hop

Sunday, December 03, 2006 9:12 PM Demande de soutien financier pour sauvetage vaches et recherche inspecteurs départements limitrophes 65 etc Je lance un appel en accord avec Deanna Martin (APPA - dept 65)concernant les besoins suivants de l'association : - demande de soutien financier pour le sauvetage de 7 vaches agonisantes (mars 2006) et sauvées aussi ultérieurement de l'abattoir : coût de l'opération 1000 euros. A porter un sérieux préjudice aux finances de l'association Concernant le cas des vaches, rappel des faits : Saisie judiciaire en fin d'hiver dernier (mars 2006) : un troupeau d'une vingtaine de vaches se meurt !! Lorsque nous arrivons, 14 vaches sont mortes de faim et de soif et il ne reste plus que 7 survivantes... Pour info, les chevaux meurent en silence. Mais une vache agonisante crie !! Les beuglements de ces pauvres animaux nous résonneront longtemps dans les oreilles... Pendant un mois, nous ferons 60 km matin et soir pour leur apporter à manger et à boire. Nous avons installé des tables garnies de foin et acheté de grandes bassines pour l'eau. A ce moment, les vaches survivantes sont tellement squelettiques qu'ont ne peut pas les transporter ! Un mois plus tard, nous réussissons à les placer chez un éleveur qui accepte de les prendre en pension. Les plus jeunes de ces vaches ne seront pas productives à cause d'un retard de croissance (plus de 40 %) et la boucherie n'en veut pas non plus (heureusement pour nous), pour l'instant, car elles ne sont pas assez grasses... Il y a un mois, OH BONHEUR, nous trouvons ENFIN une solution pour éviter à ces vaches (devenues rondelettes...) de monter dans un camion pour laboucherie ! Elles ont déjà assez souffert et nous ne les avons pas "retapées" pour les voir partir vers cet avenir-noir... L'OABA (Organisme d'Aide aux Bêtes d'Abattoir) nous propose son aide pour ces bêtes-martyrs et nous offre de les héberger pour le restant de leur vie dans l'une de leurs deux "Fermes du Bonheur". Ces deux fermes ont été créées pour aider et sauver les bêtes de rapport (ovins, bovins, etc.) qui ont beaucoup souffert. Evidemment, ils sont submergés de demandes mais acceptent de prendre NOS vaches ! Elles vieilliront là-bas, nourries et logées, et mourront de vieillesse. Joie... Bonheur !! L'OABA nous offre le transport mais il nous faut payer la pension de ces bêtes depuis mars 2006 jusqu'à maintenant (eh oui : la justice est très lente...), ce qui revient à un montant total de : 1.000 EUROS !! NOUS LANCONS UN APPEL AUX DONS POUR OFFRIR UN AVENIR MEILLEUR A CES PAUVRES BETES ! Merci à tous ceux qui donneront (même un peu...) et montreront ainsi qu'ils sont sensibles à la cause de ces bêtes dites "de rente"... et bien sûr : - chiens et chats à parrainer ou à adopter (http://www.appa-equides.org/). Merci de consulter également les cas urgents. Merci de faire circuler sur les listes, les forums, les blogs et à vos contacts. L'objectif prioritaire de l'association est le sauvetage de TOUS LES ANIMAUX en détresse (chiens, chats, équidés, bétail, etc.). L'A.P.P.A existe depuis 15 ans et a sauvé et replacé environ 3000 chiens, etc Présentation : APPA (association de protection animale loi 1901) Adresse : Le Hameau 65140 Escondeaux Tél : 05 62 96 57 64 Site : http://www.appa-equides.org/

