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Michaële Jean, Invitée d'honneur au «Taste of the Arctic»
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Amérique du Nord
Last updated Monday, Jan. 10, 2011 8:06AM EST There won't be blood, but Michaëlle Jean is scheduled to reprise her role as one of the world's most famous seal eaters. The former governor-general will be the guest of honour and keynote speaker at a "Taste of the Arctic" fundraiser for Inuit cultural programs in Ottawa next month. http://www.theglobeandmail.com/news/politics/michalle-jean-reprises-her-controversial-arctic-meat-and-greet/article1863387/ -
LE CANADA EXPORTERA SON PHOQUE EN CHINE
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans ANIMAUX - Amérique du Nord
J'ai bien l'impression que tout comme les phoques du Groenland, les phoques Gris seront eux aussi abattus et exportés en Chine...... http://www.thecoast.ca/RealityBites/archives/2010/02/04/seal-slaughter-on-sable-island http://www.capebretonpost.com/Natural-resources/2010-02-02/article-767713/Hay-Island-seal-hunt-set-to-open/1 ... Nova Scotia grey seal populations have boomed as groundfish stocks have recovered somewhat, to the point that Fisheries and Oceans Canada scientists have proposed a costly cull. So sealers say a hunt is not just good business but necessary to preserve fish stocks. Animal welfare activists, who traditionally are suspicious of federal scientists reporting increases in seal populations, say that shrinking ice cover threatens Nova Scotia’s grey seals and the harp seals in the Gulf of St. Lawrence, where sealers from Quebec and Newfoundland and Labrador traditionally hunt every spring. The hunt in Nova Scotia is much smaller and takes place onshore, on Hay Island, in a nature reserve near Scatarie Island, off the eastern end of Cape Breton. Markets for pelts and meat have been so weak that there hasn’t been much of a hunt in the last two years. If the Chinese want to buy, said Courtney, Nova Scotia sealers can fill the demand. "We have grey seals pretty well all year round, right from Yarmouth up to Quebec shore, so we can harvest seals 12 months a year. And if the market is there, we can harvest to bring this population down." http://thechronicleherald.ca/Front/1221734.html -
Des cliniques de vaccination contre l'hépatite A dans l'île de Vancouver Mise à jour le vendredi 14 janvier 2011 à 17 h 22 Les autorités sanitaires de l'île de Vancouver offrent le vaccin contre l'hépatite A à tous les clients qui ont acheté et consommé du fromage ou des viandes froides du Walmart de Duncan entre le 30 décembre 2010 et le 10 janvier 2011. Un des employés du comptoir de viandes et fromages du Walmart a été atteint de l'hépatite A et pourrait avoir contaminé la nourriture avec laquelle il a été en contact. Des cliniques d'immunisation contre l'hépatite A auront lieu dans l'île de Vancouver du 14 au 17 janvier. ... http://www.radio-canada.ca/regions/colombie-britannique/2011/01/14/002-sante-hepatite-duncan.shtml
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Georges, le gentil géant Enfin un article élogieux pour Georges Georges, le gentil géant paul.rivard - 15 janvier 2011 J’ai eu le plaisir de réaliser une longue entrevue avec l’ex-joueur des Canadiens, Georges Laraque, dont voici le compte-rendu (voir l’article). Je dis : «le plaisir» car Georges est un rêve pour tout reporter. Ce gars-là est comme un livre ouvert. Il est d’une franchise déconcertante, une qualité pour certains, un défaut pour d’autres qui lui reprochent de trop parler. Et il y en a pour dire que Georges en fait trop, tous secteurs confondus. Soit. C’est évident qu’à s’engager dans toutes ces causes ou à accepter plusieurs ententes commerciales, il y a des risques. Mais pour ce qui est de ses engagements à caractère humanitaire, on devrait plutôt l’admirer d’utiliser sa notoriété (et son argent) dans le but d’attirer l’attention sur des causes et à les faire avancer. De plus riches que lui sont plus radins ou ne font rien. Intelligent, Georges sait très bien qu’il ne pourra jamais plaire à tout le monde. Il mord dans la vie à belles (et à pleines) dents. Je n’ai rien inventé avec ça, mais je me plais à le surnommer le «Gentil Géant». Ce qui donnerait «GGG» ou «Triple G», si on lui cherchait un logo. Le gars est sympathique, honnête et généreux. Imagé et controversé. Et il donne de la bonne copie. Je vous le disais… un rêve pour tout reporter. En terminant, notez qu’en plus de se faire un nom, Laraque s’est fait un prénom. Car lorsqu’on parle de Georges, tout le monde sait de qui il s’agit. Et ça… ce n’est pas banal. http://blogues.canoe.ca/paulrivard/general/georges-le-gentil-geant/
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Les Inuits ont besoin de la chasse aux phoques commerciale
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Amérique du Nord
Les Inuits ont besoin de la chasse aux phoques commerciale Publié par le sénateur Charlie Watt le 18 mars 2009 Objet : Article paru dans Embassy, le 4 mars, « WTO Retaliation Threatened as EU Seal Ban Draws Closer » Je vous écris aujourd’hui à propos de la chasse aux phoques. Il faut préciser qu’au Canada, il existe deux principaux types de chasse aux phoques : la chasse traditionnelle inuite (dite « de subsistance ») et la chasse commerciale. En tant que sénateur et chasseur inuit, je crains pour la santé économique de mon peuple. Contrairement à la croyance populaire, lorsqu’un Inuit chasse le phoque, il utilise tout l’animal. La pelleterie sert pour les vêtements, la viande, pour la nourriture, et l’huile est très précieuse pour nous. La chasse aux phoques est l’une des principales sources de nourriture. Dans le Nord, la nourriture préemballée est un luxe que peu peuvent se payer. Nous devons donc trouver notre nourriture sur la terre et dans la mer. Nous ne percevons pas les phoques de la même façon que les gens du Sud. Certains groupes aiment les dépeindre comme de jolies petites créatures enjouées aux yeux bleus, mais, pour nous, ils sont les chiens sauvages de la mer et des concurrents directs pour la nourriture. Les phoques, comme les humains, chassent les poissons. Dans les régions où les phoques sont nombreux, notre capacité à nous nourrir est grandement diminuée. Les chasseurs inuits sont peu nombreux. Nous attrapons les phoques et les arrangeons sur place. La viande est placée dans le congélateur communautaire et sert à nourrir les plus démunis. C’est la façon de faire traditionnelle. Comme Inuits canadiens, nous pensons également à l’équilibre de l’écosystème : si la population de phoques est hors de contrôle, il risque de ne plus rester de nourriture pour nous. Voilà la véritable menace. Depuis l’introduction des quotas sur le phoque du Groenland, la population de phoques a triplé. Du point de vue économique, la chasse aux phoques commerciale est notre principale industrie et l’unique source de revenus de nombreux Inuits. Pour combler le volume qu’il nous faut, nous dépendons d’autres chasseurs non Inuits. Nous dépendons également des Terre-Neuviens, qui attrapent les phoques du Groenland lors de la migration. Il faut rappeler que la chasse aux phoques est une activité saisonnière. Nous apprécions les tentatives de la Communauté européenne pour exclure les Inuits de leur interdiction de la chasse de subsistance. Néanmoins, ce n’est pas le problème. Nous nous inquiétons principalement pour la chasse commerciale. Nous vendons nos produits à l’étranger, sur la scène internationale. Nous dépendons de la vente des pelleteries et des produits dérivés. Cette industrie est essentielle à notre survie économique. Nous sommes manifestement en faveur de la chasse commerciale au Canada et nous continuons d’appuyer nos confrères de Terre-Neuve et du Bas-Saint-Laurent. Nakurmiik, L’honorable Charlie Watt, sénateur http://www.forumdessenateursliberaux.ca/Dans-le-Senat/Publication/3669_Les-Inuits-ont-besoin-de-la-chasse-aux-phoques-commerciale -
