hop

(Article paru dans L'Alsace) Ils ne consomment plus de produits animaux. Par respect pour la vie. Anne-Claire Despretz et Arnaud Henrion, membres de l’association végétarienne de France, expliquent leur choix. « Renoncez à manger de la viande un jour par semaine, puis cessez-en graduellement votre consommation », proposait le 7 septembre dernier Rajendra Pachaury, prix Nobel de la paix 2007 et président du Groupe international des experts pour le climat. Cette déclaration conforte les convictions d’Anne-Claire Despretz et Arnaud Henrion, végétariens depuis 27 ans. « J’étais un vrai carnivore jusqu’au jour où j’ai vu un reportage sur les abattoirs. J’ai trouvé scandaleux de considérer l’animal comme un vulgaire produit, » dit Arnaud, 54 ans. Sa compagne, Anne-Claire, a partagé ce choix : « Une démarche progressive, qui nous a amenés du végétarisme au végétalisme. » Ce couple et leurs trois enfants ne mangent aucun produit animal : ni viande, ni poisson, ni œufs, ni laitages. Ils ont renoncé au cuir, à la laine. « Nous sommes pour la vie, opposés à toute souffrance, animale et humaine. Nous essayons de vivre une certaine idée de la non-violence. » Position extrémiste ? « Pas du tout. Position cohérente, explique Anne-Claire. Aujourd’hui, le réchauffement climatique nous met la pression. La production intensive de viande génère une grande partie des gaz à effet de serre, pollue les sols et l’eau, est responsable de la déforestation de l’Amazonie, nécessite beaucoup plus de surfaces agricoles et d’eau que la production de céréales et de légumes. Ce mode de production et d’alimentation affame le tiers-monde. Au point que Rajendra Pachaury tire la sonnette d’alarme et appelle à renoncer progressivement à manger de la viande. » Et l’équilibre alimentaire ? « On nous promet des carences alors que l’on trouve des protéines en grande quantité dans les céréales, légumineuses et oléagineux », explique Anne-Claire. Déléguée pour l’Alsace de l’association végétarienne de France (AVF), elle anime des séances d’information à partir de fiches conseils et recettes élaborés par l’AVF et disponibles sur son site internet. Artiste, elle se produit en performance sur le thème « Pourquoi on devient vegan ». Dans cette famille qui affiche une belle santé, on ne fait pas de compromis. « Quand nous sommes invités, notre refus des produits animaux n’est pas toujours bien vu. C’est un acte militant, qui suscite des interrogations… » S’INFORMER Anne-Claire Despretz 1, rue de Haslach 68140 Munster Courriel : aannclair gmail.com Association végétarienne de France : www.vegetarisme.fr Repères Nombre de végétariens. France : 1,7 % de la population environ, soit 750 000 à 1 million de personnes. Suisse et Allemagne : 8 à 9 %. Europe : 5 %. Inde : 30 %. Protéines végétales et animales. Les bovins ruminent 36 % des récoltes mondiales de céréales ; ce chiffre est de 70 % pour les pays industrialisés. Il faut 2 à 15 kg de protéines végétales pour produire 1 kg de protéines animales. Si l’humain consommait directement les protéines végétales, on pourrait nourrir 7 à 10 fois plus de personnes. Déforestation. Les importations de soja pour nourrir les élevages sont responsables de la déforestation de l’Amazonie. 50 % des terres agricoles au Brésil sont consacrées à la culture de soja pour le bétail sans laisser assez de terres pour nourrir tous les gens sur place. Effet de serre : l’agriculture y contribue pour environ 23 % (gasoil des engins agricoles, production d’engrais et pesticides, méthane des bovins, transport…) Eau : il faut 50 000 litres d’eau pour produire 1 kg de bœuf en élevage intensif. Pêche : il faut 5 kg de poisson pour produire 1 kg de poisson d’élevage. 30 % de la pêche est utilisée pour nourrir les animaux d’élevage (poulets, porcs, poissons). Alsace Alimentation : pourquoi ils sont devenus végétariens - 20/01/09 http://www.lalsace.fr/articles/show/id/494567?symfony=721cd088dec53297e972e94c10d672d4

La traduction du texte de Martin Balluch "Abolitionism vs reformism", publié l'année dernière sur le site VGT est disponible en ligne : Abolitionnisme versus réformisme

