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  1. NaturalNews) Spain's parliament has passed a resolution urging the federal government to adopt specific legal protections for great apes, and the measure is expected to become law within one year. The vote marks the first time that a national legislature has called for recognition of any nonhuman's right to life and freedom. Once the measure becomes law, it will be the first time that nonhumans have been granted formal legal standing. The four great ape species (bonobos, chimpanzees, gorillas and orangutans) are humans' closest evolutionary relatives. "This is a historic day in the struggle for animal rights and in defense of our evolutionary comrades, which will doubtless go down in the history of humanity," said Pedro Pozas, Spanish director of the Great Apes Project. The Great Apes Project was formed in 1993 to advocate for the animals' rights to life, liberty and freedom from torture. The resolution calls on the Spanish government to protect apes from "abuse, torture and death," and to internationally promote the demands of the Great Apes Project declaration. These demands include "the extension of the community of equals to include all great apes"; a prohibition on killing great apes except under "strictly defined circumstances" such as self-defense; a ban on imprisoning them without due process of law; and a ban on subjecting them to the "deliberate infliction of severe pain" for any reason, even one that is alleged to benefit others. Specifically, this would formally outlaw imprisoning apes for use in circuses, films, television commercials or scientific experimentation in Spain. "We have no knowledge of great apes being used in experiments in Spain, but there is currently no law preventing that from happening," Pozas said. The law would not prohibit keeping apes in zoos , but would require that minimum standards of care be complied with . According to supporters of the law, drastic improvements would need to be made in the conditions of 70 percent of Spanish zoos for them to be allowed to keep holding the animals in captivity. Basic Rights Granted to Great Apes by Spain - 17/11/08 http://www.naturalnews.com/024823.html
  2. Austria Discusses State Repression against NGOs Threat of trial, conviction and future acts of state repression give cause for concern After the immediate relief felt following the release of the ten imprisoned animal protection activists attention has focused on the fact that this case has not been dropped, despite absence of evidence, indeed, police have continued their investigations, suggesting their desperation to save face. Fears are also being expressed across the board of social activism about future attacks by the State, misuse of section 278a of the Austrian Criminal Code and the apparent erosion of democracy. Public events, organised by various NGOs are taking place across Austria where these fears are being voiced. In Vienna on the 15th October journalists, politicians, victims of repression and legal experts took the podium at an event organised at the Vienna University’s Law Faculty under the title: “Repression against Animal Protection”. In the same week other individuals from the same faculty organised a similar event: “Section 278a; scrap it, change or keep it?” A representative from the Ministry for Justice was present on the panel. The cities of Salzburg and Linz have also held successful events and on the 18th November the next event; “278a, State threat to critical society?” will take place at Innsbruck University. On Wednesday of this week three renowned journalists from 3 of the largest daily newspapers took part in a panel discussion; “Is a Police State on the way?” The over riding opinion of audience and panel members at all the events so far was that the State has over reacted in the case of the animal protectionists and that, left unchecked, this situation poses a very real threat to civil liberties. www.vgt.at/presse/news/2008/news20081114_en.php
  3. Chers adhérentes et adhérents, Ce jeudi 13 novembre, la majorité des Administrateurs n'a pas souhaité reconduire mon mandat. Je ne suis plus présidente de la SPA. Ce même jeudi, en préambule des élections, on ne m'a pas permis d'exposer mon programme! Ce n'était visiblement pas une étape primordiale... Etais-je la seule à en avoir un? Jamais je n'aurais souhaité arrêter si tôt, car j'avais encore, tout comme celles et ceux qui m'épaulaient, tant à faire encore! Rassurez vous, je ne renonce pas à mes convictions. Je reste à votre disposition pour continuer à faire connaître et porter haut vos désirs et votre volonté d’amélioration de la protection de nos amis les animaux ! Aux élections de septembre dernier, vous les adhérents de la SPA, vous avez plébiscité mon action de Présidente en renouvelant mon mandat d’administrateur pour 3 ans en tête de vos votes. Vous avez réélu tout aussi largement mon secrétaire général le Docteur Sylvain Bidault. Je vous remercie chaleureusement de la confiance que vous nous avez accordée, en votant massivement pour nous, nous permettant ainsi d’être élus dès le premier tour. J’en vois une preuve d’adhésion à nos projets, à nos actions, à nos décisions prises avec une farouche détermination à positionner la SPA vers le seul et unique objectif d’un respect encore plus marqué des animaux dans notre société. Cette