Chasse au phoque - Réflexions, toujours d'actualité
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Amérique du Nord
Deux ans plus tard, on peut toujours se faire ces mêmes réflexions.... Lundi 30 mars 2009 1 30 /03 /2009 05:03 Réflexions sur la chasse au phoque Les médias au Canada ont peu de sympathie pour les défenseurs des animaux, qu’ils appellent les animalistes. On les accuse d’anthropomorphisme, de sensiblerie et d’utiliser les images pour persuader l’opinion. Quel outrage comparé à l’exploitation des phoques que beaucoup trouvent cruelle et barbare ! Heureusement, beaucoup savent que les émotions et la sensibilité sont le propre et le meilleur de l’homme. De plus, sur la question de la sensibilité, je ne doute pas que certains animaux soient capables de sentiments. Pourquoi vouloir le nier ? C’est simple : parce que cela facilite l’exploitation des animaux et nous excuse d’agir avec cruauté. Les Européens se consternent de ce vaste massacre de mammifères marins. Ils devraient s’occuper de choses plus sérieuses, sans doute, comme le suggèrent certains politiques au Canada, comme la misère humaine, la seule misère qui compte. Vraiment ? Les Européen(ne)s, qui sont en passe de bannir l’importation des dérivés du phoque, voient la cruauté quand elle se présente à eux, mais pas les journalistes ni les politiques au Canada, à quelques exceptions près. De plus, certains commentaires pro-chasse sur les blogs ou dans la presse, font peine à lire et traduisent toute la bêtise et la mauvaise foi à l’état pur, ou simplement le lavage de cerveau. En effet, c’est faire insulte à l’intelligence des Européens que de les faire paraître comme manipulés par « les puissants groupes de défense des animaux. » C’est vrai, je ne crois pas être dupe, PETA et la Société humaine des Etats-Unis ont leurs torts d’amasser des millions et de faire trop de compromis avec les chasseurs et les exploiteurs. Ils devraient être plus radicaux qu’ils ne le sont, étant donné l’échelle du massacre. La vérité, c’est qu’on veut créer une nouvelle économie globale, basée sur l’exploitation des phoques, ce qui permettra de faire vivre quelques populations de l’Atlantique. N’y-a-t'il pas d’autres activités plus lucratives, moins violentes à développer ? L’écotourisme ? Est-ce que les autochtones, si sollicités par le gouvernement pour aller soutenir la chasse en Europe, ne peuvent donc pas évoluer, eux aussi, vers des pratiques moins brutales. Après tout, ils ne vivent pas dans les musées, beaucoup ne dépendent plus de la chasse pour leur survie. Les maisons ont remplacé les igloos et les motoneiges vont plus vite que les chiens de traîneaux, de plus, les avions et les bateaux permettent d’apporter les produits de base. Cette chasse au phoque (de subsistance ??), qu’on nous présente comme une tradition locale, un patrimoine, si elle existe bien, ne ressemble pas à la chasse commerciale. Encore, les écologistes à temps partiel, les environnementalistes anthropocentriques, utilisent la cause autochtone comme stratégie pour défendre la chasse commerciale et c’est indigne. Personnellement, je pense que si une interdiction vient à toucher la chasse commerciale sur des critères éthiques, je vois mal comment la chasse traditionnelle des Inuits, tout aussi violente et sanglante, fait l’objet d’une exception devant l’Europe. Si l’on interdit les produits dérivés du phoque parce que la chasse est considérée cruelle et inhumaine, qu’elle soit pratiquée par des Blancs ou des Inuits, cette interdiction devrait être généralisée et non pas partielle. Qu’on me prouve que la chasse traditionnelle pratiquée par les Inuits n’est pas cruelle, si on se base sur des critères purement éthiques. Je trouve qu’on idéalise trop souvent les peuples autochtones et qu’ils jouissent de privilèges de chasse et de pêche que d’autres peuples n’ont pas. Comme d’autres, je ne vois aucune logique à donner un droit de chasse aux uns qu’on refuserait aux autres. Les Inuits peuvent invoquer leurs traditions, mais les traditions ne peuvent justifier des actes violents ou cruels. Ce qui est la culture millénaire d’un peuple ne peut déterminer ce que sera son futur. Tout progrès serait impossible avec le seul attachement émotif et ethnocentrique au passé et à la tradition. Il est des traditions comme l’excision, l’esclavage, et la torture, qui sont des institutions millénaires. Que tous les peuples, qui ne vivent pas dans des musées, s’adaptent donc à l’ordre du jour qui demande qu’on ne traite pas les animaux de manière cruelle et comme de vulgaires marchandises. Voyons un argument qui revient souvent dans les médias: « Les phoques ne sont pas tués plus cruellement que les animaux qui vont à l’abattoir. » Avons-nous visité des abattoirs, au Canada ou ailleurs? Les animaux dans les abattoirs ne sont pas traités avec plus d’humanité. Si les abattoirs avaient des vitres transparentes, nous changerions de ton. Régulièrement des enquêtes montrent des animaux torturés et découpés vivants dans les chaînes d’abattage, manipulés avec beaucoup de violence, roués de coups et électrocutés pour les faire avancer vers leur funeste destin, certains sont brûlés vifs. Et puis n’oublions pas cet autre argument que j’aime particulièrement « Les phoques sont en surnombre depuis fort longtemps dans l’estuaire du Saint-Laurent. » Encore ce sempiternel argument fallacieux du grand nombre. Qui détermine au juste le nombre au-dessus duquel il faut sortir les fusils? Les scientifiques ou plutôt leurs patrons dans les ministères? Les phoques sont accusés de mettre en péril les ressources de poissons. Aucune preuve formelle de cela dans les données scientifiques, et de plus, serait-ce une raison de chasser ? Contrairement à nous, les phoques ont un besoin vital de poissons, ils ne savent pas faire autrement. Dans tous les océans et toutes les mers du monde, les ressources disparaissent, il s’agit d’un véritable carnage et d'un pillage odieux, bien documenté, et je ne connais qu’un seul coupable: l’homme. Qu’on se préoccupe d’abord de la surpopulation humaine, car la rapacité et l'aveuglement des hommes sont les sources des crises écologiques, sociales et économiques actuelles. Peut-être que l’argumentation des pro-chasse repose sur ceci « Les peaux de phoques sont une ressource renouvelable et écologique. Comment peut-on ignorer que les animaux ne sont pas une ressource, puisque les animaux sont avant tout des êtres sensibles, ayant une vie qui leur est propre ; ils jouissent d’un droit naturel de vivre, selon leurs besoins et leur condition. Nous faisons des animaux des « ressources », et en conséquence, nous en faisons nos esclaves sur lesquels nous affligeons les pires abominations. Cette maladie mentale qui consiste à considérer les animaux comme des ressources (de la viande, de la fourrure, des valves cardiaques, des aphrodisiaques, DE L'OMEGA 3,...) est la même pathologie qui conduit des humains à considérer d’autres humains comme inférieurs, et à justifier leur exploitation la plus implacable et la plus cruelle. Quant à l’aspect écologique des peaux de phoques, je ne peux souscrire à une écologie qui glorifie le meurtre d’animaux au nom d’une quelconque économie durable et renouvelable. Cette écologie sanguinaire, il faut la détruire et le plus tôt sera le mieux car le temps presse. Et puis présence ou non d’Oméga 3, on en trouve d’ailleurs chez les plantes et il n’est pas certain que ce soit si bon pour la santé. La presse canadienne est sans pitié pour les amis de bêtes, terroristes, impatients, anti-humains, végétariens enragés, fascistes animalistes. Merci, merci, merci d'autant de grâces. Notons ici que le terme « animaliste » se veut péjoratif, à l'inverse du mot humaniste qui résonne bien et dont ces gens, qui nous conspuent, se gargarisent jusqu'à l'étouffement. Ah non, l'on ne tarit pas d'éloges à l'égard de Paul