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  1. Plus de 25.000 hippocampes déshydratés et plusieurs milliers d'ailerons de requins voués à l'exportation illégale vers l'Asie ont été saisis jeudi à Lima, une cargaison d'une valeur marchande de 280.000 dollars (210.000 euros), a annoncé le ministre de la Production Jorge Villasante.> La saisie a été réalisée dans un entrepôt appartenant à un ressortissant chinois, près de l'aéroport international. L'hippocampe, menacé d'extinction et protégé par la Convention sur le commerce international des espèces sauvages (CITES), est prisé en Asie où on lui prête des qualités médicinales ou aphrodisiaques. Sa pêche est totalement interdite au Pérou depuis 2004. La pêche d'espèces marines protégées y est passible de deux à cinq ans de prison. Dépêche AFP - 06/01/11 http://www.tele-animaux.com/actualite,info,la-cargaison-d-hippocampes----:7895.html
  2. L'Allemagne va devoir faire abattre tous les animaux des exploitations contaminées à la dioxine et imposer des contrôles très stricts aux sociétés produisant des graisses pour l'alimentation animale, a annoncé lundi la Commission européenne. (...) Dioxine : L'Allemagne va devoir abattre tous les animaux contaminés - 10/01/11 http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hw1EksQOLg0yIrERz0j6MGG4mwCA?docId=CNG.0b5417c55cd3039638688f9085014119.691
  3. La ferme des rescapés recueille 500 animaux (des vaches, des chevaux, des ânes, des chèvres, des moutons, des chiens, des chats, un cochon, des canards, des poules, des rongeurs... ), dans le Lot, en France. Un travail immense, un dévouement total. On peut se faire une idée de ce que cela représente en lisant l'article ci-dessous, écrit par la fille de Mme Fiegl, créatrice de ce refuge. En plus d'être un sacerdoce, ben, ça coute très cher. Ce refuge a évidemment besoin de nous tous qui sommes concernés par le sort des animaux. Merci de les aider, par un don financier- même petit, ou matériel, où en allant y travailler bénévolement, de façon ponctuelle ou régulière, et en parlant du refuge autour de vous. Site du refuge : http://lafermedesrescapes.over-blog.org/ Adresse : La ferme des rescapés Chez Mme Fiegl Le Fraysse 46700 Cassagnes ________________ Entre rêve, passion et réalité... Suite à l’article paru dans le magazine « France Dimanche », beaucoup de personnes nous ont dit : « Vous avez de la chance, vous vivez votre passion » ou « Si j’en avais les moyens, je ferais la même chose », « Ce serait mon rêve »… Rêve, passion… Oui mais… Personne ne peut s’imaginer la réalité. C’est pour cela que je veux tenter de l’expliquer. Je ne dirai plus que je vis tous les jours ma passion ; je vis grâce à elle, elle m’aide à continuer mon travail, mon combat pour les animaux, mais ce que je vis tous les jours c’est un combat du survivant que l’on fait aussi parfois par devoir. Pour moi, tout a commencé l’été de mes 16 ans. Je voulais un chien, mais ma mère tenait déjà ce refuge, nous avions assez de chiens. Il y en avait qui m’appartenaient… mais je ne sais pas… ça a été comme un appel. Quand ma mère m’a autorisée à en prendre un autre, j’ai tout de suite commencé à appeler tous les refuges de notre région. Je cherchais un berger et j’ai cherché pendant deux semaines. Quand je suis allée voir la chienne, elle ne m’a pas vraiment plu. C’est un peu la bénévole du refuge qui m’a convaincue de la prendre, elle m’a dit qu’elle avait très peu de chances de se faire adopter, à cause de son âge (elle avait 10 ans). Sur le chemin du retour, elle a eu son nom : SAMIRA. Elle a été la chienne la plus exceptionnelle que j’ai connue. Elle m’a énormément marquée. Elle m’a voué une fidélité extrême. Quelques jours après son arrivée, elle me suivait déjà partout, quand j’étais dans ma chambre, elle reniflait sous la porte ; la nuit elle hurlait si je la laissais dans le salon, alors qu’à côté de mon lit, elle dormait comme un ange. J’allais encore au lycée, et ma mère me disait toujours quand je rentrais, que Samira avait passé la matinée à hurler. Quand je rentrais, elle me faisait la fête, c’était incroyable. Elle n’a vécu que trois mois et demi chez moi, elle est morte d’une tumeur. C’est elle qui