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42 tons of poison to purge island of rats
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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La sénatrice et son conseiller politique sont partout pour faire la promotion de la chasse au phoque: Facebook, Twitter, sealsonline.org, forum des sénateurs et autres, blog et forum canadaeurope, blog asiancanadian..., tribunes, etc. etc. http://twitter.com/Declaration09 http://fr-fr.facebook.com/pages/Celine-Hervieux-Payette/50559534784?... - France www.eurekablog.ca www.nationtalk.ca/modules/news/article.php?storyid=26852 http://blog.stopthesealhunt.com/current_affairs/ http://fr.wordpress.com/tag/animaliste/
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Canada's Inuit sue EU in bid to kill seal ban Wed Jan 13, 2010 12:29pm EST Chasse au phoque/Les Inuits du Canada ont porté plainte contre l'Union européenne OTTAWA (Reuters) - Canada's Inuit people have filed a lawsuit against the European Union in a bid to overturn an EU ban on imports of seal products, major Inuit organizations said on Wednesday. ... (Reporting by David Ljunggren; editing by Rob Wilson) http://ca.reuters.com/article/domesticNews/idCATRE60C4KR20100113
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Publié le 13/01/2010 à 14:32 Le Point.fr ALIMENTATION Ail, ail, ail ! Par Anne Jeanblanc L'ail est un drôle de condiment. Autant méprisé pour son odeur que célébré pour ses multiples vertus. Le nom de l'ail vient du mot celtique all , qui signifie brûlant ; depuis il symbolise la force. "Équation nutrition", la lettre éditée par Aprifel, l'agence fruits et légumes frais, lui consacre plusieurs articles dans son dernier numéro. On peut y lire que ce symbole de l'alimentation méditerranéenne, appartenant à la famille du poireau et de la ciboulette, doit ses qualités à sa richesse en composés soufrés. Ces derniers sont à l'origine de son odeur si caractéristique qui se manifeste quand les gousses sont écrasées. Et des milliers d'articles scientifiques ont déjà été consacrés à sa composition, ses propriétés et ses effets bénéfiques sur la santé. Ce sont les effets protecteurs de l'ail sur le système cardiovasculaire qui sont le mieux décrits. La consommation quotidienne d'une gousse de ce condiment favoriserait la baisse du "mauvais cholestérol", le LDL. De plus, en raison de ses propriétés antioxydantes, l'ail pourrait piéger les dangereux radicaux libres qui favorisent l'athérosclérose. Autre qualité, les extraits d'ail seraient bénéfiques aux personnes souffrant d'hypertension artérielle, en favorisant la baisse de leurs chiffres tensionnels. L'ail améliore également la fluidité du sang, en agissant sur les plaquettes sanguines. ... http://www.lepoint.fr/actualites-sciences-sante/2010-01-13/ail-ail-ail/1055/0/413047
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Températures froides Des milliers de poissons meurent en Floride Canoë Texte: LCN 12/01/2010 12h23 La situation semble toutefois faire le bonheur des pélicans. Les températures froides qui touchent la Floride depuis plusieurs jours ne sont pas néfastes que pour les récoltes d’agrumes. Les pêcheurs en souffrent aussi puisque des dizaines de milliers de poissons sont morts de froid à travers l’État au cours des derniers jours. EN VIDÉO: La nouvelle en images http://fr.canoe.ca/infos/environnement/archives/2010/01/20100112-122316.html Il s’agit d’autant plus d’une mauvaise nouvelle puisque cela signifie qu’il y aura moins de femelles pour pondre des œufs au cours des prochaines années. L’industrie de la pêche pourrait donc être touchée à court, mais aussi à long terme.
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Publié le 13 janvier 2010 à 08h01 | Mis à jour à 08h17 Haïti s'attend à un bilan dévastateur C'était la désolation, hier soir aux abords de l'hôtel Villa Créole, quelques heures après qu'une partie de l'édifice se fut effondrée. Photo: Ivanoh Demers, La Presse Clarens Renois Agence France-Presse Port-au-Prince Haïti s'attendait à découvrir mercredi matin un bilan effroyable après le tremblement de terre qui a dévasté Port-au-Prince, les sauveteurs étant mis au défi de se porter au secours de milliers de victimes malgré l'état rudimentaire des infrastructures. Traumatisés par la longue secousse de magnitude 7 qui s'est produite mardi à 16H53 locales, à seulement quelque 15 km à l'ouest de la capitale surpeuplée, beaucoup d'Haïtiens ont passé la nuit dehors, attendant que le jour se lève pour commencer à faire le décompte des morts et des dégâts. «Les morts seront comptés par centaines lorsqu'il sera possible de dresser un bilan», a averti un médecin, lui-même blessé. La secousse a été suivie d'une trentaine de répliques très violentes, allant jusqu'à une magnitude de 5,9. Haïti n'avait pas connu une secousse d'une telle violence depuis au moins un siècle, a indiqué l'Institut américain de géophysique (USGS), qui a évalué à 7 la «magnitude du moment» (Mw) du principal choc. ... http://www.cyberpresse.ca/international/amerique-latine/seisme-en-haiti/201001/13/01-938611-haiti-sattend-a-un-bilan-devastateur.php