légitimité donnée pour une troisième année de mandat de Présidente a été cassée par le Conseil d’Administration de la SPA qui a décidé de ne pas entendre ni de suivre la volonté de la base des adhérents, votre volonté. Dans l’histoire des 163 ans de la SPA, c’est la première fois que le Conseil d'Administration va à l'encontre de votre vote clairement exprimé par plusieurs milliers de suffrages. Il faut en prendre acte. J'espère que ceux qui sont aujourd'hui aux commandes, et qui ont marqué la SPA du sceau d'un militantisme frileux, continueront dans la dynamique initiée avec une disponibilité totale pour la SPA : comptez sur moi pour y veiller de toutes mes forces dans une attitude énergique, constructive, et si possible participative ! Ensemble, nous ferons de ce blog un espace de discussion et d’information pour tous ceux qui s'intéressent à la SPA et à l'actualité de la protection animale en général. A bientôt, je ne quitte pas l’équipage, je change de poste !! Caroline LANTY[ Blog de Caroline Lanty "Keep in touch" http://restonsencontact.blogspot.com/
  4. Le Japon a repris sa campagne annuelle de chasse à la baleine dans les eaux proches de l'Antarctique, les militants écologistes ayant cessé de pourchasser la flotte nippone, annonce l'organisation écologiste Greenpeace. ...Le Japon avait repris suspendu temporairement sa campagne à la mi-janvier après des confrontations avec Greenpeace ainsi que l'organisation Sea Shepherd Conversation Society opposée à la chasse à la baleine. Dans le cadre de la mission scientifique japonaise, les baleiniers nippons prévoient de capturer jusqu'à 935 baleines de Minke (balaenoptera acutorostrata) et 50 rorquals communs (balaenoptera physalus). Les baleiniers ont réaffirmé qu'ils ne modifieront pas leur plan de campagne en dépit des protestations internationales et de la baisse de la demande de viande de baleine sur le marché japonais. (...) Le Japon s'apprête à reprendre la chasse à la baleine près de l'Antarctique - 17/11/08 http://fr.news.yahoo.com/3/20081117/twl-japon-chasse-baleines-2f4e741.html
  5. Une tonne d'objets en ivoire a été saisie et 57 suspects arrêtés lors d'une opération coup de poing considérée comme étant la plus importante jamais lancée en Afrique contre les atteintes à la faune sauvage, a indiqué lundi le Service kényan de la faune (KWS). ... Cette opération qui a duré quatre mois - appelée opération "Baba", en souvenir d'un garde forestier ghanéen tué il y a une dizaine d'années par des braconniers - a également permis la saisie de peaux de guépard, de léopard, de chat sauvage et de python de même que de dents d'hippopotame, sur plusieurs marchés, aéroports et postes frontière, au Congo Brazzaville, Ghana, Kenya, en Ouganda et Zambie (...) Protection de la faune en Afrique: 57 arrestations, saisies d'ivoire - 17/11/08 www.tele-animaux.com/afp/article_Un-chiot-importe-d-Espagne-meurt-de-la-rage-en-Isere_33314.html
  6. C'est la victoire de la raison d'Etat sur la cause des défenseurs des espèces menacées, un K.-O. infligé par l'US Navy aux avocats des baleines. La Cour suprême des Etats-Unis a décidé, mercredi 12 novembre, par 5 voix contre 4, d'invalider le jugement de plusieurs tribunaux fédéraux. Ceux-ci avaient donné raison aux associations de défense de l'environnement hostiles à l'utilisation de sonars par les navires de guerre américains, à proximité des baleines et dauphins. L'arrêt d'une cour de Los Angeles, en août 2007, stipulait que la marine devait réduire le niveau de ses sonars, et les éteindre lorsque l'un de ses navires détectait un mammifère marin dans un rayon de 2 kilomètres. Des experts avaient confirmé que ces sonars à moyenne fréquence pouvaient potentiellement provoquer la "surdité temporaire" de 8 000 baleines et surtout les inciter à s'échouer - et à mourir - sur le rivage. Le très conservateur John Roberts, président de la Cour suprême, leur a opposé la défense de la "sécurité nationale" : les navires américains croisant au large de la Californie ont pour tâche de s'opposer à "la menace potentielle qu'un sous-marin nord-coréen parvienne sans être détecté à proximité de Pearl Harbor", a-t-il expliqué. Les défenseurs des baleines croyaient avoir le vent en poupe : début octobre, l'exécutif avait imposé aux navires de commerce de réduire leur vitesse à moins de 10 noeuds dans certaines zones côtières, afin de protéger les baleines franches, dont il resterait moins de 400 individus. Puis, le 18 octobre, les autorités fédérales avaient infligé une sévère défaite à la gouverneure de l'Alaska, Sarah Palin, en plaçant les baleines blanches béluga, qui croisent dans le golfe de Cook, sur la liste des espèces menacées. L'ancienne candidate à la vice-présidence des Etats-Unis essuyait ainsi un second revers (hors élection présidentielle), après avoir vainement plaidé en faveur de la poursuite de la chasse à l'ours polaire. Mais dans l'affaire "baleines vs US Navy", le président Bush a usé de toute son influence : il a signé un "ordre d'exemption", qui lui permet, dans une "situation d'urgence", de passer outre une décision judiciaire en matière d'environnement. Laurent Zecchini Le président Bush obtient gain de cause contre... les baleines - 13/11/08 http://www.lemonde.fr/archives/article/2008/11/13/le-president-bush-obtient-gain-de-cause-contre-les-baleines_1118077_0.html
