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Cath10

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Tout ce qui a été posté par Cath10

  1. Pétition contre le réchauffement planétaire : http://tinyurl.com/d9g7bs Pour les parcs nationaux : http://tinyurl.com/cv9xr5 Pour les grands lacs : http://tinyurl.com/brqey5 MERCI de signer!
  2. Voter Si pour l'abolition de la corrida! http://www.lavanguardia.es/lv24h/51260474815.html
  3. Barbara Leblanc 03/02/2009 L'énergie éolienne a connu un important essor en 2008 dans le monde. Les capacités disponibles pour cette énergie ont cru de 28,8%, à 120 791 mégawatts, selon les données rendues publiques lundi 2 février par le Conseil mondial de l'Energie éolienne (GWEC). « Les chiffres parlent d'eux-mêmes : il y a une demande énorme et croissante dans le monde, nous sommes en passe d'atteindre notre objectif d'économiser 1,5 milliard de tonnes de CO2 par an d'ici à 2020 », explique Steve Sawyer, secrétaire général du GWEC, qui regroupe les acteurs et associations de l'industrie éolienne. +38% en France Dans le détail, les Etats-Unis prennent la tête du classement avec 25 170 mégawatts, chiffre fourni par l'AWEA mi-janvier. L'Europe rassemble à elle seule plus de la moitié des capacités mondiales, avec 65 946 MW, soit une hausse de 15%. L'Allemagne, qui perd sa place de leader, détient 23 900MW. Un chiffre bien plus élevé que celui de la France qui s'élève à 3 404 MW, en progression de 38% tout de même. La Chine affiche une très nette progression, ses capacités ayant doublé en 2008 à 12 200MW. Le GWEC table sur une importante expansion de l'énergie éolienne dans ce pays, qui serait susceptible de devenir deuxième producteur mondial à l'horizon 2010. La crise n'a pas épargné le secteur, en asséchant les finances de certains projets par exemple. Mais les Etats ont développé des subventions pour soutenir l'énergie propre, comme en Allemagne avec l'instauration d'un prix de base garanti. Le nouveau président américain, Barack Obama, souhaite doubler la production d'énergie alternative de son pays au cours des trois prochaines années. Redaction L'Usine Nouvelle http://www.usinenouvelle.com/article/l- ... 008.157528
  4. Ce serait intéressant d'entendre l'avis de Philippe là-dessus.
  5. Jeudi 29 janvier Les glaciers continuent de fondre dans le monde entier à une vitesse inquiétante. Selon les derniers chiffres du "World Glacier Monitoring Service (WGMS)", installé à l'Université de Zurich, l'épaisseur de la glace a diminué en 2007 de 67 centimètres équivalent-eau (Eq-e), soit près de 74cm en épaisseur de glace. Certains glaciers alpins ont eux perdu près de 2,5m d'épaisseur. Les derniers chiffres concernant plus de 80 glaciers confirment la tendance à la fonte constatée depuis près de 30 ans. Au cours de cette période, les glaciers qui ont été observés sur le long terme (30 glaciers dans neuf régions montagneuses du monde) ont perdu près de 11m Eq-e, soit près de 12m de glace. Entre 1980 et 1999, la glace a perdu en moyenne 30cm par an en épaisseur, mais cette valeur est passée à près de 70cm par an après 2000. Selon Michael Zemp, glaciologue et collaborateur du WGMS, la perte de glace en 2007 n'a pas été aussi importante qu'en 2006 mais il y a de grosses différences entre les massifs. Les glaciers des Alpes européennes ont perdu en moyenne près de 2,5m Eq-e alors que l'épaisseur de certains glaciers côtiers en Scandinavie a gagné un mètre. Toutefois, 2007 est la sixième année du nouveau siècle au cours de laquelle la perte moyenne des glaciers observés à long terme a dépassé un mètre. La vitesse de fonte a ainsi doublé par rapport aux année 1980 et 90. Dans les Alpes européennes, la perte a atteint 1,8m au Hintereisferner (Autriche) et 2,2m au Sonnblickkess (Autriche), 2,5m au glacier de Sarennes (France) et même 2,8m au glacier de Caresèr (Italie). En Suisse, une perte de 1,3m a été enregistrée au glacier de Silvretta et 1,7m à celui de Gries. En Norvège, quelques glaciers proche de la côte (Nigardsbreen, +1m, et Ålfotbreen, +1,3 m) ont gagné en épaisseur alors que les glaciers de l'intérieur en ont perdu (Hellstugubreen, Gråsubreen: -0,7m). En Amérique du Sud, les bilans ont tous été négatifs, de -0,1m au Echaurren Norte (Chili) à -2,2 m au Ritacuba Negro (Colombie). En Amérique du Nord, on note quelques valeurs positives aux North Cascade Mountains et au Juneau Ice Field. Les valeurs ont été négatives pour les glaciers des Kenai Mountains et de l'Alaska Range, ainsi que dans les Coast Mountains du Canada et dans l'Arctique canadien. Le "World Glacier Monitoring Service" a été mis sur pied en 1984, sur le modèle du réseau suisse d'observation des glaciers. Il est aujourd'hui responsable de la collecte et du traitement des données du monde entier. Le WGMS, dont le siège se trouve à l'Institut de géographie de l'Université de Zurich, est en rapport avec tous les pays où des glaciers sont observés. Il fournit des données pour l'étude du climat aux organisations internationales intéressées. AP Source : ASSOCIATED PRESS http://fr.news.yahoo.com/3/20090129/twl ... e00ca.html
  6. Olivier Descamps 03/02/2009 Fabriquer du plastique à partir de blé ou de pommes de terre ? Spécialistes des bioplastiques et pétroliers s'y sont résolus : les solutions existent, mais l'offre doit se structurer. Plastique : les industriels préparent l'après pétrole Ouf, le cours du baril de brut est au plus bas. L'industrie plastique ne s'y trompe pas néanmoins, et anticipe l'inexorable augmentation des prix. Elle développe de nouvelles techniques de polymérisation permettant de se passer du pétrole. Les plus impatients sont les spécialistes des bioplastiques, dont on annonce l'avènement depuis plusieurs années. Côté grands pétroliers, la reconversion est également de mise. Ou plus exactement la diversification. « La production de pétrole devrait encore augmenter un peu. Il ne s'agit donc pas pour le moment de le remplacer », explique Eric Duchesne, chef de projet MTO/OCP (Methanol-To-Olefins et Olefins Cracking Process) chez Total. « Mais nous devons accompagner la croissance de la consommation de matière plastique en nous diversifiant ». Oléfines Les oléfines sont un produit carboné, CnH2nDepuis octobre, Total teste à Feluy (Belgique) la technologie développée par la société UOP pour fabriquer des oléfines puis de la matière plastique à base de méthanol. Quarante-cinq millions d'euros seront investis dans l'unité de démonstration. L'année 2009 pourrait suffire à valider la qualité de différents méthanols, corriger les impuretés des oléfines... et à prouver la faisabilité technique et économique d'un projet à l'échelle industrielle. La suite devrait dépendre du prix du pétrole. « A trente dollars le baril, ce n'est pas rentable, calcule Eric Duchesne. A quatre-vingts ou cent oui ! » La biomasse : première ou deuxième génération ? Méthanol Le plus simple des alcools : on peut le produire à partir de biomasse ou d'hydrocarbures. Reste à choisir le type de méthanol à travailler. Pour produire cet alcool, le pétrolier préfère miser sur des valeurs sûres : le gaz naturel et le charbon... donc d'autres matières fossiles. Le recours à la biomasse est étudié, mais « pour un stade ultérieur ». Raison invoquée : « la problématique de compétition avec la chaîne alimentaire. Nous préférons travailler sur la biomasse dite de deuxième génération en misant sur les tiges plutôt que sur le fruit ! ». Chez Sphere, spécialiste des bioplastiques, c'est le genre de critiques que l'on n'a pas peur d'affronter. « Attention à ne pas confondre bioplastiques et biocarburants ! Si la totalité des emballages plastiques français avaient recours aux matières naturelles, il faudrait y consacrer 4 % de la surface agricole. Il y en a aujourd'hui 10 % en jachère » insiste John Persenda, le pdg de la société. Bioplastiques et écologie : un mariage complexe ! Remplacer une ressource fossile par une matière naturelle et renouvelable est a priori positif pour l'environnement. Pourtant, les écologistes ne sont pas toujours tendres avec les bioplastiques. D'abord parce que, comme pour les biocarburants, le préfixe « bio » prête à confusion. Si les matières premières sont des OGM ou des végétaux arrosés de pesticides, l'équation écologique devient vite complexe. Ensuite parce que l'origine naturelle des plastiques peut justifier un retour en grâce des emballages condamnés par ailleurs. « La prolifération de