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Tout ce qui a été posté par Animal
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Allo ma belle Cé, Je viens de relire cette phrase et je crois qu'il faudrait la changer un peu, car on parle en même temps (dans la même phrase) de chaîne qui se fige dans la glace et d'infestation de puces (ils n'ont pas de puces en hiver je crois, car les puces gèlent...) Par soleil ou froid extrême, leur chaîne s’emmêlant ou figeant dans la glace, restreignant davantage leurs mouvements, ils sont infestés de puces, souffrent d’arthrose, d’infection rénale, d’engelures ou autres, sans soins vétérinaires.
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2) _ Il y aurait aussi beaucoup à dire sur le côté psychologique du mot "secte", celui-ci ayant à lui seul une force terrible pour critiquer sans argument mais ne rendant pas nécessairement compte d'une réalité. _ Si "secte" signifie en effet "emprisonnement dans une idée de groupe" et dont le végétarien serait victime, il faudrait rétorquer que la véritable "idée de groupe" qui piège ses victimes en les empêchant de penser par eux-mêmes existe certes, mais plutôt à l'échelle du pays. Vis-à-vis du végétarisme, il est en effet très difficile de se faire une idée par soi-même. 4 - "Le végétarien voue un culte au légume" _ Ce préjugé vient surtout de l'imagination collective. Lorsqu'on n'est pas végétarien, on imagine volontiers le végétarien autour du feu en pleine nature en train de jouer de la guitare avec ses cheveux longs emmêlés, et quelques pauvres tomates et crudité à manger. _ Et puis, lorsqu'on devient végétarien, on ne chante pas au coin du feu avec une guitare, pas plus qu'on a à manger qu'une pauvre tomate et des crudités. _ Ce préjugé est tellement en activité que c'est presque les non-végétariens qui forcent les végétariens à bouffer des légumes sans saveur lorsqu'ils les invitent à manger. Et ça les confirme dans ce qu'ils pensaient... _ Cela vient bien sûr d'une méconnaissance du végétarisme et notamment des habitudes alimentaires de n'importe quel végétarien, dont les repas sont en général beaucoup mieux prépaprés, et davantage recherchés, que les plats "omnivores". En témoigne, par exemple, la nourriture Indienne qui (en Inde du moins) est totalement végétarienne et pourtant si riche. 5 - "Le végétarisme n'est qu'une préférence cullinaire, rien de plus". _ Ce préjugé explique pourquoi on ne réflechit pas davantage à la question végétarienne. Il est souvent employé par certains contradicteurs (journalistes ou penseurs) pour éviter un débat éthique et concentrer le végétarisme sur le débat cullinaire ou scientifique où il est plus facile à critiquer du fait du caractère subjectif de la notion de goût ou encore des orientations très clairement anti-végétariennes de certaines études françaises sur la question. _ Bien évidemment, il ne suffit pas de l'affirmer pour que soit vrai et c'est d'ailleurs faux rien que par le simple fait qu'il existe des personnes qui deviennent végétariennes non par préférence cullinaire, mais par décision morale. Ou bien on avoue en effet que ces personnes ont bien choisi le végétarisme par morale, ou bien on juge que, n'ayant pas choisi le végétarisme par préférence cullinaire, elles ne compte pas pour végétariennes ce qui est une façon hypocrite de se donner raison. 6 - Les végétariens sont des gens plus aisés. _ Ce préjugé est l'un des plus récents sur le végétarisme, il apparait de plus en plus souvent dans les journaux à mesure que les autres disparaissent. _ Ce qui fait l'existence de ce préjugé, c'est une certaine part de vérité : ceux qui se questionnent sur la question du végétarisme sont en général des gens ouverts, auxquels on a donné la possibilité d'être ouverts souvent parce qu'ils ne croulent pas sous les ennuis (financiers notamment). Mais il arrive souvent que des végétariens soient au contraire des personnes sans ressources comme des punks, des rmistes, des ouvriers ou employés (gens normaux) de cultures alternatives, des anarchistes, des étudiants, des enfants... Ces personnes qui ont très peu de ressources sont pourtant elles sont végétariennes ! Il faut en conclure que ce n'est pas la réussite financière qui donne la possibilité d'être végétarien mais plutôt l'ouverture. _ Quant au coût réel du végétarisme, il est moins important que le coût de l'alimentation carnée et de plusieurs manières : - à l'achat, les végétaux sont moins chers. - l'alimentation meilleure induit par les végétaux fait économiser des frais de santé. 