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INFO-CRIME Extrait d’un reportage de Julie Phaneuf dans Passionnément Chien, Décembre 2009, p.29 INFO-CRIME accepte désormais de recevoir les appels anonymes de citoyens témoins d’actes de cruauté envers les animaux. Les renseignements sont dirigés illico vers les SPA ayant signé un protocole d’entente avec Info-Crime et ayant, dans leur personnel, un inspecteur mandaté à faire respecter la loi P-42. Ainsi, des actions immédiates sont posées. Actuellement, seule la SPA de Sherbrooke répond à ces critères. En cas d’absence de protocole d’entente, les dénonciations sont acheminées aux SPCA, aux autorités policières ou encore vers Anima-Québec qui compte quatre inspecteurs à Québec et un à Montréal. INFO-CRIME accepte de traiter les dénonciations d’usines à chiots et d’animaleries mais rapporte les informations à Anima-Québec. Ce qui me porte à croire qu’on considère de plus en plus la maltraitance et la cruauté faite aux animaux comme un crime. INFO-CRIME reçoit maintenant plusieurs appels de partout au Québec, fait ce travail avec fierté pour le bien-être animal mais il a dû et doit encore s’adapter aux manques de cohérence des intervenants oeuvrant sur le terrain. Vous pouvez dénoncer tout acte de maltraitance et de cruauté envers les animaux (incluant les usines à chiots) de façon anonyme au numéro suivant : 1 800 711-1800 ou remplir le formulaire sur le site internet suivant : www.infocrime.org
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INFO-CRIME Extrait d’un reportage de Julie Phaneuf dans Passionnément Chien, Décembre 2009, p.29 INFO-CRIME accepte désormais de recevoir les appels anonymes de citoyens témoins d’actes de cruauté envers les animaux. Les renseignements sont dirigés illico vers les SPA ayant signé un protocole d’entente avec Info-Crime et ayant, dans leur personnel, un inspecteur mandaté à faire respecter la loi P-42. Ainsi, des actions immédiates sont posées. Actuellement, seule la SPA de Sherbrooke répond à ces critères. En cas d’absence de protocole d’entente, les dénonciations sont acheminées aux SPCA, aux autorités policières ou encore vers Anima-Québec qui compte quatre inspecteurs à Québec et un à Montréal. INFO-CRIME accepte de traiter les dénonciations d’usines à chiots et d’animaleries mais rapporte les informations à Anima-Québec. Ce qui me porte à croire qu’on considère de plus en plus la maltraitance et la cruauté faite aux animaux comme un crime. INFO-CRIME reçoit maintenant plusieurs appels de partout au Québec, fait ce travail avec fierté pour le bien-être animal mais il a dû et doit encore s’adapter aux manques de cohérence des intervenants oeuvrant sur le terrain. Vous pouvez dénoncer tout acte de maltraitance et de cruauté envers les animaux (incluant les usines à chiots) de façon anonyme au numéro suivant : 1 800 711-1800 ou remplir le formulaire sur le site internet suivant : www.infocrime.org
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Last update - 14:10 08/01/2010 Can a vegetarian chef help solve the Mideast conflict? By Raphael Ahren, Haaretz Correspondent Israel cuisine Could vegetarianism help solve the Middle East conflict? U.S. celebrity chef Christina Pirello, who is currently in Israel teaching about macrobiotic cooking, doesn't suggest peace would break out the moment Israelis and Palestinians stopped eating schnitzel and shawarma. She believes, however, that meat causes people to lose their ability to accept somebody else's point of view and that most conflicts in the world could be solved if people ate less meat. "Meat tends to make people opinionated and inflexible in many ways, physically as well as psychologically," the 54-year-old told Anglo File this week. "One thing I've noticed in my many years of keeping a plant-based diet is that people who eat plants - while they may not always agree with each other - always see the other opinion as valid. Sometimes the things we eat, particularly when they contain chemicals, sugars and saturated fat, it clouds your vision a lot." Pirello, who won the 1998 Emmy Award for her U.S.-wide televised cooking show, is a vigorous proponent of a macrobiotic diet, which strictly consists of plant-based and unprocessed foods, such as grains, beans, vegetables and fruit. Supporters of the diet believe the food they do eat has tremendous powers. Pirello, for instance, believes switching to a macrobiotic lifestyle 26 years ago saved her at a time when doctors who diagnosed her with leukemia told her she had only six months to live. Despite the apparent limitations, macrobiotic dishes should still be "sexy, delicious and luscious," the Philadelphia-based Pirello said, while serving a purpose in life. "If I need to be strong and focused, should I be eating sugar as much as I like? If I need to be more relaxed should I eat so much salt? We [macrobiotics] pay much more attention to the way food affects us than any other style of cuisine," she asserts. For Ginat Rice, the U.S.-born immigrant hosting Pirello during her 9-day visit, macrobiotics is much more than a diet. "It's a way of life, it includes the thoughts we think. It's not only the peas and the carrots, it's also my attitude. And I find that my attitude improves the better I eat," she told Anglo File, hours before over 50 people crowded her Jerusalem apartment for Pirello's first class on Sunday. Throughout the year, Rice and her husband Sheldon offer classes in macrobiotics as well as numerology, shiatsu and palmistry. While Rice says it is impossible to estimate how many people in Israel follow a macrobiotic diet, an increasing number is interested in alternative approaches to food. She said getting people in Israel - which has a strong meat eating culture - to change, but that she finds much openness and awareness of natural food here. "In the U.S., I find people are more square - saying this is what mother cooked, and what her mother cooked, etc," she added. "Here people are much more willing to listen to new ideas." http://www.haaretz.com/hasen/spages/1141289.html