m’a ouvert les yeux. Elle m’a montré ce qui est vraiment important dans la vie : libérer, aimer et respecter. Un mois et demi après son arrivée, je me suis libérée moi-même en sortant de cet enfer et de cette prison qu’était pour moi l’école. J’ai commencé à aider ma mère à la ferme, avec les animaux. J’ai commencé à trouver un sens à ma vie. Depuis, je ne suis plus jamais partie, je travaille du matin jusque tard dans la nuit pour soigner les rescapés que nous accueillons. Ils sont près de 500 aujourd’hui. J’ai pris quelques mois pour comprendre dans quoi je m’étais lancée. Un travail dur physiquement, qui commence vers 6h du matin et dure jusqu’à minuit, 7 jours sur 7, 365 jours sur 365. Mais souvent, il faut se lever la nuit, soit pour une urgence, soit pour des soins médicaux sur des animaux malades, ou pour nourrir des orphelins… Il n’y a jamais un jour de repos, sans parler de vacances… mais il n’y a même plus une minute de repos parfois. On travaille du matin jusqu’au soir et on tombe de fatigue au lit. On sort de la ferme peut-être une fois par mois, pour trois heures, pour faire autre chose, mais sinon… On gère toute la journée le travail, les soins, les appels, les urgences, les abandons… C’est un travail, où l’on a une grande responsabilité envers les animaux. On est sous un stress constant, d’avoir oublié quelque chose, de ne pas avoir vu qu’un animal n’allait pas bien… Ou à cause de ces questions : Ai-je bien fermé la porte des chats sauvages ? Où est la chienne berger ? A-t-elle encore attaqué une chèvre ? Pourquoi la chatte noire ne vient-elle pas ? Lui est-il arrivé quelque chose ? Pourquoi la chèvre beugle-t-elle ? A-t-elle la diarrhée ? Et puis après, il y a cette multitude de compromis que l’on fait : · Il faut ranger chaque papier, journal, objet personnel, pour ne pas qu’un chat fasse pipi dessus, vomisse dessus, qu’un chien le déchire… · Chaque porte doit être verrouillée car il y a toujours un chien qui arrive à l’ouvrir. · Le matin, quand on se lève, il faut d’abord enlever toutes les crottes que les chats ont faites dans la chambre, puis nettoyer les sept boxes de litières… · Le soir comme le matin, il faut enlever les besoins des chiens faits dans le salon, alors qu’on ne rêve plus que d’aller se coucher et non de tremper pour la énième fois ses mains dans l’eau de nettoyage. · On est de toute façon femme de ménage 75% du temps ici sur la ferme. Entre nettoyer, passer l’aspirateur, la serpillière… J’ai parfois du mal à enlever l’odeur de l’eau de javel de mes mains, que l’on utilise comme virucide, dans l’infirmerie et la quarantaine. · Parfois, alors qu’on est déjà terriblement fatigué, il faut encore travailler plusieurs heures. On ne peut jamais s’assoir, avant de tous les avoir soignés. · Quand on est malade, on peut compter sur l’aide de l’autre, mais jamais il ne sera question de passer une journée au lit pour se reposer. · En hiver, on doit travailler même par grand froid. Les mains et pieds gelés, il faut porter plusieurs dizaines de seaux d’eau chaude, nettoyer des boxes alors qu’on a l’impression de ne plus pouvoir faire un geste. · Et puis de toute façon, pour des raisons financières, chaque achat personnel est réduit au strict nécessaire. Tout l’argent va pour les animaux et l’entretien de la ferme. · En été, on travaille au jardin, entre 12h et 16h alors que ce sont les pires heures avec le soleil, mais avant comme après il faut s’occuper des animaux. · Parfois le soir, on trouve le lit humide d’urine de chat. · Les machines à laver tournent toute la journée… des paniers lourds à porter, ranger… · On a abandonné l'idée d’avoir des repas fixes, par manque de temps. On est déjà heureux si vers 20 heures, on peut pour la première fois manger quelque chose de chaud. Je pourrais encore continuer à énumérer des dizaines de choses… On vit au jour le jour, car il est pratiquement impossible de prévoir les évènements d’une journée. Ou les chevaux et les vaches s’échappent, ou il faut aller chez le vétérinaire, ou il y a une coupure de courant ou d’eau parce qu’un animal a encore déchiré un tuyau… C’est très dur physiquement souvent, il faut beaucoup porter (sac de fumier, caisses de