Ces !*#@?~! de courses de traineaux provoquent de nombreuses blessures et maladies à ces pauvres chiens. A tout cela, il faut ajouter les coups et le fouet. La moitié des chiens ne finissent pas la course. Le nombre de chiens qui meurent des suites de la course n'est pas connu. Et il y a aussi l'entrainement pour l'Iditarod. Comme ce n'est bien sûr pas surveillé, il est impossible de savoir combien d'animaux meurent. FAQ : http://www.helpsleddogs.org/faq.htm Vous pouvez écrire aux sponsors (bloc d'email plus bas) Modèle de lettre : _________________________________________________ Dear Iditarod Supporter: Please end your organization's support of the Iditarod dog sled race. For the dogs, this event is a bottomless pit of suffering. What happens to the dogs during the Iditarod includes death, paralysis, frostbite (in the places where it hurts the most!), bleeding ulcers, bloody diarrhea, lung damage, pneumonia, ruptured discs, viral diseases, broken bones, torn muscles and tendons, sprains, torn footpads and anemia. At least 136 dogs have died in the race. No one knows how many dogs die after this tortuous ordeal or during training. For more facts about the Iditarod, visit the Sled Dog Action Coalition website, http://www.helpsleddogs.org . On average, 53 percent of the dogs who start the race do not make it across the finish line. According to a report published in the American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, of those who do finish, 81 percent have lung damage. A report published in the Journal of Veterinary Internal Medicine said that 61 percent of the dogs who complete the Iditarod have ulcers versus zero percent pre-race. Iditarod dog kennels are puppy mills. Mushers breed large numbers of dogs and routinely kill unwanted ones, including puppies. Many dogs who are permanently disabled in the Iditarod, or who are unwanted for any reason, including those who have outlived their usefulness, are killed with a shot to the head, dragged, drowned or clubbed to death. "Dogs are clubbed with baseball bats and if they don't pull are dragged to death in harnesses....." wrote former Iditarod dog handler Mike Cranford in an article for Alaska's Bush Blade Newspaper. Dog beatings and whippings are common. During the 2007 Iditarod, eyewitnesses reported that musher Ramy Brooks kicked, punched and beat his dogs with a ski pole and a chain. Jim Welch says in his book Speed Mushing Manual, "Nagging a dog team is cruel and ineffective...A training device such as a whip is not cruel at all but is effective." "It is a common training device in use among dog mushers..." Jon Saraceno wrote in his March 3, 2000 column in USA Today, "He [Colonel Tom Classen] confirmed dog beatings and far worse. Like starving dogs to maintain their most advantageous racing weight. Skinning them to make mittens. Or dragging them to their death." During the race, veterinarians do not give the dogs physical exams at every checkpoint. Mushers speed through many checkpoints, so the dogs get the briefest visual checks, if that. Instead of pulling sick dogs from the race, veterinarians frequently give them massive doses of antibiotics to keep them running. Most Iditarod dogs are forced to live at the end of a chain when they aren't hauling people around. It has been reported that dogs who don't make the main team are never taken off-chain. Chained dogs have been attacked by wolves, bears and other animals. Old and arthritic dogs suffer terrible pain in the blistering cold. Please end your organization's association with this horrific race. Sincerely, _____________________________________________ bloc 1 marianne.amssoms@inbev.com; investor@discoveryholdingcompany.com; John_Ford@discovery.com; Darien_e.wilson@roche.com; investorrelations@columbia.com; investor.relations@medtronic.com; executive-editor@nytimes.com; rick.ludwin@nbcuni.com; info@dlife.com; corporate_communications@hmco.com; investorrelations@target.com; aly.noormohamed@dpsg.com; rick.blake@harcourt.com; rosepr@rosemail.org; aarpmagazine@aarp.org; Anne.sweeney@disney.com; rick.ludwin@nbcuni.com; lee.davies@spcorp.com; wayne.hearn@rotary.org; betsy.o'rourke@wyndhamworldwide.com; info@renegadepictures.co.uk; mark.kroeger@scrippsnetworks.com; Christopher.Gay@cabelas.com; charlene.jagannath@millenniumhotels.co.uk; karen_dmochowsky@timeinc.com; jlopes@aurn.com; tedronneburger@680thefan.com; PDoyle@adn.com; roy.a.betts@usps.gov; info@zoasis.com; Shareholders.IM@pg.com; corporate.communications@blockbuster.com; mary.dillon@us.mcd.com; yum.investor@yum.com; mike.morgan@harley-davidson.com; toyota_cares@toyota.com; sarah.palin@alaska.gov; Virginia.Q.Sanchez@shell.com; tmattia@na.ko.com; gchico@chiconunes.com bloc 2 Catherine.Gacad@wellsfargo.com; rabello@hollandamerica.com; jbenson@princesscruises.com; investor_relations@scholastic.com; biorigin@biorigin.com.br, kroger.investors@kroger.com, media@cerberuscapital.com, Spring.Jeffrey@aaa-calif.com; editor@independenttraveler.com; newsroom@alaskaair.com; bigshow@plj.com; comments@komo1000news.com; angie@wnwv.com; curt.hansen@cumulus.com; jpenchoff@csg.org; info@floridamedia.org; bspeltz@standard.com; info@havemilk.com; cstorey@udidaho.org; pubaffmr@chevrontexaco.com; enterprise.comments@exxonmobil.com; investor.relations@horizonlines.com; investor_relations@netapp.com; rwhatley@jbpco.com; info@sportees.com; abbietaylor@theblackdog.com; gene@motosolutions.com; information@lynden.com; info@havemilk.com; ablank@gpworldwide.com; info@laderma.com.au; Ethel.Minchello@MSDK12.net; info@eLongo.com; customerservice@jetboil.com; info@talusoutdoortech.com; portgamble@orminc.com; lat62@alaska.net; boardofdirectors@horizonlines.com; info@lake-rescue.org; info@canada-goose.com; nschnell@ista-in.org bloc 3 reservations@akalpinelodge.com; info@vertikal.net; post@vomoghundemat.no; mahays@mtaonline.net; kneern@pobox.alaska.net; raft@talkeetnariverguides.com; customerservice@deeppurple.com; morsecin@ssd.k12.pa.us; morsecin@ssd.k12.pa.us; mfrank@the-aps.org; cherylm@lilacblind.org; MBenedetti@greatbatch.com; pmaddock@camrudlaw.com; principal.perryes@pac.dodea.edu; jacksonj@mail.leon.k12.fl.us; ktrail@sfsd.k12.pa.us; lmilitello@williamsvillek12.org; michele_svihovec@bismarckschools.org; streadaw@cabarrus.k12.nc.us; sonja.braziel@browardschools.com; mmaddox2@bcps.org; jquick@clearfield.org; LHall@henhudschools.org; info@fcesptsa.org; info@crosbysmiles.com; info@janssenfuneralhomes.com; info@trapperscreek.com; office@toughdivorces.com; alaskarv@mtaonline.net; fishhomer@gmail.com; info@talkeetnalodge.com; alaskarv@mtaonline.net; awp@co.hamilton.in.us; media@aecf.org; davidnee@wcgmf.org; wginsberg@cfgnh.org; natas@asi-seattle.net; wendy@diamondbrand.com; webmaster@ionearth.com; wellingj@mishawaka.k12.in.us bloc 4 info@teckcominco.com; info@inlettower.com; rodney.bolls@bglobal.us; info@ndindustries.com; bbroquet@gci.com; websales@antonbauer.com; wccinfo@wcclp.com; help@mtaonline.net; AskMLP@muni.org; investor_relations@netapp.com; msteele@eaglepack.com; info@frontierflying.com; fhees@alaskanbeer.com; info@penair.com; Mayor@ci.anchorage.ak.us; ircontact@simon.com; info@thecrossingrestaurant.net; info@midnightsunbrewing.com; info@canada-goose.com; mathew@mountainadventuretours.org; info@EpicenterPress.com; info@greatriverjourney.com; info@trabitsgroup.com; ruediger.henke@queo-media.com; ahelion@wcasd.net; lodging@mtaonline.net; khabermann@mammut.ch; sales@handwarmers.com; info@coastalhelicopters.com; para@alaska.net; jay@dswf.org; info@azumano.com; manager@ci.nome.ak.us; info@penair.com; mayor@ci.wasilla.ak.us; resumes@crowley.com; Lbeck@udelhoven.com; sean.karin@alaska.net; socks@wigwam.com; rtraini@akteamsters.com bloc 5 info@penair.com; mayor@ci.wasilla.ak.us; resumes@crowley.com; ewaite@sbsalaska.com; employment@providence.org; alcansigns@alaska.net; dpowers@akserigraphics.com; customersupport@batteriesplus.com; qiviut@gci.net; sales@kaladi.com; traxak@clearwire.net; info@akdogtour.com; ryoung@altitudetraining.com; jbilitz@jjkeller.com; info@westernplows.com; Macgellan@mac.com; contact@redpawfeed.com; info@kamik.com; post@brynje.no; anni@visees.no; info@lcitw.com; eldorado@yknet.ca; mbphotos@rockisland.com; socks@wigwam.com; rtraini@akteamsters.com; info@usibelli.com; hsl@xyz.net; frobb@bepc.com; info@kenaichrysler.com; Lbeck@udelhoven.com; sean.karin@alaska.net; amfurs@gci.net; wiggys@wiggys.com sce : http://www.helpsleddogs.org/sponsors.htm#Page

