Ranëwen

Merciiiiiiiiiiii!

Ah mais nous non plus, pas encore! C'est ce qu'on essaie de changer

Ah drôle car on m'a envoyé un échantillon de caviar végé cette semaine (Cavi-Art). J'aime!

Whitehorse, une bakery/resto végétarien pour 22,898 habitants. Ville de Québec, deux restos végétariens pour 491,142 habitants. ;-)

Je relais l'information

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/justice-et-faits-divers/201008/29/01-4310832-marche-a-la-memoire-du-cheval-mort-a-quebec.php Ian Bussières Le Soleil (Québec) Une marche aura lieu samedi le 4 septembre à la mémoire du cheval de calèche Jim, mort en pleine rue le 28 juillet, à l'initiative de citoyens qui souhaitent adoucir les conditions de travail de ces animaux durant les périodes de canicule. L'une des organisatrices de la marche, la Sherbrookoise Julie Phaneuf, a expliqué que les marcheurs partiraient à 12h30 du parc de l'Esplanade pour se rendre à l'écurie des calèches. «Les gens sont invités à apporter une fleur qu'ils déposeront à l'écurie à la mémoire de Jim», explique Mme Phaneuf. Celle-ci s'est également adressée à la Ville de Québec afin d'obtenir le rapport d'autopsie du cheval. «On m'a dit que j'aurais une réponse le 7 septembre. Cependant, je crains que si on publie le rapport, c'est qu'il conclut à un décès de cause naturelle et qu'il n'y aura pas de plainte contre le cocher pour maltraitance», déplore-t-elle. Même si elle rêve de voir les calèches disparaître du paysage de Québec, Mme Phaneuf demeure réaliste quant à ses objectifs et souhaite que l'action citoyenne amène au moins une bonification des règles actuelles. 30 degrés Celsius maximum «Nous savons que les règlements à Québec sont parmi les plus sévères, mais on voudrait que la température maximale à laquelle peuvent circuler les calèches soit abaissée de 32 à 30 degrés Celsius et qu'on tienne aussi compte de l'humidité dans l'air.» La comédienne Patricia Tulasne, qui avait écrit au maire Régis Labeaume avec le comédien Gilles Latulippe à la suite de la mort du cheval, a été invitée à prendre part à la marche, mais elle a dû décliner l'invitation en raison d'obligations professionnelles.

La nourriture Ami existe depuis plusieurs années et l'homme qui l'a formulée nourri ses amis chats d'Ami d'après mes lectures, depuis tout ce temps. Il secoure et a secouru beaucoup de chats au cours des années paraît-il. Mais c'est une bonne question mais question qui doit être addressée au manufacturier du produit (ou à ce monsieur). Le rôle des revendeurs est de fournir le produit à la clientèle qui le demande (ce qui ne veut pas par contre dire que nous n'avons pas fait nos propres recherches). Cependant, il faut savoir que la nourriture Ami est une nourriture hypo-allergène et qu'elle a été conçue pour les chats ayant un problème allergique. Oui, il y a des chats allergiques aux protéines animales et/ou autres produits douteux se retrouvant dans beaucoup de nourritures commerciales. Il y a des gens pour s'indigner que la nourriture végé pour chat existe probablement parce qu'ils ignorent que ça existe l'allergie aux protéines animales chez les chats et qu'ils devraient donc avoir le droit de manger autre chose. Pourquoi les gens pensent que tous les chats sont pareils, je ne sais pas... Il n'y pas à mon humble avis de réponse qui peut aller unanimement à tout être vivant. Avant d'offrir Ami sur nos tablettes, nous avons fait nos propres recherches et nous avons conclu que certains chats semblent bien fonctionner depuis longtemps avec une nourriture vege. D'autres personnes disent que la nourriture végé ne convenait pas à leur ami chat, ou à certains de leurs amis chats (mais que d'autres de leurs chats allaient très bien avec visites vétérinaires régulières à l'appui). Donc nous tenons cette nourriture car elle nous est demandée et difficilement trouvable et nous ne jugeons pas ni ceux qui en achète ni ceux qui ne veulent pas esssayer. Nous faisons confiance que les gens font leurs propres recherches et tirent leurs conclusions personnelles. Notre ami chat (8 ans) prend du Ami en combinaison ou en supplémentation ou en collation (surtout pour des raisons de budget). Il mange donc des croquettes régulières, des croquettes Ami, son régime naturel de chat domestiqué: des araignées, des insectes, des papillons, petits oiseaux, mulot, etc. Mais aussi il demande des pois chiches, des graines de citrouille, du jus d'ananas, du lait de coco, de la "crème" de tomate, du jus de tomates en boîtes, des tranches de tofurky, du végé-pâté, du spaghetti, du "fromage" Daiya ou Cheezly, des asperges, des choux de Bruxelles, des céréales bio en boîte, etc. C'est LUI qui en demande chaque fois qu'on sort ces aliments. Il accourre avec précipitation et en redemande. Donc, nous nous fions beaucoup à lui et à son bulletin de santé tout en lui donnant beaucoup de variété - ce qui est facile car il n'est pas difficile. En tant que consommateur, nous avons tous individuellement le devoir et le pouvoir de faire nos recherches, de poser des questions aux fabricants et de regarder tous les côtés de médailles (pour moi, il y en a toujours plus que deux ) Peu importe la conclusion personnelle à laquelle vous arriverez, vous aurez l'assurance d'avoir bien pesé le pour et le contre pour le meilleur de votre ami.

