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Danie11

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Tout ce qui a été posté par Danie11

  1. Ah ben ça, tu peux etre sure que si je passe par chez toi, je te préviens et je viens de faire un bisou et des calins à tes Tilulus
  2. Bravo, Martine et bravo à ta petite Cybele Je viens de me la re regarder, juste pour le plaisir !!! c'est vraiment génial de voir comment Cybele est contente de réussir et de faire ce que tu lui demande ! J'adore !
  3. Oh le joli petit bout de nez qu'il a, ce Lulu !!! c'est un tres beau lutin
  4. Dis, Magali, tu n'aurais pas un chien moche ???? juste un ??? !!! Ces petits Lulus sont à tomber !
  5. Oh le beau beau beau petit bout de Lutin !!! Attends, faut que je regarde si c'est loin de chez moi, Montélimar, que je prépare un chidnapping !!! Non, ma Gisy, je plaisante Plein de calins à tes Lulus et félicitations pour ce magnifique petit Flamenco !
  6. Ils sont bien beaux, ces deux Lutins, chère Yvonne... Ah, l'heure de la sieste, c'est sacré chez les chichis !!!
  7. Un vrai séducteur, ton petit Fidji Il est à croquer !!!
  8. Elle est ravissante, cette petite peluchette !!! Décidément, je suis super fière de ce Forum... il est plein de petits Lutins et Lutinettes, tous plus beaux les uns que les autres !!! Flora
  9. Tout, tous les ans, sauf la rage depuisqu'on est installé dans le Sud, car ils ne sortent plus comme à Paris, où les rues et trottoirs sont souillés... J'ai voté... Mais après avoir tres attentivement lu les informations de MMe PONCET... /l-hopital-des-lutins-f33/quelques-infos-sur-la-vaccination-t8931.htm ... je vais arrêter les vaccins... je vais au préalable en discuter avec mon vétérinaire et Ariane...
  10. Épillet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cet article est une ébauche concernant la botanique. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. En botanique, l'épillet (ou « voyageurs », ou « espigaou » ou « spigaou » dans le sud de la France) est l'inflorescence élémentaire caractéristique de la famille des Poacées (graminées) et de la famille voisine des Cypéracées. C'est un petit épi, réduit à quelques fleurs incomplètes, jusqu'à une dizaine, souvent deux ou trois, parfois une seule selon les espèces. Les épillets sont regroupés eux-mêmes en épis (cas du blé) ou en panicules (cas de l'avoine). * 1 Structure de l'épillet des graminées ( Poacées ) o 1.1 Les glumes o 1.2 Les glumelles o 1.3 Les fleurs * 2 Danger de l'épillet Structure de l'épillet des graminées ( Poacées ) [modifier] Panicule d'épillets (Brome stérile) L'épillet se compose d'un axe, appelé rachillet, inséré dans l'inflorescence principale, soit par un pédoncule plus ou moins long (épillet pédicellé), soit souvent sans pédoncule (épillet sessile). Sur cet axe s'insèrent, selon une disposition alternée, des axes secondaires qui sont les axes floraux, en nombre variable. Le nombre de fleurs est caractéristique de chaque espèce. Les épillets sont fréquemment uniflores (ex.: Orge des rats) ou biflores (ex.: Houlque laineuse), mais ils peuvent aussi compter plus d'une dizaine de fleurs (Brome stérile). Il peut aussi y avoir des fleurs stériles. Les glumes [modifier] A la base de l'épillet se trouvent les « glumes », généralement au nombre de deux, parfois plus. Il s'agit de deux pièces foliacées sessiles et alternes (en apparence opposées), allongées et comme pliées en deux, qui recouvrent et protègent la base de l'épillet. Elles sont dans certains cas terminées par une arête. la bractée inférieure est en règle générale plus petite que la glume supérieure, et parfois, très réduite, semble absente. Ce sont l'équivalent de bractées de l'épillet. Les glumelles [modifier] A la base des axes floraux, également sessiles, se trouvent les glumelles, également au nombre de deux, en disposition