7 - Le végétarien s'intéresse aux animaux et non pas aux hommes. _ Ce dernier préjugé, voulu par certains militants humanistes, ou certaines personnes persuadées à l'avance du mal-fondé d'une attitude qu'elles n'ont pas elles-mêmes, se trouve être une bonne parade contre le végétarisme auprès de beaucoup d'oreilles sensibles... _ Ce préjugé vient de l'idée que les végétariens préféraient les animaux aux hommes, seule raison pouvant expliquer qu'ils ne les mangent pas puisqu'ils se considèrent comme eux... _ Ou encore, il viendrait de l'idée que le végétarien porte en haine les humains et, par déception, il se serait tourné vers les animaux, créatures innocentes et nymphatiques. _ De l'autre côté, bien sûr, il y a l'homme, dont on fait partie et qui est donc une projection de notre égo, qui est une créature incroyablement plus méritoire puisqu'elle est capable de créer, de transformer, de se donner une importance, et c'est faire injure à l'homme que de ne pas considérer ses qualités comme lui conférant un statut supérieur à l'animal. _ Cet état d'esprit d'éloge de l'humain trouve difficilement une explication rationnelle. Disons plutôt qu'il s'agit d'une habitude de penser ainsi et aussi d'une sécurité psychologique : «L'être humain qui est noble. Si l'être humain n'est pas noble, c'est qu'on peut se comporter méchemment contre lui. Et comme il ne faut pas être méchant contre l'homme, donc l'homme est noble ! Mais noble par rapport à qui ? Par rapport à ce qui n'est pas humain. Or ce qui n'est pas humain, c'est l'animal.» _ Ceux qui imaginent que les défenseurs des animaux ou les végétariens ne sont pas du côté des humains craignent en effet qu'il y ait une abbatardisation de l'humain au rang d'animal, et qu'il n'y ait plus la noblesse de l'être humain sensée justifier qu'on le traite en tant qu'humain. _ Mais l'idée des végétarien est de dire qu'il n'y a pas besoin de donner une quelconque noblesse supérieure à un être pour qu'on doive le respecter, ce en quoi ceux qui recherchent à donner une noblesse l'humain ont une longueur de retard. Car on pourrait dire que leur attitude psychologique est un cran de sûreté contre des attitudes de violence qu'ils n'ont peut être pas totalement neutralisées et qui demeurent en eux. En effet, il y a beaucoup de violence en eux mais cette violence est par principe psychologique jugulée sur les animaux qui en pâtissent. Tandis que pour eux abolir la frontière signifierait exporter la violence faite à l'animal vers l'homme ; pour un végétarien cela signifie au contraire exporter le respect dû à l'homme vers toutes les formes de vie, et en l'occurence les animaux. _ Il faut dire que si on entend s'indigner si fort certaines personnes vis-à-vis du respect de l'animal, c'est peut être parce qu'elles éprouvent le besoin, par leur réaction simple d'opposition, de se caractériser comme étant du bon côté de la barrière, défenseur de l'humain, se convaincre elles-mêmes qu'elles n'oseraient jamais faire du mal à un humain (ce qui pour elles signifie être violent avec toute chose sauf avec lui) et donc elles le montrent. Mais qui éprouve vraiment du respect pour l'humain et le sait dans son for intérieur n'a guère besoin ni de le crier, ni de le faire savoir aux autres. _ L'idée qu'il existe des végétariens parait aussi à certains comme un gâchis d'efforts, des efforts qui auraient pu être orientés vers une cause humanitaire plus utile, mais ces efforts ils ne les appliquent pas eux-mêmes, il n'y a que l'attitude de végétarien qui les dérange dans leurs classifications mentales et dans leur idée faite de la violence, autorisée ou non-autorisée. _ D'ailleurs, il est faux de croire qu'être végétarien demande un effort, cela demande seulement un changement d'aliments qui apportent toujours une meilleure contre-partie. Il m'est arrivé de nombreuses fois d'avoir des expériences de repas très désagréable lorsque je n'étais pas végétarien ; l'inverse ne s'est jamais produit http://revegezvous.probb.fr/ftopic103.La-desinformation-mediatique.htm
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Il y a à propos du végétarisme une désinformation (pas que médiatique) qui a des conséquences graves puisqu'elle agit véritablement comme donneuse de bonne conscience à tout ceux qui pensent qu'il n'est pas possible d'être végétarien... Du coup, les centaines millions d'animaux tués chaque jour pour la consommation humaine ne sont pas près d'obtenir grâce. _ La désinformation médiatique à l'encontre du Végétarisme n'est pas très difficile, elle n'a pas besoin d'être argumentée car elle exploite tous les vieux préjugés. _ Il y a tout d'abord LE préjugé, le plus manifestement faux, trophée de la mauvaise foi : 1 - Il est impossible d'être végétarien car manger de la viande est indispensable. Et si éventuellement il existe des végétariens, ils doivent être très malades. _ Ce préjugé a un certain écho dans les milieux scientifiques français et s'accorde très bien à la tradition bouchère de notre pays. Il coexiste étonnament avec l'existence de millions de végétariens en vie et en bonne santé de par le monde. En Inde, par exemple, 70% des hindous sont entièrement végétariens. Ce préjugé est toutefois, avec les études accomplies sur le sujet, en voie d'heureuse disparition. _ Mais les préjugés plus subtiles restent, nous allons le voir. Voici d'abord les plus fréquents, ceux qui concernent les compétences physiques des végétariens : 2 - "Les végétariens ont des carences" ou encore : "Les végétariens ont une moins bonne alimentation". _ Ce préjugé vient de l'idée que le végétarisme doit nécessairement avoir des désavantages pour la santé, cela venant du constat que très peu de gens sont végétariens. Il faut une excuse au fait de ne pas être végétarien donc il faut chercher quels sont les défauts du végétarisme, et c'est "d'avoir des carences". La carence qui fait peur est très efficace, elle agit comme les sorcières sur les petits enfants. Les dents qui