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La Sea Shepherd reçoit des centaines de milliers de dollars depuis que l'Ady Gil a été détruit par des baleiniers japonais.... Sympathy cash 'pours in' for loss of Ady Gil NewsCore January 11, 2010 IT lost a boat worth $2 million, but hundreds of thousands of dollars have poured into the coffers of controversial protest group Sea Shepherd since their ship Ady Gil was allegedly rammed and sunk by a Japanese whaler. The group's leader Captain Paul Watson today said $170,000 was pledged in the first few hours after the incident while more was flooding in following the screening of a Sea Shepherd advert featuring Transformers actress Isabel Lucas. And Mr Watson praised Australian Acting Prime Minister Julia Gillard - who has been accused by Japan of inflaming public opinion and making diplomatic resolution of the whaling dispute harder to realise - for speaking out. "Julia Gillard is the only politician who has had the courage to say something about the illegal activities Japan has undertaken; the rest of them are hiding behind Japan's kimonos as far as I can see," Mr Watson said. Sea Shephard seek whaler's arrest ... http://www.news.com.au/breaking-news/sympathy-cash-pours-in-for-loss-of-ady-gil/story-e6frfku0-1225818122162?from=public_rss
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Produits du phoque: Mission commerciale à Pékin 2010-01-11 13:34:27 (Source: Radio-Canada) La ministre des Pêches et des Océans, Gail Shea, participe à une campagne de relations publiques pour promouvoir les produits du phoque en Chine. La ministre des Pêches et des Océans, Gail Shea, accompagne une délégation canadienne qui souhaite vendre les produits du phoque en Chine. La ministre participera notamment au premier Salon international de la fourrure de 2010 à Pékin. Deux entreprises de Terre-Neuve, GC Rieber Carino Company Limited et Nu Tan Furs Incorporated, ainsi que Tamasu des Îles-de-la-Madeleine se sont associées pour lancer une gamme de vêtements en peau de phoque. Créés par la designer danoise Benty Houmann Anderson, les vêtements de fourrure seront présentés mardi aux Chinois. Le président des chasseurs de phoque des Îles-de-la-Madeleine, Denis Longueépée, salue cette initiative. « C'est vraiment de la haute fine mode au niveau de la fourrure, les couleurs sont exceptionnelles », commente M. Longueépée. Appuyés par Québec, Ottawa et Terre-Neuve, les nouveaux associés se rendront aussi à Moscou au mois de mai pour présenter leur collection aux Russes. La ministre des Pêches explique qu'il s'agit d'une stratégie pour ouvrir de nouveaux marchés avec des produits de qualité. L'industrie travaille à diversifier ses produits, souligne-t-elle, et à vendre non seulement la fourrure, mais aussi les valves de coeur destinées à la transplantation. La ministre Shea affirme qu'il ne s'agit pas d'une réponse à l'embargo européen sur les produits du phoque. http://finances.sympatico.ca/Nouvelles/ContentPosting_RadioCan?newsitemid=459572&feedname=CBC_BUSINESS_V3_FR&show=False&number=0&showbyline=True&subtitle=&detect=&abc=abc&date=True
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... « Notre gouvernement est fier de son industrie du poisson et des fruits de mer, de l’industrie du phoque canadien et de leurs produits, et poursuivra ses efforts pour développer de nouveaux marchés chez nous et à l’étranger, a dit la ministre Shea. Je suis heureuse de visiter la Chine pour promouvoir l’industrie canadienne de la pêche et du phoque et encourager une collaboration plus étroite sur des enjeux d’intérêt commun, a déclaré la ministre. En améliorant les pratiques de pêche durables et la recherche scientifique, et en faisant la promotion du commerce de poissons et de fruits de mer, nous pouvons créer un plus grand nombre de débouchés économiques pour les industries canadiennes et chinoises. » La ministre Shea profitera également de sa visite en Chine pour promouvoir la durabilité et la qualité des produits du phoque canadiens, et faire valoir qu'ils sont le résultat d'une activité non cruelle. Elle rencontrera aussi des membres de l’industrie canadienne du phoque qui participeront au 36e Salon des produits de cuir et de fourrure de Chine. « Les chasseurs de phoque, les entreprises de transformation, les artisans et les Inuits offrent des produits de qualité, qui sont parmi les meilleurs au monde, et nous savons que la Chine constitue un marché potentiel important, a déclaré la ministre Shea. Pour le Canada, l’industrie du phoque ne se limite pas à la fourrure. Le commerce d’autres produits du phoque, comme l’huile et la viande, occupe une part de plus en plus importante de cette industrie qui génère des millions de dollars. » Le Salon des produits de cuir et de fourrure de Chine représente une excellente occasion pour l’industrie du phoque de promouvoir ses produits et les nombreux autres produits à valeur ajoutée provenant du phoque. Le Canada encourage fortement l’industrie à continuer de trouver de nouvelles façons d’exploiter au maximum les animaux récoltés chaque année. Le gouvernement du Canada encourage et appuie le développement de nouveaux marchés pour les poissons et les fruits de mer canadiens, ainsi que pour les produits du phoque, chez lui et à l’étranger. Nos succès en ce sens nous permettront de créer des débouchés économiques pour nos industries et nos collectivités côtières. http://www.dfo-mpo.gc.ca/media/npress-communique/2010/hq-ac01-fra.htm
