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Ranëwen

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Tout ce qui a été posté par Ranëwen

  1. Ça aurait été tellement facile de mettre Vegan au lieu de Vegetarien sur leur affiche et ainsi ne pas mentir par omission en ne mentionnant pas la listériose dans les produits laitiers et la salmonelle des oeufs. Mais bon, il faut s'y attendre de leur part...
  2. Maudine que j'haïs ce genre de commentaire. Qu'est-ce qu'il en sait? Les nerfs sont encore en opération si le poulet court, ou pas? oui, oui, c'est ça... ils se sont sacrifiés eux-mêmes....
  3. En anglais, il y a une insulte qui dans ce cas, serait très à propos.
  4. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2008/08/20080819-064832.html
  5. Je passe au suivant http://videos.tf1.fr/video/news/0,,3892624,00-sante-regime-viande-seduit-.html
  6. Faut dire que Patrick Normand semble avoir des "convictions" assez manipulables... et que des membres de sa famille font/participaient à des rodéos (en tout cas, c'était le cas à la fin des années 80).
  7. Ranëwen

    Hasards bien faits

    Je viens d'avoir une idée... tu sais les petits "pads" de coupons que les épiceries accrochent près de certains produits? Et bien ça prendrait des petits pads de recettes Aequo Animo aussi
  8. Signé CERIN... moi aussi j'aurai peur que mon vrai nom soit associé à cette désinformation honteuse.
  9. C'est drôle car ça me rappelle que quelqu'un avait dit que de l'origan qui brûle sur un rond de poêle sent le pot Je ne saurais dire si c'est vrai par contre...
  10. Ranëwen

    Café Blue Monday

    C'est exactement ce que j'ai pensé faire; demander à un magasin ici qui les vend comment entrer en contact avec la compagnie. Merci encore Babette.
  11. Ranëwen

    Café Blue Monday

    Merci Babette mais il n'y a pas de coordonnés. Quelqu'un m'avait apporté un de leur fudge et j'essaie de les contacter depuis. Merci pour le renseignement au sujet du resto. Tu confirmes ce que je pensais.
  12. Ranëwen

    Café Blue Monday

    Petite question, est-ce que Café Blue Monday existe encore? Car quand on cherche leur numéro sur le web et qu'on l'appelle, on rejoint un resto chinois.
  13. Ranëwen

    Hasards bien faits

    C'est quelque chose qui m'arrive souvent avec les légumes non-traditionnel comme le bok choy, le rapini, etc Que je sois dans la section des fruits et légumes ou à la caisse, on me demande "comment ça s'appelle" et on me demande comment on l'apprête. La grande majorité du temps les gens l'ajoutent à leur panier. C'est super Gardez-vous des cartes d'affaires d'Aequo Animo en lien vers votre section recettes? C'est une autre idée pour publiciser le végéta*isme. Je me promène avec mes cartes moi-même.
  14. en anglais: http://www.humanemyth.org/index.htm
  15. Ranëwen