Watson et des plus radicaux du mouvement de libération des animaux. Libération des animaux, je répète l'expression car il semble que les journalistes de la pensée dominante se trouvent dans l'impossibilité de rappeler les motifs pour lesquels des individus deviennent des militants au nom des animaux. Impossible pour eux, en effet, d’exposer à la vraie critique les arguments des anti-chasse, sous peine d’aller finir leur carrière journalistique comme préposé à la photocopieuse… Certains de nous écrivent à nos vains politiciens qui viennent de réaffirmer leur nullité en votant la loi S-203, offrant ainsi aucune autre protection aux animaux de ce beau pays. À noter que le NDP (Nouveau Parti Démocratique) et quelques Libéraux auront voté contre, mais passons. D'autres, osant braver l’imbécile cruauté de l'être humain, envoient leurs lettres et leurs opinions judicieusement filtrées par nos médias. Les esprits étroits voudraient le changement, mais pas l'agitation qui va avec. Du bruit des manifestations, des paroles fortes, de la rébellion et de la résistance, ils n'en veulent point. Préfèrent-ils la détresse assourdissante de ces chats et de ces chiens torturés en Asie pour de la soupe et de la fourrure, ou le gémissement d'agonie des truies et des verrats découpés et brûlés vifs dans nos abattoirs. Préfèrent-ils le son strident des baleines et des phoques qu'on harponne et qu'on matraque inlassablement. C'est toute la Nature qui crie contre l'homme, disait Jules Michelet. De ces bruits-là, surtout, ils n'en veulent rien entendre. Ils n'en veulent rien parler, encore moins écrire. De ces analystes qui s'attardent sur les mots pour mieux nier les tragédies de ces milliards de créatures sensibles, il n'y en a que trop. S'il est difficile de vaincre la cruauté envers les animaux, c'est précisément parce qu'il n'y a pas assez de gens comme Paul Watson, militant écologiste radical, qui depuis 30 ans assiste, impuissant, à tous les massacres possibles contre le genre animal. Impatients, vous dites ! Cette humanité malsaine qui justifie les pires abominations serait bien implorante, si on lui faisait subir ces traitements. Je les ai entendus parler, ces tueurs de phoques, l'autre jour à la télévision, ils émettaient des sons qui rappelaient le langage humain. Comme ils le disent avec si peu de mots, ces chasseurs aiment tuer les phoques, c'est un style de vie qui fait leur identité. Comment puis-je vous faire évoluer vous et vos progénitures carnivores ? Je me le demande tous les jours, en étant gentil ? Qu'un mouvement de libération animale, soit marginal, ce n'est pas un argument pour démontrer son inutilité. Tous les mouvements de l'Histoire, pour la justice et pour le progrès social sont marginaux. Comment pourrait-il en être autrement ? En fait, beaucoup aspirent à ne faire partie ni du club de Steven Guilbeault, de Greenpeace, sans doute très agréable autour d'une tasse de thé, ni de celui de Louis Gilles Francoeur, chasseur au journal Le Devoir, dont le métier est de caricaturer le mouvement de libération des animaux et d'ignorer ses bases morales profondes et cohérentes. Aucun défenseur des animaux ne prônerait la violence envers les humains et le vandalisme ne semble pas une solution pour arriver à attirer la sympathie du public. Que reste-t-il donc face à la vraie terreur ? Je parle de celle des gouvernements et des industries qui stigmatisent les activistes et intimident tous ceux et toutes celles qui sont une menace à leurs manipulations et à leur sauvagerie contre l'homme, l'environnement et les autres créatures de cette planète. Demandons à Gabriel Villeneuve, ce jeune homme anarchiste en proie à une répression judicaire pour avoir organisé des manifestations contre des partenaires de Huntington Life Sciences (HLS), un laboratoire qui fait des tests sur les animaux. Demandons aux activistes de Stop Huntington Animal Cruelty (SHAC) qui purgent de lourdes peines de prison aux Etats-Unis pour avoir créer…Un site Internet contre HLS ! Il est urgent que les différents mouvements pour la justice et tous les groupes pour le progrès social s'unissent et comprennent qu'ils ont des intérêts communs à défendre. Il faut argumenter sans cesse contre la croyance selon laquelle la chasse aux phoques est réglementée. Qu'on aime croire à l’application des règlements et de l'ordre ! Qu'on aime se persuader que de bons fonctionnaires des Pêches et Océans remplissent leur mission de garantir une chasse « humaine », sans souffrances. Le pourraient-ils avec si peu de bateaux de surveillance et une si grande étendue de banquise à surveiller ? Impossible, et chaque année les images le prouvent. Mais cela nous rassure et rend notre conscience moins lourde à porter que d'imaginer une telle chose. Pourtant, il est impossible de tuer de manière humaine. Réfléchissons! Tuer de manière humaine, n'est-ce pas là une contradiction ? Il n'y a rien d'humain dans le fait de tuer pour le profit, pour satisfaire son goût pour la chair animale, et pour son seul plaisir aveugle et égoïste. J’insiste, ces journalistes qui écrivent en faveur de la chasse aux phoques font peine à lire par leur ignorance et leur manque de jugement. Sont-ils manipulé(e)s pour s'aligner ainsi sur une seule ligne éditoriale et continuer d'écrire des sottises ? Que des sots écrivent que la chasse n'est plus décriée par les écologistes de 'Greenpeace' ou de 'Nature Québec' et donc qu’elle est légitimée, ne signifie pas qu'elle est acceptable. Évidemment, on ne tue pas les blanchons avant 12 jours, mais on les tue à 13 quand ils perdent leur pelage blanc! Ils ne savent pas encore nager et fuir. Mais c'est une différence notable pour les amis des chasseurs. L'être humain est un tueur, c’est ainsi nous disent certains, qui ne peuvent pas croire en l'élévation de l'âme humaine vers un monde moins violent et plus pacifique. Peut-être ont-ils raison, nous sommes incapables de traiter les animaux dignement, comme nous sommes incapables de traiter nos semblables dignement. Telle est notre malédiction. Que d’encre pour étayer l'idée selon laquelle les phoques étant nombreux, il faut en éliminer un certain nombre, assez substantiel d'ailleurs ce nombre, puisque le quota est de 325,000 phoques, pour cette année 2009. Il s'agit du plus grand massacre de mammifères marins, tout le monde pourra en convenir. C'est un fait que les phoques mangent du poisson, n'ayant pas le choix de leur nourriture et certains humains, trouvant cela inquiétant, sont prêts à accuser les phoques de rompre les équilibres écologiques. Poussé par le désir instinctif de vivre, le phoque doit se nourrir d'une certaine quantité de poisson pour faire survivre sa progéniture. C'est son droit naturel le plus absolu que de se nourrir pour exister. Étonnement, la surpêche, ou plutôt, l'extermination des stocks de poissons par l'homme, et de la vie marine en générale, est rarement perçue comme la source des déséquilibres présents et à venir. C'est une idée simple et vérifiable qui semble échapper aux génies médiatiques de ce pays. Certains éléments très endoctrinés, ou mal-comprenants, croient qu'un animal ne pense pas, n'éprouve ni peine ni plaisir, vit dans l'instant présent, n'a ni passé ni avenir, et que sa condition ne se borne qu'à servir et à rendre heureuse l'espèce humaine. J'aimerais que les abattoirs disparaissent, qu'ils soient ceux qui sont cachés au fond de nos campagnes, loin des yeux, ou ceux de la banquise ensanglantée offerte aux caméras du monde, et que ces milliards de milliards de vies destinées à mourir soient sauvées de leur triste sort. Alors point d'hypocrisie, cette guerre contre le spécisme n’est pas un concours de popularité ! Phoques tabassés, cochons martyrisés, poules de batteries déplumées, chiens à la chaîne, éléphants mitraillés et vers de terre piétinés, veuillez croire que des fous se battront pour vous offrir une existence meilleure. Je pense que certains