Chers amis, Un projet prioritaire et porteur d'espoir est lancé. Il s'agit de créer, en France, une ferme de grande capacité capable de recueillir et d'offrir une retraite paisible aux animaux maltraités. La future « Ferme des animaux » pourra apporter ainsi soins, hébergement et réconfort à des centaines d’animaux qui n’ont connu que la souffrance depuis leur naissance. Cette ferme-refuge, s'étendant sur 10 à 15 hectares et dans laquelle le siège de la PMAF sera transféré, sera aussi un outil pédagogique pour sensibiliser le public : chaque animal recueilli deviendra, à travers l’histoire de son calvaire, un ambassadeur pour dénoncer les abus de l’élevage intensif dont il a été victime. En ce sens, la « Ferme des animaux » prolongera et amplifiera les actions menées par la Protection Mondiale des Animaux de Ferme pour s’élever contre les souffrances infligées aux animaux d’élevage, faire évoluer les lois et traquer ceux qui continuent à les bafouer. Nos enquêteurs rencontrent ainsi, chaque année, des dizaines d’animaux victimes de véritables actes de barbarie. Nous aimerions pouvoir les recueillir et les soulager. Mais jusqu’à présent, nous n'en avions pas les moyens et l’abattoir restait souvent la seule issue pour abréger la souffrance de ces animaux… Avec la « Ferme des animaux », il sera bientôt possible d’offrir un réel réconfort aux animaux ayant souffert de cruels traitements... Mais pour mener à bien un projet aussi primordial, et lui donner vie dans un délai de 3 à 5 ans, la PMAF a impérativement besoin du soutien de ceux qui sont sensibles à la cause des animaux. Chaque don compte ! Ainsi, il suffit que 200 personnes comme vous fasse un don de 20 euros pour financer l’acquisition d’un hectare de terrain. Et chaque hectare permettra d’offrir un refuge à des dizaines d’animaux maltraités. Vous le constatez, votre générosité est indispensable pour mener à bien ce projet dont dépend le sort de centaines d’animaux en souffrance. Je compte sur vous ! Ghislain ZUCCOLO Directeur Plus d'info sur le projet http://pmaf.org/lettres/appels/appel_PMAF_041206.html Pour faire un don http://www.pmaf.org/don.php#5

Des scientifiques vietnamiens auraient clonés "avec succes" des cochons sauvages, des macaques à longue queue et des macaques rhésus. La plupart n'ont pas survécu plus de 60 jours. Vietnam says it has cloned monkeys and pigs - 30/11/06 http://news.yahoo.com/s/afp/20061130/sc_afp/vietnambiotechcloning

Le gouvernement sud-coréen a décidé d'affecter 5,4 milliards de won (4,43 millions d'euros) à la construction d'un hôpital aquatique à l'université de Pukyong, dans la ville de Pusan...le projet sera essentiellement destiné à soigner les poissons d'élevage en fermes marines mais des poissons domestiques pourront également être admis. "...nous aurons certainement surtout à faire des autopsies pour savoir quel type de maladie frappe un élevage"... Les pertes économiques dues aux maladies incurables chez le poisson, ainsi qu'aux épidémies, représentent 300 milliards de won chaque année (246 millions d'euros... (...) Un hôpital pour poissons en Corée du Sud - 06/12/06 http://fr.news.yahoo.com/06122006/290/un-hopital-pour-poissons-en-coree-du-sud.html

Le gouvernement de l'Etat amazonien du Para (nord du Brésil) a décidé de créer la plus grande zone de forêt protégée du monde, d'un total de 150.000 km2, soit presque l'équivalent de la superficie du Portugal, de la Suisse et du Danemark réunis. Dans les sept réserves forestières créées lundi par un décret du gouverneur du Para, Simao Jatene, les scientifiques ont déja dénombré plus de 600 espèces de reptiles, 700 d'oiseaux et 195 de mammifères ...Selon un biologiste de la CI, Enrico Bernard, cette nouvelle région protégéee située au nord du fleuve Amazone est l'une des "moins connues d'Amazonie et d'accès très difficile". Le potentiel de découvertes de nouvelles espèces animales y est "énorme", a-t-il souligné. Ces nouvelles zones de réserves forestières dans le Para forment avec celles qui existent déjà dans les Etats d'Amazonas et d'Amapa le plus grand couloir écologique du monde, d'une longueur de 3.000 km. ...Une superficie de 13.100 km2 de forêt amazonienne a encore été déboisée entre août 2005 et juillet 2006 mais ce chiffre représente une baisse de 30% par rapport à la zone dévastée au cours de la période précédente. ...Jusqu'ici, 16% de la forêt amazonienne ont été déboisés, le plus souvent par brûlis, pour être transformés en pâturages pour l'élevage. La plus grande zone forestière protégée du monde créée en Amazonie - 05/12/06 www.tv5.org/TV5Site/info/afp_article.phprub=sci&idArticle=061205153724.2lb2oi8b.xml