    Végétarien, le moine

    quand on est malade, il faut manger la mort et la souffrance? Très logique
  16. C'est certain que je m'ennuierais aussi de ma famille et que je serais déçue que la raison pour laquelle je suis là n'a pas fonctionnée. Mais ayant déjà été à Marseille, Toulon, Aix en Provence, etc, j'en profiterais pour revisiter! J'avais adoré mais j'avais 16 ans à l'époque... Visite en prenant des photos pour ta famille, c'est un beau coin du globe
  17. http://www.lautjournal.info/default.aspx?page=3&NewsId=911 Sommes-nous carnivores, omnivores ou herbivores? 08 juin 2008 Charles Danten Un rapport récent de l’Organisation des Nations Unis pour l’alimentation et l’agriculture (FAO 2006) est particulièrement éloquent : Si nous continuons à privilégier un régime omnivore à tendance carnivore, nous finirons avant longtemps par épuiser les ressources d’eau, polluer les rivières, les lacs et les terres, assécher les prairies, détruire les forêts et la biodiversité. Réchauffement climatique Les 1.3 milliards de bêtes à cornes qui nous servent de garde-manger produisent une quantité phénoménale de gaz méthane (NH4) un gaz à effet de serre 23 fois plus puissant que le CO2. ¨C’est ainsi que le bovin, explique l’éthicien Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, l’auteur du livre Éthique Animale (PUF, 2008), réchauffe plus que la voiture.¨ Le bien être animal Et c’est sans mentionner les milliards de poulets, de porcs, de lapins, de canards, d’oies et de poissons qui croupissent dans des élevages hyper polluants dans des conditions proches du sadisme totalement injustifiées d’un point de vue strictement productiviste. Les poules pondeuses par exemple, sont enfermées à cinq dans un espace de 45 cm par 50 cm, ce qui fait pour chacune un espace équivalent à une feuille de papier. ¨À titre de comparaison, conclue Vilmer, cela reviendrait à enfermer durant toute leur vie cinq humains dans une cabine téléphonique.¨ Le risque de pandémie Plusieurs de nos maladies contagieuses sont transmises par les animaux domestiques. La peste porcine par exemple a tué des millions de personnes au siècle dernier. Et présentement, le spectre de la grippe aviaire - une maladie dérivée de la mondialisation et de néo-libéralisme - plane sur nous. Les effets délétères sur la santé Mis à part les méfaits sur la santé des antibiotiques et des hormones de croissance couramment employées pour augmenter le taux de rendement de l’élevage, certains cancers du système digestif et les accidents cardiovasculaires sont reliés à un régime alimentaire trop riche en produits d’origine animale. Selon certains chercheurs indépendants de l’industrie agro-alimentaire, non seulement le lait de vache ne prévient pas l’ostéoporose, mais il la favorise. À ce tableau, il faut aussi ajouter notamment la salmonellose et le E.Coli, deux maladies fréquentes associée à une denrée hautement périssable. La famine Enfin, comme le dit J.-B. J. Vilmer, ¨les excès de l’élevage industriel contribuerait à l’iniquité de la distribution de nourriture, creusant ainsi un gouffre entre malnutrition d’un côté et suralimentation de l’autre […] La quantité de céréales nécessaires pour nourrir le bétail qui nourrira un seul homme permettrait en effet de nourrir directement 20 personnes.¨ *** Or, malgré ce sombre bilan, peut-on vivre sans manger les animaux et leurs sous-produits? Sommes-nous carnivores, omnivores ou herbivores? C’est pour répondre à cette question d’intérêt vital que j’ai rencontré le médecin, physiologiste et nutritionniste Américain, Milton Mills. Ne pouvons-nous pas - et c'est ce qui expliquerait notre grand succès comme espèce - manger tout ce que nous voulons? Ne sommes-nous pas foncièrement des omnivores? Non! Nous sommes des herbivores. Notre corps est admirablement bien équipé pour se procurer et traiter la matière végétale. Nous avons évolué pendant des millions d’années dans le berceau africain. C’est à cet endroit, dans des conditions climatiques et écologiques équatoriales que se sont forgées nos caractéristiques morphologiques actuelles. Or, selon les données issues de l'étude des fossiles, notre ancêtre était un herbivore. Il se nourrissait de fruits, de baies, de racines et de graines. Il avait une niche écologique très spécialisée qui lui a permis de survivre et de prospérer. Il n’était pas en compétition avec les prédateurs comme le loup et le lion. et heureusement d’ailleurs, car il ne faisait pas le poids. Entre autres, sa vitesse de déplacement était insuffisante, son odorat était relativement faible, son ouïe était médiocre. De plus, la marche est notre mode de locomotion le plus naturel, et cette activité est particulièrement bien adaptée à la cueillette. Oui, mais nous avions des outils et des armes, c’était un avantage décisif! En effet, mais pas aussi important qu’on pourrait le croire. Les premiers outils sont apparus il y a environ un million d’année. Pendant des centaines de milliers d’années, ces outils étaient très rudimentaires et peu efficaces. Essayez de chasser un bison, un auroch - l’ancêtre du boeuf - ou même une gazelle avec des pierres taillées grossièrement! Plus tard, avec l’invention de la lance et de l’arc, il y a à peine 100 000 ans, les techniques de chasse s’améliorent quelque peu. Cependant cette activité est pleine d’imprévus et la réussite est loin d’être assuré. En étudiant les