Et surtout massivement mortel puisque chaque lot de botox est testé sur 100 souris (test LD50) ; la toxine botulique etant très volatile, les lots ne sont pas identiques et "doivent" donc être testés ____________________ Dangereux, le Botox ? mardi 20 janv. 2009 Le ministère canadien de la santé vient d'annoncer que l'usage de la toxine botulique, commercialisée sous le nom Botox, pourrait avoir des conséquences néfastes, voire mortelles. D'après le ministère, il existe un risque de dispersion de la toxine dans d'autres parties du corps que celle où le Botox a été injecté. Outre le risque de dispersion, les symptômes sont un affaiblissement musculaire, des problèmes de déglutition, des pneumonies, des troubles de la parole et des difficultés respiratoires. A ce jour, aucun cas n'a été confirmé au Canada. Toutefois, les risques de dispersion seront à l'avenir mentionné sur les produits Botox et Botox cosmetic. La Food and Drug Administration américaine avait déjà mis en garde en février dernier. Source : DHnet.be Dangereux, le Botox ? - 20/01/09 http://www.express.be/business/fr/conso/dangereux-le-botox/102052.htm

En Angleterre, des pelouses disparaissent au profit de plantations d'arbres fruitiers, et de potagers. Grow your own: The seeds of change - 18/01/09 http://www.independent.co.uk/environment/green-living/grow-your-own-the-seeds-of-change-1418921.html

extrait de la lettre d'info de l214 : La consommation de lapin a chuté de 10% en 2008, conséquence de la baisse du nombre de ménages ayant acheté de la viande de lapin. Cela représente les vies d'au moins 2 millions de lapins. Le manque de visibilité de la viande de lapin dans les rayonnages des supermarchés et l'action des associations de protection animale sont évoqués par l'office de l'élevage comme cause probable de cette baisse. (sce Office de l'élevage)