sacs biodégradables signifierait un retour en arrière, un retour en force du jetable » lançait en octobre dernier Bruno Genty, responsable consommation déchets de France Nature Environnement, lors d'un débat sur la taxation des sacs de caisse de supermarché non biodégradables. Enfin, parce que bioplastique n'est pas toujours synonyme de biodégradable. Les procédés chimiques introduits dans les procédés de fabrication changent la nature des matériaux. Plus que la matière première, c'est la composition du polymère du plastique qui prime en termes de biodégradabilité. Pour s'y retrouver, des normes très précises décrivent les caractéristiques de chaque emballage. Ceux qui portent la référence EN 13432 sont valorisables par compostage et biodégradation, c'est-à-dire qu'ils se dégradent au contact de bactéries et ne produisent aucun résidu qui détériorerait la qualité d'un compost. Reste à savoir si chaque emballage plastique peut terminer sa vie dans un compost ! Toyota entend équiper rapidement l'habitacle de ses véhicules de bioplastiques. Après avoir prouvé leur résistance aux chocs et à la chaleur, le constructeur automobile a testé sa propre capacité à fabriquer des pièces bioplastiques en série. Et estime que d'ici la fin de l'année, il amènera à 60 % la proportion de plastiques d'origine végétale dans les composants intérieurs de plusieurs de ses modèles. Plus étonnant, l'entreprise a choisi d'investir directement dans une usine qui fabrique du bioplastique à partir de canne à sucre, de blé ou de pommes de terre. Et la société finance même des cultures indonésiennes de patates douces ! Le constructeur estime qu'en 2020, plus de 20 % de tous les plastiques seront d'origine végétale... et qu'il pourrait en produire une partie non négligeable. Cette implication des utilisateurs de plastique prouve une chose : l'offre a besoin de se structurer. Les entreprises sont nombreuses sur le secteur. Elles s'appuient sur des matières naturelles différentes comme l'huile de ricin, le maïs, les pommes de terre, le soja ou le bois. Elles ne développent pas toutes les mêmes techniques de polymérisation... Mais aucune n'a atteint la taille critique qui lui permettrait de concurrencer les entreprises pétrochimiques. « L'enjeu est bien de réussir à changer d'échelle pour faire baisser les prix de la production » martèle John Persenda. Chez Toyota, on estime que le prix de revient de certains bioplastiques est encore cinq fois plus élevé que celui du plastique ordinaire dérivé du pétrole ! Un retour aux sources pour la matière plastique « Lorsqu'on parle de bioplastiques, on peut penser à des choses très différentes » prévient toutefois Marie-Pierre Béatrix, responsable de l'information du Pôle Européen de Plasturgie. Le programme biomatériaux du centre de recherche intègre deux enjeux bien distincts : l'introduction de fibres naturelles dans des thermoplastiques constitués de polymères classiques à base de pétrole, et la création de nouveaux polymères à base de végétaux. Des fibres, comme le chanvre, permettent d'améliorer la résistance des matières plastiques et de diminuer leur poids grâce à une meilleure densité. Par rapport aux fibres de verre parfois injectées dans le plastique, les fibres naturelles facilitent notamment le recyclage. L'enjeu des recherches est d'améliorer la compatibilité des matériaux et de favoriser l'émergence de produits standards. Aujourd'hui, les industriels qui souhaitent utiliser une matière plastique avec fibres naturelles ne la trouvent pas chez leurs fournisseurs classiques que sont les grands spécialistes de la chimie. Ils sont donc contraints d'avoir recours à l'offre sur mesure d'acteurs plus spécialisés baptisés « mélangeurs ». Le deuxième axe de recherche qui consiste à se passer complètement des matières fossiles peut lui-même emprunter différents chemins. Certains fournisseurs tentent de reproduire les polymères qui existent déjà avec le pétrole. C'est le cas de la société Braskem qui, au Brésil, va entrer dans une phase de production industrielle des très classiques polyéthylènes, en utilisant de la canne à sucre. Mais les végétaux servent aussi à créer de nouveaux polymères (comme l'acide poly lactique ou PLA à base d'amidon). « Ca n'a rien de révolutionnaire », souligne Marie-Pierre Béatrix. « On fabriquait déjà des matières plastiques naturelles avant qu'elles ne soient effacées par la pétrochimie du XXème siècle ! » Il aura fallu attendre la fin programmée du pétrole pour que la chimie verte soit à nouveau crédible. « Il faut saisir l'opportunité car le recours au bioplastiques permettra de relocaliser la production avec des produits protégés par des brevets » estime John Persenda. La matière végétale est partout. Y compris en France. http://www.usinenouvelle.com/article/pl ... ole.157523