Canadien(ne)s se trouvent victimes d’un complexe d’infériorité quand on les compare au reste du monde ou pire quand on les critique, preuve d’une certaine immaturité intellectuelle ou d’un orgueil hésitant. La réaction est souvent la même, défensive; on montre de l’indignation, on sert ses petits poings et on râle contre ses maudits Européens qui portent atteinte à la chasse. Le gouvernement fédéral semble haïr les phoques et encore plus ceux qui les défendent à l’instar de Paul McCartney et de son ex-femme qui sont venus voir les blanchons sur la banquise immaculée. L’ex-Beatles est un végétarien, avocat de la paix dans le monde, qui prend part à de nombreux combats pour la liberté et la justice et en particulier la défense des droits des animaux, un concept largement inconnu dans ce pays. Preuve en est que la loi fédérale sur la protection animale n’avait pas changé depuis plus de cent ans, car les moindres réformes se voient rejetées constamment par les lobbies des chasseurs, des éleveurs et des scientifiques, tous unis pour l’exploitation durable des animaux. Alors la sénatrice Hervieux-Payette (Libérale) exige que l’on parle des vraies affaires, de l’Iraq, de la misère humaine et de la politique étrangère des Etats-Unis, tant il est évident pour cette dame de fer que la souffrance des animaux est secondaire voire non problématique. Il est certain que les Etats-Unis peuvent être blâmés pour bien des crimes de guerre, le racisme, l’obésité, comme le pays où l’on tue le plus d’animaux de ferme au monde. Cela dit, les Américain(ne)s ont quelques fois un sursaut de bon sens— puisqu’ils ont élu Barack Obama— et cette fois ce bon sens s’exprimait au sujet de la chasse au phoque du Canada qu’ils réprouvent. En fait, de quel village ou communauté arriérée, faut-il naître, pour être incapable de compassion envers les autres formes de vie qui peuplent la planète, impuissant à ressentir de la pitié envers les plus faibles qui souffrent, et pour dire triomphalement : « Regardez, voyez combien je suis au sommet de la chaîne alimentaire. » Je n’espère pas des hommes de penser comme Mahatma Gandhi qui professait que la vie d’un agneau n’était pas inférieure à celle d’un être humain, mais j’attendais d’eux un peu plus de tendresse et d’amour. C’est vrai que dans un pays qui se targue d’une longue tradition de 400 ans de chasse et de pêche, les amateurs de Tofu, comme Sir Paul, ne doivent pas s’attendre à voir les Canadiens sangloter sur le sort des 325,000 phoques que des barbus en salopettes fluorescentes tuent, tant bien que mal, (ça glisse) à coups de manche de pioche, ou au fusil. Ces bébés phoques que de bons pères de famille écorchent vif ensuite ou qu’on laisse se noyer dans leur propre sang et leur vomi. Je peux paraître radical, j’en conviens, mais j’ai beaucoup de mal à comprendre cet attachement imbécile pour la tradition surtout quand elle est barbare et qu’elle coûte aux contribuables 60 millions de dollars. Personnellement, je pense que l’argent et le maintien d’emplois ne devraient pas justifier ce massacre. Si les peuples avaient obéi à la tradition, et bien l’esclavagisme, la soumission des femmes aux hommes et l’exploitation des noirs par les blancs seraient encore de rigueur; au nom de la tradition l’on commet les pires abominations. De même, ce patriotisme sauvage qui exhorterait les Canadiens et les Canadiennes à soutenir nos communautés maritimes qui tirent 6 misérables millions de la chasse au phoque, est-ce donc là ce même patriotisme qui a poussé les Nazis à vouloir chasser les juifs d’Europe ou est-ce celui qui a conduit les Japonais à massacrer tant de femmes et d’enfants Chinois durant la Seconde Guerre mondiale. Il est vrai, au Canada, on exprime le patriotisme qu’on peut s’offrir, à travers le hockey, les médailles aux jeux olympiques, mais pitié, ne faisons pas briller le Canada à travers le massacre de phoques, par une régression sociale, car en continuant ainsi nous risquons, en tant que nation, que tous les gens intelligents nous détestent. Que ce soit l’abattage des agneaux en Nouvelle-Zélande ou au Moyen-Orient, les animaux qu’on pousse vers l’abattoir par milliards, ou la chasse au phoque, tout cela n’est finalement que de la cruauté de masse, brutale et honteuse, car nous avons le choix de ne pas commettre toutes ces tueries. Il s’agit en fait d’une forme de racisme envers les animaux, bien enraciné dans notre société, que le philosophe Peter Singer appelle en anglais «speciesism », une forme de racisme qui justifie la totale exploitation des plus faibles. Si l’on traitait les chats ou les chiens comme l’on traite les phoques, je pense que quelques Canadien(ne)s ne trouveraient pas cela acceptable. Les humains comme les animaux souffrent, malgré cette évidence, de nombreux Chrétiens sont si peu charitables qu’ils utiliseront deux échelles pour mesurer la souffrance des uns et des autres. Mais ces idées et ces attitudes spécistes, fruits de notre culture, sentent la poussière et la moiteur des musées de campagne, le spécisme perd de sa vigueur à chaque jour qui passe et bientôt la chasse au phoque ne sera plus. Nul doute que les Canadien(ne)s passent pour de mauvais sauvages, en bonne lice avec les tortionnaires de chats et de chiens qu’on tue pour le commerce de la fourrure, en Chine. La tradition et le patriotisme écervelés ont la peau dure. En résumé, les phoques sont abondants et contribuent à la chute des réserves de morues dans les eaux canadiennes de l’Atlantique. De plus, les phoques représentent une source de revenus pour les populations locales, la chasse est traditionnelle, réglementée et se pratique sans cruauté. Voilà, dans l’ensemble, les arguments fallacieux qu’on aura entendu dans la presse, année après année. Et de conclure, pour beaucoup, que Brigitte Bardot devrait s’occuper d’autres choses plus graves. La capacité de non-raisonnement de mes compatriotes me laisse pantois. Beaucoup de lecteurs, de blogueurs répandent leur fiel, suivent l’opinion, et ne peuvent vivre avec le fait que des gens, venant d’ailleurs, leur montrent les pratiques barbares de chez nous. C’est, je crois, qu’ils voudraient qu’on parle d’autres choses et comme je les comprends. On ne le cache plus, les hommes pillent les ressources naturelles et se gorgent de cadavres d’animaux pour les plaisirs de la bouche, ainsi je ne montrerais pas les phoques du doigt en les accusant de nous faire de la compétition déloyale. En fait aucune espèce animale, au cours de notre courte histoire, s’est montrée être une menace pour l’espèce humaine. Qui est à blâmer donc pour la disparition du poisson ? Est-ce le réchauffement climatique, les phoques ou Pêches et Océans Canada et leur gestion désastreuse des ressources? Le gouvernement canadien radote que les populations de phoques doivent être contrôlées parce qu’ils sont abondants. D’abord, il me parait difficile sinon impossible de prouver qu’une espèce animale est abondante. Après tout, un ou deux peut être considéré comme beaucoup et la notion d’abondance est subjective. Alors pour ceux qui justifient le massacre des phoques par leur perception qu’ils sont abondants, je leur demande d’apporter un argument plus solide. En fait, je propose que les hommes et les femmes de science du ministère des Pêches et Océans, plutôt que d’œuvrer pour la science, servent les intérêts politiques de leurs patrons. En me rappelant mes cours de biologie à l’université de Saskatchewan, je peux dire que la Nature à ses propres mécanismes pour gérer le nombre des espèces, sans l’aide des laquais d’un gouvernement. D’un point de vue philosophique et éthique, qui sommes-nous pour juger qu’une espèce animale est en grand ou petit nombre et intervenir? Dieu ? Brigitte Bardot qui est venue visiter la banquise aura irrité bien du petit monde. Elle a dit à la presse que la population humaine, approchant les 6 milliards d’individus, sera confrontée à des