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Originally published January 12, 2010 No animal-rights uproar in China over Canada's seal hunts Canadian officials and executives from five seal-industry companies are in China, cultivating a market that could ensure the survival of Canada's moribund hunt. By CAMPBELL CLARK Toronto Globe and Mail Forget the Old World animal ethics of Europe. Canada is taking its seal hunt where the money is — to China. Despite all the hubbub about the European Union's sanctions on the seal hunt, Europe is a relatively small market for Canadian seal products. But China is a big buyer, with greater potential and none of the uproar about animal rights that has made the seal industry a pariah in the Western world. That's why Canada Fisheries Minister Gail Shea and executives from five Canadian seal-industry companies are in China now, teaming up to work the market that could ensure the survival of Canada's moribund hunt. "There's huge market potential here,"Shea said. Shea is in China to introduce a seal-fur line at a fashion show at the China Fur and Leather Products Fair in Beijing. She'll also try to ease red tape for seal meat imports. "They have a completely different approach over here,"Bernard Guimont, president of Magdalen Islands seal products exporter Tamasu Inc., said from Beijing. "That's why we think it's a market that for sure has a great future for us." The animal-rights activism of groups that attack the seal hunt as inhumane, featuring such celebrities as Paul McCartney and images of red blood staining white snow, has won a ban in Europe. But despite efforts to reproduce the campaigns in Hong Kong, the movement has yet to take hold in Chinese culture, where a tradition of eating a wide variety of animals, including dogs, makes it relatively immune to emotional appeals to spare cute seals. "The Chinese eat anything. And they simply don't understand why you would put one animal above another,"said Wayne Mackinnon, chairman of DPA Industries, which exports Omega 3 seal-oil capsules made from harp seal blubber. "I suspect that over the course of the next decade, the Chinese market alone could take all the seal products that we could make." Sales of seal-oil products like DPA's might surpass sales of seal fur that was long the hunt's raison d'etre, but the collapsing economics of the fur industry threaten Mr. Mackinnon's business too: Unless sealers are hunting seals for fur, he won't get blubber at a reasonable price. With pelts fetching only about $15, many sealers stayed home during last year's hunt, taking only a quarter of the catch allowed by Ottawa. The landed value of the pelts totaled less than $1-million. Ottawa, however, spent large sums campaigning against last year's EU decision to ban seal products. But those efforts are more about culture wars than commercial deals. The federal government wanted to stop sanctions to protect the hunt's international reputation, and because siding with hunters over celebrity animal-rights activists from Europe was an obvious political choice for Conservative party politicians. But in commercial terms, Europe was small potatoes: Most Canadian sales there were to fur processors, who sold their goods to other countries, but only about 10 percent of the retail market was there. Most of Canada's exports are split between Russia and China. China, rapidly becoming the world's manufacturing powerhouse, has been the center of fur manufacturing for a decade, and its newly affluent millions have made it a bigger retail market too, Guimont said. The Beijing fur show is rapidly becoming one of the largest in the world; the biggest is in Hong Kong. http://seattletimes.nwsource.com/html/nationworld/2010773168_sealhunt13.html?prmid=related_stories_section
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Facing backlash in Europe, Canada hunts for new seal market in China A buyer visits a fur-company booth at the Hong Kong International Fur & Fashion Fair. Canada is looking to China to boost seal-fur sales. MN CHAN/GETTY IMAGES Fisheries Minister, seal companies flaunt hunt's products in Beijing S Ottawa — From Tuesday's Globe and Mail Published on Tuesday, Jan. 12, 2010 12:00AM EST Last updated on Tuesday, Jan. 12, 2010 9:19AM EST .Forget the Old World animal ethics of Europe. Canada is taking its seal hunt where the money is - to China. Despite all the hubbub about the European Union's sanctions on the seal hunt, Europe is a relatively small market for Canadian seal products. But China is a big buyer, with greater potential and none of the uproar about animal rights that has made the seal industry a pariah in the Western world. That's why Fisheries Minister Gail Shea and executives from five Canadian seal-industry companies are in China now, teaming up to work the market that could ensure the survival of Canada's moribund hunt. "There's huge market potential here," Ms. Shea said. Tonight, Ms. Shea will introduce a seal-fur line at a fashion show at the China Fur and Leather Products Fair in Beijing. She'll also try to ease red tape for seal meat imports. "They have a completely different approach over here," Bernard Guimont, president of Magdalen Islands seal products exporter Tamasu Inc., said from Beijing. "That's why we think it's a market that for sure has a great future for us." The animal-rights activism of groups that attack the seal hunt as inhumane, featuring such celebrities as Paul McCartney and images of red blood staining white snow, has won a ban in Europe. But despite efforts to reproduce the campaigns in Hong Kong, the movement has yet to take hold in Chinese culture, where a tradition of eating a wide variety of animals, including dogs, makes it relatively immune to emotional appeals to spare cute seals. "The Chinese eat anything. And they simply don't understand why you would put one animal above another," said Wayne Mackinnon, chairman of DPA Industries, which exports Omega 3 seal-oil capsules made from harp seal blubber. "I suspect that over the course of the next decade, the Chinese market alone could take all the seal products that we could make." Sales of seal-oil products like DPA's might surpass sales of seal fur that was long the hunt's raison d'etre, but the collapsing economics of the fur industry threaten Mr. Mackinnon's business too: Unless sealers are hunting seals for fur, he won't get blubber at a reasonable price. With pelts fetching only about $15, many sealers stayed