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  1. Communiqué L214 La filière cunicole a tenté de faire interdire la campagne de la SPA et de L214 contre l'élevage intensif de lapins 21 décembre 2008 La Cour d'appel de Paris confirme la légalité de cette campagne mais interdit le film « Le lapin : garanti 100% cage ». La campagne continue L'élevage de lapins en batterie est mis en cause par plusieurs campagnes de protection animale menées en Europe. Le concentré de souffrance qu'implique l'élevage industriel s'exprime à plein dans ce secteur, et touche le public dès lors qu'il est porté à sa connaissance. En France, la campagne de sensiblisation des consommateurs et distributeurs contre « Le lapin : garanti 100% cage » est menée par L214 et la SPA. Le CLIPP (interprofession cunicole) s'efforce de faire cesser cette campagne par voie judiciaire. Débouté en juillet dernier suite à son assignation en référé, le CLIPP a fait appel. Ce 17 décembre, la Cour d'appel de Paris a rendu sa décision. En vertu de la liberté d'expression, l'arrêt reconnaît aux associations de protection animale le droit de faire campagne contre l'élevage de lapins en cage. Celles-ci poursuivront avec détermination l'action entreprise dans ce domaine. >> Voir le dossier Lapin : garanti 100% cage http://www.l214.com/lapins >> Télécharger l'intégralité de la décision de la cour d'appel http://www.l214.com/fichiers/pdf/171208-jugement-appel.pdf Interdiction faite à la SPA et L214 d'utiliser le film « Le lapin : garanti 100% cage » dans leur campagne Par ailleurs, le film « Le lapin : garanti 100% cage », dont certaines séquences ont été tournées par des personnes présentant de fausses cartes professionnelles, doit cesser d'être utilisé dans la campagne des deux associations dans un délai de 8 jours. Par décision de justice, l'équipe de L214 fera donc disparaître les extraits de ce film du site de l'association et ne l'utilisera pas lors des actions qu'elle mènera dans le cadre de sa campagne « lapins ». Les précautions systématiques prises par les filières d'élevage et les abattoirs pour empêcher les associations de protection animale de filmer les conditions ordinaires de vie et de mise à mort des animaux soulèvent une interrogation fondamentale : comment montrer les réalités de la production de viande ? Comment respecter le droit à l'information des citoyens et leur permettre des choix éclairés en matière de bien-être animal, si ne filtrent que des images contrôlées par des acteurs qui ont intérêt à masquer la face sombre de leurs pratiques ? L214 met au défi les éleveurs et les abattoirs de la filière cunicole d'ouvrir leurs portes aux caméras de l'association. http://www.l214.com/communications/elevage-lapin-interdiction-image
  2. La flotte japonaise n'a jamais été rejointe aussi rapidement. On peut donc espérer qu'il y aura plus de baleines épargnées. Whale Wars Finale Ends as Whale Wars Two Begins - 20/12/08 http://www.seashepherd.org/news-and-media/sea-shepherd-news.html
  3. Des membres de l'organisation de défense des animaux Bite Back ont protesté samedi après-midi dans le centre de Gand contre la consommation de viande animale. Deux d'entre eux s'étaient glissés nus sous emballage en cellophane à même le sol. Bite Back entendait de la sorte inciter les consommateurs à acheter également en période de fêtes de fin d'année des produits végétariens ou respectueux des animaux. (DAD) Des militants de la cause animale nus sous cellophane à Gand - 20/12/08 http://www.rtlinfo.be/rtl/news/article/205359/--Des+militants+de+la+cause+animale+nus+sous+cellophane+%C3%A0+Gand Courageux par ces températures
  4. Mon frère animal PAR Jean-Louis Gueydon de Dives Politis - jeudi 11 décembre 2008 En juin 2008, se sont tenues les rencontres « Animal et société », supposées combler les lacunes du Grenelle de l’environnement en matière de protection des animaux. Le peu qui y fut décidé n’a pas été mis en œuvre jusqu’ici [1]. Il est vrai qu’une bande de députés de droite veut nous faire croire qu’il n’y a rien à changer en matière de bien-être animal, que l’on peut tranquillement continuer à gaver les oies, empiler les lapins dans des clapiers et les poules en batterie, chasser à courre le chevreuil, ou extraire avec des pinces les « nuisibles » de leurs terriers. Tout