...C'était il y a juste dix ans, le 15 janvier 1999. Alertés par des témoignages, les gendarmes avaient réalisé une descente dans la ferme de Roger Flas, 50 ans, route de Trélon à Fourmies. L'homme était interpellé puis écroué au vu de la situation de son exploitation agricole de 40 ha. « C'est la ferme de l'horreur », avait lâché un gendarme. Tout était dit. Le 6 mars suivant, M. Flas comparaissait devant la justice. Elle lui reprochait « le manque de soins à 160 animaux ». À la barre, il fut aussi question d'un troupeau de porcs se nourrissant de cadavres de leurs congénères, de césariennes de vaches pratiquées par le prévenu, de la viande vendue en direct, d'animaux morts étouffés dans leur lisier... ...Hier, les agents de l'État ont cru vivre un remake de 1999. Des animaux pataugeant dans 50 cm de lisier, livrés pour la plupart à eux-mêmes. ...La SPA, qui a déposé hier une plainte pour « mauvais traitements envers animaux », souhaite que « l'exploitation agricole s'arrête immédiatement et que les animaux soient euthanasiés et incinérés sur place ». Et l'intéressé ? Rencontré la semaine dernière, M. Flas se défendait : « Mes bêtes sont en bonne santé je suis en règle, la DDSV me contrôle chaque année. » Gardé à vue, il devrait être présenté à la justice sous peu. Fourmies : la « ferme de l'horreur » avait repris ses vieilles habitudes - 20/01/09 www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2009/01/20/article_fourmies-la-ferme-de-l-horreur-avait-rep.shtml

Parce qu'il saccage les cultures, transforme les berges en gruyère, est porteur de maladie, il est placé sous haute surveillance. La lutte contre le rat musqué, obligatoire, est confiée aux Groupements de défense contre les organismes nuisibles. Rencontre avec Lucien Perment, le chasseur de rats musqués de Bachy. Lucien Perment n'est pas devenu correspondant du GDOn - prononcer Gédéon, comme le canard -, par hasard. Plutôt par nécessité. Il y a cinq ans, alors qu'il tondait son terrain de 2,5 ha aux abords de l'étang, son tracteur s'est enfoncé. « Je le retenais par l'arrière, faisant contrepoids avec mon corps, sinon il aurait fini dans l'eau, se souvient le Bachynois en riant. Heureusement, pour une fois, j'avais mon téléphone portable sur moi ! » Raison de cet effondrement : les multiples galeries creusées par les rats musqués, qui ont fragilisé la berge. Le terrain de Lucien Perment est infesté. Forcément, ces petites bêtes, qui peuvent atteindre 67 cm, adorent les mares et les fossés. Elles construisent leur terrier dans la terre mais à fleur d'eau, pour brouiller les pistes. Prolifération Seuls prédateurs connus : le renard et le vison d'Amérique, encore peu répandu en France. Les rats musqués adorent les champs de maïs et les laissent dévastés. Ils sont vecteurs d'une maladie, la leptospirose (une bactérie qui entraîne une insuffisance rénale et dont on peut confondre les symptômes avec la grippe), parfois mortelle chez l'homme. « Et un seul couple est à l'origine d'une centaine de jeunes par an » , relève Lucien Perment. Autant d'éléments qui ont convaincu le Bachynois de s'impliquer dans la lutte contre ce fléau rural. Une lutte extrêmement réglementée, surtout lorsqu'elle est chimique. « Les appâts empoisonnés ne sont autorisés que de mi-février à fin mars, après la période de la chasse » , explique le référent GDOn. C'est lui qui se charge de la « traçabilité » des betteraves toxiques distribuées aux habitants infestés. « Tout est noté : leur nom, la quantité... Pour Bachy, nous comptons environ 450 kg ». Pour combien de rats tués ? Difficile à savoir : les appâts se placent devant l'entrée du terrier, loin des habitations. Les animaux les emportent sous terre... et y restent. Mais pour Lucien Perment, c'est la dernière campagne : « La lutte chimique est interdite à partir de 2009 ». Ne restent alors, pour se débarrasser des rongeurs que les nasses, utilisables par tous, ou les pièges, qui exigent une formation à la fédération des chasseurs du Nord, à Chéreng. Les chasseurs patentés ont également le devoir de les tuer. C'est pour inciter les particuliers à occire les rats musqués que le GDOn propose une rétribution d'1,20 E par queue rapportée. « Une contribution à l'achat de pièges », explique Lucien Perment qui, depuis cinq ans, compte ces sinistres trophées sur les doigts d'une main. Il craint que l'abandon de la lutte chimique n'entraîne une recrudescence de cet ex-cousin d'Amérique. La tête du rat musqué mise à prix - 20/01/09 http://www.nordeclair.fr/Locales/Villeneuve-d-Ascq/Environs/2009/01/20/la-tete-du-rat-musque-mise-a-prix.shtml