problèmes majeurs dans le futur. Selon elle, y-a-t’il quiconque pour suggérer le massacre de quelques humains, un petit génocide de l’envergure de la chasse aux phoques, pour alléger la souffrance des autres, pour éviter la famine, les maladies et la pauvreté ? Les humanistes ont bondi de leurs chaises. L’ex sex-symbole française, qui aura donné sa beauté aux hommes et sa sagesse au service des animaux, a offert au Canadien(ne)s quelques points de réflexion à considérer, subversifs certes, mais logiques. Et après tout quelle importance que les phoques aient deux semaines, qu’ils soient des blanchons ou des adultes, des mâles ou des femelles? La vérité, c’est que cette chasse au phoque n’est pas guidée par la science, mais plutôt celle-ci est la conséquence de l’ouverture de nouveaux marchés pour les peaux de phoque et les aphrodisiaques, en Chine et en Russie notamment. Ainsi le gouvernement n’a fait que profiter de la naissance de ce marché pour générer une nouvelle économie basée sur la collecte des phoques, et cela à une échelle industrielle qui n’a aucune ressemblance avec une chasse locale et traditionnelle. Les communautés autochtones ont chassé le phoque depuis des centaines d’années pour nourrir leur famille, mais maintenant le gouvernement canadien a transformé une chasse de subsistance en un commerce international. Mise à part, la cruauté évidente de cette chasse, durant laquelle les chasseurs défoncent la boite crânienne des phoques à l’aide de longs gourdins (pour ne pas endommager les peaux), ce qui enrage les défenseurs des animaux c’est le fait que le gouvernement canadien veut tromper le monde entier en faisant croire que cette chasse reste traditionnelle, réglementée et se pratique sans cruauté. Selon l’activiste Rebecca Aldworth, qui est native de Terre-neuve et qui a passé de nombreuses années à observer la chasse au phoque, le gouvernement mystifie cette chasse. Comme Jean Chrétien et Paul Martin des Libéraux avant lui, le Conservateur Stephen Harper n’a pas l’intention d’interdire la chasse au phoque. Il devient certain que seule la pression internationale aura plus d’effets que des mots et des appels à la pitié. Il serait vraiment triste qu’un pays comme le Canada, dont on entend si peu parler dans le reste du monde, se démarque internationalement par sa cruauté. Cette chasse au phoque entache le caractère de tous. Alors attendons le mois d’avril de cette année et la promesse de l’Europe de bannir l’importation des produits dérivés du phoque. http://david-ruffieux.over-blog.fr/article-29641081-6.html#anchorComment -
Publié le 15 janvier 2011 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Du boeuf différent et tout santé (Québec) Un boeuf sans hormones et sans antibiotiques, nourri uniquement avec de l'herbe, dont la viande est faisandée lentement, contenant des omégas-3 et davantage de vitamine B12 que le boeuf traditionnel et qui, en prime, a grandi dans le champ d'à côté, ou presque. Ça vous dirait? Robert Berthiaume a certainement mis l'eau à la bouche de plusieurs visiteurs de la Semaine de l'agriculture, de l'alimentation et de la consommation qui débutait hier au Centre de foires à Québec. Cet agronome et chercheur à Agriculture et agroalimentaire Canada est venu présenter le boeuf VitaliPré, une innovation conçue avec le soutien de son équipe par des producteurs de l'Abitibi-Témiscamingue et du nord-est de l'Ontario ... http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/201101/14/01-4360390-du-boeuf-different-et-tout-sante.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4360401_article_POS1
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Publié le 15 janvier 2011 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Semaine de l'agriculture, de l'alimentation et de la consommation: une exposition vivante Les animaux seront rois jusqu'à demain au Centre de foires. Le Soleil (Québec) La Semaine de l'agriculture, de l'alimentation et de la consommation des étudiants de la faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation de l'Université Laval offre un éventail de présentations qui réjouiront les urbains. Hier, des autobus scolaires déversaient au Centre de foires des flots d'enfants , venus voir principalement les animaux, qu'ils peuvent parfois toucher. L'organisation en attendait près de 900 pour cette seule journée, indiquait Claudia D'Amours, directrice des communications pour l'événement. L'organisation, «100 % étudiants», précise-t-elle, attend 13 000 personnes pour ses trois jours. Les organisateurs veulent à la fois démystifier le travail de ceux qui produisent notre nourriture et informer les visiteurs sur celui-ci. Des conférences sont aussi au programme. À 12h30 aujourd'hui, une chercheuse fera le point sur les OGM. Il sera aussi question d'agriculture biologique et de jardinage écologique, et des panelistes discuteront du bien-être animal. Il est possible de faire des dégustations ou d'acheter des produits d'ici en discutant avec les producteurs. ... http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/affaires/agro-alimentaire/201101/14/01-4360401-semaine-de-lagriculture-de-lalimentation-et-de-la-consommation-une-exposition-vivante.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_la-capitale_577_section_POS1
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PHOQUES/Hervieux-Payette soutiendra une promotion intensive
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La Chine s’éveille aux produits canadiens du phoque Le Sénateur Céline Hervieux-Payette soutiendra une promotion intensive des produits canadiens du phoque en Chine Lisez les commentaires sur cette page ou ajoutez-en un. Publié le 12 janvier 2011 OTTAWA, le 12 janvier 2011 – Le Sénateur Céline Hervieux-Payette accueille avec enthousiasme la décision de la Chine d’ouvrir son marché aux produits de la mer canadiens dont les produits dérivés du phoque. « Les extrémistes végétariens qui veulent nous faire croire que le phoque est utilisé seulement pour sa fourrure sont une nouvelle fois désavoués par le plus grand marché du monde des produits de la mer. En plus de la fourrure, la Chine va découvrir notre excellente viande et huile de phoque canadien » a déclaré le Sénateur.Le Sénateur Hervieux-Payette souhaite désormais que le gouvernement du Canada facilite la promotion des produits du phoque auprès des consommateurs chinois. « Il est normal que le gouvernement fédéral se porte à la défense des phoquiers canadiens victimes du cynique boycott européen et des campagnes calomnieuses des groupes de pression animalistes. Nous avons aidé les travailleurs de GM, nous devons aider les Inuits et les pêcheurs de la côte Est », insiste le Sénateur qui a toujours plaidé pour que le gouvernement assure un revenu minimum aux phoquiers basé sur les revenus de 2005 aussi longtemps que durera la contestation du boycott devant l’OMC. Le Sénateur Hervieux-Payette rappelle enfin que l’éthique suppose une utilisation optimale des ressources animales. « Faire croire qu’il serait éthique de laisser le troupeau de phoque croître exponentiellement en laissant les animaux mourir de maladie ou de faim est irresponsable. Notre responsabilité humaine est au contraire d’assumer notre rôle au sommet de la chaîne alimentaire en prélevant les ressources de manière durable et en en rejetant le moins possible. C’est tout le sens de la Déclaration universelle sur le prélèvement éthique du phoque. » - 30 - Maximilien Depontailler Conseiller Politique Bureau de l’honorable Céline Hervieux-Payette, c.p. 613-947-8008 – deponm@sen.parl.gc.ca http://www.forumdessenateursliberaux.ca/Nouvelles/12709_La-Chine-seveille-aux-produits-canadiens-du-phoquebr-Le-Senateur-Celine-Hervieux-Payette-soutiendra-une-promotion-intensive-des-produits-canadiens-du-phoque-en-Chine -