home during last year's hunt, taking only a quarter of the catch allowed by Ottawa. The landed value of the pelts totalled less than $1-million. Ottawa, however, spent large sums campaigning against last year's EU decision to ban seal products. But those efforts are more about culture wars than commercial deals. The federal government wanted to stop sanctions to protect the hunt's international reputation, and because siding with outport hunters over celebrity animal-rights activists from Europe was an obvious political choice for Conservative politicians. The Foreign Affairs Department's "action plan" for the spring of 2007 alone had a $362,000 budget. And the Harper government's fisheries ambassador, former Newfoundland finance minister Loyola Sullivan, racked up hundreds of thousands of dollars in expenses heading delegations to European capitals on a hopeless lobbying tour. Last year, they launched a World Trade Organization legal challenge against the EU that will probably cost millions. But in commercial terms, Europe was small potatoes: Most Canadian sales there were to fur processors, who sold their goods to other countries, but only about 10 per cent of the retail market was there. Most of Canada's exports are split between Russia and China. China, rapidly becoming the world's manufacturing powerhouse, has been the centre of fur manufacturing for a decade, and its newly affluent millions have made it a bigger retail market too, Mr. Guimont said. The Beijing fur show is rapidly becoming one of the largest in the world; the biggest is in Hong Kong. The anti-seal-hunt campaign launched in Hong Kong last year has made some in the fur industry fear that activists will gain ground in the largest markets. "We're taking that very seriously," said Rob Cahill, executive director of the Fur Institute of Canada. ******* Not just for the fur Seals have long been hunted for their fur, but defenders of the hunt have long tried to promote other products to defend the usefulness and viability of the hunt. Seal oil, sold for the health benefits of Omega 3 fatty acids, is the other major seal product in what is a relatively tiny industry. But sealers still harbour hopes that sales of seal meat and heart valves might one day take off. Pelts Fur used the be the most important seal product, but crashing pelt prices have hit hard. Peak prices reigned as recently as 2006, but a stockpile and a global recession brought a crash. Less than $1-million worth of pelts were landed last year. Pelts are cut from seals with blubber on them, and the skins are processed into fur and leather to make coats, hats, and gloves. Oil Seal blubber is processed into oil that is put into capsules and sold as Omega 3 oil, which is prized for its health effects. Trade statistics don't capture the size of exports in these products, although Wayne Mackinnon, chairman of DPA Industries Inc., which makes the supplements, insists Canadian sales total $10-million a year. Meat Despite Governor-General Michaëlle Jean's famous public snacking on a seal heart, exports of seal meat remain small, and the market is mostly described in terms of its potential. The costs of transporting and processing what is, in meat-industry terms, a niche product have meant that export sales to a few interested buyers remain small. Heart valves One hope for seal hunt advocates is a Greek doctor's work in advocating the use of seal heart valves in heart valve replacement surgery. It is only in the testing stage at the Quebec Heart and Lung Institute and elsewhere, but it offers the dream of commercial benefits mixed with the public-relations coup of a seal hunt product that saves human lives. By Campbell Clark http://www.theglobeandmail.com/news/national/facing-backlash-in-europe-canada-hunts-for-new-seal-market-in-china/article1427946/
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La suisse condamnée pour l'interdiction d'1 spot...
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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13 janvier 2010 Saskatchewan (Canada) Le Chef de bande de la communauté «Carry the Kettle First Nations» en Saskatchewan, somme ses membres de voter en faveur du rachat de l'abattoir de chevaux «Natural Valley Farms», qui a fermé ses portes l'an dernier après une enquête de l'Agence canadienne d'inspection des aliments qui avait révélé plusieurs problèmes au niveau environnemental, de même que des cruautés extrêmes perpétrées envers les chevaux (30% de tous les chevaux étaient dépecés alors qu'ils étaient encore vivants). La majeure partie de la viande chevaline canadienne est exportée en Europe et en Asie... Le vote aura lieu demain à Régina et les membres de la communauté «Carry the Kettle First Nations» sont invités à voter «Yes» pour l'achat et la réouverture de cet abattoir, qui pourrait créer selon eux, une centaine d'emplois ... http://www.facebook.com/event.php?eid=244029969525&index=1
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13 janvier 2010 Saskatchewan (Canada) Le Chef de bande de la communauté «Carry the Kettle First Nations» en Saskatchewan, somme ses membres de voter en faveur du rachat de l'abattoir de chevaux «Natural Valley Farms», qui a fermé ses portes l'an dernier après une enquête de l'Agence canadienne d'inspection des aliments qui avait révélé plusieurs problèmes au niveau environnemental, de même que des cruautés extrêmes perpétrées envers les chevaux (30% de tous les chevaux étaient dépecés alors qu'ils étaient encore vivants). La majeure partie de la viande chevaline canadienne est exportée en Europe et en Asie... Le vote aura lieu demain à Régina et les membres de la communauté «Carry the Kettle First Nations» sont invités à voter «Yes» pour l'achat et la réouverture de cet abattoir, qui pourrait créer selon eux, une centaine d'emplois ... http://www.facebook.com/event.php?eid=244029969525&index=1