nourriture, seau d’eau…), manipuler, ranger, nettoyer... Il est élémentaire d'avoir une très bonne endurance et beaucoup de volonté. En réalité, ce qui me donne la force de continuer, c’est de voir les animaux revivre, à la ferme. Parfois, quand ils arrivent, ils n'éprouvent que de la peur et sont terrifiés. Mais après quelques jours, semaines, mois, ils s’approchent de nous, deviennent curieux, joyeux, ils jouent… Je ne regrette en aucune façon de m’être jetée dans ce travail, même si maintenant je sais que je suis obligée de rester ici. J’ai pris des animaux, je suis maintenant responsable d’eux jusqu’à leur mort. Par contre, je pense que les gens qui affirment rêver de faire ce que nous faisons devraient travailler une semaine ici avant de prétendre cela. Que pendant une semaine ils travaillent et renoncent à tout, comme nous le faisons. J’imagine que l’on ne peut pas se représenter ce que c’est, mais sachez que c’est parfois très difficile. Personnellement, le plus dur ce sont les soucis financiers, quand les factures deviennent un drame. On commence à vendre nos derniers objets personnels pour finir les fins de mois, car en réalité on a besoin de peu pour vivre. Le reste doit sans cesse être dépoussiéré ! Les choses les plus essentielles de la vie ne peuvent de toute façon ni être achetées ni remplacées. Elles sont uniques. Comme l’amour que l’on a pour quelqu’un, que ce soit un humain ou un animal. On peut seulement profiter de l’instant présent, le savourer et espérer qu’il dure le plus longtemps possible. Pour finir, j’aimerais remercier de tout cœur tous ceux qui nous ont soutenu au cours de l’année 2010 et j’espère que d’autres nous rejoindront en 2011. http://lafermedesrescapes.over-blog.org/article-entre-reve-passion-et-realite-62490671.html
  4. N'est-ce pas ? Voilà une critique...très critique et assez méprisante de Libération. Pas vraiment étonnant de la part de ce journal. http://www.liberation.fr/livres/01012311875-jonathan-safran-foer-sa-recette-de-poulet-etique
  5. En voilà d'autres : Les végétariens ont leur bible - 04/01/11 http://www.booksmag.fr/livre-du-jour/l/la-bible-des-vegetariens-1.html Very Bad Tripes RENCONTRE AVEC JONATHAN SAFRAN FOER - 07/01/11 http://www.evene.fr/livres/actualite/jonathan-safran-foer-faut-il-manger-les-animaux-rencontre-3008.php
  6. hop

    Schools offer vegan options

    OK ! Merci animo ! Bon ça fait moins que si c'était écoles + collèges, mais bon, si ce pourcentage est réel, c'est chouette. Ici rien que l'idée de faire des options VG - ou une journée hebdomadaire sans viande donnent des boutons aux maires et aux parents.... 65% des écoles qui offrent une option vegan, ça fait rêver ...
  7. This week, President Obama signed the Healthy, Hunger-Free Kids Act–the first major bipartisan bill enacted by a deeply polarized congress since the election. The act will replace junk food in school lunches and vending machines with more healthful options. Several jurisdictions have taken similar action. The Hawaii, California, New York and Florida legislatures passed resolutions recommending vegan school options. Last year, the Baltimore City public school system became the first in the nation to offer its 80,000 students a weekly meat-free lunch. According to the School Nutrition Association, 65 per cent of U.S. schools now offer vegetarian lunch options. In the past, the USDA has used the National School Lunch Program as a dumping ground for surplus meat and dairy commodities. Not surprisingly, 90 percent of American children consume excessive amounts of fat, and only 15 per cent eat the recommended servings of fruits and vegetables. These early dietary flaws become lifelong addictions, raising the risk of diabetes, heart disease and stroke. Those who care about our children’s health should demand healthful, plant-based school meals, snacks and vending machine items. Additional information is available at [healthyschoollunches.org], [choiceusa.net] and [schoolnutrition.org]. Schools offer vegan options - 05/01/11 http://honoluluweekly.com/letters/2011/01/schools-offer-vegan-options/ Qu'est-ce qu'il faut comprendre ici par schools, les écoles primaires ? les écoles et les collèges ?
