du Groenland. Il a aussi filmé les Indiens de Bella-Colla, les Haida Gwaii sur la Côte Ouest et les Quechua de l’Équateur. Il y a 30 ans, par la mer, il est venu pour la première fois aux Îles de la Madeleine, lieu de ses racines acadiennes. Aujourd’hui, sa passion pour l’image et l’estime qu’il voue aux peuples insulaires et côtiers le portent à révéler la face cachée d’une véritable supercherie : « Les chasseurs de phoques sont des barbares sanguinaires.» Nicolas Landry Originaire des Îles de la Madeleine, Nicolas a bourlingué sur le continent et dans les vieux pays. Il a pratiqué tour à tour les métiers de guide touristique, marin-pêcheur, journaliste, photographe, conférencier, serveur, barman, enseignant... Tout au long de ses périples, sa curiosité l’a poussé à explorer de nouveaux coins de pays et surtout à y rencontrer les gens qui y vivent. De-ci, de-là, sa plume venait remplir les pages de son carnet de route; le plus souvent d’une poésie qui faisait état de ses rencontres avec les autres et… avec lui-même.
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As U.S. slaughterhouses shut down, domestic abattoirs are courting demand for the delicacy abroad and controversy at home KATHERINE HARDING From Tuesday's Globe and Mail September 4, 2007 at 4:22 AM EDT NEAR NEUDORF, SASK. - At the end of a remote gravel road in southern Saskatchewan's Qu'Appelle Valley is the next target in a growing movement to rid North America of its horse slaughterhouses. Horse advocates in both Canada and the United States are outraged that this vast green valley, lush and rolling, is now home to this country's newest federally licensed horse abattoir: Natural Valley Farms Inc. They are also concerned that even more Canadian companies may start slaughtering and processing horses in a bid to satisfy hungry overseas markets that crave horsemeat, a pricey delicacy in many countries, since the industry is headed for extinction in the United States. "This is all happening under the radar. Ask most people, and they have no idea that horses are even slaughtered in Canada for meat," said Shelley Grainger, director of the Canadian Horse Defense Coalition's eastern region. Enlarge Image Wild horses are rounded up in July in Eureka, Nev. Two of the three remaining horse slaughterhouses in the U.S. shut down this year. The industry is worth $60-million annually in Canada. (Justin Sullivan/Getty Images) Her group wants the practice outlawed in Canada, arguing it is inhumane and repugnant because horses are commonly regarded more as pets and sporting animals than livestock. The coalition is also calling for a national ban on the shipment of live horses to other countries for human consumption. Currently, almost all the horsemeat processed in Canada by the six licensed horse abattoirs is exported to Europe and Asia, although there is a small domestic market for the product in Quebec. According to Statistics Canada, the top importers of Canadian horsemeat last year were France, Japan, Mexico and Switzerland. The industry is worth an estimated $60-million annually in Canada. Steven Rei, an American anti-horse-slaughter lobbyist and founder of the National Equine Rescue Coalition, said Natural Valley Farms' decision to begin slaughtering horses this summer is proof that Canada is already benefiting from the shutdown earlier this year of two of the three remaining horse slaughterhouses in the United States. (In 2006, about 88,000 horses in the U.S. were killed and processed into horsemeat.) The last operating slaughterhouse in the U.S., located in DeKalb, Ill., is struggling to remain open while it fights a new state law aimed at putting it out of business for good. It has been shipping its meat to U.S. zoos for feed, and overseas for human consumption, for about two decades. The horsemeat contract Natural Valley Farms recently signed is with Velda Group, the Belgium-based parent company of the business that owns the troubled Illinois slaughterhouse. Ken Piller, president of Natural Valley Farms, was extremely reluctant to talk about the controversy surrounding the meat plant's move to begin slaughtering horses at its facility south of Neudorf, Sask., a farming community of about 300 located 1½ hours east of Regina. The meat is processed at a plant in nearby Wolseley, Sask. It took several unreturned phone calls and an unannounced visit to the company's Neudorf plant before he agreed to speak. "We saw an opportunity here," Mr. Piller explained in an interview. "I really don't want to talk about the politics involved." According to Mr. Piller, the producer-owned business opened in 2005 and has been struggling ever since. The meat plant, which has tried to set itself apart from competitors by only producing hormone- and antibiotic-free