  7. Le 31 janvier 2009 aura lieu la première édition de la Journée Mondiale pour l'Abolition de la Viande. Qu'est-ce que la Journée Mondiale pour l'Abolition de la Viande ? La Journée Mondiale pour l'Abolition de la Viande est destinée à promouvoir auprès du grand public la revendication politique d'abolition du meurtre des animaux pour la viande. Six millions d'êtres sensibles sont tués dans le monde chaque heure (!) pour être transformés en viande, sans même compter le massacre des poissons, qui sont bien sûr pris en compte dans la revendication d'abolition de la viande. La consommation de viande cause plus de souffrances et de morts qu'aucune autre activité humaine alors qu'elle n'est en rien nécessaire. De nombreux collectifs se mobiliseront pour promouvoir la perspective de l'abolition de la viande. Il ne s'agira pas seulement de promouvoir le végétarisme/véganisme auprès des individus mais d'exprimer à la société que la pratique d'assassiner les animaux pour les manger devrait être abolie. Nous espérons que cette initiative fortifiera le mouvement animaliste au fil des années. Il est important de s'adresser aux consommateurs, mais nous devons commencer à nous adresser aussi aux citoyens tout comme l'ont fait les militants pour l'abolition de l'esclavage, qui alors même qu'ils étaient nettement minoritaires non seulement demandaient à la population de boycotter le sucre produit par les esclaves, mais exprimaient aussi clairement l'idée que l'esclavage devrait être interdit. Il importe aujourd'hui d'interpeller clairement la société tout entière au sujet de la viande, afin qu'elle ne puisse plus éviter les conséquences d'un débat publique sur la légitimité de cette pratique. A l'occasion de cette journée de sensibilisation, des conférences, des actions de rue, des distributions de tracts ainsi que des stands d'information seront organisés pour propager l'idée que la consommation de viande ne saurait être justifiable d'un point de vue éthique et doit donc pour cette raison être abolie - de même que l'esclavage humain l'a été dans son temps. (...) http://clam34.org/actions/Abolitionviande09.html Sur la page du Clam, on peut voir une petite video d'une action pour l'abolition de la viande, qui a eu lieu en Suisse, l'année dernière
  8. Austria: The fight for personhood for chimpanzee Hiasl - EVANA-Interview with Paula Stibbe 'The idea to get basic human rights granted to Hiasl was a result of the fears of what could possibly happen to him…' Paula Stibbe, a language trainer from the UK living in Austria, has taken on the difficult task of fighting for personhood for chimpanzee Hiasl. EVANA asked Paula about her friendship with Hiasl and the development of the court proceedings. (...) Herma Caelen spoke to Paula Stibbe on behalf of EVANA : http://www.evana.org/index.php?id=38981&lang=en (Paula Stibbe, grâce à qui nous avons été au courant, jour après jour, des évènements autrichiens)
  9. voilà la nouvelle de l'AFP : L'actrice américaine Lindsay Lohan a été "enfarinée" par des militants de la PeTA, la fondation américaine qui milite pour la protection des animaux et contre le port de fourrure, dans la nuit de vendredi à samedi devant une discothèque parisienne, a-t-on appris auprès de l'établissement, confirmant une revendication de la PeTA. Un paquet de farine alimentaire a été lancé en direction de Lindsay Lohan, touchant l'actrice qui n'a pas été blessée, alors qu'elle entrait vers 02h00 dans le VIP Room Theater, rue de Rivoli (Ier arrondissement), nouveau haut-lieu des nuits parisiennes. La comédienne a maintenu le programme de sa soirée après que la direction de l'établissement l'eut aidée à nettoyer sa robe. Une dizaine de militants de la PeTA ont crié "Lindsay, monstre en fourrure!", avant de se disperser. Dans un communiqué, la fondation qui multiplie les "attentats" contre des personnalités portant de la fourrure, a voulu "punir la star pour avoir porté ces derniers jours au moins deux manteaux de peau animale". "Nous espérons qu'un peu de farine va aider Mlle Lohan à renoncer à la fourrure une bonne fois pour toutes", a déclaré Nicolas Gresset, responsable de la PeTA pour la France. Lindsay Lohan est actuellement à l'affiche de "Chapitre 27", film de Jarret Schaefer. Lindsay Lohan, "enfarinée" à Paris par des militants anti-fourrure - 15/11/08 www.tele-animaux.com/actualite,info,lindsay-lohan---enfarinee--a-paris-par-des-militants-anti-fourrure:33305.html
  10. signer en ligne http://www.cyberacteurs.org/actions/lettre.php?id=341
  11. hop

    A happy day for farm animals

    Y'a pas eu changement. mais y'a embrouille : ce que les instances concernées appellent interdiction des élevages de poules/veaux etc en batterie, c'est pas l'interdiction des cages et des box, mais des cages et des box d'une certaine taille. Pour les poules en europe c'est la surface d'une carte postale en plus, pour les veaux je ne sais pas exactement quelles sont les dimensions, et en ce qui concerne cette proposition 2, c'est la surface nécessaire pour que les animaux puissent étendre leurs pattes ou leurs ailes sans toucher les parois de leur box/cage. Leur souffrance est un peu diminuée, car ne pas pouvoir étendre un membre ou se tourner doit être douloureux et infernal, mais il sont toujours dans des boites. Malheureusement es associations souvent répercutent l'info sans trop préciser et au final, beaucoup de gens pensent que ces lois sonnent le glas des cages.