  8. Natural gas drilling in the Catskill Mountains of New York State Mountaintop Removal Coal Mining Coal Combustion Waste (Fly Ash) Factory Hog Farming, North Carolina Fertilizer Brown coal mining in Lausitz, Germany Brown coal mining in Koeln, Germany http://www.jhenryfair.com/aerial/
  9. C'est un peu léger, en effet. Surtout dans un pays où le végétarisme est bien implanté...
  10. 2 articles dans le supplément du Monde ; le Monde des Livres "Faut-il manger les animaux ?", de Jonathan Safran Foer : on achève bien les animaux - 06/01/11 http://www.lemonde.fr/livres/article/2011/01/06/faut-il-manger-les-animaux-de-jonathan-safran-foer_1461622_3260.html L'élevage industriel entre littérature et morale - 06/01/11 http://www.lemonde.fr/livres/article/2011/01/06/l-elevage-industriel-entre-litterature-et-morale_1461644_3260.html
  11. Dans le magazine Le Point, un article : "Faut-il manger des animaux ?" désosse notre appétit de viande http://www.lepoint.fr/culture/faut-il-manger-des-animaux-desosse-notre-appetit-de-viande-05-01-2011-127036_3.php et un entretien avec l'auteur : "La façon de traiter les animaux que nous mangeons dégrade notre être moral" http://www.lepoint.fr/culture/la-facon-de-traiter-les-animaux-que-nous-mangeons-degrade-notre-etre-moral-05-01-2011-1282484_3.php
  12. Entre 50 et 100 oiseaux ont été retrouvés mystérieusement morts dans la nuit de mardi à mercredi éparpillés sur une route à l'entrée d'une petite ville du sud-ouest de la Suède, après une série de chutes de milliers d'oiseaux dans le sud des Etats-Unis.> "Le vétérinaire du district est venu vers 08H30 (07H30 GMT) et a prélevé cinq oiseaux pour les analyser" avec des résultats attendus sous 24 ou 48 heures, a-t-il expliqué. Les photos de témoins publiées par les médias suédois montrent les oiseaux éparpillés au milieu de la route sur plusieurs dizaines de mètres, apparemment après être tombés du ciel. L'incident inexpliqué de Falköping intervient après deux "pluies" d'oiseaux morts aux Etats-Unis - une première de plusieurs milliers de carouges à épaulettes en Arkansas ce week-end puis une autre mardi de 500 autres oiseaux en Louisiane. Selon les autorités de l'Arkansas, les premiers prélèvements n'indiquent aucun signe de maladie et les volatiles sont certainement morts de peur. La peur de feux d'artifices dans la nuit du 31 décembre ou de coups de canons utilisés pour se débarrasser d'oiseaux nuisibles pourrait avoir provoqué l'envol massif de ces oiseaux à mauvaise vision nocturne, qui se seraient ensuite tués en heurtant des maisons et des arbres. Selon des témoignages recueillis par les secours et cités par les médias suédois, des feux d'artifice ont été tirés mardi soir à Falköping. Dépêche AFP - 05/01/11 http://www.tele-animaux.com/actualite,info,certains-oiseaux--des-chouc---:7886.html
  13. Encourager la population à manger moins de viande, c'est l'initiative qu'a prise la municipalité de Gand. Depuis le mois de mai 2009, une journée sans viande est organisée dans les restaurants collectifs de cette ville flamande. Une action mise en place avec l'aide d'une association locale. Depuis la dernière rentrée des classes, les crèches, les écoles primaires et secondaires sont aussi concernées. Le mouvement prend de l'ampleur, certains restaurants de la ville s'y sont mis. Certes le mouvement végétarien est très actif, mais des études montrent que la surconsommation de viande est mauvaise pour la santé - mais aussi pour l'environnement. Avec l'instauration des "jeudis sans viande", c'est la première fois qu'une municipalité prend les devants. Reportage à Gand - en Belgique - de Veronique Barondeau et d'Emmanuel Royer. (...) La ville de Gand met sur pied une campagne "les jeudis sans viandes" - 31/12/10 http://www.arte.tv/fr/Comprendre-le-monde/arte-journal/3621786.html
