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Laetitia & Bono

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Tout ce qui a été posté par Laetitia & Bono

  1. Magnifiques ces photos!!! J'adore celle avec la basket!!! Très beaux ces loulous!!!
  2. Oui, Dom, tous les membres du forum bénéficient de 15% de remise sur chaque commande passée chez kappachan! Regardes la rubrique Bouboubonsplans!! tu y as tous nos partenaires et les remises exclusives pour les membres du forum! http://www.bulldoganglaisforum.com/f7-bouboubonsplans
  3. Les os en nylon, je n'en avais jamais entendu parler dis-donc!! Intéressant! par contre les bois de cerfs je connaissais, via le site la balle et la bête! http://www.laballeetlabete.fr/en/8-bois-de-cerfs J'aime bien ce site car il y a un blog avec des vidéos explicatives sur leurs produits! Voici donc pour les bois de cerfs! http://www.laballeetlabete.fr/blog/11-comment-fabrique-t-on-les-bois-de-cerfs-video et dans cet article: http://www.laballeetlabete.fr/blog/8-des-bois-de-cerfs-pour-chien- Çà existe depuis pas mal de temps, mais en France on est toujours les derniers informés!! Après, Kappachan est l'un de nos partenaires proposant des remises justement!!!!!!
  4. Bah alors!!! après avoir eu 2 enfants, changé les couches, ramassé des vomis à gogo!! Je suis complétement vaccinée lol! J'utilise les petits sacs comme un gant, j’attrape, je retourne et hop c'est dans la boite!! Et oui, je fais bien partie de ceux qui ramassent toujours!!!!! Après, il faut considérer que mon sac à main n'en est plus un, c'est un sac à tout!! Il y a plus de choses à l'intérieur pour les enfants et mon boubou que de réels "trucs de fille"! Il m'est arrivé si souvent de marcher dans la M***e et d'être gravement dégoutée, que je ne parviens pas à "laisser" les "miennes" parterre! Il m'est arrivée de tomber en panne de sac, et bien il a fallu que je revienne chercher la chose!! C'est plus fort que moi!! lol Quitte à marcher dedans, j'aime autant que ce soit dans celles de mon loulou car il m'arrive souvent d'en croiser, comment dire, des biens bizarres à se demander ce que le pauvre chien a pu manger pour en arriver là!!!!!
  5. En même temps faut bien que cette grosse langue leur serve à quelque chose!!!
  6. Justement, que faire en cas de problèmes découverts après l'achat d'un chiot? La première chose à faire est bien évidemment de prendre contact avec le professionnel qui vous l'a vendu. Il est indispensable de privilégier immédiatement le dialogue avec votre vendeur afin de parvenir si possible à un accord amiable, les professionnels sérieux feront souvent preuve de bonne foi en proposant d'eux-même un dédommagement selon le problème rencontré. Dans le cas contraire et selon le problème, il vous restera le recours en justice. Trois actions en garantie sont reconnues par le Code civil : Le vice de consentement (art. 1109) C’est une action en nullité de vente. L’article 1109 pose qu’« il n’y a point de consentement valable si le consentement n’a été donné que par erreur, ou s’il a été extorqué par violence ou surpris par dol ». En d’autres termes, cela signifie que la vente peut être annulée si vous apportez la preuve que : - le vendeur vous a dupé sur les qualités substantielles de l’animal pour lesquelles vous l’avez acheté (exemple : achat d’un chien sous réserve de ses qualités de chasse) - il vous a forcé par différents moyens (moraux ou physiques) à accepter l’achat de cet animal - il a fait usage de dol (faux certificats, publicités mensongères, annonces de mérites que l’animal n’a pas ; utilisation de tranquillisants sur un animal agressif pour le calmer ou de corticoïdes sur un animal boiteux…) sans lequel la vente n’aurait pas eu lieu. C’est au plaignant d’apporter la preuve de ce qu’il avance. L’action est entreprise auprès du tribunal d’instance (pour un animal valant moins de 1 524 euros) et sinon auprès du tribunal de grande instance. Les délais sont de cinq