Ou par transfert bancaire Interac En passant, c'est le jour de la terre demain et il y a une offre spéciale pour ce qui est de la livraison :) www.VivaGranolaVeganStore.com/catalog/JourTerre.htm

sur YouTube (vidéo)

Tout à fait d'accord. J'ai déjà pensé que ça allait dans le sens de ma logique, et rien ne dit que je ne peux pas encore changer d'avis mais comme tu dis, il y a une question d'intégrité dans l'efficacité.

En fait, je trouve bien d'aborder toutes les formes d'exploitation - et elles sont nombreuses et sournoises. Si je peux apporter une correction ou une clarification, je ne veux pas dire qu'il faut seulement en parler globablement, je veux dire plutôt que la base de la discussion devrait être, en tout cas beaucoup plus souvent, l'exploitation elle-même. Dans les médias, et je parle surtout de certains personnages qui sont beaucoup médiatisés et ce depuis des années, il me semble qu'il serait grand temps qu'ils parlent à la base de l'exploitation des animaux en abordant ensuite les différentes formes ou que lorsqu'ils parlent d'une forme d'exploitation en particulier, de ne pas en parler comme si c'était la seule forme à éliminer (la raison pourquoi le titre - et ensuite l'article - m'a fait réagir). Je suis d'accord qu'il faut lancer cette question sous tous les côtés mais je pense qu'il est plus que temps que le côté global de l'exploitation prenne une place plus importante, et je rêve, même centrale. Quel soit le point d'où on part. J'ai commencé à m'intéresser au végéta*isme en 1996 et le discours de l'époque était, déjà à ce moment là, centré sur l'élevage industriel. En 13 ans, qu'y a-t-il de changé? Est-ce que les élevages industiels sont "Moins pires"? Non, on pourrait facilement dire le contraire. Il y a des années que le travail qui est fait (et P.Singer fait beaucoup plus qu'écrire un petit article une fois de temps en temps!) ne fait que déplacer le problème. Tu prends l'exemple des oeufs, mais pour ce qui est du lait, du beurre, de la crème? Dans le cas d'une vache exploitée "moins pirement", "le lait que vous boirez a été enlevé à la vache, à son veau, son veau a été abattu pour faire votre fromage, la vache a souffert de la séparation d'avec son veau (et on lui fera avoir un veau plusieurs fois), etc, donc c'est le lait d'une vache qui souffre mais sa souffrance est "moins pire" parce qu'elle a du gazon et plus d'espace." Je comprends ce que tu dis mais c'est tout de même illogique pour moi de médiatiser une forme d'exploitation en la disant moins pire. Ma famille élargie a longtemps élevé des animaux, vaches, cochons, chèvres, poules, etc, et la souffrance d'une vache qui est séparée de son veau (parce qu'il est assez vieux pour être vendu afin de pouvoir profiter de plus de lait) et qui pleure, souffre d'anxiété, est tout à fait réelle et n'est pas justifiée même avec du gazon et un champ à sa disposition alors moi, en recommandant qu'on achète de cet éleveur, je me sentirais encore comme complice. Il faut se demander sincèrement qui profite plus de "l'exploitation heureuse", les animaux ou les exploiteurs heureux (éleveurs et consommateurs). Bref, je n'y vois plus de logique. Je termine en disant que je ne suis pas une apôtre de Francione (c'est un autre débat que je n'ai pas le temps d'avoir :p) mais évidemment pas de Singer non plus. En fait, je fuis les messies, peut-être à cause des apôtres