Publié le 13 janvier 2011 à 07h15 | Mis à jour le 13 janvier 2011 à 07h15 Le foie gras au festival de l'incohérence Woww! Y'a pas à dire, côté journalistes, on est vraiment gâtés au Québec! Marie-Claude Lortie La Presse Ce n'est pas pour me vanter, mais j'ai déjà mangé du cochon d'Inde. De l'agouti, en fait, nom généralement utilisé quand on parle de cette bestiole pour la cuisine. ... http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/marie-claude-lortie/201101/13/01-4359619-le-foie-gras-au-festival-de-lincoherence.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B13b_marie-claude-lortie_3273_section_POS1
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Le Vendredi 14 janvier 2011 | Mise en ligne à 3h36 | Commentaires (23) La Chine, amie des phoques… et des morues? NDLR: Afin d’encourager un débat ouvert et respectueux, le Blogue de l’Édito ne publie que des commentaires signés. Merci de votre collaboration. François Cardinal (écologiste....)? La Chine vole finalement au secours des chasseurs des Îles-de-la-Madeleine, abandonnés par l’Union européenne, qui a imposé un embargo sur les produits dérivés du phoque. L’entente bilatérale entre Ottawa et Pékin va permettre d’exporter autant la viande du phoque que ses dérivés, comme les huiles à base d’oméga 3 par exemple. Ce faisant, la Chine vient en aide à cette industrie… mais aussi à l’environnement! Car au-delà des hauts cris démagogiques et émotifs de l’Europe, qui a fait une Brigitte Bardot d’elle-même en optant pour l’interdiction sans nuance, il y a une sérieuse question environnementale rattachée à la chasse aux phoques. Ces derniers, en effet, se comptent par millions. Des millions de phoques qui ont faim et qui mangent toutes les morues qu’ils trouvent sur leur passage. Ils agissent ainsi telle «une flotte de pêche non contrôlée», pour reprendre l’expression de Jean-Claude Brêthes, professeur à l’Institut des sciences de la mer de Rimouski. Avec l’impact que l’on imagine sur les stocks de morue, qu’on tente avec toute les difficultés du monde de faire revivre. Voilà pourquoi ceux-ci ont récemment atteint un creux historique, malgré des années de restrictions de la pêche. Les défenseurs des animaux rétorqueront que cela ne justifie pas, selon les mots de Bardot, une «boucherie à ciel ouvert». Or encore là, de sérieuses nuances sont nécessaires. Un rapport rédigé par neuf vétérinaires indépendants a conclu, il y a peu, que la méthode préconisée pour tuer le phoque n’est pas le bain de sang déploré. «La majorité des phoques étudiés dans la chasse au Canada, soit 98%, ont été abattus de façon non cruelle», a indiqué Pierre-Yves Daoust, membre de l’Association canadienne des médecins vétérinaires. «Ce taux, ajoutait-il, se compare favorablement aux résultats d’études menées dans les abattoirs d’Amérique du Nord.» À quand l’embargo sur les produits dérivés des bœufs? Vous désirez commenter cet article? Ouvrez une session http://blogues.cyberpresse.ca/edito/2011/01/14/la-chine-amie-des-phoques%e2%80%a6-et-des-morues/?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_bloguesaccueilcp_BO3_accueil_ECRAN1POS4
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Visées internationales pour les rôtisseries St-Hubert
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Visées internationales pour les rôtisseries St-Hubert Publié le 14 janvier 2011 à 15h25 | Mis à jour à 15h25 Sylvain Larocque La Presse Canadienne Montréal Ayant pleinement développé le marché québécois, les rôtisseries St-Hubert s'apprêtent à prendre d'assaut le Canada anglais, les États-Unis et même le reste du monde. D'ici la fin de l'année, trois restaurants St-Hubert Express doivent ouvrir leurs portes en banlieue de Toronto, un en Nouvelle-Écosse et un autre au Nouveau-Brunswick. Puis en 2012, ce sera au tour des États-Unis. On visera d'abord la Nouvelle-Angleterre, plus particulièrement Boston. Mais selon des études de marché commandées par l'entreprise, la Californie et le Texas seraient aussi des États propices où s'implanter. À plus long terme, St-Hubert envisage de s'associer à des partenaires internationaux pour attribuer des franchises en Amérique latine et en Asie, a indiqué le président de l'entreprise, Daniel Cousineau, au cours d'un entretien téléphonique avec La Presse Canadienne. ... http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/commerce-de-detail/201101/14/01-4360281-visees-internationales-pour-les-rotisseries-st-hubert.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1 -
Bal de Neige: pas de foie gras à Ottawa
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tout-à-fait animo ! Personna non grata pour le foie gras Un groupe de pressions pour les droits des animaux fait retirer le foie gras du menu d’un festival gastronomique à Ottawa. 12 janvier 2011 par Céline Normandin - Élevage Après la viande de phoque, c’est le foie gras qui créée des remous sur la scène nationale. La Ottawa Animal Defence League aurait protesté auprès des organisateurs du festival gastronomique Bal de neige à Ottawa contre la présence du chef québécois Martin Picard, reconnu pour son utilisation du foie gras à toutes les sauces. Celui-ci devait préparer un repas de cabane à sucre dont les billets se vendaient 125 $l’unité pour l’événement devant avoir lieu le 4 février prochain. Le journal Le Droit rapporte que la Ottawa Animal Defence League est un petit groupe de végétaliens qui considère le foie gras comme étant l'un « des grands crimes de l'humanité contre les animaux ». La Commission de la Capitale nationale (CCN) qui organise le festival a consulté le Martin Picard et son commanditaire principal, American Express. Depuis, le chef a décidé de se retirer de l’événement et le foie gras a été exclu du menu. La CCN indique que 20 % des billets avaient été retournés pour un remboursement. D’autres restaurants de la capitale nationale ont pour leur part décidé de mettre le foie gras dans leur menu pour manifester leur soutien au chef québécois. Il ne s’agit pas de la première action de la Ottawa Animal Defence League. Le groupe a manifesté à l’automne dernier contre l’abattage des chevaux destinés à la consommation humaine. http://www.laterre.ca/elevage/personna-non-grata-pour-le-foie-gras/ -
Obtenir des résultats pour les chasseurs de phoques canadien
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Obtenir des résultats pour les chasseurs de phoques canadiens 12 janvier 2011 Mercredi, Gail Shea, la ministre des Pêches et des Océans a annoncé que le gouvernement conservateur de Stephen Harper a conclu une entente avec la Chine afin de permettre l’exportation de viande de phoque et de produits du phoque vers la Chine. Les familles des communautés côtières chassent le phoque depuis des générations. La chasse au phoque est au cœur de leur mode de vie et le gouvernement Harper est déterminé à défendre les intérêts des chasseurs de phoques canadiens et de l’industrie de la chasse au phoque. C’est pourquoi nous travaillons d’arrache-pied pour étendre les activités de cette industrie et pour lui ouvrir de nouveaux marchés. Les traditions, toujours les maudites traditions! On ne pourrait pas évoluer un peu??? Le Canada a conclu une entente qui entre en vigueur à partir de maintenant et qui garantit l’exportation de viande de phoque et d’autres produits du phoque, notamment l’huile et la fourrure, vers la Chine. De nombreuses communautés côtières dépendent des retombées économiques liées à la chasse au phoque. Les chasseurs de phoques peuvent être sûrs que le gouvernement Harper continuera de soutenir les efforts qu’ils déploient pour subvenir aux besoins de leur famille. Nous continuerons à défendre l’industrie canadienne de la chasse au phoque et à promouvoir ses produits, au pays comme à l’étranger http://www.conservative.ca/m%C3%A9dias/autres_nouvelles/obtenir_des_r%C3%A9sultats_pour_les_chasseurs_de_phoques_canadiens -
Viande de phoque empoisonnée exportée en Chine
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40 groupes de défense animale en Chine...