ans à dater du jour de la découverte de l’erreur, de trois ans en cas de vente conclue sous la violence ou sous l’effet du dol. Le vice caché Votre nouvel animal est atteint d’une maladie ne faisant pas partie des vices rédhibitoires, antérieure à la vente et rendant l’animal impropre à l’usage auquel il était destiné. L’article 1641 dit : « le vendeur est tenu de la garantie à raison des défauts cachés de la chose vendue qui la rendent impropre à l’usage auquel on la destine, ou qui diminuent tellement cet usage que l’acheteur ne l’aurait pas acquise, ou n’en aurait donné qu’un moindre prix, s’il les avait connus ». L’action doit être entreprise dans les plus brefs délais après la vente, l’acheteur devant apporter la preuve que l’affection est antérieure ou concomitante à la vente et qu’il ne pouvait la déceler (exemple : problème d’ovaire pour une future reproductrice). Si le tribunal vous donne raison, vous pourrez soit résilier la vente, le prix ainsi que les frais engagés vous étant restitués, soit vous faire rembourser une partie du prix et conserver l’animal. Les vices rédhibitoires Selon l’article 285-1, sont réputés vices rédhibitoires, pour l’application des articles 284 et 285, aux transactions portant sur des chiens : - la maladie de Carré - l’hépatite contagieuse (maladie de Rubarth) - la parvovirose - l’ectopie testiculaire (à plus de 6 mois) : cela définit la non-descente des testicules dans les bourses. Ils sont soit dans l’abdomen, soit sous la peau - l’atrophie rétinienne : c’est une maladie oculaire qui, détruisant la rétine, peut conduire à la cécité en quelques années - la dysplasie coxo-fémorale : c’est une anomalie de conformation de l’articulation de la hanche. Il faut donc établir un bon contrat de vente, en n’hésitant pas à le faire lire par d’autres personnes et, surtout, emmener votre nouvel animal chez votre vétérinaire le plus rapidement possible après l’acquisition afin que ce dernier fasse un examen complet de votre compagnon. Comment procéder ? Une fois le diagnostic de suspicion établi par votre vétérinaire, vous devez, dans les trente jours à compter de la livraison, déposer une requête auprès du greffe du tribunal d’instance du lieu où se trouve l’animal. Ce tribunal va nommer des experts vétérinaires chargés d’examiner l’animal et de rédiger un rapport. Chaque protagoniste reçoit un exemplaire et un accord à l’amiable est envisageable. Si cet accord n’est pas possible, le plaignant introduit une « assignation » qui conduit au procès.
  7. Contraception canine : quelles solutions ? Si on laissait faire la nature, une chienne pourrait avoir des petits au moins deux fois par an. Pour limiter ce cycle, la contraception s'impose. Reste à savoir quels moyens utiliser… Pilules, injections hormonales, implants contraceptifs ou stérilisation définitive ? Entre médecine et chirurgie, il existe deux grandes familles de pratiques contraceptives chez le chien. Voici un petit panel des avantages et des inconvénients de chacune de ces méthodes. La contraception médicale L'avantage de la contraception médicale réside dans le fait qu'elle n'est pas définitive. Si vous désirez que votre animal se reproduise, cette méthode convient parfaitement autant pour le mâle que pour la femelle. Elle se présente sous forme de pilules, d'injections hormonales ou encore, et cela est tout récent, d'implants contraceptifs. La pilule À base d'hormones brutes, les traitements par pilules chez nos compagnons à quatre pattes sont moins bien maîtrisés que les contraceptifs humains : il en résulte des effets indésirables non anodins (tumeurs mammaires, infections utérines etc.). Les injections d'hormones Ce programme de contraception présente moins de dangers que la pilule. Il est mis en place sous le contrôle du vétérinaire qui va pratiquer une série d'injections d'hormones selon le calendrier suivant : une première injection après les chaleurs, une autre quatre mois plus tard et régulièrement