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  1. Les koalas australiens pourraient être menacés par l'augmentation du taux de CO2 dans l'atmosphère. En effet, les feuilles d'eucalyptus, l'aliment de base de ces animaux, risquent de ne plus être comestibles. Selon les résultats obtenus par Ivan Lawler, scientifique à l'Université James Cook, la hausse du taux de CO2 provoque une réduction de l'azote et d'autres substances nutritives contenues dans les feuilles d'eucalyptus, et fait augmenter le taux de tanin, une toxine naturelle. Appauvrissement des substances nutritives Il résulte que les taux de protéines contenus dans ces feuilles diminuent, ce qui oblige les koalas et autres animaux à chercher davantage de feuilles d'eucalyptus appauvries en substances nutritives pour survivre. "La chaîne alimentaire des koalas est très équilibrée. C'est pourquoi le moindre petit changement peut avoir d'importantes conséquences", a expliqué Ivan Lawler. KOALA - Une espèce menacée - 15/04/08 www.enviro2b.com/environnement-actualite-developpement-durable/9263/article.html
  2. Un ours brun souffrant de malnutrition dans un zoo improvisé du nord-ouest de la Bosnie a quitté mardi ce pays vers la France grâce à l'intervention d'une association française pour la protection des animaux. "Mis sous sédatifs, l'ours est transporté dans une camionnette spécialisée munie d'une cage. Il est accompagné par un vétérinaire français", a déclaré à l'AFP Bogdana Mijic, membre d'une association bosniaque pour la protection des animaux (NOA), qui a participé à cette opération. Pris en charge par l'association française Respectons, l'ours sera placé dans un refuge de cette ONG située à Saint-Léger-Vauban (département de l'Yonne, centre). Baptisé Miljen (Chéri), l'ours âgé de huit ans ne pèse que 75 kilos, alors que le poids moyen de sa race est de 200 kilos, selon la même source. Il a été découvert il y a un mois par un acteur serbe, Miljenko Kljakovic, lors du tournage d'un film près de la ville de Prijedor (nord-ouest), qui a alerté les ONG locales. Miljen avait été capturé alors qu'il n'était qu'un ourson, et mis en cage dans le zoo improvisé d'un hôtel privé près de Prijedor. Délaissé par les employés de l'hôtel, il a survécu pendant des années grâce à une baguette de pain quotidienne que lui apportait un ancien employé de l'hôtel, Darko Sevic. "Je suis heureux d'apprendre qu'il a été sauvé", a déclaré à la presse locale M. Sevic. L'association NOA affirme qu'en Bosnie, de nombreux autres animaux sauvages sont gardés dans des conditions déplorables dans des zoo privés improvisés. Un ours délaissé dans un zoo privé en Bosnie trouve refuge en France - 16/04/08 http://afp.google.com/article/ALeqM5jyWWPYVD4UCwWbq6mCq5gBBhXMNQ
  3. Parce qu'embêtants. 2 d'entre eux ont déjà été euthanasiés L'International Primate Protection League envisasge d'appeler au boycot de Gibraltar si la tuerie ne s'arrêtait pas http://www.planetark.com/dailynewsstory.cfm/newsid/47993/story.htm www.planetark.com/dailynewsstory.cfm/newsid/47993/story.htm
  4. Et en plus de ça, elle est excessivement... sympathique Heureusement, son discours est compliqué et quelque peu rébarbatif.