"Bien que nous soyons sans doute tous déjà très occupés" nous dit le Commandant Paul Watson dans un récent article publié sur son site "à protester contre les chasses aux dauphins menées à Taiji ou Futo, contre les expéditions illégales et meurtrières de la flotte japonaise dans les sanctuaires des ultimes baleines en Antarctique, contre les baleiniers islandais et norvégiens, contre l'abattage des phoques par l'Afrique du sud, la Russie, la Norvège et le Canada ou bien encore contre la destruction systématique de toute vie dans l'océan que provoquent les chalutiers de haut fond et les filets géants, il ne faudrait pas pour autant oublier qu'un tout petit pays de l'Atlantique Nord continue chaque année à torturer des familles entières de globicéphales avec une cruauté ahurissante". Détail important : ce petit pays, connu sous le nom "d'Iles Féroé», fait partie de la Communauté européenne, puisqu’il dépend directement de l’état du Danemark. Chaque année, près de 1.500 globicéphales, ces paisibles et sympathiques cétacés à peau noire, sont rabattus vers des baies où les attend une bande de tueurs ivres de sang et de bière forte, qui les massacrent juste pour le sport, au nom de traditions datant du Moyen Age. Les insulaires, au volant de leurs hors-bord ultra-rapides, poussent dans un premier temps les cétacés vers une baie le long des côtes. Cette chasse peut durer longtemps, cela fait aussi partie du plaisir ! Epuisés, terrifiés, hagards, les globicéphales sont progressivement amenés vers des zones de moins en moins profondes. Et c'est là que la vraie fête commence. Les habitants de Iles Féroé plongent à de multiples reprises leurs gaffes de métal lourdes de plus de 2 kilos dans la chair palpitante des malheureux cétacés, jusqu'à ce que le croc s'accroche. Une fois l'animal bien arrimé aux flancs de l'embarcation, un couteau long de 15 centimètres est enfoncé dans sa nuque à travers la couche de graisse et la chair. Les artères et les centres nerveux sont atteints : la mer rougeoie du sang des baleines qui hurlent de douleur et finissent par mourir... plus ou moins vite, selon la dextérité de leur assassin. (...) Infos www.dauphinlibre.be/feroe.htm Les photos sont ahurissantes. Sur la plage tout le monde est là, comme à la fête, y'a plein d'enfants, il fait beau...ahurissant.