tous les cinq mois. Ces formes de contraception sont en général réservées aux femelles pourtant, une innovation vient d'apparaître et elle concerne les chiens mâles : il s'agit d'un implant contraceptif. L'implant contraceptif Il s'agit d'implanter sous la peau de l'animal un implant de gonadotrophine. De la taille d'une puce électronique, celui-ci garantit une stérilité de six mois. Ses effets secondaires sont minimes. Les méthodes chirurgicales Définitives, les méthodes chirurgicales annihilent toute possibilité de reproduction chez l'animal, mâle ou femelle. S'il n'est pas indispensable pour une chienne d'avoir des petits, mieux vaut tout de même y réfléchir à deux fois… La vasectomie du mâle Les testicules restent en place, ce sont les canaux déférents transportant les spermatozoïdes qui sont ligaturés ou sectionnés sur une petite portion : le chien est stérile mais il conserve ses caractères sexuels et le même fonctionnement hormonal. Il est encore capable de saillir. La castration antescrotale C'est la technique classique : le chien est stérile et perd ses caractères sexuels apparents : les testicules sont retirés au travers d'une incision réalisée en avant du scrotum qui est laissé en place. L'ovariectomie de la femelle Seuls les ovaires sont enlevés. La chienne est stérile. L'ovariohystérectomie Les ovaires et l'utérus sont enlevés : des études ont montré qu'il n'y avait aucun bénéfice à retirer l'utérus chez une jeune chienne. Si la chienne est plus âgée et que son utérus présente des anomalies d'aspect ou de consistance, le vétérinaire jugera s'il doit ou non en faire l'ablation. La ligature des trompes Cette procédure chirurgicale présente peu d'intérêt : la chienne est stérile, mais elle continue à avoir des chaleurs et à attirer les mâles. Que doit-on privilégier ? Si vous n'envisagez pas de gestation future pour votre chienne ni de saillie pour votre mâle, le mieux est la contraception chirurgicale : les hormones présentent de nombreux effets indésirables. Les progestatifs sont diabétogènes et complètement contre-indiqués lors d'un diabète sucré de la chienne. Un suivi régulier de la glycémie est indispensable.
  8. La Trachéobronchite infectieuse canine (toux de chenil) La Trachéobronchite infectieuse, autrement appelée « toux de chenil » est la maladie respiratoire d’élevage par excellence. Même si elle est en général bénigne, elle entraîne des symptômes « visibles » peu souhaitables dans un élevage. ________________________________________ Causes de la maladie La Trachéobronchite infectieuse canine est due à l’infection par plusieurs agents pathogènes, seuls, ou en association. Le principal agent est une bactérie de la famille des coccobacilles : Bordeteila bronchiseptica, capable de provoquer seule, les symptômes les plus graves de la toux de chenil. C’est une bactérie cousine de Bordetella pertussis, agent de la coqueluche chez l’homme. Cette bactérie est cependant souvent associée à des virus respiratoires : le virus Parainfluenza (valence « Pi ») le plus souvent, et plus rarement les adénovirus de type 1 ou type 2 (CAV-1 et CAV-2), le virus de la maladie de carré ou l’herpèsvirus canin. D’autres bactéries peuvent également contribuer à l’apparition des symptômes de trachéobronchite infectieuse chez le chien (Streptococcus spp., Pasteurella spp., Pseudomonas spp., Colibacilles, Mycoplasmes...) mais uniquement lors de surinfection : leur développement est le plus souvent secondaire à l’infection par Bordetella bronchiseptica et par les virus respiratoires. Mode de transmission, mécanismes d’apparition de la maladie La Trachéobronchite infectieuse est une maladie extrêmement contagieuse dont la transmission se fait par voie aérienne respiratoire, lors de contact proche « nez à nez » entre chiens. Une transmission indirecte par l’intermédiaire des excrétions (salive, jetage nasal) semble également possible. Après avoir pénétré dans l’appareil respiratoire, bactéries et virus