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L'actrice française et activiste des droits des animaux Brigitte Bardot a qualifié de "cruauté primaire" le projet de la mairie d'Addis Abeba d'empoisonner des milliers de chiens errants à l'approche des célébrations du passage à l'an 2000 de l'Ethiopie, qui a son propre calendrier. ...De son côté, l'association de défense des animaux Peta, installée en Virgine (Etats-Unis), a appelé le maire d'Addis Abeba à renoncer à son projet, lui proposant "d'accepter notre aide pour mettre en place un programme de contrôle de la population de chiens et de la rage qui profitera à la population et aux animaux". ..Les autorités d'Addis Abeba ont annoncé leur intention de tuer des dizaines de milliers de chiens errants, en les appâtant avec de la viande mélangée à de la strychnine, un poison qui cause d'atroces douleurs et une mort par asphyxie. La capitale éthiopienne attend des dizaines de milliers de visiteurs pour les célébrations, sept ans après le reste de la planète, de son passage à l'an 2000, le 12 décembre. (...) Brigitte Bardot et Peta pressent Addis Abeba d'épargner ses chiens errants - 07/09/07 http://www.animaux-online.com/depeches,lecture,brigitte-bardot-et-peta-pressent-addis-abeba-d-epargner-ses-chiens-errants:31362.html

Des élus PS, UMP et PCF ont appelé vendredi à Arles à la mobilisation pour le maintien des corridas traditionnelles dans le sud de la France, au nom de la défense de la "culture" et des "libertés régionales" face à ceux qui entendent obtenir leur interdiction. "Ce combat, nous devons l'aborder sous l'angle de la défense de la liberté, la liberté de vivre selon notre culture, la liberté de défendre nos traditions", a déclaré le socialiste Michel Vauzelle, député des Bouches-du-Rhône et président de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur (Paca), en se référant aux campagnes anti-corridas lancées en France et auprès de Bruxelles au nom de "la souffrance de l'animal". ...Son point de vue a été partagé par M. Jean Valade, adjoint au maire UMP de Nîmes qui en a fait un combat entre gens du nord et gens du sud: "Nous ne nous laisserons jamais dicter nos libertés", a-t-il déclaré. Hervé Schiavetti, maire PCF d'Arles, a de son côté fait valoir que la tauromachie appartenait à "la vie quotidienne" dans le sud et était en outre "facteur d'intégration". Il a prédit "des manifestations monstres" en cas d'interdiction. (...) Des élus du sud se mobilisent pour le maintien des corridas, au nom de la culture - 07/09/07 http://www.animaux-online.com/depeches,lecture,des-elus-du-sud-se-mobilisent-pour-le-maintien-des-corridas-au-nom-de-la-culture:31365.html

La disparition massive des abeilles d'élevage aux Etats-Unis est apparemment liée à un virus identifié en 2004 en Israël, selon des scientifiques dont la découverte annoncée jeudi devrait permettre d'expliquer ce phénomène mystérieux et préoccupant, qui frappe aussi ailleurs dans le monde. ...Ils ont pu établir qu'une variante du virus baptisé IAPV (Israeli Acute Paralysis Virus) qui paralyse les abeilles "pourrait être la cause potentielle" de cette hécatombe, a expliqué, lors d'une conférence de presse, Ian Lipkin, directeur du centre pour l'infection et l'immunologie de l'Université Columbia (New York, est). ..."Notre prochaine étape est de déterminer si ce virus est la seule cause de ce phénomène de dépopulation massive des ruches, appelée en anglais CCD (Colony Collapse Disorder)" ou s'il agit parmi d'autres facteurs tels des microbes, des toxines, des insecticides ou une nutrition appauvrie par la sécheresse, a-t-il poursuivi. (...) Un virus impliqué dans la disparition massive et mystérieuse des abeilles aux USA - 06/09/07 http://fr.news.yahoo.com/afp/20070906/tsc-gen-agr-c2ff8aa_1.html ...