  12. hop

    Bush : nuire jusqu'au bout

    Derniers projets législatifs de l'administration Bush : Retirer les loups de la liste des espèces protégées, autoriser des centrales électriques près des parcs nationaux, assouplir la règlementation sur les déchets des élevages industriels et rendre plus facile l'exploitation minière des sommets de montagnes... Bush Pushes for 11th Hour Anti-Green Rules - 10/11/08 www.emagazine.com/view/?4450
  13. Des chasseurs font un carton sur les vaches sauvages dans les Pyrénées-Orientales Alors que le préfet avait donné l'autorisation de tirer sur les bêtes incontrôlées. Après une légère accalmie dans le tonitruant dossier des vaches espagnoles en liberté dans les montagnes françaises des Albères, entre Banyuls et le Boulou, les hostilités ont repris. Elles opposent désormais frontalement les chasseurs, les ennemis jurés de ces vaches libertaires et les défenseurs des animaux. Les abattages sauvages d'une vache qui attendait vraisemblablement un veau et d'un petit taureau à proximité du village désormais sacrificiel de Montesquieu des Albères (Pyrénées-Orientales) sont à l'origine de ce regain d'animosité. Les 5 et 6 novembre des chasseurs du cru ont donc tiré pour tuer. Non loin des premières maisons du village comme cela avait déjà été le cas en octobre. «Il avance que l'animal attaquait son chien. Il dit avoir tiré pour le défendre. Cela ne tient pas debout car le cadavre de la vache porte des traces de morsures à l'arrière-train. Sauf à penser qu'elle chargeait le chien en reculant. Cette fois-ci, nous allons déposer une plainte. Et les gendarmes iront chercher le tueur. Ils sauront bien où le trouver», explique Annick Hanosset la responsable départementale de la SPA qui instruit le dossier depuis plusieurs semaines. On se souvient qu'Hugues Bousiges, le préfet des Pyrénées-Orientales avait pris, le 18 août dernier un arrêté permettant de tirer pour tuer les vaches vagabondes qui montraient des signes d'hostilité. Les autorités entendaient contenir un phénomène déroutant qui perdure depuis des années. Plusieurs dizaines de vaches livrées à elle-même, sans berger identifié vivent ainsi de «broutage non contrôlé» dans les sous-bois, dans les jardins ou les vignes des Catalans. De sérieuses dégradations dans le vignoble de Banyuls avaient provoqué l'ire des producteurs de vin cuit. «Les chasseurs incriminés dans cette affaire ne sont pas couverts par l'arrêté préfectoral qui s'arrêtait le 31 octobre et qui n'a pas été prolongé», poursuit Annick Hanosset alors que les fameuses vaches ont repris de la hauteur, pour l'hiver, loin des fusils. Des chasseurs font un carton sur les vaches sauvages dans les Pyrénées-Orientales - 11/11/08 http://www.ladepeche.fr/article/2008/11/11/490102-Des-chasseurs-font-un-carton-sur-les-vaches-sauvages.html
  14. ...Les personnes intolérantes au gluten et les végétaliens, qui ne mangent, ni ne portent aucun produit provenant d'animaux, sont aussi déliés du devoir de servir militairement ou civilement. (...) Aptitude au service militaire: nouveaux critères depuis le 1er juin - 09/11/08 http://www.swissinfo.ch/fre/infos/nouvelles_agence/Aptitude_au_service_militaire_nouveaux_criteres_depuis_le_1er_juin.html?siteSect=146&sid=9949510&cK
  15. Greenpeace a empêché lundi plusieurs cargos chargés d'huile de palme de quitter le principal port indonésien d'exportation de cette matière première dont la culture en croissance est accusée d'accélérer la déforestation, a-t-on appris auprès de l'association écologique. (...) Action de Greenpeace en Indonésie contre l'huile de palme - 10/11/08 www.lepoint.fr/actualites-sciences-sante/action-de-greenpeace-en-indonesie-contre-l-huile-de-palme/919/0/290387
  16. Le 11 novembre, Martin a adressé ce message à la liste Freedom : Paula a traduit [en anglais] le résultat d'une discussion que nous avons eue avec trois juristes sur l'interprétation de l'article 278a qui ressort du jugement de la Cour suprême. C'est dramatique. Vous pouvez en prendre connaissance à cette adresse : http://www.vgt.at/presse/news/2008/news20081104_1_en.php Il semble que maintenant la seule voie ouverte pour empêcher la condamnation et la destruction du mouvement des droits des animaux en Autriche soit de changer l'article 278a du code pénal. Ce soir, nous avons une réunion à Vienne pour discuter des moyens d'y parvenir. Je travaille dur pour influer sur autant de "leaders d'opinion" que possible. A cette fin, j'envoie beaucoup