viennent se fixer à la surface de l’épithélium cilié respiratoire des bronches du chien avec plusieurs conséquences • un blocage de « l’escalator mucociliaire » de l’épithélium respiratoire : l’élimination mécanique des corps étrangers et pathogènes par les cellules à cils de l’épithélium respiratoire n’est plus assurée, les bronches s’obstruent peu à peu, empêchant le chien de respirer correctement. • une inflammation généralisée des bronches : entraînant douleur respiratoire et quintes de toux fortes et peu productives. Les premiers symptômes apparaissent après une incubation de 3 à 10 jours, temps pendant lequel les bactéries et les virus se multiplient activement pour contaminer l’ensemble de la surface des bronches et des bronchioles. • une extrême contagiosité de la maladie : les bactéries et virus restant en surface des bronches sont facilement expulsés vers l’extérieur pour contaminer d’autres chiens. Dans certains cas, les bactéries et les virus ne se cantonnent pas aux bronches et bronchioles, mais s’étendent dans l’ensemble de l’appareil respiratoire entraînant des complications de rhinite (infection des cavités nasales) ou de pneumonie (infection profonde des poumons), pouvant être fatales chez les jeunes chiots. Symptômes majeurs de la maladie La Trachéobronchite infectieuse peut atteindre les chiens de tous âges avec la même intensité. La forme classique de la Trachéobronchite infectieuse est en général bénigne. Le symptôme dominant de la trachéobronchite infectieuse est une toux sèche forte et quinteuse. La toux peut parfois provoquer des vomissements lors d’effort d’expectoration trop poussés. Cette toux peut être associée à une rhinite avec un jetage nasal important et des éternuements fréquents. Les animaux atteints perdent souvent l’appétit l’ingestion des aliments pouvant déclencher des quintes de toux. Il en résulte une fatigue importante et un amaigrissement progressif. En général, les symptômes disparaissent après 2 à 4 semaines. Mais les animaux, même après guérison, restent porteurs et contagieux pendant près de 4 mois, devenant ainsi une source insidieuse de contamination pour les autres chiens de l’élevage. La maladie peut prendre une forme chronique, entraînant chez l’animal une alternance entre phases cliniques aiguës avec quintes de toux, et phases de portage asymptomatique potentiellement contaminant. L’infection peut également être complètement asymptomatique chez certains chiens : mais là encore, même s’ils n’expriment pas de signes de la maladie, ils n’en restent pas moins porteurs et contagieux. Une forme grave peut être observée chez les jeunes chiots ou les animaux sensibles ou mal vaccinés : la toux est aggravée d’un jetage nasal important et parfois d’une pneumonie pouvant entraîner la mort. Diagnostic Le diagnostic clinique de la maladie est en général aisé en raison de la toux caractéristique qu’elle provoque, et de sa forte contagiosité dans l’élevage. La confirmation de la nature infectieuse de la toux se fait par recherche de Bordetella bronchiseptica et des virus dans le jetage nasal, sur écouvillon oro-pharyngé ou dans le liquide de lavage broncho-alvéolaire effectué par le vétérinaire. La recherche peut se faire par PCR ou par bactériologie-virologie (mise en culture des germes). La recherche peut également se faire à l’autopsie sur les poumons. Traitement Le traitement de la Trachéobronchite infectieuse consiste en l’administration d’antibiotiques pour éliminer Bordetella bronchiseptica et limiter les surinfections par les autres bactéries. Ce traitement antibiotique est souvent long (3 à 4 semaines) et coûteux. Il pourra être associé à l’administration d’antitussifs, d’anti- inflammatoires et de traitements par aérosothérapie (bronchoclilatateurs, antibiotiques...). Le traitement doit dans la mesure du possible, être accompagné d’un isolement de l’animal traité pour éviter les recontaminations permanentes. Prévention • Vaccination : La vaccination