alterne. La glumelle inférieure, appelée aussi « lemme », est insérée directement sur l'axe de l'épillet. C'est l'équivalent d'une bractée florale. La glumelle supérieure, appelée « paléole », est portée par l'axe secondaire. Les glumelles inférieures sont fréquemment munies d'arêtes (glumelles aristées), généralement une seule, parfois plusieurs. Les caractéristiques de ces arêtes (longueur, forme, présence de poils, mode d'insertion) aident à déterminer les différents genres et espèces. Les glumelles ont pour fonction de protéger la fleur, et ultérieurement le grain (caryopse). Dans certains cas, ces glumelles sont dites adhérentes car elles restent solidaires du grain à maturité. C'est le cas du riz paddy, qu'il faut soumettre au décorticage pour obtenir le riz blanc. Les fleurs [modifier] L'axe floral, équivalent du pédoncule floral, se termine par une seule fleur, représentée ici par les seules pièces fertiles, à savoir trois étamines, et un ovaire, formé par la soudure de trois carpelles, portant deux stigmates plumeux. Chez certains genres le nombre d'étamines est différent : six chez Oryza (riz) et Bambusa (bambou), une seule chez Festuca (fétuque). A la base de la fleur on peut observer deux pièces stériles réduites à la taille d'une écaille, les « glumellules ». Celles-ci sont interprétées comme les vestiges du périanthe. Au moment de la floraison, les anthères des étamines, très mobiles, fixées au filet par leur milieu, apparaissent à l'extérieur de l'épillet, permettant la pollinisation par le vent. Danger de l'épillet Les épillets secs, lorsqu'ils sont arrivés à maturité, présentent un réel danger pour certains animaux domestiques, spécialement les chiens. Ils s'accrochent dans le pelage et peuvent, en raison de leur petite taille, s'introduire dans divers orifices naturels (oreilles, narines, etc.) et progresser dans le corps du fait de leur forme et de la présence d'arêtes qui s'opposent à tout recul. Ils peuvent créer diverses lésions, abcès, etc. Ils peuvent également s'enfoncer tellement loin que même une opération chirurgicale ne pourra les en sortir, ils formeront alors une boule ou un abcès sur une autre partie du corps. Un vétérinaire peut donc avoir plusieurs opérations à faire pour en venir à bout, d'où la nécessité d'être très vigilant. (Source Wikipedia)
  11. En été, attention aux épillets ! Attention ! Soyez extrèmement vigilant, les problèmes dus aux épillets sont très fréquents en été. Ce sont de tous petits épis qui se prennent dans les poils, ils ne sont presque pas visibles mais suffisent à créer des abcès qui peuvent être graves s'ils ne sont pas traités à temps. Il faut surveiller les zones sensibles de très près. Par exemple, pour les pattes, il faut bien écarter les doigts, couper les petites bourres de poils et enlever le moindre petit brin de paille que vous pourriez apercevoir. Car très rapidement, le brin s'avance vers la peau et petit à petit s'enfonce plus profondément dans la chair. Il va rentrer sous la peau et provoquer un abcès. Cela va très vite, il faut donc être particulièrement vigilant. Si votre compagnon se met à boitiller, à secouer la tête ou à essayer de se frotter derrière les oreilles, cela peut-être un épillet. Il faut alors vérifiez si vous ne sentez pas une petite boule ressemblant à un bouton sec sur la peau. Si c'est le cas il est recommandé de consulter rapidement un vétérinaire. En effet, si l'on attend trop longtemps, il peut alors être nécessaire de réaliser une véritable petite opération chirurgicale afin d'atteindre l'épillet. Qu'est-ce qu'un épillet ? Les épillets (ou voyageurs ou "espigaou") sont de petites graines de graminées sauvages qui poussent de mai à septembre. On les trouve dans les herbes hautes sauvages qui poussent le long des chemins et des prés ou des terrains vagues. Les chiens à poils