quelques tribus qui vivent encore plus ou moins comme nos ancêtres, nous avons appris qu’il est très difficile, avec des armes rudimentaires de capturer ou de tuer une proie. Ils réussissent environ une fois sur vingt après maints efforts. Il serait tout à fait absurde dans ces conditions d’essayer d'assurer la survie de ses enfants sur ce genre d’activité. Chez les cueilleurs-chasseurs modernes, la base de l’alimentation est végétale, complétée à l’occasion par des insectes, quelques œufs et, rarement, avec un animal de taille petite ou moyenne. L’activité principale est la cueillette et non la chasse. L’image de l’homme des cavernes, chasseur redoutable et sanguinaire, cruel et carnivore, toutes dents et toutes griffes dehors, est donc un mythe? Oui, tout à fait! Vous savez, la paléoanthropologie est née en Angleterre, au 19e siècle, en pleine révolution industrielle. À cette époque, et ça n’a guère changé, la viande était associée à la force, à la virilité, à la longévité et au statut social. Par ignorance des principes nutritionnels, on la considérait comme l’aliment idéal pour notre espèce. C’est avec ces notions erronées que les premiers anthropologues ont interprété notre histoire. De là est né le mythe de l’homme des cavernes. C’est devenu un des éléments pivot du machisme et de la fierté masculine. L’idée du grand chasseur, maître de la nature et pourvoyeur de ces dames, a fait couler beaucoup d’encre depuis. Or, cette notion ¨romantique¨ est peu plausible et difficile à concilier avec la réalité. Plusieurs anthropologues contemporains remettent en question cette interprétation. Sur quels critères vous appuyez-vous pour déterminer le type d'alimentation le plus naturel pour notre espèce? Il y a un minimum de trois facteurs à prendre en compte : les considérations anthropologiques - que nous venons de discuter - puis l’adaptation biologique et, enfin, les conséquences physiologiques ou, si vous voulez, les bénéfices d’un régime alimentaire particulier. Examinons maintenant les caractéristiques biologiques. On peut classifier les mammifères, selon leur type d’alimentation, en carnivores, en omnivores ou en herbivores. Comme chaque classe a des caractéristiques anatomiques et physiologiques bien spécifiques, il est facile, par une étude comparative, de situer notre espèce. Les carnivores et les omnivores sont équipés pour poursuivre, capturer, tuer, manger et digérer rapidement leur proie. Leurs griffes sont longues, robustes et acérées pour les aider à la saisir et l’immobiliser. Ils ont une gueule très grande par rapport à la taille du crâne. Cela leur donne un avantage certain pour saisir, tuer et déchiqueter une prise. Leurs dents sont pointues et très acérées car elles servent surtout à déchiqueter la viande. L’articulation de la mâchoire ne permet que les mouvements verticaux. En général, ces animaux avalent tout rond, sans mastication, la plus grande quantité possible de nourriture. Par conséquent, leur estomac est relativement volumineux- 60 à 70% du volume total de l’appareil digestif- pour recueillir une grande quantité de nourriture d‘un seul coup. La très grande acidité de l’estomac favorise la digestion rapide des aliments et protège ces animaux contre une contamination bactérienne très élevée. Les intestins sont courts – 3 à 5 fois la longueur du corps mesuré de la bouche à l’anus - car les produits de la digestion sont absorbés rapidement. Par comparaison, les herbivores n’ont pas de griffes acérées. Comme nous, en général, ils ont une gueule de petite taille proportionnellement à la tête. Ils ont des lèvres charnues et très musclées spécialisées dans la préhension fine de petites quantités d’aliments. La structure des dents, de la mâchoire et de la langue est hautement spécialisée. La surface des dents est plate, ce qui favorise la mastication. La mâchoire est très mobile, permettant les mouvements dans tous les sens. La nourriture est mastiquée, broyée, mélangée longuement avant d’être avalé en petite quantité. Notre salive, contrairement aux carnivores, et aux omnivores comme l’ours et le raton laveur, contient une enzyme qui amorce et facilite la digestion. Nos secrétions gastriques sont beaucoup moins acides que chez les carnivores. L’intestin, où la plupart des aliments sont absorbés, est beaucoup plus long – 10 à 12 fois la longueur du corps – ce qui favorise la digestion. Enfin, le colon ou le gros intestin, la partie la plus postérieur du système digestif, est en général beaucoup plus complexe que chez les carnivores et les omnivores. Notre anatomie, à nous êtres humains, cadre très bien avec cette description. Et la fameuse vitamine B12? La manière dont nous métabolisons cette vitamine confirme notre nature d’herbivore. Nous sommes fait pour manger des aliments qui en contiennent en général une infime quantité. Cependant, nous sommes merveilleusement bien équipés pour l'absorber, la transformer et la préserver. Ce n’est pas le cas des carnivores et des omnivores qui en trouvent facilement de très grandes quantités dans la viande. Voulez-vous dire qu’on n’a pas à se soucier de cette vitamine? La vitamine B12 est produite par les bactéries, or, depuis que l'on aseptise eau et aliments, il est plus difficile de combler ses besoins, quoique ce ne soit pas impossible. En effet, certaines bactéries résidant dans notre bouche et nos intestins en synthétisent une