spécifique « toux de chenil » contient la valence Borcletella bronchiseptica (e Bb ») en association ou non à la valence « Pi » (virus Parainfluenza). La valence Parainfluenza est souvent associée aux valences Carrré/Hépatite/Parvovirose (vaccins type « CHP ») mais la vaccination contre le virus Parainfluenza seul semble insuffisante pour prévenir les formes graves de trachéobronchite infectieuse canine. Il existe différents vaccins spécifiques « toux de chenil » (Bb +/- Pi) : • les vaccins inactivés disponibles en France sont des vaccins bivalents (Bb + Pi), administrables par injection et dont la primovaccination nécessite 2 injections à 2 ou 3 semaines d’intervalle. La vaccination peut se faire chez le chiot dès l’âge de 6 semaines avec un risque d’inefficacité liée à l’existence de la « période critique » • Les vaccins vivants atténués disponibles en France sont des vaccins monovalent (Bb) ou bivalent (Bb + Pi). Ils s’administrent par voie intranasale en une seule instillation de primovaccmnation : cette voie présente l’intérêt de développer une immunité locale au niveau des bronches, créant une barrière sur le lieu même d’arrivée des agents pathogènes. La voie intranasale permet également une protection plus rapide que la voie injectable (protection en 3 à 5 jours contre Bordetella bronchiseptica). Enfin, elle permet de protéger les chiots dès le plus jeune âge en s’affranchissant de l’interaction avec les anticorps maternels durant la période critique : les chiots peuvent ainsi être vaccinés dès l’âge de 3 semaines. En élevage, la vaccination spécifique « toux de chenil » devra concerner l’ensemble des chiens (adultes et chiots). Les chiots seront vaccinés dès l’âge de 3 semaines afin d’éviter les formes graves parfois mortelles de trachéobronchite infectieuse. Le rappel chez les adultes s’effectue tous les ans et peut être associé au rappel annuel de vaccination pour les autres valences (type «CHP»). La vaccination en élevage contaminé ne doit concerner que les animaux en bonne santé, les animaux malades devant être isolés en infirmerie pour être traités. Si un chien infecté ("porteur sain" ou animal en phase d’incubation de la maladie) est vacciné, une compétition entre l’infection sauvage et la vaccination se crée : les souches vaccinales sélectionnées peuvent permettre au chien d’obtenir une protection plus efficace que celle acquise aprés une infection « naturelle ». Les porteurs sains pourront donc en théorie réussir grâce à cette protection optimisée, à se débarrasser définitivement de la maladie et devenir non porteur. Cependant sur les chiens en incubation depuis trop longtemps, la compétition peut basculer en faveur de l’infection sauvage : les animaux tombent malades malgré la vaccination car ils ont été vaccinés trop tard. • Mesures sanitaires : La vaccination seule en élevage contaminé est souvent inefficace à cause de la forte pression infectieuse de l’environnement. La diffusion de la Trachéobronchite infectieuse dans un élevage est en général due à une mauvaise conception des locaux avec un excès d’humidité et une mauvaise aération. Un test à la "flamme" peut être réalisé à l’aide d’un simple briquet afin de vérifier la correcte circulation de l’air : une flamme couchée indique la présence de courants d’air trop importants, une flamme immobile indique une stagnation excessive de l’air ; l’idéal étant d’obtenir une flamme légèrement vibrante. La sectorisation de l’élevage est également importante pour la prévention de la trachéobronchite infectieuse : les animaux malades doivent être systématiquement isolés en infirmerie ; la séparation des animaux d’âges différents et des différentes portées en nurserie doit être effective, le « nez à nez » ne devant pas être possible entre les chiens de lots différents. Comme toujours, le nettoyage et la désinfection quotidiens restent des moyens essentiels de prévention, pour limiter la quantité de pathogènes dans l’environnement.