Sommaire du numéro 30-31 > Présentation du numéro 30-31 - La Rédaction > Abolitionnisme versus réformisme - Martin Balluch > Démanteler l’industrie de la viande - Erik Marcus > Message de Martin Balluch au mouvement international pour les droits des animaux – 9 juin 2008 > Déclaration de Martin Balluch après sa libération – 11 septembre 2008 > La volonté des animaux - David Chauvet > Théodore Monod et les protestants français défenseurs des animaux Jean Nakos > Un certain Théodore : souvenirs, réflexions et sentiments sur Théodore Monod - André Méry > Fondements éthiques pour une alimentation végétarienne : un livre d’Helmut Kaplan - Clèm Pour le commander : http://www.cahiers-antispecistes.org/spip.php?article372

Nouveau site : Abolir la viande

Outre l'article du figaro, posté l'autre jour, on trouve : Manger végétarien, c'est sain - 14/01/09 http://www.enviro2b.com/environnement-actualite-developpement-durable/27397/article.html Etre végétarien sans carences - 15/01/09 http://www.metrofrance.com/x/metro/2009/01/13/VpQ7DhPdlC6As/index.xml Manger végétarien est plutôt bon pour la santé - 16/01/09 http://www.lemonde.fr/aujourd-hui/article/2009/01/15/manger-vegetarien-est-plutot-bon-pour-la-sante_1142201_3238.html?xtref= Végétarisme et équilibre alimentaire- 16/01/09 http://www.femmeactuelle.fr/sante/la-sante-dans-l-assiette/vegetarisme-et-equilibre-alimentaire-01795

Stop au mauvais traitement des animaux ! Même si l’Union européenne détient une législation avancée en matière de bien-être des animaux durant leur transport, certains Etats-membres sembleraient ne pas l’appliquer correctement. Le Britannique Neil Parish (membre du Groupe du Parti populaire européen et des Démocrates européens- PPE-DE), Président de la commission parlementaire de l’agriculture et du développement rural a demandé à la Commission européenne d’expliquer les mesures qui avaient été prises pour mettre en application les règles de bien-être agricole et pour réduire la souffrance des animaux. Il a par ailleurs évoqué son inquiétude quant aux conditions de transport des chevaux et a déclaré qu’une société civilisée était jugée non seulement selon sa manière de traiter les êtres humains mais également selon son respect des animaux. Sur ce sujet, Vladimír Špidla, commissaire européen en charge de l’emploi, des affaires sociales et de l’égalité des chances a partagé l’avis de M. Parish, en déclarant que le traitement des animaux était une question éthique. La majorité des intervenants a déploré le fait que la législation n’était pas respectée dans certains Etats-membres de l’Union et ont demandé à ce qu’elles soient misent en application de manière rigoureuse. C’était jeudi en plénière : droits de l’Homme, transport des animaux et régime méditerranéen - 16/01/09 http://www.europarl.europa.eu/news/public/story_page/008-45739-012-01-03-901-20090108STO45646-2009-12-01-2009/default_fr.htm

Could it be karma, bad luck, or merely unfortunate circumstances that have victimized the Japanese whaling fleet in the Antarctic region? The three-vessel fleet, which has been hounded relentlessly by a crew aboard a Sea Shepherd Society ship, has already lost a crewman, who fell overboard and is presumed drowned. More recently, one of its damaged ships, the Yushin Maru #2, has been ordered to leave the Port of Surabaya, East Java, in Indonesia before making repairs to its propeller. Australia and New Zealand do not allow the ships in their ports because large-scale commercial whaling has been condemned internationally. Now, it seems, neither will Indonesia, which received communiques from Australia asking that it deny the whaling ships any services. Among them, according to Sea Shepherd, was this one from Mayor Peter Tagliaferri of Fremantle, to Port officials and Mayor Banbang Dwi Hartono of Surabaya: "The city of Fremantle does not support the illegal slaughter of whales and has constantly conveyed this through diplomatic processes to the Japanese government. "I believe the Yushin Maru #2 is seeking propeller repairs in your port as a result of ice damage. "The city of Fremantle would not support this vessel to enter our fishing boat harbour to seek repairs to continue an illegal activity. "I, as Mayor of the City of Fremantle, urge you to also not allow this vessel to be repaired in your port and as a result the Yushin Maru #2 will not be able to rejoin the illegal whaling." So for now there are only two viable whaling ships pursuing a seasonal quota of 935 minke whales and 50 fin whales. The way things are going, it appears they'll fall substantially short. -- Pete Thomas Japonese whaling fleet endures rising tide of opposition - 15/01/09 http://latimesblogs.latimes.com/outposts/2009/01/post-3.html