longs sont particulièrement vulnérables. Quelles sont les zones sensibles ? Les épillets pénètrent principalement dans : * le nez: provoquant des éternuements permanents, ils peuvent remonter dans les cavités nasales en faisant de nombreux dégâts. * les oreilles: le chien se secoue sans cesse la tête, ce qui a pour effet de faire avancer plus encore l'épillet dans le conduit auditif, jusqu'à ce qu'il touche, voire perfore le tympan. Il en résulte une forte douleur, et fréquemment une otite. * les yeux: l'animal garde l'œil fermé en permanence à cause de la douleur.Si l'épillet n'est pas retiré rapidement, cela peut conduire à une perforation de la cornée. * entre les doigts: l'épillet avance sous la peau provoquant un abcès, le chien peut se mettre alors à boîter. Comment prévenir les problèmes liés aux épillets ? La prévention consiste à tondre les zones vulnérables de la peau avant de partir en vacances, et de faire particulièrement attention sur les bords des chemins, et dans les broussailles, lors de vos promenades. En cas de doute, consulter immédiatement un vétérinaire. Source Wanimo Conseil Vétérinaire du 11/07/2010
  12. Mais sans aucun souci, mon JC... Ils peuvent appeler quand ils veulent, au moindre souci... je serai là. je ne bouge pas. Gros baisers
  13. Pardon, je n'avais pas vu ton message... Je suis de te savoir dans le chagrin pour ta jolie petite mignonne, partie bien trop vite...
  14. Mon JC... tu es devenu un JC voyageur !!! Tu nous manques toujours, mais te savoir apaisé me comble ! J'espère par contre, comme je te l'ai dit dans mes textos, que l'état de la Maman de Jérome va s'améliorer déginitivement et qu'elle va etre complement guérie tres vite... Toutes mon affection vers toi, mon Ami... Calins à tes Lulus...
  15. Il est superbe, ce BB Lutin, ma Colette !!! et à ce prix là, c'est vraiment cadeau !!! Je pense qu'il va vite trouver une bonne famille...
  16. JE VIENS DE RECEVOIR UN E MAIL... MUSTY A ETE RETROUVé !!!!!
  17. Pour vous aider.... Mme Poncet La vaccination des animaux Par Charles Danten La vaccination, "cet acte médical privilégié, raisonné et toujours délicat (1), inventée par Jenner en 1796 et mise au point par Pasteur (1885), Salke (1954) et de nombreux autres, sert à induire la protection d'un individu ou d'une population contre une ou plusieurs maladies. Son principe est bien connu; il consiste à administrer à un etre vivant la forme atténuée d'un microbe ou d'une toxine dans le but de provoquer la formation d'anticorps et d'une mémoire immunologique qui lui permettra de réagir et de résister à une maladie (2).L'utilisation, meme judicieuse, des vaccins comporte toujours certains risques, mais en général on pense qu'ils sont largement compensés par les avantages. Il semblerait toutefois qu'en médecine vétérinaire la vaccination soit devenue depuis quelques décennies un acte risqué, dans certains cas dangereux et souvent sans aucune justification médicale (3). Ainsi, plusieurs sont d'avis que certains vaccins sur le marché sont inefficaces et que les animaux sont souvent vaccinés inutilement (4). • La vaccination annuelle Depuis environ vingt-cinq ans, les fabricants pharmaceutiques recommandent, sans justification scientifique, la vaccination annuelle des carnivores domestiques (chat, chien, furet). Or les principes de l'immunologie garantissent qu'une proportion statistiquement significative d'individus seront protégés pour une longue période, voire à vie, par une vaccination bien menée. C'est particulièrement vrai pour les vaccins contre les maladies virales aiguës comme la maladie de Caré (distemper) du chien et du furet, l'hépatite et la parvovirose du chien, la panleucopénie du chat. Déjà en 1978, une étude chez le chat avait démontré qu'il était suffisant de vacciner tous les trois ans et récemment les Dr Fred W. Scott et le Dr