beef, received money from the Saskatchewan government to help get started. Mr. Piller, whose family has been farming and ranching in the Qu'Appelle Valley for several generations, said that to keep the company's two plants operational and its 150 employees busy, side ventures such as processing horse meat are necessary. Even as late as April, it had to lay off some workers because of a lack of work. Mr. Piller understands that slaughtering horses for meat is an emotionally charged issue for many, but added: "Nobody in Saskatchewan cares. Everybody here raises horses ... Everybody understands at the end of the day there has to be a cull." Mr. Piller said about 95 per cent of the horses slaughtered at Natural Valley Farms are from Canadian suppliers, and that many are "retirees" - often older, unwanted animals, including former racehorses. Despite the collapse of the U.S. horse-slaughter industry, he doesn't expect more Canadian companies to rush in to fill the void. Mr. Piller said it's a difficult business to get into and that to ship product to Europe requires European Union certification, which Natural Valley Farms already had. If anything, he expects Mexico will benefit more than Canada from the closing of American horse abattoirs. People living near Natural Valley Farms' slaughterhouse are generally supportive of the company's move to produce horsemeat for foreign markets. "The plant has been good for this community. It has brought money and jobs here," said Glen Bender, who works at Cooper's General Store & the Chicken Coop Cafe in Neudorf. Not all locals are happy with what's happening at the plant. Mr. Piller's uncle, Raymond Piller, a 70-year-old farmer, shook his head and said: "Those poor, poor horses. But I know that they have to do what they have to do to keep that place running. They've had a hard go of it." Ms. Grainger said that while only a small percentage of horses in Canada are sent to the slaughterhouse (about 50,000 annually), there is no need for any of them to end up there. "The fact is that my horse is my pet, just like my dog and my cat. We don't slaughter our pets for people to consume," she said. "Horses are a part of our culture in a way that traditional livestock aren't." Ms. Grainger admits the anti-horse-slaughter lobby in Canada isn't as strong or organized as its counterpart in the U.S., but she expects it to gain steam as the "hidden industry" is exposed to more Canadians. ***** Horse d'oeuvres Which provinces have licensed slaughterhouses for horses? Quebec (two), Alberta (two), British Columbia and Saskatchewan. How are horses slaughtered? The process is similar to how cattle are slaughtered: The animal is usually stunned with a captive bolt pistol that drives a spike into its brain and renders it immediately unconscious. Ken Piller, president of Natural Valley Farms, a Saskatchewan-based meat plant that slaughters horses, said compared with other animals the horse "is probably the easiest and cleanest animal to process." What's the history of horsemeat? Humans have eaten horsemeat since the beginning of time. However, as with pork and beef, some religions have either discouraged or banned the consumption of it over the centuries. For example, in 732, Pope Gregory III issued an edict to Roman Catholics that forbade them to eat it. Today, the meat is generally considered to be taboo in most English-speaking countries such as Canada, the United States and Australia. However, many European and Asian diners still regularly enjoy the delicacy. China is the leading producer of horsemeat. What does it taste like? The high-protein, low-fat meat is often described as tasting slightly sweet and similar to beef. How is it usually prepared? Similar to other meats, horsemeat can be prepared in numerous ways: smoked, salted, grilled, even eaten raw. Katherine Harding A foreign delicacy Almost all the horsemeat processed in Canada by the six licensed horse abattiors is exported. CANADIAN EQUINE* MEAT EXPORTS, 2007 to June Quantity, KGM (Kilogram-meter) Value, $ Japan 2,492,889 $10,637,632 France 2,344,079 $12,097,347 Switzerland 947,337 $9,247,247 Mexico 904,337 $1,386,200 Italy 370,510 $1,725,454 Czech Republic 96,952 $151,925 Finland 48,354 $90,595 South Africa 23,618 $45,881 United States 18,606 $33,601 Belgium 15,300 $165,586 Swaziland 12,897 $117,204 Jamaica 7,664 $17,504 *includes horse, ass, mule and hinny (horse/donkey cross) WHERE THEY ARE Westwold, B.C. Lacombe, Alta. Fort Macleod, Alta. Neudorf, Sask. Massueville, Que. St.-Andre-Avellin, Que. SOURCES: STATISTICS CANADA, AGRICULTURE AND AGRI-FOOD CANADA http://www.theglobeandmail.com:80/servlet/story/RTGAM.20070904.whorse04/BNStory/\ National/
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Trop de chats? Mangez-les!