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Allo Charlotte, C'est vrai que la facture monte vite quand on va chez Loblaws. J'essaie de me limiter à la liste que je prépare, mais je ressors toujours de là avec des extras... C'est super que ton mari ait réussi à obtenir du riz Dainty à grain entier. C'est vrai qu'il est bon ce riz! Depuis quelque temps, je «capote» sur le riz au jasmin. J'adore ce goût parfumé. C'est tellement bon avec des légumes sautés. Je sais qu'il existe des manteaux, salopettes ou parkas d'extérieur très chauds (aussi chauds que ceux qui sont bourrés avec du duvet). On les retrouvent surtout dans les magasins de sports, pour ceux qui font de la moto-neige, ski, etc. (Gore-Tex par exemple), mais tous ces vêtements sont vraiment très chers, mais peut-être qu'on peut parfois en trouver d'occasion sur des sites de petites annonces (?) p.s.:-1-Se pourrait-il que tes enfants répondent aux accusations ou aux jugements qui sont font à leur encontre par d'autres enfants? p.s.: -2-Je viens de lire un commentaire négatif concernant les bottes Bugathermo: elles seraient très lourdes, inconfortables et pas si chaudes que ça finalement... Et quant aux bottes Bugathermo pour femmes, elles sont fabriquées en cuir http://gearjunkie.com/columbia-heated-winter-boots
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Des millions d'animaux enterrés vivants
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40 groupes de défense animale en Chine...
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PHOQUES/Entente de coopération entre le Canada et la Chine
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Questions et réponses Entente de coopération entre le canada et la chine sur les produits comestibles du phoque 12 janvier 2011 -------------------------------------------------------------------------------- Question Le 12 janvier 2011, le Canada et la Chine ont convenu d’une nouvelle entente de coopération qui permettra l’exportation de produits comestibles du phoque canadiens en Chine. Cette entente entre l’Agence canadienne d’inspection des aliments et l’Administration générale du contrôle de la qualité, de l’inspection et de la quarantaine de la Chine entrera en vigueur dès qu’elle sera signée par les deux parties. Questions et réponses Q1 Quand l’industrie canadienne pourra-t-elle commencer à exporter des produits comestibles du phoque en Chine? R1 L’entente de coopération entrera en vigueur dès qu’elle sera signée par les deux parties. Les exportateurs canadiens pourront alors exporter des produits comestibles du phoque en Chine, à condition qu’ils respectent les exigences précisées dans l’entente. Le gouvernement du Canada collabore avec les industries du phoque et de la transformation des aliments pour s’assurer qu’elles comprennent bien leurs responsabilités dans le cadre de cette entente et qu’elles puissent en tirer profit dès la saison de chasse au phoque de 2011. Q2 Quelle est l’autorité de certification pour l’exportation de produits comestibles du phoque en Chine dans le cadre cette entente? R2 L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) est l’autorité responsable de la certification des exportations canadiennes qui répondent aux exigences précisées dans l’entente de coopération. Pêches et Océans Canada aidera l’ACIA en fournissant une expertise en matière de supervision et dans le domaine de la santé des phoques ainsi que pour d’autres questions scientifiques et de gestion prévues qui font partie de son mandat. Q3 Cette nouvelle entente de coopération avec la Chine comporte-t-elle de nouvelles exigences en matière de formation ou de certification pour les chasseurs de phoque canadiens? R3 Non. Aucune nouvelle certification ne sera requise pour les chasseurs de phoque canadiens. Toutefois, un module sur les exigences de cette entente de coopération sera ajouté aux séances d’information auxquelles les chasseurs doivent assister chaque année pour renouveler leur permis de chasse au phoque. L’ACIA surveillera les usines de transformation de la chair et de la graisse du phoque, comme elle le fait pour les autres opérations alimentaires commerciales. Q4 Quels types de produits comestibles du phoque sont actuellement exportés? R4 L’industrie canadienne du phoque a développé une vaste gamme de produits comestibles du phoque, notamment des viandes salaisonnées et fumées, des terrines et des suppléments riches en oméga 3. Q5 Quel est la valeur actuelle du marché pour les produits comestibles du phoque? Selon l’industrie, à combien se chiffreront les revenus supplémentaires qui seront générés par ce nouveau marché? R5 Lors d’une année typique comme 2008, plus de trois millions de dollars en produits comestibles du phoque canadiens ont été exportés à l’étranger. Il est difficile de prévoir dans quelle mesure et à quel rythme le marché chinois augmentera pour ces produits. Toutefois, nous nous attendons à ce que la Chine devienne un marché stable et rentable pour l’industrie canadienne du phoque et ses produits, et nous prévoyons que cette entente continuera de favoriser l’innovation dans cette industrie. Communiqué : •Le Canada crée un nouveau marché pour les produits du phoque en Chine C-AC-11-01F http://www.dfo-mpo.gc.ca/media/back-fiche/2011/2011-01-12-fra.htm -
Plus d'une quarantaine d'organismes chinois demandent à Gail Shea et aux représentants canadiens de l'industrie du phoque de quitter la Chine FOR IMMEDIATE RELEASE Chinese and International Animal Protection Groups Say "No" to Seal Slaughter Cruelty More than 40 Chinese organizations urge Gail Shea and sealing industry representatives to leave China (Jan. 12, 2011)--Chinese and Canadian animal protection groups are calling on Canada's Fisheries Minister Gail Shea and Canadian sealing-industry representatives to leave China. Minister Shea is in China attempting to promote inherently cruel seal fur and other products to Chinese consumers. This visit comes just weeks after a Beijing media conference in which Humane Society International joined Chinese animal protection groups and presented graphic footage of the Canadian commercial seal slaughter. "The Canadian sealing industry is mistaken if it believes that China will willingly become a dumping ground for products of cruelty the rest of the world has rejected," said Lu Di, director of China Small Animal Protection Association. "Chinese people care just as much about animals as the citizens of Europe and America. My organization and many others will work to ensure China never becomes a significant market for Canadian seal products." "I cannot believe that a civilized nation like Canada would consider promoting this cruel and outdated industry in China," said Qin Xiaona, director of Beijing's Capital Animal Welfare Association. "We are confident that Chinese people will join the world community in saying no to the products of this baby seal slaughter." "Canadians are opposed to the seal hunt, and so the sealing industry has to rely on the international community to sell its products, said Ha Wejin, Nanjing Ping An Animal Protection Group. "But we know what happens on Canada's ice floes, and we are not prepared to perpetuate this horrific industry. We urge Gail Shea and her colleagues to leave China immediately along with their seal products." "Compassion is a human condition, not a cultural one," said Rebecca Aldworth, executive director of Humane Society International/Canada. "I saw firsthand the determination of caring people in China to never let their country perpetuate the cruelty of commercial sealing. There is no future for the Canadian sealing industry in China." In the wake of the 27 nation European Union banning its trade in products of commercial seal hunts HSI is calling upon the Canadian government to implement a one-time buyout of the commercial sealing industry. This program would compensate fishermen for any lost income as the seal hunt is closed, and invest in safe, sustainable economic alternatives in the communities involved. A 2010 Ipsos Reid survey <http://www.hsi.org/world/canada/news/releases/2010/04/sealers_poll_040610.html> found that half of Newfoundland sealers holding an opinion support a federal sealing industry buyout. Participating Groups: China Small Animal Protection Association China Small Animal Protection Association-Shanghai China Small Animal Protection Association-Tianjin Beijing Capital Animal Welfare