tombent, les cheveux qui deviennent blanc, la tension nulle, ou la peau molle et tombante, font partie des images venant immédiatement à l'évocation du mot. L'usage du terme au sens scientifique est beaucoup plus subtiles et ne fait pas forcément référence à des conséquences visibles ou même anormales. Il paraîtrait même que 50% des gens auraient au moins une carence (enquête américaine). _ Ce que les enquêtes scientifiques (anglaises notamment, puisque c'est là bas qu'il y a le plus grand pourcentage de végétariens) ont révélé sur la question des carences, c'est que certains végétariens en avaient en effet... Et là, on pourrait dire que le préjugé est vrai. Le problème, c'est que les soi-disant carences des végétariens sont moins nombreuses que les carences des non-végétariens ! Autrement dit, la vérité devrait être formulée ainsi : "- Les végétariens ont moins de carences que les omnivores." et les soi-disant carences de certains végétariens ne les affectent pas toujours, comme certains carencés en fer qui s'en accomodent sans s'en apercevoir. Dans ces cas précis, il est difficile de dire si c'est carencés qui sont en dessous de la dose adéquate de tel nutriment ou si ce sont les non-carencée qui sont au-dessus. On ne dispose en effet d'aucune donnée comparative suffisement fiable. _ Quoi qu'il en soit, les statistiques révèlent que les végétariens ont une plus grande longévité, tombent moins malades et développent moins de cancers. Cela peut paraître étonnant aux non-végétariens mais s'insère pourtant dans une logique : qui se nourrit bien fabrique un organisme plus fort, par conséquent mieux paré à toutes les maladies. _ Ceci prouve que les végétariens ont non seulement moins de carences, mais ils sont en plus en meilleure santé. Mais alors, comment se fait-il qu'on arrive à soutenir l'inverse ? _ Il y a trois choses à considérer dans la pérénité du préjugé sur la moins bonne santé du végétarien. _ Le premier point est que l'ensemble de la société n'est pas végétarienne donc n'admet pas le point de vue végétarien comme valable. Toutes les études partent d'un a priori comme quoi le végétarisme est incorrect scientifiquement puisque s'il ne l'était pas, tout le monde serait végétarien. _ Il n'est en effet pas nécessaire d'avoir des arguments pour critiquer le végétarisme, mais il en faut pour le soutenir. _ De plus, de par le fait que le végétarisme prétend être un meilleur choix de conscience, n'importe quel non-végétarien est amené à préféré l'idée que le végétarisme est au contraire un mauvais choix ; puisqu'admettre que le végétarisme est meilleur serait admettre une erreur personnelle difficilement excusable : des années de barbarie inutile. Du coup, il faut une sacrée dose d'ouverture à un journaliste non-végétarien pour ne pas chercher l'argument qui doit surement exister qui empêche d'être végétarien et qui le justifie lui-même dans son propre choix. Et en général, ceux qui n'ont pas cette attitude "psychologico-automatique" deviennent végétarien. _ Il n'y a pas pratiquement eu aucune étude démontrant que l'alimentation carnée est une bonne alimentation en dehors des commandes passées par les lobbies de la viande à des "experts" acquis à leur cause dans un but publicitaire. _ Aucun recoupement n'a été fait entre des informations pourtant explicites sur les origines des maladies alimentaires, venant toutes de la viande, les impératifs hygiéniques de plus en plus drastiques pour éviter les catastrophes majeures soit épizootiques soit épidémiques, et les maladies traditionnellement liées à la consommation de viande, qui permettrait de comprendre l'évident : la viande n'est pas faite pour l'organisme humain, tous ces problèmes le prouvent. _ Le fait que les végétaux sont la seule source alimentaire employée par la médecine pour guérir des maladies tandis que les viandes, au contraire, les font naître chez ceux qui s'en nourissent, n'a pas non plus déclenché l'illumination parce que c'est une illumination que personne ne cherche à avoir. Car les problèmes de santé, en définitive, sont moins importants que les problèmes de conscience personnelle liés aux bons ou mauvais choix. _ La manipulation, télévisée notamment, utilisée pour discréditer scientifiquement le végétarisme, se sert des enquêtes à but publicitaire commandées par les lobbys de la viande (CIV, charal) et non des enquêtes réalisés par des associations ou groupes scientifiques végétariens (en Grande Bretagne) par exemple. _ En général, comme ce fut le cas dans l'émission E=M6 (Automne 2000), les jouranlistes parviennent toujours à trouver un exemple de végétarien dont la santé est épouvantable : en l'occurence, en homme qui passait pour avoir les "os fantômatiques" (qu'est-ce que ça veut dire ?) _ Mais l'émission E=M6 ne précisait pas que l'homme qui passait pour être végétalien ne se nourrissait que de riz blanc ; et l'exemple, s'il était certes impressionnant, ne prouvait rien ni sur le végétarisme, ni sur le végétalisme. D'ailleurs, on aurait beaucoup moins de mal à trouver un non-végétarien en santé pire. _ Pour gommer définitivement tous les préjugés sur la santé des végétariens, il faut signaler que de grands sportifs tels que Surya Bonali et Martina Navratilova, (il y en a d'autres dont un grand