certaine quantité. Enfin, plusieurs aliments ainsi que les fruits et les légumes biologiques non traités et que l’on mange avec la peau (et donc ayant en surface une quantité appréciable de bactéries) en contiennent également. Les végétaliens qui s’alimentent bien n’ont pas de difficultés à combler leurs besoins en B12. En cas de doute, il est tout de même préférable de vérifier annuellement son taux de B12 ou de prendre un supplément, à raison de 25 mg par semaine, et non de 50 mg par jour comme le recommandent les fabricants. C’est tout de même étonnant, depuis le temps, qu’on ne soit pas mieux adaptés pour manger de la viande? Nous ne sommes devenus omnivores puis carnivores que depuis relativement peu de temps, en réponse à des impératifs culturels et non biologiques. Cette nuance est très importante, car même si nous pouvons manger presque n'importe quoi, cela ne veut pas nécessairement dire que c’est bon pour nous. Contrairement à l’évolution technologique et culturelle, l’évolution biologique se produit sur des centaines de milliers, voire des millions d’années. C’est un peu le lièvre et la tortue. Ce ne sont pas les adaptations morphologiques qui ont permis à l’homme préhistorique de chasser, puis de consommer des animaux; c’est son intelligence qui lui a permis de faire ce que son anatomie lui refusait. En d’autres termes, au lieu de sélectionner les modifications gastro-intestinales les mieux adaptées à ce type d’alimentation, la sélection naturelle a favorisé les plus habiles chasseurs, les plus ingénieux fabricants d’outils ainsi que les adaptations culturelles associées. Pour résumer, nous sommes surtout faits pour manger des plantes. Or, en Occident, la plupart des gens font le contraire; comment expliquez-vous cette déviation? C’est en quittant le berceau africain pour occuper des régions plus froides que l’homme a changé, en très peu de temps, pour des raisons vitales, son régime alimentaire. Il a dû s’adapter aux variations saisonnières de la croissance des végétaux en incorporant à son alimentation de plus en plus de produits carnés au fur et à mesure qu’il s’est déplacé vers le Nord. Les animaux étaient abondants et il ne semblait y avoir aucune contre-indication. L’invention de l’outil et son perfectionnement a facilité cette évolution. Puis, il y a 10 000 ans, c’est la domestication massive des plantes et des animaux. Cependant, le régime alimentaire de base demeure essentiellement composé de plantes. Les agriculteurs avaient des animaux pour les aider à travailler la terre. Ils buvaient leur lait, ils mangeaient les oeufs de la volaille, mais, en général, ils ne les tuaient pas. Les animaux étaient bien trop précieux. Ils s’en servaient également comme monnaie d’échange. Pendant des siècles, la viande était une denrée presque exclusivement réservée aux riches marchands, aux nobles et aux aristocrates. C’était un symbole de rang social et de prospérité. Les pauvres en mangeaient seulement à certaines occasions, lors des fêtes religieuses par exemple. Puis, il y a à peine deux cent ans, à la suite de la révolution industrielle, l’élevage des animaux de boucherie s’est intensifié, et la viande, notamment le bœuf, est devenu de plus en plus populaire et accessible à tous les échelons sociaux. Nous sommes donc devenus des omnivores à tendance carnivore à une grande échelle, depuis tout récemment, avec les conséquences que nous connaissons tous.
  18. La photo me donne la chair de poule! Comment peut-on être aussi innocent?
  19. Fait par mon fils de 11 ans Il trouvait la pâte trop épaisse alors il a ajouté de l'eau jusqu'à ce que plus léger, je dirais probablement presqu'une tasse et je lui ai suggéré d'ajouter une cuillère à table de vinaigre balsamique blanc. Ça a très bien levé et il était incroyablement léger et délicieux. Glaçage à l'érable maison :) Merci pour la recette ! On la garde et on continue de faire des expérimentations avec son aide!
  20. Le lait de soya doit se vendre de plus en plus au détriment du lait de vache alors faut s'attendre à leurs tentatives de salissage. Dans le fond, on pourrait voir ça comme un bon signe
  21. call 458-0621 to place orders Founded and run by head chef Alexander Fauque from his Beaconsfield residence in the summer of 2008. For a digital or hard copy of the menu, send an e-mail to: le.vegabond@gmail.com Mission: To provide the West-Island with a healthy, delicious and all vegan food service Products: Main Dishes: 5$ Spinach Chickpea Curry Tempeh Wrap Penne Arrabiata Tofu Steak 1/2 Broccoli Pizza Side Dishes Avocado Boat 2.00$ Broccoli Salad 2.50$ Soup of the Day 3.00$ Pizza Slice 3.00$ Desert Add a Maple Walnut Carob Cookie 1$ Add 6 for 5$ Specials Soup ‘n’ Slice: 5$ Surf ‘n’ Turf: 6$ Broccoli Party: 12$ Dish Details Curry: Chickpeas*, coconut/basil marinated tofu*, spinach, mushrooms* Wrap: Red wine marinated tempeh, madras, homemade hummus*, sprouts Penne: Mushroom*, soy cream, vodka, tempeh sausage* Steak: Red wine marinated tofu with wild rice and mixed veggies Pizza: Broccoli*, rice cheese, sundried tomatoes, spinach, basil, mushrooms* Boat: Lemon, tabasco, curry, nayonaise, dijon Salad: Broccoli*, white wine, red pepper, lemon, dijon, shallots* All meals prepared fresh, no dairy, eggs, meat or nuts (except cookies) All starches are whole wheat *Organic ingredient
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