Association China Animal Care Network Beanstalk Beijing Beijing Youth Animal Protection Volunteer Group Beijing Dog and Cat Help Volunteer General Station Beijing "Hand in Hand" Animal Rescue Center Beijing Coolpet New Horizon Beijing Lucky Cats Beijing Dog and Cat Orphanage Chongqing Animal Protection Association Changsha Small Animal Protection Association Changchun Small Animal Protection Association Chengde Jingling Youyue Street Animal Rescue Center Dalian Pet100 Chengdu Home of Love Rescue Center Guangzhou Home of Pets Jinan Yellow River Street Dog Rescue Center Haerbin Animal Protection Association Humane Society International Nanjing Ping An A Fu Animal Protection Association Nanning Stray Cat Help Center Suzhou Small Animal Protection Volunteers Group Shijiazhuang Mi-Ai Stray Cat Help Center Shanghai East China Normal University Sunshine Small Animal Protection Group Shandong Taishan Animal Protection Association Fuzhou Small Animal Protection Network Xixi Forestry Guangzhou Cat Protection Group Hainan Small Animal Protection Association Hangzhou Stray Animal Rescue Center Shantou Cat Lovers' Group Shenzhen Cat Protection Network Shenzhen Homeless Dog Sanctuary Sichuan Guangyuan Universal Love Animal Protection Center Sichuan Qiming Small Animal Protection Center Tianjin Home to All Tianjin Love and Rescue Society Wuhan Stray Animal Rescue Center Shanxi Hongshiliu Companion Animal Rescue Center Xiamen Animal Protection Education Committee Xiamen A Fu Volunteers Association
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Le Canada exportera son phoque en Chine Mise à jour le mercredi 12 janvier 2011 à 12 h 39 Le Canada deviendra le fournisseur exclusif de la Chine pour les produits comestibles du phoque. Ottawa et Pékin ont conclu une entente bilatérale qui permettra au Canada d'exporter en Chine des produits tels que la viande et l'huile de phoque, a déclaré la ministre canadienne des Pêches Gail Shea, lors d'une conférence de presse téléphonique à partir de Chine. Ottawa espère ainsi compenser les pertes subies par cette industrie depuis que l'Union européenne a imposé en juillet 2009 un embargo sur les produits dérivés de la chasse au phoque, sous la pression de défenseurs des animaux qui dénonçaient la cruauté de cette chasse. « Maintenant que nous avons accès à un nouveau et très grand marché [...] espérons que l'industrie puisse retrouver son lustre d'antan », a fait valoir Mme Shea, disant s'attendre à ce que les exportations vers la Chine augmentent lentement. Elle a toutefois ajouté qu'il faudra une promotion intensive pour créer une demande auprès des Chinois, qui ne connaissent pas du tout cette viande. Le potentiel est toutefois considérable, car la Chine est le plus important consommateur de poisson et de produits de la mer du monde. Avec des importations annuelles de plus de 300 millions de dollars, elle représente le troisième marché d'exportation de produits de la mer du Canada. Quelque 6000 personnes au Canada vivent de la chasse au phoque. Celle-ci ne génère toutefois que de faibles revenus, évalués avant l'embargo à 10 millions de dollars par an, selon les chiffres du gouvernement canadien. Le quart de ces revenus provenait des ventes en Europe. La nouvelle est bien accueillie aux Îles-de-la-Madeleine Pour sa part, le président de l'Association des chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine, Denis Longuépée, se dit satisfait. « On est vraiment contents, dit-il. J'étais déprimé en raison de l'absence de glace cette année, mais voilà une bonne nouvelle qui va me réjouir et réjouir beaucoup de monde. On a enfin signé une entente avec le gouvernement de la Chine pour commencer le commerce et l'exportation, notamment au niveau de la viande et de la graisse. » Selon lui, cette annonce compensera l'embargo européen contre lequel le Canada continue de se battre. « C'est immoral d'avoir imposé un embargo, mais c'est certain que si on peut juste commercer au niveau de la Chine et que tous les produits se vendent là, bien on est contents avec ça », indique M. Longuépée. De leur côté, les animalistes de l'International Fund for Animal Welfare (IFAW), qui se bat depuis 30 ans contre la chasse aux phoques, déplorent l'entente annoncée par la ministre Gail Shea. Radio-Canada.ca avec Agence France Presse et Presse canadienne Commentaires http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2011/01/12/012-phoque-chine-canada.shtml
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PHOQUES- Shea en Chine pour promouvoir l'industrie
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11 janv. 2010 08h11 HE La ministre Shea en Chine pour promouvoir l'industrie canadienne de la pêche et du phoque BEIJING, CHINE--(Marketwire - 11 jan. 2010) - L'honorable Gail Shea, ministre des Pêches et des Océans, a entamé aujourd'hui une visite de deux jours en République populaire de Chine. Il s'agit de la première visite d'un ministre canadien dans ce pays en 2010, qui fait suite à la visite du premier ministre Stephen Harper au début de décembre dernier, visant à améliorer et à accroître la relation constructive qu'entretiennent le Canada et la Chine. La ministre Shea rencontrera des hauts fonctionnaires du bureau national des océans, de l'administration des océans et du service des pêches du ministère de l'Agriculture de Chine. Les discussions porteront sur des enjeux d'intérêt commun dans le domaine des pêches internationales et de la gestion des océans. La ministre rencontrera également des distributeurs de poissons et de fruits de mer canadiens en Chine, et visitera des installations locales pour en apprendre davantage sur les activités de pêche de ce pays. "Notre gouvernement est fier de son industrie du poisson et des fruits de mer, de l'industrie du phoque canadien et de leurs produits, et poursuivra ses efforts pour développer de nouveaux marchés chez nous et à l'étranger, a dit la ministre Shea. Je suis heureuse de visiter la Chine pour promouvoir l'industrie canadienne de la pêche et du phoque et encourager une collaboration plus étroite sur des enjeux d'intérêt commun, a déclaré la ministre. En améliorant les pratiques de pêche durables et la recherche scientifique, et en faisant la promotion du commerce de poissons et de fruits de mer, nous pouvons créer un plus grand nombre de débouchés économiques pour les industries canadiennes et chinoises." La ministre Shea profitera également de sa visite en Chine pour promouvoir la durabilité et la qualité des produits du phoque canadiens, et faire valoir qu'ils sont le résultat d'une activité non cruelle. Elle rencontrera aussi des membres de l'industrie canadienne du phoque qui participeront au 36e Salon des produits de cuir et de fourrure de Chine. "Les chasseurs de phoque, les entreprises de transformation, les artisans et les Inuits offrent des produits de qualité, qui sont parmi les meilleurs au monde, et nous savons que la Chine constitue un marché potentiel important, a déclaré la ministre Shea. Pour le Canada, l'industrie du phoque ne se limite pas à la fourrure. Le commerce d'autres produits du phoque, comme l'huile et la viande, occupe une part de plus en plus importante de cette industrie qui génère des millions de dollars." Le Salon des produits de cuir et de fourrure de Chine représente une excellente occasion pour l'industrie du phoque de promouvoir ses produits et les nombreux autres produits à valeur ajoutée provenant du phoque. Le Canada encourage fortement l'industrie à continuer de trouver de nouvelles façons d'exploiter au maximum les animaux récoltés chaque année. La Chine est le deuxième partenaire commercial en importance du Canada et le plus grand consommateur de poissons et de fruits de mer au monde. Elle présente donc un important marché potentiel pour les produits canadiens. Le gouvernement du Canada encourage et appuie le développement de nouveaux marchés pour les poissons et les fruits de mer canadiens, ainsi que pour les produits du phoque, chez lui et à l'étranger. Nos succès en ce sens nous permettront de créer des débouchés économiques pour nos industries et nos collectivités côtières. La ministre Shea répondra aux questions des médias canadiens le 12 janvier 2010, de 8 h 30 à 9 h 30, heure normale de l'Est. http://www.dfo-mpo.gc.ca http://www.marketwire.com/press-release/La-ministre-Shea-en-Chine-pour-promouvoir-lindustrie-canadienne-de-la-peche-et-du-phoque-1099668.htm