La corrida est une vieille histoire de routes et de géographie. Route des élevages, route des taureaux, route des chevaux, route des toreros, route des aficionados, chemin de croix des anti... Septembre amorce la saison des clôtures : hier on cueillait à l'arbre une dernière pêche. Dans la foulée, Sud-Ouest et Sud-Est présentent leurs dernières ferias, avec les meilleurs cartels, les élevages les plus prestigieux et pas mal d'illusions. (...) Sur les routes de la corrida - 07/09/07 http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3546,36-952493,0.html

...On estime qu'ils sont aujourd'hui au moins une centaine, répartis en un peu plus d'une quinzaine de meutes. D'une longueur de 150 kilomètres, leur territoire originel s'étend sur six vallées dans les Alpes du Sud sur plus de 200 000 hectares. Zone qui compte environ 18 000 habitants permanents répartis dans 28 communes avec une forte activité de pastoralisme. Ce qui entraîne évidemment de douloureux problèmes de cohabitation entre l'animal et l'homme. Pourtant, pour une fois pourrait-on dire, l'homme n'y est pour rien. Il n'a pas joué avec le feu. Les loups sont revenus tout seuls. Au début des années 1990, ils ont franchi la frontière entre l'Italie et la France. Le parc du Mercantour est en effet contigu au Parco naturale Alpi Marittime, en Italie, où le loup, qui n'y a jamais disparu, était bien présent et protégé. ...Cette expansion du loup va-t-elle s'arrêter là ? C'est peu probable. Présent dans un seul département il y a quinze ans, il l'est aujourd'hui dans huit (Ain, Alpes- de-Haute-Provence, Hautes-Alpes, Alpes-Maritimes, Drôme, Isère, Savoie, Haute-Savoie et Var), d'Annecy à Digne en passant par Grenoble et le Vercors. Il a aussi gagné les Alpes vaudoises en Suisse. Et il a déjà été vu au-delà du Mercantour, dit-on, dans les Vosges, le Jura et le Massif Central. Il a également été repéré dans les Pyrénées-Orientales. ...au mois d'août, pouvoirs publics, éleveurs et représentants des associations se sont réunis, sous la houlette de la secrétaire d'État à l'Écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, afin d'élaborer un plan d'action pour le loup de 2008 à 2012. La (nouvelle) principale préoccupation étant de mettre en oeuvre les moyens nécessaires à l'accompagnement (mouais... ) de la sortie du loup de son bastion alpin. (...) Les loups iront-ils jusqu'en Bretagne ? - 05/09/07 http://www.lefigaro.fr/sciences/20070905.FIG000000017_les_loups_iront_ils_jusqu_en_bretagne.html

Faut être sérieusement atteint pour pondre un truc pareil j'avais encore jamais rien vu d'aussi croquignol !

Le Fonds indien de protection de la nature a dénoncé jeudi un trafic présumé de cuisses de grenouilles vers la France après que la police eut mis la main sur des sacs remplis de milliers de ces batraciens protégés. La semaine dernière des policiers de l'Etat indien de l'Assam (nord-est) ont découvert sur une route près d'un parc naturel 14 sacs contenant des milliers de grenouilles, la plupart vivantes, apparemment abandonnées par des trafiquants. Les animaux furent relâchés, mais plusieurs centaines étaient déjà morts étouffés. "C'est une énorme saisie et la marchandise était, selon toutes les probabilités, destinée à la France où (les cuisses de grenouilles) sont considérées comme un plat gastronomique", a déclaré à l'AFP Ashok Kumar, vice-président du Fonds indien pour la protection de la nature (WTI). D'après lui, les batraciens devaient être tués, démembrés puis leurs pattes congelées au Bangladesh, avant d'être envoyées en France. "Une fois congelées, elles peuvent rapporter beaucoup d'argent. Il semble qu'il y ait une chasse organisée dans l'Assam à la grenouille-taureau indienne", la plus grosse espèce de grenouille en Inde, mesurant jusqu'à 15 cm, a-t-il accusé. Cette grenouille a été déclarée "espèce protégée" en 1994 par la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES). En 1997, un chargement de 450.000 grenouilles-taureaux indiennes avait été intercepté aux Pays-Bas, à destination du Canada et en provenance du Vietnam. Devenue rare dans les marais en France, la grenouille est un produit de haute gastronomie, les cuisses étant cuisinées surtout par de grands chefs qui s'approvisionnent en Asie. La pêche de ce batracien est interdite en France depuis 1980 et son élevage sévèrement réglementé. La France importe 3.000 à 4.000 tonnes par an de cuisses surgelées et 700 à 800 tonnes de grenouilles vivantes, selon des chiffres de 2005 de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra). Inde: soupçons de trafic de cuisses de grenouilles vers la France - 06/09/07 http://www.animaux-online.com/depeches,lecture,inde-soupcons-de-trafic-de-cuisses-de-grenouilles-vers-la-france:31356.html