  9. Il vaut mieux les habituer au réglages maxi sur une semaine puis réduire le débit, sinon, c'est trop difficile et ils se lassent. Après, certains comportementalistes recommandent de les habituer à la cage afin de restreindre leur espace à garder et qu'il se sente en sécurité, à toi de voir parmi toutes les solutions envisageables celle qui correspondra le mieux à ton loulou.
  10. Je te conseillerai personnellement de lui donner un pipolino! (voici une vidéo de mon loulou en pleine action!) Tu le remplis de croquettes (sa ration), avant de partir, il s'occupera ainsi à les faire sortir pour les manger, cela l'occupera. Toutefois, reprends l'apprentissage de la solitude, c'est très important, car en cas d'hyper attachement, ton chien souffre de ton absence et n'est pas bien dans ses pattes! Ce trouble est évolutif et peut dégénérer, et s'aggraver, n'attends pas d'en être là car il faut savoir que les destructions constituent l'une des premières causes d'abandon, tellement il peut être difficile d'en revenir. Patience, persévérance, temps et confiance permettent toujours de venir à bout de ces troubles!
  11. Coucou, J'ai regroupé ton post avec le sujet correspondant! Tu trouveras quelques conseils dans les pages précédentes de ce sujet. Il s'agit bien certainement d'un hyper attachement, même si ce n'est pas la seule cause de ces destructions. Les différentes causes possibles sont: La destruction peut être due à la peur d’être seul, à l’ennui. 1. La peur d’être seul prédomine dans les nombreux cas de « vandalisme ». Comme pour le chien aboyeur, l’anxiété de séparation est souvent à l’origine de ce trouble. L’animal trop attaché à sa famille n’arrive pas à supporter l’isolement physique ou affectif. Cela peut se produire à la maison, chez des amis ou dans la voiture. Cela peut même se produire dès les premiers signes de départ du maître. Le chien s’empare par exemple d’un coussin qu’il secoue violemment. La punition ne sera jamais un remède efficace pour cette situation. Elle l’aggravera, au contraire. 2. L'ennui : Cela peut sembler excessif, mais un chien peut effectivement s’ennuyer, surtout quand il est seul. Il n’a alors pas peur de rester seul mais il ne sait pas quoi faire ! La seule occupation qu’il trouve est de sortir toute la mousse du fauteuil. Les remèdes 1. Remède contre la solitude Si le chien détruit tout par peur de la solitude, il faut reprendre tout l’apprentissage la concernant. Certaines personnes emmènent leur chiot partout pour l’habituer à toutes les situations. Puis, une fois adulte, le voilà devenu plus encombrant et il doit rester à la maison. Le résultat est qu’il est habitué à tout sauf à la solitude. Repartons ensemble de zéro. La peur de la solitude est souvent liée à un hyper-attachement au maître. Dans la pratique, ne grondez pas le chien à votre retour. Faites comme si de rien n’était (même si les dégâts sont importants). Dites-lui d’aller dans son panier puis ressortez peu de temps après en disant : « Couché ! » avant de partir. Revenez dans les cinq minutes qui suivent. Félicitez calmement le chien s’il est toujours à la même place. S’il a eu le temps de se lever pour détruire quelque chose, écourtez encore votre sortie. Le chien doit associer votre départ et votre retour à sa bonne conduite et à votre satisfaction. Ne lui laissez donc pas le temps de faire des bêtises. Prolongez ensuite petit à petit la durée de vos absences. 2. Remède contre l'ennui Si le chien s’ennuie, il faut le distraire. S’il s’acharne sur tout, donnez-lui de quoi s’acharner. Mettez à sa disposition de nombreux jouets pour chien qu’il pourra détruire. S’il détruit son panier, ne le lui changez surtout pas. Vous pouvez utiliser des produits amers à badigeonner sur les objets, mais il est préférable d’obtenir une correction naturelle des troubles. Vous pouvez aussi lui donner un objet personnel à garder. Il se sentira fier de ce nouveau rôle.