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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31 août 2007- Louis-Gilles Francoeur La bataille pour les territoires de chasse s'intensifie sur tous les fronts au Québec, une tendance malheureusement lourde en Amérique du Nord. http://www.ledevoir.com/2007/08/31/155122.html Lire aussi le commentaire de Gabriel Montreuil http://www.ledevoir.com/2007/08/31/commentaires/0708310828942.html
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J'ai décidé de poster le communiqué sur la liste ethiquanimal... Qui sait, s'il n'y aura pas d'autres personnes qui écriront au musée... ! COMMUNIQUÉ Pour diffusion immédiate PHOQUE, LA CONTROVERSE Exposition à l’Écomusée du fier monde du 5 au 23 septembre 2007 Montréal, mardi le 28 août 2007.- L’Écomusée du fier monde est heureux d’accueillir en ses murs l’exposition photographique PHOQUE, LA CONTROVERSE qui porte sur divers aspects de la chasse au phoque et présente les photographies de Raoul Jomphe, réalisateur de Phoques – Le film, accompagnées des textes de Nicolas Landry. Les divers clichés ont été captés durant le tournage du documentaire sur la chasse au phoque qui a fait les manchettes au printemps dernier. L’exposition débute dès le mercredi 5 septembre et se poursuit jusqu’au 23 septembre. « Durant les dernières décennies, les chasseurs de phoques ont dû subir les attaques des animalistes qui venaient les intimider jusque sur la banquise. Ces groupes radicaux se sont enrichis en utilisant des images souvent biaisées qui ne montraient qu’un seul côté de la médaille. La propagande des groupes animalistes a fait mal à la chasse au phoque. Cette exposition photographique veut rendre justice à nos chasseurs. Nous souhaitons rétablir les faits en ce qui concerne ces hommes qui ont dû trimer fort toute leur vie pour nourrir leur famille. » -Raoul Jomphe et Nicolas Landry, auteurs de PHOQUE, LA CONTROVERSE « L’objectif vise à montrer la réalité de la vie sauvage sur la banquise sans manipuler l’émotion du spectateur ni susciter son anthropomorphisme. (…) Cette exposition apporte une certaine poésie à un univers faussement dépeint comme « barbare » par les animalistes, et montre la réalité crue d’une nature sauvage trop longtemps idéalisée par ces mêmes activistes. » -Sénateur Céline Hervieux-Payette, [color=black]Leader de l’opposition au Sénat, invitée d’honneur[/color] Horaire du musée (à partir du 5 septembre) : Tarifs : Mercredi, de 11 h 00 à 20 h 00 Adulte, 6 $ Jeudi et vendredi, de 9 h 30 à 16 h 00 Étudiant, âge d’or, enfant, Accès Montréal, 4 $ Samedi et dimanche, de 10 h 30 à 17 h 00 Famille (2 adultes, 2 enfants), 12 $ Enfant de 6 ans et moins, gratuit Horaire et tarif réguliers du musée; à l’exception du 19 et 20 septembre : musée fermé Renseignements : 514 528-8444 / www.ecomusee.qc.ca L’Écomusée du fier monde est situé au 2050, rue Amherst, angle Ontario à Montréal; à sept minutes à pied du métro Berri-UQÀM. Des visites guidées du musée, des expositions et du quartier sont offertes aux groupes de 15 personnes et plus. Nos installations sont accessibles aux personnes à mobilité restreinte. - 30 - Renseignements : Marie-Josée Lemaire-Caplette - 514 528-8444 - communicationsecomusee@hotmail.com Source : Écomusée du fier monde BRÈVES BIOGRAPHIES DES AUTEURS Exposition Phoque, la controverse du 5 au 23 septembre 2007 Raoul Jomphe Nord-Côtier d’origine, Raoul s’inspire de l’authenticité des gens qu’il rencontre et de leurs récits. Le respect de la nature l’habite, mais ce qui le préoccupe davantage c’est la place de l’homme dans son environnement. Comme cinéaste, il a documenté la chasse chez les Innus Montagnais, les Inuits du Nunavik, du Nunavut et du Groenland. Il a aussi filmé les Indiens de Bella-Colla, les Haida Gwaii sur la Côte Ouest et les Quechua de l’Équateur. Il y a 30 ans, par la mer, il