cela au nom de la « tradition » et d’arguments spécieux sur la nécessité de ces tueries. Cette célébration d’un « humanisme » tout-puissant rejoint la pensée du philosophe de droite Luc Ferry, qui se plaît à rappeler [2] que les nazis ont été les premiers à protéger la nature, et qui voit dans les défenseurs des animaux des terroristes potentiels… À l’inverse, il est des gens pour comparer les élevages industriels aux camps d’extermination, tel Isaac Bashevis Singer, prix Nobel de littérature 1978, ou encore Adorno, lorsqu’il écrit [3] : « Auschwitz commence quand quelqu’un regarde un abattoir et pense : ce ne sont que des animaux »… On est dans l’irrationnel : aux faux arguments des uns répondent la colère et l’émotion des autres, car il n’y aura jamais de « raison » valable de torturer des innocents, ni de limite « raisonnable » aux massacres collectifs. Alors, si la droite se veut utilitariste et cruelle, il n’est pas interdit à une gauche « écologiste, féministe et sociale » d’avoir le souci de la souffrance d’autrui. Il y aura toujours des gens pour démontrer « rationnellement » que les sangliers doivent être nourris afin d’être abattus, que les taureaux doivent être élevés pour être mis à mort, que les expérimentations animales sont nécessaires au progrès scientifique et que la chasse contribue à la protection de la nature… Mais on n’est pas obligé de les croire, car on pourrait tout aussi bien démontrer l’inverse. En cette matière, plutôt que son mental, il est plus sûr d’écouter son cœur. Et le mien me dit que toute vie est sacrée, que la beauté de la biodiversité me comble de bonheur, que les animaux sont mes frères, et qu’il n’y a pas bien loin de l’indifférence à la souffrance animale à l’indifférence à la souffrance humaine. Et puis l’animal peut m’enseigner bien des choses, que ne m’apprendront jamais les philosophes. « Les oiseaux des cieux, les animaux qui sont sous la terre et sur la terre, et les poissons dans les mers, ce sont eux qui vous conduisent vers le Divin [4]. » Notes [1] Une commisions gouvernementale se réunit le 12 décembre. [2] Le Nouvel Ordre écologique, Grasset, 1992. [3] Cité par Charles Patterson dans Un éternel Treblinka, Calmann-Lévy, 2008. [4] Papyrus d’Oxyrhynchus, cité par John Lash sur le site www.metahistory.org. http://www.politis.fr/
  5. Le Steve Irwin, bateau de Sea Shepherd, a rejoint le baleinier japonais. Sea Shepherd Finds and Engages the Japanese Whaling Fleet!!!!! - 19/12/08 http://www.seashepherd.org/news-and-media/news-081219-1.html
  6. Deux éléphants ont été abattus dans le parc des Virunga, dans l'est de la République démocratique du Congo, par des miliciens des Pareco (Patriotes résistants congolais), a indiqué vendredi une ONG locale. "La situation est critique dans le parc des Virunga où les combattants du mouvement Pareco ont tué avant-hier (mercredi) deux éléphants", a déclaré Bantu Lukambo, directeur général de l'ONG Innovation pour le développement et la protection de l'environnement (IDPE). "Nous lançons un appel aux autorités gouvernementales et à la communauté internationale pour démilitariser le parc, sinon nous allons assister à une extinction totale des espèces animales dans ce site", a-t-il ajouté. Classé au patrimoine mondial par l'Unesco (Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture), le parc des Virunga ne comptait plus en 2006 que 350 éléphants, contre 3.500 en 1959, selon l'Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN). Ce responsable a ajouté que les hippopotames au niveau de Vitshumbi - situé au bord du lac Edouard, à 120 km au nord de Goma - et qui étaient estimés à 200, ont été emmenés en Ouganda par des hommes armés. "Pour le moment, il n'y a plus d'hippotame dans le parc. Nous attendons la fin de la guerre pour espérer leur retour en provenance d'Ouganda", a-t-il souligné. RDC : deux éléphants abattus par des miliciens dans le parc des Virunga (est) - 19/12/08 www.tele-animaux.com/
  7. hop

    C'est pour quand qui vous faut