  14. "Faut-il manger les animaux ?" C'est la question dérangeante que pose le romancier américain Jonathan Safran Foer. Et c'est aussi le titre de son dernier écrit. L'auteur, plus habitué aux romans best-sellers, livre un essai à charge contre la production industrielle de viande. "Faut-il manger les animaux ?" a fait un tabac aux Etats-Unis, mais aussi en Italie et en Allemagne. Il sort jeudi en France aux éditions L'Olivier. De passage à Paris, Jonathan Safran Foer a confié à Denis Michelis comment il a mené l'enquête. Extrait (vidéo) du journal d'Arte consacré au livre : http://www.arte.tv/fr/3627082.html
  15. Alors que les autorités américaines ont conclu lundi à une grosse frayeur qui aurait causé la mort de plus de 5.000 oiseaux dans la ville de Beebe, dans l'Arkansas, durant la nuit de la Saint-Sylvestre, de nouveaux cadavres ont été découverts mardi en Louisiane. Il s'agit de la même espèce, des carouges à épaulette, mais cette fois pas de feux d'artifice qui auraient pu effrayer les oiseaux et les pousser à s'envoler dans la panique et à se cogner contre les murs et les arbres. (...) Nouvelle pluie d'oiseaux morts aux Etats-Unis: coïncidence ou fin du monde? - 05/01/11 http://www.20minutes.fr/article/647688/planete-nouvelle-pluie-oiseaux-morts-etats-unis-coincidence-fin-monde
  16. Le végétarien militant Paul McCartney demande à l'Inde de décréter une journée nationale du végétarisme afin de célébrer la vie sans viande et la compassion envers les animaux. L'organisme People for the Ethical Treatment of Animals (PETA) a annoncé que McCartney avait envoyé une lettre au premier ministre indien, Manmohan Singh, dans laquelle il explique qu'une telle journée permettrait de sauver des animaux tout en aidant à protéger l'environnement et la santé humaine. Dans sa lettre, le musicien ajoute qu'une telle journée «serait une célébration de la vie». En 2003, les Nations unies ont estimé que 42 pour cent des 1,2 milliard d'habitants de l'Inde sont végétariens, en grande partie pour des raisons financières ou religieuses. Le bureau de M. Singh n'a pas pu confirmer la réception de la lettre de Paul McCartney, mardi. Paul McCartney veut une journée du végétarisme - 04/01/11 http://www.journalmetro.com/culture/article/734373--paul-mccartney-veut-une-journee-du-vegetarisme
  17. ...Dans la nuit du 31 décembre 2010, lors d’un contrôle routier, la gendarmerie a mis la main sur 32 cadavres de lémuriens grillés à bord d’un véhicule tout terrain. Le trafiquant, en provenance de Daraina, s’apprêtait à livrer sa macabre cargaison à Vohémar (Nord-Est) lorsqu’il a été interpellé. L’homme a aussitôt été remis à la justice. Il encourt deux à cinq ans de prison ferme, selon des sources proches du dossier. (...) 32 lémuriens massacrés découverts au nord de Madagascar - 05/01/11 http://www.linfo.re/-Societe,402-/32-lemuriens-massacres-saisis-au-nord-de-Madagascar
  18. Il en est question dans un article du Monde ...Plus de 5 000 volatiles ont été dénombrés, gisant dans les rues de Beebe. La plupart des oiseaux étaient des carouges à épaulettes, reconnaissables à leurs taches rouges à la base des ailes. Un habitant a indiqué avoir entendu une vingtaine de détonations samedi soir - peut-être des feux d'artifice ou des coups de canon utilisés pour se débarrasser des oiseaux nuisibles -, suivies par le vol erratique d'une grande quantité d'oiseaux. "Il a entendu les carouges voltiger dans tous les sens, il a entendu leurs battements d'ailes et les a entendu heurter des obstacles", a raconté M. Badley. Les carouges à épaulettes ont une mauvaise vision nocturne et ont sans doute été tués en heurtant les maisons et les arbres dans leur frayeur. (...) Les milliers d'oiseaux tombés dans l'Arkansas seraient morts de peur - 03/01/11 http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2011/01/03/les-milliers-d-oiseaux-tombes-comme-des-mouches-sont-morts-de-peur_1460600_3222.html