est venu pour la première fois aux Îles de la Madeleine, lieu de ses racines acadiennes. Aujourd’hui, sa passion pour l’image et l’estime qu’il voue aux peuples insulaires et côtiers le portent à révéler la face cachée d’une véritable supercherie : « Les chasseurs de phoques sont des barbares sanguinaires.» Nicolas Landry Originaire des Îles de la Madeleine, Nicolas a bourlingué sur le continent et dans les vieux pays. Il a pratiqué tour à tour les métiers de guide touristique, marin-pêcheur, journaliste, photographe, conférencier, serveur, barman, enseignant... Tout au long de ses périples, sa curiosité l’a poussé à explorer de nouveaux coins de pays et surtout à y rencontrer les gens qui y vivent. De-ci, de-là, sa plume venait remplir les pages de son carnet de route; le plus souvent d’une poésie qui faisait état de ses rencontres avec les autres et… avec lui-même.
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... Les spécialistes attribuent cette importante diminution aux hivers 2005 et 2006, qui, malgré les efforts de nourrissage, se sont avérés particulièrement meurtriers. Aussi, les arcs de chasse sont devenus beaucoup plus performants et l'arbalète a gagné en popularité. « Au cours des dernières années, on a pratiquement doublé la récolte de biches et de faons dans la zone 2 », soutient le biologiste. Le ministère doit donc réviser son plan de gestion, deux ans avant son échéance. Ainsi dès cette année, seulement quelques centaines de chasseurs, gagnants d'un tirage au sort effectué en mai, seront autorisés à chasser des femelles et des faons. Cette mesure devrait permettre de rétablir le cheptel en diminuant de moitié le nombre de biches abattues. ... http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/09/03/004-cerfs_cheptel_BSL.asp
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4 septembre 2007 Des fermiers de la région ontarienne du Témiscamingue s'inquiètent de la présence grandissante d'ours dans leurs champs. La fédération des agriculteurs de l'endroit rapporte qu'entre 15 % et 30 % des récoltes auraient été piétinées ou mangées par des ours. Le président de l'organisme, Yves Gauthier, explique qu'en plus de voir leurs profits diminuer, les fermiers craignent pour leur sécurité. M. Gauthier encourage la population à informer le ministère des Richesses naturelles de l'Ontario des incidents dont ils sont témoins http://www.radio-canada.ca/regions/Ontario/2007/09/04/004-ours-Temiscamingue_n.shtml
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Australie- Le pays est pris d'assaut par des millions de chats communs, qui sont retournés à l'état sauvage. Cuisiner ces félins pourrait fournir une solution de lutte contre leur prolifération Sébastien Repond - 03/09/2007 Le Matin Bleu Les chats sont un danger important pour la faune locale car responsables, selon les biologistes, de la disparition de nombreuses espèces de marsupiaux, de lézards, d'oiseaux et d'araignées. C'est peut-être une des raisons pour lesquelles un plat de chat mariné a eu un succès particulier lors d'un concours de recettes de cuisine lancé récemment à Alice Springs. http://www.lematin.ch/pages/home/actu/monde/actu_monde__1?contenu=294077
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Le lundi 03 septembre 2007 Un incendie rase une ferme à Lennox Marianne Dandurand Sherbrooke Un violent incendie a complètement détruit la ferme Fairview de l’arrondissement Lennoxville lundi après-midi. La plupart des animaux ont été évacués assez rapidement, mais quelques porcs et quelques vaches, une dizaine d’animaux en tout, ont péri dans les flammes. Une résidence située à proximité a été endommagée par l’eau, la fumée et un début d’incendie dans les combles rapidement maîtrisé. La ferme laitière située sur la rue Queen, près du commerce de motos l’Ami Denis, appartient à la famille de Brian Herring depuis 7 