J'm'a trompé. Heureusement que t'as l'oeil. voui.

La corrida a-t-elle toujours sa raison d'être ( ) en France ? 50.2 % Oui 49.8 % Non Je ne le poste pas sur le Forum, rapport à l'amie Myrdinn (visiteuse très assidue) ! http://www.radiofrance.fr/chaines/france-bleu/?nr=64436276da2a94796262b4c4b0e2b7\ 54&nocache=true Bonjour à vous

Pet owners and animal lovers are angry with Michael Vick's dogfighting endeavors. Farmers, on the other hand, are concerned with the deeper issues being raised behind the media attention the disgraced NFL quarterback is getting. Meat and dairy producers say they are concerned about the ramifications that media attention about animal cruelty has had on agriculture. They contend that the limelight on animal cruelty has helped fundraising efforts by People for the Ethical Treatment of Animals and other groups. That funding may help PETA and other organizations that fuel their agendas to do away with the meat industry, said Bill McKinnon, executive secretary for the Virginia Cattle Feeders Association. McKinnon was one of about 30 producers and agribusiness attendees at a meeting held by the Virginia Agribusiness Council on Friday at the Institute for Advanced Learning & Research. PETA, however, isn't the only group opposed to animal farming that may have benefited from the increased awareness of animal cruelty, according to agriculture leaders. (...) The battle over dining on meat - 05/09/07 http://timesdispatch.com/cva/ric/entertainment.apx.-content-articles-RTD-2007-09-05-0018.html

La faim, la bagnole, le blé et nous Message de Fabrice Nicolino Le Blog de Fabrice Je suis journaliste (à Terre Sauvage et à La Croix), après avoir travaillé pour Politis, Géo, Le Canard Enchaîné, Télérama. Je suis le co-auteur, avec François Veillerette, du livre " Pesticides, révélations sur un scandale français " (Fayard, 2007). Si je me permets aujourd'hui de vous adresser ce message, c'est qu'il y a urgence, une urgence absolue. Je publie le 3 octobre un livre intitulé " La faim, la bagnole, le blé et nous. " (Fayard). Son sous-titre est clair : une dénonciation des biocarburants. Je veux vous en parler directement. Vous pouvez certes y voir une banale opération commerciale, mais tel n'est pas le cas. L'expansion fulgurante des biocarburants est une tragédie planétaire. Elle conduit en premier lieu à la stérilisation de millions d'hectares de terres agricoles et à l'aggravation tragique de la faim. Pour faire rouler des bagnoles. Savez-vous que le quart du maïs américain sert déjà à fabriquer du carburant automobile ? Une telle révolution a des effets en chaîne sur toutes les céréales et plantes alimentaires, dont le cours explose. Elle conduit également à la destruction de ce qui reste de forêts tropicales. En Indonésie, le palmier à huile menace tout à la fois l'homme, l'orang-outan et l'éléphant d'Asie, ridiculisant tous les grands discours sur la biodiversité. En Afrique, le bassin du Congo est attaqué. Au Brésil et en Amérique latine, on plante de la canne à sucre ou du soja partout. Pour remplir les réservoirs au détriment de la forêt et du cerrado, pourtant des écosystèmes uniques. Les biocarburants sont des armes de guerre et de mort. Qui les soutient ? L'agriculture industrielle, les transnationales et tous ceux qui leur sont soumis, dont nombre de journaliste hélas. En France, je décris un système complexe dont l'un des centres n'est autre que le ministère de l'Écologie de M. Borloo, à travers l'Ademe et un organisme méconnu, Agrice. À quelques semaines du " Grenelle de l'Environnement ", cela mérite d'être discuté. Mais je n'oublie pas tous les autres, y compris certains écologistes fort mal inspirés. Car les biocarburants, comme je le montre, et malgré de rares études manipulées par lobby, ont un bilan écologique désastreux, qui aggravera l'effet de serre, quoi qu'en dise la propagande. Et en France, leur développement signe la fin de la jachère, refuge de la faune banale, des oiseaux et petits mammifères. Au fait, savez-vous qu'une usine du Havre transformera dès 2008 des animaux en biocarburants ? Et qu'on tente de faire pousser, par génie génétique, des arbres mous, permettant d'extraire leur cellulose, matière première des biocarburants ? Ce monde est fou, et sans la moindre morale. J'ai fait ce que je pouvais, c'est-à-dire mon job. Pour tenter d'arrêter cette insupportable machine, j'en appelle solennellement à vous. Agissez ! Agissons ensemble. Fabrice Nicolino, le 1 septembre 2007 http://www.liberterre.fr/actualiterres/nicolino.html