  19. Lupin beans are back on the dinner table. Ancient Egyptians and Romans ate them, the Portuguese still love them as a snack, and the Dutch enjoy the exuberant flowers of the lupin plant in their backyards. And now the lupin bean could prove a sustainable solution to the global food crisis. Dutch MP Marianne Thieme of the Animal Rights Party is sure, seeing her tweet: "a meat roll made of soybeans and lupine can be good too". But how does it look, and taste? > petite vidéo : Lupin beans: a viable alternative to meat? http://www.rnw.nl/english/video/lupin-beans-a-viable-alternative-meat
  20. Des policiers de Victoria, en Colombie-Britannique, ont arrêté un homme de 24 ans, samedi, après qu’un pitbull de trois mois eut été retrouvé battu à mort dans une chambre d’hôtel. Des clients de l’hôtel ont rapporté avoir entendu un chien gémir bruyamment, samedi, vers 1 h du matin. Lorsque les policiers sont entrés dans la chambre d’où provenaient les cris de l’animal, ils ont découvert le chiot immobile sur le lit. (...) Un chiot battu à mort - 02/01/11 http://fr.canoe.ca/infos/societe/archives/2011/01/20110102-160417.html
  21. hop

    Joyeux Noël Tout le Monde!

    Oups je suis en retard Alors...tous mes voeux pour l'année qui vient
  22. Décembre : Audition de l'agent infiltré http://www.l214.com/autriche-proces-decembre
  23. Deux associations de défense des droits des animaux ont annoncé avoir porté plainte contre la société exploitant le poulailler industriel de Kingersheim, où des poules étaient mortes de faim par milliers. Un mois après la découverte de dizaines de milliers de poules mourant de faim dans un élevage industriel de Kingersheim (nos éditions de novembre), les associations de défense des droits des animaux L214 et Animalsace ont lancé une action en justice à l’encontre de la société exploitant l’établissement et de son gérant. Leur avocate, Me Caroline Lanty, a indiqué avoir déposé plainte auprès du parquet de Mulhouse le 22 décembre pour maltraitance, privation de nourriture, de soins et d’abreuvement par un professionnel. Dans ce texte, elle met également en cause les services préfectoraux, à qui elle reproche de ne pas avoir accordé suffisamment d’importance aux conditions d’élevage des animaux et d’avoir réagi tardivement. Deux jours après la découverte de la situation par des riverains, la Préfecture avait pris en main le nettoyage du site et annoncé la distribution de nourriture aux bêtes survivantes attendant leur euthanasie, orchestrée le week-end-suivant dans un abattoir de la région strasbourgeoise réquisitionné spécialement. Les images des poules mortes de faim, piétinées et picorées par les survivantes dans des casiers métalliques étriqués, ayant fait le tour de France par le biais d’internet et des journaux télévisés, plusieurs autres associations de défense des droits des animaux avaient réagi. Elles pourraient également se constituer partie civile. Hier soir, le gérant n’était pas joignable par téléphone, mais en novembre, il avait expliqué avoir été pris à la gorge financièrement par l’explosion du prix des aliments et la chute du prix de vente des œufs. Il reprochait également à la société fournissant la nourriture, qui n’était plus payée, d’avoir cessé les livraisons. D’après Caroline Lanty, l’une des spécialistes françaises des droits des animaux, cette affaire en rappelle malheureusement beaucoup d’autres. « Des dossiers aussi catastrophiques, on n’en voit pas régulièrement, heureusement, explique-t-elle. Mais des éleveurs qui sont pris à la gorge et n’ont plus les moyens d’entretenir leur exploitation correctement, on en voit tous les mois. Et de plus en plus. » http://www.lepays.fr/fr/article/4391752/Poulailler-devenu-mouroir-a-Kingersheim-deux-plaintes-deposees.html