marathonien) sont végétariens. En Angleterre, ils sont souvent utilisés pour les spots prônant le végétarisme. _ Côté intelligence, il faut signaler que de nombreux philosophes de l'antiquité étaient végétariens, dont Socrate, Diogène, Plutarque, Plotin, puis Léonard de Vinci, et aujourd'hui le champion du Monde d'échecs d'origine Indienne. _ Tout au contraire, c'est le fait de ne pas être végétarien qui est néfaste pour l'intelligence car suivre le troupeau n'a jamais amené le cerveau à se développer. _ Mais il y a d'autres préjugés peut-être plus graves que ceux que nous avons cités, et qui n'ont pas moins de poids dans la critique du végétarisme, qui sont plus d'ordre sociaux. Ils sont répandus innocemment et inconsciemment par les médias, dont s'abreuvent aussitôt comme d'une mane salvatrice ceux qu'ils arrangent. Le côté particulièrement triste des préjugés suivants est qu'ils font fi de l'unité familliale, car des parents les utilisent contre leurs enfants, en disant par exemple : "Tu vois, à la télé ils disent que le végétarisme est une idée des sectes !" ou même par des amis ou dumoins des connaissances : "Être végétarien, c'est vraiment un truc de riche !" ou encore "C'est parce qu'on ne sait pas ce que c'est le travail qu'on est végétarien". (On peut remplacer "travail" par vie, ou "douleur", ou "difficulte"). Certains préjugés sont particulièrement chargés de haine de ceux qui les envoient car il y a une profonde souffrance de la part des personnes à ce point fermées (en général), dont à l'idée du Végétarisme, et qui utilisent la dernière arme pour se défendre de changer : le préjugé. 3 - "Le végétarisme est une idée des sectes" _ Celui-ci est tellement faux qu'il en est difficile à contredire. Les végétariens sont souvent des gens isolés, venus au végétarisme par une simple de pris de cosncience individuelle voire lorsqu'ils étaient enfant (dans ce dernier cas, il est difficile de trouver une influence de secte quelconque). Les végétariens qui se sont converti sous l'influence d'une spiritualité ou d'un groupe sont assez rares. Il peut en exister, mais il faut remarquer que les "sectes" (et qu'est-ce qu'on appelle secte ?) végétariennes ne sont pas si nombreuses et que leurs membres forcés à devenir végétarien sont en général assez peu strictes (ils consentent généralement à faire des écarts, ce qui n'en fait donc pas des végétariens). ...2
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Ils sont les anti-aïd Ils se veulent les défenseurs de la cause animale. Ils n'aiment pas beaucoup l'aïd. Ils sont motivés et bien organisés. Leur rêve ? Convertir le monde à la foi végétarienne. Leur dernier allié en date ? L'actuel ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy. Dressons le portrait de ces mouvements partis en croisade contre "l'obscurantisme des consommateurs". Ils ont mangé du lion. Ils ont même pris du poil de la bête. Ces expressions communes de la langue française, les organisations de défense animale les verraient bien comme de la pure provocation, voire comme une déclaration de guerre. Et pourtant, de la Société protectrice des animaux (SPA) au mouvement Œuvre d'assistance aux bêtes d'abattoirs (OABA), en passant par la fondation Bardot (de l'ancienne actrice, Brigitte Bardot) elles leurs iraient toutes comme un gant. Depuis longtemps, certaines de ces organisations militent pour une interdiction générale de l'égorgement des bêtes, sans étourdissement préalable. En effet, la loi française, qui interdit déjà l'égorgement des bêtes, prévoit une exception pour les abattages rituels. Sont concernés au premier chef les juifs et les musulmans. Cette exception juridique ne satisfait pas les organisations en question qui militent depuis quarante ans pour son abrogation. En tête de cortège figure Brigitte Bardot qui a fait de cette interdiction, selon ses propres mots, le combat de sa vie. Une fatwa égyptienne Ce combat ne date pas d'hier. Dès 1962, Brigitte Bardot se prononce, au cours de l'émission Cinq colonnes à la une , en faveur de l'étourdissement des bêtes avant leur abattage. Selon le témoignage de l'actrice française, disponible sur le site de la fondation, elle rencontre quelques jours plus tard le ministre de l'Intérieur de l'époque et lui présente quelques pistolets pour endormir le bétail. Un travail de lobbying qui aurait trouvé son aboutissement dans la loi de 1974, évoquée plus haut. Depuis, Brigitte Bardot tente de convaincre les autorités religieuses musulmanes de renoncer à l'égorgement des bêtes, en ayant recours préalablement à l'électronarcose, méthode d'étourdissement par électrocution. Elle écrit une lettre à la Mosquée de Paris le 17 mai 1999 et finit par rencontrer son recteur le 11 février 2004. Ses efforts semblent payer. « La Mosquée de Paris partage la position de son grand Mufti de la Mosquée de Lyon qui vous avait précisé que rien ne s'opposait à l'étourdissement préalable de l'animal à condition que cet étourdissement ne porte pas atteinte au caractère vital de celui-ci. » Pour tenter de convaincre son public, la fondation Bardot n'hésite plus à invoquer la jurisprudence islamique et ses fatwas. Dans l'avis¹ de l'Institut suisse de droit comparé « sur l'étourdissement des animaux avant leur abattage », rédigé