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Lundi 11 janvier 2010 1 11 /01 /2010 17:19 Quand les chasseurs et les chiens aboient Il y a un parallèle intéressant dans les attitudes réactionnaires de la classe politique, face à l’onde de choc culturel produite dans nos sociétés par les groupes militants pour la défense des animaux. Onde de choc, en effet, si l’on veut bien mesurer toute l’agitation, pour ne pas dire l’ébulition, qui préoccupe certains cénacles tant politiques qu’industriels au regard de la montée, jugée inquiétante, du mouvement de Libération animale. La rapidité avec laquelle ce mouvement a su évoluer et prendre sa place dans le discours et l’action est déjà le signe d’un relatif recul des attitudes et des pratiques d’exploitation des animaux. Certains politiciens, au Canada, s’épuisent à vouloir défendre la traditionnelle chasse aux phoques qui certainement vit, et c’est heureux, ses derniers jours. Ailleurs, ce sont d’autres chasseurs, à courre ceux-là, qui désespèrent de voir la Cour européenne des droits de l’homme annuler l’abolition de la chasse à courre en Grande-Bretagne, en raison d’une présupposée atteinte aux droits de l’homme et à la liberté (des chasseurs). Ce qui leur fut refusé, bien entendu. Cette Cour européenne a du temps à ne surtout pas perdre avec les groupes de pression de la chasse dont les requêtes extravagantes auraient de quoi offenser les véritables victimes des véritables violations des droits de l’homme et de la femme à travers le monde, en ce début de 21ième siècle. La récente interdiction de l’exportation des produits dérivés du phoque dans toute la communauté européenne, en Juillet 2009, a créé un sursaut de nationalisme, avec pour conséquence, la plainte déposée par le gouvernement canadien devant l’Organisation mondiale du commerce, le 02 novembre de la même année, pour faire rejeter cette interdiction. Ceci au risque de compromettre des accords commerciaux avec l'Europe d’une valeur de plus de 25 milliards de dollars, pour défendre quoi au juste ? Une industrie mourante de 7 petits millions de dollars par an. Soudainement le phoque devient à la mode, l’heure est à la vendetta d’Etat; de la Gouverneur générale du Canada, Son Excellence La Très Honorable Michaëlle Jean en passant par Miss Labrador et Terre-Neuve, Sara Green. L’une est invitée par les communautés autochtones pour déguster de la viande de phoque fraîchement tué, le mouchoir en action pour essuyer le sang dégoulinant de ses doigts et de ses lèvres, nous expliquant son geste en signe de solidarité avec les chasseurs Inuits. Son Excellence La Très Honorable Michaëlle Jean avait faim. Sara Green, elle, est le rejeton d’une famille de chasseurs, déambulant sur un char de Noël à St-Johns, arborant fièrement un manteau de fourrure. La belle de 19 ans, fière de ses origines et de sa culture, dit ne pas regretter de porter de la fourrure et de soutenir la chasse aux phoques. Sa réplique fait suite à une photo d’elle, copieusement défigurée par un groupe de collégiens anti-chasse et postée dans le réseau Facebook. La jeune ambassadrice veut ainsi porter le flambeau des traditions de ses ancêtres et provoque, au passage, la colère des opposants à la chasse. Ce genre de militantisme de l’autre bord du fossé culturel, peut réjouir l'indécrottable sénatrice Hervieux-Payette qui depuis longtemps part en croisade pour réhabiliter la chasse aux phoques. Madame la sénatrice, nommée à son poste à vie, et donc non élue par le peuple, se targue tout de même de défendre les intérêts de la nation. Elle devrait, à ce titre, connaître le coût de cette chasse annuelle pour les contribuables qui subventionnent cette chasse. Soyons bref au sujet des intérêts des Canadiens et des Canadiennes défendus par la sénatoriale dame: la chasse au phoque rapporte 6 millions net aux chasseurs et en coûte 60 millions aux contribuables canadiens. Madame Hervieux-Payette a decidé de rentrer dans l’Histoire par le mauvais portillon en appelant tous les gouvernements à appuyer et mettre en application une Déclaration Universelle sur le Prélèvement Éthique du Phoque élaborée par un groupe d’experts et scientifiques canadiens et américains. Nous sommes tous d’avis que les opinions des experts de madame la sénatrice sont à considérer avec tous les égards qui leurs sont dûs. L’examen de cette Déclaration est édifiant, il s’agit d’un droit de tuer; c’est sans doute la première fois dans l’Histoire qu’un texte de cette nature est formulé pour justifier l’abattage de millions d’animaux. Les rédacteurs de ce projet valent la peine d’être nommés ici: M. Charles Caraguel, est un vétérinaire français; M. Pierre-Yves Daoust est enseignant en pathologie; M. Bruce G. Hatcher occupe la chaire de recherche sur les écosystèmes marins à l’Université du Cap Breton. Janice S. Henke est une scientifique américaine ; M. Peter Irniq a été ministre du Développement économique du gouvernement des Territoires du Nord Ouest et sous-ministre au sein du gouvernement du Nunavut. On lit en substance, que « l’utilisation des ressources marines par l’homme est entièrement justifiée pour des raisons de subsistance, de tradition et de commerce.» Ces ressources englobent toutes les formes de vie ; l’animal y est réduit au statut de ressource, d’objet, le phoque est un produit, la vie animale avec toutes sa dimension sensible, intelligente et complexe reste une commodité au service de la tyrannie des hommes. La notion de ressource est l’élément clef de cette déclaration de guerre contre l’animal, toute espèce confondue. Le reste du texte étant juste verbiage, il est bon que celui-ci ne fasse que 15 pages, car c’est décidément 15 pages de trop et à