  5. Pro Natura estime que les autorités ont été impatientes avec JJ3. Selon l’organisation de défense de la nature, le jeune ours n’était pas encore devenu un ours «à risque». Selon les critères de la Confédération, un ours est dit «à risque» lorsqu’il se montre agressif envers l’homme. Or, JJ3 ne l’avait pas été jusqu’ici, a écrit Pro Natura mardi. Les responsables grisons de la chasse avaient bien réagi jusqu’ici. Ils auraient dû continuer de faire peur à l’animal lorsqu’il s’approchait des zones habitées. L’homme n’en a pas fait assez Selon Pro Natura, le plan ours n’a passé son premier test. Lors de la première situation délicate, il a été interprété en défaveur de l’animal protégé. «Cela ne présage rien de bon pour les autres animaux sauvages qui pourraient entrer en Suisse.» Du point de vue de l’ours, JJ3 n’a rien fait de mal. Il a pris sa nourriture là où elle était la plus facile à trouver. L’homme par contre n’en a pas fait assez pour éviter les conflits avec l’ours L’ours JJ3 a été abattu dans les Grisons - Pro Natura estime que le plan ours a échoué - 15/04/08 www.lenouvelliste.ch/fr/news/flash_info/index.php?idIndex=0&idContent=76285
  6. L'ours "JJ3" a été abattu lundi soir dans les Grisons. L'animal était devenu dangereux pour l'homme, il venait chercher sa nourriture dans les agglomérations et ne se montrait absolument pas craintif. Le plantigrade est arrivé en juin dans le Val Müstair, en Engadine. Il a commencé par piller des ruches et à égorger des moutons. Puis, en automne dernier, il s'est attaqué aux poubelles de diverses localités pour se rassasier. Après son hibernation de quatre mois, il a repris cette mauvaise habitude. Les gardes-chasse étaient sur ses talons pour l'éloigner avec des balles en caoutchouc et lui faire peur avec des pétards. Rien n'y a fait, JJ3 ne se montrait absolument pas craintif. Les autorités suisses et grisonnes ont estimé que l'ours n'était pas rééducable et présentait un danger pour l'homme. Conformément au plan ours, ils ont donc décidé de l'abattre, a indiqué mardi l'Office fédéral de l'environnement. (...) L'ours "JJ3" a été abattu aux Grisons - 15/04/08 http://info.rsr.ch/fr/news/L_ours_JJ3_a_ete_abattu_aux_Grisons.html?siteSect=2010&sid=8973674&cKey=1208270329000
  7. Communiqué de presse L214 --------------------------------- Les images insoutenables de l'élevage cunicole français Lapereaux mal assommés agonisant au milieu de cadavres, lapins entassés dans des cages de batterie, taux de mortalité records (1), utilisation massive d'antibiotiques (2), c'est ce que va révéler une enquête filmée d'un an réalisée par l'assocation L214 (3) en 2007 dans une dizaine d'élevages professionnels français. Des images d'abattoir de lapins y seront également dévoilées. Vous pouvez voir en avant-première le clip qui sera rendu public ce mercredi 16 avril : http://www.L214.com/lapins Conférence de presse : Salle AGECA, 77 rue de Charonne, Paris 11ème. Mercredi 16 avril 2008 - 11h Vous trouverez également sur cette même page un dossier s'appuyant sur des publications scientifiques et professionnelles de l'élevage cunicole. Cette enquête est accompagnée de la sortie d'un DVD, qui regroupe, outre les images françaises, celles d'une investigation conduite par une association autrichienne dans 6 autres pays de l'Union européenne. Contact presse : photos et extraits vidéos sur demande auprès de l'association. (1) D'après les statistiques de la filière cunicole, les taux de mortalité sont de plus de 25 % ce qui fait de cet élevage un des pires de toute la filière viande. http://www.l214.com/lapins/mortalite-elevage-cunicole (2) D'après l'Agence Nationale du Médicament Vétérinaire, en 2006, 127 tonnes d'antibiotiques ont été utilisées dans les élevages de lapins, soit 10 % de la totalité des antibiotiques utilisés dans les élevages en France. http://www.l214.com/lapins/elevage-antibiotique (3) L214 : En 1976 les animaux sont pour la première fois explicitement désignés comme « êtres sensibles » dans la loi française. C'est l'article L214 du code rural. Les implications éthiques de la sentience animale sont considérables. Pour l'heure, elles n'ont été sérieusement prises en compte ni dans les pratiques ni dans le droit. Les campagnes de L214 ciblent des pratiques nocives pour les animaux et représentatives des problèmes généraux posés par la production de viande. Stop Gavage est une campagne de L214.