Cordell M. Geissinger, deux vétérinaires, chercheurs Américains de l'Université de Cornell, ont démontré de façon convaincante que des chats correctement vaccinés étaient encore protégés… 7 années plus tard (5). Les Drs Schultz et Phillips, deux spécialistes américains, écrivaient en 1996 ce qui suit dans ce qui est considéré comme la bible en médecine thérapeutique vétérinaire (Kirk's Current Veterinary Therapy): "Une pratique commencée il y a de nombreuses années et qui manque de validité et de vérification scientifique est la vaccination annuelle. Presque sans exception, il n'est nullement besoin, du point de vue immunologique, de vacciner annuellement. L'immunité par rapport aux virus persiste pendant des années, voire durant toute la vie de l'animal. Une vaccination réussie produit une mémoire immunologique qui dure des années et qui permet à un animal de réagir adéquatement lorsqu'il est exposé à un organisme virulent. La pratique de la vaccination annuelle, à moins d'etre utilisée comme un moyen pour faire faire un examen annuel ou d'etre requise par la loi, comme c'est le cas dans certaines régions pour la vaccination contre la rage, devrait etre considérée, à notre avis, comme peu efficace.(6). Le Dr Niels C. Pedersen, du département de médecine et d'épidémiologie de l'École de médecine vétérinaire de l'Université de Californie, a corroboré cette opinion au cours d'une conférence organisée en mars 1997 par l'une des associations vétérinaires les plus importantes au monde, l'American Animal Hospital Association (AAHA): "De nombreux vétérinaires et un nombre encore plus grand de clients en sont venus à remettre en question le fondement médical de la vaccination annuelle, de routine, de leurs animaux, et avec raison ! Cette pratique n'est pas défendable, alors pourquoi continuer à débattre et à ignorer la question? Nous ne nous faisons pas inoculer cinq ou six vaccins différents chaque année de notre vie, alors pourquoi en serait-il autrement pour nos animaux? On inocule plusieurs vaccins aux humains pendant l'enfance et ils assurent une protection à vie pour une proportion significative des sujets vaccinés. Il y a vingt ans, les vaccins étaient injectés seulement aux chiots et aux chatons. La seule exception était la rage, contre laquelle on préconisait un rappel à deux ou à trois ans, plus pour des raisons d'hygiène publique que pour protéger la santé de l'animal. Pourquoi, alors, persistons-nous à donner des injections de rappel annuellement, alors que cette pratique n'est pas justifiée d'un point de vue médical ? Les justifications originales de cette pratique s'appuyaient sans doute sur des rapports anecdotiques de la déclaration d'une maladie chez des animaux âgés et vaccinés et sur la nécessité de faire revenir un animal chaque année pour un examen physique complet. Malheureusement, la première de ces justifications n'est pas fondée et la deuxième était probablement donnée pour mieux faire avaler la nécessité d'une inoculation annuelle (7.) Les vaccins de rappel sont perçus par beaucoup de gens comme un moyen pour le vétérinaire de faire de l'argent." (64) • Les vaccins à la recherche d'une maladie Alors que le nombre de vaccins pour les humains est relativement restreint, les vaccins pour les animaux sont nombreux et leur nombre augmente presque chaque année. Depuis 1975, le nombre de vaccins sur le marché a plus que doublé et cette prolifération répond plus aux impératifs du commerce qu'à la nécessité d'enrayer une épidémieou certaines maladies infectieuses endémiques (maladie permanente dans une région) graves8. Selon le Dr Pedersen, les normes de licence nécessaires pour mettre un produit sur le marché sont beaucoup moins rigoureuses que pour les humains et le laxisme encourage cette prolifération(9). Présentement, 28 nouveaux vaccins cherchent à se tailler