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Nepal Airlines sacrifie deux chèvres
Animal a répondu à un(e) sujet de Caro18 dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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L’expérimentation animale en augmentation
Animal a répondu à un(e) sujet de Caro18 dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Published August 31, 2007 Two Men Accused of Smuggling 7,000 Turtles HONG KONG -- Hong Kong police have arrested two men accused of trying to smuggle more than 7,000 live pet turtles to mainland China, the government said Friday. Marine police intercepted the two men Wednesday as they were loading about 300 cartons onto speedboats, a government statement said. The cartons were filled with clear plastic containers containing the tiny dark green turtles, each smaller than a human palm, a photograph published in the Ming Pao Daily News showed. The turtles were seized along with counterfeit computer video discs. Together the turtles and discs were worth a total of $820,000, the statement said. Most of the animals were snapping turtles (les mêmes que celles que j'ai vues lors d'une randonnée en vélo), a species found in Canada and South America. Razorback musk turtles, native to the U.S., were also found. None of the smuggled species were endangered, agricultural department spokesman Donald Lam said. The animals were worth between $21 to $192 each. There is a growing market in mainland China for pet turtles, the Ming Pao paper quoted marine police inspector Lai Chi-hung as saying. Police detained the two men but others in their group escaped in speedboats, it said. http://www.enn.com/top_stories/article/22536
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Le lundi 03 septembre 2007 Les bélugas du St-Laurent de plus en plus menacés par la pollution Guillaume Lavalée Agence France-Presse Dans l'estuaire du St-Laurent Sur le majestueux fleuve St-Laurent au Canada, des bélugas sortent la tête de l'eau et poussent des sons aigus. Surnommés les «canaris des mers» en raison de ce bruit curieux, ces cétacés sont de plus en plus menacés par la pollution. «Là-bas, c'est Peabody», lance Michel Moisan du Groupe de recherche et d'éducation sur les mammifères marins (GREMM), une organisation locale, en montrant du doigt un béluga égaré. Il tient la barre du «Bleuvet», un bateau d'une dizaine de mètres qui sillonne le St-Laurent à l'embouchure du Saguenay, au large de Tadoussac à 500 kilomètres à l'est de Montréal. Muni de jumelles, il cible un troupeau de bélugas, s'en approche, prend des photos, note sa localisation et tire une courte fléchette, réalisant une rare biopsie sur le gras d'un animal, autant d'informations qui servent à étayer les habitudes du mammifère marin, menacé par la pollution industrielle. La majorité des bélugas vivent dans l'Arctique, mais une minuscule population méridionale, isolée et génétiquement séparée, réside en permanence dans le St-Laurent. «C'est une population en péril... La raison première de son déclin était la chasse excessive, mais celle-ci a pris fin en 1979. (FAUX, LES INUITS CHASSENT ENCORE LES BÉLUGAS) Depuis, même s'il n'y a plus de prélèvement dans le St-Laurent, que ce soit par la chasse ou les prédateurs naturels, la population ne montre aucun signe de rétablissement», constate Véronik de la Chenelière, biologiste au GREMM. Leur nombre, entre 1.000 et 1.200, n'a pas bougé depuis le début des années 1980, s'inquiète Véronique Lesage, chercheur au ministère canadien des Pêches. En plus d'interdire la chasse, Ottawa a réglementé au début des années 1980 l'usage de certains produits comme le DDT et les PBC, retrouvés en grande concentration dans les carcasses de bélugas échoués sur les rives du fleuve. Ces mesures devaient permettre de revitaliser cette population à un rythme annuel de 3%. Mais 25 ans plus tard, le nombre de bélugas n'a pas varié. Et l'utilisation massive d'autres produits chimiques a renforcé la contamination des petites baleines blanches. «Actuellement, le béluga est probablement dans la période où il a accumulé la plus grande charge de contaminants persistants», affirme Michel Lebeuf, spécialiste de l'Institut de recherche Maurice-Lamontagne. Son équipe, qui a analysé des carcasses de bélugas sur quinze ans, estime que les niveaux de produits chimiques réglementés dans les années 1980 «ont un peu diminué» dans les graisses du cétacé, mais demeurent «encore très importants». Leur maintien