  7. Auteur Joaquim Da costa - Green-Ethic 04/02/2009 Voici quelques exemples qui illustrent la menace qui pèse sur la biodiversité. Sur 41 000 espèces animales et végétales (parmi 3,9 millions recensées) qu’étudie l’Union internationale pour la conservation de la nature, 16 000 sont menacées d’extinction, estime–t-elle. Une espèce d'animal ou de plante disparaît actuellement de la planète toutes les vingt minutes, principalement à cause des activités humaines. Un rythme ahurissant ! 100 fois plus rapide qu’avant la fin du XVIIIème siècle. Les zones vierges se raréfient et ne représenteraient plus que 17% de la surface du globe. Les conséquences d’un tel phénomène ? Très lourdes et inquiétantes : la faune et la flore encore plus vulnérables, l’équilibre de notre écosystème mis en péril et la recherche dans de nombreux domaines compromise (la moitié de nos médicaments proviennent de substances naturelles). Voici quelques illustrations : - La déforestation et le braconnage ont eu des effets dévastateurs, notamment sur les chimpanzés africains. Ils ne seraient aujourd’hui plus que 100 000 dans toute l’Afrique, contre 1 million en 1960. - Autre fléau, le trafic d’animaux sauvages. Malgré les protections officielles, le commerce illégal d’animaux sauvages avoisinerait aujourd’hui un chiffre d’affaires de 5 milliards de dollars par an (selon l’ONG Wildlife), et la demande ne cesse d’augmenter, que ce soit peaux de crocodiles, défenses d’éléphants, crinière de lions, ailerons de requins et la liste est longue… Les conséquences sont terribles, le nombre des éléphants d’Afrique est tombé de 10 millions à 500 000, celui des antilopes du Tibet de 1 million à 75 000. - Le réchauffement climatique menace entre autres les 25 000 ours polaires de l’Arctique. Entre braconnage et réchauffement climatique, ce sont 6 espèces d’ours sur 8 qui risquent de disparaître. Sans oublier les poissons : à cause de la surpêche, les réserves s’épuisent et un tiers des espèces est en danger. Les réserves de cabillauds ont diminué de 97% en cinquante ans ! Les prises annuelles de thon rouge avoisinent les 60 000 tonnes soit le double des quotas imposés en Europe. Afin d’empêcher le dépeuplement des océans, il y aurait une solution selon les experts du monde entier réunis en Afrique du Sud en 2003 : il faudrait préserver 20 à 30% de la superficie des océans d’ici à 2012 pour permettre aux espèces décimées de se reconstituer. Mais, mauvaise nouvelle, les zones interdites de pêche ne couvrent pour l’instant que 2% des océans... Sommes-nous devenus les pilleurs de notre planète ? Pourtant cette destruction très rapide nous fait perdre une partie de notre sécurité environnementale. Nous semblons ne pas prendre conscience que la biodiversité fournit des services vitaux à l’humanité tels que nettoyer l’eau, stabiliser l’atmosphère, créer des sols fertiles, fournir de nouveaux remèdes, etc. Il y a quelque temps, l’IFAT (la Fédération Internationale du Commerce Equitable) lançait un slogan intéressant sur son site Internet. Il illustre très bien notre manque de discernement pour toutes les choses qui se rapportent à la nature : sur un visage humain, était peinte la carte du monde, avec cette phrase « Prenez soin de moi, car je suis vous ». Révélateur, non ? Les opinions exprimées dans cet article sont laissées à la stricte responsabilité de son auteur. http://terresacree.org
  8. Merci d’avoir partagé avec nous ces informations et vos commentaires. Votre message nous aidera à offrir une information de meilleure qualité à l’antenne de TVA, de LCN et sur le site LCN.CANOE.CA. N’hésitez pas à nous contacter de nouveau.