Si l’Union européenne a considérablement amélioré la législation sur le bien être des animaux pendant leur transport, le mauvais traitement de nombre d’entre eux est toujours d’actualité : stress, blessures, épuisement et déshydratation, sans compter les longues heures d’attentes jusqu’à leur destination. Certains députés européens expriment leur préoccupation quant à la mise en application du règlement en la matière. Rencontre avec deux d’entre eux avant le débat prévu, jeudi 15 janvier 2009 « J’ai été en contact régulier avec de nombreuses organisations qui disposent de preuves démontrant que la législation existante n’est pas appliquée dans plusieurs Etats-membres », a déclaré Neil Parish (Britannique, membre du Groupe du Parti populaire européen et des Démocrates européens - PPE-DE), Président de la commission parlementaire de l’agriculture et du développement rural et Président de l’intergroupe sur le bien-être animal. Même s’il avait déjà fait pression auprès de la Commission européenne pour que des dispositions soient prises, selon lui « rien n’est encore fait pour les Etats-membres en infraction ». Les chevaux sont les plus vulnérables M. Parish nous a avoué que sa plus grande préoccupation concernaient les chevaux, pour lesquels les trajets longue distance sont problématiques. « Ils ont des besoins spécifiques. La législation en question avait pour but de les protéger ; maintenant, il faut la faire appliquer ». Selon Elizabeth Lynne (Britannique, membre du Groupe Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe- ALDE), il existerait actuellement « des preuves accablantes démontrant que les lois européennes visant à préserver le bien-être animal lors des longs transports sont bafouées, ce qui provoque des souffrances inutiles ». Elle ajoute : « les chevaux sont entassés comme des sardines dans des camions dans lesquels la température peut grimper jusqu’à plus de 40 degrés et peuvent être transportés durant des milliers de kilomètres sans nourriture et sans eau. Il y a des blessures, et parfois, des morts ». Il faut réagir ! « Il est essentiel que les gouvernements de l’Union européenne et la Commission européenne agissent rapidement afin de s’assurer que les lois existantes sont correctement appliquées et qu'il existe des sanctions appropriées », a expliqué la Britannique. Alors que le débat aura lieu ce jeudi à 10 heures M. Lynne a déclaré espérer que sa déclaration écrite ainsi que le débat « sensibiliseront à la fois mes collègues députés et le public en général et qu’ils constitueront une avancée dans l’atténuation du traumatisme auquel ces animaux sont sujets, et qui pourrait être évité ». Transport des animaux - faire respecter la législation - 15/01/09 http://www.europarl.europa.eu/news/public/story_page/032-45737-012-01-03-904-20090108STO45644-2009-12-01-2009/default_fr.htm

oooooooups http://folialumiere.com/mexicounido/index.php?option=com_petitions&view=petition&id=1&Itemid=6 Je crois que ça va cette fois, voui ?

En Hongrie aussi, le parlement a déclaré que le foie gras faisait partie de l'héritage culturel du pays et qu'il devait, à ce titre, être protégé ! ________________ We will resume production of foie gras at our factory in Szentes (south east Hungary) next week,” József Magyar, CEO of meat producer Hungerit Zrt announced last week. Magyar is confident that animal rights organisation Four Paws will no longer be able to damage the company following Parliament’s declaration that goose liver is part of the country’s national heritage and should be protected. Animal rights group Four Paws placed Hungerit Zrt on its black list because it considers force-feeding geese to enlarge their livers unethical. As a result Hungerit lost several of its Austrian and German partners in the second half of 2008. The aggressive campaign meant that Hungerit had to lay off 200 employees and temporarily stop production in September. According to a report in the business daily Napi Gazdaság Hungerit lost revenues of some HUF 4 billion (roughly EUR 14.7 million) as a result. The Hungarian Poultry Farmers’ Association estimates the total damage suffered by Hungarian agriculture at some HUF 7 to 8 billion (EUR 25.72-29.32 million) Traditional Hungarian goose liver threatened to disappear altogether. At the end of November, however, Parliament declared followed the example of the French Parliament by declaring goose liver part of the national heritage that should be protected. Hungerit now intends to continue production. László Bárány, president of the Poultry Farmers’ Association is even planning to take legal action against the Austrian parent organisation of Four Paws and is seeking the legal representation of a reputable German law firm, he told the daily Népszava. It is debatable whether German and Austrian chains will still be interested in buying the products following the negative campaign. As a result Hungarit intends to reduce production. According to József Magyar only 16,000 to 20,000 animals will be slaughtered each week compared to the usual 30,000. Goose liver production on again - 14/01/08 http://www.budapesttimes.hu/content/view/10511/219/

sce : animauzine.net Nous avons lancé une pétition internationale afin de demander au gouvernement du Mexique la prompte mise en place d’une législation de protection des droits des animaux, et la création d’une position légale honnête pour eux au sein de la Constitution mexicaine. Votre participation est précieuse, aussi nous vous serions très reconnaissants de bien vouloir contribuer avec votre signature et avec votre aide pour diffuser cette sollicitude. Merci beaucoup d’avance. http://folialumiere.com/mexicounido... (La traduction en français du texte de la pétition se trouve en bas de page, juste au-dessus le formulaire de signature) Merci !