s'explique en partie par l'âge des bélugas qui était jusqu'à l'an dernier mal calculé: les scientifiques supposaient que deux couches de croissance sur une dent correspondaient à une année de vie du mammifère marin, alors qu'elles représentent en fait deux années, selon une étude récente parue dans la Revue canadienne de zoologie. L'espérance de vie du «canari des mers» est aussitôt passée de 35 à 70 ans: les bélugas nageant aujourd'hui dans le St-Laurent ont donc connu la contamination intense des années 1970. «À ces produits viennent maintenant s'ajouter d'autres composés persistants de plus en plus utilisés», comme les organo-bromés, ajoutés aux plastiques des ordinateurs, et les organo-fluorés, prisés pour leur propriété anti-adhésive, explique M. Lebeuf. Ce cocktail de contaminants n'épargne pas les rares nouveaux-nés qui en héritent via le placenta de leur mère. «Avant, les jeunes bélugas arrivaient dans un environnement contaminé, mais il n'y avait pas ce legs de leur mère. Aujourd'hui, les bélugas qui se reproduisent transmettent une contamination importante, en plus d'être dans un environnement contaminé par la présence de nouveaux composés», dit M. Lebeuf. Le taux de cancer avoisine les 25% chez les bélugas mâles du St-Laurent.http://www.cyberpresse.ca/article/20070903/CPENVIRONNEMENT/70903021/6108/CPENVIRONNEMENT
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31 août 2007- Louiseville-Kentuky Pour faire la promotion de son nouveau menu spécial à $2.99, la compagnie KFC (Poulet Frit Kentucky) a trouvé une façon originale d'attirer des clients. Par l'odeur !!! Juste avant l'heure du «lunch», des charriots remplis de poulet frit Kentucky passeront dans tous les bureaux des villes de Washington, Chicago et Dallas http://www.kentuckyfriedcruelty.com/ -------------------------- 31 Aug 2007- Louisville, Ky.-based Kentucky Fried Chicken's $2.99 Deals was recently introduced. The marketing campaign is focussed around the idea that the smell of KFC in American offices will lure customers into the chain. To carry out the "scent-focused" campaign, KFC will place its new chicken meal on mail carts that travel to offices right before lunch. The intention is that workers will be inspired by the aroma and visit the chicken chain during their lunchtime. The pilot programme is launching in offices in Washington, Chicago and Dallas. "We couldn't think of a better way to showcase the value of our new $2.99 Deal than to inject the mouth-watering scent of Kentucky Fried Chicken into the corridors of corporate America," said James O'Reilly, chief marketing officer for KFC.
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Diminution constante du nombre de pécheurs (France)
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Fallait lâcher des pandas dans les pyrénées...
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et voici la lettre de la Hervieux-Payette à ses chers con citoyens !!! Ottawa, le mercredi 22 août 2007 Chère concitoyenne, Cher concitoyen, La guerre du phoque est désormais lancée sur plusieurs fronts et je vous invite à être les témoins d’une nouvelle bataille. Dans un contexte de guerre à l’image, dont sont victimes les chasseurs Canadiens du phoque, Monsieur Raoul Jomphe, le réalisateur du film « Phoques, le film », est déterminé à utiliser l’image avec justice pour défendre les chasseurs et le mode de vie des Canadiens de la côte Est. Ainsi est née « Phoque, la controverse », une exposition de photographies de Raoul Jomphe. L’objectif vise à montrer la réalité de la vie sauvage sur la banquise sans manipuler l’émotion du spectateur ni susciter son anthropomorphisme. Cette exposition apporte une certaine poésie à un univers faussement dépeint comme «barbare » par les animalistes, et montre la réalité crue d’une nature sauvage trop longtemps idéalisée par ces mêmes activistes. Je souligne aussi le beau travail de Nicolas Landry pour ses textes inspirés qui accompagnent les photographies et remercie les commanditaires de l’évènement notamment le Conseil canadien de la fourrure et l’Institut de la fourrure du Canada – ainsi que notre hôte, le Directeur de l’Écomusée du fier monde, Monsieur René Binette, pour leur générosité. Aussi, en tant qu’invitée d’honneur, je vous convie au vernissage de l’exposition qui aura lieu le 4 septembre 2007 à 17h00, à l’Écomusée du fier monde à Montréal, 2050, rue Amherst angle Ontario (à 7 minutes du métro Berri-UQÀM). Monsieur Michel Carbonneau, auteur madelinot de « Le Banc de l’Orphelin », nous honorer a sa présence. Merci de réserver auprès de l’Écomusée du fier monde au 514-528-8444. L’exposition se prolongera jusqu’au 23 septembre. Je vous prie d’agréer, chère concitoyenne, cher concitoyen, mes sincères salutations. L’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p. Leader de l’opposition au Sénat