de courriers, je parle à des politiques, je voyage à travers le pays et donne des conférences dans les universités sur la question, j'aide à organiser des débats publics sur le sujet, avec la participation de politiques, de militants, de professeurs d'université, etc. La situation n'est pas loin d'être désespérée. Une autre grosse menace est que les juristes m'ont appris qu'en cas de condamnation, les militants n'iraient pas seulement en prison. Ils devraient aussi payer la somme que la police a dépensé pour enquêter sur l'affaire (5 millions d'euros à ce jour), et peut être dédommager des entreprises. Ce qui reviendrait à ruiner les condamnés pour leur vie entière, et tout cela pour n'avoir rien fait d'autre que militer légalement pour les animaux ! www.l214.com/solidarite-autriche/martin-balluch-11-nov
  17. Chasse à courre, la loi du saigneur 10/11/08 Armand Farrachi écrivain, responsable du collectif pour l’abolition de la chase à courre. La chasse à courre, tout le monde sait cela, consiste à poursuivre à cheval et avec des chiens, un animal sauvage, principalement un cerf, jusqu’à l’épuisement, puis à le poignarder, à le noyer ou à lui briser les jambes s’il n’a pas été déchiqueté par la meute, avant de le «servir», c’est-à-dire de l’égorger. Cette violence inouïe, qui révoltait déjà Montaigne, n’est justifiée que par le plaisir de ceux qui s’y livrent, et par une «tradition» d’Ancien Régime disparue à la Révolution mais réactualisée par Napoléon. La plupart des pays européens (Belgique, Ecosse, Grande-Bretagne, Allemagne…) y ont renoncé. Pas la France. Les veneurs interdits de chasse chez eux se réfugient donc chez nous, où le nombre d’équipages augmente de façon démesurée (une vingtaine par an), alors que les espaces continuent d’être «aménagés» de façon galopante. Résultat : l’année dernière, un cerf s’est réfugié chez des particuliers en passant par la baie vitrée, en lisière de forêt de Perseigne. Il a été égorgé dans le salon, entre le canapé et la télévision. Cette année, à Avilly-Saint-Léonard, près de Senlis, un animal épuisé a cru trouver refuge dans un village, où il a été «servi» sur le trottoir devant une population horrifiée. Le maire a porté plainte. A Lacroix-Saint-Ouen, la meute a déboulé dans la rue. Récemment, à Lamorlaye, encore dans l’Oise, un cerf s’est retrouvé sur le parking d’un supermarché à une heure d’affluence. Celui-là, «gracié», a cependant été retrouvé mort. Fréquemment des animaux affolés surgissent dans la circulation. D’autres incidents ont eu lieu, parfois jusque dans une cour d’école, entraînant au tribunal veneurs irresponsables ou opposants rebelles. Sur le terrain, les conflits se multiplient. Des interpositions ont lieu en forêt, des protestations s’élèvent dans les villages. En Grande-Bretagne, certains, officiellement privés de renards, se livrent maintenant à une chasse à l’homme façon comte Zaroff, avec des coureurs que cette poursuite amuse (et qui, précisons-le quand même, ne font pas l’objet d’une curée lorsqu’ils sont rattrapés, du moins pas encore). Mais dans quelles situations proprement surréalistes sommes-nous donc propulsés ? Quel enjeu capital (à part la location des forêts par l’ONF) peut bien justifier une pratique anachronique, aussi absurde que cruelle ? Les veneurs font valoir qu’ils tuent moins d’animaux que les chasseurs à pied, comme si le nombre faisait quelque chose à l’affaire. Que le Texas exécute moins de condamnés que la Chine justifie-t-il qu’on y maintienne la peine de mort ? En bonne logique, dans une République, un divertissement royal pratiqué à grand prix par 0,01 % des Français et condamné par 73 % de la population (1), rendu presque impossible par l’évolution des espaces et aussi de la sensibilité, aurait dû disparaître de lui-même. Mais nous sommes en France, où le lobby chasse trône au pouvoir. Alain Bombard, ministre de l’Environnement d’un gouvernement qu’il croyait populaire et qui voulut naïvement interdire la chasse à courre, dut démissionner illico. En juillet 2005, quinze députés de toutes tendances ont déposé un projet de loi abolitionniste qui n’a pas été plus débattu que les précédents. Ce n’était que la troisième tentative législative. Les gouvernements successifs sont sourds à tout argument, aveugles aux pétitions. La question est taboue. Au ministère, (en tant que responsable du collectif pour l’abolition de la chasse à courre j’en sais quelque chose) on répond qu’«en l’absence de volonté politique