  12. Merci à toi, c'est très gentil!! Nous continuerons donc à donner le plus d'informations possibles sur ce qui peut toucher nos loulous!!
  13. Poussinette, le voici! http://www.bulldoganglaisforum.com/t337-medecine-assurance-mutuelle-pour-chien?highlight=mutuelle
  14. Une belle bouille!! Quel âge a t-elle?
  15. Bien sur Dom, c'est juste une ligne de conduite générale pour donner des bases, il est évident que chaque chien est différent et que l'éducation est a adapté en fonction de chacun, de son caractère et de ses attentes personnelles. Bono est également dans le salon et monte dans le canapé mais il se pousse également quand j'arrive! Le maître doit rester le maître et le chien, le chien. Quand à la relation dominant/ dominé, il y a plusieurs écoles, tout comme pour les méthodes d'éducation.
  16. Apparemment l'utilisation du calcium ou du sucre pour mettre fin à une crise de head bobbing serait une idée faussement répandu. Ce serait sans aucune utilité, c'est le fait de détourner l'attention et le cas échéant de lui proposer quelque chose à lécher qui en réalité mettrai fin à la crise!!
  17. Celui-là aussi: http://www.club-oscar.fr
  18. VérAthéna, je pense que tu réagis à ce qu'à dit CedricG en disant "certains éleveurs vendent des chiens à 4000€ avec de gros soucis de santé" Je pense qu'il voulait dire qu'il arrive que même en prenant toutes les précautions, on peut parfois être déçu et qu'à contrario, d'autres chiens provenant de sources moins fiables que les éleveurs peuvent être en parfaite santé. Je ne pense pas qu'il jugeait les éleveurs, évidemment, comme tu le précise, il y a des consignes simples à suivre niveau hygiène de vie pour que tout se passe au mieux. Parfois, mêmes en respectant toutes ces consignes de chaque côté, il reste une part de surprise que personne ne peut contrôler!
  19. Les problèmes de santé sont courants chez le Bulldog anglais. Des efforts sont réalisés pour éliminer les nombreux problèmes suivants qui seraient attribuables à des causes héréditaires ou qui sont connus pour être plus fréquents chez les bulldog (« prédisposition de la race »). Fait le plus important : Ces troubles sont relativement communs chez cette race et, dans la mesure du possible, des efforts sont déployés pour les éradiquer. Les troubles suivants affecteront gravement la santé de votre animal et pourront exiger une intervention médicale ou chirurgicale. • Syndrome brachycéphalique : La sélection pour des caractéristiques exagérées (crâne peu allongé) a créé des difficultés respiratoires chez les races brachycéphaliques. Les standards de race du Bulldog anglais précisent que la face doit être très courte, tout comme la distance entre le bout du museau et l’endroit où il est profondément enfoncé entre les yeux. Cela laisse peu de place pour les structures facilitant une respiration normale. • Dysplasie de la hanche : Maladie dégénérative de l’articulation de la hanche qui est douloureuse et cause la boiterie. • Kérato-conjonctivite sèche : Maladie oculaire causée par une production de larmes anormale (« l’œil sec »). • Sténose pulmonaire : Anomalie congénitale causant un rétrécissement d’une région du cœur (la valvule pulmonaire). • Malformation septale ventriculaire : Anomalie (« trou ») dans la paroi musculaire qui sépare les deux principales cavités cardiaques. D’autres troubles ayant une incidence accrue chez cette race Les troubles suivants se produisent moins couramment et sont moins dévastateurs que ceux mentionnés ci-dessus. • Cardiomyopathie hypertrophique : Anomalie congénitale qui bloque partiellement l’écoulement sanguin du cœur. • Bec-de-lièvre et fissure du palais : Anomalie du développement de la lèvre ou du palais. • Cryptorchidie : Absence de l’une ou des deux testicules dans le scrotum. • Surdité : héréditaire, dans une oreille ou les deux oreilles en raison de la dégénération des