  8. L'affaire du spot publicitaire comparant un élevage de porcs à un camp de concentration nazi sera une nouvelle fois examinée en appel par la Grande chambre de la Cour européenne des droits de l'Homme, a annoncé lundi cette dernière. Les autorités suisses avaient refusé en 1994 de diffuser un spot télévisé conçu par une association militant contre l'expérimentation animale et l'élevage en batterie. Ce spot, destiné à réagir contre diverses publicités émanant de l'industrie de la viande, mettait en scène un hangar bruyant où des porcs étaient parqués dans de minuscules enclos et comparait ces conditions avec celles des camps de concentration. Saisie par l'association Verein Gegen Tierfabriken Schweiz (VGT), la Cour européenne a condamné la Suisse pour violation de la liberté d'expression une première fois en juin 2001, puis en octobre 2007 parce que malgré l'arrêt européen favorable à l'association, l'interdiction de diffusion du spot avait été maintenue. Les autorités suisses ont fait appel du deuxième arrêt et obtenu des juges européens que l'affaire soit rejugée en appel, dans un délai qui n'est pas précisé. ELEVAGE DE PORCS COMPARÉ À UN CAMP NAZI: NOUVEL EXAMEN À LA COUR EUROPÉENNE - 14/04/08 www.tele-animaux.com/fil-info,lecture,elevage-de-porcs-compare-a-un-camp-nazi--nouvel-examen-a-la-cour-europeenne:32328.html
  9. Il nous semble intéressant d’organiser pour la troisième année consécutive une Journée contre le spécisme le week-end du 7 juin car cette date s’inscrit dans la continuité d’autres évènements : la Journée internationale sans viande (mars), la Semaine mondiale de libération des animaux de laboratoire (avril), la Veggie pride (mai). (...) http://www.animauzine.net/Journee-contre-le-specisme-le-7.html?var_recherche=contre%20le%20sp%E9cisme
  10. Le Morbihan compte 13.300 chasseurs. « La moyenne d’âge des chasseurs est de 52 ans dans notre département. Notre objectif est de faire venir des jeunes et surtout de les garder dans nos fédérations », souligne Ludovic Pendeliau, administrateur de la Fédération des chasseurs du Morbihan. Pour remédier au manque de jeunes, la Fédération a rédigé une charte d’intégration des nouveaux chasseurs. « Il s’agit de respecter les jeunes et de les accompagner en les intégrant le mieux possible dans nos associations. Car, trop souvent, ils ne suivent pas. Faute de chiens, de terrains de chasse et d’encouragements, ils abandonnent ce sport pour un autre ». Les jeunes devraient donc bénéficier d’une première carte d’adhésion gratuite. Ils seront parrainés par un chasseur chevronné qui les accompagnera sur le terrain pour partager son expérience. Les chasseurs reconnaissent aujourd’hui, qu’ils n’ont pas assez fait attention à la ressource. La gestion des espèces « Quand nous avons commencé à chasser, après la guerre, il y avait du gibier à foison : nous avions l’impression que ce serait toujours le cas. Aujourd’hui, nous devons faire de la gestion et de la réhabilitation des espèces ». Les chasseurs précisent que le chevreuil est bien réhabilité dans le département. « Cela grâce à une chasse gestion qui veut, par exemple, que nous ne tuons jamais de femelle ». Le sanglier est également bien équilibré sur le territoire. Un plan de chasse vient également d’être mis en place, pour le lièvre. Il est établi à partir du recensement qui a été fait de l’espèce. « Selon le nombre d’individus comptés, on détermine si l’on peut ou pas prélever l’animal. En effet, il n’y avait plus beaucoup de lièvres, nous avons donc sensibilisé les associations. Et aujourd’hui, même si ça râle encore parfois, les chasseurs savent qu’il faut le préserver. Nous voulons privilégier le plaisir d’être dans la nature en tuant le moins possible ». (Pour tuer le moins possible pourquoi ne pas laisser son fusil à la maison ?) Réguler les prédateurs Par ailleurs, une intensification de la régulation des renards va être mise en place. Les fouines, les mustélidés ou encore les corneilles et les pigeons sont également classés parmi les nuisibles qu’il faut réguler. Au cours de son intervention auprès des 400 chasseurs réunis samedi lors de l’assemblée générale de la Fédération, à Vannes, le préfet du Morbihan a indiqué qu’il souhaite que le nombre d’associations de chasse communale agréées (Acca) se développe. Il s’agit d’associations soumises à une disposition réglementaire agréée par l’État. Lors de leur rencontre, les chasseurs ont également décidé des dates d’ouverture de la saison 2008-2009 : du 28 septembre 2008 au 28 février 2009, jusqu’au 31 mars pour la chasse à courre. Chasseurs. « Privilégier le plaisir d’être dans la nature » - 14/04/08 www.letelegramme.com/gratuit/generales/regions/morbihan/chasseurs-privilegier-le-plaisir-detre-dans-la-nature-20080414-2888463_1290944.php