il sera difficile de faire avancer le dossier». Mieux encore : au printemps dernier, le sénateur Poniatowski a proposé la création d’un nouveau délit d’«entrave à la chasse» pour les opposants ! En période électorale, les partis se disent prêts à changer presque tout. Mais cela, qui le changera ? Jusqu’où ira-t-on avant qu’on comprenne enfin que la chasse à courre n’a pas plus de raison de subsister chez nous que chez nos voisins ? A quand la curée Place Beauvau ? Faudra-t-il voir des cerfs poursuivis dans les couloirs du métro ou noyés dans la Seine avant que les pouvoirs publics réagissent, admettent que les temps ont changé, notre rapport aux animaux aussi, et qu’après avoir séparé l’Eglise de l’Etat, il est temps, grand temps de séparer aussi la chasse de l’Etat, de laisser les cerfs dans leurs forêts et les «piqueurs» dans leur musée sanglant, pour signifier que le temps des saigneurs est, on l’espère, à jamais révolu ? (1) Sondage Sofres réalisé en mars 2005 à la demande de la fondation Brigitte-Bardot. Dernier ouvrage paru :l’Adieu au tigre, éd. Imho. www.liberation.fr/societe/0101221317-chasse-a-courre-la-loi-du-saigne
  18. hop

    Bull automne 08 - animaux de labo

    La Commission propose de renforcer la protection des animaux utilisés pour des expériences scientifiques News Press 05/11/2008 La Commission européenne a présenté aujourd'hui une proposition visant à renforcer, conformément au protocole de l'Union européenne sur le bien-être des animaux, la protection des animaux encore utilisés dans le cadre de procédures scientifiques, à assurer à l'industrie des conditions de concurrence équitables dans toute l'UE et à améliorer la qualité des activités de recherche menées dans l'UE. Les nouvelles dispositions contribueront également à limiter autant qu'il est possible le nombre d'animaux utilisés à des fins expérimentales. Le commissaire européen chargé de l'environnement, M. Stavros Dimas, a déclaré à ce propos: «Il est essentiel de mettre un terme à l'expérimentation animale. La recherche scientifique doit faire le maximum pour trouver des méthodes de substitution. Cependant, en l'absence de telles méthodes, il importe d'améliorer la situation des animaux qui sont encore utilisés pour des expériences..» Une révision bien nécessaire L'objectif de la proposition de la Commission est de renforcer la législation communautaire en vigueur dans le domaine de la protection des animaux utilisés à des fins expérimentales, notamment en subordonnant l'autorisation des projets utilisant des animaux à des évaluations éthiques et en imposant des exigences minimales en ce qui concerne l'hébergement des animaux et les soins qui leur sont prodigués. La directive proposée couvre les animaux utilisés dans la recherche fondamentale, l'éducation et la formation. Elle s'applique à tous les animaux vertébrés non humains vivants, ainsi qu'à certaines autres espèces susceptibles d'éprouver de la douleur. L'utilisation de primates non humains est soumise à des restrictions. En outre, la proposition interdit le recours aux grands singes - chimpanzés, bonobos, gorilles et orangs-outans - dans les procédures scientifiques. Ce n'est que lorsque la survie même de l'espèce est en jeu, ou en cas d'apparition imprévue, chez l'homme, d'une maladie potentiellement mortelle ou invalidante, qu'un État membre peut, à titre exceptionnel, être autorisé à utiliser ces animaux. Améliorer les conditions de vie de millions d'animaux d'expérience À l'heure actuelle, il est impossible d'interdire totalement l'utilisation d'animaux pour ce qui est des essais d'innocuité ou de la recherche biomédicale. Aussi la révision proposée vise-t-elle à faire en sorte que les animaux ne soient utilisés qu'en l'absence d'autres moyens. Il faut que cette utilisation soit pleinement justifiable et que les avantages escomptés l'emportent sur les préjudices causés aux animaux. La proposition permettrait aussi de garantir que les animaux reçoivent des soins et un traitement appropriés, et soient notamment hébergés dans des cages suffisamment grandes et dans un environnement adapté à chaque espèce. L'application de ces dispositions ferait l'objet d'une surveillance constante. Par ailleurs, en vertu de la révision proposée, les projets utilisant des animaux ne pourraient pas débuter avant d'avoir reçu l'autorisation de l'autorité compétente. Les organisations désireuses d'élever, de fournir ou d'utiliser des animaux devront obtenir des