    S'agit-il de ce qui est décrit là : Vous avez une déchirure rétinienne? Le vitré, substance gélatineuse qui se retrouve à l'intérieur de l'oeil, est solidement attaché à la rétine à quelques endroits. Avec l'âge, le vitré se liquéfie et peut se séparer de la rétine, ce qui est un processus normal du vieillissement de l'oeil. Alors qu'il se liquéfie, le vitré peut tirer sur une partie de la rétine et conduire à une déchirure de celle-ci. La déchirure de la rétine apparaît subitement et se manifeste généralement par la vision subite d'éclairs de lumière à un endroit fixe du champ de vision. La perception d'un ombrage qui semble flotter et/ou une vision brouillée dans une partie ou la totalité du champ visuel constituent des symptômes associés à la déchirure de la rétine. (...) http://www.vision-expert.com/pages/urgences.html ________________________________ Peut-être que ces traitements ne se font qu'à partir du moment où il y a déchire, pour éviter le décollement de la rétine, comme il est dit dans l'extrait ci-dessous. Quoi qu'il en soit, demander l'avis d'autres médecins, ce serait une bonne chose. Sur un forum (sujet Laser déchirure rétinienne décollement de rétine) : Docteur Marc Timsit a écrit: Il n'y a pas de possibilité de prévenir une déchirure de la rétine. La prévention consiste, lorsqu'une déchirure a été dépistée, à prévenir un décollement de la rétine par un traitement au laser. Une déchirure, même non traitée n'entraîne pas forcément un décollement de la rétine. Les signes d'alerte invitant à consulter sont décrits sur le site. http://www.ophtalmologie.fr/decollement-retine.html Si un examen attentif de la rétine périphérique au verre à 3 miroirs a été fait récemment, il n'y a pas lieu de reconsulter avant quelques mois sauf si parmi les symptômes décrits sur le site, de nouveaux apparaissaient. (...). http://www.ophtalmologie.fr/operation-myopie/laser-dechirure-retinienne-decollement-retine-t127.html Et sinon, tu as des troubles visuels très génants ? Pauvre pucette, ça devait lui manquer.
  8. L'association de défense des animaux GAIA a présenté jeudi à Bruxelles sa nouvelle campagne de fin d'année contre la souffrance des animaux pour le foie gras. Pour l'occasion, elle présente en alternative son propre produit, le "Faux Gras de GAIA", en vente dans différents magasins bio en Belgique. Le "Faux Gras de GAIA" est un pâté végétal qui est déjà commercialisé mais il sera mis en rayon avec un étiquetage de l'association de défense des animaux, au prix de 2,19 euros. Il présente la même texture que le foie gras et aurait un goût similaire. Agonie "La souffrance qu'on inflige aux animaux est silencieuse, mais réelle. Les canards sont rendus malades, affalés, ils halètent et ils n'en peuvent plus", a témoigné Philippe Lapaque, un ex-gaveur de canards français de la région de Pau. GAIA a également montré de nouvelles images filmées en caméra cachée, en 2008, qui proviennent de trois élevages français qui nourrissent des canards de force pour le foie gras. Ces images montrent plusieurs animaux agonisants ou morts, enfermés individuellement dans des cages minuscules. Les canards reçoivent un embout métallique de 20 cm de long enfoncé jusqu'au jabot. Après, la machine à gaver pneumatique envoie une pâtée de maïs gras, explique GAIA. Sans souffrance "Nous sommes plus que déterminés à mettre fin à la souffrance des canards et des oies pour la production intensive de foie gras", a déclaré Ann De Greef, directrice de GAIA qui revendique l'interdiction des systèmes les plus intensifs et les plus cruels. "Nous voulons mettre les alternatives respectueuses des animaux en première place dans l'agenda politique et social." Via un spot radio et des publicités dans des journaux, GAIA encourage les gens à choisir une alternative respectueuse des animaux et à ne pas manger de foie gras. En outre, un écran mobile circulera durant les vacances de Noël à travers des grandes villes du pays et des brochures seront distribuées aux passants qui pourront déguster des toasts de "Faux Gras de GAIA", garantis sans souffrance animale. (belga/ca) 18/12/08 13h54 Du "faux gras" pour remplacer le foie gras - 18/12/08 http://www.7sur7.be/7s7/fr/1524/Cuisine/article/detail/560151/2008/12/18/Du-faux-gras-pour-remplacer-le-foie-gras.dhtml