Nouvelles campagnes de coalition pour les essais animaux dans la recherche biomédicale [Date: 2006-11-10] Un groupe de scientifiques européens s'est rassemblé pour former la European Coalition for Biomedical Research (ECBR - coalition européenne pour la recherche biomédicale) dans l'intention d'influencer la révision de la directive 86/609 relative à la protection des animaux utilisés à des fins de recherche scientifique. Selon la Commission européenne, «Ces dernières années, il est devenu de plus en plus évident que la directive devait être révisée afin de promouvoir l'amélioration du bien-être des animaux de laboratoire et d'encourager encore le développement de méthodes alternatives.» La directive, adoptée en 1986, visait à renforcer les contrôles de l'utilisation d?animaux de laboratoire, à établir des normes minimales d'hébergement et de soin, ainsi qu'à améliorer la formation du personnel manipulant des animaux de laboratoire. La directive avait également pour objectif de réduire le nombre d'animaux utilisés à des fins expérimentales et était à l'origine de la création du Centre européen pour la validation des méthodes alternatives (ECVAM). La Commission pense cependant que plusieurs dispositions de la directive sont ouvertes à interprétation et que le style de certaines d'entre elles est de nature plus politique que réglementaire. La directive ne mentionne pas non plus de procédures d'examen éthique, d'autorisation obligatoire des expériences, ni les 3 R - Réduction, Raffinement et Remplacement. En outre, de nouvelles techniques telles que l'utilisation d'animaux transgéniques et du clonage ont été mises au point depuis l'entrée en vigueur de la directive. C'est la raison pour laquelle la Commission a demandé une étude d'impact préliminaire sur les différentes options en vue de réviser la directive. Une consultation publique des parties concernées a également eu lieu au cours de l'été 2006. Les résultats des deux enquêtes sont actuellement utilisés dans la préparation d'une nouvelle proposition de la Commission dont la publication est prévue pour le début de l'année 2007. L'ECBR récemment constituée pense que certaines des révisions entraveront la recherche scientifique. «Si la proposition est en grande partie rationnelle, elle contient également des suggestions plutôt dangereuses,» déclare Mark Matfield, directeur de la European Biomedical Research Association (association européenne de recherche biomédicale) et secrétaire général de l'ECBR. Le Dr Matfield donne l'exemple d'une proposition visant à limiter l'utilisation des primates non humains dans la recherche à ceux ayant été élevés en captivité depuis au moins deux générations. «Il n'y a pas assez de ces primates de laboratoire élevés en captivité de deuxième génération et il faudrait des années avant qu'un nombre suffisant d?entre eux soit disponible,» dit il. Si l'utilisation de primates dans le cadre d'expériences scientifiques est déplaisante aux yeux de beaucoup, le Dr Matfield affirme qu'ils sont essentiels à certains domaines de la recherche neuroscientifique et virologique, au développement biotechnologique, à la mise au point de vaccins contre le SIDA et la malaria et aux essais de nouveaux traitements contre le cancer et la sclérose en plaque. Un rapport statistique de 2005 de la Commission européenne a indiqué que 10,7 millions d'animaux avaient été utilisés dans des expériences en 2002 (les chiffres pour la France concernaient 2001). Parmi ceux-ci, 0,1% étaient des primates, ce qui représente environ 10 700 animaux. La nouvelle coalition rassemble 34 sociétés et associations représentant quelque 37 000 universitaires. «Nous pensons que disposer d'une coalition aussi large, tant sur le plan géographique qu'en ce qui concerne les différentes disciplines scientifiques, devrait contribuer grandement à ce que ces messages soient diffusés efficacement aux publics visés et à ce que la voix de la communauté scientifique européenne se fasse entendre haut et fort,» déclare Peter Janssen de la Belgian Society of Neuroscience (société belge de neuroscience), membre de l'exécutif de l'ECBR. http://cordis.europa.eu/fetch?CALLER=FR_NEWS&ACTION=D&RCN=26635&DOC=1&CAT=NEWS&QUERY=1164044284102

Un groupe de scientifiques européens s'est rassemblé pour former la European Coalition for Biomedical Research (ECBR - coalition européenne pour la recherche biomédicale) dans l'intention d'influencer la révision de la directive 86/609 relative à la protection des animaux utilisés à des fins de recherche scientifique. Selon la Commission européenne, «Ces dernières années, il est devenu de plus en plus évident que la directive devait être révisée afin de promouvoir l'amélioration du bien-être des animaux de laboratoire et d'encourager encore le développement de méthodes alternatives.» ... la Commission a demandé une étude d'impact préliminaire sur les différentes options en vue de réviser la directive. Une consultation publique des parties concernées a également eu lieu au cours de l'été 2006. Les résultats des deux enquêtes sont actuellement utilisés dans la préparation d'une nouvelle proposition de la Commission dont la publication est prévue pour le début de l'année 2007. L'ECBR récemment constituée pense que certaines des révisions entraveront la recherche scientifique. «Si la proposition est en grande partie rationnelle, elle contient également des suggestions plutôt dangereuses,» déclare Mark Matfield, directeur de la European Biomedical Research Association (association européenne de recherche biomédicale) et secrétaire général de l'ECBR. Le Dr Matfield donne l'exemple d'une proposition visant à limiter l'utilisation des primates non humains dans la recherche à ceux ayant été élevés en captivité depuis au moins deux générations. «Il n'y a pas assez de ces primates de laboratoire élevés en captivité de deuxième génération et il faudrait des années avant qu'un nombre suffisant d?entre eux soit disponible,» dit il. ...La nouvelle coalition rassemble 34 sociétés et associations représentant quelque 37 000 universitaires. (...) Pour tout renseignement complémentaire, consulter: http://ec.europa.eu/environment/chemicals/lab_animals/home_en.htm http://www.ecbr.eu/ Nouvelles campagnes de coalition pour les essais animaux dans la recherche biomédicale - 11/10/06 http://cordis.europa.eu/fetch?CALLER=FR_NEWS&ACTION=D&RCN=26635&DOC=1&CAT=NEWS&QUERY=1164044284102