par le docteur en droit Sami A. Aldeeb Abu-Sahlieh, on peut lire une fatwa, rendue le 18 décembre 1978 par la Commission de fatwa égyptienne, qui précise : « si l'électronarcose de l'animal ou tout autre procédé d'anesthésie aide à saigner l'animal en affaiblissant sa résistance lors de la saignée, et si cette électronarcose n'a pas d'effet sur sa vie (c'est-à-dire que l'animal revient à la vie normale s'il est laissé non-saigné), il est permis de recourir à une telle électronarcose ou tout autre procédé d'anesthésie allant dans ce sens avant la saignée ; la viande de l'animal saigné de la sorte est licite. » Or, selon l'actrice, "pour que la viande soit consommable, l'animal doit être vivant au moment de la saignée, le cœur devant continuer à battre pour évacuer le sang des artères et jugulaires tranchées. L'étourdissement n'a donc pas pour objet de provoquer la mort mais de placer l'animal dans un état d'inconscience afin de limiter sa souffrance." Une démonstration de l'efficacité de cette méthode aurait même été organisée auprès des musulmans d'Allemagne par l'OEBA. Avec succès. Donc, tout va bien. « Ni la Bible ou le Talmud, ni le Coran ou la Sunna de Mahomet, constituant respectivement les deux sources de droit chez les juifs et les musulmans, ne contiennent de règles contraignantes prescrivant l'abattage sans étourdissement ou interdisant la consommation de viande issue d'animaux ayant été étourdis avant la saignée. Au contraire, ces sources recommandent de réduire la souffrance des animaux autant que faire se peut. » CQFD. Pourtant, qu'on ne s'y trompe pas. Au cas où les arguments pédagogiques de Brigitte Bardot ne suffiraient pas, tout un arsenal répressif serait mis en œuvre. Des poursuites judiciaires sont systématiquement entreprises contre tous ceux qui s'improviseraient sacrificateurs. Plusieurs éleveurs et bouchers du Gard et de la Seine-saint-Denis en ont déjà fait les frais. La fondation Bardot n'hésite plus à saisir l'Office fédérale vétérinaire suisse pour des contrôles de bêtes françaises pourtant sacrifiées en toute légalité. Avec Sarkozy, nous avons le même langage Le monde politique n'est pas en reste. Le ministère de l'agriculture, sensibilisé aux thèses animaphiles, est régulièrement interpellé. Idem Place Beauvau. L'accueil fait à l'actrice, le 5 octobre dernier, est révélateur de la proximité politique du gouvernement avec le lobby animalier. Brigitte Bardot est alors reçue personnellement par Nicolas Sarkozy qui lui témoigne son soutien chaleureux. « Nous avons, avec Mr Sarkozy, le même langage… il a promis de ne pas me décevoir. » Vice-président de la commission chargée des questions d'abattage rituel et de la viande halal au Conseil Français du culte musulman (CFCM), Khaled Bouchama confirme cette présence politique du duo OEBA-Fondation Bardot. « L'an dernier, au cours de la conférence ministérielle du CFCM avec le ministre de l'Intérieur, des membres de l'OEBA avaient été invités. Ils étaient présents pour défendre leur position sur l'étourdissement pré-sacrificiel des bêtes. » Fort du soutien de cinquante députés, revendiqué par sa fondation, Bardot n'hésite plus à critiquer ouvertement des décisions de justice. « Les tribunaux font parfois preuve d'un laxisme déconcertant comme nous avons encore pu le constater dans cette affaire : En février 2003, lors de la fête de l'Aïd, une cinquantaine de moutons a été égorgée dans l'arrière-cour d'une ferme, à Chaponost (Rhône). Seules trois personnes, les propriétaires de la ferme qui avaient mis leurs locaux à la disposition des égorgeurs, ont été renvoyées devant le tribunal correctionnel de Lyon. Mais le parquet n'a pas retenu les infractions de mauvais traitements et d'abattages clandestins…Quant au tribunal correctionnel de Lyon, le 7 novembre 2003, il a tout simplement relaxé les prévenus et débouté la FBB et la SPA de leurs demandes ! » Cette irritation face à la justice peut se comprendre. L'actrice qui multiplie les propos xénophobes et anti-arabe a été condamnée en juin 2004 pour incitation à la haine raciale, dans son dernier livre. Un cri dans le silence. Sa dernière attaque en règle ? Nicolas Sarkozy. Elle lui reproche sa « lâcheté » dans une lettre ouverte, et qualifie sa politique de creuse et d'inerte en la comparant à celle de Chirac. Comme disait Pascal, il arrive souvent que, qui veut faire l'ange, fait la bête . Lundi 16 Janvier 2006 Fouad Bahri Pour lire les commentaires suite à cet article: http://www.saphirnews.com/Ils-sont-les-anti-aid_a2038.html
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sondage : tuer ou pas les goelands de Berwick-upon-Tweed'
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans Buteo, Cathou, Vegan et do
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Le chasseur français est très tendance mais incompris