  9. Environ 150 chats, deux chiens et une quarantaine de petits animaux ont péri mercredi dans un incendie qui a ravagé les locaux d'une organisation de protection des animaux à Oshawa, en Ontario. ...Des employés des services d'urgence sont entrés dans l'immeuble et ont été en mesure de sauver dix chiens, deux chats et un rat nommé Bernard. Les autres animaux sont morts après avoir inhalé la fumée de l'incendie, a indiqué la police de la région de Durham. (...) Environ 150 chats et plusieurs autres animaux sont morts dans un incendie - 18/12/08 www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5jxOGoGbnVUwasUiAvYafsfi9MZWw
  10. sce : VOICE OF THE VOICELESS II http://voiceofthevoiceless2.forumactif.info/forum.htm STOP aux tueries des pics glandivores de Rossmor Les pics glandivores dans la communauté retirée de Rossmor dans le nord du Canada ont été un problème pendant des années. Les oiseaux font des trous pour stocker leurs glands dans les maisons qui sont construites en bois de chêne. Devant l'impossibilité de résoudre le problème ils ont émis une licence pour tuer 50 oiseaux. Cela ne fera qu'accroître le problème avec ces grands groupes d'oiseaux sociaux. Nous voulons développer une solution durable à la fois pour les oiseaux et les propriétaires. AIDEZ-NOUS s'il vous plaît à arrêter le massacre Voici la lettre que vous approuvez en signant cette pétition : "Chers M. Friesen et membres de l'HOA, Nous, les signataires, ne croyons pas que le meurtre des pics glandivores va résoudre le problème. Les experts, avec plus de 30 ans d'expérience dans l'étude des piverts "Acorn" statuent que cela ne fera que renforcer le problème. Nous tenons à voir le problème résolu plus humainement avec le remplacement des matériaux de construction fautifs et l'installation de greniers alternatifs. Merci pour votre attention et votre intérêt à cette pétition. Sincèrement, Diana Granados, "Chair Mt. Diablo Audubon Society's Acorn Woodpecker Task Committee" PETITION http://www.thepetitionsite.com/54/help-save-the-Rossmoor-Woodpeckers
  11. Un retraité berlinois de 60 ans vivait avec quelque 1.700 perruches dans son deux-pièces, ont révélé mercredi les services vétérinaires, qui ont dû évacuer les volatiles suite à des plaintes des voisins excédés par le bruit. ...Le retraité a d'abord adopté un oiseau puis s'en est acheté un autre, "afin de se sentir moins seul", puis les oiseaux se sont multipliés et l'homme a perdu le contrôle, a poursuivi M. Matz ...Les oiseaux ont pour la plupart été pris en charge par le foyer animalier de Berlin, tandis que d'autres ont été évacués vers Brême et à Hambourg (nord). ...La société protectrice des animaux de Berlin souligne que ce phénomène de "animal hoarding", ou "accumulation d'animaux", est de plus en plus répandu Uniquement la semaine dernière, plus de 160 animaux, chats, chiens, chèvres ou encore singes ont été "libérés" à Berlin A Berlin, 1.700 perruches évacuées d'un deux-pièces - 17/12/08 www.tele-animaux.com/afp/article_A-Berlin-1-700-perruches-evacuees-d-un-deux-pieces_33451.html
  12. (France) Rongeurs écrasés à coups de cage, poissons dévorés par un piranha changé de bocal : des cambrioleurs se sont livrés à des jeux macabres dans une animalerie de Saint-Quentin. A l'origine, il s'agissait d'un simple cambriolage. Mais il a vite dégénéré en plaisanterie sanglante. Les faits se sont produits dans la nuit de lundi à mardi dans une animalerie de Saint-Quentin, dans l'Aisne. (...) Criminalité - Massacre dans une animalerie - 17/12/08 http://tf1.lci.fr/infos/france/faits-divers/0,,4198642,00-massacre-dans-une-animalerie-.html
  13. (France) Les écologistes s'alarment d'une proposition de loi sur la chasse, présentée par le sénateur UMP Ladislas Poniatowski, qui doit être examinée jeudi à l'Assemblée nationale et pourrait, selon eux, représenter une menace pour l'alouette. Ce texte portant sur "l'amélioration et la simplification du droit de la chasse", adopté en première lecture au Sénat le 13 mai 2008, autorise l'utilisation pour la chasse du grand duc artificiel, qui est aujourd'hui autorisé uniquement pour la destruction des nuisibles, tels que les corbeaux, et sur arrêté préfectoral. Ces silhouettes articulées placées le plus souvent sur un piquet dans un champ attirent les passereaux tels que l'alouette des champs. "C'est absolument scandaleux. Cela fait peser une menace sur l'alouette, qui est une espèce qui, en 30 ans, a perdu la moitié de ses effectifs", a estimé Pierre Athanaze, président de l'Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas). "C'est rétrograde, c'est navrant, ce n'est