  11. hop

    la semaine prochaine

    Elle se débrouille bien, on dirait ! Elle fait d'incroyable sauts en longueur, comme une grenouille ! Hazel est, en fait, assez casanière (de santé moins robuste aussi, c'est peut-être lié). Elle sort surtout quand il fait vraiment beau temps, doux et soleil - ce qui n'a finalement pas été beaucoup le cas depuis qu'elles sortent. De temps en temps, je vois Hazel et Loustic ensemble, parfois elles jouent à se poursuivre et à se bagarrer, mais elles sont de plus en plus chacune de leur côté. Hazel revient (encore) assez vite quand on l'appelle, Loustic...de moins en moins vite...!
  12. hop

    la semaine prochaine

    Oui, d'un chat à l'autre, c'est très différent. La Loustic, elle, ne rentre que quand elle est fatiguée. Elle en fait probablement trop, sa démarche le soir, est pas génial... Mais c'est encore assez nouveau pour elle, après plusieurs mois enfermée, et puis elle est encore gamine. Peut-être qu'en grandissant, elle s'économisera un peu...
  13. hop

    la semaine prochaine

    D'un point de vue pratique, ça aurait été compliqué. Et puis injuste aussi. Et j'ai tendance à croire que si on donnait le choix à la Loustic, elle préfèrerait sortir avec les risques que ça comporte, plutôt que de rester enfermée. Elle est ravie d'être dehors.
  14. Savais pas dans quelle rubrique placer cet article ______________________ Can People Have Meat and a Planet, Too? By Andrew C. Revkin - 11/04/08 The world has seen the first international conference on manufacturing meat (1). This is the process, tested so far only at laboratory scale, of growing pork, chicken, or beef through cell culture (2) in vats instead of raising and slaughtering animals. My colleague Mark Bittman wrote a fine piece recently about the greenhouse-gas consequences of conventional meat production (3). Others have explored the environmental and ethical impacts of factory and feedlot farming. Manufactured meat, in theory, provides an end run around these issues. What if you can have your meat, be ethical, and environmental, too? (And presumably they’ll engineer the bad fats out as well….) The three-day meeting of the In Vitro Meat Consortium, held at the Norwegian Food Research Institute, is wrapping up today. (They might want to do something about that name.) It brought together biologists, engineers, government officials and entrepreneurs seeking – for both environmental and ethical reasons – to move from animal husbandry to technology as a means of providing the kind of protein people crave in a world heading toward 9 billion ever more affluent mouths. A paper presented at the meeting concluded that, for the moment, the costs of cultured meat can’t come close yet to competing with, say, unsubsidized chicken. (A pdf is downloadable here (4)) The paper noted the reality of the climb up the protein ladder as countries move out of poverty, with global meat consumption at about 270 million metric tons in 2007 and growing at about 4.7 million tons per year. It laid out the theory: “The environmental impact of meeting this forecast demand from existing livestock systems is significant. Cultured meat technology offers an alternative production route for a proportion of this consumption. This would then allow a downsized livestock production system to continue to be ecologically sound and to meet basic animal welfare needs. The group noted that costs for research, large-scale testing, and public relations will be significant, and anticipated that governments and nonprofit groups would chip in. That seems idealistic, at best, in a world with deeply entrenched interests linking ranching, the agrochemical industry, and giant restaurant chains. But one could envision someday a model, say, of a solar-powered facility in southern California or Singapore basically turning sunlight and desalinated seawater into growth medium and then tons of cruelty-free, sustainable nuggets of chicken essence. (The promoters of this technology don’t envision anything, for now at least, beyond nuggets and ground meat. No filet mignon. For the moment, startup costs aside, the conferees concluded that unsubsidized chicken-raising still comes in at half the price. But the century is yet young. I asked a few folks about facets of this, among them Peter Singer, the ethicist at Princeton who’s written for ages on animal rights and environmental values on a finite planet. For those seeking an end to animal slaughter for human sustenance, is this kind of a cheat, I