L'introduction de prédateurs, des loups ou des lynx, est l'une des options à l'étude pour lutter contre la surpopulation de daims dans un parc de dunes naturelles à l'ouest d'Amsterdam, a indiqué mercredi une porte-parole de la commune à l'AFP. Waternet, le gestionnaire du parc, "a fait des propositions d'étude. L'une d'elles est d'introduire des prédateurs", a déclaré Marjolijn van Goethem. "Mais d'autres scénarios ont aussi été proposés, comme la chasse sélective, l'utilisation de médicaments contraceptifs, l'installation de grilles plus élevées pour éviter que les animaux ne s'échappent ou tout simplement ne rien faire !", a-t-elle ajouté. Quelque 1.500 daims peuplent ce territoire où des eaux usées sont traitées par filtrage dans du sable. En 2006, ils ont causé 13 accidents de la route après avoir sauté par-dessus la clôture et rejoint les zones urbaines qui l'entourent. Selon Waternet, en l'absence d'ennemi naturel, la population de cervidés s'accroît de 30% chaque année. Le parc est en partie ouvert au public, qui peut y faire des randonnées "C'est aussi la raison pour laquelle les loups ne sont pas l'option la plus logique", selon Mme van Goethem. Après l'étude des différentes options, le conseil municipal devrait prendre une décision "dans quelques mois", a-t-elle précisé. Surpopulation de daims : l'introduction de loups à l'étude à Amsterdam - http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-32293850@7-50,0.html

La tentative d'éradication des carnivores, suspectés de véhiculer la tuberculose bovine, a eu des effets inattendus outre-Manche. Elle a sans doute contribué à répandre la maladie. DEUX études dénoncent coup sur coup l'inefficacité de l'abattage ciblé des blaireaux pour empêcher la diffusion de la tuberculose bovine outre-Manche. C'est une mauvaise nouvelle pour les autorités sanitaires britanniques car, avec l'interdiction des déplacements du bétail malade, l'éradication des mustélidés constitue le point fort de la lutte contre la maladie. En effet, depuis la découverte en 1971 de la première carcasse de blaireau mort, atteint de tuberculose bovine, des campagnes d'abattage ont été décidées afin d'empêcher la diffusion de la maladie chez les blaireaux et sa transmission aux bovins. Entre 1973 et 1998, plusieurs opérations ont été conduites, mais sans succès. La maladie est en recrudescence. En 2006, sur plus de 50 000 troupeaux testés, près de 2000 cas avaient été diagnostiqués en Angleterre, au pays de Galles et en Écosse. Au début de l'été déjà, un groupe d'experts indépendants mandatés par le Defra (Département pour l'environnement, l'alimentation et les affaires rurales) avait remis un rapport où ils estimaient que l'abattage des blaireaux n'a pas d'impact significatif sur le contrôle de la maladie, et il « pourrait même faire empirer la situation ». La semaine dernière, c'est au tour d'une équipe d'écologistes de l'université d'Oxford d'enfoncer le clou après avoir épluché toute la littérature scientifique sur la question. - Nouvelles contaminations Selon Stephen Carter, l'élimination des blaireaux autour des fermes où le bétail est infecté par le bacille Mycobacterium bovis provoque des mouvements de population tels qu'ils peuvent être à l'origine de nouvelles contaminations, surtout en périphérie des zones touchées. Le blaireau est un animal territorial qui fait d'immenses terriers dans les forêts, mais il peut se déplacer aussi sur d'assez grandes distances. La désorganisation provoquée par les abattages amène les blaireaux à se déplacer plus librement dans et autour des zones d'abattage. Ils ont tendance alors à se rapprocher des fermes, à venir boire dans les abreuvoirs. Les perturbations s'étendent sur de longues périodes, beaucoup plus longues sans doute que l'imaginaient ceux qui ont mis au point ce programme de lutte. Un programme dénoncé par les puissantes associations de défense de la faune sauvage, très puissantes outre-Manche. Un peu de répit en vue pour les blaireaux britanniques - 03/09/07 www.lefigaro.fr/sciences/20070903.FIG000000220_un_peu_de_repit_en_vue_pour_les_blaireaux_britanniques.html