autorisations pour leurs activités et pour le personnel travaillant avec les animaux. Trouver des solutions de substitution La règle d'or consistant à remplacer, réduire ou affiner les essais menés sur les animaux est solidement ancrée dans la proposition de la Commission. Pour la Commission, il est absolument nécessaire de mettre au point des méthodes de substitution à l'expérimentation animale. Néanmoins, lorsqu'on ne peut recourir à de telles méthodes, le nombre d'animaux utilisés doit être réduit au minimum ou les méthodes d'expérimentation doivent être améliorées afin d'infliger moins de dommages aux animaux. Quelque 12 millions d'animaux sont utilisés à des fins expérimentales dans l'Union chaque année. http://www.newspress.fr/communique_208848_645.aspx
  19. hop

    Bull automne 08 - animaux de labo

    Vers une interdiction de la recherche sur les grands singes 07/11/08 La future directive européenne sur la protection des animaux utilisés en laboratoire devrait réduire au minimum la recherche sur les grands singes –chimpanzés, orangs-outans, gorilles et bonobos. Selon la proposition présentée cette semaine par la Commission européenne, les recherches sur les grands singes ne seront autorisées que si elles ont pour but la préservation de ces espèces en danger ou si une menace lourde de type pandémie de grippe menace la population et que rien ne peut remplacer des tests sur les grands singes. Même si elle est adoptée telle quelle par le Parlement européen, cette disposition ne bouleversera pas la science en Europe, sachant qu’il n’y a pas eu de recherches biomédicales sur les grands singes depuis 2002 chez les 27 pays de l’UE. L’Autriche, la Grande-Bretagne, la Hollande et la Suède ont déjà banni les recherches sur les grands singes. La proposition de directive souhaite par ailleurs en finir progressivement avec la capture de primates à l’état sauvage et recommande donc de mener les recherches sur des animaux nés en captivité. Ce texte, qui modifie et réforme une réglementation datant de 1986, doit être approuvé par le Parlement européen et le Conseil des ministres avant d’entrer en vigueur, ce qui devrait prendre près d’un an. Certains députés européens appelaient de leurs vœux une réglementation encore plus stricte, en particulier pour les primates. En Allemagne, un chercheur spécialisé en neurosciences risque de devoir arrêter ses recherches sur les macaques: Andreas Kreiter a appris le 15 octobre que sa licence –qui s’achève le 30 novembre- ne sera pas renouvelée par les autorités locales de Brême. L’année dernière le parlement local avait voté pour demander à l’Etat d’interdire les recherches de Kreiter. Ses travaux, qui consistent à enregistrer l’activité des neurones des macaques lorsqu’ils exécutent des tâches précises, avaient pourtant reçu l’avis positif d’une commission composée de chercheurs et d’associations de protection des animaux. Les chercheurs dénoncent un acte électoraliste de la part des autorités de Brême. Kreiter a fait appel de la décision. NOUVELOBS.COM http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/homme_et_societe/20081107.OBS0035/vers_une_interdiction_de_la_recherche_sur_les_grands_si.html
  20. Depuis 2007, Pascale, qui dirige le refuge Opale à Lessines, sauve souvent la vie des chiens retrouvés en rue. Mais voilà, ils font trop de bruit On va devoir euthanasier les chiens - 10/11/08 www.dhnet.be/infos/faits-divers/article/231145/on-va-devoir-euthanasier-les-chiens.html
  21. UNE CINQUANTAINE de militants de l’association Droits des animaux se sont retrouvés hier matin en forêt de Compiègne pour empêcher une chasse à courre organisée par les Amis de la futaie. Non sans succès puisque, selon nos informations, aucun animal n’a finalement été tué. «Nous nous sommes donné rendez-vous en plein Paris, tôt le matin, raconte Antoine. Puis nous nous sommes rendus en cortège à Compiègne. » Tout de noir vêtus, les militants de l’association ont rejoint le point de ralliement des chasseurs et de leurs suiveurs aux alentours de 11 heures. Les voyant arriver, les chasseurs ont immédiatement appelé les gendarmes. «Nous ne sommes pourtant pas dangereux, sourit Lucie. Nous voulons seulement sauver la vie d’un cerf. Nous n’avons pas d’armes, bien évidemment, et pas question de nous montrer violents. » Les chiens n’ont pas pu sortir L’intervention de l’association a eu pour effet d’empêcher la sortie des chiens, indispensables à la chasse… Lorsque gendarmes et policiers