asked “Not necessarily,” he said. “My interest is in ethics, but whatever works best. If it is harder to move people on ethical grounds than it is to provide a sustainable humane substitute, I’m all for the substitute.” I then went to my bellwether of techno-optimist thinking, Jesse Ausubel, the director of the program for the human environment at Rockefeller University. He said there is no reason to doubt that a long-term trend toward more concentrated food production will eventually lead to manufactured meat. In fact, he said, there is essentially little choice on a crowding planet to pursue technological solutions to feeding ourselves, shifting away from carbon-containing fuels, and otherwise limiting our ecological imprint. Human nature is probably harder to change than technology, he said. “If behavior and technology do not change, more numerous humans will trample the earth and endanger our own survival,” he told me. “The snake brain in each of us makes me cautious about relying heavily on changes in behavior. In contrast, centuries of extraordinary technical progress give me great confidence that diffusion of our best practices and continuing innovation can advance us much further in decarbonization, landless agriculture, and other cardinal directions for a prosperous, green environment. For engineers and others in the technical enterprise the urgency and prizes for sustaining their contributions could not be higher. Because the human brain does not change, technology must.” What do you think? Can we change human nature? Should we ? (1) http://invitromeat.org/content/view/14/29/ (2) http://new-harvest.org/default.php (3) http://www.nytimes.com/2008/01/27/weekinreview/27bittman.html?_r=1&oref=slogin (4) http://invitromeat.org/images/Papers/invitro%20meat%20economics%20study%20v5%20%20march%2008.pdf http://dotearth.blogs.nytimes.com/2008/04/11/can-people-have-meat-and-a-planet-too/
  15. hop

    la semaine prochaine

    Non Do, pas de nouvelle. En plus des mots dans les boites aux lettres, j'ai mis des affichettes. Envoyé des annonces pour la presse régionale. Il y a eu de très fortes pluies pendant plus d'une semaine fin mars, j'ai vu des éboulis à divers endroits dans les environs. Probable qu'il y en a eu aussi sur le terrain, à des endroits inaccessibles pour moi, de vieux murets qui se sont écroulés. C'est à quelque chose comme ça que je pense. A vrai dire, j'ai pas le moral (tu t'en doutes...) et puis j'angoisse dès que les chattes montrent pas leurs museaux pendant 1 heure. Particulièrement pour la Loustic qui s'avère très sorteuse, et qui, depuis qu'il n'y a plus sa mère devient pas mal autonome et se nourrit en grande partie par ses propres moyens. En tout cas, elle vont mieux ces derniers jours, quoiqu'Hazel se mette à manger le double d'avant...
  16. Suite à la sortie de son bouquin "Sans offenser le genre humain : la cause animale", Elisabeth de Fontenay, la "philosophe des bêtes"- re- - donne une interview au journal Le point, qui commence par : "...Contrairement à trop de militants de la cause animale qui ne sont que dans la déploration, la plainte, la dénonciation des scandales, j’ai toujours eu un rapport joyeux avec les animaux. Quand j’étais enfant, mon frère et moi passions nos vacances à la ferme" (...) La philosophe et les animaux - 03/04/08 www.lepoint.fr/actualites-chroniques/la-philosophe-et-les-animaux/989/0/235106 On peut lire aussi : Jean-Baptiste Jeangène Vilmer et Elisabeth de Fontenay : l'animal, une personne juridique www.lemonde.fr/livres/article/2008/04/03/jean-baptiste-jeangene-vilmer-et-elisabeth-de-fontenay-l-animal-une-personne-juridique_1030419_3260.html
  17. La législation sur le bien-être animal évoluera" annonce Henri De Thoré, en charge du dossier Bien être à l'interprofession. Le défi qui se présente aux professionnels est d'atténuer les mesures qui pourraient être prises au niveau européen sur ce dossier. "Le bon sens et les aspects rationnels doivent primer sur l'émotion". En parlant d'une seule voix, les organisations professionnelles groupent leurs forces. Veille législative, lobbying à Bruxelles, construction argumentaire scientifique, le travail ne manque pas pour contrer l'action des diverses organisations non gouvernementales qui contestent les méthodes d'élevage ou d'abattage. "Le parlement est co-décisionnaire avec la commission. Or, il semble de plus en plus sensible aux arguments des ONG" déplore Henri De Thoré. (...) PORC / Bien-être animal - Des tensions accrues - 11/04/08 www.paysan-breton.fr/article/8290/porc--bien.html
  18. hop

    la semaine prochaine

    Merci vous 2. Je vous embrasse.