Samedi 3 janvier, les responsables sanitaires du Bengale-Occidental annonçaient la réapparition du virus H5N1 parmi des oiseaux d'élevage de cet Etat de l'est de l'Inde. Ils révélaient également que des milliers de poulets avaient récemment succombé à cette infection virale dans le district de Darjeeling. Quelques jours plus tard, les autorités chinoises émettaient en urgence un bulletin d'alerte à la grippe, ordonnant la fermeture de plusieurs marchés aux volailles dans une province proche de Pékin. Elles décidaient, dans le même temps, un renforcement de la surveillance du commerce de volailles vivantes et une série d'inspections des abattoirs et des élevages. Cette initiative faisait suite au décès d'une jeune femme de 19 ans infectée par le virus H5N1. On observe ainsi, à échéance plus ou moins régulière, l'émergence, dans différents pays, de bouffées épizootiques causées par le virus. Ce phénomène est plus ou moins associé à des cas de transmission du virus à des personnes ayant été en contact avec des oiseaux d'élevage infectés. On a aussi observé quelques cas de transmission interhumaine. Environ la moitié des personnes contaminées par le virus aviaire décèdent. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) estime que le virus a causé la mort de 250 personnes, le plus souvent dans des pays d'Asie du Sud-Est. Depuis 2003, son émergence en Asie et sa rapide extension géographique aux continents européen et africain, l'épizootie de grippe aviaire semble marquer le pas. Les mesures de lutte recommandées par l'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) ont fait preuve de leur efficacité, grâce à l'association d'une surveillance épidémiologique vétérinaire, de l'abattage systématique et la destruction des oiseaux des élevages infectés et de l'indemnisation rapide des éleveurs concernés. Pour Bernard Vallat, directeur général de l'OIE, si le risque de transmission lié aux oiseaux sauvages semble avoir diminué, celui associé au commerce des oiseaux demeure, dans la mesure où le virus sévit sur un mode endémique dans certains pays qui ne sont pas parvenus à l'éradiquer. C'est notamment le cas de l'Egypte et de l'Indonésie où, selon l'OIE, la mobilisation demeure largement insuffisante. Quant à la Chine et au Vietnam, ils ne parviennent, pour l'heure, à gérer la situation qu'au prix d'une vaccination systématique et coûteuse de leurs oiseaux d'élevage. Jean-Yves Nau L'épizootie de grippe aviaire semble marquer le pas - 14/01/09 http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/01/14/l-epizootie-de-grippe-aviaire-semble-marquer-le-pas_1141629_3244.html?xtref=?xtref=

Californie, États-Unis - La pêche et la chasse accélèrent la vitesse d’évolution des espèces car des générations entières d’adultes qui auraient dû se reproduire sont exterminées. Les populations sauvages sont en constante évolution à cause de leur environnement et de la sélection naturelle. Mais la chasse de spécimens mûrs de certaines espèces par les hommes fait qu’ils ne transmettront pas leur patrimoine génétique fort. Le résultat est que la variation de la morphologie des animaux se fait trois fois plus vite qu’à la vitesse naturelle, et qu’ils deviennent beaucoup plus petits. D’après le Docteur Chris Darimont, un chercheur post-doctorant en environnement de l’université de Californie, les populations de certains poissons chassés sont en moyenne 20 % plus petits que ceux de la génération précédente, et leur première reproduction se déroule en moyenne 25 % plus tôt. "Les organismes chassés sont ceux qui changent le plus rapidement dans la nature, probablement parce que nous supprimons des proportions importantes de leurs populations avec des conséquences sur l'ensemble de l'espèce", explique M. Darimont. Les découvertes du docteur Darimont sont basées sur l’analyse de 34 études scientifiques qui ont suivi 29 espèces à la trace sur 40 systèmes géographiques spécifiques. La plupart des études se sont concentrées sur les impacts affectant des espèces de poissons, mais d’autres se sont intéressées à certains invertébrés, comme la patelle ou l’escargot, à des mammifères comme le mouflon ou le caribou et même, à deux espèces de plantes : le lotus des neiges himalayen, et le ginseng américain. La pêche et la chasse par l'Homme accélèrent l’évolution des espèces - 14/01/09 http://www.maxisciences.com/chasse/la-peche-et-la-chasse-par-l-039-homme-accelerent-l-evolution-des-especes_art581.html

LE CAIRE, 12 janvier (Xinhua)-- L'Egypte a confirmé lundi un nouveau cas humain de grippe aviaire, ce qui porte le nombre total des personnes infectées par l'épizootie dans le populeux pays à 52, a rapporté l'agence de presse officielle MENA. Asmaa Mohamed, âgée de 21 mois, a été hospitalisée pour recevoir des soins médicaux, après avoir développé des symptômes, tels que de la fièvre et des vomissements, a expliqué le ministre adjoint égyptien de la Santé, Nasr el-Saïed. Cette enfant était originaire de Kerdassa, une ville du gouvernorat du 6 octobre, a affirmé le responsable, ajoutant qu'elle a été infectée par le virus après des contacts avec des oiseaux malades. En décembre dernier, une adolescente égyptienne de 16 ans vivant dans le gouvernorat d'Assiout est morte de la grippe aviaire, portant le bilan des cas humains mortels en Egypte à 23. L'Egypte a détecté la première apparition du virus H5N1 sur des volailles mortes en février 2006 et rapporté sa première infection humaine en mars de la même année L'Egypte confirme un nouveau cas humain de grippe aviaire - 13/01/09 http://www.french.xinhuanet.com/french/2009-01/13/content_797566.htm