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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concerné aussi by Lysane Euthanasie..errant..qui fait ca les animaleries ?? ..voyons c'est la betise de l'homme seuleument ..qui etes vous pour critiqué un travail que vous n'avez jamais fait ..vous vous laisser convaincre par des oui dire non fondé qui est la source qui vous dit que les animaleries agissent ainsi?? que je lui fasse par de mon travail et de nos méthodes de faire..le cour message que vous m'avez laisser n'a aucune argumentation valable de faire fermer les animaleries ..je trouve qu'il savait plutot d'un opinion mal fondé ..manquant d'argumentation ..de preuves concretes. Vous dites de prendre les animaux a la S.P.A ..savez vous vraiment les méthode de faire de la S.P.A ..et vous me dites que les miennes sont mauvaises sachez qu'un chien qui ne trouve pas de famille en animalerie tout simplement sera retourné chez l'éleveur pour la reproduction jamais l'euthanasie n'est employé ..MILITÉ CONTRE LES USINE A CHIOTS ..pas contre ceux qui comme moi prennent a coeur la vie des animaux .. Affiché le Sep 4, 2006, 5:30 PM
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Saturday, September 02, 2006 Millions don’t eat meat By Paul Kita, pkita@mariettatimes.com NATHAN REICH The Marietta Times As specialty grocery store sections expand and restaurants offer more vegetarian/vegan options, dietitians and health food companies are weighing the options of non-traditional diets. Currently, about 5.7 million U.S. adults are “vegetarians” — those who eat a meatless diet — with a third of those classified as “vegans” — or people who do not eat any foods derived from animals — according to a 2003 poll by The Vegetarian Resource Group. People who eat a low-fat vegan diet may lower their blood sugar more and lose more weight than people on a standard American Diabetes Association diet, according to a study by researchers at George Washington University, the University of Toronto and the University of North Carolina published in July. This may come as good news to the estimated 18 million Americans with type-2 diabetes, but those without the disease may also reap possible health benefits from a vegan or vegetarian diet. “Vegans tend to be very lean,” said Mary Ellen Camire, a professor of food science and human nutrition at the University of Maine. “But it’s not simply a meatless diet that does it, it’s adding more fruits, vegetables and whole grains.” Nutrients once thought to be unattainable in meatless diets — such as vitamin B-12 and iron — can now be ingested through sup- plements, Camire said, but said she still recommends consulting a registered dietitian before making the dietary switch. Some researchers have claimed that high levels of soy consumption can lead to increased estrogen production in men, but Camire said there is not enough information available to establish the suggestion as fact. “A vegan diet can be just as healthy (as a diet including meat and dairy), but it’s going to require a lot of knowledge and time because vegan foods are not going to be as available in restaurants and supermarkets,” Camire said. Building blocks of a vegan/vegetarian diet include whole grains, fruits, vegetables, tofu and tempeh — a fermented whole soybean and grain mixture. Substitute meat products such as garden burgers, “tuno”, “tofurky”, egg replacer and even veggie shredded cheese are available as diet alternatives. “We’re finding right now that there is popularity in vegan and that there seems to be a crossover effect with our products,” said Hilary Taube, director of marketing for Galaxy Nutritional Foods, a producer of vegan cheeses. “Vegetarians and even those with a traditional diet are picking up our products.” Due to more vegan-friendly products on the market, eating a vegan diet is easier now than it was five or 10 years ago, Camire said. “I think the growth of veganism is a small part of people starting to be aware of the history of their foods, the backstory of their food. Even with organic and free range foods — it’s about people beginning to question where their food comes from,” said Matt Ball, executive director of Vegan Outreach, a Pittsburgh-based vegan advocacy group founded in 1993. http://www.mariettatimes.com/news/story/new21_92200623215.asp
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China to Enact New Wildlife Trade Law By Benjamin Robertson Beijing 31 August 2006 Conservationists have cautiously welcomed a new law that comes into effect in China this week to codify existing treaties on the trade of endangered flora and fauna. Trade in some ingredients for traditional Chinese medicine, such as tiger bone, has helped push some species to the verge of extinction. The new Chinese legislation outlaws the import and export of rare animals and plants for commercial purposes. Exceptions will be made for scientific research, propagation, and cultural exchange. The law comes into effect Friday and codifies an international agreement China signed in 1981. The Convention on International Trade in Endangered Species, known as CITES, prohibits the sale of endangered flora and fauna. Environmental and animal activists hope China's new regulations will result in a crackdown on the trade in endangered species, including high-profile animals like the Tibetan antelope, or Shatoosh, killed for its fine wool. Sun Shan of the Conservation International China Program says that in passing the legislation, the Chinese government has established clearer lines of responsibility. "I hope it will have a big impact as illegal wildlife trade is still threatening wildlife both inside China and