structures sensorielles de l’oreille interne. • Gale démodectique : Anomalie du système immunitaire qui permet à la gale généralisée (parasite de la peau) de se développer. • Entropion : Roulement intérieur de la paupière qui cause l’irritation chronique de la surface de l’œil. Entropion est l’une des affections de l’œil qui est causée par la sélection des éleveurs et la demande du public pour des caractéristiques comme les yeux à protubérance exagérée et de lourds plis faciaux. • Anomalies des cils : Croissance anormale des cils qui cause une irritation chronique de la surface de l’œil. • Dermatite/pyodermite des plis cutanés : Rides et plis cutanés excessifs causant une inflammation et une infection de la peau. • Hémivertèbre : Développement anormal de la colonne vertébrale qui peut causer de la douleur, de la faiblesse et une incapacité à marcher. • Histiocytomes : Tumeurs bénignes communes chez les jeunes chiens. • Hydrocéphalie : Accumulation anormale de liquide céphalorachidien qui peut causer des dommages cérébraux. • Trachée hypoplasique : Croissance anormale de la trachée qui produit des voies aériennes rétrécies (trachée). • Hypothyroïdisme : Production d’hormone thyroïdienne réduite causant un vaste éventail de signes cliniques. • Spina-bifida : Développement anormal de la colonne vertébrale qui peut causer une faiblesse et la paralysie. • Tétralogie de Fallot : Combinaison rare, mais grave d’anomalies cardiaques qui peut écourter la durée de vie. • Anomalies de la troisième paupière (membrane nictitante) – « œil cerise » : Anomalies d’une troisième paupière qui causent une irritation chronique de l’œil. • Urolithiase (calculs rénaux, voir le dujet HUU) : Les cristaux dans l’urine s’accumulent pour former des calculs qui peuvent causer l’obstruction des voies urinaires. Troubles associés aux standards des races Ces troubles sont directement associés à la conformation ou aux standards de la race. Même si, dans beaucoup de cas, ces affections sont devenues tellement communes qu’elles sont acceptées comme normales pour la race, elles peuvent toujours causer des problèmes physiques et un inconfort grave pour le chien. Un des éléments d’un élevage responsable est l’élimination, lors de l’accouplement, des conformations extrêmes qui peuvent causer ces problèmes physiques. • Syndrome brachycéphalique : La sélection de caractéristiques exagérées (face courte) qui a créé des difficultés respiratoires chez les races brachycéphaliques. Par exemple, les standards de race pour le bulldog précisent que la face doit être courte tout comme la distance entre le bout du museau et l’endroit où il est profondément enfoncé entre les yeux. Il n’est pas du tout surprenant que cela laisse peu de place pour les structures facilitant une respiration normale. • Dermatite/pyodermite des plis cutanés : Rides et plis cutanés excessifs causant une inflammation et une infection de la peau. • Trachée hypoplasique : Croissance anormale de la trachée qui produit des voies aériennes rétrécies (trachée). Ces renseignements sur les troubles héréditaires du Bulldog anglais ont été tirés de la Canine Inherited Disorders Database (http://ic.upei.ca/cidd), une initiative conjointe du Sir James Dunn Animal Welfare Centre de l’Atlantic Veterinary College de l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard et de l’Association canadienne des médecins vétérinaires.
  20. Que faut-il retenir? Les tremblements peuvent avoir plusieurs causes, le head bobbing n'en est pas toujours la cause! Une infection ou une maladie sous-jacente peuvent être en cause, le mieux est donc de consulter pour faire des examens et écarter cette possibilité! Douleur, fièvre, hypothermie (t° en dessous de la normale), faiblesse, peur, anxiété et fatigue peuvent également être sources de tremblements chez nos poilus.
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