J'ai l'impression que tu ne comprends pas l'essence de mon commentaire. et c'est ok. J'aurais pu être plus claire ou simplement me taire car il était en essence sarcastique. Si on me permet d'aller au-delà du but de l'article en parlant plutôt d'activisme pour le droit animal et de sa promotion dans les médias, je persiste de penser qu'il serait plus logique de parler d'arrêt de l'exploitation tout court, tant qu'à mettre de l'énergie à en parler. Surtout, quand comme Singer, on a un beau discours tout en contradiction. Je ne vois aucune logique à mettre de l'énergie à répéter partout qu'il faut arrêter d'exploiter les animaux pour la nourriture tout en recommandant aux gens de continuer à manger des produits animaux. À des fins de clarifications, est-ce que tu fais référence à P. Singer ici? Mais voilà, ton commentaire aborde quelque chose qui me chicote toujours. Je crois que tout est dans notre perception de ce qui est pire à telle ou telle chose. Je ne sais pas comment quantifier la souffrance quand il s'agit d'exploitation alors je ne peux pas faire ce genre de distinction. Je ne pourrais jamais recommander à quelqu'un d'exploiter un être vivant ou de participer à l'exploitation d'un être vivant, d'une manière "moins pire". Exactement! C'est justement pourquoi je passais le commentaire.

Je trouve bizarre que le titre soit formulé de cette façon car on pourrait en conclure que ce n'est que l'exploitation des animaux à des fins alimentaires qu'il faut éliminer, selon Singer. Si tous les éleveurs de vaches pour le lait et la viande changent seulement de type d'exploitation en les élevant pour le cuir? Il faut arrêter d'exploiter les animaux, point. En plus, Singer étant un promoteur de la "viande heureuse", c'est ironique. En tout cas, c'est ce que ça m'a fait en lisant ça. Sans compter que les propos de l'article cité sont encore une fois axés sur l'élevage industriel. Selon lui, et ce n'est pas la premiere fois que je le lis, quand il parle d'exploitation, il ne parle pas nécessairement d'arrêt de l'exploitation, mais de "meilleure exploitation".

Comme s'il y avait d'autres raisons plus "valables"

Je passe la nouvelle au suivant ;-) Article de Richard Martineau http://www.canoe.com/infos/chroniques/richardmartineau/archives/2009/07/20090730-062500.html

Un jour sans viande, c'est un début seulement si les gens ne se mettent pas à en manger plus les autres jours parce qu'ils penseraient "avoir manqué de quelque chose". Ça me rappelle les fameux vendredi de l'époque, où la viande (mais pas le poisson, qui n'était pas un légume même en ce temps là! ) était interdite et je copie-colle un extrait de livre que mon père m'a envoyé :

Merciii!! Je pense que l'adresse est différente que sur les anciens emballages :)

C'est pas beaucoup ! Moi je me demande toujours comment ils font pour calculer ça... ici, par exemple, je n'ai jamais participé à ce genre de sondage, ma famille non plus, alors je sais qu'on ne fait pas parti de leurs chiffres.

Cool !

:lol!

C'est parce que pendant longtemps et encore pour certains, viande voulait dire "viande rouge". Du poulet c'était pour eux de la volaille, pas de la viande. Je ne sais pas si vous vous en souvenez mais à un moment donné, on entendait moins volaille et plus "viande blanche". Et par le fait même, ceux qui pensent que la viande est de la viande rouge seulement, et bien du poisson, ça n'entre pas dans cette catégorie. L'ancienne définition du végétarisme parlait de viande (dans le sens viande rouge), d'où l'erreur que répètent beaucoup de gens en disant qu'Hitler était végétarien. Il ne mangeait pas de viande rouge à un moment donné mais il mangeait des "volailles", du pigeon notamment. Heureusement, on entend de plus en plus de définition du végétarien non pas en terme de viande mais d'animaux. Encore là, y'a FULL gens qui ne savent pas que les poissons sont des animaux. Ils pensent que les poissons sont dans une catégorie à part. Et que dire des gens qui offrent des fruits de mer aux végétariens ! Je ne blague pas. Ils sont confus à cause du mot fruit. J'en suis tombée en bas de ma chaise.

Oui, ça court

Bien dit, Cath!