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PHOQUE, LA CONTROVERSE Exposition à l’Écomusée du fier monde du 5 au 23 septembre 2007 Montréal, mardi le 28 août 2007.- L’Écomusée du fier monde est heureux d’accueillir en ses murs l’exposition photographique PHOQUE, LA CONTROVERSE qui porte sur divers aspects de la chasse au phoque et présente les photographies de Raoul Jomphe, réalisateur de Phoques – Le film, accompagnées des textes de Nicolas Landry. Les divers clichés ont été captés durant le tournage du documentaire sur la chasse au phoque qui a fait les manchettes au printemps dernier. L’exposition débute dès le mercredi 5 septembre et se poursuit jusqu’au 23 septembre. « Durant les dernières décennies, les chasseurs de phoques ont dû subir les attaques des animalistes qui venaient les intimider jusque sur la banquise. Ces groupes radicaux se sont enrichis en utilisant des images souvent biaisées qui ne montraient qu’un seul côté de la médaille. La propagande des groupes animalistes a fait mal à la chasse au phoque. Cette exposition photographique veut rendre justice à nos chasseurs. Nous souhaitons rétablir les faits en ce qui concerne ces hommes qui ont dû trimer fort toute leur vie pour nourrir leur famille. » -Raoul Jomphe et Nicolas Landry, auteurs de PHOQUE, LA CONTROVERSE « L’objectif vise à montrer la réalité de la vie sauvage sur la banquise sans manipuler l’émotion du spectateur ni susciter son anthropomorphisme. (…) Cette exposition apporte une certaine poésie à un univers faussement dépeint comme « barbare » par les animalistes, et montre la réalité crue d’une nature sauvage trop longtemps idéalisée par ces mêmes activistes. » -Sénateur Céline Hervieux-Payette, [color=black]Leader de l’opposition au Sénat, invitée d’honneur[/color] Horaire du musée (à partir du 5 septembre) : Tarifs : Mercredi, de 11 h 00 à 20 h 00 Adulte, 6 $ Jeudi et vendredi, de 9 h 30 à 16 h 00 Étudiant, âge d’or, enfant, Accès Montréal, 4 $ Samedi et dimanche, de 10 h 30 à 17 h 00 Famille (2 adultes, 2 enfants), 12 $ Enfant de 6 ans et moins, gratuit Horaire et tarif réguliers du musée; à l’exception du 19 et 20 septembre : musée fermé Renseignements : 514 528-8444 / www.ecomusee.qc.ca L’Écomusée du fier monde est situé au 2050, rue Amherst, angle Ontario à Montréal; à sept minutes à pied du métro Berri-UQÀM. Des visites guidées du musée, des expositions et du quartier sont offertes aux groupes de 15 personnes et plus. Nos installations sont accessibles aux personnes à mobilité restreinte. - 30 - Renseignements : Marie-Josée Lemaire-Caplette - 514 528-8444 - communicationsecomusee@hotmail.com Source : Écomusée du fier monde BRÈVES BIOGRAPHIES DES AUTEURS Exposition Phoque, la controverse du 5 au 23 septembre 2007 Raoul Jomphe Nord-Côtier d’origine, Raoul s’inspire de l’authenticité des gens qu’il rencontre et de leurs récits. Le respect de la nature l’habite, mais ce qui le préoccupe davantage c’est la place de l’homme dans son environnement. Comme cinéaste, il a documenté la chasse chez les Innus Montagnais, les Inuits du Nunavik, du Nunavut et du Groenland. Il a aussi filmé les Indiens de Bella-Colla, les Haida Gwaii sur la Côte Ouest et les Quechua de l’Équateur. Il y a 30 ans, par la mer, il est venu pour la première fois aux Îles de la Madeleine, lieu de ses racines acadiennes. Aujourd’hui, sa passion pour l’image et l’estime qu’il voue aux peuples insulaires et côtiers le portent à révéler la face cachée d’une véritable supercherie : « Les chasseurs de phoques sont des barbares sanguinaires.» Nicolas Landry Originaire des Îles de la Madeleine, Nicolas a bourlingué sur le continent et dans les vieux pays. Il a pratiqué tour à tour les métiers de guide touristique, marin-pêcheur, journaliste, photographe, conférencier, serveur, barman, enseignant... Tout au long de ses périples, sa curiosité l’a poussé à explorer de nouveaux coins de pays et surtout à y rencontrer les gens qui y vivent. De-ci, de-là, sa plume venait remplir les pages de son carnet de route; le plus souvent d’une poésie qui faisait état de ses rencontres avec les autres et… avec lui-même.