La chaine de supermarché LIDL vient de décider de retirer le foie gras de ses magasins de Grande Bretagne, au vue des informations sur le gavage fournit par Viva. Lidl stops selling Foie-Gras Campaigning animal group Viva! has today congratulated supermarket chain Lidl for their decision to end the sale of foie-gras in all of their British stores. The move follows Viva! providing the chain with evidence showing the cruelty behind its production. Foie-gras is produced by force feeding ducks or geese large amounts of food so that their livers swell to up to 10 times the normal size. A pipe is shoved down the bird's oesophagus and food is forced into the stomach. The process is repeated two or three times daily for two to three weeks until the birds develop fatty liver disease. The birds are then slaughtered. 90 per cent of birds used in foie-gras production are ducks. Foie-gras is not produced in Britain, as the Government has made it clear that its production would contravene existing animal welfare regulations. However, it is legal to import it. Its production has also been outlawed in Poland, Denmark, Germany, Norway and Israel. In light of the information provided by Viva!, a spokesman from Lidl has pledged that the chain will never stock foie-gras again. In 2004, Viva! successfully campaigned in California to pass legislation outlawing both the production and selling of foie-gras. "Foie-gras is torture in a tin", says Viva! Senior Campaigner Justin Kerswell. "There is nothing humane about mechanically inducing disease in a bird by forcing a pipe down its throat and making it consume such an abnormal quantity of food that its liver expands many times its normal size. We welcome Lidl's decision to pledge never to sell this barbarism disguised as a delicacy again - and ask consumers everywhere to reject foie-gras for good and go vegetarian." www.arkangelweb.org/international/uk/20061205lidl.php

ça doit fiche un peu le trac

Une conférence sur quoi ? C'est secret ? Je n'ai aucune notion du temps, ça défile jamais pareil, alors !

ah "fin" janvier, j'avais pas vu le "fin" ok, merci Animal !

Faudrait peut-être que je me réveille...donc !

120 arbres pour une vue ! tsssssss ! ça fait cher la perspective !

oh zut, je voulais trouver le terme "pro" mais je ne m'en rapelle plus. Bon, alors pas de frime tant pis, je pose la question en amateur : c'est pour quand le prochain bulletin à peu près ?