une place sur le marché. Ces vaccins sont tellement inutiles qu'on les appellent "les vaccins à la recherche d'une maladie(10") Les fabricants s'adressent directement aux sentiments du public et meme du vétérinaire pour promouvoir leurs produits. Les campagnes de promotion de certains fabricants mettent en avant de fausses allégations pour créer une demande et stimuler la vente. Par exemple, la gravité de la maladie de Lyme chez les humains a été faussement étendue aux chiens qui n'en présentent pourtant qu'une forme bénigne (11). La publicité a meme laissé entendre qu'en vaccinant son chien, on protège ses enfants contre cette maladie (12). Cette campagne de peur a fait vendre des millions de doses de ce vaccin, meme dans des régions où cette maladie n'a jamais été rapportée(13). Des millions de chiens se voient aussi inoculer un vaccin inefficace contre la maladie due au virus corona, une maladie gastro-intestinale relativement rare et limitée aux élevages surpeuplés et malpropres(14). Il en va de meme pour d'autres maladies, [color=darkblue]ritonite infectieuse, la chlamydiose et la leucémie du chat(15). • L'efficacité et la sécurité des vaccins Le Dr Schultz, un chercheur indépendant américain, spécialisé dans les maladies infectieuses des animaux, a trouvé que sur six vaccins contre la parvovirose du chien, une maladie gastro-intestinale des chiots très grave et souvent fatale, seulement deux étaient efficaces16. Une autre étude, hollandaise celle-là, a démontré que sur six vaccins contre la rage, deux étaient totalement inefficaces et deux autres n'étaient que marginalement efficaces17. Selon d'autres études indépendantes, certains vaccins contre la leucémie du chat seraient comparables à de l'eau distillée18 et les meilleurs auraient au plus une efficacité de 25 % à 50 % et non de 90 % à 100 % comme l'affirment les fabricants19. Plusieurs autres vaccins sur le marché ne sont pas efficaces pour des raisons qui ont été bien démontrées (péritonite infectieuse du chat, coronavirus du chien, leptospirose du chien, chlamydia du chat20). La grande majorité des études sur l'efficacité sont réalisées par les fabricants et elles sont souvent difficiles à interpréter et à comparer, car il n'y a aucune standardisation des protocoles expérimentaux21. Sur le plan de la sécurité, certains produits sont peu sécuritaires et le nombre de vaccins à usage vétérinaire qui restent sur le marché malgré le fait qu'ils entraînent des conséquences graves est assez élevé. Par exemple, un vaccin contre la maladie du virus corona, une maladie gastro-intestinale du chien, a tué des centaines de chiens, avant d'etre retiré du marché (22) et, depuis six ans, des vaccins responsables du cancer de la peau chez le chat tuent des centaines de milliers de ces betes(23). Bien que seulement 10 % des chats de plus de quatre mois soient susceptibles de souffrir de la leucémie du chat, une maladie qui apparaît dans des conditions bien précises, on continue de leur inoculer un vaccin contre cette affection, dont l'utilité et l'efficacité restent douteuses(24). En fait, le taux de réactions adverses serait aussi élevé que l'incidence de cette maladie(25). Seulement sept des 22 écoles vétérinaires aux États-Unis utilisent ce vaccin, et seulement sur demande dans des situations bien précises(26). • Les protocoles de vaccination Contrairement à la médecine des humains, la médecine des animaux n'a pas de protocoles d'immunisation standardisés. L'emploi des vaccins, leur type, le nombre de vaccins à inoculer et la dose sont établis par les fabricants (27). Les stratégies de mise en marché employées par le vétérinaire, la compétition, et pas nécessairement les principes d'immunologie, déterminent la fréquence de vaccination, les intervalles entre les vaccins et parfois meme les doses à injecter(28). Les animaux peuvent