  9. Ils ont quand même étés tués, non?! Quelle sentence nulle... une amende! On a pas douté de sa santé mentale, un instant, pour avoir tué ces chiens de cette façon?
  10. Hier, j'ai justement pris mon courage à deux mains et suis rentrée dans l'animalerie animazoo, pour parler à la gérante et lui demander d'arrêtter de vendre des chiens, chats et lapins... à cause de la surpopulation... je lui ai poliment expliqué que j'était bénévole à la SPCA Canadienne et que je voyais rentrer beaucoup de de ces animaux à chaque semaine et que nous faisions beaucoup d'efforts pour tous les stéréliser, les faire adopter... que cesser de les vendres pourrait nous appuyer... Elle m'a gentiment expliqué qu'ils ne vendaient déjà pas beaucoup d'animaux (en effet, il n'y avait que deux chatons, un chiot et quelques lapins) et qu'ils ne contribuaient pas au problème de la surpopulation, et j'ai dit que c'était déjà bien de leur part, mais que ca serait encore mieux pas du tout, parce que chaque animal vendu aurait pu céder la place à un animal abandonné (et que ca pourrait empêcher des achats d'animaux impulsifs), et elle a dit qu'elle comprenait. J'espère qu'ils vont y réfléchir sérieusement... lorsque les animaleries cesseront de vendre des animaux, d'après moi, il y aura moins d'abandon!
  11. ''Ca ne leur fait pas mal'' et pourtant, on les entend se plaindre de douleur dans les vidéos où ils se font battre avec ces crochets. Puis, ils les enchaînent et les font voyager, pour éventuellement les forcer à faire des tours minables et complètement contre-nature... c'est de l'esclavagisme! Bannir les éléphants de cirques est en fait une excellente idée!
  12. Cath10

    un texte de paul watson

    Je n'en doute pas...
  13. Juste une question... est-ce que la lettre doit absolument être rédigée en anglais? (Quelqu'un sur un autre forum voulait savoir)
  14. Je viens juste de lire ceci dans mes emails... c'est tellement enrageant! J'envoie un message et je vais poster sur ca mon blog...
  15. The Animal Rescue Site est un site où on peut cliquer sur un bouton tout les jours pour donner gratuitement un petit montant à des refuges et des sanctuaires pour animaux abandonnés. Les commanditaires se chargent de payer à claque clic (ceux-ci s'élèvent à moins d'un cent par personne, je crois, mais s'accumulent vite avec les milliers de participants chaque jour). www.theanimalrescuesite.com Il y a aussi un magazin en ligne. Comme c'est une organisation sans but lucratif, l'argent va à acheter plus de nourriture pour les animaux abandonnés. SVP cliquez à chaque jour!
  16. Ouf, en voilà une bonne nouvelle..... félicitations Animals Asia... !!
  17. Ca devient dangeureux de manger de la viande!
  18. J'ai vu ca à la télé il y a quelques jours... c'est déprimant... il n'y a rien qu'on pouvait faire pour sauver ces dindes... c'est tellement injuste. Chaque vie est importante pour moi, alors 60 000... ca me brise le coeur.
  19. Cette mentalité est affreuse et me dégoûte... celle de passer toujours l'argent en premier... après ca, les gens l'industrie de la viande vont dire que les groupes de défense des animaux exagèrent les mauvais traitements... quelle lâcheté... 1100 cochons ont été brûlés vivants dans l'incendie et on s'en fiche, alors pas besoin de se demander si on prenait compte de leur bien-être avant... je laisse Lamartine parler pour moi : « On n'a pas deux cœurs, l'un pour l'homme, l'autre pour l'animal… On a du cœur ou on n'en a pas ».
  20. Ce gars là, sur la photo, doit avoir une quelque sorte de maladie mentale, pour se réjouir de la sorte après avoir tué inutilement cet animal. Et puis, tuer n'est PAS la solution! Les arguments des chasseurs ne sont pas valables parce que ca voudrais dire, au fond, que c'est acceptable (et même encouragé) d'exterminer des familles entières d'une espèce en surpopulation... et ironiquement, c'est le plus grand prédateur de tout les temps - nous - qui sommes entrain de surpeupler la planète! Je ne comprends pas pourquoi utiliser d'autres moyens pour contrôler la population des éléphants ne fonctionneraient pas. D'après moi, ce sont simplement d'autres pitoyables excuses pour continuer d'abattre des animaux par pur plaisir...
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