Extrait du Règlement Interdisant la mise sur le marché... Dérogation : (12)Toutefois, il convient de prévoir la possibilité de déroger à l'interdiction générale de mise sur le marché, d'importation dans la Communauté et d'exportation depuis cette dernière de fourrure de chat et de chien et de produits en contenant dans les cas où l'on peut garantir que la fourrure provient de chats ou de chiens qui n'ont pas été élevés ni tués pour la production de fourrure et où elle est étiquetée en tant que telle et où, par conséquent, elle n'aura pas d'effets négatifs sur la confiance des consommateurs dans la fourrure et les articles en fourrure. (...) * * * Lettre de Corinne Touzet à Markos KYPRIANOU Corinne TOUZET, Porte-Parole de l’AFIPA, vient d’adresser un courrier à Markos KYPRIANOU, Commissaire Européen pour lui manifester son inquiétude à la lecture de la « Proposition de Règlement interdisant la mise sur le marché, l’importation dans la Communauté et l’exportation depuis cette dernière de fourrure de chat et de chien et de produits en contenant. » Monsieur le Commissaire, Nous avons accueilli avec beaucoup d’espoir votre proposition de règlement interdisant la mise sur le marché, l’importation dans la Communauté et l’exportation depuis cette dernière de fourrure de chat et de chien et de produits en contenant. A la lumière de l’analyse de nos avocats, spécialistes de droit européen, nous souhaitons cependant attirer votre attention sur certains points de ce texte qui nous paraissent en diminuer la portée de façon préoccupante. Nous sommes particulièrement inquiets de voir qu’une dérogation est inscrite au présent règlement. En effet, vous indiquez qu’ « il convient de prévoir la possibilité de déroger à l'interdiction générale de mise sur le marché, d'importation dans la Communauté et d'exportation depuis cette dernière de fourrure de chat et de chien et de produits en contenant dans les cas où l'on peut garantir que la fourrure provient de chats ou de chiens qui n'ont pas été élevés ni tués pour la production de fourrure et où elle est étiquetée en tant que telle et où, par conséquent, elle n'aura pas d'effets négatifs sur la confiance des consommateurs dans la fourrure et les articles en fourrure. » Or, l’argument phare des fourreurs est habituellement d’expliquer que les chiens et les chats sont utilisés ET pour leur fourrure ET pour leur viande. Il est à noter que cet argument va être utilisé pour ce type de viande surtout par les fourreurs des Etats tiers principalement les fourreurs chinois qui sont les 1er exportateurs vers l’UE des 25. J’aimerais savoir comment les services douaniers pourront différencier les fourrures qui proviennent des animaux tués pour leur fourrure ET leur viande de ceux uniquement tués pour leur fourrure… Cette dérogation est dangereuse dans la mesure où elle constitue un moyen très simple de contourner la loi et de légaliser un commerce que tout le monde réprouve… Au nom de l’AFIPA, je souhaiterais avoir de plus amples renseignements sur ce texte (notamment sur la mise en œuvre de cette dérogation), qui, à notre sens, et à celui de nos avocats est paradoxal et surtout très contradictoire et dont nous craignons un effet pervers qui le rende plus favorable à l’industrie de la fourrure qu’à la protection des animaux….. J’espère aussi que nous pourrons prochainement nous entretenir, au moins par téléphone, de ce sujet qui me tient particulièrement à cœur. Dans l’attente d’une réponse, je vous prie d’ agréer, Monsieur le Commissaire, l’expression de mes salutations les plus distinguées. Corinne TOUZET Porte-Parole de l’AFIPA 2006-12-04 14:00:16

Paris L’action consiste à déverser du faux sang dans une rue passante pour dénoncer l’abattage des animaux pour la consommation de viande et de poissons. Un tract explicitement antispéciste est distribué aux passants. Ces actions sont non-violentes. Le but n’est pas d’agresser mais bien de communiquer des informations et des idées. Elles sont ouvertes à toute personne végétarienne souhaitant s’en revendiquer. Le discours à tenir est explicitement antispéciste, centré sur les animaux et condamnant la consommation de viande et de poissons. Les actions durent environ une heure et nécessitent peu de préparation (on peut facilement l’organiser à 3 ou 4 personnes). => Pour lire un compte-rendu des actions et voir des photos : http://www.animauzine.net/Compte-rendu-actions-sang-des.html

Ah ? Ben alors j'vais y retourner voter. Mais tout de même, une quarantaine de votes depuis le 23 ! Ben, rien de grave, Animal, j'ai eu une migraine (sauf que c'est encore près de 4 jours qui comptent pour rien )

Bienvenue Lurdes Et oui, c'est super de leur part d'avoir participé au tractage. C'est aussi une grande chance d'être éveillé tôt à la cause des animaux. Non, tu n'as pas besoin de faire une présentation de toi partout.

Coucou Animal ! Non, pas encore, je vais le faire. Mais je commence par lire les nouvelles que j'ai manquées ces derniers jours sur le forum.

Devrions-nous interdire la chasse aux phoques au Québec? Oui 79% Votes: 33 Non 21% Votes: 9 Indécis 0% Votes: 0 Y'a pas beaucoup de votes !