générations. Il était trop tôt hier pour évaluer les dégâts et statuer sur l’origine de l’incendie. Toutefois, le bâtiment principal de la ferme est une perte totale. « Nous avons reçu l’appel à 15 h 14, indique le directeur par intérim du Service des incendies de Sherbrooke, Gaétan Drouin, accordant une entrevue dans une épaisse fumée qui recouvrait le secteur. À notre arrivée, la ferme était déjà complètement embrasée. Nous avons évacué des cochons et des vaches, et nous avons protégé les bâtiments environnants pour éviter la propagation des flammes. » M. Drouin a souligné que la présence de foin dans la grange rendait l’incendie très difficile à éteindre. Texte complet dans La Tribune mardi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070903/CPTRIBUNE/70903104/5206/CPACTUALITES
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Le mardi 04 septembre 2007 Martine Bouliane La Presse Collaboration spéciale Pour faciliter la vie de ceux qui veulent y pêcher, le parc de la Rivière-des-Mille-Îles offre depuis cet été un forfait clés en main, qui comprend tout le matériel nécessaire pour pratiquer cette activité en famille. Avec ses 101 îles réparties sur plus d'une quarantaine de kilomètres, la rivière des Mille-Îles a non seulement l'avantage d'être près de Montréal, mais elle regorge aussi de poissons. «Ça a toujours été un lieu privilégié pour la pêche pour cette raison, mais aussi parce qu'on y trouve une bonne variété d'espèces. On en compte une soixantaine, dont la perchaude, l'achigan et le maskinongé», remarque Isabelle Mathieu, conseillère en communications au parc de Laval. Pas étonnant donc que certains visiteurs demandaient à louer, sur place, le nécessaire pour pêcher, en plus d'une embarcation. Pour accommoder cette clientèle, le parc, qui fête ses 20 ans cet été, a créé un forfait clés en main. En plus d'inclure une chaloupe avec un moteur, celui-ci comprend des cannes, des appâts, un coffre, une glacière et ce qu'il faut pour l'éviscération des prises. «Les pêcheurs reçoivent aussi une carte qui leur indique à quel endroit ils peuvent trouver quel type de poissons», explique Mme Mathieu. Une halte des pêcheurs, avec lavabo et planche à découper, donne la chance de nettoyer ses prises à l'extérieur de la chaloupe. Il est bien sûr possible de manger le poisson pêché ici. Le coût pour une demi-journée de 4 heures, qu'il s'agisse du bloc de 9 h à 13 h, ou de 14 h à 18 h, est de 69 $ taxes incluses. Pour la journée complète, d'une durée de huit heures, il en coûte 99 $. Un maximum de trois adultes ou deux adultes et deux enfants sont inclus dans le forfait, pour lequel il faut absolument réserver. Comme le parc ne vend pas de permis de pêche, il faut se le procurer avant de s'y rendre. C'est avant tout une clientèle familiale qui est visée par ce forfait, idéal pour l'initiation de nouveaux pêcheurs. «C'est l'occasion de voir si on aime pêcher avant de tout acheter. L'avantage avec la rivière des Mille-Îles, c'est que les gens n'ont pas à faire des heures de voiture pour y arriver», estime Mme Mathieu. Les 15 et 16 septembre, une activité est offerte en collaboration avec la Fondation de la faune du Québec pour les enfants qui souhaitent s'initier à la pêche. En plus de lancer leur ligne à partir de la berge, les jeunes qui participeront à Pêche en herbe feront une balade guidée en canot rabaska avec un animateur qui leur parlera des poissons. Ils repartiront en outre avec une canne et un permis de pêche valide jusqu'à leur majorité. Le forfait de pêche est offert jusqu'au 8 octobre, date de fermeture du parc. D'ici au mois de septembre, on peut prendre part à l'une des nombreuses activités guidées en soirée, qu'il s'agisse du kayak ou de la croisière au crépuscule, Sur la piste des insectes ou l'Épopée du castor. http://www.cyberpresse.ca/article/20070904/CPVOYAGES/708250733/1016/CPVOYAGES