One Voice organise une action en faveur de Samba le 12 septembre prochain à Paris. Une conteuse, des danseurs et des musiciens africains porteront haut et fort la voix de cette éléphante arrachée de son Kenya natal pour devenir esclave dans un cirque. Les manifestants danseront en hommage au courage de Samba qui a osé défier son dresseur en public. Elle a refusé d’exécuter un numéro l’obligeant à mimer sa propre mort.Ils danseront pour dénoncer l’esclavage des animaux dans les cirques et affirmer leur détermination à lutter pour qu’ils recouvrent la liberté et la dignité. Muriel Arnal, présidente de One Voice, rencontrera la directrice de cabinet de la Secrétaire d’Etat à l’Ecologie et le conseiller pour la faune sauvage du Ministère de l’Ecologie. Elle lui remettra les dizaines de milliers de cartes récoltées en faveur de la libération de Samba, ainsi qu’une vidéo issue de 50 heures de caméra cachée, tournées sur une année par les enquêteurs de l’association, dans les cirques en France. Ce sera l’occasion pour One Voice de réitérer sa demande d’interdiction de l’utilisation des animaux dans les cirques, objectif pour lequel elle mène campagne depuis huit ans. Tous les défenseurs des animaux et de la nature sont invités à participer à cette action en hommage à Samba, symbole de la révolte et de la liberté. Rendez-vous à 14 heures au Ministère de l’Ecologie (20 Avenue Ségur - 75007 Paris) http://www.cirques.org/campagnes/12_septembre.html