pas de la gestion environnementale d'avenir", a jugé de son côté Allain Bougrain-Dubourg, président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO). Autre source d'inquitéude des écologistes: la proposition de loi supprime un article qui prévoit que les règles de sécurité, vis-à-vis des non-chasseurs et pour les chasseurs entre eux, doivent être fixées par un décret du Conseil d'Etat (qui n'a jamais été pris à ce jour). "Cela veut dire que les fédérations de chasse définiront les règles de sécurité chacune de leur côté. C'est dangereux, car d'un département à l'autre, les règles ne seront pas les mêmes", a regretté M. Athanaze. Selon le député vert Yves Cochet, qui a l'intention de déposer plusieurs amendements, cette proposition de loi, si elle ne représente pas un bouleversement profond, revient à "faciliter le fait de chasser de façon moins réglementée". Proposition de loi sur la chasse: les écologistes inquiets pour l'alouette - 16/12/08 www.tele-animaux.com/afp/article_Proposition-de-loi-sur-la-chasse-les-ecologistes-inquiets-pour-l-alouette_33449.html
  14. hop

    C'est pour quand qui vous faut

    C'est pas vrai !!! J'ai lu que les déchirures se soignent le plus souvent au lazer, et qu'elles pouvaient même être traitées en cabinet. Les problèmes aux yeux, c'est toujours angoissant. Je te souhaite bon courage pour ta visite, ma chère Cécil. J'espère que Sophie se remet, la povre chou ? Oui, je l'espère aussi. XXXXXXXXXXXX et caresses à Sophie
  15. L'abattoir reçoit par jour sur son quai des centaines de chariots chargés d'oiseaux prévus par le planning. Les chauffeurs qui ont acheminés ces oiseaux, déchargent les chariots de leur véhicule en vrac sur le quai de l'abattoir. Un employé du lieu dirige les caisses vers la chaîne d'abattage où là, se trouvent des accrocheurs qui ouvrent les caisses les unes après les autres, sortent et jettent par terre les oiseaux morts en cour de transport et accrochent les autres par les pattes, dans une sorte de petits cadres en inox où se dessine dans chacun d'eux une sorte de deux V espacés, permettant l'écartement des pattes qui se coincent grâce au propre poids de l'animal. Ce dernier se retrouve alors tête en bas, les ailes entrebaillées, et le bec semi ouvert avec des restes de pâté de gavage qui en sortent. Le plus grand nombre de ces oiseaux ne réagissent même plus à l'étouffement que provoque la pâtée qu'ils régurgitent tant ils sont à bout. A partir de ce moment, ils ont encore un certain temps à rester dans cette position, avant de passer devant des brumisateurs destinés à les mouiller, précédant le système d'électronarcose. L'électronarcose est conçue de deux plaques en espèce de téflon qui portent des filins électriques. Ces plaque sont disposées à hauteur des têtes des animaux mouillés et disposées de façon à créer une sorte de couloir qui se rétrécit de plus en plus, obligeant les têtes à se mettre en contact avec les filins électrifiés, qui une fois touchés provoquent des spasmes aux victimes qui y passent. Les têtes des oiseaux continuent dans cet étroit couloir qui les dirige vers des couteaux mécaniques destinés à leur trancher les jugulaires. Pour les oiseaux qui ont eu encore la force de lever la tête et qui ont donc échappés à l'électronarcose et aux couteaux mécaniques, n'échapperont pas à l'employé armé d'un couteau qui les attend et sentiront alors la lame qui trancheront jugulaires et gorge... A la suite de cela les animaux devenus des cadavres, s'éloignent de plus en plus dans le sillage de la chaîne, pour disparaître peu à peu dans les méandres de l'abattoir, avant de finir dans divers bocaux étiquetés sous le sigle "IGP" destiné aux consommateurs. http://canardupe.blogspot.com/
  16. Norm Phelps s'y était essayé aussi, en vain.... An Open Letter from Norm Phelps to the Dalai Lama - 15 Jun 2007 http://www.all-creatures.org/letters/20070615-np.html