  24. Il y a une présentation du livre dans l'éditorial du Magazine Littéraire : ...L’Olivier publie, en cette rentrée de janvier, un livre exemplaire de sa démarche : faire connaître de jeunes auteurs, sélectionner le meilleur de la littérature américaine, provoquer le débat. Cet ouvrage est celui de Jonathan Safran Foer (1) : Faut-il manger les animaux ? Nous avons déjà souligné ici combien les écrivains disposent d’une bonne longueur d’avance - les philosophes restant des carnivores - sur la question des rapports entre l’humanité et l’animalité. La place de l’animal est à reconsidérer. Et, encore une fois, seule la littérature rend aux bêtes la parole qu’elles n’ont pas. Jonathan Safran Foer a été l’élève de Joyce Carol Oates à Princeton. Il est déjà l’auteur de deux romans majeurs, Tout est illuminé et Extrêmement fort et incroyablement près . Dans son dernier ouvrage, il met tout le poids de son talent littéraire au service d’un vibrant plaidoyer contre l’élevage industriel et l’abattage des animaux. J’écris « plaidoyer », et déjà le mot se dérobe : car Safran Foer est plus dans la peau de Truman Capote que dans celle d’un avocat. Ce qu’il nous donne à lire et donc à voir n’est pas seulement juste : c’est, au sens propre, hallucinant. Bien sûr, l’actualité, avec la crise de la vache folle, ses destructions et ses bûchers d’animaux, a ouvert une large brèche dans les esprits ; mais il s’agit ici de bien davantage. Je ne suis pas sûr que, dans cet éditorial, il soit bienvenu de présenter des extraits de Faut-il manger les animaux ? et de s’appesantir sur les becs et les groins tranchés à vif, les yeux arrachés, les poux de mer... Vache, veau, porc, poisson, rien n’est épargné - c’est l’arche de Noé à l’envers. Pour ma part, je ne crois pas être sorti indemne de la lecture de cet essai. D’autant que les acteurs de ce massacre (ouvriers, bouchers, éleveurs, propriétaires...) ne sont pas sur le banc des accusés. Aucune moraline dans ces pages. Lorsqu’il doit tracer le portrait de l’un des tortionnaires, l’auteur écrit simplement : « Il parle fort et sans détour. Il est du genre à réveiller tout le temps les bébés qui dorment. » Tout est dit. Si l’on s’attache à la question de l’industrialisation, on se souvient, comme l’a écrit Élisabeth de Fontenay, que ce sont les abattoirs de Chicago qui ont inspiré la division du travail à Henry Ford, antisémite notoire, adepte et ami d’Hitler. Voilà pourquoi Isaac Bashevis Singer, Elias Canetti et Vassili Grossman ont placé au coeur de leurs oeuvres « une interrogation pressante sur la manière pogromiste, nazie, qu’ont les hommes de traiter les bêtes ». Que nous apporte ce livre ? Bien plus qu’une défense et illustration du végétarisme. Un retour à ce que Blake appelait le « chant de l’innocence » de l’agneau par opposition à l’ordre terrible (fearful symmetry) du tigre. Dans une publication récente, Cécile Guilbert définissait ainsi ce champ trop souvent laissé en jachère : « L’innocence, cette contrée sans mémoire, d’où le mal est absent et qui n’a d’autre objet que la pure et indéfinie faculté d’être (2). » À ce souci, le romancier américain répond par une question : « La personne qui fait l’effort d’agir pour son innocence doit-elle vraiment être vue avec commisération ? » Son essai nous fera-t-il suffisamment honte pour que, comme le disait Kafka, le souvenir nous revienne ? Joseph Macé-Scaron http://www.magazine-litteraire.com/content/editorial/article?id=18089
  25. Appel pour la semaine pour l'abolition de la viande http://www.meat-abolition.org/fr/node/15 Il s'agit d'un nouveau site, pas encore tout à fait au point
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