  19. hop

    la semaine prochaine

    Je regarderai pour les colliers. Je pense qu'elle a eu un accident. En début de semaine, il a refait froid, avec du gel. Si ç'avait été une "fugue", ça lui aurait peut-être donné envie de revenir. Je l'appelle quand même et vais continuer à l'appeler, parce que quel-que-soit ce que je pense, je ne sais pas ce qu'il s'est passé, donc...
  20. Il y a un petit peu plus d'un an, une boule de poils devenait la coqueluche des Allemands. Knut, le petit ourson blanc abandonné par sa mère, avait échappé à la mort grâce aux soins prodigués par l'équipe du zoo de Berlin. Une "knutmania", relayée par les médias, avait alors déferlé sur le monde. Puis l'ours polaire a grandi et le public s'en est désintéressé. Aujourd'hui, le plantigrade fait à nouveau les gros titres de la presse mais pour son comportement. Knut a attrapé dix carpes vivantes dans son bassin avant de les tuer après avoir joué avec. Le tout, devant les visiteurs du zoo. Le Frankfurter Allgemeine évoque un crime froid et le Bild a qualifié Knut de psychopathe ! "Un psychopathe, c'est quelqu'un qui souffre de troubles du psychisme. Or, si Knut souffre, c'est plutôt de troubles relationnels... En ce sens, ce serait plutôt un sociopathe", précise d'emblée Brice Le Faux, directeur scientifique et vétérinaire du zoo de Doué, dans le Maine-et-Loire . "Tuer des carpes est une action naturelle pour un ours, prévient-il d'emblée. Et tuer pas forcément pour consommer fait partie du répertoire comportemental d'un ours de un an. La notion du ‘respect de la vie' est complètement étrangère à l'animal." Elevage à la main La presse allemande se demande par ailleurs si la surmédiatisation de Knut n'a pas influencé sa personnalité. "Il y a eu des abus qui ont surpris la communauté zoologique internationale", admet le spécialiste français, qui évoque une "anthropomorphisation" de l'animal, transformé en "petite peluche". "C'est le problème de l'élevage humain", pointe-t-il. Les naissances d'ours polaires en captivité sont très rares, concède-t-il, expliquant comprendre la volonté du zoo allemande de ne pas laisser mourir l'ourson. "Pour les singes abandonnés par leur mère, nous ne faisons plus d'élevage à la main [pratique qui consiste à s'occuper d'un bébé animal comme s'il était un bébé humain, NDLR], précise Brice Le Faux. On l'aide à passer le premier cap sur les plans de l'alimentation et de l'affection mais sans se substituer à sa mère ou à son père. Dès les premiers jours, nous présentons le petit au groupe [de singes] : il comprend tout de suite qu'il est un singe, un peu particulier, mais un singe et pas un homme." Au zoo de Nuremberg, un ourson blanc femelle, baptisée Flocke (flocon), a été présenté au public mardi devant des centaines de journalistes et de photographes. Agée de 4 mois, Flocke a été séparée de sa mère peu après sa naissance en raison du danger potentiel qu'elle représentait pour elle. Elle a depuis été élevée au biberon par les soigneurs du zoo... Knut, l'ourson vedette devenu "psychopathe" - 10/04/08 http://tf1.lci.fr/infos/sciences/environnement/0,,3816322,00-knut-ourson-vedette-devenu-psychopathe-.html