oublier, puisqu’elles nous renvoient à l’Âge de pierre. En fait, les animaux sont bien autre chose que de simples ressources exploitables. Notons que la Suisse et le gouvernement du Québec soutiennent cette Déclaration. Autre pirouette de Madame Hervieux-Payette, le 16 décembre 2009, le Sénat du Canada adopte une motion visant à démontrer son engagement à « préserver l'équilibre des écosystèmes, à promouvoir le bien-être animal et la protection des communautés humaines. » La Sénatrice réitère sa position que les êtres humains ont le droit d'utiliser les animaux lorsque c'est fait de façon éthique et durable. Tuer éthiquement et durablement, quel beau programme pour les générations futures ! Mais retournons en Europe, où certaines requêtes et pressions auprès des instances européennes, comme vu plus haut, sont également le signe que les chasseurs et les politiciens qui les soutiennent s’agitent et s’inquiètent. Les militants et les sympathisants du mouvement de Libération animale forment une communauté qui fait peur; en effet, des groupes végétariens manipulent l'opinion publique pour financer leur idéologie. Pourtant, on peut douter que le référendum d’initiative populaire qui risque très fortement d’abolir la corrida en Catalogne soit le résultat des groupes végétariens dans un pays où la consommation de viande par habitant est la seconde au monde après celle des Américains. Chasse à courre le cerf épuisé se réfugie dans une mare On peut douter aussi que le vieillissement de la population des chasseurs dont l’âge moyen est de 50 ans, contre 45 ans il y a 15 ans, en France, soit aussi le fruit de l’idéologie végétarienne. Les chasseurs voient leurs effectifs baisser et à ce rythme de défection et de vieillissement, un rapide calcul nous promet leur disparition au 21 ième siècle! Il est vrai qu’en France, la nature sauvage n’existe plus vraiment; l’aménagement du paysage a dévasté les dernières vallées, les derniers cours d’eau, les plus belles forêts et les dernières zones humides. La nature est maîtrisée, administrée tant et si mal que les animaux terrorisés par les chasseurs s’échouent dans les parkings de supermarché, les cours d’école, les jardins des habitants ou finissent sur les routes et fauchés par les voitures. Dans un de ses billets, Armand Farrachi, auteur et membre d’honneur et responsable du Collectif pour l’abolition de la chasse à courre, rapporte qu’un cerf fut achevé dans la cour d'un hôpital psychiatrique, devant des patients et un personnel ébahi et choqué. Ceci n’est pas un événement rare. Les chasseurs en France représentent 2% à peine de la population mais exercent une forte influence au niveau politique et leurs votes sont importants dans les régions; les politiciens le savent bien. Au sein de l’Assemblée nationale, les chasseurs ont constitué un groupe parlementaire qui rassemble 220 députés sur un total de 577, soit près de 38 %. Ils s’organisent dans les régions, les départements et les villes, et gare à ceux qui s’opposent à eux. Ils ont des soutiens politiques et en dernier recours ils ont des fusils… Les chasseurs à courre représentent guère plus que 0,01% de la population et les sondages sont en faveur de l’abolition de cette pratique de chasse. Militants anti-chasse en réunion Au même titre que la corrida, où un taureau dans une arène est blessé et épuisé jusqu’à sa mise à mort par une estocade, la bête des bois est traquée par des cavaliers en belle apparat qui galopent, avec autour d’eux des chiens de meute hurlant et flairant la piste. Tous poursuivent un pauvre animal jusqu’à son épuisement avant de le mettre à mort à coups d’armes blanches, à coups de poignards ou de lances. En Europe, ces pratiques cruelles se perpétuent au nom d’une tradition aristocratique vieille de plusieurs siècles. On peut cependant se réjouir que de telles traditions provoquent des actions organisées par militants du mouvement de Libération animale et initient des projets de loi, soutenus par quelques députés courageux, demandant l’abolition de la chasse à courre, comme c’est le cas en France en ce moment. Sans doute, il ne s’agit que d’une question de temps pour faire passer à la trappe à ordures, la chasse aux phoques des Canadiens, tout comme la chasse à courre et la corrida des Européens, et autres obscénités dont le genre humain se délecte pour assouvir un plaisir morbide. Ce serait un premier pas. L’humanité n’a rien à gagner à conserver de pratiques cruelles et à les transmettre à ses enfants au nom des traditions. La Libération des animaux est l’examen de conscience qui définira cette humanité. Pour plus d'info: 1) Seal hunt opponents deface photo of Miss N.L.: http://www.cbc.ca/canada/newfoundland-labrador/story/2010/01/07/nl-teen-miss-photo-107.html 2) La Déclaration Universelle sur le Prélèvement Éthique du Phoque: www.phoque.org 3) Collectif pour l’Abolition de la Chasse à Courre (CACC): www.abolitionchasseacourre.org Par David Ruffieux - Publié dans : Société Ecrire un commentaire 0 - Voir le commentaire - Voir les commentaires - Recommander http://david-ruffieux.over-blog.fr/article-le-phoque-et-42744238.html