outside China. And by having this legislation I hope China will continue its regional leadership in combating illegal wildlife trade," said. Some observers question the Chinese authorities' ability to implement the laws in a country where law enforcement is often hampered by lack of resources. Under existing regulations, dating back to 1993, the trade in tiger bone and rhino horn is illegal. But there are several farms in China that breed tigers and animal conversation groups say they provide tiger parts for the traditional Chinese medicine trade. Lisa Hua at the International Fund for Animal Welfare says these farms are only encouraging the trade in the endangered species and this contributes to the poaching of wild tigers. "The government needs to take the lead to enforce the law and strengthen their law enforcement and management capacity to avoid poaching and illegal deals from happening. And on other side public need to be educated to be aware of the issue so they will know tiger not only solution for the illness they have," said Lisa Hua. Ultimately, activists say, education is the key to stamping out the trade. So long as people believe tiger bones and other exotic animals or plants will give them a long and healthy life, they will continue to buy them. Some studies put the number of tigers in the wild at fewer than 5,000. http://www.voanews.com/english/2006-08-31-voa16.cfm
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SOUTH AFRICA: August 31, 2006 JOHANNESBURG - The remains of 100 African elephants killed for their tusks have been found in Chad not far from Sudan's troubled Darfur region, conservationists said on Wednesday. The discovery was made earlier this month by a team led by Mike Fay, a renowned conservationist and explorer with the Bronx Zoo-based Wildlife Conservation Society and National Geographic. "... his team discovered five separate elephant massacre sites totalling 100 individuals during a survey made Aug. 3-11 from their small plane," Wildlife Conservation Society (WCS) said in a statement. WCS said most of the animals had their tusks removed and more than 50 of them appeared to have been slain just days before the team found their carcasses. The discoveries were made near Chad's Zakouma National Park, one of the animal's most northern ranges in central Africa. Wildlife groups say a rise in illicit ivory sales globally is being driven by new demand from China. Story by Ed Stoddard http://www.planetark.com/dailynewsstory.cfm/newsid/37890/story.htm
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Les braconniers utilisent les rapports des scientifiques pour braconner de nouvelles espèces Poachers prey on research publications Scientific literature is revealing the locations of newly discovered animals, writes Lila Guterman August 30, 2006 THE gecko could have sprung from the mind of Dr Seuss: It had black spots. It had white spots. It had stripes on those spots. The 23cm lizard with bright orange eyes was new to science in the late 1990s, when L. Lee Grismer, a professor of biology at La Sierra University in Riverside, California, first encountered it. But now, doing nothing more than research, he may have indirectly wiped out the gecko species from its home range in southern China. Grismer simply described the lizard in a scientific journal, the Journal of Herpetology. He named it Goniurosaurus luii and recalls thinking, "If we're going to protect these animals, we need to describe them and get them on the books." To his dismay, "Within months of the description, these things hit the pet trade with a bang," he says. "These things were going for $US1500 apiece." Grismer has not returned to the site but other scientists have. "They say when you go to this place in southern China, it looks like a bomb hit it," he says. "The rocks are overturned, they're smashed, you don't have geckos anywhere." Although poaching exotic animals is not new, Grismer says smugglers have become cleverer, using scientists' research papers to find newly described animals. He is not alone in that concern. Three other scientists joined him in a letter to the journal Science in May, telling the glum stories of three new species, all quickly pillaged by poachers after the species' scientific description appeared in print. The letter warns fellow taxonomists that their activities may harm the animals they intend to study or to conserve. The problem may not yet be widespread for new animal species but the researchers urge their colleagues to debate solutions before it grows in scope. The issue is even forcing biologists to consider withholding information from publication, a solution that is anathema to some researchers. "Science is a free flow of information," Grismer says. "I'll be damned if I'm going to have these criminals dictate how I'm going to do my science." The wildlife trade is a multibillion-dollar industry, but it seems to have branched into newly discovered animals only recently. Botanists, by contrast, have faced the problem for longer. "That's the unfortunate thing of discovering and publishing a new species; it obviously brings with it the need for collectors to have one," says Geoff Bailey, a scientific consultant in Manchester, England, who studies