Rod Coronado Goes to Trial for Giving Explosives Instruction Tuesday, September 04 2007 Rod Coronado, a lifelong animal rights activist and convicted arsonist, goes to trial next week for allegedly telling a crowd something they could find on Google. By WILL CARLESS Voice Staff Writer Animal rights activist Rod Coronado spent most of the late 1990s in federal prison, serving a 57-month sentence for burning down a fur farm laboratory on the campus of Michigan State University. In 2003, four years after his release from prison, Coronado made a controversial speech to a group of activists in San Diego. After the speech, according to court documents, a member of the audience asked Coronado how he built the incendiary device he used to destroy the fur farm in Michigan. The answer Coronado gave could be about to send him back to federal prison. If federal prosecutors have their way, Coronado could end up spending more time in prison for talking about the Michigan State arson than he did for committing the arson itself. In his answer, Coronado described how he built the Molotov cocktail-type device he used for the Michigan arson. Almost three years after he made the speech, he was charged under a seldom-used federal statute that prohibits individuals from teaching or demonstrating the making or use of an explosive device with the intent that passing on the information will lead to further crimes. The case, which comes to trial in federal court in San Diego next week, is the latest phase of a three-year effort by federal prosecutors and investigators to bring charges in relation to a massive arson in University City that caused $50 million of damage and occurred the same day as Coronado’s speech. A banner found at the scene of the arson read "If you build it, we will burn it -- The ELFs are mad." ELF is an acronym for the Earth Liberation Front, an extremist environmental group; Coronado was once the group's spokesman. In 2005, two local animal rights activists, Danae Kelley and David Agranoff, were jailed for several months for refusing to testify before a federal grand jury investigating the arson. Those activists were later freed and the grand jury has yet to bring any charges. Coronado, who lives in Tucson, was in San Diego for a pre-trial hearing Friday. He said the charges that have been brought against him are a last-gasp effort by the government to justify several years of fruitless investigation of the arson. "In lieu of capturing the responsible parties for the University City arson, the government is trying to silence someone who has given some breath to a movement they want to hurt," Coronado said outside the court. Federal prosecutors would not comment on the ongoing case. The government’s case will essentially hinge on Coronado’s intent when he made the speech. Undercover investigators were at the speech and recorded it, but according to court documents, the investigator’s recorder cut out before the question and answer section of the lecture began. Therefore, exactly what was said about the Michigan State arson, and how Coronado said it, is in dispute. Under a strict reading of the statute Coronado has been charged under, prosecutors must prove that when Coronado described how he made the incendiary device he intended his audience to go out and use that information to commit crime, said Gerald Singleton, one of Coronado’s attorneys. But Singleton said he will ask the judge to instruct the jury to take a more narrow approach to the statute in Coronado’s case. That approach is based on a 1969 Supreme Court decision, Brandenburg v. Ohio. In Brandenburg, the court ruled that the government could only punish inflammatory speech if it was "directed to inciting and likely to incite imminent lawless action." If the judge instructs the jury to follow this case, Singleton said, the jury would have to agree that Coronado intended to incite immediate lawless action from the group that gathered to hear him speak that night in Hillcrest. Coronado said that group consisted mainly of middle-aged animal rights activists and young punk rockers -- hardly the sort of crowd to go out and immediately start burning things down, he said. Singleton said the narrower interpretation of the statute makes sense considering the fact that the information his client passed on to the crowd can be found easily and quickly online. A Google search for "How to make a Molotov cocktail" garnered 6,880 results in 0.37 seconds, including a page from the online encyclopedia Wikipedia that includes diagrams showing the making of a Molotov cocktail. Singleton will have some help in winning over the judge and jury in the shape of J. Tony Serra, a battle-hardened veteran of civil rights law who once defended members of the Black Panthers. Serra will be examining some of the witnesses and will be making the closing statement in Coronado’s trial, Singleton said. The trial begins Sept. 10. sce : www.voiceofsandiego.org http://www.infoshop.org/inews/article.php?story=20070904175907234

Le combat récurrent entre partisans et opposants des corridas occupe régulièrement le devant de la scène mais les défenseurs des animaux entendent bien éclairer davantage un autre de leur combat, encore trop méconnu du grand public : celui des lévriers martyrisés par milliers en Espagne chaque année. En effet, de l'autre côté des Pyrénées, quelque 500 000 galgos (lévriers) sont utilisés pour la chasse ou pour concourir dans ces épreuves. L'Espagne est l'un des derniers pays de l'Union européenne qui autorisent encore ce type de chasse non sélective, sans contrôle, qui porte gravement atteinte à la faune. Surtout, cette chasse se solde, chaque année, par de véritables actes de cruauté. Lorsque les galgos atteignent 2 à 3 ans, les galgueros s'en débarassent selon une tradition moyenâgeuse. Le galgo méritant aura une mort rapide, par balle ; le galgo peu performant aura une mort lente. Des chiens sont ainsi pendus, jetés dans des puits ou mutilés. La dernière « mode » étant de transformer sa truffe… en groin. 100 000 chiens seraient concernés chaque année. Sous l'influence des médias, les chasseurs préfèrent abandonner leur lévrier dans des perrera mais celui-ci, déconsidéré et traité en paria, ne peut compter sur une adoption dans ces refuges espagnols. Dès lors, en Espagne et en France, des associations de défense des galgos se sont créées depuis quelques années, d'une part pour lancer des pétitions en faveur d'une législation européenne interdisant la chasse espagnole ou pour inciter le gouvernement espagnol à agir ; et d'autre part pour faciliter les adoptions de ces chiens promis à la mort. Des personnalités comme Michel Delpech ont d'ailleurs rejoint ce combat. SOS Lévriers, Passion lévriers, l'Europe des lévriers, Amigos de los galgos mais aussi les SPA dont celle de Midi-Pyrénées œuvrent en ce sens et de nombreux animaux ont déjà pu être sauvés, soignés et adoptés. Mobilisation pour les lévriers martyrisés - 03/09/07 http://www.ladepeche.com/aff_art.asp?ref=200709031010 _______________________ => SOS levriers www.sos-levriers.org/ => Passion lévriers www.passionlevriers.com/ => L'europe des lévriers www.adopter-levrier.com/ => Amigos de los galgos www.amigosdelosgalgos.org/