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Chronique de Hubert Reeves Les cerfs d'Anticosti 10/01/2010 09h45 Anticosti est cette île boisée située dans le golfe Saint- Laurent qui s'étend sur 220 km de long et sur une largeur maximale de 56 km. Avant l'arrivée des Européens, le cerf de Virginie n'existait pas sur l'île. Tout a changé lorsqu'à la fin du 19e siècle, M. Menier, un riche Français, acheta l'île pour en faire un domaine de chasse et, dans cet objectif, il y introduisit plusieurs espèces, dont le cerf de Virginie, qui a connu une expansion rapide. Depuis 1974, le gouvernement du Québec est devenu propriétaire de l'île. Aujourd'hui, l'espèce la plus abondante est, de très loin, le cerf de Virginie. Entre 3000 et 4000 chasseurs viennent chaque année sur l'île et le tableau de chasse atteindrait 9000 cerfs. L'exploitation forestière gérée dans le passé sans l'actuel souci de durabilité - l'était en fait à petite échelle -, conjuguée à la prolifération du cerf, gênant la reconstitution d'une strate arbustive, a généré une situation qu'il faut redresser ; à savoir, la multiplication de l'épinette blanche qui remplace le plus sou-vent les sapinières d'origine, victimes de la présence du cerf de Virginie et, épisodiquement, d'épidémies d'insectes. Et cette évolution n'est favorable ni à la ressource en bois ni au cerf. C'est sur la technique utilisée qu'un lecteur a attiré mon attention. Sa vision du programme en cours le laissait sceptique sur le résultat à en attendre. Chasseur, il s'inquiétait de la pérennité de l'activité de chasse. INTERVENTION HUMAINE L'objectif est pourtant de favoriser une mosaïque d'habitats dont le cerf profitera. Ce mammifère n'a pas de prédateur et son impact sur la forêt insulaire pourrait être désastreux sans une régulation adéquate. Sans intervention humaine la forêt pourrait ne pas se régénérer et donc compromettre à long terme la survie du cerf lui-même. Il appartient donc aux humains d'intervenir pour sauvegarder la forêt et son hôte introduit dont nul ne souhaite l'extinction, mais dont l'habitat naturel se dégrade. La technique des exclos utilisée consiste à délimiter et enclore de grandes aires où les coupes d'arbres laissent des îlots de forêt résiduelle. On y fait décroître la densité de cerfs par une chasse de régulation permettant à la forêt de se régénérer naturellement à la suite de la diminution de la pression antérieure de broutement. Le cerf n'est pas exclu des exclos. Il y est maintenu dans une densité permettant aux sapins de reconquérir une place. À défaut de régénération naturelle satisfaisante, on plante du sapin baumier, l'espèce la plus importante pour le cerf. Les clôtures durent une dizaine d'années et sont vouées à disparaître. TOUT EST LIÉ... Une conséquence inattendue de la prolifération du cerf et de son impact sur la végétation est vraisemblablement la disparition de l'île de l'ours noir d'Amérique. L'ours noir était autrefois abondant. Il a de grands besoins alimentaires à la veille de son hibernation pour accumuler des réserves permettant sa survie hivernale. Les ponctions des cerfs sur la végétation arbustive (framboisiers, ronces pubescentes, cornouiller, etc.) sont si fortes que sa disparition nuit aux espèces qui en dépendent sans alternative, car, en automne, leur principale source de nourriture, ce sont les petits fruits. L'île d'Anticosti est le lieu où semble se démontrer la réalité de ce phénomène : une prolifération des herbivores en arrive à l'élimination de leurs prédateurs. (Article aimablement relu par le Professeur Steeve Côté, titulaire de la Chaire de recherche CRSNG-Produits forestiers Anticosti, Université Laval) http://fr.canoe.ca/infos/chroniques/hubertreeves/archives/2010/01/20100110-094541.html
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Cinéma Terriens, un documentaire engagé Georges Laraque à la défense des animaux Agence QMI / 24 heures 2010-01-09 14:12:26 Le réalisateur Shaun Monson et Georges Laraque Agence QMI « Ce film a changé ma vie », a indiqué Georges Laraque en présentant vendredi soir, à l’UQAM, avec le réalisateur Shaun Monson, le documentaire dont il a lui-même fait la narration en français. En le visionnant, le joueur de la LNH a été tellement secoué par ce qu’il y a vu qu’il est devenu végétalien. Il ne mange plus aucun produit tiré des animaux. L’insupportable Il faut dire que la pertinence du propos et des images frôle l’insupportable : des vaches qui sont saignées à mort, des porcs subissant la castration sans anesthésie, des troupeaux de chiens errants gazés, des bœufs tranchés en pièces avant même d’avoir trépassé. Ce ne sont que quelques exemples du genre de massacre réservé à ces bêtes que l’on retrouve dans nos assiettes. En Inde, pays où la vache est sacrée, on transporte ces bêtes dans l’état voisin pour les tuer, question de n’offenser personne. Au Japon, des milliers de dauphins sont massacrés pour être revendus sous le nom de….baleine. L’acharnement sur les animaux se traduit aussi par 8.5 millions de volailles abattues à chaque semaine. Le film Terriens démontre qu’en plus de l’industrie alimentaire, des milliers de vaches indiennes et de loups sont tués avec cruauté avant d’être transformés en veste de cuir ou de manteau de fourrure, sans parler de toutes ces bêtes prisonnières au fond de leur cage réservées au divertissement des humains. « L’homme est la seule créature qui s’amuse à faire souffrir tout en étant conscient de sa souffrance », lance à un moment le narrateur Laraque en citant Mark Twain. Cinq ans de tournage Le réalisateur, Shaun Monson, a mis cinq ans à tourner ce documentaire sorti en 2005. C’est le premier d’une trilogie dont le second film « Unity » devrait sortir d’ici le printemps. Pour Terriens, le réalisateur a bénéficié de l’aide de « cinéastes cachés » qui prenaient des images avec une caméra dissimulée. Cinq d’entre eux ont d’ailleurs purgé des peines de prison après avoir été découverts. « Notre but n’est pas juste que les gens arrêtent de manger de la viande mais de montrer qu’il y autre chose que l’on peut faire », a indiqué le célèbre joueur de hockey après la projection. http://7jours.canoe.ca/cinema/nouvelles/2010/01/09/12404976-24h.html
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1 ourse errant dans ville polonaise ramenée en forêt
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un film à diffuser EARTHLINGS - TERRIENS (Sous-Titres França
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