sont arrivés, ils ont demandé aux manifestants de quitter les lieux. Non sans avoir contrôlé les papiers de plusieurs conducteurs et des responsables de l’association. Ils ont également relevé les numéros d’immatriculation. Débarrassé de ces « gêneurs », les Amis de la futaie ont tout de même décidé de lancer la chasse. « Ou plutôt un simulacre, corrige un témoin. Ils ont sorti quelques chiens et chevaux pour ne pas décevoir leurs suiveurs. Mais, au final, ils n’ont pas trouvé de cerf…» But atteint donc pour l’association, dont l’un des responsables explique : « La chasse est une violation du droit fondamental des animaux. Chaque année en France, 32 millions d’animaux paient le prix de l’irresponsabilité meurtrière des chasseurs, qui n’ont trouvé d’autre distraction que de tuer. Saboter ces actes criminels est donc une manière d’empêcher la violation du droit fondamental des animaux à disposer d’eux-mêmes. » Le Parisien Opération commando des anti-chasse à courre - 09/11/08 www.leparisien.fr/abo-oise/operation-commando-des-anti-chasse-a-courre-09-11-2008-304523.php
  22. Le Grand Conseil zurichois exige que le transit des animaux d'abattoir de l'Union européenne reste interdit sur les routes suisses. Il a décidé à l'unanimité lundi d'adresser une initiative cantonale dans ce sens aux Chambres fédérales. Le Parlement zurichois répond ainsi à une initiative populaire cantonale déposée par des organisations de défense des animaux. D'autres cantons ont déjà demandé à la Confédération de ne pas plier sous les pressions de l'Union européenne (UE), qui souhaite que la Suisse abolisse l'interdiction. L'ordonnance fédérale sur la protection des animaux prohibe le transit routier des boeufs, moutons et autres cochons à travers la Suisse. Cette interdiction pourrait être remise en question par l'accord sur l'agriculture avec l'UE. Selon les auteurs de l'initiative zurichoise, la Suisse se rendrait ainsi coresponsable des atroces souffrances subies par les animaux sur les routes. Les animaux européens destinés à l'abattage privés de transit par la Suisse?- 03/11/08 http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/Les-animaux-europeens-destines-a-l-abattage-prives-de-transit-par-la-Suisse--16861461
  23. Sous l'effet de courants marins combinés, il se forme dans le Pacifique Nord, un énorme vortex qui attire à lui les déchets rejetés à la mer par l'homme depuis des années. Certains appèlent amèrement "le septième continent", cet immense amas de plastique dont la taille est six fois supérieure à la France. Si l'expression évoque les grandes découvertes de l'homme, guidées par son goût inextinguible pour l'exploration, le septième continent n'est en fait qu'une accumulation d'immondices. " L'expression est abusive", estime d'ailleurs François Chartier, responsable "Océans" à Greenpeace France, "Il ne faut pas s’imaginer une île de plastique où l’on déambule tranquillement ! C’est plutôt, une énorme « soupe de plastique » formée par de petites particules qui s’étendrait sur une superficie grande comme la France ! Elle stationne entre Hawaii et la Californie ». Une soupe que dégustent nombre d'espèces menacées aujourd'hui par un festin inattendu : mélangée au plancton, les microparticules sont en effet avalées sans moufter par plus de 260 variétés d'oiseaux et autres animaux marins. Via la chaine alimentaire, l'homme finira par être invité lui aussi au grand banquet toxique. Si on laisse faire, la situation virera bientôt à la catastrophe environnementale, le plastique mettant plus de 500 ans pour se "bio-dégrader". Mais situé dans des eaux peu concernées par la navigation marchande et le tourisme, le problème n'intéresse que les écologistes et les scientifiques. La communauté internationale ne s'en soucie guère pour l'instant. En attendant la volonté politique et les financement nécessaires, l'île de plastique, qui fait déjà 3,43 millions de kilomètres carrés et atteint près de 30 mètres de profondeur à certains endroits, poursuit sa croissance et méritera bientôt son nom de septième continent :dans 20 ans elle sera effectivement aussi grande que l'Europe. Un septième continent... en déchets plastiques - 06/11/08 http://politique.fluctuat.net/blog/34159-un-septieme-continent-en-dechets-plastiques.html
  24. Faut-il arrêter les expériences sur les animaux en laboratoire ? ici http://www.m6info.fr/cms/display.jsp?id=ri2_852741&portal=awl_787239&err=1_
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