  17. (Et oui, c'est la journée MACCA) SIR PAUL MCCARTNEY tried to turn the DALAI LAMA vegetarian, insisting the famed Buddhist was "wrong" to eat meat. The Beatles legend wrote to the spiritual leader to point out that meat-eaters contribute to the suffering of animals, contradicting his statement that Buddhists "believe in not causing suffering to any sentient beings". And the Hey Jude hitmaker even disagreed when the Dalai Lama insisted he ate meat for health reasons. In an interview with Prospect magazine, MCCartney says, "I found out he was not a vegetarian, so I wrote to him saying 'Forgive me for pointing this out, but if you eat animals then there is some suffering somewhere along the line'. "He replied saying that his doctors had told him he needed it, so I wrote back saying they were wrong." SIR PAUL MCCARTNEY - MCCARTNEY'S MEAT ROW WITH DALAI LAMA - 16/12/08 http://www.contactmusic.com/news.nsf/article/mccartneys%20meat%20row%20with%20dalai%20lama_1089529
  18. Paul McCartney a beau être un ancien Beatle, ses voisins semblent ne plus l'apprécier. En effet, l'ex Fab Four se refuse à tuer les sangliers qui sévissent dans son domaine à l'est du Sussex, et qui font de nombreux dégâts chez les fermiers alentours et dans leurs cultures. Une douzaine de sangliers sauvages de 900 kilos, ç'est sûr, ça n'est pas forcément une sinécure hors de la forêt ! McCartney est connu depuis de longues années pour être un végétarien convaincu et un défenseur des droits des animaux, et s'est farouchement opposé à faire quoi que ce soit pour "réguler" la population d'animaux sauvages sur son domaine. Une loi oblige pourtant les propriétaires à prendre des mesures contre les animaux qui sont un danger pour la nature et les humains. Les voisins eux, ne l'entendent pas de cette oreille, et se plaignent que les sangliers dévastent les cultures, arbres et jardins. "Ils se reproduisent comme des lapins et son terrain est complètement dévasté", confiait un voisin au Sun. "Si vous vous retrouvez face à l'un d'entre eux, cela peut être très dangereux." Stewart Venables, un professionnel en la matière, a tiré la sonnette d'alarme en disant: "Les sangliers sauvages peuvent être très dangereux. Ils n'hésitent pas à attaquer les humains afin de protéger leurs petits et leurs dents sont acérées comme des lames de rasoir. Quelqu'un qui se fait charger par un sanglier a très peu de chances de s'en sortir, ces animaux constituent un véritable problème en Grande-Bretagne." Le porte-parole de Paul McCartney n'a pas voulu commenter ces arguments. Il y a de fortes chances pour que les sangliers puissent passer Noël chez le musicien tout à fait tranquillement ! Paul McCartney passera Noël avec ses sangliers ! - 16/12/08 http://www.tele-animaux.com/actualites/article_Paul-McCartney-passera-Noel-avec-ses-sangliers-_1211.html
  19. Une enquête de Compassion in World Farming dans 60 fermes de 5 pays européens révèle les horreurs de l'élevage de cochons. Revealed: the cruelty of UK's pork suppliers - 05/12/08 http://www.independent.co.uk/life-style/food-and-drink/news/revealed-the-cruelty-of-uks-pork-suppliers-1052532.html
  20. When US president-elect Barack Obama was born, numerous states would have prohibited his black Kenyan father from marrying his white Kansan mother. The Voting Rights Act was still a few years away, and the Supreme Court’s order to desegregate schools was being fought tooth and nail. Look at how far we have come. Who alive then would have believed that just a few short decades later, Americans would elect their first black president? We have broken through a significant barrier, but we cannot stop there. We must now break down the barrier that prevents us from caring about all the “others” who are “not like us,” regardless of race, regardless of gender — and regardless of species. Prejudice and oppression come about because of a belief that “we” are important and that “they” are not. In the days of slavery, for example, not so long ago, some people honestly believed that African men did not feel pain as white men do and that African women did not experience maternal love as white women do. Thus it was quite acceptable to brand men’s faces with a hot iron and to auction off slaves’ children and send them vast distances away from their mothers. All evidence was to the contrary, yet highly educated people defied their own eyes and ears and common sense by denying the facts before them. Society accepted this horrible exploitation. Then, as now, it took courage to break away from the norm, even when the norm was ugly and wrong. Today, we have abolished human slavery, at least in theory. But we continue to enslave others who happen not to be exactly