  21. (Près de Toulouse) L'information a été donnée hier soir en exclusivité à « La Dépêche» par le maire de Fenouillet : l'édition 2008 de la feria n'aura pas lieu. Claudie Marcos, qui jusqu'à présent avait juste signifié qu'elle « soumettrait cette question aux Fenouilletains », vient de prononcer un moratoire sur l'organisation d'une feria à Fenouillet dans lequel elle annonce qu'elle « n'accordait pas d'autorisation pour une occupation du domaine communal dans le cadre de cette feria». Claudie Marcos, qui succède à l'un des initiateurs de la feria, l'ancien maire Gilles Broquère, considère d'une part que le « permis de construire du 15 juin 2007 délivré par la municipalité est entaché d'illégalités », et d'autre part que « les organisateurs n'ont pas pris les mesures nécessaires pour appliquer le strict respect du contenu de l'arrêté du permis de construire comme le lui demandait la municipalité de Fenouillet par un courrier du 21 février ». Claudie Marcos met également en avant d'autres arguments : « Toutes les conditions ne sont pas réunies pour garantir la sécurité de cette manifestation et en particulier les accès aux parkings ainsi que les trajets vers le site ». - un événement festif l'année prochaine? Claudie Marcos estime également, conformément à son engagement lors de la campagne électorale, que les habitants de Fenouillet doivent être « totalement associés à ce sujet ». « Les délais incompressibles prévus pour organiser une consultation des électeurs ne nous permettent pas de le faire actuellement. Nous ne pouvions que prendre cette décision », explique le maire. Quant à savoir si une nouvelle manifestation remplacera la feria, « rien n'est encore décidé », affirme Claudie Marcos qui conclut : « Je demanderai à mon équipe de réfléchir sur un événement festif pour l'année prochaine et pour les Fenouillétains. Une chose est sûre, je suis soulagée que cette feria s'arrête. C'était devenu un sujet sensible qui n'avait qu'une très faible incidence économique sur la commune ». Fenouillet : la feria, c'est fini - 10/04/08 www.ladepeche.fr/article/2008/04/10/447742-Fenouillet-la-feria-c-est-fini.html Autre article : Mise à mort annoncée de la corrida de Fenouillet - 09/04/08 www.libetoulouse.fr/2007/2008/04/mise-mort-annon.html
  22. hop

    la semaine prochaine

    Non, Do, rien.
  23. Les autorités de Séoul veulent classer le meilleur ami de l’homme comme animal de boucherie afin de pouvoir fixer des règles sanitaires et rassurer ainsi les consommateurs locaux de viande canine, écrit The China Post. Selon les estimations, 2 à 4 millions de chiens seraient consommés chaque année en Corée du Sud, mais en l’absence de règles d’hygiène l’abattage et la transformation s’effectuent dans des environnements insalubres, ce qui représente un risque pour les consommateurs, rapporte le correspondant à Séoul du quotidien taïwanais. ..;La proposition de reclasser le chien comme animal de boucherie a suscité une levée de boucliers chez les défenseurs des animaux. Ils ont organisé des manifestations et lancé des pétitions sur Internet. “La Corée du Sud est le seul pays au monde qui autorise légalement la consommation de viande de chien”, rappelle l’Association coréenne de protection des animaux dans un communiqué. “La devise de la Corée du Sud est la mondialisation, mais, pour ce qui est de la consommation de viande canine, elle fait tout pour retourner à l’âge de pierre.” Selon le président de l’association, Lee Won-bok, si le projet est adopté, la consommation de viande de chien augmentera dans des proportions considérables. "C’est épouvantable d’imaginer du chien dans les rayons des supermarchés à côté du bœuf et du jambon, et ça soulève le cœur de voir du chien rôti au menu des restaurants”, affirme-t-il." Corée du Sud : enfin du chien propre à la consommation ! 10/04/08 www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=84496 Ce dégoût a à voir avec notre sensibilité, différemment affectée du sort d'un poulet, d'une vache ou d'un chien, ça n'a rien à voir avec les animaux eux-mêmes, et leur capacité à souffrir, qu'ils soient poulet, vache ou chien. What's the difference http://www.free.org.il/movies/No_Difference/no_differenceE.html