etre vaccinés inutilement, sans qu'on tienne compte des risques possibles d'exposition. Meme ceux qui ne vont jamais dehors et qui n'ont aucun contact avec d'autres animaux sont vaccinés tous les ans systématiquement. Un chat qui vit seul dans un appartement au 12e étage d'un immeuble au centre-ville peut recevoir en meme temps, à chaque année de sa vie, un vaccin contre la rage, la péritonite infectieuse, la leucémie, la panleucopénie, les virus respiratoires herpès et calicivirus, la chlamydiose. Les chiens qui ne vont que d'un coin de rue à l'autre ou des bras de leur maîttresse au divan peuvent recevoir chaque année pour le reste de leur vie un vaccin contre la maladie de Lyme, la rage, la maladie de Caré, l'hépatite virale, le parvovirus, le parinfluenza, le corona virus, la leptospirose et un vaccin intranasal contre la grippe du chien. Il sera bientôt possible de vacciner également contre le rotavirus qui cause une maladie rare et peu étudiée(29). Il arrive souvent qu'on vaccine un animal la veille ou le jour d'une chirurgie de routine, alors que son système immunitaire, qui sera déjà affaibli par le stress de l'opération, n'est pas en mesure, au moins pour les deux semaines suivantes, de réagir avec efficacité(30). Aux États-Unis 20 % du marché de la vaccination repose sur la vente au public. Les éleveurs et les propriétaires achètent par catalogue les vaccins qu'ils veulent donner à leurs animaux. Il est meme possible de commander des seringues et des aiguilles pour les injecter, ainsi que des médicaments comme l'épinéphrine pour traiter une éventuelle réaction allergique au vaccin. Les protocoles de vaccination recommandés par les fabricants préconisent, à l'encontre de tous les principes de l'immunologie, de vacciner les jeunes animaux dans certains cas toutes les semaines pendant six ou sept semaines, alors qu'une ou deux fois à deux semaines d'intervalle, selon l'âge et le type de vaccin, est suffisant31. Les animaux qui ne vont jamais dans les régions où une maladie est présente sont vaccinés quand meme. Il s'est vendu aux États-Unis et au Canada des millions de doses d'un vaccin contre la maladie de Lyme qui n'a été signalée que dans deux États du nord-est des États-Unis32. • Les réactions adverses Le cancer de la peau C'est un peu grâce au chat et à la nature particulière de sa physiologie que la vaccination des animaux de compagnie est devenue depuis quelque temps un sujet si controversé. En effet, cet animal est très sensible aux médicaments qui provoquent souvent chez lui des réactions indésirables. Depuis quelques décennies, les vaccins en ont tué des milliers . (35) Certains vaccins contiennent des substances irritantes (adjuvants) qui servent à déclencher sur le site d'inoculation une réaction inflammatoire qui favorise la réponse immunitaire. Chez le chat, cette réaction, pour des raisons inconnues, se transforme en tumeur cancéreuse. Le nombre de ces tumeurs augmente avec le nombre de vaccins administrés simultanément et avec le nombre de répétitions. L'inoculation toujours au meme endroit augmenterait les risques. Les vaccins contre la rage et la leucémie seraient plus particulièrement en cause, mais ce ne sont pas les seuls (36). L'incidence de ces cancers serait de 100 à 1000 cas par million . (37). À une conférence sur la vaccination tenue à Montréal en mars 1998, le Dr Ford, un spécialiste américain de la vaccination, a meme cité le chiffre de 2.000 cas sur un million (38). Meme si ces réactions semblent peu nombreuses, leur nombre, mis en perspective, est significatif. Selon les calculs des Drs Denis W. Macy et Mattie J. Hendrick, on vaccine aux États-Unis 22 millions de chats par année (environ 25 millions pour l'Amérique du Nord (39). Il y aurait donc en Amérique du Nord de 2 500 à 50 000 cas par année. Comment réagiraient les autorités et le