Pris d'assaut ? Avant c'était les lapins, les kangourous, les dingos, les chameaux et maintenant les chats.

Ce sont deux femmes actives, engagées, passionnées. Deux femmes qui vivent à quelques kilomètres de distance, ne se connaissent pas, ne se sont jamais parlé. Pourtant chacune, sincèrement, honnêtement, déteste profondément ce que fait l'autre. A Nîmes (Gard), dans une villa des confins de la cité, vit Claire Starozinski, fondatrice et infatigable présidente d'une association, l'Alliance anticorrida, créée en mai 1994. Après avoir longtemps prêché dans le désert, son association réussit désormais à se faire entendre. A Arles (Bouches-du-Rhône), au sud de la Grande Camargue, dans une ancienne gare plantée au milieu des marais, vit et travaille Francine Yonnet, présidente de l'Association des éleveurs français de taureaux de combat. (...) La bataille des arènes a commencé - 04/09/07 www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3238,36-951013@51-951126,0.html

Je ne lui en demande pas tant, Terrienne. (ce serait mal venue de ma part, n'ayant pas encore atteint la perfection moi-même ) Mais entre soutenir le meurtre d'oiseaux (si c'est bien de ça qu'il s'agit) et être parfait, il y a une marge.

Un éleveur poursuivi pour avoir laissé mourir de faim, de soif et par manque d'hygiène une quarantaine de vaches appartenant à son cheptel risque 5 500 euros d'amende et l'interdiction définitive de détenir des animaux. Une peine requise par le ministère public, lundi, devant le tribunal correctionnel d'Arlon. L'agriculteur, propriétaire d'une ferme dans la périphérie arlonaise, avait reçu plusieurs avertissements, depuis 2001, par l'inspection vétérinaire. Il y avait des améliorations pendant six mois puis l'exploitation était de nouveau négligée. Les derniers faits datent de 2006. Des cadavres de vaches enchaînées ont été découverts dans et à l'extérieur de la ferme. Entre 35 et 40 bovins ont ainsi disparu en une seule année, soit 70 pc du cheptel, a constaté le ministère public. L'avocat de l'agriculteur a expliqué que son client se trouvait à l'époque dans un désarroi profond, qu'il était notamment victime d'une série de tracasseries administratives. Le prévenu s'est quant à lui excusé, expliquant que ses animaux étaient morts empoisonnés après avoir mangé accidentellement de l'if. Le jugement sera prononcé le 1er octobre. (Belga) Un agriculteur risque d'être interdit d'élevage - 04/09/07 http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&subid=1104&art_id=367960

J'avoue que, pour ma part, je n'ai pas envie de féliciter Bougrain-Dubourg - président d'une association qui préconise la régulation des espèces invasives d'oiseaux et choisit ne pas répondre quand on lui demande de préciser laquelle. /ANIMAUX-Europe-et-autres-continents-f7/la-LPO-et-les-especes-invasives-t7598.htm