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Braconnage de l'ortolan dans les Landes...
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2 SEPT. 2007-PARIS - La secrétaire d'Etat à l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet a annoncé dimanche le renforcement des contrôles pour empêcher la chasse au bruant ortolan, une espèce d'oiseau protégée. ... "Suite aux incidents qui ont été constatés ce jour dans le département des Landes", Nathalie Kosciusko-Morizet annonce dimanche dans un communiqué que les contrôles sont renforcés "dès aujourd'hui et pour les semaines à venir". http://fr.news.yahoo.com/ap/20070902/tfr-landes-ortolan-braconnage-kosciusko-56633fe_1.html -
1 septembre 2007-Des chercheurs de l'Université de Montréal affirment que de très grandes quantités d'antibiotiques sont rejetées dans le fleuve Saint-Laurent par l'usine d'épuration des eaux de la métropole québécoise. Publiée dans l'édition de septembre de la revue Journal of Environmental Monitoring, l'enquête révèle que le taux d'antibiotiques mesuré à l'entrée de l'usine est pratiquement identique à celui évalué à la sortie, soit entre 30 et 300 parties par milliard. ...... Les antibiotiques retrouvés à l'usine d'épuration proviennent des égouts de Montréal. Ils se retrouvent dans les eaux usées à la suite de la consommation personnelle des citoyens, qui les rejettent en urinant. La Ville de Montréal est au courant du problème depuis de nombreuses années, mais les solutions sont dispendieuses. Selon M. Sauvé, les élus municipaux veulent s'assurer que les traitements à l'ozone seront efficaces et ne causeront pas d'autres problèmes avant d'investir des dizaines de millions de dollars. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/09/01/002-antibiotiques-eaux-st-laurent.shtml
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Cet incendie a eu lieu dans un chalet de chasse. On peut donc présumer que certaines des victimes étaient des chasseurs... ---------------- Incendie au nord de La Tuque Les cinq victimes sont de la même famille Presse Canadienne (PC) 02/09/2007 14h06 - Mise à jour 02/09/2007 17h00 Un incendie a causé la mort de cinq personnes dans la nuit de dimanche, dans un chalet de la ZEC = zone d'exploitation contrôlée) Kiskissink, au nord de La Tuque, en Haute-Mauricie. Un homme gravement brûlé a réussi à quitter le chalet, situé au lac Lescarbot, pour alerter la SQ, vers 5h dimanche matin. Il a d traverser un lac en bateau pour ensuite effectuer un trajet de près de 70km en voiture afin de trouver des secours. Si la Sûreté du Québec refuse de confirmer l'identité des victimes pour l'instant, elle a émis quelques détails: trois hommes et deux femmes, dont le fils et la fille du survivant, ainsi que la fille de sa conjointe, âgés de 13 à 50 ans ont perdu la vie. Les deux autres victimes sont des amis de la famille qui prenaient part à cette excursion. En arrivant sur les lieux, les services d'urgence ont constaté que le chalet avait été rasé par les flammes et n'ont découvert que des ossements. Pompiers et policiers ont mis du temps à se rendre sur les lieux, puisque l'endroit est très isolé et difficile d'accès. Le seul survivant, gravement blessé et en état de choc, a été transféré au Centre des grands brûlés à Montréal. http://www.canoe.com/infos/societe/archives/2007/09/20070902-140611.html
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«C'est une bête sauvage, mais pas méchante» 29 août 2007 - 06h00 La Tribune SAINT-CAMILLE Les éleveurs de sangliers François Bélisle et Lise Chartier. Imacom, Claude Poulin "Un sanglier, c'est plus petit qu'un porc. C'est une bête sauvage, farouche, mais pas méchante, sauf pour la femelle qui vient d'avoir ses petits ou pour le mâle reproducteur en compagnie de ses femelles en chaleur (...) Comme viande, ça ne goûte pas le porc; ça va plus vers le boeuf. C'est une viande rouge, avec très peu de gras, moins de gras que le porc ou la volaille." Les éleveurs de sangliers François Bélisle et sa conjointe Lise Chartier en ont long à raconter sur leurs animaux, et le public aura l'occasion de se familiariser avec cette bête rare à leur ferme de Saint-Camille, le 9 septembre. "Nos clients au marché de la Mante du carré, à Danville, le samedi, et au Marché de la gare, de Sherbrooke, le vendredi et le samedi, nous posent un tas de questions sur les