public en apprenant qu'en Amérique du Nord, depuis dix ans, entre 25 000 à un demi-million d'enfants sont morts d'un cancer directement relié à l'administration d'un vaccin et que diraient les parents s'ils savaient que ces vaccins sont souvent inutiles, voire inefficaces, qu'ils ne servent qu'a faire marcher les affaires et que la plupart d'entre eux sont encore couramment utilisés. Les cocktails de vaccins Les vaccins à valence multiple (cocktail) qui sont d'usage courant en médecine vétérinaire et qui peuvent contenir un mélange de cinq à sept et meme neuf vaccins différents sont très pratiques du point de vue commercial et ils réduisent le traumatisme associé à l'inoculation. Mais, du point de vue médical, ces vaccins ne sont pas sans inconvénients et ils soulèvent pour plusieurs raisons une vive controverse dans le milieu vétérinaire. D'une part, ils ne permettent pas de vacciner avec discernement selon le cas particulier de l'animal et ils ne nécessitent aucune connaissance approfondie des maladies en question. L'animal est vacciné systématiquement meme contre des maladies qu'il est peu probable qu'il contracte (41). D'autre part, ces vaccins seraient à l'origine d'un nombre indéterminé d'échecs vaccinatoires et de réactions post-vaccinales indésirables. Dans des conditions naturelles, seuls un ou deux microbes à la fois peuvent menacer un individu, jamais cinq, six ou neuf à la fois. Bombardé par des doses excessives de corps étrangers différents et de façon répétée, submergé par cette invasion massive, le système immunitaire s'embrouille et se trouve incapable de réagir efficacement; la vaccination risque donc d'échouer. Par ailleurs, le système immunitaire peut s'affoler et fabriquer par erreur des anticorps qui attaquent et détruisent des éléments vitaux de son propre corps, comme les globules rouges et les plaquettes (éléments du sang intervenant dans la coagulation(42). Selon le Dr Jean Dodds, une vétérinaire américaine, ces réactions ont lieu peu de temps après la vaccination, en général dans les mois qui suivent, et se traduisent par des hémorragies internes très graves difficiles à arreter et bien souvent fatales (maladies hémolytiques auto-immunes, thrombocytopénie, etc.). . La fréquence de ces réactions est inconnue, mais les chiens de race pure ayant un système immunitaire défectueux (rottweiler, doberman, épagneul, etc.) seraient particulièrement prédisposés(43). Enfin, la grande pluralité de ces vaccins et la concentration élevée d'antigènes3 qu'ils contiennent seraient aussi en cause dans l'apparition des cancers de peau chez le chat (44). Autres réactions diverses De nombreuses autres réactions diverses ont été observées tant chez le chien que chez le chat. En voici une liste succincte: • réactions d'hypersensibilité (allergie au vaccin, états anaphylactiques); • suppression du système immunitaire et déclenchement d'une maladie latente, comme la leucémie, la péritonite infectieuse, l'immunodéficience féline; • interférence avec les résultats de certains tests diagnostiques (ELISA) entraînant de faux résultats positifs; • susceptibilité accrue aux allergies, soit au pollen, à la nourriture ou meme à son propre corps (maladie auto-immune de la thyroïde, du rein, des globules rouges, des plaquettes, etc.); • aggravation de certaines affections existantes, comme le cancer, l'épilepsie, les allergies. À ces réactions s'ajoute la possibilité que se développe une forme atténuée de la maladie (virulence résiduelle) ou que, en raison d'une contamination bactérienne ou virale du vaccin, diverses maladies infectieuses se manifestent (variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, par exemple). En outre, certaines maladies chroniques, aussi bien chez les animaux que chez les humains, seraient en partie reliées à la persistance, dans les cellules, du corps des virus et des protéines utilisés dans les vaccins. Ce phénomène expliquerait l'augmentation récente du nombre de maladies chroniques chez les humains et chez les animaux (45). . • Zones grises Dans le domaine de la vaccination des animaux, il existe une multitude de zones grises qui laissent toute latitude aux spécialistes de la mise en marché. 