Morbillivirus ». Rien que le nom donne des boutons. Chez l'homme, ce genre de bestioles provoque la rougeole, chez le chien la maladie de Carré, et chez le dauphin, une méchante maladie souvent mortelle. L'espèce visée est le Stenella coeruleoalba, que l'on appelle «bleu et blanc» en France et que les Espagnols désignent sous le nom de dauphin rayé. Le ministère de l'Environnement espagnol vient de lancer une procédure d'alerte et demande aux autres pays méditerranéens d'être vigilants. Cela veut dire que nos scientifiques sont invités à regarder ce qui se passe sous nos pédalos. L'institut d'étude de la biodiversité de Valence a été chargé d'étudier le phénomène. Des dauphins morts ont été trouvés en nombre, dès le début du mois de juillet, sur les rivages, d'Elx à Alicante, en passant par Oliva. Plus récemment, des échouages ont été repérés sur les côtes de la Catalogne. DES DÉFENSES IMMUNITAIRES Cette épidémie n'est cependant pas une surprise totale. En 1990, le même phénomène avait été observé, et l'on avait retrouvé plus d'un millier de carcasses sur les rivages d'Espagne, mais aussi de France et d'Italie. sans compter les cadavres qui sont restés au fond de l'eau. Il semble qu'après cette forte épidémie, les cétacés ont fabriqué des défenses immunitaires, qui leur ont permis de résister les années suivantes au virus. Mais aujourd'hui, cette immunité a disparu avec le temps et le renouvellement des générations. Voilà ce qui explique cette mortalité plus forte. (...) Les dauphins décimés par un virus - 03/09/07 http://www.ladepeche.com/aff_art.asp?ref=200709030925

Les gorilles des montagnes de l'est de la République démocratique du Congo (RDC), une espèce très menacée, font face à un grand danger depuis que des troupes rebelles ont envahi leur habitat, forçant les gardes forestier à fuir, ont averti lundi des défenseurs de l'environnement. Les forces loyales au général déchu tutsi congolais Laurent Kunda ont attaqué les postes de patrouille de Jomba et Bikenge du Parc national de Virunga, volant armes, munitions et équipement de communication, a affirmé l'ONG Wildlife Direct dans un communiqué. Un troisième poste de patrouille à Bukima a été évacué sous la menace d'une attaque imminente, laissant les primates exposés à un risque de massacre. Selon l'Ong, un garde forestier a été tué jeudi, dans une précédente attaque du poste nord de Rushuru. "Désormais, si quoi que ce soit arrive aux gorilles des montagnes, il n'y a rien que nous puissions faire", a déploré Norbert Mushenzi de l'Institut congolais pour la préservation de la nature (ICCN) "A présent, le secteur n'est plus sous mon contrôle et nous avons été rendus impuissants par ces actions", a ajouté M. Mushenzi dans le communiqué. Depuis janvier, neuf gorilles des montagnes ont été tués et deux sont toujours portés disparus dans le parc de Virunga. Certaines mises à mort sont imputées aux hommes de Nkunda. (...) RDCongo: les gorilles menacés par l'arrivée de soldats rebelles - 04/09/07 http://fr.news.yahoo.com/afp/20070903/tsc-rdcongo-violences-environnement-faun-c2ff8aa_1.html

Le recul du nombre de pêcheurs : un phénomène devenu structurel. La baisse constante du niveau des recettes du Conseil supérieur de la pêche tient pour l'essentiel à l'évolution du nombre des redevables de la taxe piscicole, c'est-à-dire du nombre de pêcheurs en France (...) Le nombre de pêcheurs redevables de la taxe piscicole est ainsi passé de 2,26 millions en 1993 à 1,84 million en 2001, soit 420.000 pêcheurs de moins sur 9 années, en recul de 18,6 % sur la période. Cette évolution est d'autant plus préoccupante qu'elle semble désormais structurelle, la diminution du nombre de pêcheurs étant régulière et croissante : - Les causes de l'érosion du nombre de pêcheurs sont nombreuses et cumulatives. Elles s'inscrivent dans une évolution générale de la société qui s'est fortement urbanisée, laissant moins de place au milieu rural. La transmission des traditions de pêche entre générations se délite, tandis que les parcours piscicoles s'éloignent. D'autres raisons se sont ajoutées : la pollution des rivières, la diversification des activités de loisirs, notamment en direction des jeunes, la prédation des poissons par les oiseaux piscivores, tels les cormorans ou les hérons, (...) http://senat.fr/rap/r02-327/r02-32716.html

Nan, ils se pressent pas, les cobayes n'étant jamais que des animaux. On n'est pas à quelques décénnies près !