like us, but who, if we are honest with ourselves, show that they experience maternal love as we do, feel the same pain as we do if someone burns them and desire freedom from shackles as we do. In their natural homes, elephants live in complex multigenerational social groups, mourn their dead and remember friends and relatives from years past. Yet we tear them away from their families, confine them with chains to stinking, squalid boxcars and beat them into performing ridiculous tricks for our amusement. Rats are detested, yet even these tiny animals, mammals like us, have been found to giggle (in frequencies that can’t be heard by the human ear) when they are tickled, and will risk their own lives to save other rats, especially when the rats in peril are babies. Yet we dismiss their feelings as inconsequential and somehow beneath our consideration. Mother pigs sing to their young while nursing, and newborn piglets run joyfully toward their mothers’ voices. On factory farms, a sow spends her entire life surrounded by the cold metal bars of a space so small that she can never turn around or take even two steps in any direction. Chickens raised for the table fare even worse and have their beaks seared off with a hot blade. They will never enjoy the warmth of a nest or the affectionate nuzzle of a mate. The time has come to stop thinking of animal rights as distracting or less deserving of our energy than other struggles for social justice. As Martin Luther King, Jr said: “Injustice anywhere is a threat to justice everywhere.” All oppression, prejudice, violence and cruelty are wrong and must be rejected, no matter how novel the idea or how inconvenient the task. And for those who think that we will never be able to achieve the dream of liberation from oppression, not just for human beings but for all beings, regardless of race or gender or species, I have three words for you: Yes. We. Can. Yes, we can do more to stop cruelty to animals - 14/12/08 http://www.taipeitimes.com/News/editorials/archives/2008/12/14/2003431103
  21. (Sherbrooke) Une importante manifestation a eu lieu dimanche devant les bureaux de Jean Charest pour dénoncer les usines à chiots, dont le Québec serait la capitale, au dire de l'organisatrice de l'événement, Julie Phaneuf. En tout, ce sont quelque 125 personnes, accompagnées d'environ 75 chiens, qui se sont rassemblées pour réclamer que le gouvernement applique des lois plus sévères contre ces élevages intensifs, et engage davantage d'inspecteurs pour les faire respecter. (...) Importante manifestation contre les usines à chiots - 15/12/08 www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/200812/15/01-810436-importante-manifestation-contre-les-usines-a-chiots.php
  22. Je poste le texte car tout le monde n'arrive pas à le voir en entier _______________ Noël et le 1er de l’an ne sont-ils pas d’abord synonymes de «bonne chère», en particulier du sacro-saint foie gras sans lequel, semble-t- il, la fête serait triste ? La France est le premier producteur (76%) et le premier consommateur (68%) de foie gras. Le Parlement a jugé bon d’ériger le foie gras en «patrimoine culturel et gastronomique protégé en France» (Art. L. 645-27-1 du code rural), encourageant ainsi une demande déposée auprès de l’Unesco pour obtenir qu’elle classe la gastronomie française dans le «patrimoine immatériel de l’humanité» ! Comment choisir un bon foie gras ? Telle est la préoccupation qui balaye actuellement toutes les autres et occupe tous les esprits : silence, on mange du foie gras ! L’affaire est sérieuse, car c’est à cela que l’on juge votre capacité à «jouir des plaisirs de la vie», à «savoir ce qui est bon». Mais pour en jouir tranquillement, mieux vaut ne pas en savoir trop long sur le processus qui transforme le foie malade en ce «mets délicieux», et plus généralement les animaux en viande. Cette matière semble étrangère à l’individualité : la logique de la série prend le pas sur celle du propre, aucune biographie ne précède ce devenir-viande des animaux, de sorte que nous n’avons aucun imaginaire de ceux dont la chair équarrie nous est donnée à manger : du poulet, du veau, du porc… Nés pour cela, leur identité est celle de la chair à l’étal. N’en faisons pas une histoire, à tous les sens du terme. L’habitude de voir ces