1. En ce qui concerne les animaux de compagnie, meme si plusieurs maladies dont la rage, la maladie de Caré (distemper), la parvovirose du chien, la panleucopénie du chat, semblent bien contrôlées, il n'y a pas, comme en médecine, d'études rétrospectives autres que des rapports anecdotiques qui permettraient d'évaluer les bienfaits réels des campagnes de vaccination(46). 2. Sauf pour la rage, il n'existe aucune donnée sur la prévalence et la répartition géographique des maladies infectieuses des chiens et des chats. Il n'y a aucun système de déclaration comme en médecine, et cette lacune se traduit par la vaccination systématique des animaux contre des maladies qu'ils sont souvent peu susceptibles d'attraper (47). 3. Sauf pour la rage, il n'y pas d'études sur la durée d'immunité des vaccins. Les fabricants ne désirent pas poursuivre des épreuves de durée d'action au-delà d'une année, sauf si la loi les y oblige, comme pour la rage. Ces études s'arretent à trois ans dans le cas de la rage, mais il n'y a aucune raison de croire que ce vaccin n'est pas efficace pour une plus longue durée(48). 4. Il n'y a aucune surveillance des réactions adverses à la vaccination. Les vétérinaires ne sont pas tenus de les signaler et en général ils ne le font pas . (49). 5. En absence de protocoles d'expérimentation standardisés, il est difficile de comparer les études (50). 6. Il n'y a aucune standardisation des protocoles de vaccination comme en médecine. Chacun peut vacciner selon ses convictions personnelles ou sa stratégie commerciale (51). -- Anne-Charlotte PONCET Présidente de l'Association SNAC Sécurité de la Nourriture de nos Animaux de Compagnie http://www.croquettes-chats-chiens.com http://www.croquettes-forum.com MA-GRIFF's PERSANS *Un certain look* http://www.persans.com Création sites web animaliers magriff.persans@gmail.com Un message de Mme Anne Charlotte PONCET, présidente de la SNAC (logo en bas à droite du Fronton)... A lire avec discernement mais avec une grande attention...
  18. Danie11

    Super Nouvelle!

    Ah, la a enfin trouvé ton adresse !!! je suis tres heureuse pour toi et ce petit Lutin, d'autant qu'il est particulièrement beau !
  19. Pardon j'avais raté ce post !!! Fuego est de plus en plus beau et... gaté pourri !!! Je suis vraiment super heureuse qu'il vive avec ta famille, ma Carole Colette doit etre en paix, pour lui !
  20. Moi je trouve qu'il porte bien son nom... un vrai "Diamant" !!!
  21. Non, ma Colette... C'est une dame en Frace, qui m'a alertée pour le chihuahua de son ami en Belgique. Le mail d'une dame qui s'appelle Bernadette: "Bonjour, Pourriez vous s'il vous plaît faire paraître une annonce sur votre site. C'est pour un ami qui a perdu son petit chihuahua qui est vraiment très triste. Merci d'avance si vous pouvez nous aider."
  22. Chihuahua mâle perdu le 30 juin 2010 dans l'apres midi au bd tirou a charleroi chihuahua beige repondant au nom de musty il portait un petit tee-shirt superman bleu et rouge, le numéro de puce est le 967000001181405 Merci de publier cette annonce tres grosse recompense merci bcp contact: 0479477568
  23. Ma Chantal... je suis désolée de ce qui s'est passé... les "commérages" irreflechis ont bien failli te faire louper ce convoi, et couter la vie à des malheureux chiens ! Il faudrait que les personnes soit disant "bien intentionnées", réflechissent un peu aux conséquences dramatiques que leurs indiscrétions peuvent avoir !!!
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