sangliers, explique M. Bélisle. Je leur montre un album de photos pour leur faire voir comment on élève ça, mais là, ils vont voir comment les animaux sont gardés." La ferme Bélisle compte actuellement 55 sangliers, en plus de deux mâles géniteurs et six femelles reproductrices qui peuvent vivre une quinzaine d'années. "Je ne vis pas de ça pour l'instant, précise François Bélisle. Ma première occupation est quand même la ferme laitière (Holstein), dont je suis propriétaire avec mes parents. Pour vivre des sangliers, il nous faudrait environ 40 femelles reproductrices et avoir ma propre salle de découpe. Il faudrait quadrupler la production. C'est beau, mais il faut aussi trouver les marchés." M. Bélisle s'est procuré ses premiers bébés (qu'on appelle des marcassins) en 1990. Aujourd'hui, l'élevage est réparti dans 12 enclos (avec chacun une cabane) pour diverses étapes de la vie des bêtes. "Cette année, la production totale pour l'abattoir va se situer autour de 25 sangliers, en plus d'une dizaine en méchoui", signale Mme Chartier. "Avec un sanglier de 100 livres, qui donne 50 livres de viande, on peut faire un méchoui recevant 65 à 70 personnes", note M. Bélisle. Certains sangliers finissent donc en méchoui bien avant d'avoir atteint leur grosseur optimale. "Ils sont bons à tout âge". Après une gestation de 144 jours, les jeunes naissent par portées moyennes de six ou sept bébés (elles varient de deux à neuf individus). "À l'état sauvage, les femelles ont une portée par année, au printemps, fait observer l'éleveur. Je m'arrange pour avoir deux portées par année. Une bonne femelle donne deux portées de huit par année." La bête au museau allongé et plutôt racée est plus petite qu'un porc et elle est plus longue à élever. "Un porc est prêt pour l'abattoir en six mois", précise M. Bélisle. C'est ce qui explique le prix plus élevé du sanglier. Le rôti, pris dans les fesses et les épaules, se vend 18,95 $ le kilo. "Nos produits sont congelés sous vide. Ici à la ferme, j'ai aussi toutes les coupes: des rôtis, des jambons, des cubes, des côtelettes, du filet mignon, des carrés (quatre côtelettes non coupées), de la viande hachée et deux différentes saucisses ", signale-t-il. "On éduque les gens à apprivoiser cette viande-là. On les renseigne sur les méthodes de cuisson. On fournit des recettes, des trucs", note Mme Chartier. Les sangliers de Saint-Camille sont nourris notamment de criblure de maïs et de minéraux auxquels on ajoute de l'orge, mais ils apprécient aussi les surplus du potager et le foin d'ensilage. Ils n'ont pas d'hormones ni d'antibiotiques, fait remarquer l'éleveur, mais ils sont vermifugés deux fois par année, sinon leur croissance serait compromise. La ferme se trouve au 144 du rang 2 à Saint-Camille. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20070902/LAINFORMER/708290735/5167/CPACTUALITES
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Interdiction des attractions de foires avec animaux à Anvers
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... L’Université de Montréal acquiert chaque année quelque 15 000 animaux de laboratoire. Plus de 99 p. 100 sont des rongeurs, mais comme dans la plupart des grands centres de recherche universitaire, des chats et de rares primates sont toujours nécessaires pour des expériences en neurophysiologie. Des porcs et des chiens servent à des essais en chirurgie expérimentale. ... L’enrichissement de l’environnement des animaux est aussi devenu une priorité. Les souris, qui étaient autrefois isolées dans des cages individuelles en acier inoxydable, se retrouvent aujourd’hui dans des cages de plastique et elles y sont regroupées par quatre ou cinq. « La souris est un animal grégaire, explique la vétérinaire Laniel. Elle aime se nicher contre ses semblables. Dans les cages, on met également des bandes de tissu que les souris aiment déchiqueter pour se faire des nids. » Aux lapins, on donne des bouteilles avec des billes à l’intérieur. « Ils aiment le bruit », explique la Dre Laniel. Les cages des rats sont équipées avec des tuyaux de plomberie dans lesquels ils aiment se réfugier. À l’Université Laval, on a adopté les mêmes mesures. « Les animaliers jouent à la balle avec les chiens, précise Dre Bissonnette. On donne des toutous aux chats et des pneus en suspension aux cochons. » http://www.acfas.ca/decouvrir/enligne/enjeux/236_animaux.htm