pièces plus ou moins informes est entrée dans la banalité de notre paysage. Aucune violence ne se dégage de l'artifice des morceaux «dont la forme, l'aspect nous sont depuis longtemps assez familiers pour avoir acquis, à nos yeux, une autonomie, une réalité indépendante de l'ensemble dans lesquels ils étaient inclus. (...). La boucherie est un lieu d'innocence». (Pierre Gascar, Les Bouchers). Comment voir ce que l’on ne voit plus, ce à propos de quoi aucun étonnement, aucune question, aucune inquiétude ne surviennent ? Comment troubler le calme de la viande ? Certains étals le devraient pourtant, si l’on voulait bien les voir. Volaille, lapins, «gibier» ne sont-ils pas présentés de la manière la moins abstraite qui soit ? Oiseaux entiers, parfois partiellement plumés, lapins écorchés mais jamais décapités, carcasses ouvertes, exhibant dans une pornographie trop évidente, le plus intime du corps. Faisans, lièvres, biches… alignés à l’état de cadavres non encore «préparés» par la main experte, flattant ainsi le goût de la traque (il s’agit en réalité d’animaux d’élevage et d’un abattage par balle pratiqué dans un enclos). Les abats ne rappellent-ils pas sans détour l’individu : ce n’est plus à de la viande que l’on a affaire, mais à la tête, aux oreilles, à la langue de tel animal ? Le particulier est bien là. Mais rien n’y fait : tout cela appartient à l’ordinaire de la perception, révélant un ordre où chaque chose semble à sa place, puisque chaque jour, de la viande remplace indéfiniment de la viande… Particulièrement importuns sont donc ceux qui se mêlent de faire la lumière sur ces plaisirs dont il s’agit d’ignorer la fabrique. La promotion s’y emploie du reste à merveille : tout brille, tout pétille ! Tandis que de l’autre côté du miroir, quelque 90 millions de naissances de canards et d’oies sont nécessaires aux 45,7 millions de canetons mâles mis à l’accouvage. La moitié des oiseaux (les femelles) est éliminée à la naissance ; ils sont généralement jetés au broyeur, car bons à rien (la race n’a pas été sélectionnée pour la viande) : les femelles présentent en effet un foie trop veineux. 39 millions de canards sont gavés, et 34,5 y survivent et sont donc abattus pour la collecte de leur précieux foie hypertrophié. On fait naître 710 000 oisons pour fabriquer le foie gras d’oie (chiffres 2007, source : rapport annuel du CIFOG, Centre Interprofessionnel des Palmipèdes à Foie Gras). Il y a ensuite la contention dans des batteries de cages, le geste réitéré à la pompe introduite jusqu’à l’estomac, blessant l’animal, pour y introduire d’énormes quantités de nourriture… (Attention, les images en fin de vidéo peuvent choquer les personnes sensibles). La vue du matériel, que seuls les professionnels connaissent, nous fait peut-être mieux pénétrer cette réalité que les étals auxquels notre œil est accoutumé : la «gaveuse super» monovitesse, permettant de gaver 90 canards ou 70 oies par heure, «maniable, légère, sûre, grâce à sa commande par gâchette et à ses entonnoirs en matière plastique non agressifs», la plumeuse, l’extracteur de poumon, la broche perforante, le saignoir rotatif… Le gavage, qui dure une douzaine de jours, laisse les animaux haletants, exténués, atteints de maladies qui entraînent une mortalité environ six fois plus élevée que dans des conditions d’élevage ne comportant pas de gavage. Le témoignage de gaveurs est aussi révélateur d'un malaise ressenti par les acteurs mêmes de cette industrie. Le gavage fait l’objet d’une contestation internationale : interdit dans des pays qui en étaient récemment producteurs comme l’Italie et Israël, il l’est de fait dans bien d’autres pays européens du simple fait qu’il est incompatible avec les textes de protection des animaux. En 2004, la Californie a décidé d’interdire la production et la consommation de foie gras (l’interdiction entrera en vigueur en 2012). Une fête où l’on découvre derrière la fine porcelaine, le champagne millésimé, le bruissement des robes et les rires légers, les ateliers de gavage, les batteries de cages qui ne laissent que passer la tête des canards, les pompes hydrauliques qui s’enfoncent dans la gorge de millions d’oiseaux, les salles d’abattage… Vous reprendrez bien encore un peu de foie gras ?
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