  24. Le propriétaire les laisse paître dans une prairie sans herbage De plus en plus de voix s'élèvent à Céroux-Mousty contre le traitement jugé "inhumain" d'un propriétaire équin envers sa quinzaine de chevaux répartis sur deux prairies. Sans cabanes pour s'abriter en cas d'intempéries, sans eau pour boire, sans le moindre brin d'herbe à brouter, les chevaux, au pelage terne et non entretenu, dépérissent, livrés à eux-mêmes. "Le sol est aride et la pente est très forte", commente une riveraine qui s'inquiète du sort réservé à ces chevaux. "Ils se contentent de rester en équilibre. Si ça continue, ils vont se casser des pattes. Désormais, on doit les considérer comme des chevaux sauvages. Personne ne s'en occupe. Ils sont laissés à l'abandon. Si ça continue, ils vont mourir et je ne peux me résoudre à cela." Des plaintes ont bien été déposées auprès de la police d'Ottignies-Louvain-la-Neuve, mais celle-ci s'estime incompétente face à ce genre de cas. Un dossier avait même été introduit, en 2006, auprès du tribunal correctionnel de Nivelles mais celui-ci avait classé l'affaire sans suite sous prétexte que le propriétaire leur donnait à manger au matin et au soir. "Où voyez-vous à manger dans cette pâture ?", interroge une passante. "Il n'y a pas un seul brin d'herbe à arracher pour leur donner à manger. Et voyez-vous de l'eau quelque part ? Les bassines sont renversées en plein milieu du champ. Ces pauvres bêtes doivent être retirées à leur propriétaire." Les défenseurs de ces chevaux réclament qu'une attention particulière soit portée à ce dossier. Et espèrent que les autorités interviendront enfin pour contraindre le propriétaire à entretenir ses animaux. "C'est une nécessité. Il y a quelques jours, un petit est né dans la neige et le propriétaire ne s'en est même pas occupé. Un riverain est alors passé par là et a pris le petit pour l'emmener au chaud, dans un hangar où il y avait de la paille. Sans cette intervention, le poulain ne serait sans doute plus vivant à l'heure actuelle." Le propriétaire a décidé de vendre ses chevaux. Ceux qui sont intéressés pour offrir un meilleur sort à ces animaux peuvent le contacter au 0475/76.09.18. Yannick Natelhoff Des chevaux laissés à l'abandon - 04/04/08 http://www.dhnet.be/dhjournal/archives_det.phtml?id=808259
  25. Le Parc animalier de Saint-Martin-la-Plaine (Loire) a annoncé mardi avoir déposé plainte pour le vol de trois ouistitis à pinceau noir, dimanche durant les heures d'ouverture au public. Ces singes -un couple et un jeune mâle- originaires d'Amérique du Sud ne pèsent que 200 à 300 grammes et sont "fragiles". "Ils doivent avoir une température ambiante d'environ 25 degrés et sont alimentés avec une nourriture spécialement mise au point par un laboratoire de Grande-Bretagne", met en garde Pierre Thivillon, le directeur du parc animalier. "C'est la première fois qu'on nous vole des singes en plus de vingt ans d'activité", souligne le directeur du parc réputé pour ses nombreux gorilles. Dimanche en fin d'après-midi, un animalier a découvert la disparition des trois ouistitis à pinceau noir de leur volière, située dans une serre climatisée et dont le cadenas avait disparu. "Le même jour, le Parc animalier de Peaugres (Ardèche) a été victime d'une tentative de vol de tamarins empereurs", note M. Thivillon, qui pense avoir affaire à des trafiquants. LOIRE: TROIS OUISTITIS DÉROBÉS DANS UN PARC ANIMALIER - 08/04/08 www.tele-animaux.com/fil-info,lecture,loire--trois-ouistitis-derobes-dans-un-parc-animalier:32309.html
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