cactuses as a hobby. When scientists discover a new animal or plant, they normally collect one or more - legally, they point out, often going through a lengthy permit process - to deposit in an institutional collection. That animal or plant becomes the type specimen, the representative of its species. As hobbyists or poachers hunt for plants, says Michael Chamberland, collections manager of the herbarium at the US National Arboretum, the area where the type specimen was found often becomes the "sacrificial locality". "One has to hope that there are satellite locations elsewhere and that those are not going to be revealed as widely," hesays. Some botanists have concluded that to preserve species of commercial interest - such as orchids, cactuses and carnivorous plants - they should publish only general geographical information rather than precise locations. For example, when the Wollemi pine was discovered in 1994 in a national park near Sydney, scientists kept its location secret. Just a few dozen of the trees live in the wild, and before their discovery the species was known only from fossils millions of years old. The state Government restricts visits to the site and some scientists were even brought there blindfolded. Researchers rarely go to such extremes. But botanists often play it coy in their publications. "Nowadays people are very guarded as to giving location other than a very generalised statement," Bailey says. Other researchers object to withholding information. W. John Kress, a research scientist and chairman of the department of botany at the Smithsonian Institution's National Museum of Natural History in the US, points out that habitat loss threatens far more plant species than does poaching. "One hundred years down the line, when these habitats are destroyed anyway, having the records of where these things were scientifically will be very important," he says. The animal scientists who wrote to Science concur. "I believe very strongly that the conservation benefits far outweigh the potential detriment," says Bryan L. Stuart, lead author of the letter, who defended his PhD thesis last month at the University of Illinois at Chicago. He described a new salamander that quickly appeared in the exotic pet trade. In most countries, legislation to protect a rare species requires that it have a scientific name and that the government know where the species occurs. What's more, scientists studying the species need to know where it lives (or lived) to determine how it evolved and adapted, among other things. Rogerio Bertani, a tarantula expert at the Butantan Institute, a biology and biomedicine organisation in Sao Paolo, Brazil, agrees, even though Brazilian officials once caught smugglers with copies of his papers. Grismer imagines taking matters into his own hands. "I fantasise that just one time I'm going to find one of these guys" taking a rare animal, he says, "and I'm going to make an example of him. I may end up in jail, but it would be worth it." Of course, he realises that violence will not solve the wildlife-smuggling problem and neither will policing the areas, which costs too much for even the US to eliminate poaching from its national parks. "The best thing I can come up with is an imperfect solution," Stuart says. He recommends that taxonomists delay publishing their finds until they have worked with the government of the country where the animal is found to develop laws to protect it. Once researchers describe a species, the information often goes into online databases, which provide an even bigger security risk. Finding articles in obscure research journals takes some hunting by poachers, but anyone with an internet connection can check the online archives at many institutions, finding the origins of the plants and animal species in their collections. Scientists treasure that kind of easy access. For instance, combining data from an entire region with past records of plant ranges should help scientists predict how climate change could affect plant populations, says Zack E. Murrell, an associate professor of biology at Appalachian State University in the US and director of a database organisation called the Southeast Regional Network of Expertise and Collections. But curators of herbaria are debating how much data to reveal online. "It's very ad hoc," says Richard L. Pyle, an associate zoologist in ichthyology and the database co-ordinator for natural sciences at the Bishop Museum, a museum of natural and cultural history in Honolulu. "Every scientist and institution makes up their own approaches as they go." For animals and plants, says Kress, of the Smithsonian, "99 per cent of the common stuff has already been found, so it is going to be things that are inherently endangered and rare that are discovered and described now". And unfortunately, that very rarity can drive the exotic pet or plant trade. "It's like rare art collectors," Stuart says. "The rarer a piece is, the more desirable it is." The Chronicle of Higher Education http://www.theaustralian.news.com.au/story/0,20867,20294854-12332,00.html
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Nouvel organisme ou site au Québec ?
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