L'élevage des bovins produit davantage de gaz à effet de serre que le trafic routier, affirme l'Organisation mondiale pour l'agriculture et l'alimentation (FAO) qui tire le signal d'alarme dans un rapport publié mercredi sur les dégâts provoqués par l'élevage dans le monde. «Le secteur de l'élevage émet des gaz à effet de serre qui, mesurés en équivalent CO2, sont plus élevés que ceux produits par les transports», indique l'agence des Nations Unies. L'élevage «représente 9 % du CO2 dérivant des activités humaines», mais il produit cependant «une bien plus grande part des gaz à effet de serre les plus nocifs». ...D'après les estimations de la FAO , «la production mondiale de viande devrait plus que doubler, passant de 229 millions de tonnes en 1999/2001 à 465 millions de tonnes en 2050, tandis que celle de lait devrait grimper de 580 à 1 043 millions de tonnes». «Les coûts environnementaux par unité de production animale doivent être réduits de moitié, ne serait-ce que pour éviter d'aggraver le niveau des dégâts», avertit l'agence. La FAO propose notamment d'améliorer l'alimentation des animaux pour réduire la fermentation dans leur système digestif et de mettre en place des usines de biogaz pour recycler le fumier. (Voilà ce qu'il propose ! C'est hallucinant cette incapacité à prendre le problème de front, au lieu de toujours louvoyer, chercher à faire des petits arrangements et cautériser des jambes de bois !) (...) Les vaches plus nocives pour l'environnement que l'automobile - 30/11/06 www.cyberpresse.ca/article/20061130/CPSPECIAL11/61130051/6108/CPSPECIAL11

Aux États-Unis, on peut s'empiffrer de hamburgers, se goberger de Kentucky Fried Chicken, (...) Mais allez réclamer un petit foie gras dans un restaurant californien, et l'on vous regardera comme un criminel sans foie ni oie, un tortionnaire de palmipède, un sauvage européen avec un os de canard dans les narines… (et oui, c'est l'humour de la Dépêche du Midi, povre ! ) Plus sérieusement, le foie gras est méchamment montré du doigt, outre-Atlantique. Il suffit d'aller faire un tour sur certains sites comme « nofoiegras.org » pour voir que les activistes végétariens veulent tordre le cou aux gaveurs. On y voit des photos effectivement épouvantables, d'oiseaux confinés dans des cages minuscules, avec le cou explosé par les gaveuses ou incapables de se dandiner sur leurs palmes. ...Le dernier coup de Trafalgar en date, c'est la proposition d'un certain Alan J.Gerson, conseiller municipal démocrate de New York, qui à son tour, propose que cette ville proscrive le foie gras. Du coup, dans ce pays où les lobbies font la loi, Ariane (Ariane Daguin, l'ambassadrice de la cuisine gasconne aux USA) a constitué le sien, décidée à voler dans les plumes des anti-foies gras. Elle a bien sûr avec elle les quelques producteurs yankees. Elle a également reçu le soutien de l'association des vétérinaires américains, qui indique que le gavage « a un effet mineur » sur les animaux. ...Elle e-maile à tour de bras d'autres études montrant que les canards gavés sont bien traités et présentent un taux de mortalité bien inférieur à ceux des autres élevages. La discussion au conseil municipal de New York doit avoir lieu aujourd'hui. « Nous avons bon espoir », assure Michel Belon. « On a du répondant, prévient Ariane. Mais en face, les végétariens ont du poids. Ils disposent de millions de dollars de dons des Mc Cartney, Roger Moore et autres starlettes filiformes d'Hollywood ! En voilà bien qui feraient mieux de donner leur argent aux affamés d'Afrique ! », soupire Ariane. Qui elle, en tout cas, se décarcasse. Foie gras : l'Amérique ne le digère toujours pas - 59/11/06 http://www.ladepeche.com/aff_art.asp?ref=200611291307

Les systèmes écologiques qui permettent à des millions d'habitants de s'abreuver en eau potable sont menacés par les milliards de litres d'eaux usées rejetées dans les Grands Lacs chaque année, affirme une étude qui doit être rendue publique mercredi. L'étude, commandée par le Sierra Legal Defense Fund, soutient même que la pollution des Grands Lacs demeure épouvantable, même après les milliards de dollars d'investissements dans plusieurs grandes villes pour réduire leurs rejets polluants. (...) Plusieurs municipalités traitent les Grands Lacs comme une poubelle - 30/11/06 www.cyberpresse.ca/article/20061128/CPACTUALITES/61128227/5147/CPSCIENCES