En France, ils seraient entre 1 % et 2 %, selon le Centre d'information des viandes (CIV). Contrairement aux idées reçues, être végétarien n'est pas mauvais pour la santé. C'est en tout cas ce qu'estiment Bernard Guy-Grand, vice-président de l'Institut français pour la nutrition (IFN), ancien chef de service à l'Hôtel-Dieu (Paris), spécialiste de la nutrition, et Fernand Lamisse, professeur émérite de nutrition, ancien chef de service des hôpitaux de Tours. (...) Les végétariens ont moins de tension et de diabète - 14/01/09 http://www.lefigaro.fr/sante/2009/01/14/01004-20090114ARTFIG00362-les-vegetariens-ont-moins-de-tension-et-de-diabete-.php

bouleversant

Sur les bords de la rivière Galana, à la lisière du Park National du Tsavo Est au Kenya, le grand buffle mâle «Kulafumbi» aime passer quelques heures, la nuit tombée, à s'y promener paisiblement et à s'y abreuver. Lorsque tout est calme et que les quelques humains qui vivent non loin de là dorment à poings fermés, la nature appartient à la faune sauvage. Plus tard, comme chaque soir, «Kulafumbi», satisfait, retournera se cacher dans la brousse profonde et touffue. La brousse, il y a encore peu un refuge sûr, se transforme en cauchemar pour les animaux du Kenya et de l'Afrique tout entière. Des dizaines de milliers de pièges fabriqués avec du fil de fer sont placés çà et là par des braconniers afin de piéger tout ce qui bouge. (...) «Kulafumbi» VERA WEBER - 13/01/09 http://www.lenouvelliste.ch/fr/news/invite/index.php?idIndex=862&idContent=126743#comments Petite remarque tout de même : la brousse n'est pas un refuge sûr. Les animaux d'Afrique ou d'ailleurs ne vivent pas en lieux sûrs.

La production porcine attendue pour le premier semestre 2009 est en recul de 4%. Presque tous les pays de l'Union européenne annoncent une baisse, celle-ci atteignant 15% en Pologne. Entre le 1er juillet 2008 et le 30 juin 2009, la production porcine (Pib) européenne (UE à 27) chuterait de 3,4 % par rapport à la même période de 2007-2008, estime Agreste dans ses statistiques. Elle devrait atteindre 257 millions de têtes contre 266 millions précédemment. La Pologne, cinquième producteur européen, pronostique une baisse de production de 15 % sur le premier trimestre 2009, soit une perte de 1,8 million de têtes. Cette diminution prolonge la tendance entamée l'année dernière et liée aux fortes restructurations en cours dans ce pays où se développent des élevages plus intensifs. Globalement, dans les pays à l'est de l'Europe, la baisse au premier trimestre atteindrait 11,6 %. Dans l'UE à 15, la baisse serait plus modérée, la Pib passant de 106 500 têtes à 104 000 au premier semestre 2009 (- 2,4 %). L'Allemagne reste le principal pays producteur, avec une production qui ralentirait de 2 % au premier semestre 2009. La baisse anticipée par l'Espagne atteindrait 3,5 %, en lien avec la diminution du cheptel de truies observée au printemps 2008. Le Danemark resterait au troisième rang juste devant la France malgré une production attendue pour le premier semestre 2009 en baisse de 4,5 % et un cheptel en fort recul. Aux Pays-Bas, une baisse de production est également envisagée mais elle est moindre que dans les pays voisins (- 1,4 %). A l'inverse, l'Italie et le Royaume-Uni anticipent une reprise. En effet, après plusieurs années de progression, l'Italie prévoit encore une hausse de 3,5 % de sa production, liée au bon positionnement sur le marché intérieur de sa filière spécifique de porcs lourds. Le Royaume-Uni prévoit une Pib en hausse de 3,1 %, les exploitations ayant résisté à la crise anticipant déjà la reprise du marché en 2009. En Belgique, la production resterait stable. Nouvelle baisse de production attendue pour 2009 (source Eurostat) source : Agreste Conjoncture décembre 2008 - 05/01/09 Moins de porcs en Europe en 2009 - 13/01/09 ]http://www.lettre-agri.com/article-26702473.html

Pour cause de crise financière, le Conseil général du Var a décidé de suspendre ses aides aux associations de protection animale, peut-on lire sur varmatin. L’avenir des petits protégés de l’Association Toulonnaise des Amis du Chat (ATAC) serait-il donc en danger ? La lettre du Conseil général du Var, adressée également à d’autres associations notamment celles œuvrant dans la protection des animaux, était comme une douche froide pour le refuge de Lagoubran. Elle annonçait en effet la suspension des aides départementales allouées au refuge depuis plusieurs années. La crise économique qui touche de nombreux secteurs serait à l’origine de cette douloureuse décision. La présidente d’ATAC, Patricia Imbert, n’a pas tardé à réagir et a fait part de ses inquiétudes concernant l’avenir de l’association qui ne fonctionne que par les aides de la commune et du département, outre les dons de particuliers et les adhésions. Les 20.000 euros d’aide que le département veut suspendre, représentent une part importante dans le budget de fonctionnement du refuge estimé à 90.000 euros. Cette somme représente et assure en fait le salaire annuel d’un employé sous contrat à durée indéterminée. Sa suppression mettrait inévitablement la structure en danger. L’application de cette décision ne se fera certainement pas sans contestation, certaines associations se trouvant dans la même situation projettent en effet de manifester devant le parvis du Conseil général. Affaire à suivre. Le Conseil général du Var va suspendre ses aides aux associations de protection animale - 13/01/09 http://www.waliboo.com/chats/tag/le-conseil-general-du-var-va-suspendre-ses-aides-aux-associations-de-protection-animale/36859